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Sondage Législatives : Un vote contre Macron pour 52 % des Français

 Sondage Législatives : Un vote contre Macron pour 52 % des Français 

Selon un sondage réalisé par CSA dans le  JDD, 52 % des Français souhaitent exprimer un vote d’opposition à Emmanuel Macron signifiant un désaccord marqué avec l’exécutif actuel. 23% ne se rallient ni au gouvernement ni à l’opposition, ce qui pourrait indiquer une certaine désillusion envers les choix politiques disponibles. Seuls 18% des participants expriment leur soutien au président et au gouvernement. 

 

Les résultats varient aussi significativement selon la catégorie socioprofessionnelle. Les individus appartenant à la catégorie CSP+ (cadres et professions intellectuelles supérieures) sont ceux qui montrent le plus de soutien au gouvernement (20%) mais aussi une forte opposition (51%). À l’inverse, les CSP- (employés et ouvriers) et les inactifs (sans emploi ou retraités) montrent un soutien moindre au gouvernement (16% et 17%, respectivement) et une opposition plus homogène (55% et 52%).

Les électeurs de gauche montrent une forte inclination pour le vote d’opposition, avec 77% pour les proches de La France insoumise. Les partis moins radicaux comme le Parti Socialiste et Europe Écologie Les Verts montrent également une opposition, mais avec des taux plus modérés de 55% et 42% respectivement. Le segment des électeurs se réclamant du centre, représenté ici par Renaissance, montre un soutien considérablement plus fort au gouvernement, avec 73% de soutien. Néanmoins, une minorité non négligeable (18%) se place en opposition. Même au centre, il existe un certain degré de critique ou de désaccord avec la gestion ou les politiques actuelles.

,57 % des Français pensent que le président devrait démissionner si la majorité présidentielle est battue. De plus, une autre étude suggère que le RN pourrait obtenir 32 % des intentions de vote, suivie du « Nouveau Front populaire » avec 25 % et de la majorité actuelle, qui recueillerait seulement 19 %, si les élections se tenaient dimanche.

Dissolution de l’Assemblée nationale : 52 % des Français favorables

Dissolution de l’Assemblée nationale : 52 % des Français favorables

D’après La Tribune, à  la question de savoir quelle réponse politique apporter aux résultats, 52% des sondés répondent la dissolution de l’Assemblée nationale.

La mesure séduit tout particulièrement les extrêmes : 77% de ceux qui ont voté pour la liste RN y sont favorables, 73% de ceux qui ont voté pour Reconquête et 64% de ceux qui ont voté pour la liste France Insoumise. Mais leur souhait premier aurait plutôt été un changement significatif de politique, qu’ils sont 68% à plébisciter. Enfin, 44% auraient souhaité un changement de Premier ministre.

Les  élections législatives se tiendront les 30 juin et 7 juillet. 

Covid France 3 février 2023 :4021 cas supplémentaires en 24 heures et 52 morts

Covid France 3 février 2023 :4021 cas supplémentaires en 24 heures et 52 morts

On recense ce jeudi 2 février 2023 :4021 cas supplémentaires en 24 heures soit 164.338 morts au total et +52 morts supplémentaires en 24h soit ao total 164 338.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.581 (+2) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 134.757 (+50 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,85 le taux d’incidence à 45,72 et la tension hospitalière à 16,2 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 14.037 (-279) personnes hospitalisées et 819 (-19) malades en réanimation.

Bilan des régions:

Ile-de-France : 4.051 (-75) hospitalisées, 259 (+1) en réanimation et +10 décès en 24h
Grand Est : 1.255 (-15) hospitalisés, 71 (-4) en réanimation et +5 décès en 24h
Hauts de France : 1.359 (-16) hospitalisés, 67 (+1) en réanimation et +4 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 1.348 (-31) hospitalisés, 97 (+1) en réanimation et +4 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.189 (-78) hospitalisé, 58 (-12) en réanimation et +11 décès en 24h
Bretagne: 394 (-4) hospitalisés, 19 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 812 (+7) hospitalisés, 20 (-1) en réanimation et 0 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.152 (-32) hospitalisés, 90 (-1) en réanimation et +8 décès en 24h
Pays de la Loire : 167 (+9) hospitalisés, 17 (-1) en réanimation et 0 décès en 24h
Occitanie: 942 (-20) hospitalisés, , 62 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 603 (-1) hospitalisés, 27 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 505 (-19) hospitalisés, 28 (-3) en réanimation et +5 décès en 24h

Augmentation des salaires : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC

Augmentation des salaires : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC

D’après une étude de Proxinvest, la rémunération des grands patrons du CAC aura encore atteint un record avec une progression de 52 % sur l’année 2021. À comparer évidemment à la croissance des revenus des salariés limités à 3 à 4 % alors que l’inflation est proche de 10%. ( Officiellement 6 % d’après l’indice obsolète de l’INSEE).

