Archive pour le Tag '5000'

Plus de 5000 policiers blessés par violence en 2023

Plus de 5000 policiers blessés par violence en 2023

Signe sans doute du délitement de la société française et de l’affaiblissement de l’État plus de 5000 policiers ont encore été blessés suite à des violences en 2023. 
Selon un bilan que dévoile Le Figaro, pas moins de 5492 policiers ont été blessés par des violences en 2023, soit une moyenne de quinze par jour. Insultés dans la rue, molestés lors des manifestations, renversés par des chauffards, piégés dans des guets-apens au pied des immeubles des cités et maintenant attaqués dans le cœur d’un hôtel de police. L’affaire des deux policiers grièvement blessés par balle, jeudi soir, dans les murs même du commissariat du 13e arrondissement de Paris, démontre que ce qui devrait être l’ultime sanctuaire des forces de l’ordre n’est plus inviolable.

Intervenant sur l’agression au cutter d’une femme de 73 ans dans un appartement, la patrouille a dû enfoncer la porte d’entrée et utiliser un pistolet à impulsions électriques à plusieurs reprises avant de maîtriser le forcené, qui serait d’origine asiatique. C’est après l’avoir ramené au commissariat vers 22 heures pour le faire souffler dans un éthylotest que ce dernier, pris de furie, s’est emparé d’une arme de service. Coup sur coup, il a touché un agent à la jambe, puis un second à hauteur de l’abdomen. Le pronostic vital de ce dernier était toujours engagé.

 

Logement:5000 euros du m2 à Paris, mais pour 99 ans seulement

Des logements pratiquement à moitié prix ce sera possible à Paris pour les futurs propriétaires remplissant les conditions de plafond de ressources. Finalement une évolution qu’on connaît depuis longtemps au Royaume-Uni mais aussi aux États-Unis. Le niveau très spéculatif des logements parisiens provient notamment du coût  excessif du foncier qui resterait une propriété publique.

Lorsqu’on devient propriétaire d’un bien immobilier, au Royaume-Uni, c’est le plus souvent pour une durée limitée. Acheter revient à contracter un bail emphytéotique (un « leasehold ») qui donne un droit de pleine propriété reconnu comme absolu sur le bâti, mais seulement pour une période de 21 à 99 ans. Cela peut aller jusqu’à 125 ans, parfois plus. Mais ce n’est pas pour l’éternité.

 

Largement répandu dans tout le pays, à l’exception de l’Ecosse, et notamment dans les grandes villes, le « leasehold » donne à l’occupant la possibilité de revendre son droit à tout moment. Il peut aussi hypothéquer ou louer son bien sans restriction. Mais il doit, en contrepartie de son droit de jouissance, s’acquitter d’une rente auprès du bailleur (le « freeholder »), qui reste propriétaire du terrain et auquel revient le logement à l’issue du bail. Enfin, il doit lui verser un service annuel couvrant les frais d’entretien et de gestion des parties communes.

Pour la France, La Ville de Paris offrira dès mardi ses premiers logements en accession à 5.000 euros du m2, soit moitié moins cher que les prix du marché, à destination des familles de classe moyenne grâce au dispositif du bail réel solidaire (BRS), explique l’adjoint au logement Ian Brossat à l’AFP. La Foncière de la Ville de Paris (FDVP), organisme de foncier solidaire (OFS) permis par la loi Alur de 2014, gère cette nouvelle offre d’accession sociale à la propriété en dissociant le foncier du bâti grâce au BRS.

« La Foncière achète et conserve à perpétuité le foncier, tandis que seul le bâti est vendu à des familles parisiennes pour une durée de 99 ans. Le ménage verse en complément une redevance de 2,5€ par mois et par m2 à la Foncière correspondant à la participation foncière », explique la mairie.

En cas de décès de l’acquéreur, « la succession se fait au profit de l’héritier », précise M. Brossat à l’AFP. Si l’héritier gagne plus que le plafond de ressources, la FDVP lui rachète le logement « en valeur d’achat réévaluée avec l’inflation ».

