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Réforme du Code du travail : 50 articles au lieu de 8000 ! ( Badinter)

Réforme du Code du travail :  50 articles  au lieu de 8000 ! ( Badinter)

Voilà sans doute une vraie réforme qui sans doute ne se fera pas. Celle du code du travail qui en faiat substitut à la concertation la loi dans tous les aspects du contrat de travail. Bref la bureaucratie à la place  de la négociation. C’est Badinter qui la propose et qui ne peut pas être soupçonné d’être de droite. Obèse, indigeste, difficilement compréhensible par le tout-venant, le code du travail est sur la sellette. Le code du travail est sans cesse remis en cause par les différents acteurs sociaux. Mais cette fois, il s’agit d’une attaque lancée par deux éminences du sujet : Robert Badinter, l’ancien Garde des Sceaux, et l’universitaire Antoine Lyon-Caen. Ensemble, ils ont signé une tribune dans Le Monde dans laquelle ils dénoncent un texte « obèse » et indigeste. Ils détaillent tous leurs arguments dans l’ouvrage « Le travail et la loi », publié chez Fayard. Les deux spécialistes notent que depuis 1974, le code du travail est passé de 600 articles à 8.000 devenant « obscur et inquiétant » au lieu d’être « protecteur et rassurant ». Mais surtout, ils dénoncent des textes « trop souvent dictés par une finalité immédiate, dans l’espérance toujours déçue qu’une modalité nouvelle suscitera des milliers d’emplois. » Pour les deux auteurs de la tribune, cette complexité accentue le chômage au lieu de l’endiguer. Un discours que tient depuis longtemps l’ex-ministre (Affaires européennes puis Agriculture) de Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire. Robert Badinter et Antoine Lyon-Caen ne se contentent pas de le remettre en cause, ils proposent une autre voie, plus simple, plus efficace tout en restant le garant des grands principes de protection de salariés. Leur projet tient dans 50 articles qui pourraient fonder une Déclaration des droits du… travail.  Leur révolution repose avant tout sur la réaffirmation de grands principes comme le CDI qui est « la forme normale » du contrat, la période d’essai dont la durée doit être « raisonnable » et le repos dominical qui doit subsister. Quant au licenciement, il doit être utilisé pour des « motifs réels et sérieux » et, lorsqu’il s’applique, doit donner lieu à des indemnités excepté lorsque des fautes graves sont avérées.

 

CAF: hausse de 50% de la fraude

CAF: hausse de 50% de la fraude

 

Ce n’est pas vraiment une  hausse de la fraude mais une  hausse des contrôles.  Ce qui por te le montant  à 200 millions pour  les fraudes détectées et sanctionnées par la Caisse d’allocations familiales ; elles ont   progressé de près de 50% à 209 millions d’euros en 2014, selon un bilan publié ce lundi 1er juin. En fait une somme assez dérisoire quand on sait que la CAF distribue pour environ 80 milliards de prestations sociales. En fait c’est beaucoup de pub sur la fraude pour pas grand-chose ( la même pub qui avait concerné les  fraudes  aux Assedic).  On ne peut sans  doute  pas  devenir millionnaire avec les fraudes à la CAF ( ou aux ASSEDIC) mais  on doit quand même être plus rigoureux dans l’attribution de  ces aides. Et de ce point de vue les fraudes décelées relève de l’anecdote.  Les chiffres paraissent impressionnants. L’an passé, le nombre de fraudes détectées par la Caisse d’allocations familiales (CAF) a bondi de 56%, s’établissant à 32.828 contre 21.000 en 2013, selon un bilan présenté ce lundi 1er juin. En termes de montant, on passe ainsi de 141 millions d’euros de fraudes « qualifiées » (c’est-à-dire donnant à lieu à des sanctions par la CAF) à 209,6 millions d’euros, soit 48,21% de plus. A titre de rappel, en 2004, ce montant n’était « que » de 18 millions d’euros.  On pourrait penser à la lecture de ces chiffres que 2014 a été une année où les allocataires ont eu un comportement plus frauduleux qu’à l’accoutumée. Il n’en est rien.  Comme le souligne la CAF, « la fraude n’a pas augmenté, c’est l’amélioration continue de la détection qui explique la hausse du nombre de fraudes qualifiées ». Elle cite notamment la technique du « datamining », soit l’analyse à partir d’un important volume de données, qui permet de mieux identifier les indus, c’est-à-dire les sommes versées à tort par la CAF, de nature frauduleuse. En grande majorité (70%) les cas de fraudes relèvent d’omissions, de fausses déclarations sur les ressources du ménage ou encore sur les situations professionnelles. La Caf explique notamment que les dissimulations de concubinage ont représenté 20% des fraudes détectées.  Parmi les allocations, les fraudes sanctionnées ont concerné en premier lieu les minimas sociaux (RSA, minimum vieillesse) avec 68,55% des cas. Viennent ensuite les aides au logement (23,17% des cas).  La CAF souligne par ailleurs qu’un grand nombre de fraudes sur la branche Famille sont assimilées à des fraudes dites de « survie » qui sont « le fait de personnes très modestes, bénéficiaires des prestations sous conditions de ressources, et le plus souvent de minimas sociaux ». Elle considère que le montant moyen du préjudice (6.386 euros) est peu élevé « au regard d’autres types de fraudes aux finances publiques ».

