Archive pour le Tag '50%'

Page 2 sur 11

Objectif gouvernemental voitures électriques: 50% dans quatre ans: l’utopie!

Objectif gouvernemental voitures électriques: 50% dans quatre ans: l’utopie!

Comme souvent, le gouvernement annonce un objectif économique dont il ne maîtrise pas les données à savoir un pourcentage de voiture électrique de 50 % d’ici 2027 et 400.000 d’ici 2030, soit une multiplication par quatre en 7 ans.

Pour atteindre l’objectif de vente, il faudra augmenter le nombre de bornes de recharge, notamment rapide, de façon considérable. Le gouvernement table sur 400.000 d’ici 2030, soit une multiplication par quatre en 7 ans.

Comme si l’industrie française était capable de réaliser un tel objectif alors que la quasi-totalité des voitures électriques sont soit totalement soit en partie construite à l’étranger actuellement. Et celles qui sont construites partiellement en France sont loin d’être compétitives.

Théoriquement, les ventes de voitures thermiques neuves seront interdites en 2035 et le secteur des transports s’est engagé à la neutralité carbone d’ici à 2050 en Europe.

Mais réellement la part des ventes en électrique atteignait à peine les 15 % en France et 8 % pour l’hybride rechargeable.

En outre, les commandes actuelles ne sont pas au beau fixe. En cause évidemment le manque de compétitivité et la charge financière trop lourde pour

Mais aussi un prix des véhicules électriques encore bien au-dessus de leurs équivalents thermiques. « Sur la seule force du marché actuel, vous n’avez aucune raison d’aller vers l’électrique », affirme Julien Pillot, économiste et enseignant-chercheur à l’INSEEC. C’est pourquoi il faut veiller à alimenter la demande en continuant et en prolongeant les dispositifs d’aide à l’achat de véhicule neuf électrique.

Le levier principal du gouvernement et d’agir sur les bonus comme si c’était le rôle d’un État de participer au financement des voitures surtout en l’état catastrophique du budget et du déficit.

Le problème n’est pas cependant une question de demande mais insuffisante et beaucoup trop chère.

Conséquence les objectifs ne seront pas tenus et la voiture thermique va pouvoir rouler encore des dizaines d’années après 2035.

L’industrie automobile rejoint le gouvernement dans ses pronostics optimistes. L’objectif est davantage d’obtenir des réductions de fiscalité et des aides que de se préoccuper réellement de l’environnement. Notons par ailleurs une grande partie de l’industrie française a été liquidée avec les délocalisations.

50 % de voitures électriques dans quatre an: l’utopie du gouvernement

50 % de voitures électriques dans quatre an: l’utopie du gouvernement

Comme souvent, le gouvernement annonce un objectif économique dont il ne maîtrise pas les données à savoir un pourcentage de voiture électrique de 50 % d’ici 2027 et 400.000 d’ici 2030, soit une multiplication par quatre en 7 ans.

Pour atteindre l’objectif de vente, il faudra augmenter le nombre de bornes de recharge, notamment rapide, de façon considérable. Le gouvernement table sur 400.000 d’ici 2030, soit une multiplication par quatre en 7 ans.

Comme si l’industrie française était capable de réaliser un tel objectif alors que la quasi-totalité des voitures électriques sont soit totalement soit en partie construite à l’étranger actuellement. Et celles qui sont construites partiellement en France sont loin d’être compétitives.

Théoriquement, les ventes de voitures thermiques neuves seront interdites en 2035 et le secteur des transports s’est engagé à la neutralité carbone d’ici à 2050 en Europe.

Mais réellement la part des ventes en électrique atteignait à peine les 15 % en France et 8 % pour l’hybride rechargeable.

En outre, les commandes actuelles ne sont pas au beau fixe. En cause évidemment le manque de compétitivité et la charge financière trop lourde pour

Mais aussi un prix des véhicules électriques encore bien au-dessus de leurs équivalents thermiques. « Sur la seule force du marché actuel, vous n’avez aucune raison d’aller vers l’électrique », affirme Julien Pillot, économiste et enseignant-chercheur à l’INSEEC. C’est pourquoi il faut veiller à alimenter la demande en continuant et en prolongeant les dispositifs d’aide à l’achat de véhicule neuf électrique.

