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Covid monde : omicron a fait 500 000 morts

Covid monde : omicron a fait 500 000 morts

Le  Covid  fait désormais autour de 6 millions de morts dont 500 000 imputables aux virus Omicron.
«Alors que tout le monde disait Omicron plus bénin, on est passé à côté du fait qu’un demi-million de personnes sont mortes depuis qu’il a été détecté», a déclaré le gestionnaire des incidents de l’OMS, Abdi Mahamud.
«À l’ère des vaccins efficaces, un demi-million de personnes qui meurent, c’est vraiment quelque chose (…) C’est plus que tragique», a-t-il ajouté, lors d’un échange organisé sur les réseaux sociaux par l’organisation.

« Omicron commence à marquer le pas » (castex) …… avec plus de 500 000 contaminations lundi !

  »Omicron commence à marquer le pas » (Castex) …… avec plus de 500 000 contaminations lundi !

Si l’on voulait résumer les propos de Castex hier à propos des nouvelles orientations de politique sanitaire en pourrait dire : » tout va bien madame la marquise ». Le seul problème c’est que cet optimisme de façade ne repose guère sur des réalités médicales. En effet on a dépassé largement les 500 000 contaminations lundi ; un nouveau record.  Pour s’affranchir de cette comptabilité gênante, certains au gouvernement et même certains experts proposent de ne plus enregistrer le nombre de contaminations. Une solution bien sûr mais qui ne fera pas d’un coup diminuer  le nombre de malades hospitalisés et le nombre de malades en soins critiques ( il faut environ un mois pour mesurer l’effet d’une baisse des contaminations sur l’hôpital). Comme l’indique le conseil scientifique ce n’est sûrement pas avant la mi-mars pourra commencer à enregistrer un déclin siccatif de la pandémie.

 

Avec ce nouveau bond des contaminations, la France dépasse désormais le cap des 300.000 cas quotidiens en moyenne sur les sept derniers jours.

C’est une nouvelle confirmation de la circulation « massive » du virus évoquée par le Conseil scientifique dans son dernier avis: 525.527 personnes ont été testées positives au Covid-19 sur la seule journée de ce lundi selon les données de la plateforme Sidep, le fichier centralisant les résultats de dépistage. Le précédent record, le 3 janvier, était de 431.179 tests positifs.

 Un niveau sans doute largement sous-estimé, puisque le Conseil scientifique émet l’hypothèse que seules 33 à 50% « des infections sont détectées comme étant des cas positifs »Ce niveau d’infections est exceptionnel sur une si courte période dans l’histoire de l’épidémie », insiste l’instance, chargée de conseiller le gouvernement dans la gestion de la pandémie. De tels chiffres devraient nourrir une certaine prudence dans la mesure où il ne s’agit sans doute pas de l’effet du seul variant omicron BA1) mais du variant de que la France n’est pas capable d’identifier faute de moyens de séquençage suffisant !

Covid France : malgré 500 000 à 1 million de contaminés par jour vers la fin de la pandémie ?

Covid France : malgré 500 000 à 1 million de contaminés par jour vers la fin de la pandémie ?

 

 

 

En France , le nombre de contaminations annoncées chaque jour continue évidemment d’inquiéter. En effet officiellement ,ce sont 300 000 personnes par 24 heures qui sont concernées par la contamination. Dans la réalité les chiffres sont notoirement sous-estimés. Le nombre de contaminés se situe  en fait entre 500 000 et 1 millions. De sorte que rapidement une très grande partie de la population sera touchée et permettra selon les experts d’atteindre l’immunité collective .

 Les experts de l’OMS mais aussi de l’Europe ou de la France pense que le pic de contamination est proche dans l’hexagone mais sans dommage significatif supplémentaire puisque au contraire le nombre d’hospitalisés aurait maintenant tendance à diminuer.