Électricité : augmentation de 50%d’ici 2020

Électricité : augmentation de 50%d’ici 2020

D’après un rapport du sénat, l’électricité fournie par EDF devrait augmenter de 50% d’ici 2020. notamment pour faire face à l’endettement et aux coûts considérables de démontage de centrales nucléaires. Difficile cependant de justifier cette augmentation et surtout sa progression. Du coup EDF a trouvé la combine, elle procède à un rattrapage sur la période 2012-2013 ; en effet  EDF régularise actuellement ses factures de 2012-2013. Dès lors pour faire passer la pilule pourquoi ne pas justifier de rattrapages tarifaires depuis la création d’EDF ?  À la grande surprise des abonnés, qui se posent la question : est-ce légal de demander un rattrapage deux ans après ?  Vous êtes nombreux à avoir reçu un courrier de la part d’EDF, vous demandant de payer un supplément sur vos factures déjà réglées. Certains s’étonnent de devoir payer, alors qu’ils ne sont même plus abonnés à EDF. Ce rattrapage concerne toutes les personnes abonnées au tarif réglementé de l’électricité, entre juillet 2012 et juillet 2013, même si vous avez changé de fournisseur d’énergie entre-temps. Il y a même des héritiers à qui l’on demande de régler un supplément pour leurs proches, décédés depuis. C’est le résultat d’un long feuilleton administratif qui a débuté à la mi-2012. Le gouvernement, à l’époque, pour préserver le pouvoir d’achat des ménages, avait décidé de limiter à 2% la hausse des tarifs d’électricité sur un an. Mais EDF, qui voulait plus, a saisi le Conseil d’État et a obtenu gain de cause : une hausse supplémentaire et rétroactive de 5%. Cette demande est tout à fait légale, explique Elisabeth Chesnais de l’association UFC – Que Choisir.  »Les fournisseurs ont attaqué, le Conseil d’État a jugé, et le gouvernement a dû prendre un arrêté. Sauf que ce délai de prescription est bien de deux ans, mais il commence à courir seulement quand un texte réglementaire est pris. C’est la date de l’arrêté qui compte, et pas la date d’origine du problème qui est constatée« , argumente-t-elle. EDF peut donc vous demander de payer 30 euros supplémentaires, sur une facture de 700 euros.

Sondage emploi: le coût du travail, frein à l’embauche pour 50% des patrons

Sondage emploi: le coût du travail : frein à l’embauche pour 50% des patrons

Certes il agit d’un sondage commandé par le Medef cependant la crainte des patrons pour embaucher à cause du coût du travail n’est pas surprenante. Il s’agit d’ailleurs moins des salaires que des charges et taxes de toutes nature qui pèsent sur la rémunération ( voir tableau comparaisons européennes). Les résultats de cette enquête sont édifiants. 70% des entrepreneurs français disent avoir « peur » quand ils envisagent une embauche en France, selon un sondage Opinionway pour le Medef.  Selon ce sondage réalisé auprès de 1.001 chefs d’entreprises, petites et grandes, et dans tous secteurs, la moitié (50%) cite le coût du travail comme principale « peur, inquiétude ou difficulté » à la décision d’embaucher, dont 22% en premier. A noter que cet argument est cité de façon inversement proportionnelle à la taille de l’entreprise : plus elle est petite, plus le chef d’entreprise cite le coût du travail en premier. Viennent ensuite le manque de visibilité économique (45% au total, 20% le mentionne en premier), les difficultés liées à la rupture du contrat (45%, 16% en premier). Les chefs d’entreprises disent souffrir de la difficulté à trouver des personnes qualifiées (39%), notamment dans l’industrie (26% citent cet argument en premier) et de la rigidité des contrats (37%).  L’instabilité réglementaire, sociale et fiscale est mentionnée par un tiers (32%) des personnes interrogées.

 

SALAIRE NET APRÈS IMPÔTS ET COTISATIONS SOCIALES
ET COÛT DU TRAVAIL EN %*

 

Pour un salaire de
50.000 euros

Pour un salaire de
200.000 euros

Il reste au salarié

Il en coûte à l’employeur

Il reste au salarié

Il en coûte à l’employeur

France

66,6 %

143 %

48,5 %

140 %

Allemagne

62 %

119 %

53,4 %

105 %

Pays-Bas

63,1 %

109 %

46,2 %

102 %

Luxembourg

80 %

111 %

60,1 %

104 %

Suisse (Genève)

79,8 %

118 %

59,6 %

116 %

Royaume-Uni

74,2 %

111 %

63,7 %

112 %

Irlande

70,9 %

111 %

56,6 %

103 %

Etats-Unis (New York)

77,1 %

108 %

61,8 %

104 %

*rapport du sénat

 

 

Immobilier- résidences « secondaires » : baisse des prix jusqu’à 50% depuis 2008

Immobilier- résidences « secondaires » : baisse des prix jusqu’à  50% depuis 2008

 

