Archive pour le Tag '44'

Covid France 6 mai 2023 : 5505 cas supplémentaires et 44 morts en 24 h

Covid France 6 mai 2023 : 5505 cas supplémentaires et 44 morts en 24 h

Découvrez les derniers chiffres concernant l’épidémie de covid-19 en France. D’après le dernier bilan de Santé Publique France, la France fait état de +44 morts supplémentaires au total. On recense ce vendredi 5 mai 2023, 166.811 morts au total et +5.505 nouveaux cas confirmés en 24h.
En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 205.051 cas confirmés soit +5.505 depuis le dernier bilan.

On enregistre vendredi 5 mai 2023 : 5505 cas supplémentaires et 44 morts 24 h soit au total depuis le début de la pandémie 166.811 morts

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.650 (+3) et celui de décès en milieu hospitalier est de 137.161 (+41 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,83 le taux d’incidence à 48,71 et la tension hospitalière à 14,3 %.

La France compte actuellement 12.088 (-193) personnes hospitalisées et 722 (-6) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.642 (-26) hospitalisées, 310 (-4) en réanimation et +10 décès en 24h
Grand Est : 553 (-15) hospitalisés, 39 (+1) en réanimation et +5 décès en 24h
Hauts de France : 972 (-9) hospitalisés, 49 (-3) en réanimation et +2 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 891 (-17) hospitalisés, 48 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 771 (-48) hospitalisé, 47 (-3) en réanimation et +4 décès en 24h
Bretagne: 416 (+3) hospitalisés, 13 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 517 (-20) hospitalisés, 24 (-2) en réanimation et +1 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.137 (-47) hospitalisés, 73 (-2) en réanimation et +5 décès en 24h
Pays de la Loire : 214 (-11) hospitalisés, 7 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
Occitanie: 767 (+7) hospitalisés, , 47 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 616 (+3) hospitalisés, 31 (0) en réanimation et +4 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 387 (-18) hospitalisés, 25 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h

Une union politique à 44 plus efficaces qu’à 27 ?

Une union politique à 44 plus efficaces qu’à 27 ?

Une communauté politique européenne à 44 pour quoi faire ? On peut légitimement se poser la question que malheureusement à 27 dans le cadre de l’union économique on parvient rarement à mettre en œuvre une politique étrangère commune. Théoriquement la nouvelle communauté politique européenne à 44 vise à mieux gérer les conflits internes entre les participants. Mais en réalité il y a un second objectif essayer de construire des stratégies communes vis avis des autres grands blocs ou par exemple vis-à-vis de l’énergieLe problème et vraisemblablement on retrouvera à l’intérieur de cette communauté de 44 les mêmes contradictions que celles qui existaient et se perpétue à 27. Exemple les relations avec la Russie. Pour l’instant le seul résultat des 44 à avoir permis de réaliser une photo commune de l’ensemble des participants. Cependant il n’est pas certain que la plupart soient d’accord sur les objectifs de cette rencontre.

D’entrée d’ailleurs , l’union européenne a sans doute outrepassé l’objectif; Ainsi pour Josep Borrell, chef de la diplomatie européenne, « cette réunion est une tentative de trouver un nouvel ordre sans la Russie. Cela ne signifie pas que nous voulons exclure la Russie pour toujours, mais cette Russie, la Russie de Poutine, n’a pas de place ».

D’autres sujets ont pu être abordés mais là aussi cinq débouchaient sur de décisions.

Les dirigeants, qui ont participé à quatre tables rondes dans la journée, ont identifié sept domaines de coopération : la protection des infrastructures essentielles (câbles, gazoducs, satellites) après les sabotages observés dans la Baltique, la lutte comme la cybercriminalité, la lutte contre les puissances hostiles dans quatre régions vulnérables (mer du Nord, mer noire, mer baltique, Caucase), un soutien accru à l’Ukraine, une stratégie énergétique intégrée, les migrations, et une politique commune pour la jeunesse (échanges d’étudiants, de chercheurs).

Variant indien détecté dans 44 pays

Variant indien détecté dans 44 pays

Le variant B.1.617, apparu pour la première fois en Inde en octobre, a été détecté dans des séquences versées dans la base de données GISAID «depuis 44 pays dans l’ensemble des six régions de l’OMS», indique l’organisation, ajoutant qu’elle a reçu «des notifications de détection dans cinq autres pays». En dehors de l’Inde, c’est en Grande-Bretagne que le plus grand nombre de cas de contaminations au variant B.1.617 a été détecté.