 « Je ne serai pas surpris si le pic arrivait dans quelques jours, reconnaît

Mahmoud Zureik, épidémiologiste à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et directeur du groupement d’intérêt scientifique Epi-Phare. Impossible de dire si ce sera dans 4 jours ou dans une semaine, mais avec le nombre extrêmement élevé de contaminations en ce moment, avec plus de 300.000 cas positifs, mais en réalité plus probablement entre 500.000 et 1 million chaque jour, il y a tellement de Français qui vont être touchés par Omicron que la progression ne peut pas continuer de manière exponentielle très longtemps.»

 D’après ces mêmes experts on passerait donc assez prochainement d’une situation de pandémie que à une situation endémique. En bref des virus vont continuer d’exister mais concerner beaucoup moins de personnes et de régions avec des formes beaucoup moins graves.

Agriculture et décarbonatation : près de 500 000 emplois créés d’ici 2050 ?

Agriculture et des carbonatations : près de 500 000 emplois créés d’ici 2050 ?

 

 

 

Une étude intéressante du think thank  Shift Project qui tente de montrer qu’une conversion de la production et un changement de la consommation seraient susceptibles de créer de nombreux emplois dans l’agriculture. Ces évaluations supposent une relocalisation, un changement de mode production mais aussi une évolution du comportement des consommateurs.

Par contre,les hypothèses chiffrées peuvent être évidemment discutées car elles demeurent très théoriques. D’abord le rapport se fonde surtout sur la nature de la consommation actuelle (sauf pour la viande) rien ne dit qu’on assistera pas à une modification de la structure de cette consommation . Le rapport est surtout fondé sur une dynamique qui vise à réduire les émissions de carbone par le développement de l’emploi.

Il faudra faire aussi accepter par le consommateur l’augmentation de la valorisation des produits agricoles qui forcément connaîtront une certaine inflation. Rien n’est impossible évidemment et des évolutions progressives sont même souhaitables. Le chiffrage est pour le moins approximatif car il repose sur la transformation des pertes de productivité théoriques en emploi.

Selon le rapport intermédiaire du Shift Project intitulé « l’emploi : moteur de la transformation bas carbone », publié mi-septembre, le cabinet de conseils estime que la mutation du modèle agricole français vers un modèle décarboné, pourrait générer la création nette de 469.000 emplois équivalent temps plein (ETP) d’ici 2050. Ce rapport s’inscrit dans le projet au long court du think thank, qui souhaite proposer aux responsables un  »Plan de transformation de l’économie française » pour décarboner les activités économiques du pays.

Alors que le secteur employait 1.4 million de travailleurs en 2016, les auteurs du Shift Project estiment qu’ils seront 1.9 million d’ici 2050 après la transformation du système de production agricole. Le périmètre de l’étude prend en compte la production agricole, l’amont de la filière (fournitures d’intrants et de services), la transformation des produits (industries agroalimentaires et artisanat commercial, boulangerie, pâtisserie et charcuterie), le commerce de gros et le négoce de produits alimentaires. Les activités de transport de produits alimentaires réalisées par des entreprises spécialisées dans le fret et la logistique sont en revanche exclues du périmètre.

Cela passe notamment par une baisse de la consommation de viande et un effort significatif pour réduire le gaspillage, la relocalisation des chaînes de production alimentaire, de la production à la transformation, sera un élément moteur de la dynamique de l’emploi. Est également intégré aux simulations « l’évolution géographique de la répartition des productions du fait du réchauffement » climatique », expliquent les auteurs de l’étude, qui précisent :

Covid – Pays pauvres: envoi de 500 000 doses par la France

Covid-  Pays pauvres: envoi de 500 000 doses par la France

 

 

En Europe près de 20 % de la population sont maintenant vaccinés  tandis que par exemple en Afrique seulement 1 % de la population a reçu un vaccin. Face à cette inégalité qui par ailleurs favorise le développement de variants, nombre de pays vont accroître leur fourniture de vaccins au pays pour notamment l’Afrique.