Les notaires constatent une baisse des prix jusqu’à 50% dans le secteur des résidences dites « secondaires ». Cette baisse concerne de nombreuses régions et bien au-delà de celles citées par les notaires. De plus comment faire le distinguo ente résidences secondaires et résidences principales dans les mêmes zones? Les résidences secondaires des uns sont souvent des résidences principales pour d’autres. Beaucoup de résidences dite « secondaires » sont d’anciennes résidences principales soit de retraités, soit d’actifs qui se sont rapprochés des bassins d’emplois. En clair c’est l’ ensemble du patrimoine foncier qui s’écroule en dehors des zones d’ attraction des grosses  agglomérations.  Les résidences secondaires se vendent de plus en plus mal, constatent donc les notaires, tant sur les côtes touristiques, où les prix et les volumes de ventes sont en berne, qu’à l’intérieur du pays où le  marché est véritablement sinistré. Dans leur dernière note de conjoncture publiée lundi, les notaires de France constatent ces derniers mois « une érosion des prix qui se poursuit » dans l’immobilier ancien, mais avec « de fortes disparités régionales ». de fortes baisses en 2014, quels que soient les secteurs ». Ainsi « sur les côtes touristiques, les volumes de ventes et les prix sont en berne et devraient le rester« , estiment les notaires de France.  Pire, « dans les zones intérieures, le prix des maisons de campagne s’effondre », notent-ils. Ainsi dans la Creuse, les prix ont chuté de 50% depuis 2008. Le constat est le même dans le Morvan, le Périgord, ou le Gers, constatent les notaires, au vu de leurs transactions. En Normandie et dans le Perche, les prix reculent de 20 à 25%, dans le Luberon, le repli est d’environ 10%.  « L’offre pléthorique de biens de cette catégorie démontre que ce marché est fortement touché », notent encore les notaires.  »Rappelons qu’il s’agit d’achats ‘plaisir’, que d’aucuns délaissent à défaut de confiance en l’avenir, ne sachant pas notamment si un tel investissement assurera la conservation de leur épargne« , analysent-ils. Ainsi dans le contexte économique actuel, « posséder une résidence secondaire est plus que jamais un luxe », estiment les notaires, rappelant que les propriétaires n’en profitent en moyenne que 42 nuits par an ».  De son côté le réseau immobilier Guy Hoquet (Nexity) a dressé en début d’année un « palmarès des régions de résidences secondaires où le marché baisse le plus ». La région Centre arrive en tête avec une baisse de 21,6% au dernier trimestre de l’an dernier, par rapport à un an plus tôt, à 1.231 euros le mètre carré. Suivent la Basse-Normandie (-10,1% à 2.372 euros le m2), la Bretagne (-6,5% à 2.301 euros), la Provence-Alpes-Côte d’Azur (-6,5% à 4.751 euros), la région Rhône-Alpes (-4,4% à 2.458 euros) et les Pays de la Loire (-3,4% à 2.116 euros). 

 

Candidats élections départementales :50% de fonctionnaires !

Candidats Élections départementales :50% de fonctionnaires !

 

Un sondage de Harris analyse le profil des candidats. Il faut surtout retenir qu’environ 50% des candidats sont des fonctionnaires actifs (35%)   ou retraités (15%).. Un proportion toutefois qui a été atténuée par la contrainte de légalité home-femme.  Pas étonnant que les finances locales soient à la dérive et ça ne risque pas de s’améliorer. On observe cependant  un certain renouveau générationnel parmi les candidats. L’âge moyen est passé de 53 ans, en 2008-2011, à 51 ans pour 2015 (51,7 pour les hommes, 50,6 pour les femmes). Une moyenne hétérogène, proche de celle de la population française majeure (49.,5 ans). La plus jeune candidate (FN) a à peine 18 ans et la plus âgée (FN), 91 ans.  En moyenne, 13 ans d’âge séparent les deux membres d’un binôme. Debout la France, le Front national et Europe Ecologie-Les Verts ont les moyennes d’âge les plus jeunes avec respectivement 47,5 ans, 49,4  ans et 49,5 ans. À l’inverse, les candidats du Front de Gauche (52,7 ans), du Parti socialiste (52,2 ans) et de l’UMP (51,6 ans) présentent les profils les plus âgés.  Les cadres et professions libérales sont largement représentés (28%) alors que cette dernière catégorie socioprofessionnelle ne représente que 9% de la population française, précise Harris Interactive. Les candidats sont également composés à 23% de retraités, 18% d’employés, 16% de professions intermédiaires.   Parmi les candidats aux élections départementales, 35% des personnes actives sont issues du secteur public alors qu’au niveau national, ce secteur représente 22% de la population active. La proportion des candidats évoluant dans le secteur public est même proche de 50% à gauche (52% au FG, 49% au PS) alors qu’elle est de 27% à l’UMP et très minoritaire (15%) au FN. Les candidats du FN sont majoritairement des employés (26%) ou des retraités (26%), plus que des cadres et professions libérales (14%). En revanche, les effectifs de l’UMP, du PS, du Centre et d’EELV sont composés pour plus d’un tiers de cadres et professions libérales, mais de peu d’employés (15% ou moins) et encore moins d’ouvriers (1% ou moins). Du fait de la forte réduction du nombre de cantons, passés de 4.046 à 2.054, le nombre de candidatures suit la même évolution et passe de 18.881 à 9.096. Mais au-delà de l’effet mécanique, on assiste à une légère baisse du nombre moyen de candidatures par canton : 4,7 en 2008-2011 contre 4,4 en 2015. Parmi les 9.096 binômes candidats, 2% seulement sont composés de deux candidats sortants. Pour 20% ils sont composés d’un candidat sortant et d’une personne ne faisant pas parti du précédent mandat. 78% des binômes présentent deux personnes n’ayant pas exercé la fonction de conseiller général lors de la dernière mandature.

