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Ukraine : 50 000 hommes pour contrôler la paix

Ukraine : 50 000 hommes pour contrôler la paix

 

Les pays occidentaux pourraien t prévoir l’envoi de 50 000 hommes pour favoriser la paix  entre l’Ukraine et l’URSS. Un chiffre inférieur à celui demandé par Zelinsky qui ont demandé 200 000. Les forces en question pourraient être déployées derrière le front.

 

Alors que Zelensky réclame l’envoi de 200.000 soldats occidentaux, les pays les plus impliqués dans le soutien à Kiev tablent plutôt sur le déploiement de trois divisions, soit plus de 50.000 hommes, qui seraient placées en arrière du front.

 Volodymyr Zelensky  a estimé le volume de forces occidentales qui devraient être déployées, selon lui, pour décourager Vladimir Poutine de reprendre les hostilités après un éventuel cessez-le-feu. « 200 000, c’est un minimum. Sinon, ce n’est rien », a-t-il dit lors d’une interview diffusée en marge du sommet économique de Davos. Le chef de l’État a ensuite complété ses propos en précisant que cette force ne serait pas possible sans le soutien américain, et que son format dépend aussi de la taille de l’armée ukrainienne. Pour l’instant en tout cas Poutine ne semble pas pressé de s’engager dans un processus de cessez-le-feu car la Russie progresse lentement mais régulièrement dans sa conquête en Ukraine. En outre les menaces de sanctions du président américain ne sont pas encore suffisamment concrètes pour influencer la Russie. 

 

Social–50 000 emplois créés au premier trimestre

Social–50 000 emplois créés au premier  trimestre

 L’Institut de statistiques a enregistré une hausse des créations d’emplois de 0,2% entre janvier et mars, avec 50.500 emplois créés. Dans sa note de conjoncture de la mi-mars, les conjoncturistes tablaient sur une hausse de seulement 0,1% et 20.000 emplois créés. « On est surpris une fois de plus par la vigueur du marché du travail », explique à La Tribune, Mathieu Plane, économiste à l’OFCE.

« L’économie française continue de créer autant d’emplois que d’activité. Ce qui veut aussi dire qu’il n’y a pas de gains de productivité », poursuit l’économiste. Cette révision à la hausse « ne va pas nous amener à revoir fondamentalement notre prévision du chômage autour de 8% en fin d’année, puis une stabilisation. Cela va juste retarder la hausse prévue du chômage. La remontée va être décalée ».

 

En dépit de cette bonne surprise sur l’emploi, beaucoup d’incertitudes planent sur les perspectives du chômage. Au cours de l’année 2023, le taux de chômage au sens du bureau international du travail (BIT) est remonté, pour passer de 7,2% à 7,5% en fin d’année. Et il s’est stabilisé depuis à ce niveau. Cette remontée s’explique par un essoufflement de la croissance, de plus faibles créations d’emplois et une population active dynamique. D’autres facteurs pourraient peser sur l’emploi. La fermeture du robinet des aides mises en place depuis le Covid et les moindres aides à l’apprentissage ont poussé les entreprises à réduire la voilure sur les embauches.

Il faut rappeler que pendant plusieurs trimestres, au cours des années 2021 et 2022, la croissance de l’emploi a été nettement supérieure à celle de l’activité. Beaucoup d’entreprises faisaient de la rétention de main-d’oeuvre en attendant que l’économie reparte. Mais cette perspective s’est assombrie avec l’inflation et le durcissement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne. Plusieurs instituts de prévisions à La Banque de France et l’OFCE parient également sur une hausse du chômage. En effet, l’entrée en vigueur de la réforme des retraites depuis le premier septembre dernier devrait faire bondir la population active, estimée à 500.000 actifs en plus par l’Insee d’ici 2027. Cette hausse attendue pourrait jouer en défaveur du chef de l’Etat si la dynamique des créations d’emplois reste inférieure à celle de la croissance. « La croissance modeste, la politique budgétaire restrictive, et les carnets de commande orientés à la baisse » pourraient faire grimper le chômage, complète Mathieu Plane.

