Archive pour le Tag '500'

Politique de Défense-Face à la Russie, l’UE doit investir 500 milliards

Politique de Défense-Face à la Russie, l’UE doit investir 500 milliards 

 Le nouveau commissaire européen à la Défense Andrius Kubilius a plaidé vendredi pour un véritable « big bang » dans le secteur de la défense en Europe, seul moyen selon lui de pouvoir faire face à une éventuelle agression russe.

« Nous devons passer de ce que certains appellent une approche progressive dans l’augmentation de nos capacités de défense à une approche de type +big bang+ », a souligné, dans un entretien à l’AFP, l’ex-Premier ministre lituanien qui a pris dimanche ses nouvelles fonctions à Bruxelles.

Ce changement d’approche est rendu d’autant plus indispensable que la menace russe se précise, a-t-il averti. « La Russie peut être prête à lancer une attaque militaire contre un pays de l’UE ou de l’Otan avant 2030 », a-t-il mis en garde, citant plusieurs rapports des services de renseignement.

Les 23 pays européens membres de l’Otan se sont engagés à consacrer au moins 2% de leur Produit intérieur brut (PIB) aux dépenses militaires. Mais, a rappelé le nouveau commissaire européen, le patron de l’Otan veut augmenter ce seuil. Or, a-t-il expliqué, 1% de dépenses militaires en plus dans l’UE, c’est « 200 milliards de plus » pour investir dans la défense.

L’idée serait donc de convaincre les États membres d’emprunter dès maintenant, jusqu’à 500 milliards d’euros, qu’ils rembourseraient sur plusieurs années, grâce à l’argent de toute façon prévu pour se conformer aux nouvelles exigences de l’Otan, a-t-il expliqué.

L’UE consacre moins de 0,1% de son PIB à aider militairement l’Ukraine quand 9% du PIB russe est absorbé par les dépenses militaires, a-t-il encore expliqué.

Il est donc urgent de corriger le tir, sous peine de « répéter les erreurs » commises pendant les années 30, a-t-il assuré jeudi devant le Parlement européen.

Défense-Face à la Russie, l’UE doit investir 500 milliards

Défense-Face à la Russie, l’UE doit investir 500 milliards 

 Le nouveau commissaire européen à la Défense Andrius Kubilius a plaidé vendredi pour un véritable « big bang » dans le secteur de la défense en Europe, seul moyen selon lui de pouvoir faire face à une éventuelle agression russe.

« Nous devons passer de ce que certains appellent une approche progressive dans l’augmentation de nos capacités de défense à une approche de type +big bang+ », a souligné, dans un entretien à l’AFP, l’ex-Premier ministre lituanien qui a pris dimanche ses nouvelles fonctions à Bruxelles.

Ce changement d’approche est rendu d’autant plus indispensable que la menace russe se précise, a-t-il averti. « La Russie peut être prête à lancer une attaque militaire contre un pays de l’UE ou de l’Otan avant 2030 », a-t-il mis en garde, citant plusieurs rapports des services de renseignement.

Les 23 pays européens membres de l’Otan se sont engagés à consacrer au moins 2% de leur Produit intérieur brut (PIB) aux dépenses militaires. Mais, a rappelé le nouveau commissaire européen, le patron de l’Otan veut augmenter ce seuil. Or, a-t-il expliqué, 1% de dépenses militaires en plus dans l’UE, c’est « 200 milliards de plus » pour investir dans la défense.

L’idée serait donc de convaincre les États membres d’emprunter dès maintenant, jusqu’à 500 milliards d’euros, qu’ils rembourseraient sur plusieurs années, grâce à l’argent de toute façon prévu pour se conformer aux nouvelles exigences de l’Otan, a-t-il expliqué.

L’UE consacre moins de 0,1% de son PIB à aider militairement l’Ukraine quand 9% du PIB russe est absorbé par les dépenses militaires, a-t-il encore expliqué.

Il est donc urgent de corriger le tir, sous peine de « répéter les erreurs » commises pendant les années 30, a-t-il assuré jeudi devant le Parlement européen.

L’ ‘investissement en private equity ouvert dès 500 euros chez Bpifrance

L’ ‘investissement en private equity ouvert dès 500 euros chez Bpifrance

    La banque publique d’investissement Bpifrance lance un nouveau fonds pour les particuliers voulant investir dans des entreprises non cotées, le private equity, avec un ticket d’entrée inhabituellement bas de 500 euros. Le private equity consiste à investir dans le capital de sociétés non cotées à différents stades de leur développement. Il s’oppose au public equity qui désigne l’investissement dans des sociétés cotées en Bourse.