 

Environnement- réduction des pesticides de 50% d’ici 2025 ?

Environnement- réduction des pesticides de 50% d’ici 2025 ?

 

La France est une  grosse consommatrice de pesticides et annonce qu’elle va réduire l’utilisation de la chimie agricole  avant 2025. D’ici là Stéphane Lefoll, auteur  du plan, aura sans doute disparu du paysage gouvernement et on pourra toujours revoir les objectifs. Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll va présenter vendredi un plan visant à réduire de 50% l’usage des pesticides d’ici 2025, en s’appuyant notamment sur les distributeurs de produits phytosanitaires. « On va fixer l’objectif d’une baisse de 50% en 2025, avec un palier intermédiaire de 25% en 2020″, annonce le ministre dans un entretien dans Libération daté de vendredi. Pour y parvenir, le ministre compte d’abord étendre le réseau de fermes pionnières sur le sujet qui ont « vu l’utilisation des pesticides baisser en moyenne de 12% en 2013″, une performance notable quand on sait qu’en moyenne l’usage des pesticides a au contraire bondi de 9% sur l’année. Les quantités de pesticides utilisées dans le monde augmentent régulièrement depuis soixante ans. Elles semblent diminuer dans certains pays d’Europe, mais à dose ou poids égal, les matières actives d’aujourd’hui sont généralement beaucoup plus efficaces que celles des décennies précédentes. Au niveau mondial, ce sont les pays producteurs de riz (Japon, Corée du Sud, etc.) qui consomment le plus de pesticides par hectare], quatre fois plus que la moyenne européenne, elle-même supérieure à celle des États-Unis. La France est, en 2008, le quatrième consommateur mondial de pesticide], loin derrière les États-Unis, et derrière le Japon et le Brésil. Parmi les pays européens, la France se classe au quatrième rang, derrière notamment les Pays-Bas et d’autres pays chez lesquels les systèmes de production sont d’abord orientés vers l’horticulture et le maraîchage]. La France est située à la troisième place sur le plan international pour l’utilisation de pesticides en 2013. En 2013, le recours aux pesticides a augmenté de 9,2%. Le coût des pollutions agricoles (engrais azotés et pesticides) sont de 1 milliard à 1,5 milliards d’euros par an au minimum pour les ménages (eau du robinet et bouteille). Le traitement complet (eutrophysation, algues vertes) est évalué entre 54 milliards et 91 milliards d’euros par an. Selon un sondage du 30 janvier 2015, seulement 45% des agriculteurs se considèrent engagés dans l’agroécologie mais 13% seraient prêts à le faire. Les plus jeunes agriculteurs, les moins de 35 ans, témoignent dans le sondage de leur intérêt pour améliorer leurs pratiques. 31% d’entre eux envisagent de s’engager dans l’agroécologie. En novembre 2014, François Hollande avait promis de mener plus loin la lutte contre l’utilisation de pesticides néonicotinoïdes qui tuent les abeilles et autres pollinisateurs. En effet, 35% de la production mondiale de nourriture est liée aux pollinisateurs qui sont décimés par les pesticides avec notamment les néonicotinoïdes qui agissent sur le système nerveux. Le gouvernement a demandé à l’Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) de mener une étude sur les effets sur la faune pollinisatrice dont les résultats seront révélés en 2015. Le gouvernement ne souhaite pas une interruption brutale de ces produits car ces derniers remplacent déjà des produits autrefois plus nocifs et aucune alternative n’est actuellement disponible. Un délai de cinq ans est selon le Ministre de l’Agriculture. La solution gouvernementale est en attendant de reporter l’utilisation des pesticides néonicotinoïdes le soir lorsque les abeilles ne butinent plus. L’association Générations Futures rappelle qu’une baisse significative de l’usage des pesticides en agriculture ne pourra pas être atteinte uniquement avec l’optimisation technique des équipements ou le recours aux produits de bio-contrôle. Il s’agit bien d’inciter les producteurs à mettre en place des systèmes de production du type ‘production intégrée’, qui produisent déjà des résultats remarquables dans plusieurs réseaux en France[2], afin d’atteindre l’objectif de – 50% du NODU qui reste l’objectif à terme du plan. Il faudrait également développer l’agriculture biologique qui devrait représenter à terme 20% de la Surface agricole. Parmi les produits les plus bourrés d’ insecticides d’abord et très loin devant les pommes, puis les pommes de terre, le vin, enfin les céréales  aussi évidemment les légumes en général.   Les conséquences sanitaires de l’exposition aux pesticides sont d’ores et déjà massives. Des centaines d’études, à l’échelle internationale, montrent que ces produits de la chimie de synthèse agissent, même à des doses infinitésimales, sur notre équilibre le plus intime. Le cordon ombilical du fœtus, le système endocrinien, la fabrication du sperme sont atteints. Les cancers et les maladies neurologiques se multiplient. Comme l’indique un livre de Fabrice Nicolino et François Veillerette. « Depuis 1945, l’industrie des pesticides a pris le pouvoir en France, sans que personne ne s’en doute ». Cet ouvrage donne des noms, livre des dates, fouille les archives. Oui, des congrès prétendument scientifiques ont été truqués. Oui, les industriels ont infiltré, et continuent de le faire, les commissions officielles chargées du contrôle des pesticides. Oui, l’« agriculture raisonnée », que les pouvoirs publics français présentent comme la solution de l’avenir, est une farce, une incroyable manipulation. 