S’inspirant d’un modèle venu des Etats-Unis où il a émergé dans les années 1980, quelques collectivités territoriales françaises se sont déjà emparées de ce nouveau dispositif, comme les métropoles de Lille, Rennes et Lyon.

L’adjoint à la maire PS Anne Hidalgo jugeant les plafonds de ressources « un peu trop bas pour la sociologie parisienne », il dit avoir engagé une discussion avec le ministère du Logement pour pouvoir les rehausser et passer ainsi par exemple, pour un couple avec deux enfants, de 4.900 euros à 5.500 euros en revenus mensuels.

Variants : environ 5000 cas par jour au moins…. au moins

Variants : environ 5000 cas par jour au moins…. au moins

Il pourrait y avoir environ 5000 contaminations par jour du fait des variants. En effet le poids des variants augmente d’environ 50 % par semaine. Autour du 10 février, ils représentent, au total, entre 24 % et 30 % des nouvelles infections, dont 20 % à 25 % pour le seul variant anglais (B.1.1.7), selon Olivier Véran. « Ces données sont cohérentes avec nos chiffres », précise-t-on chez Eurofins, qui crible la moitié des tests positifs chaque semaine.

 

Chez Cerba, en revanche, le 10 février, sur 2 830 échantillons positifs en France, le poids du variant anglais a flambé à 37 %, contre 20 % en moyenne les jours précédents, et la mutation 501Y (caractéristique notamment des variants sud-africain et brésilien) était à près de 4 %. La semaine passée, les trois variants totalisaient 21,3 %, selon le patron de la Cnam. Et ils étaient à 3,3 % les 7 et 8 janvier, d’après la première « enquête flash » commandée par SpF et la nouvelle agence en charge des maladies infectieuses émergentes (ANRS).

 

Manif pro Navalny en Russie : Poutine fait arrêter près de 5000 participants

Manif pro Navalny en  Russie : Poutine fait arrêter près de 5000 participants

 

Lee dictateur mafieux Poutine n’a pas hésité encore à procéder à des milliers d’arrestations suite à une nouvelle manifestation pro Navalny.  L’opposant empoisonné par les services secrets russes, soigné en Allemagne et aussitôt arrêté -quand il est revenu en Russie-  pour des motifs complètement ridicules.

 

Il est clair que désormais la lutte a pris une autre dimension depuis Navalny a  révélé que Poutine détenait un immense palais d’un cout de l’ordre de 100 milliards et que de fait il était à la tête de la grande corruption généralisée en Russie alors que la crise économique et sociale serrages dans le pays.

 

Des rassemblements ont eu lieu dans des dizaines de villes. Des interpellations massives ont eu lieu (plus de 4.800), notamment à Saint-Pétersbourg et à Moscou, où l’on a dénombré respectivement plus de 1.000 et 1.500 arrestations. Dans la capitale, les forces de l’ordre ont déployé un dispositif impressionnant.

 

Le 23 janvier, quelque 20.000 manifestants, selon l’AFP, s’étaient rassemblés place Pouchkine, à environ deux kilomètres du Kremlin, et la foule avait été ­ensuite repoussée sur les boulevards environnants où des affrontements avaient eu lieu avec la police. «Poutine voleur», «Liberté (pour Navalny)», les mêmes slogans que la semaine dernière ont résonné dimanche et, dans les rangs des manifestants, les mêmes témoignages d’exaspération face à la corruption – le cheval de bataille de Navalny – mais surtout face à la dégradation des conditions de vie en Russie. La violence de la répression témoigne en tout cas de la nervosité d’un pouvoir mais aussi de sa fragilité qu’il repose essentiellement sur la répression de tout mouvement d’opposition politique y compris dans les médias.