    BE3 est la quatrième initiative de la banque depuis 2020 pour « démocratiser » ce marché, auquel, outre les investisseurs professionnels, ne pouvaient accéder « qu’une population extrêmement limitée », capable d’ »investir d’un coup sur un seul fonds des tickets de 100.000 à 150.000 euros », a observé le directeur général de Bpifrance Nicolas Dufourcq, jeudi devant la presse.

    La banque a déjà lancé Bpifrance Entreprises 1 (BE1), où la mise minimum était de 5.000 euros, puis BE2 (3.000 euros) et BE Avenir 1 (1.000 euros).
    BE3 est un fonds de fonds destiné aux résidents fiscaux français, d’une taille-cible de 120 millions d’euros, concernant environ 1.200 entreprises, dont le client reçoit la liste en souscrivant.
    Le rendement annuel net visé est de 10%. Il comprend un risque de perte, y compris totale, relève Bpifrance, mais le grand nombre d’entreprises présentes abaisse le risque de pertes importantes.

    Bpifrance souhaite faire de cette nouvelle opération « un levier de notoriété pour tout cet écosystème du capital-investissement », afin d’inciter les Français à investir dans les PME non cotées.

    Déjà, neuf assureurs référencent au moins un fonds de la gamme dans les contrats d’assurance-vie, de manière explicite, et il est possible de souscrire au nouveau fonds directement sur une plateforme numérique simplifiée de Bpifrance.

    Environ 12 millions de personnes ont déjà été touchées par les médias au sujet de cette gamme depuis 2020, et il est possible aussi de s’informer sur le site Epargner autrement.

     

     

    Plus de 500 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique visés par la Russie

    Plus de 500 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique visés par la Russie

     Une véritable catastrophe potentielle pour l’environnement avec la perspective d’exploitation d’immenses réserves de pétrole dans l’Antarctique par les Russes et d’autres. D’après le Figaro, Moscou aurait ainsi découvert dans l’Antarctique de gigantesques réserves d’hydrocarbures, représentant pas moins de 511 milliards de barils de pétrole, révèle le quotidien The Telegraph . Les Britanniques s’alarment en premier de cette nouvelle car l’or noir en question se trouverait principalement dans l’Antarctique britannique, une vaste zone inhabitée d’1,7 million de km2 également revendiquée par le Chili et l’Argentine.

    Les chiffres sont spectaculaires: le monde entier consomme environ 36 milliards de barils de pétrole par an, d’après l’Energy Institute Statistical Review of World Energy 2023, tandis que le Telegraph rappelle que ces 511 milliards de barils représentent «10 fois la production totale de la mer du Nord sur 50 ans».

    Derrière cette découverte se joue finalement l’avenir de ce texte décisif pour le pôle Sud. S’il doit être révisé en 2048, tout État partie peut par ailleurs retirer sa signature et ne plus être soumis aux engagements du traité. «Il n’y aura jamais de moment raisonnable pour extraire des hydrocarbures de l’Antarctique. Toute tentative de [les] exploiter nous fera tous couler», met en garde le professeur Alan Hemmings, commandant de la station British Antarctic Survey pendant la guerre des Malouines entre l’Argentine et le Royaume-Uni en 1982, qui craint que les activités russes, mais aussi chinoises, finissent par rendre le traité caduc.

    Les tensions que l’on observe déjà dans l’Arctique pourraient donc trouver leurs pendants de l’autre côté du globe. «Bien qu’elle n’ait aucune revendication territoriale en Antarctique, la Russie, aux côtés des États-Unis et de la Chine, a progressivement renforcé sa présence dans la région ces dernières années à travers diverses campagnes scientifiques, établissant cinq stations de recherche sur le territoire depuis 1957», rapporte ainsi le magazine Newsweek .

     

    Environnement-Érosion côtière : 500 communes de France concernées

    Environnement-Érosion côtière : 500 communes de France concernées

     

    L’érosion côtière causée par la progression des océans s’accélère et va rendre des zones inhabitables, a mis en garde ce jeudi 4 avril le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, qui a déjà identifié 500 communes et 450 000 logements menacés.

    « L’équivalent d’un terrain de football disparaît chaque semaine dans notre pays sous l’effet de la progression des océans, un phénomène qui s’accélère », a déclaré Christophe Béchu, ajoutant que son ministère publierait vendredi les cartes des zones concernées.

    « Il y aura des zones qui seront inhabitables » sur le littoral, dont 20% est grignoté par l’érosion côtière, a-t-il dit.

