Archive pour le Tag '500 milliards'

Environnement-Plus de 500 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique visés par la Russie

Environnement-Plus de 500 milliards de barils de pétrole dans l’Antarctique visés par la Russie

 

 Une véritable catastrophe potentielle pour l’environnement avec la perspective d’exploitation d’immenses réserves de pétrole dans l’Antarctique par les Russes et d’autres. D’après le Figaro, Moscou aurait ainsi découvert dans l’Antarctique de gigantesques réserves d’hydrocarbures, représentant pas moins de 511 milliards de barils de pétrole, révèle le quotidien The Telegraph . Les Britanniques s’alarment en premier de cette nouvelle car l’or noir en question se trouverait principalement dans l’Antarctique britannique, une vaste zone inhabitée d’1,7 million de km2 également revendiquée par le Chili et l’Argentine.

Les chiffres sont spectaculaires: le monde entier consomme environ 36 milliards de barils de pétrole par an, d’après l’Energy Institute Statistical Review of World Energy 2023, tandis que le Telegraph rappelle que ces 511 milliards de barils représentent «10 fois la production totale de la mer du Nord sur 50 ans».

Derrière cette découverte se joue finalement l’avenir de ce texte décisif pour le pôle Sud. S’il doit être révisé en 2048, tout État partie peut par ailleurs retirer sa signature et ne plus être soumis aux engagements du traité. «Il n’y aura jamais de moment raisonnable pour extraire des hydrocarbures de l’Antarctique. Toute tentative de [les] exploiter nous fera tous couler», met en garde le professeur Alan Hemmings, commandant de la station British Antarctic Survey pendant la guerre des Malouines entre l’Argentine et le Royaume-Uni en 1982, qui craint que les activités russes, mais aussi chinoises, finissent par rendre le traité caduc.

Les tensions que l’on observe déjà dans l’Arctique pourraient donc trouver leurs pendants de l’autre côté du globe. «Bien qu’elle n’ait aucune revendication territoriale en Antarctique, la Russie, aux côtés des États-Unis et de la Chine, a progressivement renforcé sa présence dans la région ces dernières années à travers diverses campagnes scientifiques, établissant cinq stations de recherche sur le territoire depuis 1957», rapporte ainsi le magazine Newsweek .

 

Coût de Electricité : une facture de 500 milliards et des hausses de tarifs et de taxes

Coût de Electricité : une facture de 500 milliards et des hausses de tarifs et de taxes

Il est clair que tarifs d’électricité ne sont pas près de diminuer. Les besoins d’EDF pour la production sont de 250 à 300 milliards, les besoins de RTE pour le transport sont de 100 milliards et les besoins d’ENEDIS pour la distribution de 100 milliards également. Total environ 500 milliards.Il y a d’abord les énormes besoins d’EDF pour produire notamment en modernisant des centrales actuelles et en construisant les EPR. EDF qui traîne une dette de plus de 60 milliards, qui doit notamment moderniser les centrales actuelles (notamment le grand carénage, assurer le cout de l’enfouissement des déchets), financer les nouvelles centrales EPR 2, investir aussi dans les autres renouvelables. Mais il y a également les besoins de financement pour le développement du réseau et la modernisation de sa distribution. 100 milliards pour le réseau RTE et encore 100 milliards pour la distribution ENEDIS . Des sommes à ajouter au besoin d’EDF de l’ordre d’ici une quinzaine d’années de 250 à 300 milliards.

Interrogé ce jeudi 7 décembre à l’occasion du Forum Zéro Carbone, organisé par La Tribune, France Urbaine et la ville de Paris, à l’Hôtel de ville de Paris, sur un possible montant d’investissements proche de 100 milliards d’euros, le dirigeant a confirmé qu’il s’agissait du bon « ordre de grandeur ».

« Vous avez raison c’est de cet ordre de grandeur-là d’ici à 2040, voire 2045 pour le transport d’électricité. C’est du même ordre de grandeur pour la distribution [dont le réseau est géré par Enedis, ndlr]. Donc vous voyez que ce sont des volumes de milliards avec plusieurs zéros », a répondu le président de RTE.

Le président de RTE a ajouté que ces chiffres seraient « à confirmer » au printemps 2024, lors de la présentation du SDDR. Les prévisions du gestionnaire s’appuieront sur les données de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) mise en consultation par le gouvernement fin novembre.

Quel plan de 500 milliards ?

Quel plan de 500 milliards  ?

 

 

 

Le ministre de l’économie a d’abord vanté les mérites d’un gouvernement qui a su mobiliser 500 milliards à l’occasion de la crise sanitaire. Pas uniquement pour le financement de la santé mais aussi pour soutenir les entreprises  et le pouvoir d’achat. Le président de la république a repris dimanche à son compte ce chiffre par ailleurs très approximatif qui recouvre des concepts très différents. La première observation c’est que le plan de 500 milliards est plus proche de 450 et que près de 80 % sont constitués non pas de dépenses d’allocations publiques mais de garanties sur des prêts de trésorerie.

