Archive pour le Tag '400'

Politique-Macron trouve miraculeusement 400 milliards pour l’armée !

Politique-Macron trouve miraculeusement 400 milliards pour l’armée !

 

Le retour de l’argent magique. !

Indiscutablement, l’armée doit bénéficier d’un effort beaucoup plus considérable pour se moderniser. En effet,l’armée française est très performante dans tous les domaines mais c’est en quelque sorte une micro armé qui serait bien incapable de faire face à une attaque globale massive.
Le problème c’est que ce n’est pas la première fois qu’on promet dans des lois d’orientation de faire l’effort nécessaire pour la mise à niveau de la défense française. Mais ce n’est pas la première fois sans doute qu’on ne tiendra pas la promesse.

En cause justement, l’incohérence récurrente des gouvernements successifs et surtout celui de Macrno capable de faire du « en même temp »s en affirmant un jour la fin du » quoi qu’il en coûte »et le lendemain la rigueur budgétaire à l’euro près.

Résultat , faute de gestion rigoureuse planifiée, la France va continuer de glisser vers un endettement qui va se révéler mortel un jour. Un endettement aujourd’hui égal à 115% du PIB  soit autour de 3000 milliards et qui représente 50 milliards de charges financières par an. Une véritable politique de gribouille de la part de Macron

 

D’après Emmanuel Macron  la prochaine loi de programmation militaire (LPM) de 2024 à 2030 consacrera un effort budgétaire de 400 milliards d’euros pour les armées. L’augmentation est significative, compte tenu du contexte économique global, même si l’institution militaire aurait aimé davantage. Des «cessions d’infrastructures »permettront d’augmenter encore le montant pour permettre de « couvrir un besoin de 413 milliards d’euros ».

Le changement d’échelle se veut « inédit ». La précédente LPM 2019-2025 prévoyait un budget de 295 milliards d’euros. Elle a été exécutée conformément aux prévisions, ce qui n’était pas arrivé depuis des décennies. «Au total, les deux lois auront conduit à un doublement du budget de nos armées», a souligné le président de la République lors d’un discours vendredi sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan.

Après une LPM de «réparation» des armées pour «redonner du souffle et des moyens» et «sortir de la pénurie», la nouvelle loi de programmation devra «transformer» les armées, a expliqué le chef de l’État. «Nous ne devons pas faire pareil avec plus mais faire mieux», a-t-il insisté. La guerre en Ukraine, depuis presque un an, a évidemment bouleversé les perspectives, même si le besoin de réarmer la France était déjà envisagé durant le précédent quinquennat. Aujourd’hui, les dangers sont «considérables», a prévenu Emmanuel Macron. «Les menaces sont multiples et s’agrègent plutôt qu’elles ne se succèdent», a-t-il poursuivi en égrenant les champs de conflictualité comme les formes d’affrontement. Même si en Europe elle dispose d’une crédibilité militaire, la France devra faire l’examen lucide de ses moyens.

La «transformation» des armées promise par la nouvelle LPM devra s’appuyer sur quatre «pivots», a exposé Emmanuel Macron : un renforcement du cœur de souveraineté de la défense française, la dissuasion ou la posture de défense cyber, une adaptation aux exigences de la haute intensité, une préparation pour intervenir sur les espaces communs, comme l’espace, le numérique ou les mers, une capacité à nouer des partenariats. La France veut monter en gamme pour être en mesure d’assumer des responsabilités de commandement de coalition, que ce soit au sein de l’OTAN ou ailleurs, en Afrique. « C’est une responsabilité qu’elle seule en Europe continentale pourrait assurer », a affirmé Emmanuel Macron en évoquant, de façon allusive, la possibilité que les États-Unis soient mobilisés ailleurs et ne puissent plus jouer leur rôle de leader. En s’investissant en « ensemblier », ou «assemblier» selon la formule préférée, la France veut gagner en influence en Europe et en épaisseur militaire.

Concrètement, le président n’est pas rentré dans tous les détails. Il a mentionné quelques domaines symboliques. Il a assuré que les moyens consacrés au renseignement augmenteraient de 60% et que les budgets de la DRM (renseignement militaire) et de la DRSD (protection des forces) doubleraient. En ce qui concerne le cyber, la capacité de traitement d’attaques majeures sera doublée. En matière d’équipement, l’armée de l’air passera « au tout Rafale ». Il a confirmé la construction du porte-avions de nouvelle génération pour succéder au Charles de Gaulle. Il a évoqué le renforcement des défenses sol air, des capacités spatiales, la modernisation des équipements le renforcement de l’échelon national d’urgence ou encore l’effort particulier pour doter de moyens les outremers qui forment une « constellation stratégique ». Dans l’Indopacifique, les outremers sont exposés aux tensions internationales. La réserve opérationnelle sera aussi doublée pour donner aux armées un soutien plus important. Enfin, le chef de l’État a évoqué la question sensible des stocks de munitions ou de matériels. Ceux-ci avaient été taillés au plus juste, voire moins.