 

Piloté par l’OMS, l’Alliance du vaccin (Gavi) et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (Cepi), le mécanisme COVAX a pour objectif de collecter et distribuer deux milliards de doses de vaccins aux pays pauvres d’ici la fin de l’année. Jusqu’à présent, plus de 40 millions de doses de vaccins ont déjà été distribuées.

 

La France va intensifier les livraisons de vaccins contre le Covid-19 dans le cadre de c eprogramme COVAX. Vendredi 23 avril, Emmanuel Macron a annoncé l’envoi dans les prochains mois de 500 000 doses aux pays pauvres ciblés par l’initiative.. Le chef de l’État a par ailleurs indiqué que les premiers vaccins promis étaient en route vers l’Afrique de l’Ouest.

Emmanuel Macron a qualifié d’« inacceptable » l’avancée inégale des campagnes vaccinales dans le monde, ajoutant qu’une personne sur six a reçu au moins une dose de vaccin en Europe, contre moins d’une sur cent en Afrique.

 

Coronavirus États-Unis : près de 500.000 morts

  • Coronavirus États-Unis : près de  500.000 morts
  •  «500.000! C’est près de 70.000 de plus que tous les Américains morts pendant la Seconde Guerre mondiale, sur une période de quatre ans», avait souligné vendredi Joe Biden.
    • Cependant rythme actuel des vaccinations et porteur d’espoir. Avec une moyenne de 1,7 million d’injections quotidiennes, ( à comparer aux 2,5 millions de vaccinations totale en France depuis le début de l’année !) qui devrait encore augmenter dans les semaines à venir, il s’est dit confiant dans la capacité d’atteindre 600 millions de doses (de quoi vacciner l’ensemble de la population) disponibles d’ici fin juillet. Au total, plus de 61 millions de personnes ont pour le moment reçu l’un des deux vaccins autorisés aux États-Unis (Pfizer/BioNTech et Moderna), dont 18 millions ont eu les deux injections requises.
    • À noter aussi que, la moyenne hebdomadaire des morts et celle des nouveaux cas sont nettement en baisse, selon les données du Covid Tracking Project.
    • Le Dr Anthony Fauci a toutefois prévenu dimanche que même si les Américains pouvaient espérer un «retour à une certaine forme de normalité» d’ici la fin de cette année, il est probable qu’ils doivent tout de même encore porter des masques en 2022.

Tesla: 500.000 ventes mais survalorisation du titre

Tesla 500.000 ventes mais survalorisation du titre

 

Le constructeur automobile  Tesla qui se veut le futur champion du secteur revendique la vente de 500 000 véhicules électriques en 2020. Il s’agit certes d’une percée significative du véhicule électrique pour autant la société est très largement survalorisée en bourse, de l’ordre de 6 à 10 fois plus que les grands de l’automobile qui produisent  4 à 10 millions de voitures par an. Des experts considèrent que cette survalorisation est particulièrement dangereuse, elle est 10 fois supérieure aux plus grands constructeurs mais Tesla produit 20 fois moins de voitures.
Dans l’ordre Toyota domine la production mondiale suivie de Volkswagen.

Le classement 2019 des principaux constructeurs automobiles mondiaux

Constructeurs

Volume de ventes
(en millions)

Variation en %

Toyota

10,74

+1

Volkswagen

10,71

stable

General Motors

7,72

-8

Ford

5,39

-10

Nissan

5,18

-8

Honda

5,17

-2

Hyundai

4,48

stable

Fiat Chrysler

4,42

-9

Renault

3,75

-3

PSA

3,48

-10

Suzuki

3,34

+6

Daimler

2,82

+1

Kia

2,82

stable

BMW

2,54

+2

Mazda

1,50

-7

Mitsubishi

1,23

+1

Tesla

368 000

+50

 

Le groupe Tesla dit avoir livré 499.550 voitures en 2020, alors que les analystes financiers tablaient en moyenne sur un chiffre de 481.261 selon les données de Refinitiv.

Elon Musk s’était fixé un objectif de 500.000 ventes.