Fusion des réseaux Société Générale et Crédit du Nord : 3000 à 5000 emplois menacés

Fusion des réseaux Société Générale et Crédit du Nord : 3000 à 5000 emplois menacés

 

La fusion des réseaux a été décidée au cours du week-end. La Société Générale avait déjà annoncé en septembre qu’il envisageait la fusion des deux réseaux, un tournant qui verrait naître une nouvelle banque de détail forte de 10 millions de clients. Jusqu’à présent, le groupe Société Générale avait organisé son activité de détail en France sur trois réseaux, profitant chacun d’un large niveau d’autonomie: le réseau sous son nom, celui du Crédit du Nord et la banque en ligne Boursorama.

La CFDT du Crédit du Nord a  estimé que les deux banques pourraient perdre au moins «entre 3000 et 5000 emplois».

Coronavirus France : 5000 cas 24 heures en France, forte hausse

Coronavirus France : 5000 cas 24 heures en France, forte hausse

4897 nouveaux diagnostics positifs ont été enregistrés, contre 3602 la veille. Le pourcentage de tests positifs continue à légèrement augmenter, à 3,6% (3,5% samedi). 32 nouveaux foyers de cas groupés (clusters) ont été détectés, a aussi indiqué Santé Publique France.

Au total, 4709 personnes sont hospitalisées pour une infection au Covid-19, un chiffre en légère baisse (4711 samedi, 4.745 vendredi).

Le nombre de patients en réanimation (383) est en légère hausse par rapport à samedi (380) et un décès supplémentaire a été enregistré, portant le nombre de morts depuis le début de l’épidémie en France à 30.513 personnes, dont 20.002 au sein des établissements hospitaliers et 10.511 en établissements sociaux et médico-sociaux (un chiffre qui date de mardi et sera actualisé le 25 août).

Sept départements sont désormais classés en niveau de vulnérabilité élevée: les Bouches-du-Rhône, la Guyane, l’Hérault, Paris, la Sarthe, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne.

Le Loiret, qui avait été classé «élevée» samedi, est redescendu en niveau de vulnérabilité «modérée», portant le nombre de départements à ce stade à 31.

Construction aéronautique : 5000 postes menacés

Construction aéronautique : 5000 postes menacés

 

 

.Selon certaines sources, environ 15.000 postes sont menacés, dont environ de 5.000 en France répartis chez Airbus, ATR et Stelia Aerospace. Après avoir préparé le terrain depuis plusieurs semaines, Airbus s’apprête à annoncer un plan de suppressions de postes massif pour s’adapter à la crise sans précédent qui frappe l’industrie aéronautique et les compagnies aériennes. Confronté à une chute des livraisons d’avions et à une reprise qui s’annonce très longue – puisque le directeur général d’Airbus, Guillaume Faury, ne prévoit pas un retour du niveau de trafic aérien enregistré en 2019 avant 2023, voire 2025 -, Airbus est obligé de réduire la voilure en attendant cette reprise lointaine..

 

Coronavirus Suède : 5000 morts, en 24 heures et remise en cause de la politique sanitaire

Coronavirus  Suède :  5000 morts, en 24 heures et remise en cause de la politique sanitaire

Avec 499,1 morts par million d’habitants, ce pays scandinave, habitué à être cité en exemple dans de nombreux domaines, pointe à une peu enviable cinquième place mondiale concernant ce taux de mortalité. Derrière quatre autres Etats européens (Belgique, Royaume-Uni, Espagne et Italie) et devant la France, selon les données officielles compilées par l’AFP.

«Je pense que nous aurions dû commencer les tests de masse beaucoup plus tôt, nous aurions dû tester plus de gens», estime Lars Falk, médecin et chef de service au prestigieux hôpital Karolinska de Stockholm. «Dès que quelqu’un est testé positif, il ne sort plus autant et ne rencontre pas autant de gens que s’il n’est pas au courant», dit-il à l’AFP.

Le nombre des patients en soins intensifs est en nette baisse dans son unité comme ailleurs, la Suède a passé le pic, les statistiques s’améliorant progressivement. Mais la pression augmente sur le gouvernement, accusé en particulier de s’être trop réfugié derrière son administration, en l’occurrence l’autorité sanitaire dirigée par son épidémiologiste en chef, Anders Tegnell.