Dès lors, il ne faut pas s’étonner des protestations voire des réactions violentes de certains car les patrons entretiennent par leur irresponsabilité ce climat d’hostilité. D’une certaine manière, le gouvernement est bien entendu complice. D’une part parce qu’il ne veut pas taxer les superprofits des grandes entreprises et les dividendes ( dans les grands patrons se gavent) , d’autre part parce que le gouvernement s’oppose aussi un rattrapage des salaires sur l’inflation pour ne pas créer une spiral salaire prix.

On objectera bien sûr que des salaires encore supérieurs sont constatés à l’étranger. Mais cette comparaison ne saurait en aucun cas valider les écarts constatés. Il faut en effet espérer que nombre de responsables ne sont pas seulement motivés par l’accumulation de revenus. Il faut espérer que la France dispose d’un réservoir de dirigeants qui méritent certes d’être bien payés mais qui ne sont pas simplement obnubilés par leur salaire.

La rémunération des grands patrons du CAC 40 en France a atteint un sommet à 7,9 millions d’euros en moyenne l’an dernier, selon un rapport publié mardi par le cabinet de conseil aux actionnaires Proxinvest. L’étude constate «une forte hausse des rémunérations médianes et moyennes dans tous les indices (CAC 40 et SBF 120, NDLR). On est bien sur des records historiques», a déclaré Jehanne Leroy, directrice de la recherche ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) lors d’une visioconférence avec des médias.

Elles sont portées par les très bons résultats post-Covid des sociétés en 2021, sur lesquels des éléments de rémunération sont indexés. La rémunération totale moyenne des patrons de l’indice CAC 40 a augmenté de 52%, tandis que celle des présidents exécutifs de l’indice SBF 120 composé des 120 plus grandes entreprises cotées en France a crû de 22% pour atteindre 4,5 millions d’euros. Dans les deux cas, c’est du jamais-vu depuis quinze ans.

C’est aussi «la première fois en huit ans que la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 représente plus de 100 fois la rémunération moyenne des salariés», soit 369 fois le SMIC en base 39 heures, selon le rapport qui détecte un moins bon respect du plafond de rémunération maximale socialement acceptable (5,12 millions d’euros) calculé par Proxinvest. En tout, 29 dirigeants dépassent ce plafond, contre 14 en 2020 et 24 en 2019, ce qui devrait relancer le débat sur le pouvoir d’achat des plus modestes, amputés en outre par l’inflation.

Sur la période 2014-2021, la rémunération moyenne des dirigeants a augmenté de 83,8%, soit trois fois plus vite que celle des salariés, qui a progressé de 23,9%. Le cabinet Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, se réjouit toutefois que, depuis 2021, toutes les sociétés du CAC 40 ont désormais intégré des conditions de performance ESG dans l’une des rémunérations variables du premier dirigeant.

salaires : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC en 2021

salaires : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC en 2021

D’après une étude de Proxinvest, la rémunération des grands patrons du CAC aura encore atteint un record avec une progression de 52 % sur l’année 2021. À comparer évidemment à la croissance des revenus des salariés limités à 3 à 4 % alors que l’inflation est proche de 10%. ( Officiellement 6 % d’après l’indice obsolète de l’INSEE).

Dès lors, il ne faut pas s’étonner des protestations voire des réactions violentes de certains car les patrons entretiennent par leur irresponsabilité ce climat d’hostilité. D’une certaine manière, le gouvernement est bien entendu complice. D’une part parce qu’il ne veut pas taxer les superprofits des grandes entreprises et les dividendes ( dans les grands patrons se gavent) , d’autre part parce que le gouvernement s’oppose aussi un rattrapage des salaires sur l’inflation pour ne pas créer une spiral salaire prix.