L’année 2020 a par ailleurs été très réussie pour Tesla d’un point de vue boursier: le cours de ses actions a été multiplié par près de neuf et sa capitalisation atteignait en clôture jeudi plus de 668 milliards de dollars (550 milliards d’euros), plus de six fois celle du numéro un européen de l’automobile, l’allemand Volkswagen.

Coronavirus Europe : 500 000 morts

Coronavirus Europe : 500 000 morts

 

 

Environ 30% des morts et des contaminations recensés dans le monde l’ont été en Europe, selon un décompte de Reuters.

L’Italie, le pays européen le plus touché, la France, le Royaume-Uni, l’Espagne et la Russie représentent à eux seuls quasiment 60% des décès en Europe.

Depuis le premier mort signalé en France en février, il a fallu huit mois pour que le bilan européen atteigne les 250.000 morts. Il a depuis doublé en seulement 60 jours.

L’épidémie a fait pour l’instant 1,71 million de morts et 77,52 millions de personnes contaminées depuis la découverte de ce coronavirus en Chine fin 2019.

La France a fait état mardi de 61.702 décès et quasiment 2,5 millions de contaminations.

Coronavirus Afrique du Sud : 500.000 cas

Coronavirus Afrique du Sud : 500.000 cas

«Aujourd’hui, l’Afrique du Sud a dépassé la barre du demi-million de personnes contaminées, avec un total de 503.290 cas confirmés de Covid-19», a déclaré le ministre de la Santé, Zweli Mkhize, dans son communiqué quotidien.

Plus d’un tiers des cas ont été recensés dans la province du Gauteng, où se trouvent Johannesburg et Pretoria, les capitales économique et administrative du pays. L’Afrique du Sud est le cinquième pays au monde le plus touché par la pandémie en termes de cas confirmés. A elle seule, elle a enregistré plus de la moitié des cas de nouveau coronavirus sur le continent noir.

Le nombre officiel de décès a dépassé les 8.150, mais il est largement sous-estimé, ont prévenu des experts. Entre 40.000 et 50.000 personnes pourraient mourir du Covid-19 d’ici la fin de l’année dans le pays, selon des projections officielles.

500 000 emplois détruits au premier trimestre

500 000 emplois détruits au premier trimestre

Pour l’ensemble de l’année, le ministre de l’économie avait pronostiqué seulement 900 000 chômeurs supplémentaires pour l’année en cours. sur la seule période couvrant les trois premiers mois de l’année l’économie française a détruit 502.400 emplois nets, presque exclusivement dans le secteur privé avec 497.400 destructions nettes d’emploi (-2,5%), la perte dans le secteur public étant limitée à 4.900 emplois (-0,1%). La grande différence entre les deux c’est que pour les emplois du secteur public, c’est le contribuable qui paye;  pour les emplois du secteur privé, ce sont les résultats des entreprises quand il y en a. Et avec les mesures administratives nombreux de chiffres d’affaires sont tombés près de zéro (avec des charges en plus) ; on doit avoir perdu environ près  50 % de production en deux mois

Cette chute, au cours d’une période marquée par le début du confinement le 17 mars, a principalement été alimentée par le plongeon de l’intérim (318.100 emplois détruits, soit un effondrement de 40,4%). Ce sont en effet le plus souvent les emplois précaires qui sont la variable d’ajustement la plus utilisée pour adapter les moyens aux volumes de production

Avec cette baisse, la plus importante depuis le début de cette série statistique en 1990, l’emploi intérimaire retrouve un niveau comparable à celui de 2009, au coeur de la crise financière, au cours de laquelle le recul de l’emploi intérimaire ne s’était établi qu’à environ 13%.

Hors intérim, la baisse de l’emploi salarié s’établit à 0,7%, avec 184.300 emplois détruits. L’économie française s’est ainsi retrouvée en début d’année en situation de destructions nettes d’emploi pour la première fois depuis le début de l’année 2015 et l’emploi salarié est revenu à son plus bas niveau depuis la quatrième trimestre 2017.