Reste maintenant à trouver les moyens financiers !

Politique : Macron trouve miraculeusement 400 milliards pour l’armée !

Politique : Macron trouve miraculeusement 400 milliards pour l’armée !

 

Le retour de l’argent magique. !

Indiscutablement, l’armée doit bénéficier d’un effort beaucoup plus considérable pour se moderniser. En effet,l’armée française est très performante dans tous les domaines mais c’est en quelque sorte une micro armé qui serait bien incapable de faire face à une attaque globale massive.

Le problème c’est que ce n’est pas la première fois qu’on promet dans des lois d’orientation de faire l’effort nécessaire pour la mise à niveau de la défense française. Mais ce n’est pas la première fois sans doute qu’on ne tiendra pas la promesse.

En cause justement, l’incohérence récurrente des gouvernements successifs et surtout celui de Macrno capable de faire du « en même temp »s en affirmant un jour la fin du » quoi qu’il en coûte »et le lendemain la rigueur budgétaire à l’euro près.

Résultat , faute de gestion rigoureuse planifiée, la France va continuer de glisser vers un endettement qui va se révéler mortel un jour. Un endettement aujourd’hui égal à 115% du PIB  soit autour de 3000 milliards et qui représente 50 milliards de charges financières par an. Une véritable politique de gribouille de la part de Macron

 

D’après Emmanuel Macron  la prochaine loi de programmation militaire (LPM) de 2024 à 2030 consacrera un effort budgétaire de 400 milliards d’euros pour les armées. L’augmentation est significative, compte tenu du contexte économique global, même si l’institution militaire aurait aimé davantage. Des «cessions d’infrastructures »permettront d’augmenter encore le montant pour permettre de « couvrir un besoin de 413 milliards d’euros ».

Le changement d’échelle se veut « inédit ». La précédente LPM 2019-2025 prévoyait un budget de 295 milliards d’euros. Elle a été exécutée conformément aux prévisions, ce qui n’était pas arrivé depuis des décennies. «Au total, les deux lois auront conduit à un doublement du budget de nos armées», a souligné le président de la République lors d’un discours vendredi sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan.

Après une LPM de «réparation» des armées pour «redonner du souffle et des moyens» et «sortir de la pénurie», la nouvelle loi de programmation devra «transformer» les armées, a expliqué le chef de l’État. «Nous ne devons pas faire pareil avec plus mais faire mieux», a-t-il insisté. La guerre en Ukraine, depuis presque un an, a évidemment bouleversé les perspectives, même si le besoin de réarmer la France était déjà envisagé durant le précédent quinquennat. Aujourd’hui, les dangers sont «considérables», a prévenu Emmanuel Macron. «Les menaces sont multiples et s’agrègent plutôt qu’elles ne se succèdent», a-t-il poursuivi en égrenant les champs de conflictualité comme les formes d’affrontement. Même si en Europe elle dispose d’une crédibilité militaire, la France devra faire l’examen lucide de ses moyens.

La «transformation» des armées promise par la nouvelle LPM devra s’appuyer sur quatre «pivots», a exposé Emmanuel Macron : un renforcement du cœur de souveraineté de la défense française, la dissuasion ou la posture de défense cyber, une adaptation aux exigences de la haute intensité, une préparation pour intervenir sur les espaces communs, comme l’espace, le numérique ou les mers, une capacité à nouer des partenariats. La France veut monter en gamme pour être en mesure d’assumer des responsabilités de commandement de coalition, que ce soit au sein de l’OTAN ou ailleurs, en Afrique. « C’est une responsabilité qu’elle seule en Europe continentale pourrait assurer », a affirmé Emmanuel Macron en évoquant, de façon allusive, la possibilité que les États-Unis soient mobilisés ailleurs et ne puissent plus jouer leur rôle de leader. En s’investissant en « ensemblier », ou «assemblier» selon la formule préférée, la France veut gagner en influence en Europe et en épaisseur militaire.