    La France est particulièrement vulnérable au recul du trait de côte, limite entre la terre et la mer, qui se déplace sous l’effet de phénomènes naturels (houle, vent), de la hausse du niveau de la mer, et des interventions humaines.

     

    Érosion côtière : 500 communes de France concernées

    Érosion côtière : 500 communes de France concernées

     

    L’érosion côtière causée par la progression des océans s’accélère et va rendre des zones inhabitables, a mis en garde ce jeudi 4 avril le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, qui a déjà identifié 500 communes menacées.

    « L’équivalent d’un terrain de football disparaît chaque semaine dans notre pays sous l’effet de la progression des océans, un phénomène qui s’accélère », a déclaré Christophe Béchu, ajoutant que son ministère publierait vendredi les cartes des zones concernées.

    « Il y aura des zones qui seront inhabitables » sur le littoral, dont 20% est grignoté par l’érosion côtière, a-t-il dit.

    La France est particulièrement vulnérable au recul du trait de côte, limite entre la terre et la mer, qui se déplace sous l’effet de phénomènes naturels (houle, vent), de la hausse du niveau de la mer, et des interventions humaines.

     

    Société générale: Suppression de 500 emplois ?

    Société générale: Suppression de 500 emplois ?

    Selon l’agence Bloomberg, la Société Générale qui emploie 56 000 personnes actuellement pourrait être amenée à supprimer 500 postes. L’objectif serait d’améliorer la rentabilité de la banque.

    La banque table, en effet, sur 1,7 milliard d’euros d’économies à horizon 2026.

    Ces suppressions de postes, si elles étaient confirmées, s’ajouteraient au projet, déjà en cours, de fusion des réseaux de banque de détail Société générale et Crédit du Nord, qui devrait conduire à la suppression de 3 700 postes et 650 agences en France. Soit des économies de l’ordre de 450 millions d’euros à partir de 2025. Un projet qui vise «une plus grande efficacité du réseau de détail», avec «une base de coûts réduite», selon le groupe bancaire.

    Electricité : une facture de 500 milliards et des hausses de tarifs et de taxes

    Electricité : une facture de 500 milliards et des hausses de tarifs et de taxes

    Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer. Les besoins d’EDF pour la production sont de 250 à 300 milliards, les besoins de RTE pour le transport sont de 100 milliards et les besoins d’ENEDIS pour la distribution de 100 milliards également. Total environ 500 milliards.Il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. EDF qui traîne une dette de plus de 60 milliards, qui doit notamment moderniser les centrales actuelles (notamment le grand carénage, assurer le cout de l’enfouissement des déchets), financer les nouvelles centrales EPR 2, investir aussi dans les autres renouvelables. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 250 à 300 milliards.

    Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

    « Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

    Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

    Energie-Production d’électricité : une facture de 500 milliards

    Energie-Production d’électricité : une facture de 500 milliards

    Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer. Les besoins d’EDF pour la production sont de 250 à 300 milliards, les besoins de RTE pour le transport sont de 100 milliards et les besoins d’ENEDIS pour la distribution de 100 milliards également. Total environ 500 milliards.

    il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. EDF qui traîne une dette de plus de 60 milliards, qui doit notamment moderniser les centrales actuelles (notamment le grand carénage, assurer le cout de l’enfouissement des déchets), financer les nouvelles centrales EPR 2, investir aussi dans les autres renouvelables. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 250 à 300 milliards.

    Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

    « Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

    Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

    Production d’électricité : une facture de 500 milliards

    Production d’électricité : une facture de 500 milliards

    Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer. Les besoins d’EDF pour la production sont de 250 à 300 milliards, les besoins de RTE pour le transport sont de 100 milliards et les besoins d’ENEDIS pour la distribution de 100 milliards également. Total environ 500 milliards.

    il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. EDF qui traîne une dette de plus de 60 milliards, qui doit notamment moderniser les centrales actuelles (notamment le grand carénage, assurer le cout de l’enfouissement des déchets), financer les nouvelles centrales EPR 2, investir aussi dans les autres renouvelables. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 250 à 300 milliards.

    Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

    « Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

    Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

    Électricité : une facture de 500 milliards !

    Électricité : une facture de 500 milliards

    Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer. Les besoins d’EDF pour la production sont de 250 à 300 milliards, les besoins de RTE pour le transport sont de 100 milliards et les besoins d’ENEDIS pour la distribution de 100 milliards également. Total environ 500 milliards.

    il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. EDF qui traîne une dette de plus de 60 milliards, qui doit notamment moderniser les centrales actuelles (notamment le grand carénage, assurer le cout de l’enfouissement des déchets), financer les nouvelles centrales EPR 2, investir aussi dans les autres renouvelables. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 250 à 300 milliards.

    Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

    « Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

    Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

    Méga commande de 500 avions à Airbus

    Méga commande de 500 avions à Airbus

    Avec la méga commande de 500 avions à Airbus de la part de la compagnie indienne indigo se confirment les perspectives de développement du transport aérien en dépit des interrogations sur les conséquences de l’environnement. Cette progression provient essentiellement d’une croissance exponentielle de la part des couches moyennes dans les pays en développement. La question de l’environnement reste cependant pendante avec le caractère tout à fait marginale du soi-disant carburant vert (SAF) et des émissions polluantes. En France les sondages démontrent aussi que les Français ne sont pas convaincus de la décapant nation du secteur mais cela ne les empêche pas de prévoir une croissance de leurs besoins en transport aérien.

    Ces 500 appareils commandés par une compagnie indienne pourront se décomposer entre des A320 NEO, des A321 NEO et des A321 XLR (version à très grande autonomie). Indigo n’a pas encore décidé quelle serait la répartition, elle qui possède déjà des commandes pour les trois modèles. Bien qu’Airbus ne diffuse plus depuis 2018 de prix catalogue – qui sont très éloignés mais permettent de donner un ordre de grandeur – le montant pourrait se situer entre 55 et 65 milliards de dollars.

    Avec cette commande, Indigo pourrait potentiellement voir sa flotte dépasser la barre des 1.000 avions de nouvelle génération et même au-delà. Elle a déjà passé des contrats à Airbus pour 340 exemplaires d’A320 NEO et 390 d’A321 NEO. Avec ces 500 appareils de plus, cela donne un total de 1.230 avions, sans compter les appareils de génération précédente ou les futurs long-courriers. Et la part de remplacement devrait être faible, vu la jeunesse de ses avions actuels.

    C’est donc largement plus que les flottes des trois géants mondiaux du secteur, Delta, American et United (900 appareils chacune). Ou encore que celle du roi du low-cost européen, Ryanair, qui va exploiter 565 avions – d’ancienne et de nouvelle génération – cet été et compte en recevoir 300 de plus d’ici à 2034 (avec une partie de renouvellement).

    Pour l’instant, Indigo est encore loin de ces chiffres. Elle n’a reçu pour l’instant que 168 A320 NEO et 85 A321 NEO. Elle exploite également encore une vingtaine d’A320 de première génération, mais qui sont appelés à sortir du service.

    Pour absorber cette croissance, Pieter Elbers mise sur la taille et la jeunesse de la population indienne, avec 732 millions de jeunes en Inde contre 528 millions en Chine. Il entend aussi profiter d’une offre locale encore faible.

    Airbus : une commande de 500 avions

    Airbus : une commande de 500 avions

    Une commande qui fera du bien à notre balance commerciale qui accuse un énorme déficit mais qui peut bénéficier des exportations de matériel de transport en particulier aérien. Airbus est en effet sur le point d’enregistrer une commande record de 500 appareils monocouloirs de la famille A320 auprès de la compagnie aérienne indienne IndiGo, ont rapporté dimanche des sources du secteur.

    Reuters avait déjà rapporté en mars qu’IndiGo, dont la part de marché en Inde est de 56%, était en discussions avec Airbus et Boeing pour la commande de 500 appareils. Si celle-ci est confirmée, ce serait la plus importante passée par une seule compagnie aérienne en termes de volume.

    IndiGo, l’un des plus gros clients d’Airbus, attend par ailleurs la livraison de près de 500 appareils sur une commande totale de 830 avions de la famille A320 passée auprès du constructeur européen.

    Energies Allemagne: 500 milliards en solaire et éolienne pour retourner au charbon!

     Energies Allemagne: 500 milliards en solaire et éolienne pour retourner au charbon !

     

    L’Allemagne donne au moins l’exemple de ce qu’il ne pas faut pas faire en matière de politique énergétique. Le problème c’est qu’elle a aussi convaincu la commission européenne qui veut aussi imposer à la France le même contresens économique.

    L’Allemagne aura dépensé en 25 ans 500 milliards en éoliennes et panneaux solaires ( les chiffres sont ceux de la Cour des comptes allemande) pour découvrir que les jours sans soleil ou vent, on est gros jean comme devant quand on n’a plus de centrales nucléaires.

