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Coronavirus : on se dirige tout droit vers 50 000 contaminations par jour et au moins 500 morts

  • Coronavirus : on se dirige tout droit vers 50 000 contaminations par jour et au moins 500 morts

 

  • inutile de tourner autour du pot, la France -comme d’ailleurs d’autres pays- connaitune troisième vague au développement exponentiel du fait des variants. On se rappelle que le président de la république avait fixé à 5000 la limite supérieure des contaminations pour envisager une libération des contraintes. En fait aujourd’hui,  on est proche des 35 000 et on se dirige tout droit vers les 50 000.
  •  Les mêmes tendances à la hausse se manifestent concernant le dramatique problème des réanimations un hôpital et vis-à-vis des décès. Courant avril on atteindra sans doute les 500 morts par jour et la France dépassera au total très largement les 100 000 morts depuis le début de l’épidémie.
  • En clair se reposera en avril la question d’un vrai confinement et non cette espèce de plan bidon ni déconfinement, ni reconfinement qui ne ressemble à rien et n’est pas de nature à stopper la diffusion de la pandémie.
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  • 5.792 nouveaux cas de Covid-19 ont été décelés en 24 heures, selon les chiffres publiés ce lundi, contre 30.581 la veille et 6471 lundi dernier. Le nombre de cas comptabilisés en France s’élève désormais à 4.298.395. Le taux de positivité des tests s’élève, lui, à 8%.

Les patients actuellement en réanimation sont au nombre de 4548 contre 4406 la veille. Le chiffre le plus élevé depuis fin novembre. Quant aux nouvelles admissions dans ces services, elles sont de 471. Au total, les hôpitaux français comptaient lundi 26.488 malades du Covid-19, dont 1902 arrivés sur les dernières 24 heures. 344 personnes sont mortes à l’hôpital en 24 heures portant le bilan à 92.648 morts depuis le début de la pandémie.

Plus de 500 centres commerciaux fermés

Plus de 500 centres commerciaux fermés

Jusqu’alors, ces fermetures ne concernaient que les galeries et commerces de plus de 20.000 m² depuis fin janvier, pour un total de 400 sites.

 

Désormais, 136 supplémentaires de plus de 10 000 m² devront baisser leur rideau, portant le total à 536, selon le Conseil national des centres commerciaux (CNCC). «Ce qui veut dire que sur les 800 centres commerciaux de France, les deux tiers seront fermés», relève son directeur général Gontran Thüring. «Nous sommes déçus car nous avions fait des propositions pour renforcer les protocoles sanitaires – comme doubler la jauge d’un client pour 8 m² à un client pour 16 m² – qui auraient permis aux clients de venir en toute sécurité», dit-il à l’AFP. Et «c’est dérangeant» car «on n’a pas de visibilité sur la durée de fermeture». Le responsable cite «plusieurs études» selon lesquelles «les centres commerciaux ne sont pas des lieux de propagation du virus». «Et ce n’est pas une période où la fréquentation des centres commerciaux est au maximum», martèle-t-il.

 

 «Le commerce est une nouvelle fois pénalisé sans raison objective. Heureusement, le seuil de 5000 m2 initialement évoqué a été porté à 10.000», estime pour sa part Jacques Creyssel, de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (regroupant la plupart des enseignes de grande distribution). Cette dernière demande des dérogations pour certains magasins, «notamment de produits de première nécessité (bricolage, électroménager, produits électroniques…)» et un calcul de surface basé «sur la seule surface de vente».

500 centres de vaccination … mais sans vaccins

500 centres de vaccination … mais sans vaccins

A défaut de vaccins le gouvernement annonce la création de centres de vaccination partout.

« Nous ouvrons 100 centres destinés à la ville. Ce n’est qu’un début : nous en ouvrirons 300 la semaine prochaine et 500 celle d’après », a déclaré le représentant du gouvernement à l’issue du premier Conseil des ministres de l’année. Et d’ajouter : « Le président de la République a indiqué 500 à 600 centres dans les prochaines semaines, c’est-à-dire 5 à 6 par département ».