Concrètement, le président n’est pas rentré dans tous les détails. Il a mentionné quelques domaines symboliques. Il a assuré que les moyens consacrés au renseignement augmenteraient de 60% et que les budgets de la DRM (renseignement militaire) et de la DRSD (protection des forces) doubleraient. En ce qui concerne le cyber, la capacité de traitement d’attaques majeures sera doublée. En matière d’équipement, l’armée de l’air passera « au tout Rafale ». Il a confirmé la construction du porte-avions de nouvelle génération pour succéder au Charles de Gaulle. Il a évoqué le renforcement des défenses sol air, des capacités spatiales, la modernisation des équipements le renforcement de l’échelon national d’urgence ou encore l’effort particulier pour doter de moyens les outremers qui forment une « constellation stratégique ». Dans l’Indopacifique, les outremers sont exposés aux tensions internationales. La réserve opérationnelle sera aussi doublée pour donner aux armées un soutien plus important. Enfin, le chef de l’État a évoqué la question sensible des stocks de munitions ou de matériels. Ceux-ci avaient été taillés au plus juste, voire moins.

Reste maintenant à trouver les moyens financiers !

Argent magique : Macron trouve miraculeusement 400 milliards pour l’armée !

Argent magique : Macron trouve miraculeusement 400 milliards pour l’armée !

 

Le retour de l’argent magique. !

Indiscutablement, l’armée doit bénéficier d’un effort beaucoup plus considérable pour se moderniser. En effet,l’armée française est très performante dans tous les domaines mais c’est en quelque sorte une micro armé qui serait bien incapable de faire face à une attaque globale massive.
Le problème c’est que ce n’est pas la première fois qu’on promet dans des lois d’orientation de faire l’effort nécessaire pour la mise à niveau de la défense française. Mais ce n’est pas la première fois sans doute qu’on ne tiendra pas la promesse.

En cause justement, l’incohérence récurrente des gouvernements successifs et surtout celui de Macrno capable de faire du « en même temp »s en affirmant un jour la fin du » quoi qu’il en coûte »et le lendemain la rigueur budgétaire à l’euro près.

Résultat , faute de gestion rigoureuse planifiée, la France va continuer de glisser vers un endettement qui va se révéler mortel un jour. Un endettement aujourd’hui égal à 115% du PIB  soit autour de 3000 milliards et qui représente 50 milliards de charges financières par an. Une véritable politique de gribouille de la part de Macron

 

D’après Emmanuel Macron  la prochaine loi de programmation militaire (LPM) de 2024 à 2030 consacrera un effort budgétaire de 400 milliards d’euros pour les armées. L’augmentation est significative, compte tenu du contexte économique global, même si l’institution militaire aurait aimé davantage. Des «cessions d’infrastructures »permettront d’augmenter encore le montant pour permettre de « couvrir un besoin de 413 milliards d’euros ».

Le changement d’échelle se veut « inédit ». La précédente LPM 2019-2025 prévoyait un budget de 295 milliards d’euros. Elle a été exécutée conformément aux prévisions, ce qui n’était pas arrivé depuis des décennies. «Au total, les deux lois auront conduit à un doublement du budget de nos armées», a souligné le président de la République lors d’un discours vendredi sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan.

Après une LPM de «réparation» des armées pour «redonner du souffle et des moyens» et «sortir de la pénurie», la nouvelle loi de programmation devra «transformer» les armées, a expliqué le chef de l’État. «Nous ne devons pas faire pareil avec plus mais faire mieux», a-t-il insisté. La guerre en Ukraine, depuis presque un an, a évidemment bouleversé les perspectives, même si le besoin de réarmer la France était déjà envisagé durant le précédent quinquennat. Aujourd’hui, les dangers sont «considérables», a prévenu Emmanuel Macron. «Les menaces sont multiples et s’agrègent plutôt qu’elles ne se succèdent», a-t-il poursuivi en égrenant les champs de conflictualité comme les formes d’affrontement. Même si en Europe elle dispose d’une crédibilité militaire, la France devra faire l’examen lucide de ses moyens.

La «transformation» des armées promise par la nouvelle LPM devra s’appuyer sur quatre «pivots», a exposé Emmanuel Macron : un renforcement du cœur de souveraineté de la défense française, la dissuasion ou la posture de défense cyber, une adaptation aux exigences de la haute intensité, une préparation pour intervenir sur les espaces communs, comme l’espace, le numérique ou les mers, une capacité à nouer des partenariats. La France veut monter en gamme pour être en mesure d’assumer des responsabilités de commandement de coalition, que ce soit au sein de l’OTAN ou ailleurs, en Afrique. « C’est une responsabilité qu’elle seule en Europe continentale pourrait assurer », a affirmé Emmanuel Macron en évoquant, de façon allusive, la possibilité que les États-Unis soient mobilisés ailleurs et ne puissent plus jouer leur rôle de leader. En s’investissant en « ensemblier », ou «assemblier» selon la formule préférée, la France veut gagner en influence en Europe et en épaisseur militaire.