    Le pays a d’abord brûlé du gaz russe pour pallier l’intermittence des renouvelables. La source s’est tarie, on en revient aux vieilles méthodes encore plus sales. La lignite. Résultat de cette transition menée de main de maître, l’Allemagne produit une des électricités les plus carbonées ( dix fois plus que l’électricité française) , les plus polluantes et les plus chères d’Europe. Le pays est d’ailleurs le plus important émetteur de CO2 de l’UE.

    Exempte de cette absurdité à Lützerath. On avait mal compris : quand l’Allemagne promettait de se passer de nucléaire en sortant du charbon, il fallait prendre ça au sens propre : en sortant du charbon du sol, avec des excavatrices.

    Ironie de l’histoire, il va même falloir raser des éoliennes à Lützerath pour agrandir la mine de charbon.

    Que les gouvernements allemands se soient, avec arrogance, entêtés, en dépit des alertes, à promouvoir une transition dont on savait qu’elle avait besoin de renforts pilotables ? Qu’ils se soient pliés aux pressions antinucléaires ? Qu’ils aient choisi la pire alternative possible, le combiné gaz-lignite?

    Que les écolos allemands aient validé une à une les étapes de cette histoire ahurissante, y compris le retour au charbon, y compris la destruction de Lützerath ? Ils se retrouvent aujourd’hui dénoncés par les activistes du climat, dont Greta Thunberg, comme de vulgaires écocides. «Les Verts contre le climat», titrait, vendredi, l’hebdomadaire de gauche Der Freitag.

    Que les écolos français, à l’instar de Marine Tondelier, nouvelle secrétaire d’EELV, soient encore en train de nous expliquer que oui, le 100% renouvelable est possible et que les Allemands sont en train de le prouver ?  Ou quand l’idéologie rend aveugle et idiot à la fois.

    Futures centrales nucléaires : un besoin de financement de 500 milliards dans l’Union européenne ( Thierry Breton)

    Futures centrales nucléaires : un besoin de financement de 500 milliards dans l’Union européenne ( Thierry Breton)

     

    En France, le développement du nucléaire décidé par les pouvoirs publics notamment les EPR nouvelle génération , voire les SMR,( petites centrales nucléaires de 1 à 300 MW), va justifier un besoin de financement de leur de 50 milliards. Un chiffre à multiplier par 10 pour l’ensemble de l’union européenne d’après le commissaire européen, qui plaide en faveur de la labellisation verte du nucléaire. Une labellisation qui doit être décidée en principe en janvier 2022

    Les centrales nucléaires européennes de nouvelle génération nécessiteront un investissement de «500 milliards d’ici à 2050», estime le commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton, qui juge «crucial» d’ouvrir la labellisation verte au nucléaire dans le cadre de la transition énergétique.

    «Les centrales nucléaires existantes, à elles seules, nécessiteront 50 milliards d’euros d’investissements d’ici à 2030. Et 500 milliards d’ici à 2050 pour celles de nouvelle génération !», affirme le commissaire français dans un entretien au Journal du dimanche (JDD) .

    Un chiffre sans doute approximatif concernant le renforcement de la sécurité des centrales existantes. En effet rien qu’en France le grand carénage va déjà représenter 50 milliards. Or la France dispose de presque 60 réacteurs pour environ 150 en Europe. Conclusion le coût de l’entretien de tous les recteurs européens sera plus proche de 150 milliards que de 50.

    Calculé sur la période 2014-2025, ce cout en France été estimé en 2015, à 55 milliards d’euros de 2013, avant d’être réévalué deux fois. D’abord à la baisse en 2018, à 45 milliards d’euros 2013, soit 48,2 milliards d’euros courants, puis à la hausse en octobre 2020, à 49,4 milliards d’euros courants.

    «Cette nouvelle estimation intègre essentiellement les premiers enseignements sur les travaux à mener, induits par le processus d’instruction du 4e réexamen périodique des réacteurs 900 MW (les réacteurs concernés par le grand carénage).

    Le financement des nouvelles centrales en Europe est sans doute lui aussi assez approximatif. Pour la France le seul coup des EPR nouvelle génération atteindra une cinquantaine de milliards. Mais l’évaluation est difficile à faire compte tenu de la dérive des prix les concernant enregistrées dans le monde entier ( Le prix de départ a été multiplié par 3,5 concernant EDF) . Le chiffre avancé par le commissaire européen de 500 milliards correspondrait à la construction de 50 à 70 nouveaux réacteurs . En l’état de l’opinion européenne, cette perspective peut être discutée. Cependant cette opinion pourra évoluer car la demande d’énergie ne va pas diminuer, elle sera même nécessairement en hausse pour faciliter la transition énergétique.

     

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