Cette amélioration de l’emploi repose en grande partie sur une baisse spectaculaire de la productivité. En effet, la productivité horaire est encore loin d’avoir retrouvé son niveau d’avant crise sanitaire. Dans une récente étude, la Banque de France parle même d’un « décrochage » depuis 2019. Les débats entre économistes sont encore vifs sur les facteurs qui peuvent expliquer ces pertes de productivité.

A la Banque de France, les experts évoquent des facteurs dont les effets sont amenés à perdurer dans le temps comme les embauches massives d’apprentis ou encore les changements de composition de main-d’oeuvre. Face aux difficultés de recrutement, les entreprises ont eu tendance à recruter la main-d’oeuvre moins qualifiée. Ce qui pourrait avoir des conséquences sur la productivité des emplois à moyen terme.  D’autres facteurs temporaires comme la rétention de main-d’oeuvre peuvent expliquer cette moindre productivité. Plus inquiétant encore, l’industrie où se trouvent les emplois « les plus productifs » est également frappée par ces moindres gains de productivité.

France: Une surmortalité de 50 000 personnes non expliquée

France: Une surmortalité de 50 000 personnes non expliquée

Hors épidémie, l’INSEE enregistre une surmortalité de près de 50 000 personnes qui ne peut être expliquée; Et qui pourrait découler des rapports dégradés à la santé. L’Insee a constaté la persistance d’une nette surmortalité en France en 2022 par rapport à une année « normale », hors épidémie ou évènement inhabituel, selon les chiffres publiés mardi 6 juin par l’Institut de la statistique. Ainsi, 675 000 personnes sont mortes en France en 2022, soit 53 800 décès de plus que ce qui était prévisible, compte-tenu de l’âge de la population et des tendances enregistrées sur les 10 ou 15 ans précédentes.

L’écart à la prévision (+8,7%) est supérieur à celui constaté en 2021 (+6,9%) et en 2020 (+7,8%), l’année où l’épidémie de Covid avait explosé. Pourtant, le Covid 19 a nettement moins tué en 2022, avec 38 300 morts contre 59 100 en 2021, selon les chiffres de Santé Publique France.

« Les décès dus à d’autres causes que le Covid-19 ont donc augmenté », indique l’Insee, qui mentionne « les deux épidémies de grippe » en mars-avril et en décembre 2022, ainsi que les fortes chaleurs de l’été 2022. « Enfin, l’épidémie de Covid 19 a pu entraîner depuis 2020 une hausse des décès en raison d’effets indirects, comme des reports d’opérations ou des baisses de dépistage d’autres maladies », suppose l’Insee. La population française est peut-être aussi confrontée à une évolution plus structurelle, avec un coup de frein sur les gains d’espérance de vie qui étaient observés chaque année, explique l’Insee.

« Il peut y avoir aussi une interruption ou une pause » dans la tendance à la baisse de la mortalité, « mais sans qu’il soit encore possible de l’identifier », explique l’institut.

France: Une surmortalité de 50 000 personnes non expliquée

France: Une surmortalité de 50 000 personnes non expliquée

Hors épidémie, l’INSEE enregistre une surmortalité de près de 50 000 personnes qui ne peut être expliquées; Et qui pourrait découler des rapports dégradés à la santé. L’Insee a constaté la persistance d’une nette surmortalité en France en 2022 par rapport à une année « normale », hors épidémie ou évènement inhabituel, selon les chiffres publiés mardi 6 juin par l’Institut de la statistique. Ainsi, 675 000 personnes sont mortes en France en 2022, soit 53 800 décès de plus que ce qui était prévisible, compte-tenu de l’âge de la population et des tendances enregistrées sur les 10 ou 15 ans précédentes.

L’écart à la prévision (+8,7%) est supérieur à celui constaté en 2021 (+6,9%) et en 2020 (+7,8%), l’année où l’épidémie de Covid avait explosé. Pourtant, le Covid 19 a nettement moins tué en 2022, avec 38 300 morts contre 59 100 en 2021, selon les chiffres de Santé Publique France.

« Les décès dus à d’autres causes que le Covid-19 ont donc augmenté », indique l’Insee, qui mentionne « les deux épidémies de grippe » en mars-avril et en décembre 2022, ainsi que les fortes chaleurs de l’été 2022. « Enfin, l’épidémie de Covid 19 a pu entraîner depuis 2020 une hausse des décès en raison d’effets indirects, comme des reports d’opérations ou des baisses de dépistage d’autres maladies », suppose l’Insee. La population française est peut-être aussi confrontée à une évolution plus structurelle, avec un coup de frein sur les gains d’espérance de vie qui étaient observés chaque année, explique l’Insee.