Si le marché du travail en France a été frappé de plein fouet par la paralysie de l’activité économique liée au confinement décrété pour ralentir la progression de l’épidémie de COVID-19, le dispositif de financement de l’activité partielle mis en place par l’Etat a permis d’éviter une vague de licenciements, en dépit d’un arrêt des embauches et de non-renouvellements en masse de contrats courts et de mission d’intérim. Pour le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire, qui s’exprimait sur LCI, la France “va retrouver la croissance” et “peut arriver à faire baisser” le chômage “si on se retrousse les manches, si nous nous remettons tous au travail, si nous accélérons la reprise économique”.

“Mon objectif est que l’activité économique retourne à la normale dès cet été”, a-t-il précisé.

A alors qu’avant le début de la crise sanitaire, l’objectif gouvernemental de le ramener à 7% à la fin du quinquennat était encore “tout à fait à portée de main”, selon Bruno Le Maire. On comprend cependant assez mal le raisonnement du ministre de l’économie qui d’un côté espère une reprise relativement dynamique et qui dans le même temps à pronostiquer 900 000 chômeurs supplémentaires. Ou alors il faudrait un effort de productivité sans doute jamais enregistré es=t d’ailleurs incompatible avec le souhait de près de 85 % des Français de partir en vacances au cours de l’été.

La faiblesse de ce discours réside surtout dans le fait il s’agit surtout d’une sorte d’incitation et non d’une démarche volontariste qui devrait dès maintenant définir, et cela avant l’été, les conditions d’un plan de relance pour toute l’économie et pas seulement pour les grandes entreprises en difficulté qui méritent un soutien mais les autres aussi. Il ne faut jamais oublier qu’en France la masse des emplois est en effet fourni par toutes ces PME autonomes ou en sous-traitance qui font et défont l’évolution de la courbe des emplois.

Emplois – 500 000 créés depuis 2017 , de la propagande ?

 

 Emplois -500 000 créés depuis 2017 ,  de la propagande ?

L’économiste Philippe Askenazy met sérieusement en doute dans une tribune du Monde  le chiffre de création de 500 000 emplois créés depuis 2017 annoncés triomphalement par Macron. Ces  supposées créations  d’emplois paraissent en effet particulièrement douteuses  quand on sait que la croissance s’est écroulée pour se limiter pour de 1,2 % par exemple en 2019. Comme si plus la croissance était faible et plus le nombre d’emplois se développait.  Il y a de toute évidence du bidouillage de la part de certaines institutions statistiques et économiques qui ont perdu toute déontologie voire  même toute pertinence.

 

 

Tribune dans le monde.

 

« Lors de ses vœux pour l’année 2020, le président de la République s’est félicité de la création de 500 000 emplois depuis son élection. Ce chiffre correspond à l’évolution de l’emploi salarié du deuxième trimestre (T2) 2017 au troisième trimestre 2019, issue des compilations de données administratives par l’Insee, l’Acoss (Sé­curité sociale) et la Dares (ministère du travail). L’autre grande source disponible est l’enquête Emploi, où l’Insee interroge en continu un échantillon représentatif de la population en âge de travailler sur sa situation d’emploi. Là, le portrait est bien moins reluisant : entre les deux dates, seulement 200 000 personnes supplémentaires seraient « occupées » au sens d’Eurostat (ni chômeur ni inactif au moment de l’enquête).

 

La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat.

 

S’il est habituel que les deux sources ne coïncident pas, notamment en raison d’effets de calendrier (fin de trimestre pour la première, en continu pour la seconde), la divergence des estimations est spectaculaire pour la seconde année du quinquennat. Du T2 2018 au T2 2019, l’économie française aurait créé près de 250 000 emplois salariés selon les données administratives, et au plus 75 000 emplois tous statuts confondus selon l’enquête Emploi traitée par Eurostat. La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat. Les deux séries apportent ainsi des visions antithétiques, l’une cohérente avec la satisfaction du pouvoir, l’autre avec le malaise social persistant.