Le premier ministre social-démocrate Stefan Löfven a réaffirmé au cours du week-end que la politique de son pays «n’était pas un échec». Le même, au fatalisme prémonitoire, avait pourtant averti début avril : «Nous allons devoir compter les morts par milliers, autant nous y préparer».

Si la Suède n’a pas de plus mauvais bilan que les autres pays européens les plus touchés, il est très mauvais comparé à celui de ses voisins immédiats et alliés nordiques, où l’épidémie est arrivée à peu près à la même date. Relativement à la population, cinq fois moins de morts au Danemark et – à densité comparable – huit fois moins en Finlande et onze fois moins en Norvège.

Le nombre très important des gens ayant péri dans les maisons de retraite «n’a rien à voir avec la stratégie. Il est lié aux failles dans la société que nous corrigeons», a toutefois plaidé Stefan Löfven, citant l’hygiène déficiente dans les résidences pour seniors.

«Un pas en arrière»

Les responsables des partis politiques, qui comme une grande partie de la population ont largement soutenu la décision de ne pas confiner les 10,3 millions de Suédois, commencent aussi à émettre des critiques. Ils déplorent notamment le retard dans la mise en place d’une campagne de tests massifs, qui n’a réellement commencé que cette semaine et révèle souvent plus de 1000 cas supplémentaires quotidiens ces derniers jours.

«Un leader doit faire un pas en avant, mais Löfven a fait un pas en arrière», a dénoncé Ebba Thor, la dirigeante des chrétiens-démocrates, dans l’opposition de droite. Pour le chef des libéraux au Parlement, Johan Pehrson, l’approche moins stricte de la Suède «pourrait avoir contribué au bilan très élevé». Le patron des conservateurs a quant à lui réclamé la constitution immédiate d’une commission d’enquête sur la gestion gouvernementale de la crise.

Les Suédois, interdits de passer leurs vacances dans plusieurs Etats de l’Union européenne y compris chez leurs voisins nordiques, auront finalement le droit de passer leurs congés dans dix pays, a annoncé mercredi la ministre des Affaires étrangères Ann Linde. Et la Suède peut espérer entrer dans la phase finale de l’épidémie, selon les médecins.

En soins intensifs, «les chiffres ont vraiment baissé. Il y a une vraie différence par rapport à il y a deux mois», explique Karin Hildebrand, médecin à l’hôpital Södersjukhuset de Stockholm, qui s’attend à une poursuite de la décrue. Quant à Anders Tegnell, avocat d’une «stratégie marathon», il a répété que les confinements ne marchaient pas et qu’une fois les restrictions levées, le virus recommencerait tôt ou tard à circuler.

Sans vaccin, «on ne peut pas entièrement éliminer le virus», a-t-il dit mardi. Une étude – dont la fiabilité est controversée – montre que 14% des quelque 50.000 habitants de Stockholm qui ont fait le test de dépistage ont des anticorps agissant face au Covid-19. La capitale est de loin la région la plus touchée du pays.

Pause

SFR : suppression de 5000 emplois

SFR : suppression de 5000 emplois

Patrick Drahi prévoirait d’ouvrir un plan de suppression de postes chez SFR portant sur environ 5000 emplois -soit le tiers des effectifs de l’opérateur- rapporte Le Monde, ce mercredi 27 juillet. Selon les informations du quotidien, « la directrice des ressources humaines, Florence Cauvet, a confirmé mardi 26 juillet aux organisations syndicales que le groupe avait pour objectif de ramener l’effectif de l’opérateur télécom de 14 300 salariés à 9 000 personnes d’ici la fin 2017, ce qui revient à supprimer environ 5 000 emplois. » Des suppressions de postes qui interviendraient à partir du 1er juillet 2017, c’est-à-dire au terme de l’accord de maintien de l’emploi signé avec les pouvoirs publics en 2014.  Cette annonce vient confirmer les propos tenus fin juin à New York par Patrick Drahi, qui a pris le contrôle de SFR en 2014. Le magnat avait alors évoqué le « sureffectif » du groupe télécoms. Lors du rachat de SFR par Numericable, une garantie de maintien de l’emploi de trois ans avait été conclue. Elle prend fin le 1er juillet 2017.