« Il peut y avoir aussi une interruption ou une pause » dans la tendance à la baisse de la mortalité, « mais sans qu’il soit encore possible de l’identifier », explique l’institut.

COVID France 1er déc 2021: 50.000 cas en 24 heures

COVID France 1er déc 2021: 50.000 cas en 24 heures

Au rythme actuel on pourrait atteindre 100 à 150 000 cas d’ici la fin de l’année.

En effet 49.610 nouveaux cas ont été confirmés hier 1er décembre 2021, contre 47.177 la veille. Sur les derniers sept jours (ce qui permet de lisser les effets des jours chômés) la moyenne des nouveaux cas quotidiens s’établit à 34.547, contre un peu moins de 22.000 il y a une semaine, témoignant de l’accélération de cette vague.

Le nombre de patients hospitalisés a dépassé les 10.000 (10.558) pour le deuxième jour consécutif (10.249 mardi et 9.860 lundi), un seuil qui n’avait plus été atteint depuis le 12 septembre. Il y a eu 992 nouvelles admissions en 24 heures, et le nombre de patients gravement atteints dans les services de soins critiques atteint 1.886, avec 215 admissions en 24 heures.

Coronavirus : on se dirige tout droit vers 50 000 contaminations par jour et au moins 500 morts

  • Coronavirus : on se dirige tout droit vers 50 000 contaminations par jour et au moins 500 morts

 

  • inutile de tourner autour du pot, la France -comme d’ailleurs d’autres pays- connaitune troisième vague au développement exponentiel du fait des variants. On se rappelle que le président de la république avait fixé à 5000 la limite supérieure des contaminations pour envisager une libération des contraintes. En fait aujourd’hui,  on est proche des 35 000 et on se dirige tout droit vers les 50 000.
  •  Les mêmes tendances à la hausse se manifestent concernant le dramatique problème des réanimations un hôpital et vis-à-vis des décès. Courant avril on atteindra sans doute les 500 morts par jour et la France dépassera au total très largement les 100 000 morts depuis le début de l’épidémie.
  • En clair se reposera en avril la question d’un vrai confinement et non cette espèce de plan bidon ni déconfinement, ni reconfinement qui ne ressemble à rien et n’est pas de nature à stopper la diffusion de la pandémie.
  •  
  • 5.792 nouveaux cas de Covid-19 ont été décelés en 24 heures, selon les chiffres publiés ce lundi, contre 30.581 la veille et 6471 lundi dernier. Le nombre de cas comptabilisés en France s’élève désormais à 4.298.395. Le taux de positivité des tests s’élève, lui, à 8%.

Les patients actuellement en réanimation sont au nombre de 4548 contre 4406 la veille. Le chiffre le plus élevé depuis fin novembre. Quant aux nouvelles admissions dans ces services, elles sont de 471. Au total, les hôpitaux français comptaient lundi 26.488 malades du Covid-19, dont 1902 arrivés sur les dernières 24 heures. 344 personnes sont mortes à l’hôpital en 24 heures portant le bilan à 92.648 morts depuis le début de la pandémie.

Covid-19 : 50.000 cas à la mi-mars ? selon (Institut Pasteur de Lille)

Covid-19 :  50.000 cas à la mi-mars? selon (Institut Pasteur de Lille)

 

D’après l’institut Pasteur de Lille le nombre de cas déjà très inquiétants de ces derniers jours, autour de 25 000 cas quotidiennement ,pourrait doubler courant mars

A la lecture de leurs nouvelles projections, que le JDD publie en exclusivité, la conclusion de Philippe Amouyel et Luc Dauchet, professeur et maître de conférences en santé publique au CHU de Lille (Nord), laisse craindre le pire : « La courbe s’est décalée dans le temps mais on retrouve toujours la même. Ça remonte. » Comprendre : on a gagné un peu de temps sur le virus, mais pas assez pour éviter une nouvelle vague.  »Au 15 février, on pouvait penser que ça passerait et on n’a d’ailleurs pas bien compris pourquoi ça a baissé, reconnaît Philippe Amouyel, dont la précédente projection, publiée dans le JDD le 7 février, prévoyait une augmentation des cas il y a deux semaines, ce qui ne s’est pas produit. Mais il n’y a finalement pas tant de différence entre ce qui s’est passé et ce qu’on avait projeté. Il y a eu le même effet au mois de septembre avant la deuxième vague : une baisse puis une augmentation. »