 

Les administrations économiques n’ont pour l’instant pas publié d’analyse de cette divergence récente (qui semble se prolonger au T3 2019, selon des données encore très provisoires). Les chercheurs n’auront accès que dans de très long mois aux fichiers détaillés. On en est donc réduit à émettre des hypothèses.

L’enquête Emploi aurait subitement perdu en pertinence, potentiellement minée par le contentieux entre les enquêteurs de l’Insee et leur direction (in fine résolu cet automne par la création d’une prime de collecte). Mais alors que vaudraient les chiffres officiels du chômage calculés à partir de cette enquête ?

 

Chômage-500 000 emplois créés depuis 2017 ! du pipeau !

Chômage-500 000 emplois créés depuis 2017 ! du pipeau !

 

 

L’économiste Philippe Askenazy met sérieusement en doute dans une tribune du Monde  le chiffre de création de 500 000 emplois créés depuis 2017 annoncés triomphalement par Macron. Ces  supposées créations  d’emplois paraissent en effet particulièrement douteuses  quand on sait que la croissance s’est écroulée pour se limiter pour de 1,2 % par exemple en 2019. Comme si plus la croissance était faible et plus le nombre d’emplois se développait.  Il y a de toute évidence du bidouillage de la part de certaines institutions statistiques et économiques qui ont perdu toute déontologie voire  même toute pertinence.

 

 

Tribune dans le monde.

 

« Lors de ses vœux pour l’année 2020, le président de la République s’est félicité de la création de 500 000 emplois depuis son élection. Ce chiffre correspond à l’évolution de l’emploi salarié du deuxième trimestre (T2) 2017 au troisième trimestre 2019, issue des compilations de données administratives par l’Insee, l’Acoss (Sé­curité sociale) et la Dares (ministère du travail). L’autre grande source disponible est l’enquête Emploi, où l’Insee interroge en continu un échantillon représentatif de la population en âge de travailler sur sa situation d’emploi. Là, le portrait est bien moins reluisant : entre les deux dates, seulement 200 000 personnes supplémentaires seraient « occupées » au sens d’Eurostat (ni chômeur ni inactif au moment de l’enquête).

 

La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat.

 

S’il est habituel que les deux sources ne coïncident pas, notamment en raison d’effets de calendrier (fin de trimestre pour la première, en continu pour la seconde), la divergence des estimations est spectaculaire pour la seconde année du quinquennat. Du T2 2018 au T2 2019, l’économie française aurait créé près de 250 000 emplois salariés selon les données administratives, et au plus 75 000 emplois tous statuts confondus selon l’enquête Emploi traitée par Eurostat. La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat. Les deux séries apportent ainsi des visions antithétiques, l’une cohérente avec la satisfaction du pouvoir, l’autre avec le malaise social persistant.

 

Les administrations économiques n’ont pour l’instant pas publié d’analyse de cette divergence récente (qui semble se prolonger au T3 2019, selon des données encore très provisoires). Les chercheurs n’auront accès que dans de très long mois aux fichiers détaillés. On en est donc réduit à émettre des hypothèses.

L’enquête Emploi aurait subitement perdu en pertinence, potentiellement minée par le contentieux entre les enquêteurs de l’Insee et leur direction (in fine résolu cet automne par la création d’une prime de collecte). Mais alors que vaudraient les chiffres officiels du chômage calculés à partir de cette enquête ? 

Création de 500 000 emplois depuis 2017 ! du pipeau !

Création de 500 000 emplois depuis 2017 ! du pipeau !

 

 

L’économiste Philippe Askenazy met sérieusement en doute le chiffre de création de 500 000 emplois créés depuis 2017 annoncés triomphalement par Macron. Ces  supposées créations  d’emplois paraissent en effet particulièrement douteuses  quand on sait que la croissance s’est écroulée pour se limiter pour de 1,2 % par exemple en 2019. Comme si, plus la croissance était faible et plus le nombre d’emplois se développait.  Il y a de toute évidence du bidouillage de la part de certaines institutions statistiques et économiques qui ont perdu toute déontologie voire  même toute pertinence.