Sur cette somme, plus des deux tiers (soit 70 %) représentent non pas des dépenses mais des garanties publiques sur les prêts de trésorerie consentie par les banques aux entreprises. Une partie ira aussi à l’assurance-crédit quelques milliards et au crédit export . Pour l’instant ,la grosse dépense concerne le financement du chômage partiel; la note là est importante elle se monte autour :de  31 milliards d’euros au total pour éviter une gigantesque vague de licenciements durant le confinement. Mais l’Etat n’assure que deux tiers du financement (20,5 milliards), l’Unedic le solde (10,5 milliards). Il faut ajouter à cela les 8 milliards d’euros du fonds de solidarité pour les TPE et les indépendants ; les 8 milliards de dépenses de santé exceptionnelles et les 900 millions d’euros d’aides aux plus précaires. Au total quand même une cinquantaine de milliards

 

on est encore loin d’avoir épuisé l’enveloppe de crédits aux deux entreprises, une centaine de milliards d’euros de crédits de trésorerie ont été accordés à environ 500 000 entreprises sur les 300 milliards prévus. « L’enveloppe court jusqu’à la fin de l’année. Mais après être montée très vite durant le confinement, la demande ralentit. D’après les prévisions la demandent en ralentir pourrait se limiter à 150 milliards. Il y aura évidemment des risques de pour les banques mais les risques assez limités pour  l’État

En faite pour l’instant on a surtout dépensé de leur cinquantaine de milliards on est donc loin des 500 milliards annoncés par le président de la république. Il est vrai qu’au total on  devrait voir le taux de croissance diminuer de  presque 10 % sur l’année soit selon les hypothèses entre 250 et 500 milliards de richesses nationales en moins (dont la moitié environ fait l’objet d’un prélèvement obligatoire). Une perte qui pourrait donc atteindre jusqu’à 250 milliards de recettes fiscales pour l’État. Dans le même temps, les dépenses économiques ont augmenté les dépenses économiques évoquées mais aussi des dépenses sociales, celle, pour le financement du chômage partiel celle pour l’ASSEDIC qui vont mécaniquement monter celle des dépenses sanitaires et celle des autres dépenses sociales de soutien pouvoir d’achat et aux plus défavorisés. On est loin des 500 milliards avancés dimanche par le chef de l’Etat.

En l’état actuel des taux d’intérêt la charge financière va forcément encore augmenter mais il ne sera pas encore catastrophique compte tenu de la fiabilité financière de la France. mais  en fonction des fondamentaux ( déficit budgétaire, montée de la dette et baisse de croissance, il est assez probable que les agences de notation vont faire monter le de la dette française même si une partie sera  prise sur les 750 milliards d’emprunts mutualisés par l’union européenne et ceux qui le sont de fait par la banque centrale européenne. Le problème c’est que le phénomène n’est pas nouveau qu’il s’ajoute à une situation structurelle déjà défavorable à la France en termes de compétitivité et de structure de la croissance.

Un choc ne peut pas être amorti en une seule année faudra le répartir sur plusieurs exercices. Comme c’est vraisemblable pour la situation de l’emploi. Du coup, il y  ira une diminution de fait du  pouvoir d’achat moyen du salarié mais aussi de l’épargnant dont les rémunérations vont être bloquées sinon rétrogradées. Mais la problématique la plus complexe n’est pas forcément celle de boucher les trous provoqués par la crise sanitaire  mais de permettre la mutation économique, sociale environnementale et même sociétale qui pourront redonner à la France un rôle international important en garantissant un niveau de vie satisfaisant. Il se Pourrait en effet que dans différents domaines la France joue désormais en seconde division, surtout  elle se refuse à l’exercice de prospective et de coopération des secteurs stratégiques porteurs d’avenir durable

Médicaments : 500 milliards d’économies potentielles dans le monde

Médicaments : 500 milliards d’économies potentielles dans le monde

Un meilleur usage des médicaments dans 186 pays permettrait d’économiser près de 500 milliards de dollars (376 milliards d’euros), estime une vaste étude de l’institut IMS Health. «Ce montant représente 8% du coût total des dépenses de santé dans les pays considérés», précise Robert Chu, président d’IMS Health France. L’institut identifie six leviers pour réaliser ces économies. Il faut surtout agir sur la non-observance des traitements, que l’on retrouve dans tous les pays, indépendamment des cultures locales, observe IMS, en soulignant qu’une prescription non observée, c’est à la fois «de l’argent gâché et une pathologie qui n’est pas guérie». La non-observance est évaluée à 270 milliards de dollars, soit plus de 50% des coûts évitables. Parmi les autres sources d’économies: une rapidité accrue des recours aux traitements (62 milliards de dollars), la limitation des antibiotiques, surtout dans les pays émergents (54 milliards), la surveillance des erreurs (42 milliards), le recours accru aux génériques (30 milliards) et la baisse de la polymédication (18 milliards). L’examen d’expériences menées dans différents pays, au Danemark, au Brésil, etc, montre que les pratiques qui fonctionnent sont celles qui mobilisent plusieurs professionnels de santé, en particulier les pharmaciens, et les autorités de tutelles. «Les mesures sont plus efficaces lorsque l’intérêt de santé publique et l’intérêt économique convergent, plutôt qu’en donnant l’impression que des économies sont réalisées sur la santé des individus», souligne Claude Le Pen, consultant d’IMS Health.

 




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