Archive pour le Tag '380'

« Ré-industrialisation » : dans Usine Valdunes :380 emplois ferroviaires menacés!

« Ré-industrialisation » : dans Usine Valdunes :380 emplois ferroviaires menacés!


Conséquence de la désindustrialisation en France tout autant que des approximations concernant le développement du ferroviaire, le sous-traitant Valdunes dont le principal actionnaire chinois , le groupe industriel MA Steel , risque de ses activités menaçant ainsi 380 emplois.

Le ministre a promis de «tout faire pour que les sites et les entreprises trouvent un repreneur» et «qu’aucun des salariés ne restent sur le carreau». «Aujourd’hui, le travail se fait ici. On a rencontré la direction et l’actionnaire ce matin, on va rencontrer les organisations syndicales», explique Roland Lescure, soulignant que le processus pourrait «prendre des jours, des semaines, voire des mois».

Il assure qu’aujourd’hui «l’idée est de retrouver un repreneur stratégique, quelqu’un qui connaît le métier et pas forcément quelqu’un qui a besoin ou envie de faire une opération financière de court terme». Et de conclure : «Et ça, ça prend du temps».

Usine Valdunes :380 emplois ferroviaires menacés

Usine Valdunes :380 emplois ferroviaires menacés


Conséquence de la désindustrialisation en France tout autant que des approximations concernant le développement du ferroviaire, le sous-traitant Valdunes dont le principal actionnaire chinois , le groupe industriel MA Steel , risque de ses activités menaçant ainsi 380 emplois.

Le ministre a promis de «tout faire pour que les sites et les entreprises trouvent un repreneur» et «qu’aucun des salariés ne restent sur le carreau». «Aujourd’hui, le travail se fait ici. On a rencontré la direction et l’actionnaire ce matin, on va rencontrer les organisations syndicales», explique Roland Lescure, soulignant que le processus pourrait «prendre des jours, des semaines, voire des mois».

Il assure qu’aujourd’hui «l’idée est de retrouver un repreneur stratégique, quelqu’un qui connaît le métier et pas forcément quelqu’un qui a besoin ou envie de faire une opération financière de court terme». Et de conclure : «Et ça, ça prend du temps».

Aubert & Duval : 380 emplois menacés

Aubert & Duval : 380 emplois menacés

Aubert & Duval qui travaille dans la fonderie de haute performance notamment pour le secteur aérien envisage la suppression de 380 emplois. La réorganisation attendue du fabricant de pièces de fonderie à haute performance, qui appartient à la division Alliages Haute Performance d’ Eramet , se précise. Sa présidente Christel Bories l’a annoncé en comité de groupe puis en comité social et économique central extraordinaire. Il s’agira d’un ajustement de l’effectif de ses sept sites français. Sur un total d’environ 3.700 postes, le projet revient à en supprimer 462 et à en créer 83 autres, soit une perte nette de près de 380. Un chiffre inférieur à ceux avancés officieusement ces derniers mois.

BFM et RMC : 380 suppressions de postes

BFM et RMC : 380 suppressions de postes

 

La restructuration de NextRadioTV, maison-mère de BFMTV et RMC, pourrait entraîner la suppression de 330 à 380 postes en CDI dans le cadre d’un «plan de transformation et de reconquête post-Covid», a annoncé l’intersyndicale de cette filiale du groupe Altice mercredi.

«Le chiffre est tombé : un salarié sur trois devra partir et c’est écœurant. La direction avance le nombre de 330 à 380 CDI et jusqu’à 200 pigistes et intermittents», affirme l’intersyndicale CFDT-CFTC-CGT-SNJ-UNSA dans un communiqué. «Cette coupe drastique est incompréhensible dans un groupe qui réalise structurellement des bénéfices», soulignent les représentants des salariés, qui organiseront une assemblée générale mardi 23 juin. Il est évident que les ressources publicitaires vont notoirement diminuer alors ce sont elles surtout  qui alimentent  les budgets des grands médias. S’ajoutent peut-être à cela une certaine confusion des lignes éditoriales de BFM, à la fois pointue sur certains sujets, populiste sur d’autres mais régulièrement soutien du pouvoir en place. Bref toute la difficulté de tenir une ligne éditoriale crédible.