Sondage : 50% des sympathisants UMP pour le FN

Sondage : 50% des sympathisants UMP pour le FN

Un sondage TNT Sofres pour France info qui confirme les tendancs de l’élection de la législative du Doubs. 50 % des électeurs UMP prêts à voter FN ; Une  conclusion :  les départementales comme  les régionales seront un massacre pour le PS. sans parler de 2017 car  contrairement aux sondages rélisés  jusque là Marine le Pen aurait les plus grandes chances contre en candidat du PS  du fait du report des voix de l’UMP. Un sondage qui risque de bousculer la stratégie de l’UMP jusque là le cul entre deux chaises  avec son n i-ni et qui pourrait bien nettement droitiser son propos. En clair on s’oriente  vers une alliance qui ne dit pas son nom ( pour l’instant !)  entre l’UMP et le FN.

D’après ce sondage, la moitié des sympathisants UMP serait pour des alliances locales avec le Front national pendant les prochaines élections départementales et régionales. C’est dix points de plus que l’an dernier au moment des municipales. Et 43% n’auraient même rien contre un accord électoral national, contre 37% en 2014. Le Front national semble donc séduire de plus en plus dans les rangs de l’UMP, mais si on tient compte de l’ensemble des électeurs, toutes orientations politiques confondues, le parti serait en très léger recul. En effet,  62% des personnes interrogées se disent en désaccord total avec les thèses du FN, soit trois points de plus qu’il y a un an. Les Français seraient en outre un peu moins nombreux à trouver qu’il y a trop d’immigrés en France, ou que l’on accorde trop de place à l’islam. Certains chevaux de bataille du Front national semblent en revanche séduire de plus en plus, quel que soit le bord politique. Ainsi, 36% des personnes interrogées se disent notamment d’accord pour rétablir la peine de mort. C’est quatre points de plus qu’il y a un an.

CAC 40 : 50 milliards aux actionnaires ; vive la crise !

CAC 40 : 50 milliards aux actionnaires ; vive la crise !

 

 

Le paradoxe n’est qu’apparent, plus le chômage monte et plus les profits boursiers augmentent. C’est même  la caractéristique d’une crise économique, de plus en plus de pauvres et de plus en plus de riches. Ce n’est pas une spécificité  française mais mondiale. C’est grâce à ce processus qu’environ 1% des de la, population possède la moitié de la richesse mondiale. Evidemment on objectera que le capitalisme  pour fonctionner a besoin de capitaux, que les entreprises, pour se développer ont besoin d’emprunter, que l’épargne placée dans les entreprisse, c’est plus utile que dans des chaussettes ou que le  capital mort que représente la pierrre. Autant d’arguments qui ne sont pas complètement faux. Pour autant il y a disproportion entre la croissance de la richesse produite et la rémunération des actionnaires, inégalités surtout entre ceux qui doivent en être les bénéficiaires : les investissements, les salariés, les clients, les actionnaires. A cet égard la gestion actuelle à coutre vue qui privilégie le rendement financier est largement responsable de la crise des investissements et au delà de la croissance. Le rendement actuel d’une certaine manière est fictif car il hypothèque le futur. Mais la sphère financière a imposé sa logique à la sphère économique ; Par ailleurs c’est plus sexy pour nombre de dirigeants de grosse boites  de jouer avec les performances financières (  au passage de se gaver aussi) que de s’illustrer avec les seules performances économiques et techniques. A plus long terme il y aura des perdants même chez les rentiers car faute de vraie richesse produite, l’euro (comme d’autres monnaie) deviendra uen monnaie de singe. En hausse de 30%. Les sommes versées par les entreprises du CAC 40 à leurs actionnaires, sous forme de dividendes et de rachats d’actions, ont atteint 56 milliards d’euros en 2014, selon une étude publiée lundi 9 février par la lettre spécialisée Vernimmen.net. Ce total égale presque le record atteint en 2007 par les grands groupes français cotés en Bourse, avant la crise financière qui avait éclaté l’année suivante, selon les données de l’étude. Dans le détail, les rachats d’actions ont bondi de 55% à plus de 10 milliards d’euros, et les dividendes de 25% à 46 milliards. Ce total a cependant été gonflé par deux énormes opérations au caractère exceptionnel : la sortie partielle de Nestlé du capital de L’Oréal, qui a vu le groupe français racheter pour environ 6 milliards d’euros de ses propres actions à son actionnaire suisse, et une distribution d’actions Hermès par LVMH à ses actionnaires, pour un montant total de 6,5 milliards d’euros. En dehors de ces opérations, les rachats d’actions de l’an dernier sont en légère diminution par rapport à 2013, tandis que les dividendes ressortiraient en hausse de 5,5%. « Comme les années précédentes, le trio de tête des versements de dividendes (hors LVMH) représente de l’ordre du tiers des dividendes versés. Il est, à l’identique de l’an dernier, composé de Total, Sanofi et GDF Suez. Si on ajoute EDF, Orange et BNP Paribas, on atteint avec 6 groupes presque 50% des dividendes », précise Vernimmen.net. Ces chiffres pourraient relancer la polémique sur la propension des grands groupes français à récompenser leurs actionnaires plutôt qu’à embaucher et à investir, alors que le gouvernement a pris des mesures importantes en leur faveur avec le CICE puis le pacte de responsabilité.