Le levier principal du gouvernement et d’agir sur les bonus comme si c’était le rôle d’un État de participer au financement des voitures surtout en l’état catastrophique du budget et du déficit.

Le problème n’est pas cependant une question de demande mais insuffisante et beaucoup trop chère.

Conséquence les objectifs ne seront pas tenus et la voiture thermique va pouvoir rouler encore des dizaines d’années après 2035.

L’industrie automobile rejoint le gouvernement dans ses pronostics optimistes. L’objectif est davantage d’obtenir des réductions de fiscalité et des aides que de se préoccuper réellement de l’environnement. Notons par ailleurs une grande partie de l’industrie française a été liquidée avec les délocalisations.

Construction de maisons : vers une chute de 50 % de la demande

Construction de maisons : vers une chute de 50 % de la demande

La tendance était déjà mauvaise depuis le début de l’année et elle risque de devenir encore pire d’ici fin 2023. La demande de construction des maisons pourrait en effet diminuer de 50 % en 2023.

En cause d’abord sans doute la hausse des taux d’intérêt qui surenchérit le prix des maisons. Aussi un manque de solvabilité qui atteint de plus en plus une grande partie de la population. À noter aussi l’augmentation des coûts de construction. L’immobilier risque de connaître un véritable sinistre avec une forme d’assèchement de la demande. De quoi nourrir une crise encore plus grave dans les mois et les années à venir.

A fin juillet, sur un an, les ventes de maisons neuves étaient en chute de 40 %, à 71.800, selon les chiffres de Pôle Habitat FFB, la principale fédération du secteur, qui tenait jeudi 21 septembre sa convention nationale. En 2022, 96.000 unités avaient été vendues, à comparer à 122.000 sur une moyenne annuelle de long terme.

Classement de Shanghai 2023 : les 20 meilleures universités

Classement de Shanghai 2023 : les 20 meilleures universités

A la 15e place, l’université française de Paris-Saclay est le premier établissement de l’Europe continentale du classement, et gagne une place par rapport à l’édition 2022. La France conserve au total quatre établissements parmi les 100 meilleurs mondiaux, avec également l’université Paris Sciences Lettres (41e) – qui regroupe différents établissements du supérieur dont l’Ecole Normale Supérieure (ENS) -, Sorbonne Université (46e) et l’université Paris Cité (68e).


clasemeent mondial .

Rang 2023 Rang 2022 Institution Pays
1 1 Harvard University États-Unis
2 2 Stanford University États-Unis
3 3 Massachusetts Institute of Technology (MIT) États-Unis
4 4 University of Cambridge Royaume-Uni
5 5 University of California, Berkeley États-Unis
6 6 Princeton University États-Unis
7 7 University of Oxford Royaume-Uni
8 8 Columbia University États-Unis
9 9 California Institute of Technology États-Unis
10 10 University of Chicago États-Unis
11 11 Yale University États-Unis
12 12 Cornell University États-Unis
13 13 University of California, Los Angeles États-Unis
14 15 University of Pennsylvania États-Unis
15 16 Université Paris-Saclay France
16 14 Johns Hopkins University États-Unis
17 18 University College London Royaume-Uni
18 17 University of Washington États-Unis
19 21 University of California, San Diego États-Unis
20 20 ETH Zurich Suisse

Tableau: Le Figaro Étudiant Source: Source: ShanghaiRanking Consultancy

Crédit immobilier: une baisse de 50%, pourquoi ?

Crédit immobilier: une baisse de 50%, pourquoi ?

s’enfonce de plus en plus dans la crise
En un an, le nombre de prêts octroyés par les banques s’est effondré de 50%. Idem pour le montant total de crédits. Du jamais vu depuis 6 ans, hors Covid explique un papier du Figaro.

Le nombre de prêts immobiliers a été divisé par deux en un an, selon l’Observatoire Crédit Logement. Idem pour la production de crédit qui a également chuté de 50%: de 22 milliards d’euros en mai 2022 à 11 milliards d’euros un an plus tard, selon la Banque de France. Du jamais depuis 6 ans, hors Covid! Deux dégringolades vertigineuses qui n’ont rien à voir, dans leur ampleur, avec le recul modéré des prix de l’immobilier. Car pour relancer le marché, cette baisse semble indispensable pour contrer la hausse des taux de crédit. Si la première est à l’œuvre, elle n’est pas suffisante. La seconde, quant à elle, continue sa progression et n’en finit plus de dégrader la solvabilité des emprunteurs.