Parmi les moyens envisagés pour rationaliser la gestion la mise en place d’un outil numérique. Avec ce virage stratégique, NextRadioTV entend accélérer dans le numérique, le replay et les «services associés», qui permettent aux chaînes de se faire rémunérer par les opérateurs de télécoms. Bref un peu comme si toute la gastronomie  française se mettait au concept McDo. Les versions numériques sont déjà copier coller et celle de BFM ne se distingue guère en mixant faits divers, problème de fond voire divertissement. Bref ce qui a conduit certains médias à devenir marginaux comme ceux de Lagardère ( Europe en 1 Paris-Match en particulier. Où les lignes éditoriales marient le showbiz, le people et l’annonce politique populiste. )

 

La maison-mère de BFMTV et RMC (groupe Altice) anticipe un écroulement des recettes publicitaires post-crise sanitaire et avait annoncé mi-mai une réduction de ses effectifs, dont l’ampleur a été précisée mardi au cours de négociations avec les syndicats.

Ce «plan de transformation et de reconquête post-Covid» avait été présenté le 19 mai aux représentants syndicaux. Le groupe, qui emploie plus de 1.600 personnes (ETP), avait souligné que ses effectifs avaient augmenté de plus de 50% ces six dernières années. Les négociations doivent se poursuivre pendant l’été.

NextRadioTV prévoit de diviser par deux le recours aux intermittents, aux pigistes et aux consultants et de «mutualiser les fonctions supports». Le groupe va également réduire la voilure dans le sport et le divertissement. Le plan social «débuterait par une phase de volontariat, les licenciements contraints n’interviendraient que si le nombre de volontaires était insuffisant», avait précisé la direction du groupe en mai.

«Notre objectif sera de limiter autant que possible l’impact sur les postes en CDI et de poursuivre l’excellence éditoriale, tout en développant les compétences technologiques et les forces commerciales, essentielles à NextRadioTV», avait précisé le groupe.

Avec ce virage stratégique, NextRadioTV entend accélérer dans le numérique, le replay et les «services associés», qui permettent aux chaînes de se faire rémunérer par les opérateurs de télécoms. Le groupe souhaite investir dans les podcasts, les données, et poursuivre son développement dans l’info locale.

Lafarge : 380 suppression, d’emplois

Lafarge : 380 suppressions  d’emplois

 

 

380 dans le monde dont 166 en France pour Lafarge qui dévient Suisse. Le futur groupe LafargeHolcim comprendra au total environ 115.000 collaborateurs, précise le cimentier français dans un communiqué, soulignant que le projet de fusion n’aura pas d’impact sur les fonctions opérationnelles de Lafarge en France, qui comptent plus de 4.500 collaborateurs.  Le projet de réorganisation présenté mardi aux représentants du personnel consiste à avoir un nombre de collaborateurs dans les fonctions centrales équivalent en France et en Suisse. Le centre de recherche et développement du nouvel ensemble serait situé en France, à l’Isle-d’Abeau, près de Lyon, ajoute Lafarge. Concernant les suppressions de postes, prévues à Paris et à Lyon, Lafarge dit vouloir privilégier la mobilité interne, les retraites et les départs volontaires. Les actionnaires d’Holcim ont approuvé le 8 mai le projet de fusion avec Lafarge, un mariage visant à créer le nouveau numéro un mondial du secteur. Lafarge a annoncé le 11 mai qu’Holcim avait déposé son projet d’offre publique d’échange (OPE) sur le cimentier français auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF). La finalisation du projet de fusion, prévue en juillet, nécessite la réussite de l’OPE par apport de plus des deux tiers de leurs actions par les actionnaires de Lafarge. Face au mécontentement de certains actionnaires, Lafarge et Holcim avaient revu en mars les modalités de leur fusion.




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