Concrètement, le président n’est pas rentré dans tous les détails. Il a mentionné quelques domaines symboliques. Il a assuré que les moyens consacrés au renseignement augmenteraient de 60% et que les budgets de la DRM (renseignement militaire) et de la DRSD (protection des forces) doubleraient. En ce qui concerne le cyber, la capacité de traitement d’attaques majeures sera doublée. En matière d’équipement, l’armée de l’air passera « au tout Rafale ». Il a confirmé la construction du porte-avions de nouvelle génération pour succéder au Charles de Gaulle. Il a évoqué le renforcement des défenses sol air, des capacités spatiales, la modernisation des équipements le renforcement de l’échelon national d’urgence ou encore l’effort particulier pour doter de moyens les outremers qui forment une « constellation stratégique ». Dans l’Indopacifique, les outremers sont exposés aux tensions internationales. La réserve opérationnelle sera aussi doublée pour donner aux armées un soutien plus important. Enfin, le chef de l’État a évoqué la question sensible des stocks de munitions ou de matériels. Ceux-ci avaient été taillés au plus juste, voire moins.

Reste maintenant à trouver les moyens financiers !

 

Qatar : mort de 400 ou 6000 migrants ?

Qatar : mort de 400 ou 6000 migrants ?

Depuis des semaines et des mois des organisations internationales dénoncent les conditions scandaleuses des travailleurs migrants qui ont construit les infrastructures pour le mondial de foot notamment les stades .Devant le phénomène médiatique, le Qatar a d’abord nié mais finalement vient de reconnaître qu’il y a sans doute eu 400 à 500 victimes sur la période de construction de 2010 à 2022.

le journal britannique The Guardian, a publié une enquête révélant que 6500 migrants (Indiens, Pakistanais, Sri-Lankais, Bangladais., Népalais..) seraient morts en construisant les infrastructures et les stades de football pour cette Coupe du monde depuis 2010.La plupart des décès sont imputables non pas à des accidents de chantier mais aux conditions de travail presque inhumaine quand la température atteint de l’ordre de 50°.

De son côté, Doha a longtemps réfuté ces chiffres, avançant des chiffres officiels bien moins importants de 37 décès de migrants au Qatar entre 2010 et 2022, toutes causes de mortalité confondues. Or, dans une interview donnée le 28 novembre au présentateur britannique Piers Morgan, le directeur de l’organisation du mondial, Hassan al-Thawadi, a évoqué un chiffre supérieur aux précédents chiffres officiels puisque «400 à 500 migrants seraient morts au total» au Qatar selon lui sur cette période.

Selon le directeur du tournoi, entre 2010 et 2022, le Qatar a fait évoluer son droit du travail en partenariat avec les organisations syndicales allemandes et suisses pour améliorer les standards de santé et de sécurité pour les travailleurs migrants. «Je pense que le besoin de réformes était nécessaire. Ces réformes n’ont pas été faites uniquement parce que nous devions organiser la Coupe du monde, ce sont des progrès que nous devions réaliser avant même d’avoir obtenu la Coupe du monde en 2010», a-t-il précisé, ajoutant que le mondial est un «catalyseur ayant permis d’accélérer ces réformes».

Indiscutablement le Qatar a effectué des progrès concernant les conditions de travail des migrants mais évidemment on reste encore loin des références des pays occidentaux. Par exemple le salaire minimum tourne autour de 200 € et les conditions d’hébergement sont plus que discutables sans parler de la confiscation des passeports qui privent les migrants de toute liberté.

Boutcha-Ukraine-: le massacre de 400 civils ?

Boutcha-Ukraine-: le massacre de 400 civils ?

Pour l’instant, les autorités ukrainiennes auraient découvert le massacre d’environ 400 civils torturés puis tués par les Russes avant de se retirer de Boutcha.

Il est clair qu’il faudra vérifier et documenter cette affaire criminelle qui révèle en faite la cruauté non seulement de Poutine mais aussi de certaines populations russes culturellement demeurées à l’âge de pierre. Bref, des sauvages qui n’ont pas leur place dans la civilisation d’aujourd’hui.