 

(Avec challenge et AFP)

VW : 5000 € par véhicule pour racheter la pollution aux USA

VW : 5000 € par véhicule pour racheter la pollution aux USA

 

C’est le prix que propose Volkswagen pour racheter les véhicules truqués. Une offre qui si elle était acceptée permettrait à la firme allemande d’éviter une procédure judiciaire très coûteuse et qui pourrait même faire jurisprudence dans d’autres pays. Rappelons que plus de 10 millions de véhicules sont concernés et que certains experts avaient évalué les conséquences financières à plusieurs dizaines de milliards. Volkswagen et les autorités américaines sont donc parvenus à un projet d’accord dans le cadre duquel le constructeur allemand proposerait de racheter près de 500.000 véhicules diesel vendus aux Etats-Unis et équipés de son logiciel de trucage des tests anti-pollution, a-t-on appris mercredi de deux sources informées de l’évolution du dossier. Le groupe automobile, accusé d’avoir faussé les résultats des tests d’émissions polluantes de plusieurs modèles diesel, devrait déclarer jeudi au juge fédéral de San Francisco chargé de l’affaire qu’il accepte de racheter jusqu’à 500.000 voitures et utilitaires équipés d’un moteur diesel de 2,0 litres de cylindrée, a-t-on précisé. Son offre concernerait la Jetta, la Golf et l’Audi A3, mais pas les véhicules dotés d’un moteur diesel de 3,0 litres, qui dépasse pourtant lui aussi les limites autorisées en matière d’émissions. L’action Volkswagen cotée sur le marché américain gagnait près de 6% en fin de séance après ces informations. Volkswagen a aussi accepté de contribuer à un fonds d’indemnisation des propriétaires de véhicules concernés mais le montant des indemnisations n’est pas encore clairement connu, a dit une troisième source informée des modalités de l’accord. Le constructeur pourrait aussi proposer de réparer les véhicules diesel qui ne respectent pas les normes anti-pollution en vigueur aux Etats-Unis si les autorités américaines approuvent le processus de modification qu’il proposera ultérieurement, ont expliqué les sources.

(Avec Reuters)

 

 

Air France : 5000 pertes d’emplois supplémentaires

Air France : 5000 pertes d’emplois supplémentaires

Officiellement la direction d’Air France fait état  d’un plan prévoyant environ 3000 suppressions d’emplois d’ici 2017. Mais d’après le Canard enchaîné il y aurait d’autres vagues notamment une vague de 5000 emplois supplémentaires supprimés à partir de 2018. Cette information démentie par la direction a par contre été confirmée par les syndicats. C’est perspective de suppression de postes à moyen terme ne devrait cependant pas surprendre quand on sait qu’Air France souffre d’un manque chronique de compétitivité de l’ordre de 20 à 25 % par rapport à des compagnies concurrentes. Ce qui est en cause au-delà de la suppression évidemment très regrettable de ces  emplois c’est l’avenir même d’Air France qui pourrait dans les conditions actuelles d’exploitation être contraint de réduire en permanence son offre pour compenser son manque de productivité. Un cercle non vertueux qui pourrait un jour conduire à la disparition de la compagnie. La compagnie française a toutefois indiqué qu’à ce stade elle n’avait pas prévu davantage que les 2.900 suppressions de postes d’ici 2017 annoncées lundi au cours d’un comité central d’entreprise (CCE) interrompu par des violences. « Il n’existe aucun plan caché concernant les évolutions d’effectifs en 2018, 2019 et au-delà », précise Air France dans une réaction transmise à Reuters. « Air France rappelle sa stratégie qui consiste à reprendre sa croissance grâce à la négociation de mesures de productivité », ajoute la compagnie. La filiale d’Air France-KLM a en outre annoncé lundi le retrait de 14 avions d’ici 2017 dans le cadre d’une diminution de 10% de son activité long-courrier, avec des réductions de fréquences à partir de 2016 et la fermeture de cinq lignes vers l’Asie l’année suivante.  Chaque ligne supprimée représente 100 hôtesses et stewards, 50 pilotes et 200 postes au sol, et permet aussi des économies liées à l’amélioration de la productivité, ont expliqué les deux sources syndicales. La compagnie a d’ores et déjà prévenu les syndicats que ses réductions d’effectifs prévues pourraient comporter des départs contraints, pour la première fois depuis les années 1990, en fonction de l’issue des négociations.