 En outre, « le nombre d’hôpitaux qui permettent de vacciner des soignants, a été multiplié par trois ce matin » et « va continuer à monter en puissance », a complété Gabriel Attal.

Le problème n’est pas tant la question des centres de vaccination mais celui des vaccins et de la logistique. Aujourd’hui la France a vacciné quelques milliers de personnes quand il faudrait réaliser 150 000 par jour ou 5 millions par mois. Or l’objectif est de vacciner 1 million de personnes par mois . À ce rythme on est pas prêt en France de viser une forme d’immunité collective.

Le gouvernement est accablé de critiques ces derniers jours quant à sa campagne de vaccination contre le Covid-19. D’abord à cause d’un démarrage au compte-gouttes des injections : seulement 7.000 injections ont été réalisées, alors que le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne ont dépassé plus ou moins largement les 100.000. Les russes ont vacciné 1 million de personnes et les Américains plusieurs millions.

500 espèces sont menacées de disparition

500 espèces sont menacées de disparition

Une étude, publiée dans la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences. En cause: l’activité humaine. Les chercheurs estiment que sans ce facteur destructeur, ces espèces pourraient vivre encore des milliers d’années.

Par le biais de leur étude, les scientifiques mettent en garde contre l’effet domino de la disparition des espèces. Par exemple, la chasse excessive de la loutre de mer, principal prédateur des oursins, entraîne la prolifération de ces invertébrés qui dévastent les forêts de varech, une espèce d’algues, dans la mer de Béring. Cette situation engendre l’extinction de la rhytine de Steller, un mammifère qui se nourrit de varech.

“Quand l’humanité extermine d’autres créatures, elle détruit les fondations sur lesquelles elle s’est bâtie et qui lui sont nécessaires pour vivre”, explique au Guardian le professeur Paul Ehrlich, de l’université de Stanford aux Etats-Unis.

“Cette étude prouve que l’extinction de masse s’accélère et que la crise de la biodiversité est bien réelle. Mais il n’est pas trop tard pour passer à un mode de vie plus respectueux de la nature et ainsi protéger l’héritage des générations futures”, veut croire le professeur Andy Purvis, du musée d’histoire naturelle de Londres. 

Un espoir partagé par le directeur des sciences à l’ONG WWF, Marc Wright, qui estime que la fin de la déforestation en Amazonie pourrait “permettre d’inverser la courbe de l’extinction des espèces et du réchauffement climatique”.

Mais si cet effort est nécessaire, il semble difficile à mettre en place: en 2019, nos forêts tropicales ont perdu une surface équivalent à un terrain de football toutes les six secondes, selon une étude américaine de l’université du Maryland, publiée ce mardi par Global Forest Watch.

Merkel et Macron pour un plan encore flou de 500 milliards

Merkel et Macron pour un plan encore flou de 500 milliards d’euros en dépenses budgétaires

La proposition de Merkel et de Macron concernant un fond de 500 milliards d’euros pour des dépenses budgétaires  européennes constitue indéniablement un fait politique et médiatique indiscutable. Remarquons évidemment qu’il ne s’agit que d’une proposition et qu’il faudra se mettre d’accord avec les 27 constituants de  l’union européenne. La partie n’est pas gagnée d’avance

. Ensuite il faudra aussi préciser les conditions d’attribution et de financement de cette enveloppe. De ce point de vue, les commentaires d’Emmanuel Macon sont relativement encore flous sur ces deux questions. L’enjeu va notamment tourner autour de ce qui est remboursable et ce qui ne l’est pas (pour simplifier prêts ou subventions).

Cette initiative commune, qui doit encore être endossée par la Commission européenne et l’ensemble des Vingt-sept, constitue une “étape majeure” et un “changement de philosophie”, s’est félicité Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse à l’issue d’une visioconférence avec la chancelière allemande Angela Merkel.