 

 

Tribune dans le monde.

 

« Lors de ses vœux pour l’année 2020, le président de la République s’est félicité de la création de 500 000 emplois depuis son élection. Ce chiffre correspond à l’évolution de l’emploi salarié du deuxième trimestre (T2) 2017 au troisième trimestre 2019, issue des compilations de données administratives par l’Insee, l’Acoss (Sé­curité sociale) et la Dares (ministère du travail). L’autre grande source disponible est l’enquête Emploi, où l’Insee interroge en continu un échantillon représentatif de la population en âge de travailler sur sa situation d’emploi. Là, le portrait est bien moins reluisant : entre les deux dates, seulement 200 000 personnes supplémentaires seraient « occupées » au sens d’Eurostat (ni chômeur ni inactif au moment de l’enquête).

 

La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat.

 

S’il est habituel que les deux sources ne coïncident pas, notamment en raison d’effets de calendrier (fin de trimestre pour la première, en continu pour la seconde), la divergence des estimations est spectaculaire pour la seconde année du quinquennat. Du T2 2018 au T2 2019, l’économie française aurait créé près de 250 000 emplois salariés selon les données administratives, et au plus 75 000 emplois tous statuts confondus selon l’enquête Emploi traitée par Eurostat. La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat. Les deux séries apportent ainsi des visions antithétiques, l’une cohérente avec la satisfaction du pouvoir, l’autre avec le malaise social persistant.

 

Les administrations économiques n’ont pour l’instant pas publié d’analyse de cette divergence récente (qui semble se prolonger au T3 2019, selon des données encore très provisoires). Les chercheurs n’auront accès que dans de très long mois aux fichiers détaillés. On en est donc réduit à émettre des hypothèses.

 

L’enquête Emploi aurait subitement perdu en pertinence, potentiellement minée par le contentieux entre les enquêteurs de l’Insee et leur direction (in fine résolu cet automne par la création d’une prime de collecte). Mais alors que vaudraient les chiffres officiels du chômage calculés à partir de cette enquête ? »

 

Création de 500 000 emplois depuis 2017 ! du pipeau !

Création de 500 000 emplois depuis 2017 ! du pipeau !

 

 

L’économiste Philippe Askenazy met sérieusement en doute le chiffre de création de 500 000 emplois créés depuis 2017 annoncés triomphalement par Macron. Ces  supposées créations  d’emplois paraissent en effet particulièrement douteuses  quand on sait que la croissance s’est écroulée pour se limiter pour de 1,2 % par exemple en 2019. Comme si, plus la croissance était faible et plus le nombre d’emplois se développait.  Il y a de toute évidence du bidouillage de la part de certaines institutions statistiques et économiques qui ont perdu toute déontologie voire  même toute pertinence.

 

 

Tribune dans le monde.

 

« Lors de ses vœux pour l’année 2020, le président de la République s’est félicité de la création de 500 000 emplois depuis son élection. Ce chiffre correspond à l’évolution de l’emploi salarié du deuxième trimestre (T2) 2017 au troisième trimestre 2019, issue des compilations de données administratives par l’Insee, l’Acoss (Sé­curité sociale) et la Dares (ministère du travail). L’autre grande source disponible est l’enquête Emploi, où l’Insee interroge en continu un échantillon représentatif de la population en âge de travailler sur sa situation d’emploi. Là, le portrait est bien moins reluisant : entre les deux dates, seulement 200 000 personnes supplémentaires seraient « occupées » au sens d’Eurostat (ni chômeur ni inactif au moment de l’enquête).

 

La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat.

 

S’il est habituel que les deux sources ne coïncident pas, notamment en raison d’effets de calendrier (fin de trimestre pour la première, en continu pour la seconde), la divergence des estimations est spectaculaire pour la seconde année du quinquennat. Du T2 2018 au T2 2019, l’économie française aurait créé près de 250 000 emplois salariés selon les données administratives, et au plus 75 000 emplois tous statuts confondus selon l’enquête Emploi traitée par Eurostat. La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat. Les deux séries apportent ainsi des visions antithétiques, l’une cohérente avec la satisfaction du pouvoir, l’autre avec le malaise social persistant.

 

Les administrations économiques n’ont pour l’instant pas publié d’analyse de cette divergence récente (qui semble se prolonger au T3 2019, selon des données encore très provisoires). Les chercheurs n’auront accès que dans de très long mois aux fichiers détaillés. On en est donc réduit à émettre des hypothèses.

 

L’enquête Emploi aurait subitement perdu en pertinence, potentiellement minée par le contentieux entre les enquêteurs de l’Insee et leur direction (in fine résolu cet automne par la création d’une prime de collecte). Mais alors que vaudraient les chiffres officiels du chômage calculés à partir de cette enquête ? »

 

Création de 500 000 emplois depuis 2017 ! du pipeau !

Création de 500 000 emplois depuis 2017 ! du pipeau !

 

 

L’économiste Philippe Askenazy met sérieusement en doute le chiffre de création de 500 000 emplois créés depuis 2017 annoncés triomphalement par Macron. Ces  supposées créations  d’emplois paraissent en effet particulièrement douteuses  quand on sait que la croissance s’est écroulée pour se limiter pour de 1,2 % par exemple en 2019. Comme si, plus la croissance était faible et plus le nombre d’emplois se développait.  Il y a de toute évidence du bidouillage de la part de certaines institutions statistiques et économiques qui ont perdu toute déontologie voire  même toute pertinence.

 

 

Tribune dans le monde.

 

Lors de ses vœux pour l’année 2020, le président de la République s’est félicité de la création de 500 000 emplois depuis son élection. Ce chiffre correspond à l’évolution de l’emploi salarié du deuxième trimestre (T2) 2017 au troisième trimestre 2019, issue des compilations de données administratives par l’Insee, l’Acoss (Sé­curité sociale) et la Dares (ministère du travail). L’autre grande source disponible est l’enquête Emploi, où l’Insee interroge en continu un échantillon représentatif de la population en âge de travailler sur sa situation d’emploi. Là, le portrait est bien moins reluisant : entre les deux dates, seulement 200 000 personnes supplémentaires seraient « occupées » au sens d’Eurostat (ni chômeur ni inactif au moment de l’enquête).

La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat

S’il est habituel que les deux sources ne coïncident pas, notamment en raison d’effets de calendrier (fin de trimestre pour la première, en continu pour la seconde), la divergence des estimations est spectaculaire pour la seconde année du quinquennat. Du T2 2018 au T2 2019, l’économie française aurait créé près de 250 000 emplois salariés selon les données administratives, et au plus 75 000 emplois tous statuts confondus selon l’enquête Emploi traitée par Eurostat. La divergence est même pire si on se concentre sur le nombre de travailleurs dont l’activité principale est salariée : il aurait baissé de l’ordre de 40 000 sur la même période d’après les chiffres bruts fournis par Eurostat. Les deux séries apportent ainsi des visions antithétiques, l’une cohérente avec la satisfaction du pouvoir, l’autre avec le malaise social persistant.

Les administrations économiques n’ont pour l’instant pas publié d’analyse de cette divergence récente (qui semble se prolonger au T3 2019, selon des données encore très provisoires). Les chercheurs n’auront accès que dans de très long mois aux fichiers détaillés. On en est donc réduit à émettre des hypothèses.

1. L’enquête Emploi aurait subitement perdu en pertinence, potentiellement minée par le contentieux entre les enquêteurs de l’Insee et leur direction (in fine résolu cet automne par la création d’une prime de collecte). Mais alors que vaudraient les chiffres officiels du chômage calculés à partir de cette enquête ?

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