On objectera bien sûr que des salaires encore supérieurs sont constatés à l’étranger. Mais cette comparaison ne saurait en aucun cas valider les écarts constatés. Il faut en effet espérer que nombre de responsables ne sont pas seulement motivés par l’accumulation de revenus. Il faut espérer que la France dispose d’un réservoir de dirigeants qui méritent certes d’être bien payés mais qui ne sont pas simplement obnubilés par leur salaire.

La rémunération des grands patrons du CAC 40 en France a atteint un sommet à 7,9 millions d’euros en moyenne l’an dernier, selon un rapport publié mardi par le cabinet de conseil aux actionnaires Proxinvest. L’étude constate «une forte hausse des rémunérations médianes et moyennes dans tous les indices (CAC 40 et SBF 120, NDLR). On est bien sur des records historiques», a déclaré Jehanne Leroy, directrice de la recherche ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) lors d’une visioconférence avec des médias.

Elles sont portées par les très bons résultats post-Covid des sociétés en 2021, sur lesquels des éléments de rémunération sont indexés. La rémunération totale moyenne des patrons de l’indice CAC 40 a augmenté de 52%, tandis que celle des présidents exécutifs de l’indice SBF 120 composé des 120 plus grandes entreprises cotées en France a crû de 22% pour atteindre 4,5 millions d’euros. Dans les deux cas, c’est du jamais-vu depuis quinze ans.

C’est aussi «la première fois en huit ans que la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 représente plus de 100 fois la rémunération moyenne des salariés», soit 369 fois le SMIC en base 39 heures, selon le rapport qui détecte un moins bon respect du plafond de rémunération maximale socialement acceptable (5,12 millions d’euros) calculé par Proxinvest. En tout, 29 dirigeants dépassent ce plafond, contre 14 en 2020 et 24 en 2019, ce qui devrait relancer le débat sur le pouvoir d’achat des plus modestes, amputés en outre par l’inflation.

Sur la période 2014-2021, la rémunération moyenne des dirigeants a augmenté de 83,8%, soit trois fois plus vite que celle des salariés, qui a progressé de 23,9%. Le cabinet Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, se réjouit toutefois que, depuis 2021, toutes les sociétés du CAC 40 ont désormais intégré des conditions de performance ESG dans l’une des rémunérations variables du premier dirigeant.

Salaires: 52 % pour les patrons du CAC en 2021 des patrons mais seulement 3 à 4 % pour les salariés

Salaires: 52 % pour les patrons du CAC en 2021 mais seulement 3 à 4 % pour les salariés

D’après une étude de Proxinvest, la rémunération des grands patrons du CAC aura encore atteint un record avec une progression de 52 % sur l’année 2021. À comparer évidemment à la croissance des revenus des salariés limités à 3 à 4 % alors que l’inflation est proche de 10%. ( Officiellement 6 % d’après l’indice obsolète de l’INSEE).

Dès lors, il ne faut pas s’étonner des protestations voire des réactions violentes de certains car les patrons entretiennent par leur irresponsabilité ce climat d’hostilité. D’une certaine manière, le gouvernement est bien entendu complice. D’une part parce qu’il ne veut pas taxer les superprofits des grandes entreprises et les dividendes ( dans les grands patrons se gavent même s’ils n’ont jamais mis un sou personnel dans l’entreprise) , d’autre part parce que le gouvernement s’oppose aussi un rattrapage des salaires sur l’inflation pour ne pas créer une spiral salaire prix.

On objectera bien sûr que des salaires encore supérieurs sont constatés à l’étranger. Mais cette comparaison ne saurait en aucun cas valider les écarts constatés. Il faut en effet espérer que nombre de responsables ne sont pas seulement motivés par l’accumulation de revenus. Il faut espérer que la France dispose d’un réservoir de dirigeants qui méritent certes d’être bien payés mais qui ne sont pas simplement obnubilés par leur salaire.

La rémunération des grands patrons du CAC 40 en France a atteint un sommet à 7,9 millions d’euros en moyenne l’an dernier, selon un rapport publié mardi par le cabinet de conseil aux actionnaires Proxinvest. L’étude constate «une forte hausse des rémunérations médianes et moyennes dans tous les indices (CAC 40 et SBF 120, NDLR). On est bien sur des records historiques», a déclaré Jehanne Leroy, directrice de la recherche ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) lors d’une visioconférence avec des médias.