Coronavirus: France 44 morts en 24 heures, contamination en hausse

Coronavirus: France 44 morts en 24 heures, contamination en hausse

44 morts supplémentaires au cours des dernières 24 heures en France, pour un bilan total de 29.065 décès, a annoncé jeudi la direction générale de la santé, qui fait cependant état d’une poursuite de la décrue du nombre de personnes gravement malades.

Le bilan total se répartit en 18.715 morts dans les hôpitaux et 10.350 dans les établissements sociaux et médico-sociaux, essentiellement les Ehpad.

Sur les 13.101 personnes actuellement hospitalisées en raison du COVID-19, la maladie provoquée par le coronavirus, 1.163 sont traitées dans les services de réanimation, soit 47 de moins que la veille.

Au total, la France a recensé 152.444 cas de contamination, soit 767 de plus que jeudi, indique Santé publique France sur son site internet.

SNCF : le soutien se maintient à 44%

SNCF : le soutien se maintient à 44%

 

Selon un sondage Ifop pour le JDD, la grève est condamnée par une majorité mais est jugée justifiée par une minorité 44% des Français (contre 41% la semaine dernière), dont une forte majorité chez les jeunes (65%), les ouvriers (59%) et les salariés du secteur public (58%, +8).   Désormais, les clivages sont figés. Les sympathisants de la République en marche (88%) et de la droite (80%) désapprouvent massivement la grève, alors qu’elle est soutenue par ceux de la France insoumise (82%), du PS (59%) et du FN (51%). De même, la réforme reçoit l’appui des macronistes (94%) et des Républicains (83%), mais suscite le rejet des mélenchonistes (75%), du PS (55%) et du FN (53%). L’aval le plus marqué se relève chez les retraités (72%), les cadres (70%) et les chefs d’entreprise (68%). Le rejet vient des fonctionnaires (52%), des moins de 25 ans (49%) et des chômeurs (57%). Pendant ce temps, la conviction que le pouvoir ne cédera pas gagner du terrain : elle est exprimée par 79% de sondés (+5), son plus haut niveau en deux mois. Ce sentiment est partagé par les électeurs REM (93%) et LR (85%), mais aussi FI (77%), PS (84%) et FN (65%). Comme si la réforme suscitait désormais l’approbation des uns et la résignation des autres.

Sondage action Macron : 44% des Français déçus, 20% satisfaits

Sondage action Macron : 44% des Français déçus, 20% satisfaits

 

 

67 % des Français qui pensent que la politique de Macron favorise les plus aisés. Seulement 20% de satisfaits (score stable) depuis décembre- mais les déçus augmentent, 44%, et les indécis se réduisent. 36%. Ce sondage montre que les cadres sont les plus positifs (30% de satisfaits), les catégories populaires étant les plus nombreuses à juger son action décevante (51%), tout comme les ruraux et les habitants des communes de moins de 20.000 habitants. Une majorité des électeurs de la présidente du Front national Marine Le Pen (66%) et du leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon (65%) sont négatifs. Ceux de François Fillon sont à 25% dans le même état d’esprit. Si les électeurs d’Emmanuel Macron se déclarent majoritairement satisfaits (48%), 35% estiment qu’il est encore trop tôt pour ne prononcer et 17% expriment leur déception.  Pour 67% des Français de toutes les catégories de la population, la politique menée par le président et son gouvernement est plutôt en faveur des plus aisés, ce taux dépassant 80% chez les électeurs du FN et de LFI. Les électeurs d’Emmanuel Macron sont partagés sur ce point : une majorité relative (46%) considère que la politique menée est plutôt en faveur des populations les plus aisées et 41% qu’elle est en faveur de toutes les catégories de population. La hausse de la CSG et la suppression de la taxe d’habitation sont les réformes qui ont le plus marqué les Français mais la première est jugée négativement (84%) et la seconde positivement (72%).  La réforme de la SNCF est jugée positivement par 59% des Français et négativement par 40%.

Ce sondage a été réalisé par internet les 12 et 13 avril sur un échantillon de 1.004 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage Grève SNCF: 44% pour, 41% contre

Sondage Grève SNCF: 44% pour, 41% contre

Selon un sondage pour BFMTV, 44% des Français approuvent la mobilisation des cheminots, et 41% y sont opposés. La tendance s’est inversée en deux semaines.