Le blocage du marché immobilier prend ainsi la forme d’une crise du pouvoir d’achat. Pour inciter les vendeurs à baisser leur prix, les acheteurs, qui ont repris le pouvoir, imposent leur prix. Si le propriétaire est pressé, il accepte. Sinon, il refuse. Avec le risque que les prix continuent de baisser. Mais pendant ce temps-là, l’acheteur n’est pas forcément plus gagnant car les taux poursuivent leur ascension. C’est à celui qui perdra le moins de plumes. «C’est la faute des banques qui ne prêtent plus!», dénonce un quadragénaire, pourtant aisé, qui n’a pas pu obtenir de crédit pour acheter un logement à Bordeaux. «Nous sommes contraints par des règles très strictes», rétorque un banquier.

Il y en a trois. La première? Ne pas dépasser le taux d’usure, taux maximal fixé par la loi au-delà une banque ne peut pas prêter. Actuellement, il est fixé à 5,33%. Or, le taux de crédit moyen avoisine les 4%. Si vous ajoutez le taux de l’assurance et les frais annexes (caution/hypothèque, dossier), la barre des 5,33% ne devrait pas être dépassée *.

La seconde? Ne pas dépasser le taux d’endettement de 35% (des revenus). Problème: il l’est souvent à cause d’un apport trop faible ou d’un coût du crédit trop élevé. Car la troisième règle à respecter pour les banques, c’est de ne pas prêter sur plus de 25 ans. Or, la durée d’emprunt ne cesse de grimper et se rapproche lentement mais sûrement du seuil maximal: de 200 mois (16,7 ans) fin 2014 à 250 mois (21 ans) aujourd’hui.

Un chiffre prouve que le seuil maximal se rapproche: 66%. C’est la part de crédits accordés sur 20 à 25 ans, selon l’Observatoire Crédit Logement. En 2019, elle ne s’élevait qu’à 46%. Dans le même temps, les emprunts sur 15-20 ans ont fait le chemin inverse, passant de 31% à 19%. Pour relancer le marché du crédit et alléger la facture des emprunteurs, la solution serait d’allonger la durée maximale d’emprunt. Mais Bercy, pour l’heure, s’y refuse. «Pourquoi pas mais à condition que l’emprunteur reste longtemps dans son logement, analyse de son côté Maël Bernier, de Meilleurtaux. Si c’est pour vendre 2 ou 3 ans après avoir acheté, ce n’est pas intéressant. Sur 30 ans, on diminue les mensualités et l’endettement certes mais on amortit le coût de l’emprunt moins vite.» Résultat: au moment de la revente, le capital restant dû reste trop élevé (189.000 euros pour un emprunt de 200.000 euros sur 30 ans à 4,3% (hors assurance). Pour peu que les prix du nouveau logement n’aient pas baissé, ce sera la double peine.

Turquie : l’inflation à près de 50%…au moins !

Turquie : l’inflation à près de 50%!


Le pays dirigé par le dictateur Erdogan continue de s’enfoncer dans la crise financière avec une inflation qui plombe de pouvoir d’achat ; Une hausse des prix de près de 50 % sur un an.

L’inflation baissait depuis huit mois, mais elle est repartie à la hausse en juillet à 47,83% sur un an, soit + 9,6% sur un mois, la plus forte augmentation en dix-huit mois, selon les données officielles publiées jeudi.

Selon les prévisions annuelles, l’inflation doit atteindre 58%, plus du double des précédentes projections, à la fin 2023 mais les économistes indépendants du Groupe de recherche sur l’inflation (Enag) prévoient 122,88% sur les douze mois écoulés.

Cette flambée des prix suit la dégringolade de la livre turque, qui a perdu près du tiers de sa valeur depuis mai.

Rappelons que cette crise s’est amplifiée avec la décision aberrante d’Erdogan d’abaisser les taux d’intérêt au lieu de les relever. Ou quand les dictateurs incultes et incompétents se mêlent d’économie. Depuis, la banque centrale turque a changé sa stratégie en relevant les taux mais encore insuffisamment.