Elles sont portées par les très bons résultats post-Covid des sociétés en 2021, sur lesquels des éléments de rémunération sont indexés. La rémunération totale moyenne des patrons de l’indice CAC 40 a augmenté de 52%, tandis que celle des présidents exécutifs de l’indice SBF 120 composé des 120 plus grandes entreprises cotées en France a crû de 22% pour atteindre 4,5 millions d’euros. Dans les deux cas, c’est du jamais-vu depuis quinze ans.

C’est aussi «la première fois en huit ans que la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 représente plus de 100 fois la rémunération moyenne des salariés», soit 369 fois le SMIC en base 39 heures, selon le rapport qui détecte un moins bon respect du plafond de rémunération maximale socialement acceptable (5,12 millions d’euros) calculé par Proxinvest. En tout, 29 dirigeants dépassent ce plafond, contre 14 en 2020 et 24 en 2019, ce qui devrait relancer le débat sur le pouvoir d’achat des plus modestes, amputés en outre par l’inflation.

Sur la période 2014-2021, la rémunération moyenne des dirigeants a augmenté de 83,8%, soit trois fois plus vite que celle des salariés, qui a progressé de 23,9%. Le cabinet Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, se réjouit toutefois que, depuis 2021, toutes les sociétés du CAC 40 ont désormais intégré des conditions de performance ESG dans l’une des rémunérations variables du premier dirigeant.

SONDAGE Macron: 52 % jugent l’action décevante

SONDAGE Macron:  52 % jugent l’action décevante

Selon  un sondage hebdomadaire réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV et diffusé ce mercredi  la majorité des personnes interrogées estime pour

52% à l’action d’Emmanuel Macron au sommet de l’État décevante. 22% la jugent satisfaisante et 26% estiment qu’il est encore à ce stade prématuré de se prononcer sur ce point.

Dans le détail, les personnes interrogées déclarent majoritairement leur insatisfaction concernant des questions liées à la politique en matière d’immigration (79%), les dépenses publiques ou encore la lutte contre l’insécurité (77% ex-aequo).

La politique de lutte pour le pouvoir d’achat laisse aussi 76% d’insatisfaits et celle contre les inégalités sociales 75%. La politique de lutte contre l’islamisme radical génère quant à elle 73% d’insatisfaction, et la politique environnementale 69%.

Emmanuel Macron est plus sévèrement jugé dans les domaines liés à la politique régalienne, note Elabe, qui souligne par ailleurs que les thématiques qui trouvent le plus grâce aux yeux des Français sont la place de la France dans l’Union européenne, la santé et l’emploi.

52 milliards d’euros de dividendes en 2021

52 milliards d’euros de dividendes en 2021

Malgré la crise, les dividendes versés par les entreprises du SBF 120 ont atteint 52 milliards en 2021.  Le SBF 120 est un indice boursier déterminé à partir des cours de 40 actions du CAC 40 et de 80 valeurs des compartiments A et B Euronext , soit une augmentation de 42 % cette année.

Plus de la moitié des entreprises de l’indice ont prévu d’augmenter ou de rétablir le versement d’un dividende. Mais il faudra vraisemblablement attendre 2023 pour dépasser le niveau record de 2019.

Les grandes entreprises françaises cotées de l’indice SBF120 devraient verser 52 milliards d’euros de dividendes cette année, d’après IHS Markit, dont la majorité sera déboursée au cours des semaines à venir. Soit un rebond de 42 % en un an, d’autant plus impressionnant que les dividendes versés cette année aux actionnaires le sont au titre des résultats 2020, année marquée par une crise particulièrement brutale qui a vu les bénéfices du CAC 40 fondre de moitié.