“Pour la première fois, ce que nous proposons ensemble, Allemagne et France, c’est de décider tous ensemble d’aller lever une dette commune sur les marchés et d’utiliser ces 500 milliards d’euros, dette qui aura vocation à être remboursée, pour apporter des financements qui seront fléchés en priorité sur les secteurs les plus touchés et pour les régions les plus impactées et donc d’accepter de vrais transferts, une vraie stratégie commune”, a-t-il souligné.

“Ces 500 milliards ne seront pas remboursés par les bénéficiaires de ceux qui utiliseront cet argent, ils pourront soit être remboursés par les Etats membres par une clef de répartition qui dépend de votre poids dans le budget, par des contributions que nous aurons vocation à décider ensuite ou par d’autres mécanismes”, a-t-il précisé.

Invité en début de soirée sur LCI, le ministre français de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a indiqué que la France pourrait recourir à ce plan pour “rénover” l’hôpital.

“La Commission va emprunter à un taux d’intérêt faible et ensuite payer des dépenses dans les Etats qui en auront le plus besoin. Quand nous aurons besoin par exemple de rénover notre hôpital, nous pourrons nous appuyer sur ce soutien de la Commission européenne et sur un financement de la Commission européenne”, a-t-il souligné, ajoutant que ce financement direct de la Commission européenne financé par de la dette commune pourrait aussi être mobilisé pour soutenir le tourisme, l’automobile ou le secteur de l’aéronautique.

De Berlin, lors de la conférence de presse commune, la chancelière allemande a parlé d’un “pas en avant” important à dix jours de la présentation par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen des détails du programme de relance économique.

“Au départ, nous avions des conceptions extrêmement différentes autant en terme de volume des aides à apporter que sur les moyens techniques”, a déclaré Angela Merkel. “Nous avons réussi à trouver une ébauche de solution entre la France et l’Allemagne et nous avons rapproché nos positions. Nous pensons que nous avons fait un pas en avant très important pour pouvoir arriver à une proposition de la Commission qui satisfera les 27.”

A Bruxelles, Ursula von der Leyen a salué cette proposition qu’elle a jugée “constructive”, estimant qu’elle reconnaissait “l’ampleur du défi économique auquel l’Europe est confrontée, et met à juste titre l’accent sur la nécessité de trouver une solution qui maintienne le budget au coeur de ses priorités”.

“Cette proposition va dans le sens de celle préparée par la Commission, laquelle tiendra également compte des points de vue de tous les États membres et du Parlement européen”, a déclaré la présidente de la Commission européenne dans un communiqué.

Un accord franco-allemand ne veut pas dire pour autant accord des Vingt-Sept, et si le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, s’est félicité de l’initiative franco-allemande – “C’est un premier pas dans la bonne direction”, a-t-il commenté -, opter pour des subventions ou transfert budgétaires (non remboursables) au lieu de prêts (remboursables) ne sera pas facile à faire accepter par certains Etats membres comme les Pays-Bas, la Finlande ou l’Autriche.

“Notre position demeure inchangée”, a ainsi prévenu le chancelier autrichien Sebastian Kurz. “Nous sommes prêts à aider les pays les plus touchés par des prêts. Nous attendons que le prochain (cadre budgétaire pluriannuel de l’UE) reflète les nouvelles priorités et non qu’il relève le plafond.”

Sur  le plan de l’environnement, les deux pays appellent à accélérer le “pacte vert” (“Green Deal”) -encore très flou- pour l’Europe en vue de la neutralité carbone d’ici à 2050.

Coronavirus: Encore 500 morts mais baisse des cas graves

Coronavirus: Encore 500 morts mais baisse des cas graves

 

544 morts supplémentaires au cours des dernières 24 heures en France, où le bilan de l’épidémie s’élève

Sur ce bilan total, 13.236 personnes sont mortes dans des hôpitaux et 8.104 dans des établissements sociaux et médico-sociaux, essentiellement des Ehpad, a précisé Jérôme Salomon.