 

Après la baisse relative de la mi-février, la courbe des contaminations a repris son ascension avec une augmentation de 8%, la semaine du 15 au 21 février, par rapport à la semaine d’avant, d’après les données de Santé publique France. Et ces derniers jours, les infections ont même atteint un pic à plus de 30.000 cas, une première depuis novembre.

 

Et d’après les projections de Philippe Amouyel et de Luc Dauchet, si la courbe poursuit sa course, au 20 mars, la France pourrait enregistrer plus de 50.000 nouveaux cas de Covid-19. En cause entre autres, l’augmentation des variants, notamment du britannique, déjà majoritaire dans près d’un tiers des départements. A cette même date, les variants auront d’ailleurs quasiment remplacé la souche originelle.

« Même à 20.000 contaminations par jour, c’était beaucoup en chiffre absolu sachant que mi-décembre l’objectif était de retomber à 5.000 cas, rappelle Philippe Amouyel. Ça permet au virus de se multiplier et donne plus de chances de générer des variants. »

« Plus on agit tôt, mieux c’est »

Dès lors, le pari d’éviter un reconfinement est-il raté? « On a gagné du temps sur le moment où on n’aura pas d’autre choix que le confinement, pense Luc Dauchet. Mais plus on agit tôt, mieux c’est. » « A Dunkerque, le maire a lancé une alarme début février en demandant des mesures un peu plus restrictives, complète le Pr Amouyel. A ce moment-là, ça avait encore une chance de fonctionner. Mais là, ce n’est plus possible. »

Le spécialiste nuance toutefois : « Le pari aurait pu payer, mais il aurait fallu des mesures supplémentaires. Car c’est intéressant de retarder le confinement si on arrive à faire la jonction avec la vaccination. En Bretagne, par exemple, ça pourrait marcher. » Aussi, selon eux, il ne faut pas baisser la garde dans les Régions où le taux d’incidence est inférieur, comme l’ont demandé certains élus locaux, bretons notamment. D’autant que, d’après les modélisations de l’Institut Pasteur publiées mercredi, sans de nouvelles restrictions, le rythme de la vaccination ne sera pas suffisant pour éviter un niveau d’hospitalisations supérieur au pic de la première vague.

Economie-Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

Economie-Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

La folie continue avec le coin maintenant au-dessus de 50 000 $ et qui a augmenté de 70 % depuis un an.

L’immense spéculation en cours alimentée par certains patrons de grandes entreprises comme celui de Tesla pourrait bien constituer une dramatique escroquerie pour beaucoup de petits porteurs. Surtout si on rappelle l’extrême volatilité d’une cryptomonnaie  qui ne repose en faite sur aucun actif et peut rechuter brutalement comme en 2018.

 

La semaine dernière, le constructeur automobile électrique Tesla a créé la surprise en annonçant avoir investi 1,5 milliard de dollars de sa trésorerie en bitcoin. Le patron de Tesla et homme le plus riche du monde, Elon Musk, n’hésite pas à vanter les mérites des cryptomonnaies sur les réseaux sociaux.

 

La bataille est à la fois spéculative mais aussi stratégique. Pour certains il s’agit de faire monter la cryptomonnaie  au plus haut avant la prise de bénéfice dont le coût sera payé par les investisseurs naïfs. Mais pour d’autres ,il s’agit de menacer le système financier et la souveraineté monétaire des Etats. En faite de supprimer même nombre de souverainetés des Etats dont l’action en l’absence de monnaie serait forcément très réduite.

 

Le marché des cryptomonnaies ne fait cependant pas l’unanimité: plusieurs banquiers centraux, comme Andrew Bailey au Royaume-Uni, ont écarté l’idée de considérer le bitcoin comme une monnaie à part entière, ou même comme un «or numérique» qui servirait à conserver la richesse.

Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

La folie continue avec le coin maintenant au-dessus de 50 000 $ et qui a augmenté de 70 % depuis un an.

L’immense spéculation en cours alimentée par certains patrons de grandes entreprises comme celui de Tesla pourrait bien constituer une dramatique escroquerie pour beaucoup de petits porteurs. Surtout si on rappelle l’extrême volatilité d’une cryptomonnaie  qui ne repose en faite sur aucun actif et peut rechuter brutalement comme en 2018.

 

La semaine dernière, le constructeur automobile électrique Tesla a créé la surprise en annonçant avoir investi 1,5 milliard de dollars de sa trésorerie en bitcoin. Le patron de Tesla et homme le plus riche du monde, Elon Musk, n’hésite pas à vanter les mérites des cryptomonnaies sur les réseaux sociaux.

 

La bataille est à la fois spéculative mais aussi stratégique. Pour certains il s’agit de faire monter la cryptomonnaie  au plus haut avant la prise de bénéfice dont le coût sera payé par les investisseurs naïfs. Mais pour d’autres ,il s’agit de menacer le système financier et la souveraineté monétaire des Etats. En faite de supprimer même nombre de souverainetés des Etats dont l’action en l’absence de monnaie serait forcément très réduite.

 

Le marché des cryptomonnaies ne fait cependant pas l’unanimité: plusieurs banquiers centraux, comme Andrew Bailey au Royaume-Uni, ont écarté l’idée de considérer le bitcoin comme une monnaie à part entière, ou même comme un «or numérique» qui servirait à conserver la richesse.

Manifestation sécurité globale : 50 000 participants et violences

Manifestation sécurité globale : 50 000 participants et violences

 

D’après les chiffres officiels,  la manifestation organisée à l’appel de la coordination #StopLoiSécuritéGlobale à réuni de l’ordre de 50 000 participants en France, ( à Paris et dans des grandes villes).

Des incidents ont éclaté dans la manifestation parisienne vers le milieu de l’après-midi lorsque des centaines de personnes cagoulées ont lancé des projectiles sur la police anti-émeute, brisé des vitrines et incendié des voitures, des motos et des barricades, entraînant une riposte des forces de l’ordre sous la forme de gaz lacrymogènes.

Selon la police, quelque 500 “casseurs” ont infiltré le cortège et sont à l’origine de ces violences et dégradations de biens publics et privés.

Le projet de loi de “sécurité globale”, qui devrait finalement être réécrit au cours du processus législatif, est vivement dénoncé par les syndicats de journalistes et les mouvements de défense des droits de l’homme, selon lesquels le texte constitue une grave atteinte à la liberté de la presse.

La coordination #StopLoiSécuritéGlobale demande le retrait “réel” de certains articles de la proposition de loi jugés particulièrement problématiques.

L’article 24 interdisant la diffusion d’images des membres des forces de l’ordre dans l’intention de nuire est particulièrement visé.

Coronavirus France : 50.000 morts

Coronavirus France : 50.000 morts

 

50.237 morts pour un total de 2.153.815 infections ( soit 3 à 4 fois plus que l’Allemagne). La France est un des pays les plus touchés après les États-Unis, l’Inde et le Brésil. Sur ce total en France, 34.399 décès ont été dénombrés à l’hôpital, dont les chiffres sont actualisés quotidiennement, et 15.838 dans les Ehpad et autres établissements médicosociaux, dont les chiffres de décès sont mis à jour tous les mardis et vendredis.

“Aujourd’hui, nous avons atteint 50.000 décès dus à l’épidémie et si la situation s’améliore globalement dans l’Hexagone et dans nos Outre-mer, dans certaines régions, elle demeure très préoccupante”, a commenté Emmanuel Macron lors de son allocution télévisée destinée à préciser les prochaines étapes du plan de lutte gouvernemental contre l’épidémie.

Le nombre des tests positifs au SARS-CoV-2 en 24 heures s’est élevé à 9.155 nouveaux cas, selon Santé Publique France.

Le nombre de patients hospitalisés pour une infection Covid-19 continue de décroître, à 30.622, soit 859 de moins que lundi, de même que celui des patients traités en réanimation, qui recule à 4.289, soit 165 de moins.

Coronavirus Royaume-Uni : 50.000 morts

  • Coronavirus Royaume-Uni :  50.000 morts

. Le pays a enregistré 50.365 le nombre total de personnes décédées. Le Royaume-Uni n’avait plus connu un nombre de morts quotidiens aussi élevé depuis le 6 mai, où 612 décès avaient été enregistrés. «Chaque mort est une tragédie», a réagi à la télévision le premier ministre Boris Johnson, déplorant un «triste cap». Malgré l’espoir d’un vaccin prochainement, «nous ne sommes pas encore sortis d’affaires», a-t-il poursuivi, appelant les Britanniques à continuer à suivre les règles destinées à lutter contre la propagation du virus.

Coronavirus France vendredi : 50.000 nouveaux cas

Coronavirus France vendredi : 50.000 nouveaux cas

Ce nombre de nouveaux cas vendredi reste proche du record de 52.010 atteint dimanche dernier. Il s’élevait à 47.637 jeudi.

Au total, 1.331.984 cas ont été comptabilisés en France depuis l’apparition du virus SARS-CoV-2 en début d’année.

Le bilan de l’épidémie s’établit à 36.565 morts, contre 36.020 jeudi, soit 545 nouveaux décès en une journée, selon les données fournies par SPF.

Ce bilan se répartit entre 24.914 décès dans les hôpitaux (+256 en 24 heures) et 11.651 dans les Ehpad et autres établissements médicosociaux, dont les données sont mises à jour tous les mardis et vendredis.

Le taux de positivité des tests a grimpé à 20%, contre 19,4% la veille.

Coronavirus France : encore 50.000 nouveaux cas

Coronavirus France : encore 50.000 nouveaux cas 

49.215 nouveaux cas de contamination au coronavirus en 24 heures, montrent les chiffres publiés par l’agence Santé Publique France. Ce nombre quotidien de nouveaux cas reste proche du record de 52.010 atteint dimanche dernier. Il s’élevait à 47.637 jeudi. Au total, 1.331.984 cas ont été comptabilisés en France depuis l’apparition du virus SARS-CoV-2 en début d’année.

Le bilan de l’épidémie s’établit à 36.565 morts, contre 36.020 jeudi, soit 545 nouveaux décès en une journée, selon les données fournies par SPF.

Ce bilan se répartit entre 24.914 décès dans les hôpitaux (+256 en 24 heures) et 11.651 dans les Ehpad et autres établissements médicosociaux, dont les données sont mises à jour tous les mardis et vendredis.

Le taux de positivité des tests a grimpé à 20%, contre 19,4% la veille.

Sur les sept derniers jours, 16.258 nouvelles hospitalisations ont été enregistrées, dont 2.401 dans les services de réanimation.

Airbus Toulouse : 3.500 suppressions de postes et 50 000 dans la sous-traitance ?

Airbus Toulouse : 3.500 suppressions de postes et 50 000 dans la sous-traitance ?

Un coup de massue pour Toulouse où l’entreprise Airbus prévoit 3500 suppressions de postes sur les 5000 prévues en France. Une conséquence terrible évidemment pour les salariés d’Airbus mais aussi pour les intérimaire et toute la sous-traitance. On considère en général qu’environ 90 000 emplois sont liés à l’industrie aérienne autour de Toulouse. Au moins 50 000 emplois dans la sous-traitance pourrait être impactés. Une véritable catastrophe économique pour la région car  Airbus va procéder à 3.500 suppressions de postes sur les 5.000 prévues en France dans le cadre du plan de restructuration prévu par l’avionneur européen, a-t-on appris jeudi auprès de la CFE-CGC du groupe.

“Toulouse paie un lourd tribut avec 3.500 postes supprimés mais c’est proportionnel au nombre de salariés. Nantes paie aussi un lourd tribut avec près de 20% de suppressions. Personne n’est épargné”, a déclaré Françoise Vallin, représentante CFE-CGC Airbus.

Airbus a annoncé mardi son intention de supprimer environ 15.000 postes d’ici l’été 2021, dont un tiers en France, dans le cadre de ce plan de restructuration mis en place pour faire face à la crise du secteur aérien provoquée par la pandémie liée au nouveau coronavirus.

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