Il est clair que dans cette affaire Poutine porte une responsabilité particulière pour avoir utilisé la haine comme le moteur principal de motivation des troupes d’invasions. D’autres charniers seront sans doute découvert. Certains vont considérer qu’il s’agit des dégâts collatéraux d’une guerre, d’une guerre militaire sans doute mais aussi d’une guerre de civilisation ou la vie humaine n’a strictement aucune valeur face à la folie de l’homme qui tue par vengeance ou même par plaisir.Il serait temps que la Russie, , à l’histoire pourtant si riche,  se mette à l’heure de la civilisation du XXIe siècle.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé dimanche que les dirigeants russes devaient être tenus pour responsables des «meurtres» et des «tortures» à Boutcha, une ville au nord-ouest de Kiev récemment reprise par les Ukrainiens où de nombreux civils ont été tués.

«Je veux que tous les dirigeants de la Fédération de Russie voient comment leurs ordres sont exécutés. Ce genre d’ordres (…). Et ils ont une responsabilité commune. Pour ces meurtres, pour ces tortures, pour les bras arrachés par des explosifs (…) Pour les balles tirées dans la nuque», a déclaré M. Zelensky, passant de l’ukrainien au russe, dans un message vidéo. Il a ajouté qu’un «mécanisme spécial» allait être créé pour enquêter sur tous les «crimes» russes en Ukraine.

Il a précisé qu’un «mécanisme spécial» allait être créé pour «enquêter sur tous les crimes des occupants dans notre pays et les poursuivre», ajoutant qu’il fonctionnerait sur la base du «travail commun d’experts nationaux et internationaux».

«Ce mécanisme aidera l’Ukraine et le monde à traduire en justice ceux qui ont déclenché ou participé de quelque manière que ce soit à cette terrible guerre contre le peuple ukrainien et aux crimes contre notre peuple», a expliqué le chef de l’Etat.

 

Carburant: 400 millions pour les routiers

Carburant: 400 millions pour les routiers

«Une enveloppe globale de 400 millions d’euros sera dès à présent allouée aux entreprises du secteur en fonction de leur nombre de véhicules et du tonnage de ces derniers», ont écrit dans un communiqué commun la Fédération nationale des transporteurs routiers (FNTR) et L’Union TLF. Cette aide, négociée au ministère des Transports après les annonces de Jean Castex mercredi, sera «versée rapidement» et concerne 520.000 véhicules: elle ira de 200 euros pour les véhicules utilitaires légers à 1000 euros pour les autocars et 1300 euros pour les tracteurs routiers, ont-elles précisé.

Elle vient compléter les annonces de Jean Castex faites mercredi, à savoir la «sanctuarisation» de la remise de 15 centimes par litre de gazole ou de kilo de gaz et le remboursement mensuel de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE). Par ailleurs, le ministre des Transports s’est engagé à intervenir auprès des autorités organisatrices de la mobilité pour que les contrats publics relatifs aux transports collectifs de voyageurs puissent «bénéficier de révisions intermédiaires prenant en compte les évolutions des prix du carburant», a précisé dans un communiqué distinct l’OTRE, une autre organisation de transporteurs.

 

 

Dépendance: Une enveloppe de 400 millions…. sans financement

 Dépendance: Une enveloppe de 400 millions…. sans financement

D’après le premier ministre lui-même, le coût du plan dépendance coût devrait dépasser les 400 millions d’euros en 2022.Rien de précis n’est prévu pour son financement qui se fera essentiellement par la dette. Chacun ne peut que se réjouir de cette orientation met une nouvelle fois encore une orientation budgétaire qui ne repose pas sur des ressources.

« Notre premier objectif, c’est de permettre le maintien à domicile le plus longtemps possible », a assuré Jean Castex, soulignant que cette stratégie était « deux fois gagnante, pour les personnes comme pour nos finances publiques ».  Le Premier ministre a ainsi promis une augmentation pour les professionnels de la branche de l’aide, de l’accompagnement, des soins et des services à domicile (BAD), en instaurant un tarif plancher de 22 euros pour une heure d’intervention d’aide à domicile, pour les personnées âgées comme pour celles en situation de handicap.

. Parmi ces annonces, le Premier ministré a déclaré vouloir recruter 10 000 soignants dans les Ehpad « d’ici cinq ans ». D’ici 2023, le gouvernement veut également soutenir les astreintes de nuit dans ces établissements.

Ces mesures devraient représenter un « effort global de plus de 400 millions d’euros » en faveur de l’aide aux personnes âgées en perte d’autonomie, à domicile ou en établissements, a résumé Jean Castex. Le budget alloué à ces services devrait toutefois « monter progressivement en charge » pour atteindre « 1,3 milliard d’euros en 2025″ a assuré le Premier ministre.