Le nombre de personnes hospitalisées a toutefois encore baissé, en particulier dans les services de réanimation, qui traitent 5.218 patients en état grave en raison de leur contamination par le coronavirus, soit 215 de moins que la veille.

Ce nombre est en baisse depuis deux semaines, a dit Jérôme Salomon, tout en rappelant que plus de 2.000 malades étaient hospitalisés en réanimation pour d’autres raisons que le COVID-19, laissant ainsi le système hospitalier français sous “pression”.

Près de 85.000 personnes ont été hospitalisées depuis le début de l’épidémie et 29.741 l’étaient encore mercredi, soit 365 de moins que la veille.

Jérôme Salomon a fait état d’une mortalité au niveau national, toutes causes confondues, “supérieure aux années précédentes, semaine après semaine” depuis la mi-mars. L’excès de mortalité a ainsi été de 61% dans la semaine du 30 mars au 5 avril puis de 48% la semaine suivante.

Zone euro : un plan de soutien de 500 milliards encore très vague

Zone euro : un plan de soutien de 500 milliards encore très vague

Après de très nombreux affrontements, un accord a été trouvé en zone euro sur un plan de 500 milliards de soutien à l’économie. Reste que des affectations sont encore floues. Contrairement à ce que souhaitaient certains pays du Sud notamment l’Italie il n’y aura pas de mutualisation des prêts qui seront consentis dans le cadre de ces 500 milliards. Ces milliards seront essentiellement des prêts consentis par la banque européenne d’investissement et par le MES. Il s’agira cependant de près à faible taux mais qui devront être remboursés par les Etats et non supportés par l’ensemble de la zone euro.  Mais l’accord ne mentionne pas la création de “Coronabonds”, des obligations mutualisées qui permettraient de financer une relance de l’activité économique par de la dette commune – une mesure à laquelle l’Italie, la France et l’Espagne étaient favorables mais qui se heurtait à un non ferme de la part de l’Allemagne, pour qui il s’agit d’une ligne rouge, des Pays-Bas, de la Finlande et de l’Autriche.

Il est seulement dit qu’il appartient aux chefs d’Etat et de gouvernement européens de décider si des “instruments financiers novateurs” doivent être utilisés. Le ministre français de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a déclaré que l’Europe avait conclu le plus important plan économique de son histoire.“Tout le monde avait en tête que c’était soit un accord soit le risque d’une dislocation européenne”, a-t-il dit lors d’une téléconférence avec des journalistes. “C’est un plan efficace, c’est un plan massif”, a-t-il poursuivi.

Plus tôt dans la journée, le président du Conseil italien Giuseppe Conte avait prévenu que l’existence tout entière de l’UE serait menacée si celle-ci ne parvenait pas à s’unir pour lutter contre la pandémie. Tandis que Bruno Le Maire a dit jeudi que l’accord ouvrait la voie à de la dette commune, son homologue néerlandais Wopke Hoekstra a souligné le contraire.“Nous sommes et resteront opposés aux ‘Coronabonds’. Ce concept n’aidera ni l’Europe ni les Pays-Bas sur le long-terme”, a dit le ministre néerlandais de l’Economie à l’issue des pourparlers.

Coronavirus France : 500 décès en plus, un record ; 3523 en tout

Coronavirus France : 500 décès en plus, un record ; 3523 en tout

499 nouveaux décès dus au coronavirus au cours des dernières 24 heures, soit un total de 3.523 depuis le 1er mars, a annoncé mardi le directeur général de la Santé.

Ce nombre de décès journalier représente un nouveau record pour la France, l’un des principaux pays touchés par la pandémie de coronavirus qui a fait plus de 810.000 cas et 40.000 morts dans le monde depuis son apparition en Chine en décembre dernier.