. Les dividendes avaient chuté de 45 % en 2020, tombant à 36 milliards

Sondage Turquie dans l’Union européenne : 56 % des Turcs pour mais 52 % n’y croient pas

Sondage Turquie dans l’Union européenne : 56 % des Turcs pour mais 52 %  n’y croient pas

Selon  une enquête d’opinion publique menée conjointement dans ce pays par le German Marshall Fund of United States, un think tank américain, et l’Union des chambres de commerce et des bourses de Turquie (TOBB). C’est ainsi que si 56 % des personnes interrogées (la proportion est de 66 % ches les jeunes) se montrent favorables à une adhésion et que 60,1 % (69 % pour les jeunes) voteraient « oui » dans le cadre de l’organisation d’un éventuel référendum, 40 % (34 % de jeunes) pensent que cela ne se fera jamais, 19 % estimant en tout cas que cela ne se produira pas au mieux avant cinq ans. Aux yeux de 52,1 % des sondés, l’Union européenne n’a en fait pas vraiment l’intention d’accueillir la Turquie dans ses rangs.

Sondage Covid: le non confinement désapprouvé par 52 %

Sondage Covid: le non  confinement désapprouvé par 52 %

 

 

Selon un  sondage Harris Interactive pour LCI, 52 % de la population désapprouvent la décision de non confinement. Par ailleurs, près de 4 Français sur 10 seulement estiment que les dernières mesures annoncées vendredi 29 janvier par Jean Castex seront efficaces sur le plan sanitaire.

 

 

Seulemenet 39% des personnes interrogées estiment que ces nouvelles mesures seront efficaces sur le plan sanitaire. Par comparaison, ils étaient encore 67% à approuver cette stratégie sanitaire à la fin du mois d’octobre, lorsqu’Emmanuel Macron avait annoncé le reconfinement du pays.

Sondage Covid: le non confinement désapprouvé par 52 %

Sondage Covid: le non  confinement désapprouvé par 52 %

 

 

Selon un  sondage Harris Interactive pour LCI, 52 % de la population désapprouvent la décision de non confinement. Par ailleurs, près de 4 Français sur 10 seulement estiment que les dernières mesures annoncées vendredi 29 janvier par Jean Castex seront efficaces sur le plan sanitaire.

 

 

Seulement 39% des personnes interrogées estiment que ces nouvelles mesures seront efficaces sur le plan sanitaire. Par comparaison, ils étaient encore 67% à approuver cette stratégie sanitaire à la fin du mois d’octobre, lorsqu’Emmanuel Macron avait annoncé le reconfinement du pays. 

Vaccination : 52 % contre

Vaccination : 52 % contre

 

Selon un sondage Elabe pour BFMTV publié ce mercredi, 52% (+4 points en deux semaines) des Français déclarent qu’ils ne se feront pas vacciner contre le coronavirus, dont 30% (+3) certainement pas et 22% (+1) probablement pas.

Cette réticence se fait ressentir chez les catégories populaires (62%), les parents (60%), les femmes (56%), et les plus jeunes: 18-24 ans (57%, +10), 25-34 ans (58%, +5) et 35-49 ans (60%, +5).

Sondage réalisé sur un échantillon de 1001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage Coronavirus: la France mal préparée pour 52% des Français

Sondage Coronavirus: la France mal préparée pour 52% des Français

Selon un  Elabe ,  52% estiment que la France est mal préparée au risque du Coronavirus. Tandis que les autorités politiques et administratives ne cessent de délivrer des discours d’une complaisance irresponsable à propos du virus chinois, les Français sont beaucoup plus interrogatifs sur la capacité du pays à faire face à la situation. Il est vrai que la plupart des responsables affirment  que la situation est sous contrôle et même que la France fait exception compte tenu de l’extraordinaire qualité de son système de santé.

Certes,  ce système de santé soutient largement la comparaison avec d’autres pays développés, il n’empêche qu’on sous-estime sans doute la puissance et la vitesse de propagation du Coronavirus. Pour preuve,  hier les responsables affirmaient qu’il n’y avait plus aucun cas en France. Des propos immédiatement contredits par de nouveaux cas qui sont apparus en plus avec une inquiétude particulière concernant des personnes infectées sans qu’on connaisse la manière dont ils l’ont été. On sait maintenant que le virus se déploie sur les cinq continents et qu’il atteint des pays très voisins de la France en Europe. Évidemment la France ne peut pas être à l’abri. Reste que l’identification de la maladie reste difficile sans une analyse. En effet des malades peuvent être infectés sans déclaration infectieuse pendant des périodes allant jusqu’à presque trois semaines, sans parler de ceux  qui ne seront jamais identifiés comme tels mais qui sont des vecteurs de transmission. L’identification tardive peut être grave. L’inquiétude des Français sans doute à relier à la crise grave des urgences pourrait recevoir ses malades potentiels. Les Français sont donc une majorité à se déclarer « inquiets ». 

Selon un  sondage Elabe pour BFMTV diffusé ce mercredi, pour 52% des Françis , le pays n’est pas prêt à faire face à une éventuelle propagation, dont 13% jugent qu’elle ne l’est « pas du tout ». A l’inverse, 47% posent que l’Hexagone est prêt pour la confrontation avec la maladie, dont 7% le décrivant comme « tout à fait » prêt. 

Les moins de 50 ans sont les plus pessimistes: 57% d’entre eux pensent que la France n’est pas en état d’affronter le péril. Pour les plus de 50 ans, en revanche, l’optimisme demeure majoritaire: 51% assurent que le pays est prêt. Les lignes de fracture autour du sujet sont aussi sociales. Quand 54% des cadres tranchent en faveur d’une préparation suffisante, 60% des employés ainsi que 57% des ouvriers pointent son insuffisance. 

Personnels soignants et institutions suscitent toutefois une plus grande bienveillance. 88% des Français déclarent ainsi pouvoir s’en remettre aux chercheurs, 87% aux médecins, 84% aux hôpitaux plus généralement et 72% à l’organisation mondiale de la Santé. 

Elabe a aussi sondé son panel pour connaître la proportion des Français gagnés par l’inquiétude devant le coronavirus. Ils sont 53% à se dire inquiets, dont 13% « très inquiets » contre 47% affirmant ne pas l’être. Les catégories les plus angoissées sont les parents, avec un taux d’inquiétude montant à 61%, les Français âgés de 18 à 24 ans, avec 63%, et les personnes âgées de 35 à 49 ans, avec 57%. Alors que la majorité des morts dues au coronavirus concernent des seniors, les personnes âgées gardent la tête froide: elles ne sont que 53% à signifier leur inquiétude. 

Capture BFMTV -Sondage réalisé par Internet du 25 au 26 février 2020 sur un échantillon de 1000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération.

« Gilets jaunes »: 52% des Français encore pour la poursuite

« Gilets jaunes »: 52% des Français encore  pour la poursuite

 

 

Inévitablement, le soutien de l’opinion publique aux gilets jaunes se tasse. D’après un sondage Odoxa 52 % souhaitent que mouvement se poursuive contre 55% la semaine dernière et 66% fin novembre, L’affaiblissement du soutien s’explique par un phénomène d’usure classique dans tous les mouvements sociaux, aussi par le rejet des violences de certains extrémistes.  “Tous les protagonistes du conflit sont jugés responsables des violences commises à l’occasion des manifestations : le gouvernement (70%), mais aussi l’opposition (65%) et même, pour la première fois, les ‘Gilets jaunes’ (63%) eux-mêmes qui en étaient largement exonérés jusque-là”, ajoute Odoxa. Vingt-neuf pour cent des sondés seulement estiment “que l’on peut comprendre” les violences et dégradations commises à l’occasion des manifestations des “Gilets jaunes”, une proportion qui monte à 62% chez les sympathisants de La France insoumise et 46% chez les sympathisants du Rassemblement national.

Vente voitures : en baisse de 1,52% en octobre

Vente voitures : en baisse de 1,52% en octobre

On est toujours sur uen tendance de hausse de 5% sur l’année mais les immatriculations de voitures neuves en France se tassent  à moins  1,52% en octobre, a annoncé jeudi le CCFA. D’où l’idée du gouvernement et des constructeurs d’éliminer les véhicules les plus anciens. Il s’est immatriculé 173.802 voitures particulières neuves le mois dernier dans l’Hexagone, selon le Comité des constructeurs français d’automobiles. En septembre, le marché avait rechuté de 12,8%, après un bond d’environ 40% en août, l’entrée en vigueur des nouvelles normes d’homologation WLTP faussant le cycle traditionnel des ventes. Le quatrième trimestre s’annonce toujours incertain – Valeo a signé la semaine dernière un nouveau avertissement sur ses résultats 2018 – mais sauf rechute imprévue, le marché automobile français reste parti pour connaître en 2018 une quatrième année consécutive de croissance et retrouver son niveau d’avant-crise, à 2,2 millions d’unités environ. Sur dix mois, les immatriculations ressortent en hausse de 5,70%.

 

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