Afghanistan : les 400 collaborateurs européens abandonnés par les pays occidentaux

Afghanistan : les 400 collaborateurs européens abandonnés par les pays occidentaux

 

Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a jugé « impossible » d’évacuer tous les collaborateurs afghans pour la fin du mois d’août, dans un entretien accordé à l’AFP, samedi 21 août. »Les mesures de contrôle et de sécurité des Américains sont très fortes. Nous nous sommes plaints. Nous leur avons demandé de montrer plus de flexibilité. Nous n’arrivons pas à faire passer nos collaborateurs », a-t-il confié lors de cet entretien par téléphone.

La seule délégation de l’UE a Kaboul compte environ 400 collaborateurs afghans et leurs familles.

Régionales Occitanie, 400 patrons appellent à voter Delga (PS)

Régionales  Occitanie, 400 patrons  appellent à voter Delga (PS)

 

 

 

Fait rare à gauche pour être signalé 400 acteurs économiques régionaux qui se sont mobilisés en faveur de la socialiste Carole Delga, jeudi 24 juin. Il faut dire que cette dernière s’intéresse un peu sérieusement à l’économie aussi qu’elle a rompue avec les extrémistes de gauche des Insoumis de Mélenchon dont elle refuse le soutien.

 

  »Aujourd’hui, il ne s’agit pas de choisir un parti, une étiquette. Il s’agit de donner à la région les moyens de soutenir l’activité économique. Notre choix, c’est celui du progrès économique et humain. Nous qui faisons vivre l’économie réelle, dirigeants et salariés, faisons confiance à Carole Delga et à son équipe depuis de nombreuses années. Elle aime et connaît l’entreprise : elle nous l’a notamment prouvé par ses actions volontaristes et concrètes pendant la crise (…) Le 27 juin, nous ferons le choix de soutenir Carole Delga », écrivent les 400 signataires de ce texte d’un peu plus de deux pages.

« En 24 heures, plusieurs centaines d’acteurs économiques se sont engagés envers Carole Delga. C’est assez rare qu’ils se prononcent pour quelqu’un, habituellement le tissu économique s’exprime plutôt contre (…) L’extrême droite aux commandes, ce n’est pas bon pour l’économie, l’emploi, l’attractivité, bref cela revient à un repli sur soi », commente Nadia Pellefigue, colistière d’Occitanie en Commun dans ces élections régionales et vice-présidente de région sortante en charge du Développement Économique notamment.

Covid –TAUX D’INCIDENCE PARIS : SOUS LA BARRE DES 400

Covid –TAUX D’INCIDENCE PARIS : SOUS LA BARRE DES 400 

Une bonne nouvelle pour Paris, le taux d’incidence de Paris est passé ce samedi sous la barre des 400 cas positifs pour 100.000 habitants. C’est  l’un des critères avec le nombre d’hospitalisations qui a été retenu pour appliquer le plan dé confinement.

. Ce samedi, selon les derniers chiffres de Santé Publique France, la capitale est passée sous la barre des 400 cas positifs pour 100.000 habitants. Son taux d’incidence s’établit désormais à 385

Depuis mars, le taux d’incidence avait grimpé jusqu’à atteindre les 633 cas pour 100.000 habitants la dernière semaine de mars. Dans le même temps, la France affichait un taux d’incidence moyen de 411,9 pour 100.000 habitants.

Depuis ce pic, le taux d’incidence de Paris avait baissé d’un peu plus de 100 cas en trois jours avant de reprendre et d’atteindre les 603 cas positifs pour 100.000 habitants le 6 avril. Depuis cette date, le taux d’incidence a diminué dans la capitale. Il atteignait 420 pour 100.000 habitants le 30 avril.

Cinq départements d’Île-de-France ont toujours, ce samedi, un taux d’incidence supérieur à 400. Il s’établit à 461 en Seine-Saint-Denis, à 450 dans le Val-de-Marne, à 441 dans le Val-d’Oise, à 405 en Seine-et-Marne et 403 dans l’Essonne.

 

Covid France: 400 morts à l’hôpital en 24 heures

Covid France:  400 morts à l’hôpital en 24 heures

Au total, 30.596 personnes sont à ce jour hospitalisées en France pour une infection au Covid-19, ce qui représente 1944 personnes supplémentaires en 24 heures.

Par ailleurs, 400 personnes sont mortes dans les hôpitaux français au cours de ces dernières 24 heures, contre 145 la veille.