Le nombre de cas de contamination confirmés par test PCR a augmenté en une journée de 17% pour atteindre 52.128, contre 44.550 la veille, a ajouté Jérôme Salomon lors de son point de presse quotidien.

Le nombre de personnes hospitalisées s’élève à 22.757, dont 5.565 cas graves en réanimation. Sur ce nombre total de patients en réanimation, 34% ont moins de 60 ans et 60% ont entre 60 et 80 ans. “Soixante-huit personnes en réanimation ont moins de 30 ans”, a précisé le directeur général de la santé.

“Cette situation est totalement inédite dans l’histoire de la médecine française. Aujourd’hui, 458 patients de plus ont été pris en charge par les services de réanimation sur le territoire national”, a ajouté le professeur Salomon, contre 475 lundi.

Le directeur général de la Santé a encore précisé que 9.444 personnes étaient sorties guéries de l’hôpital.

Boiron : suppression de plus de 500 emplois au moment où il faudrait relocaliser l’industrie pharmaceutique

Boiron : suppression de plus de 500 emplois au moment où il faudrait relocaliser l’industrie pharmaceutique

 

Le laboratoire Boiron prend le prétexte de la décision de non remboursement de l’homéopathie pour annoncer la suppression de 500 emplois. Certes on ne peut nier que cette  décision vis-à-vis de l’homéopathie a forcément des conséquences sur l’activité de Boiron. Pour autant ,tout et loin d’être imputable au seul problème de l’homéopathie.

En tout cas une curieuse décision au moment précis où l’on s’aperçoit que la délocalisation de nos médicaments en Chine pourrait paralyser les modalités thérapeutiques. En effet,  c’est globalement l’Asie qui fabrique des médicaments destinés à l’Europe France comprise. Des pourcentages de production qui peuvent attendre atteindre 50 à 80 % pour certaines molécules.

Certes il est certain que cette relocalisation ne se reproduira ne se produira pas du jour au lendemain, pas sûr non plus loin s’en faut que tout ce qui ce consomme en France sera fabriqué dans l’Hexagone. Une partie sera sans doute redéployé sur d’autres continents y compris par exemple dans les pays de l’Est de l’Europe. Mais une autre partie de cette fabrication ce justifierait en France compte tenu de l’importance du marché.

Le laboratoire Boiron a donc  annoncé mercredi la fermeture d’un site de production et la suppression nette de plus de 500 emplois dans le cadre d’un projet de réorganisation lié selon lui à la décision du gouvernement français de ne plus rembourser les médicaments homéopathiques à partir de l’an prochain.

Les autorités françaises ont annoncé en juillet dernier une baisse du niveau de remboursement de l’homéopathie dès le 1er janvier 2020 puis la fin totale du remboursement à partir de 2021, faute d’efficacité établie de ces traitements à l’origine de débats enflammés entre consommateurs et sceptiques

Le groupe annonce dans un communiqué l’arrêt de son site de production de Montrichard, près de Tours, la fermeture de 12 de ses 27 établissements de préparation-distribution et la réorganisation de ses équipes. La preuve que tout cela n’est pas du a l’homéopathie.

Ce plan devrait entraîner la suppression de 646 postes et la création de 134 nouveaux postes, précise encore le laboratoire.

Boiron a par ailleurs annoncé une baisse de son résultat opérationnel annuel, un recul qu’il impute aux “attaques virulentes, injustifiées et réitérées contre l’homéopathie en France ainsi qu’en Espagne”.

Son chiffre d’affaires s’est établi en 2019 à un peu plus de 557 millions d’euros, contre 604 millions en 2018 (-7,8%). Le résultat opérationnel a baissé à 67 millions d’euros contre 106 millions un an auparavant (-37%).

Coronavirus France : 500 cas en plus en 24 heures, 48 décès en tout

Coronavirus France : 500 cas en plus en 24 heures, 48 décès en tout

 

Près de 500 cas et 15 décès supplémentaires par rapport aux chiffres annoncés mardi, 48 décès en tout .