Fraude fiscale : « environ » 50 milliards par an ?

Fraude fiscale : « environ » 50 milliards par an ?

Environ 50 milliards par an, c’était l’évaluation très approximative du Sénat sur l’évasion fiscale. De quoi remettre dans les clous les équilibres budgétaires et relancer la croissance sans tuer la compétitivité. Mission pourtant impossible car la politique de la zone euro repose précisément sur le principe de la concurrence fiscale.

Comment faire avec la financiarisation internationale de l’économie ? Il y a environ 30 000 filiales françaises à l’étranger ; des filiales dont l’objet pour beaucoup est de faciliter l’externalisation des bénéfices et l’internalisation des pertes. Exemple, Total qui n’a pas payé de bénéfices en France pendant des années. Le mécanisme est simple pour les grands groupes (pas les PME) : surfacture des pseudos prestations de l’étranger et à l’inverse sur minimiser les coûts de celles destinées à l’export. Ensuite pour laver encore plus blanc, on délocalise ces profits dans des paradis fiscaux. La lutte fiscale suppose donc de mettre en cause ce principe de financiarisation excessive de l’économie, d’harmoniser aussi les conditions de concurrence (fiscale, sociale, environnementale etc.).Très récemment, l’OCDE a lancé un cri d’alerte sur le développement de » l’optimisation fiscale »(euphémisme pour parler d’évasion).

Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’évasion fiscale, annuellement en France à plus de 50 milliards d’euros.

L’évasion fiscale, entre 50 et 60 milliards d’euros chaque année en France, « représente, au moins, le montant du remboursement des intérêts de la dette française chaque année ».

Evasion fiscale : une fraude d’« environ » 50 milliards par an ?

Evasion fiscale : une fraude d’« environ » 50 milliards par an ?

Environ 50 milliards par an, c’était l’évaluation très approximative du Sénat sur l’évasion fiscale. De quoi remettre dans les clous les équilibres budgétaires et relancer la croissance sans tuer la compétitivité. Mission pourtant impossible car la politique de la zone euro repose précisément sur le principe de la concurrence fiscale.

Comment faire avec la financiarisation internationale de l’économie ? Il y a environ 30 000 filiales françaises à l’étranger ; des filiales dont l’objet pour beaucoup est de faciliter l’externalisation des bénéfices et l’internalisation des pertes. Exemple, Total qui n’a pas payé de bénéfices en France pendant des années. Le mécanisme est simple pour les grands groupes (pas les PME) : surfacture des pseudos prestations de l’étranger et à l’inverse sur minimiser les coûts de celles destinées à l’export. Ensuite pour laver encore plus blanc, on délocalise ces profits dans des paradis fiscaux. La lutte fiscale suppose donc de mettre en cause ce principe de financiarisation excessive de l’économie, d’harmoniser aussi les conditions de concurrence (fiscale, sociale, environnementale etc.).Très récemment, l’OCDE a lancé un cri d’alerte sur le développement de » l’optimisation fiscale »(euphémisme pour parler d’évasion).

Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’évasion fiscale, annuellement en France à plus de 50 milliards d’euros.

L’évasion fiscale, entre 50 et 60 milliards d’euros chaque année en France, « représente, au moins, le montant du remboursement des intérêts de la dette française chaque année ».

Covid France 21 mars 2023: 1470 cas supplémentaires et 50 morts

Covid France 21 mars 2023: 1470 cas supplémentaires et 50 morts

On enregistre lundi 20 mars 2023 :1470 cas supplémentaires en 24 heures soit 165.377 morts au total.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.590 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 135.787 (+50 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 1,27 le taux d’incidence à 67,82 et la tension hospitalière à 15,0 %.

La France compte actuellement 13.358 (+147) personnes hospitalisées et 760 (+6) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.566 (-7) hospitalisées, 305 (0) en réanimation et +15 décès en 24h
Grand Est : 1.215 (+42) hospitalisés, 61 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Hauts de France : 1.439 (+40) hospitalisés, 74 (+2) en réanimation et +4 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 823 (-10) hospitalisés, 33 (0) en réanimation et +6 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 835 (+33) hospitalisé, 49 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Bretagne: 308 (+1) hospitalisés, 14 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 852 (-5) hospitalisés, 25 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.150 (+9) hospitalisés, 76 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Pays de la Loire : 182 (-1) hospitalisés, 14 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Occitanie: 757 (+11) hospitalisés, , 46 (+1) en réanimation et +9 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 610 (+13) hospitalisés, 27 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 466 (+17) hospitalisés, 26 (0) en réanimation et +3 décès en 24h

Covid France 21 mars 2023: 1470 cas supplémentaires et 50 morts

Covid France 21 mars 2023: 1470 cas supplémentaires et 50 morts

On enregistre lundi 20 mars 2023 :1470 cas supplémentaires en 24 heures soit 165.377 morts au total.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.590 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 135.787 (+50 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 1,27 le taux d’incidence à 67,82 et la tension hospitalière à 15,0 %.

La France compte actuellement 13.358 (+147) personnes hospitalisées et 760 (+6) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.566 (-7) hospitalisées, 305 (0) en réanimation et +15 décès en 24h
Grand Est : 1.215 (+42) hospitalisés, 61 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Hauts de France : 1.439 (+40) hospitalisés, 74 (+2) en réanimation et +4 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 823 (-10) hospitalisés, 33 (0) en réanimation et +6 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 835 (+33) hospitalisé, 49 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Bretagne: 308 (+1) hospitalisés, 14 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 852 (-5) hospitalisés, 25 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.150 (+9) hospitalisés, 76 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Pays de la Loire : 182 (-1) hospitalisés, 14 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Occitanie: 757 (+11) hospitalisés, , 46 (+1) en réanimation et +9 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 610 (+13) hospitalisés, 27 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 466 (+17) hospitalisés, 26 (0) en réanimation et +3 décès en 24h

Nucléaire : suppression du plafond de production à 50% et condamnation la politique de Hollande et Macron

Nucléaire : suppression du plafond de production à 50% et condamnation la politique de Hollande et Macron

On se souvient que Hollande, assisté de Macon,avait massacré la filière nucléaire en fixant la part de cette énergie à 50 % maximum. Un verrou qui vient de sauter à l’assemblée nationale. Et pour cause,cette politique a tué l’avantage énergétique de la France qui a même été contrainte d’importer de l’électricité de l’extérieur.

Avec une mauvaise foi incroyable, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a expliqué qu’elle ne veut «ni plafond ni plancher» sur le sujet. m

Dans le sillage du Sénat, l’Assemblée nationale a supprimé lundi soir l’objectif de réduction à 50% de la part de l’énergie nucléaire dans le mix électrique français d’ici à 2035, lors de l’examen du projet de loi d’accélération du nucléaire. Introduit par le Sénat, l’article adopté en première lecture fait sauter un «verrou» introduit dans la loi en 2015 sous la présidence de François Hollande pour réduire la part du nucléaire, que l’exécutif souhaite désormais relancer.

Avec une hypocrisie lamentable la ministre a déclaré «J’étais très heureuse d’avoir contribué au discours de Belfort» d’Emmanuel Macron, consacré notamment à la relance du nucléaire en février 2022, mais la loi en cours d’examen «est supposée être une loi technique» d’accélération, pas une loi de programmation sur le mix énergétique.

La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a expliqué qu’elle ne veut «ni plafond ni plancher» sur le sujet, alors que l’énergie nucléaire représente environ 70% de la production d’électricité habituellement, mais seulement 63% en 2022 en raison des arrêts de plusieurs réacteurs pour corrosion.
________________________________________
À VOIR AUSSI – «La loi nucléaire révèle une prise de conscience de l’échec de l’anti-nucléarisme»

Hausse des taux : Autour de 50 pays proche du défaut de paiement

Hausse des taux : Autour de 50 pays proche du défaut de paiement

A ce jour, « 52 pays sont soit surendettés, soit au bord du surendettement et potentiellement en défaut de paiement », selon les Nations Unies. Or, la hausse des taux d’intérêt alourdit encore plus la charge de leur dette souveraine. De quoi les empêcher durablement – en plus de l’aggravation des troubles sociaux – d’opérer toute transition alors que le contexte de guerre en Ukraine a augmenté l’importance de l’indépendance énergétique, souligne l’ONU.

Selon le PNUD, environ 15% des pays à faible revenu sont en situation de « surendettement », selon le FMI. Un nombre record de 349 millions de personnes dans 79 pays sont ainsi confrontées à une « insécurité alimentaire aiguë », a écrit l’institution basée à Washington.
Or, certains pays dépensent déjà 20% de leur budget pour rembourser les intérêts de leur dette, selon l’ONU.

Le chef du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Achim Steiner, a expliqué que la hausse chronique des taux d’intérêt épuisait les finances de pays déjà accablés par la crise du Covid-19, les conséquences de la guerre en Ukraine et leurs difficultés structurelles. La situation pour eux « en termes de dette souveraine est vraiment très sérieuse », a-t-il expliqué dans une interview à l’AFP à Doha, en marge d’un sommet des Pays les moins avancés (PMA).

Selon une étude du PNUD parue le mois dernier, « 52 pays sont soit surendettés, soit au bord du surendettement et potentiellement en défaut de paiement », a-t-il indiqué.

Et 25 de ces 52 pays utilisent « un cinquième du budget de leur gouvernement pour payer les intérêts de leur dette », a-t-il ajouté. « Ce n’est pas tenable ».

L’indemnité carburant réclamée par moins de 50% des bénéficiaires prolongée

L’indemnité carburant réclamée par moins de 50% des bénéficiaires prolongée

Les dix millions de Français pouvant bénéficier de l’aide carburant ciblée du gouvernement vont avoir quelques semaines de plus pour la réclamer, si ce n’est pas déjà fait. « Nous allons prolonger cette indemnité », a annoncé, lundi 13 février lors d’un entretien sur RTL, Bruno Le Maire. « Elle devait s’arrêter fin février, nous la prolongerons jusqu’à fin mars, de façon à ce que les millions de nos compatriotes qui y ont droit puissent aller la chercher », a précisé le ministre de l’Economie.

Pour rappel, cette aide ciblée et ponctuelle a été mise en place en début d’année pour les Français modestes ayant besoin de leur véhicule pour aller travailler. Elle a succédé à la remise à la pompe du gouvernement, qui était passée de 30 à 10 centimes d’euro par litre de carburant à la mi-novembre, avant de s’arrêter à la fin de l’année 2022.

Il est clair que que seules les remises à la pompe ont un effet efficace et que la complexité des procédures empêche les bénéficiaires potentiels de réclamer des indemnités qu’il s’agisse des entreprises ou des particuliers

Sondage insécurité générale: Près de 50 % des Français inquiets

Sondage insécurité générale: Près de 50 % des Français inquiets

L’insécurité grandit un peu partout certes dans les grandes villes mais dans les plus petites et même dans les zones rurales surtout lors  transport mais pas seulement.  Selon un sondage* CSA pour CNEWS publié le 13 janvier. Rames bondées, retards quotidiens, couloirs non surveillés, agressions verbales et physiques courantes. Les usagers sont exténués. Si à l’échelle nationale, 46% des citoyens ne se sentent pas en sécurité dans les transports, le chiffre monte à 50% à Paris, où la qualité du service n’a eu de cesse de baisser ces dernières années.

Toujours selon le sondage CSA, les femmes sont les plus sensibles à ces situations : 49% d’entre elles ne se sentent pas en sécurité contre 42% des hommes. Les jeunes quant à eux s’en sortent encore moins bien, 54% sont stressés à l’idée de prendre un métro, RER ou TER.

Un chiffre relativement constant. Déjà en 2018, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, 45% des usagers des transports en commun ne se sentaient pas en sécurité. Les femmes étaient déjà les plus touchées avec 51% d’entre elles concernées contre seulement 38% pour les hommes.

*Sondage réalisé par questionnaire auto-administré, du 12 au 13 janvier 2023, sur un panel de 1.007 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

 

Evasion fiscale : « environ » 50 milliards par an ?

Evasion fiscale : « environ » 50 milliards par an ?

Environ 50 milliards par an, c’était l’évaluation très approximative du Sénat sur l’évasion fiscale. De quoi remettre dans les clous les équilibres budgétaires et relancer la croissance sans tuer la compétitivité. Mission pourtant impossible car la politique de la zone euro repose précisément sur le principe de la concurrence fiscale.

Comment faire avec la financiarisation internationale de l’économie ? Il y a environ 30 000 filiales françaises à l’étranger ; des filiales dont l’objet pour beaucoup est de faciliter l’externalisation des bénéfices et l’internalisation des pertes. Exemple, Total qui n’a pas payé de bénéfices en France pendant des années. Le mécanisme est simple pour les grands groupes (pas les PME) : surfacture des pseudos prestations de l’étranger et à l’inverse sur minimiser les coûts de celles destinées à l’export. Ensuite pour laver encore plus blanc, on délocalise ces profits dans des paradis fiscaux. La lutte fiscale suppose donc de mettre en cause ce principe de financiarisation excessive de l’économie, d’harmoniser aussi les conditions de concurrence (fiscale, sociale, environnementale etc.).Très récemment, l’OCDE a lancé un cri d’alerte sur le développement de  » l’optimisation fiscale »(euphémisme pour parler d’évasion).

Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’évasion fiscale, annuellement en France à plus de 50 milliards d’euros, le sénateur Eric Bocquet (PCF), rapporteur à l’époque d’une commission d’enquête sénatoriale sur l’évasion des capitaux, a proposé la création d’un Haut-commissariat. Selon le sénateur PS Yannick Vaugrenard, membre de cette commission d’enquête rapportée par Philippe Dominati (UMP), l’évasion fiscale, notée entre 50 et 60 milliards d’euros chaque année en France, « représente, au moins, le montant du remboursement des intérêts de la dette française chaque année ».

Les sénateurs avouent avoir eu le plus grand mal à chiffrer l’évasion fiscale. Si M. Vaugrenard a évoqué la fourchette de 50 à 60 milliards d’euros, Eric Bosquet a, devant la presse, parlé d’ »un risque fiscal compris entre 30 et 36 milliards d’euros », précisant que « cette évaluation ne comprend( ait) pas une série de risques ». « Si bien, ajoute-t-il, que la limite supérieure n’est pas définie : est-ce 50 milliards, 80 milliards ? » « Il ya donc une nécessité impérieuse à faire cesser cette fraude fiscale », ont souligné les sénateurs au cours d’une conférence de presse rendant compte de cinq mois de travaux de leur commission dont le rapport a été adopté à l’unanimité. « C’est un axe politique majeur sur lequel le gouvernement va devoir travailler à la rentrée », ont révélé les membres de la commission qui font une cinquantaine de propositions pour lutter contre l’évasion fiscale.

« Il y a donc une nécessité impérieuse à faire cesser cette fraude fiscale », ont souligné les sénateurs . Avec une forte critique de l’Europe. « Europe trop absente » des voies de lutte engagée contre la fraude fiscale par l’OCDE et le GAFI, car elle est « paralysée par les concurrences fiscales qu’elle abrite en son sein » et que c’est sur son territoire que résident « les paradis fiscaux les plus puissants du monde ». « La politique franco-française de lutte contre l’évasion fiscale porte la marque de ces enlisements ».

Aussi, les sénateurs veulent-ils, parmi leurs propositions, « intégrer la fraude et l’évasion fiscale au débat parlementaire » et procéder à une « évaluation régulière » des différents dispositifs qui seront mis en place. car elle est « paralysée par les concurrences fiscales qu’elle abrite en son sein » et que c’est sur son territoire que résident « les paradis fiscaux les plus puissants du monde ». « La politique franco-française de lutte contre l’évasion fiscale porte la marque de ces enlisements », at-il aussi noté. Aussi, les sénateurs veulent-ils, parmi leurs propositions, « intégrer la fraude et l’évasion fiscale au débat parlementaire » et procéder à une « évaluation régulière » des différents dispositifs qui seront mis en place. car elle est « paralysée par les concurrences fiscales qu’elle abrite en son sein » et que c’est sur son territoire que résident « les paradis fiscaux les plus puissants du monde ». « La politique franco-française de lutte contre l’évasion fiscale porte la marque de ces enlisements », at-il aussi noté. Aussi, les sénateurs veulent-ils, parmi leurs propositions, « intégrer la fraude et l’évasion fiscale au débat parlementaire » et procéder à une « évaluation régulière » des différents dispositifs qui seront mis en place.

12345...11