Enfin, sur le plan de la vaccination, 14.297.308 personnes ont reçu au moins une injection de vaccin et 5.691.519 personnes ont reçu les deux doses, selon la Direction générale de la santé (DGS).

Coronavirus Grande-Bretagne : Plus de 15.000 nouveaux cas et 400 morts en 24h

Coronavirus Grande-Bretagne : Plus de 15.000 nouveaux cas et 400 morts en 24h

15.539 nouvelles contaminations samedi au nouveau coronavirus et 297 morts en l’espace de 24 heures, deux chiffres qui apparaissent en recul par rapport au bilan de la veille.

Impôts-L’évasion fiscale : autour de 400 ou 4000 milliards ?

Impôts-L’évasion fiscale : autour de 400 ou 4000 milliards ?

 

D’après l’ONG Tax Justice Network le montant global de l’évasion fiscale mondiale se monterait à 427 milliards. Un chiffre évidemment tout à fait approximatif dans la mesure ou par définition l’évasion fiscale est le plus souvent masqués et donc difficile à identifier. L’utilisation de paradis fiscaux constitue l’un des moyens privilégiés pour échapper à l’impôt. Mais il existe aussi d’autres moyens bien connus, ceux  qui consistent à localiser une entreprise dans des  pays à fiscalité très réduite comme l’Irlande. L’évasion ne passe pas uniquement par des paradis fiscaux exotiques elle passe aussi par des pays aussi respectables que les Pays-Bas ou le Luxembourg. En outre il est bien difficile de faire la distinction entre l’évasion fiscale de nature illégale et l’optimisation fiscale, elle, légale.

. Ce chiffre de 427 milliards et donc apprendre avec des pincettes. Certains considèrent en effet que environ 5 % de l’activité mondiale fait l’objet de détournements fiscaux ce qui représenterait 5000 milliards et non 427. D’après l’O.N.G il y aurait 10 000 milliards d’actifs financiers placés par les particuliers dans ces paradis fiscaux. L’ONG a passé au crible l’évasion fiscale pays par pays dans un rapport qu’elle présente comme le premier du genre et qui tente d’éclairer des flux financiers réputés pour leur opacité. Les chiffres, publiés alors que le monde lutte contre la pandémie, ont été compilés à partir des déclarations des multinationales aux autorités fiscales, récemment publiées par l’OCDE et qui datent de 2016. Pour les particuliers, l’ONG s’est appuyée sur les données de dépôts bancaires disponibles auprès de la Banque des règlements internationaux (BRI) à partir de 2018.

Les régions qui perdent le plus sont celles qui sont les plus riches. L’Amérique du Nord perd 95 milliards de dollars et l’Europe 184 milliards, soit, à titre de comparaison en pleine pandémie, respectivement 5,7% et 12,6% de leur budget dédié à la santé. En France on estime que l’évasion fiscale pourrait se situer entre 60 et 80 milliards par an. L’Amérique latine et l’Afrique perdent moins d’argent mais l’impact est bien plus lourd, puisque cela représente respectivement 20,4% et 52,5% de leur budget de santé.

Le rapport examine par ailleurs les pays qui profitent le plus de cette évasion fiscale. Les îles Caïmans, territoires outre-mer du Royaume-Uni, sont le grand gagnant en captant 16,5%, devant le Royaume-Uni (10%), les Pays-Bas (8,5%), le Luxembourg (6,5%) et les États-Unis (5,53%).

 

Economie-L’évasion fiscale : autour de 400 ou 4000 milliards ?

Economie-L’évasion fiscale : autour de 400 ou 4000 milliards ?

 

D’après l’ONG Tax Justice Network le montant global de l’évasion fiscale mondiale se monterait à 427 milliards. Un chiffre évidemment tout à fait approximatif dans la mesure ou par définition l’évasion fiscale est le plus souvent masqués et donc difficile à identifier. L’utilisation de paradis fiscaux constitue l’un des moyens privilégiés pour échapper à l’impôt. Mais il existe aussi d’autres moyens bien connus, ceux  qui consistent à localiser une entreprise dans des  pays à fiscalité très réduite comme l’Irlande. L’évasion ne passe pas uniquement par des paradis fiscaux exotiques elle passe aussi par des pays aussi respectables que les Pays-Bas ou le Luxembourg. En outre il est bien difficile de faire la distinction entre l’évasion fiscale de nature illégale et l’optimisation fiscale, elle, légale.