 

Allianz : 50 millions d’euros d’amende

Allianz : 50 millions d’euros d’amende

 

Finalemene une petite amende; Tout bénéfice pour les compagnies d’assurances, on encaisse les cotisations mais on oublie de rechercher  les bénéficiaires de l’assurance vie. Un encours de l’ordre de 4 milliards estimés par la cour des comptes (assurances et comptes non réclamés). Le groupe Allianz a écopé d’une amende de 50 millions d’euros pour ne pas avoir produit assez d’efforts pour retrouver les ayants droit de contrats d’assurance-vie non réclamés, selon un avis mis en ligne lundi sur son site. C’est la sanction la plus lourde jamais infligée par le régulateur des assurances. Allianz Vie, filiale française de l’assureur allemand, se voit aussi infliger un blâme, selon le texte de la décision de la Commission des sanctions de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) de la Banque de France. « Cette décision ne reflète pas l’engagement fort d’Allianz depuis la loi de décembre 2007 en termes de moyens financiers et humains dédiés à l’identification des décès et à la recherche des bénéficiaires, ni les résultats significatifs obtenus », a réagi Allianz dans un communiqué. L’assureur confirme qu’il « continuera à s’investir avec détermination dans la recherche des bénéficiaires de contrats non réclamés » et souligne que « le montant de 50 millions d’euros décidé par l’ACPR n’aura aucun impact pour ses clients et ses partenaires ». L’ACPR reproche à Allianz Vie de ne pas avoir réglé suffisamment rapidement certains capitaux dus dans le cas de décès antérieurs à 2007. Dans une affaire analogue, le régulateur a prononcé le 3 novembre une sanction pécuniaire de 40 millions d’euros assortie d’un blâme à l’encontre de l’assureur français CNP Assurances. Il s’agissait jusque-là de la sanction la plus lourde jamais infligée par l’ACPR.

Sondage : Qui ferait mieux que Hollande? Juppé pour 50% des Français

Sondage : Qui ferait mieux que Hollande? Juppé pour 50% des Français

A cette question, seul Alain Juppé recueille une majorité, 50%, de réponses positives, selon notre sondage CSA pour BFMTV publié ce mardi. Se classent derrière lui l’actuel Premier ministre socialiste, Manuel Valls – 39% de « oui »- et l’ancien Président UMP Nicolas Sarkozy, 38%.  L’ancien Premier ministre Alain Juppé, candidat à la primaire à droite en vue de la présidentielle 2017, est donc le seul à rassembler une majorité de Français derrière lui. De justesse, puisque 49% des sondés estiment qu’il ne ferait pas un meilleur Président que François Hollande.  Le maire de Bordeaux arrive en tête grâce à une crédibilité ancrée dans toutes les familles politiques. Ainsi, s’il est très favorablement jugé par les sympathisants de l’UMP (79%), Alain Juppé recueille également 44% d’avis favorables chez ceux du PS, tandis que 29% des sympathisants FN lui accordent du crédit. Deuxième du podium, Manuel Valls rassemble lui aussi au-delà de son propre camp. Ils sont 53% des sympathisants PS et 45% des soutiens de l’UMP à estimer qu’il ferait, aujourd’hui, un meilleur Président que François Hollande.  A gauche, le Premier ministre creuse l’écart sur les autres personnalités de la majorité. Il devance de loin Martine Aubry et Arnaud Montebourg, qui pâtissent d’un déficit de crédibilité au sein même de leur famille politique, sans être crédibles au-delà comme peut l’être Manuel Valls. Ainsi, seuls 47% des sympathisants PS pensent que Martine Aubry ferait une meilleure Présidente, cette proportion étant beaucoup plus faible pour Arnaud Montebourg, 24%.  Troisième du classement, Nicolas Sarkozy surclasse toujours Alain Juppé auprès des sympathisants de l’UMP. Ces derniers restent favorables à l’ex-Président: 91% d’entre eux (contre 79% chez Alain Juppé) jugent qu’il ferait mieux que François Hollande. Mais Nicolas Sarkozy clive plus qu’Alain Juppé: les sympathisants PS lui opposent un « non » massif, 94% pensant qu’il ne ferait pas un meilleur Président que François Hollande. Dans le camp du FN, les avis apparaissent très partagés à son égard, 47% voit en lui, un meilleur Président, contre 51% de « non ». Marine Le Pen arrive quatrième de ce classement, avec 32% de « oui ». Mais la présidente du Front national ne convainc que dans son camp: 98% des sympathisants FN pensent qu’elle ferait une meilleure Présidente que François Hollande, contre seulement 6% de ceux du PS, et un tiers de ceux de l’UMP (32%).