Un sondage qui montre que l’opinion est partagée mais qui met en évidence la montée de ceux qui approuvent. La preuve que le message, par ailleurs très brouillé du gouvernement, n’est pas passé. On ne voit toujours pas en quoi cette réforme, au demeurant assez floue serait de nature à relancer le développement ferroviaire. De ce point de vue l’argumentaire adressé aux « adhérents »LREM n’est  guère plus éclairant. En gros, on reprend la même argumentation, il y a 50 milliards de dettes, c’est la faute au statut ! Un raisonnement simpliste qui ne passe pas dans l’opinion.  Alors que l’opinion publique était plutôt défavorable à cette mobilisation il y a deux semaines, elle semble désormais plus partagée: 44% des sondés approuvent ainsi l’action des grévistes, soit une hausse de 6 points. Et ils ne sont plus que 41% à y être opposés, alors qu’ils étaient encore 49% il y a deux semaines.  A noter que la part de ces électeurs soutenant la mobilisation augmente: + 3 points chez les soutiens d’Emmanuel Macron, en outre la moitié des électeurs de Macron estime que le gouvernemenet doit revoir sa réforme.   En revanche, une majorité de Français se disent favorables à certaines propositions gouvernementales, notamment la fin du régime spécifique de retraite des agents de la SNCF nouvellement embauchés (69%) et la fin de l’emploi à vie pour ces derniers (64%). Mais dans l’ensemble, 56% d’entre eux estiment que le gouvernement doit modifier sa réforme, en tenant compte de la contestation actuelle.

 

Dépenses publiques : 57% du PIB en France, 44% en Allemagne

Dépenses publiques : 57% du PIB en France, 44% en Allemagne

 

La France cumule les ratios contradictoires. Non seulement elle est en tête en matière de prélèvements obligatoires avec plus de 44 % du PIB mais cette ponction fiscale ne suffit pas puisque ces dépenses atteignent 57 % du PIB pipe, d’où une dette qui ne cesse de s’amplifier. La France occupe le hit-parade des dépenses publiques en Europe et affiche une grande différence avec l’Allemagne dont le  taux est 44 %. Une différence de 13 points qui ne manque pas d’inquiéter les économistes, car, en 2002, cet écart n’était que de 5 points de PIB. Dans une étude publiée cet été, les économistes de la Banque de France se donc intéressés aux raisons de cette divergence croissante. Pour eux, « le moindre dynamisme de la croissance du PIB par habitant en France sur la période 2002-2015 explique pour moitié la divergence du ratio de dépenses par rapport au PIB entre les deux pays. Contrairement à l’Allemagne, le dynamisme des dépenses publiques par habitant n’a pas été freiné, alors que le contexte économique peu favorable limitait la croissance des recettes. » Décomposées par secteur, les dépenses publiques ont constamment été plus importantes dans l’Hexagone dans la santé, l’enseignement et la défense. Récemment, l’écart entre les deux pays s’est surtout creusé du fait des dépenses de protection sociale

 

 

Foot OM-Bastia : résultat 44 policiers blessés

Foot OM-Bastia : résultat  44  policiers  blessés

Encore des affrontements lors d’un match de foot qui offrent aux abrutis l’occasion d’exprimer leur incommensurable bêtise. Une nouvelle fois en Corse ! Où certains supporters marseillais ne sont pas non plus innocents. On attend des dirigeants le nettoyage qui s’imposent vis-à-vis de ces voyous comme cela a été fait au PSG.  Quarante-quatre policiers et gendarmes ont été « blessés ou contusionnés » samedi soir lors de violences en marge du match entre Bastia et Marseille en ouverture de la Ligue 1.   »Dix fonctionnaires des Compagnies Républicaines de Sécurité, 34 gendarmes mobiles ont été blessés ou contusionnés et huit d’entre eux soignés à l’hôpital » indique le ministère de l’Intérieur dans un communiqué. Des violences sont survenues aux abords du stade de Furiani (Haute-Corse), avant et après le match entre Bastia et Marseille en ouverture de la Ligue 1 (3-3). Selon une source proche du dossier citée par l’AFP, une centaine de supporteurs s’en sont notamment pris aux membres des forces de l’ordre positionnées près du stade, en leur jetant des bombes agricoles, des barrières et des pierres. Il s’agit « a priori » de supporteurs bastiais, a ajouté cette source. Le ministère de l’Intérieur assure que policiers et gendarmes « ont agi avec sang-froid et retenue« . Dans son communiqué, le ministre, Bernard Cazeneuve, réclame la « détermination (des) responsables concernés, aux plans local et national, pour mettre un terme à ces comportements violents, en particulier à l’égard des forces de l’ordre qui doivent être respectées« .




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