. Ce chiffre de 427 milliards et donc apprendre avec des pincettes. Certains considèrent en effet que environ 5 % de l’activité mondiale fait l’objet de détournements fiscaux ce qui représenterait 5000 milliards et non 427. D’après l’O.N.G il y aurait 10 000 milliards d’actifs financiers placés par les particuliers dans ces paradis fiscaux. L’ONG a passé au crible l’évasion fiscale pays par pays dans un rapport qu’elle présente comme le premier du genre et qui tente d’éclairer des flux financiers réputés pour leur opacité. Les chiffres, publiés alors que le monde lutte contre la pandémie, ont été compilés à partir des déclarations des multinationales aux autorités fiscales, récemment publiées par l’OCDE et qui datent de 2016. Pour les particuliers, l’ONG s’est appuyée sur les données de dépôts bancaires disponibles auprès de la Banque des règlements internationaux (BRI) à partir de 2018.

Les régions qui perdent le plus sont celles qui sont les plus riches. L’Amérique du Nord perd 95 milliards de dollars et l’Europe 184 milliards, soit, à titre de comparaison en pleine pandémie, respectivement 5,7% et 12,6% de leur budget dédié à la santé. En France on estime que l’évasion fiscale pourrait se situer entre 60 et 80 milliards par an. L’Amérique latine et l’Afrique perdent moins d’argent mais l’impact est bien plus lourd, puisque cela représente respectivement 20,4% et 52,5% de leur budget de santé.

Le rapport examine par ailleurs les pays qui profitent le plus de cette évasion fiscale. Les îles Caïmans, territoires outre-mer du Royaume-Uni, sont le grand gagnant en captant 16,5%, devant le Royaume-Uni (10%), les Pays-Bas (8,5%), le Luxembourg (6,5%) et les États-Unis (5,53%).

 

L’évasion fiscale : autour de 400 ou 4000 milliards ?

L’évasion fiscale : autour de 400 ou 4000 milliards ?

 

D’après l’ONG Tax Justice Network le montant global de l’évasion fiscale mondiale se monterait à 427 milliards. Un chiffre évidemment tout à fait approximatif dans la mesure ou par définition l’évasion fiscale est le plus souvent masqués et donc difficile à identifier. L’utilisation de paradis fiscaux constitue l’un des moyens privilégiés pour échapper à l’impôt. Mais il existe aussi d’autres moyens bien connus, ceux  qui consistent à localiser une entreprise dans des  pays à fiscalité très réduite comme l’Irlande. L’évasion ne passe pas uniquement par des paradis fiscaux exotiques elle passe aussi par des pays aussi respectables que les Pays-Bas ou le Luxembourg. En outre il est bien difficile de faire la distinction entre l’évasion fiscale de nature illégale et l’optimisation fiscale, elle, légale.

. Ce chiffre de 427 milliards et donc apprendre avec des pincettes. Certains considèrent en effet que environ 5 % de l’activité mondiale fait l’objet de détournements fiscaux ce qui représenterait 5000 milliards et non 427. D’après l’O.N.G il y aurait 10 000 milliards d’actifs financiers placés par les particuliers dans ces paradis fiscaux. L’ONG a passé au crible l’évasion fiscale pays par pays dans un rapport qu’elle présente comme le premier du genre et qui tente d’éclairer des flux financiers réputés pour leur opacité. Les chiffres, publiés alors que le monde lutte contre la pandémie, ont été compilés à partir des déclarations des multinationales aux autorités fiscales, récemment publiées par l’OCDE et qui datent de 2016. Pour les particuliers, l’ONG s’est appuyée sur les données de dépôts bancaires disponibles auprès de la Banque des règlements internationaux (BRI) à partir de 2018.

Les régions qui perdent le plus sont celles qui sont les plus riches. L’Amérique du Nord perd 95 milliards de dollars et l’Europe 184 milliards, soit, à titre de comparaison en pleine pandémie, respectivement 5,7% et 12,6% de leur budget dédié à la santé. En France on estime que l’évasion fiscale pourrait se situer entre 60 et 80 milliards par an. L’Amérique latine et l’Afrique perdent moins d’argent mais l’impact est bien plus lourd, puisque cela représente respectivement 20,4% et 52,5% de leur budget de santé.

Le rapport examine par ailleurs les pays qui profitent le plus de cette évasion fiscale. Les îles Caïmans, territoires outre-mer du Royaume-Uni, sont le grand gagnant en captant 16,5%, devant le Royaume-Uni (10%), les Pays-Bas (8,5%), le Luxembourg (6,5%) et les États-Unis (5,53%).

 

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