Renault : une petite voiture à 5000 euros

Renault : une petite voiture à 5000 euros

Ce modèle devrait être plus petit que la Clio. Il s’agit donc d’une petite citadine mais avec cinq portes et cinq vraies places. Contrairement à la Nano, elle ne fait pas jouet de fête foraine.  Son nom est tenu secret par Renault, mais sur internet un nom revient avec insistance: Kayou, notamment cité par l’Argus.fr, qui explique que son prix de vente devrait être un peu moins de 4.000 euros en Inde et 5.000 euros en Europe. Le voile devrait être levé le 20 mai prochain.. Cette voiture serait ainsi produite en Inde, selon Challenges.  Ensuite, en privilégiant l’utilisation de pièces mécaniques déjà amorties sur d’autres modèles. Il s’agit également de limiter au maximum le nombre de pièces, par exemple avec l’utilisation d’un rétroviseur identique pour la gauche et la droite.  Dans un premier temps aux marchés émergents, c’est-à-dire l’Inde et l’Amérique du sud. D’ailleurs cette voiture est le premier modèle d’une gamme entière. Renault réfléchit à déployer quatre silhouettes, dont un SUV et un véhicule plus long capable de transporter jusqu’à sept personnes. Ces voitures seront commercialisées sous la marque Renault. Mais cette offre est un pur produit de l’alliance. Du coup, Nissan aura lui aussi son offre à très bas coûts, une gamme similaire va venir enrichir l’offre de Datsun la marque low cost de Nissan  Renault ne se refuse rien. Officiellement rien n’est décidé, mais des tests ont débuté sur des routes de campagne en France ces dernières semaines. Ce qui est certain c’est qu’elle sera plus chère en Europe. Car Renault va devoir respecter les règles européennes en matière de sécurité et de pollution, ce qui va donc augmenter la facture. La version européenne ne sera pas produite en Inde. Renault dispose de plusieurs usines à bas coûts aux portes de l’Europe. Le site marocain de Tanger est aujourd’hui le plus compétitif d’entre eux. ( lu dans BFM)