 

Innovation le TOP 50 des entreprises dans le monde

Innovation le TOP 50 des entreprises dans le monde

Dans le classement  FastCompan : la France est loin, PPR arrive à la 46e place du classement. Le groupe est récompensé pour son initiative : présenter Tod’ici à 2015 un compte de résultat environnemental pour ses 16 marques. Emissions de gaz à effet de serre, consommation d’eau, utilisation du sol, pollution de l’air, déchets… Il s’agit d’intégrer l’impact environnemental comme critère de performance du groupe. Autre société innovante : Activision Blizzard. Certes, l’ADN de cet éditeur de jeux vidéo à succès, numéro un mondial, est américain. La société a été rachetée en 2007 par Vivendi qui l’a fusionné avec son studio Blizzard. Activision intègre la 41e place grâce à ses jeux innovants et interactifs. Pour la neuvième fois consécutive, Apple est l’entreprise considérée comme la plus innovante dans le monde, révèle la dernière édition du classement réalisé depuis 2005 par le cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG). Elle est suivie par Google et Samsung, qui échangent leur place par rapport à l’année dernière, puis par Microsoft, qui maintient sa position de 2013, et par IBM, qui détrône Toyota Motor’s du Top 5. 14 des 20 premières entreprises du classement sont d’ailleurs les mêmes qu’en 2013, souligne l’étude du BCG, qui se fonde sur une enquête réalisée auprès de 1.500 cadres dirigeants issus de tous secteurs et toutes régions ainsi que sur les résultats financiers des sociétés concernées. Un secteur est particulièrement représenté cette année, atteignant son plus fort taux de présence depuis 2010: celui de la high-tech. Toutes les sociétés du Top 5, ainsi que 21 de celles du Top 50, en font d’ailleurs partie. L’industrie des biens de consommation peut aussi s’enorgueillir, pour la première fois depuis 2010, de la présence de 14 entreprises parmi les 50 du classement. Le secteur de l’automobile, qui avait fait un bond en 2013, avec 14 fabricants dans le classement, voit en revanche sa perception se dégrader: seules 9 sociétés font désormais partie de la liste. Deux uniquement améliorent par ailleurs leur position: Tesla Motors, qui passe de 34e à 7e, et Fiat, qui grimpe onze niveaux pour se placer 32e. Elles étaient toutes les deux de nouvelles entrantes en 2013. Quant à la répartition par régions de ces pointes de l’innovation, les entreprises américaines occupent 50% du classement et 70% des 10 premières places. Seules 26% des 50 classées sont en revanche européennes, et une seule française: Airbus (33e, juste devant Boeing). Si les entreprises originaires des pays émergents ne remportent qu’un maigre 10% du classement, leur progression est toutefois notable, puisqu’en 2013 elles ne représentaient que 4%. Un investissement motivé par le contexte, selon l’un des auteurs du rapport, Hadi Zablit, qui explique: « Au contraire des pays matures, dans les pays émergents l’innovation est essentielle pour se développer ». 75% des entreprises de ces pays envisagent d’ailleurs d’accroître leurs dépenses d’innovation en 2015, contre 57% dans les pays développés. Dans le « deuxième classement » établi par le BCG, celui des dix sociétés « montantes », encore trop jeunes pour être incluses dans le classement général mais qui se font connaître pour leurs capacités d’innovations, deux sont d’ailleurs chinoises, deux japonaises et une indienne. Alors que la moitié sont américaines, aucune ne vient d’Europe ou d’Amérique du Sud. Quatre étaient déjà présentes l’année dernière: WhatsApp, Square, Ratuken et Xiaomi Technology, qui en 2014 se classe d’ailleurs première.

Electricité : vote la réduction du nucléaire à 50% qui sera remis en question dès 2017

Electricité : vote la réduction du nucléaire à 50% qui sera remis en question dès 2017

 

C’est le genre de vote qui ne sert à rien ou presque puisque c’est une décision qui vise 2030. En fait c’est surtout pour faire plaisir aux écolos politisés mais il y aura longtemps que ces derniers auront disparu de la scène politique en 2030. Dès 2017 tout sera remis en question. Dans le même temps où on se montre très volontariste pour 2030 mais  on ne sait plus si on va fermer Fessenheim come l’avait annoncé Hollande ; Légère contradiction ! Les questions écologiques sont trop sérieuses pour être confiées aux écolos politisés ; Notamment la gestion du nucléaire qui pose un réel problème mais qui ne peut être résolu sans une remise en cause du mode de développement à partir de réalités concrètes (environnementales mais aussi économiques et sociales) et progressivement.  Les députés examinent donc depuis le 30 septembre les 64 articles du projet de loi « relatif à la transition énergétique pour la croissance verte ». Vendredi matin, ils ont voté le 1er article du texte, qui prévoit de réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité en la faisant passer de 75% aujourd’hui à 50% à l’horizon 2025. C’était une des promesses de François Hollande lors de sa campagne électorale.  Emmanuelle Cosse se félicite. « C’est un signe très fort que la France vient d’envoyer, parce que c’est le premier pays nucléarisé du monde et ce pays-là vient de dire qu’il allait réduire la part du nucléaire dans la production électrique et qu’il allait développer les énergies renouvelables« , estime la patronne d’Europe Ecologie Les Verts sur France info. « C’est pour moi une étape très forte pour notre pays et aussi pour les emplois qui vont aller derrière« , poursuit-elle. Le texte prévoit en effet une augmentation de la part des énergies renouvelables, portée à 23% en 2020 et 32% en 2030, et une diminution de la consommation des énergies fossiles de 30% d’ici 2030. Une bonne nouvelle donc pour les écologistes, surtout après l’abandon, la veille, de l’écotaxe, qui selon François de Rugy est « un très mauvais signal pour l’écologie en général« . Le député EELV qui se console donc ce vendredi avec cette loi sur l’énergie, qui est « quand même d’une autre ampleur » souligne-t-il, « puisqu’il s’agit de mettre en œuvre un changement très profond dans la diversification des sources d’énergie en France et de développer enfin les énergies renouvelables« . « C’est un changement sans précédent qui heureusement, lui, se met en œuvre« , poursuit-il sur France info.

 

Ioukos : Poutine condamné à 50 milliards de dollars

Ioukos : Poutine condamné à 50 milliards de dollars

La Cour permanente d’arbitrage de La Haye va sommer lundi la Russie de verser 50 milliards de dollars (37 milliards d’euros) de dommages et intérêts aux anciens actionnaires de la défunte compagnie pétrolière russe Ioukos, écrit le journal russe Kommersant. La Russie devrait faire appel du jugement, ajoute Kommersant sur son site internet, qui ne précise pas quelles sont ses sources. Un groupe d’anciens actionnaires de Ioukos avait réclamé à Moscou 100 milliards de dollars (74 milliards d’euros) pour avoir exproprié la compagnie pétrolière, qui était contrôlée par l’oligarque Mikhaïl Khodorkovski, naguère homme le plus riche de Russie avant de passer de longues années en détention. Arrêté en octobre 2003 et condamné à dix ans de prison pour détournement de fonds et fraude, Mikhaïl Khodorkovski, qui a nié les faits reprochés, a bénéficié en décembre dernier d’une libération anticipée, sortant de prison huit mois avant d’avoir purgé la totalité de sa peine. Ioukos, qui pesait jadis 40 milliards de dollars, a été démantelé et la majeure partie de ses avoirs ont été transmis à Rosneft, compagnie pétrolière dirigée par un ancien collaborateur du président russe, Vladimir Poutine.

TER trop larges : avec quel argent RFF prendra en charge 50 millions d’euros de travaux

TER trop larges : avec quel argent RFF prendra en charge 50 millions d’euros de travaux

RFF, sas doute pour étouffer le scandale, déclare prendre en charge les 50 millions de travaux nécessaires. Une somme d’abord très approximative (le montant serait plus proche de 400 millions) car plus de 1000 gares sont concernées ; ensuite avec quel argent puisque la dette de RFF dépasse les 30 milliards ; Finalement c’est le contribuable qui paiera, un jour ou l’autre. Le gestionnaire d’infrastructures ferroviaires a donc expliqué dans un communiqué que les 50 millions d’euros de travaux, nécessaires pour raboter les quais de gares, seront à la charge de l’entreprise. Minimiser la casse. C’est la stratégie adoptée par Réseau Ferré de France (RFF). Dans son édition de ce mercredi 21 mai, Le Canard Enchaîné explique que la SNCF et RFF auraient commandé des rames trop grandes, pour ses quais. L’erreur coûtera 50 millions d’euros. L’affaire ne cesse de prendre de l’ampleur. Après les moqueries postées par des internautes, sur Twitter, les politiques ont aussi dénoncé la bêtise commise par les deux entreprises. Dans un communiqué publié ce mercredi, RFF se défend et explique que « comme à chaque livraison de nouveaux trains, l’infrastructure doit être adaptée. Certaines installations datent de plus d’un siècle et doivent être mises aux normes actuelles ». Quant au coût des travaux, estimé à 50 millions d’euros, RFF minimise la somme. Elle représente « 1,5% du coût de la commande totale de ces trains », ajoute la société dans son communiqué. Le gestionnaire d’infrastructures explique qu’il prendra « en charge intégralement les 50 millions d’euros ». Un rapport d’enquête interne devrait être remis le 26 mai prochain au ministre des Transports, Frédéric Cuvillier.

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