“Certaines régions comptent des centaines de cas, d’autres quelques dizaines. Le virus ne circule donc pas activement sur l’ensemble du territoire et nous restons donc ce soir au stade 2 de l’épidémie”, a déclaré Olivier Véran.

Le ministre de la Santé a en outre annoncé que deux zones étaient désormais considérées comme des foyers de contamination, la Corse et 19 communes proches de Montpellier (Hérault) et que les établissements scolaires y seraient fermés pour 14 jours.

Les rassemblements de plus de 50 personnes y seront également interdits.

Alors que les personnes âgées sont les plus exposées aux risques de complication liés au coronavirus, les visites sont par ailleurs désormais interdites dans les Ehpad et ce pour plusieurs semaines sur tout le territoire, a ajouté le ministre.

“La fragilité des uns appelle la solidarité des autres”, a-t-il souligné. “Nous avons décidé de suspendre l’intégralité des visites extérieures en Ehpad ainsi qu’en unités de soins longue durée. Dans les résidences en autonomie, ces visites sont fortement déconseillées.”

“Ces 34 personnes sont désormais considérées comme des personnes co-exposées”, a indiqué l’Agence Régionale de Santé, qui depuis quelques heures travaille à identifier ces voyageurs, qui, une fois localisés, seront maintenus en confinement.

Dividendes : 500 milliards à la hausse dans le monde

Dividendes : 500 milliards à la hausse dans le monde

*Ça baigne pour les actionnaires dont les revenus ont augmenté de près de 13 % deuxième trimestre. En cause,  effectivement une amélioration des résultats des entreprises mais aussi une politique de distribution des profits très favorables aux détenteurs d’actions et qui compense d’une certaine façon l’insuffisante valorisation des cours. L’objectif est bien entendu d’attirer les capitaux très hésitants entre la faible rémunération des obligations est un marché des actions risqué. Normalement la rémunération des actionnaires devrait suivre l’évolution des bénéfices. Mais  il y a des exceptions à la règle. En effet compte tenu du manque chronique de compétitivité de nombre d’entreprises, la France est le pays qui proportionnellement distribue le plus de dividendes pour fidéliser ses actionnaires. Une politique souvent de court terme au détriment des investissements de plus long terme  En tête du classement, l’Europe, hors Royaume-Uni, contribue largement à ce record, avec 176,5 milliards de dollars de dividendes sur les 497,4 milliards distribués au deuxième trimestre. Avec 18,7 % de croissance (7,5 % en fait une fois corrigée des dividendes extraordinaires et des effets de change), l’Europe réalise sa meilleure distribution depuis le deuxième trimestre de 2015. En France, seules Engie et EDF ont diminué leurs dividendes. Sur la période, la France a reversé 50,9 milliards de dollars, soit une hausse de 23,5 % par rapport au deuxième trimestre de 2017. Ce sont les entreprises des secteurs miniers principalement, mais aussi celles des technologies et l’énergie qui ont été les plus généreuses avec leurs actionnaires, contrairement aux secteurs de bien de consommation et des services aux collectivités qui connaissent des difficultés.

Parmi les 12 pays les plus rémunérateurs, les États-Unis, le Japon et la France se placent en tête.

JO 2024: la facture dérape de 500 millions

JO 2024: la facture dérape de  500 millions

Sur un budget global de 6.8 milliards les jeux pourraient enregistrer un dérapage de 500 millions selon un rapport de l’Inspection générale des finances (IGF) publié vendredi. Le rapport, commandé par le gouvernement, met l’accent sur trois dossiers prioritaires sur lesquels des arbitrages doivent être rendus : les villages olympique et paralympique, les sites groupés (“cluster”) olympique Dugny-Le Bourget, ainsi que le centre aquatique olympique (CAO). certains coûts vont devoir être revus à la baisse ou rééquilibrés pour rentrer dans l’enveloppe prévue. “On ne dépassera pas l’enveloppe d’argent public qui a été mis dans les jeux, on n’ira pas au-delà”, a déclaré à la presse Anne Hidalgo séance. Les Jeux de Paris sont supposés coûter 6,8 milliards d’euros, dont 3,8 milliards sont gérés par le Conseil d’organisation des JO (Cojo) et 3 milliards par la Solideo, destinés aux investissements qui resteront.

Bure : 500 gendarmes pour évacuer 10 à 15 pèlerins !

Bure : 500 gendarmes pour évacuer 10 à 15 pèlerins !

 

Une grosse opération médiatique mais une opération policière anecdotique. En effet le pouvoir, sans doute pour se dédouaner vis-à-vis de Notre Dame des Landes, a sorti les grands moyens pour virer sans ménagement la dizaine de contestataires vivant près d’un bois à Bure.  500 gendarmes ont ainsi mobilisé pour repousser un ennemi composé d’une dizaine d’écolos. Encore heureux qu’on n’est pas mobilisée l’aviation, l’artillerie ou la bombe nucléaire.  Bien entendu la problématique de Bure  reste en l’état et la grande question se pose toujours concernant le débat des conséquences de l’enfouissement de déchets nucléaires particulièrement dangereux à 500 m sous terre et pour 100 000 ans ! Un débat que semblerait d’ailleurs souhaiter Nicolas Hulot interpeller à l’Assemblée nationale avec à l’appui une affiche une photo le représentant en train de manifester contre le site de Bure Résultats, Quinze personnes ont dû quitter les lieux après un contrôle d‘identité. Sept personnes ont été placées en garde à vue à la suite de l’évacuation. Le directeur de l‘Observatoire du nucléaire, organisme indépendant de surveillance de l‘industrie, a jugé “absurde” et “démesurée” l‘opération de police, dans une interview à Reuters. “C‘est une opération militaire absurde dans la mesure où les études montrent que ce projet d‘enfouissement de déchets radioactifs est infaisable et que techniquement et industriellement il est impossible à réaliser”, a déclaré Stéphane Lhomme. Il voit dans cette opération “une gesticulation à des fins politiques nationales pour peut-être reprendre la main après avoir été obligé de reculer sur l‘aéroport de Notre-Dames-des-Landes”.

Police de sécurité du quotidien : 30 quartiers ciblés sur 500 !!!

Police de sécurité du quotidien : 30 quartiers ciblés sur 500 !!!

 

 

Un nouveau nom, la « PSQ »  pour tenter de rétablir l’état de droit dans certains quartiers en pleine dérive. Mais les moyens concerneront seulement 30 zones sur 500 potentiellement concernées. Bref des moyens pas du  tout à la hauteur des enjeux. Pas étonnant la quasi-totalité des responsables gouvernementaux ou des députés ignorent les réalités sociales et sociétales de ces quartiers et n’y ont jamais résidé. Dès lors,   il ne faut guère s’étonner que ces zones de non droit aient  fourni 1500 à 2000 candidats au djihadisme  en Syrie et en Irak et que d’une façon générale l’économie de la drogue face office  de régulation là ou la puissance publique ne pénètre même plus.  Le ministre de l’Intérieur a donc annoncé que trente quartiers difficiles bénéficieront de «moyens supplémentaires» d’ici à janvier 2019 dans le cadre de cette «PSQ». Avec une volonté: ne pas ressusciter la police de proximité, cette «pol prox» devenue le symbole de l’échec de la politique sécuritaire du gouvernement Jospin et un épouvantail pour la droite. Mais, si elle affirme des principes et dégage des moyens, la PSQ recycle aussi des mesures déjà lancées. Ces derniers mois, elle a d’ailleurs suscité chez les élus et les forces de l’ordre autant d’attentes que d’interrogations.

Des dizaines de communes (Aulnay-sous-Bois, Lille, Grenoble, Toulouse, etc.) se sont portées candidates, avec bien souvent l’espoir de glaner des effectifs supplémentaires au regard des 10.000 créations de postes annoncées. Au sein des forces de l’ordre, d’aucuns craignent que les annonces ministérielles ne se limitent notamment à labelliser «PSQ» des mesures ou chantiers déjà actés, comme la forfaitisation des amendes pour consommation de cannabis. Pour les syndicats policiers, les grandes ambitions ont déjà été mises à mal par une concertation en pointillés.

1000 milliards en + pour les 500 les ¨plus riches en 2017

1000 milliards en + 2017 pour les 500 les ¨plus riches

Plus précisément, les 500 personnes les plus riches au monde ont vu leur fortune augmenter de 23%, soit 1000 milliards,  entre 2016 et 2017 pour atteindre près de 5400 milliards de dollars. Une hausse qui évidemment participe de la croissance des inégalités.  Partout les inégalités ne cessent de croître depuis une cinquantaine d’années. Certes le niveau de vie s’élève partout mais la répartition des richesses est de plus en plus inégalitaire. On s’oriente de plus en plus vers un monde constitué de smicards (ou un peu mieux avec par exemple en France un salaire moyen de 1730 euros) d’un côté et de l’autre une caste de milliardaires. Ce que révèle un  rapport collectif, alimenté par les travaux d‘une centaine de chercheurs à travers le monde. Ces inégalités sont encore plus criantes dans les pays en développement où une très petite minorité s’approprie avec la complicité des états la grande partie de la richesse tandis que le salaire moyen des plus pauvres se situe dans des fourchettes de 100 à 300 € par mois. Des inégalités existent aussi en Europe mais dans de moindres proportions compte tenu de la régulation économique et sociale et des plus grandes difficultés à piller les ressources des Etats. Les écarts de revenus sont aussi à corréler aux niveaux démocratiques. De ce point de vue,  dans les Etats de quasi dictature comme en Chine, en Russie ou en Iran le détournement de richesse et d’autant plus facile. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’il n’y ait quand même l’émergence d’une classe moyenne. À noter aussi des écarts de revenus de plus en plus important aux  États-Unis en raison en particulier de l’indigence de la régulation économique et sociale (par exemple en matière d’accès à la santé ou de retraite).  Entre 1980 et 2016, à l’échelle mondiale, les 1% les plus riches ont capté 27% de la croissance totale des revenus, alors que les 50% les plus pauvres de la population mondiale n‘ont absorbé que 12% des richesses créées, soit la moitié. “Nos données montrent que la tendance inégalitaire des trente dernières années a pris des proportions excessives et néfastes”, expliquent les deux chercheurs français dans un entretien publié dans Le Monde. Le creusement des inégalités s‘est effectué à des rythmes très différents selon les pays – y compris pour des pays présentant des niveaux de développement comparables – ce qui souligne selon eux l‘importance des politiques nationales dans cette évolution. Cette tendance s‘est manifestée de façon particulièrement marquée aux Etats-Unis, où la part des revenus perçue par les 1% les plus riches est passée de 22% en 1980 à 39% en 2014. La progression des inégalités a également été importante en Russie et en Chine dans le sillage de la transition de leurs économies vers un modèle plus capitaliste, ont constaté les auteurs de cette étude. Entre 1995 et 2015, la part des richesses nationales allant aux 1% les plus aisés a doublé entre dans ces deux pays, passant de 15% à 30% en Chine et de 22% à 43% en Russie. La progression des inégalités s‘est avérée plus modérée en Europe, région la moins inégalitaire, où les 10% les plus aisés concentraient 37% de la richesse nationale en 2016. D’une façon générale ce ne sont pas les plus inégalités qui sont en cause dans leur principe mais leur écart.  Les auteurs se déclarent convaincus que “si l‘aggravation des inégalités n‘est pas correctement suivie et prise en compte, elle pourrait conduire à toutes sortes de catastrophes politiques, économiques et sociales”.

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