Élections départementales : de 1500 à 5000 euros pour les élus

Élections départementales : de 1500 à 5000 euros pour les élus

Une fonction qui devrait être bénévole et temporaire. Pourtant les élus ( qui ne vont pas tous les jours au département loin s’en faut) toucheront de 1500 à 5000 euros ( plus les indemnités pour les autres fonctions).  À l’occasion des prochaines élections départementales, 4108 nouveaux conseillers vont être élus. Leurs indemnités dépendent notamment du nombre de leurs administrés.  D’un département à l’autre, les rétributions des élus ne sont pas les mêmes. Les indemnités maximales des conseillers départementaux qui seront élus ces 22 et 29 mars – tout comme celle des conseillers régionaux et municipaux – sont calculées en fonction du nombre d’administrés. Ces rémunérations sont ensuite votées par la collectivité territoriale concernée et peuvent donc être inférieures aux plafonds fixés. Seule limite, l’indemnité d’un élu ne peut être inférieure à la moitié de l’indemnité maximale pouvant lui être attribuée. En outre, le Conseil général peut, à tout moment par délibération, réduire le montant des indemnités qu’il alloue à ses membres. Des baisses de salaires qui peuvent être motivées par une moindre participation aux séances plénières, aux réunions des commissions dont ils sont membres ou aux réunions des organismes dans lesquels ils représentent le département.  Par ailleurs, ces indemnités ne profitent pas toujours intégralement à l’élu. Dans certains partis, les élus reversent une part importante de leur rémunération à leur parti.  Comme toutes les indemnités, celle du Conseiller général est fixée en fonction du nombre d’administrés. L’indemnité de chacun des vice-présidents ayant délégation de l’exécutif du Conseil général est égale à l’indemnité de conseiller général majorée de 40 %, comme mentionné. Enfin le président du conseil départemental reçoit lui une indemnité égale au barème de référence majoré de 45%, soit 5 512,13 euros brut par mois ou 4521,91 euros net par mois, et ce indépendamment de la taille département. Il peut aussi bénéficier de certains avantages en nature comme une voiture ou un appartement de fonction. Autre facteur qui peut influencer les indemnités des élus: le cumul des mandats. De fait, le non-cumul des mandats ne s’appliquera pas avant 2017 pour les sénateurs ou les députés. Or, aujourd’hui , 60% de ces élus exercent également des mandats d’élus locaux, que ce soit un mandat de maire ou de président du conseil départemental. Ainsi, il y a un grand écart de rémunération entre les conseillers généraux, les présidents et vice-présidents des conseils départementaux.

Mory Ducros : 2.150 emplois « sauvés » sur 5000 salariés et 2000 sous-traitants

Mory Ducros : 2.150 emplois « sauvés » sur 5000 salariés et 2000 sous-traitants

250 emplois sauvés en plus des 1900 déjà prévus, c’est mieux et c’est bien pour les futurs bénéficiaires mais évidemment encore insuffisant pour éviter une grande casse sociale. On parle en effet des salariés de Mory Ducros mais on oublie –comme souvent- les sous-traitants (2000°). En outre la reprise par l’ancien actionnaire n’est pas nécessaire une garantie absolue compte tenu de sa relative inexpérience en matière de messagerie. Un  secteur déjà dévasté par la surcapacité de l’offre, le dumping et la dégradation des marges. Reste à savoir su Mory en difficulté depuis de nombreuses  d’années parviendra un jour à relever de manière définitive la tête. Pas sûr en l’état actuel du marché, de la conjoncture bien sûr mais surtout de la concurrence sauvage à laquelle se livrent les messagers  et les routiers en général.  Le principal actionnaire de Mory Ducros, Arcole Industries, a donc présenté une offre prévoyant de garder 2.150 salariés.  La surprise est plutôt bonne pour les employés de Mory Ducros. Arcole Industries, principal actionnaire, a présenté une offre améliorée de reprise, prévoyant de garder 2.150 salariés contre 1.900 auparavant. Il prévoit aussi de verser 7.000 euros d’indemnités supra légales par salarié non repris, ont indiqué plusieurs syndicats, à l’issue de plus de 8 heures de négociation à Bercy.   Entamée à 18h00, la réunion s’est achevée à 02h30. Le contenu précis de l’offre de reprise doit être présenté jeudi matin au comité central d’entreprise du groupe, qui emploie 5.000 salariés.

5000 évadés fiscaux à Bercy

5000 évadés fiscaux à  Bercy

Se sentant menacés par la détermination du gouvernement à lutter contre la fraude, ils sont plusieurs milliers à vouloir régulariser leur situation.  La multiplication des procédures judiciaires contre les banques suisses a encouragé de nombreux contribuables qui y avaient ouvert un compte à rapatrier leurs avoir en France.  Après avoir dissimulé leur fortune, ils veulent désormais réapparaître sur les écrans radars du fisc! Selon nos informations, la Direction nationale de vérification des situations fiscales (DNVSF), chargée des particuliers à très hauts revenus et patrimoine (professions libérales, célébrités du sport et du show-business), a vu affluer, ces derniers mois, des demandes volontaires de régularisation. Près de 5000 contribuables français se sont rapprochés de Bercy pour connaître les modalités d’un rapatriement de leurs avoirs et les pénalités encourues.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol