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Crédits immobiliers : en baisse de 36 %

Crédits immobiliers : en baisse de 36 %La crise de l’immobilier ne fait que s’approfondir mois après mois ainsi devant le manque de solvabilité des candidats à la propriété et compte tenu des prix complètement fous du logement; les crédits immobiliers enregistrent une baisse de 36 % sur un an.

Les nouveaux crédits immobiliers sont tombés au plus bas depuis 10 ans au premier semestre, selon les données publiées ce lundi par la Banque de France. Le montant total des nouveaux crédits à l’habitat hors renégociations s’est élevé, en effet, à 47,3 milliards d’euros entre janvier et juin, en baisse de 36% sur un an et au plus bas depuis 2014.

Le taux d’intérêt moyen de ces nouveaux prêts est pourtant un peu plus favorable aux emprunteurs, selon la même source, passant de 4,17% en janvier à 3,70% en juin. Ces taux s’entendent hors frais et assurance. Tous frais compris, ils sont passés de 4,79% à 4,62% du premier au deuxième trimestre pour une durée de vingt ans et plus, selon la Banque de France. Mais cela reste un véritable choc sur le pouvoir d’achat immobilier des ménages : ce taux était encore deux fois et demi inférieur au premier trimestre 2022, à 1,80%.

D’autant que ce sont les primo-accédants et les ménages modestes qui ont le plus de mal à bénéficier du récent reflux des taux du crédit immobilier, contrairement aux ménages plus aisés, notait mi-juillet l’Observatoire Crédit Logement/CSA.

Rémunération du patron de Stellantis : 36,5 millions d’euros

Inégalités-Rémunération du patron de Stellantis : 36,5 millions d’euros avec une augmentation de 56% sur un an

Il n’est pas anormal que les grands patrons très compétents puissent toucher de fortes rémunérations qui récompensent leur travail. Mais lorsque ces rémunérations atteignent et même dépassent les 36 millions comme celle du patron de Stellentis ( ancien groupe Peugeot plus  Fiat) il y a évidemment quelque chose de choquant et même de scandaleux. Certes ce grand patron fait preuve de grande qualité de gestion mais il y a des centaines et des centaines d’autres dirigeants de même valeur qui se contentent de beaucoup moins car surtout préoccupés de l’intérêt général de l’entreprise. Accepter de tels niveaux de rémunération dans une période inflationniste très difficile pour tout le monde relève de l’irresponsabilité tout autant que de la cupidité pathologique . 
Le groupe a en effet annoncé, ce vendredi, que la rémunération globale de son dirigeant pourrait atteindre, à terme, 36,5 millions d’euros pour l’année 2023, soit une augmentation de 56% sur un an.

La  rémunération globale de son dirigeant pourrait atteindre, à terme, 36,5 millions d’euros pour l’année 2023. Soit une augmentation de 56% sur un an. Cette hausse est notamment liée au versement d’une prime de 10 millions d’euros, liée à la « transformation » du groupe créé en 2021, selon le rapport financier de Stellantis. La rémunération intègre des bonus et des pensions de retraite qui seront versés sur le long terme.

En excluant ces éléments de long terme, le salaire de Carlos Tavares est ressorti à près de 23,5 millions d’euros en 2023, contre 14,9 millions d’euros en 2022. Pour rappel, cette rémunération sera soumise au vote des actionnaires du groupe lors de leur assemblée générale, le 16 avril prochain.

Pour rappel, en avril 2022, plus de la moitié des actionnaires du groupe avaient voté contre la rémunération 2021 de Carlos Tavares, compte tenu d’un manque de transparence sur le calcul des primes. Le vote était purement consultatif, mais il avait relancé le débat en France sur la rémunération des dirigeants et surtout terni l’image du groupe, tout juste constitué par la fusion en 2021 de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler. D’autant que la rémunération des dirigeants de Stellantis, et ses modalités, fait désormais clairement partie des référentiels pris en compte dans la notation extra-financière ESG.

En 2023, l’état-major du groupe a donc mis les bouchées doubles pour convaincre les actionnaires de la justesse de la rémunération des dirigeants et rendre plus claires les nouvelles conditions de rémunération des dirigeants.

Les bonnes ventes en Europe à des prix rehaussés, notamment, lui ont permis de réaliser un bénéfice net de 18,6 milliards d’euros, en hausse de 11% sur un an, pour un chiffre d’affaires de 189,5 milliards d’euros, record lui aussi, avec une hausse de 6% sur un an.

 

 

 

Sondage popularité: Borne à 36%

Sondage popularité: Borne à 36%


Très légère remontée de la popularité de la majorité mais à un très bas niveau.

La confiance envers Emmanuel Macron (+2 pts) et Elisabeth Borne (+1 pt) progresse légèrement en juillet par rapport à juin, selon un sondage Toluna – Harris Interactive pour LCI publié vendredi 28 juillet. En réalité pendant la période des vacances traditionnellement les Français se montrent un peu plus bienveillant vis-à-vis du pouvoir

Environ 42% des Français interrogés dans l’enquête disent ainsi faire confiance au chef de l’Etat, qui était tombé à 39% au printemps durant la crise des retraites, soit le niveau le plus bas de son second quinquennat.

M. Macron fait logiquement le plein auprès de ses propres sympathisants (87%). Il engrange aussi à droite, chez les électeurs LR (56%, +3 pts), au lendemain d’émeutes urbaines durant lesquelles il a martelé la nécessité de garantir «l’ordre, l’ordre, l’ordre».

Récemment confirmée à Matignon, sa première ministre Elisabeth Borne obtient un point de confiance supplémentaire, à 36%, avec également une forte progresssion à droite (55%, +11 pts).

Sondage réalisé par Internet du 25 au 27 juillet auprès d’un échantillon de 1.043 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus (méthode des quotas). Marge d’erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points de pourcentage.

Covid France 31 mars 2023 : 10 885 cas supplémentaires et 36 morts en 24 heures

Covid France 31 mars 2023 : 10 885 cas supplémentaires et 36 morts en 24 heures

On enregistre mercredi 29 mars 2023 : 10 885 cas supplémentaires et 36 morts en 24 heures soit 165.609 morts au total

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.600 (+2) et celui de décès en milieu hospitalier est de 136.009 (+34 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 1,24 le taux d’incidence à 81,17 et la tension hospitalière à 14,5 %.

La France compte actuellement 13.184 (+6) personnes hospitalisées et 734 (+14) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.630 (+38) hospitalisées, 315 (+4) en réanimation et +7 décès en 24h
Grand Est : 1.151 (-43) hospitalisés, 59 (-3) en réanimation et +2 décès en 24h
Hauts de France : 1.318 (+13) hospitalisés, 49 (+3) en réanimation et +4 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 903 (+6) hospitalisés, 48 (+6) en réanimation et +4 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 900 (+1) hospitalisé, 52 (+1) en réanimation et +4 décès en 24h
Bretagne: 380 (+17) hospitalisés, 11 (-3) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 505 (-22) hospitalisés, 17 (+1) en réanimation et +5 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.137 (-7) hospitalisés, 71 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
Pays de la Loire : 174 (-4) hospitalisés, 9 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 768 (+1) hospitalisés, , 43 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 627 (+1) hospitalisés, 21 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 533 (+7) hospitalisés, 30 (+3) en réanimation et +2 décès en 24h

Bénéfice Total: record stratosphérique et indécent de 36 milliards

Economie-Bénéfice TotalEnergies: record stratosphérique et indécent de 36 milliards .

TotalEnergies a dégagé en 2022 un bénéfice opérationnel de 36 milliards d’euros, en hausse de 90% par rapport à 2021 et comble d’hypocrisie envisage une ristourne sur les prix prohibitifs du carburant.

Un bénéfice indécent fait sur le dos des consommateurs avec du prix du carburant prohibitif, sur le dos des pays producteurs et sur le dos de la fiscalité.

Grâce à l’optimisation fiscale et à la localisation de nombre de sociétés dans les paradis fiscaux dont les Pays-Bas, l’entreprise contourne une grande partie de la fiscalité partout dans le monde.

Depuis 1966, Total bénéficiait du régime fiscal du bénéfice mondial consolidé (BMC), abrogé par l’Assemblée nationale en 2011, qui lui permettait, selon Mediapart, d’échapper en grande partie à l’impôt sur les sociétés en France. Le bilan consolidé pour l’exercice 2010 fait apparaître une charge d’impôt de 10,228 milliards (7,751 milliards en 2009, et 14,146 milliards en 2008. Mais cet impôt est en très grande majorité payé hors de France, où Total n’effectue que le raffinage, qui est « serait » déficitaire. De ce fait, Total n’a payé aucun impôt sur les sociétés en France en 2009, 2010, 2012, 2013 et 2014.

D’après les documents de référence publiés annuellement par Total, consultables sur le site internet de la société, le taux d’imposition du groupe « serait » de 34,1 % pour l’année 2019 .En 2022, grâce à l’optimisation fiscale la société Total paiera seulement 200 millions d’impôts en France.

En 2022, grâce à l’optimisation fiscale la société Total paiera seulement 200 millions d’impôts en France.

TotalEnergies a annoncé avoir dégagé en 2022 un bénéfice opérationnel de 38,475 milliards de dollars (36 milliards d’euros), en hausse de 90% par rapport à 2021 et un Ebitda (le bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement) de plus de 71 578 milliards de dollars (66,5 milliards d’euros), en hausse de 69%.

Ce bénéfice constitue un véritable scandale financier qui défie toutes les logiques économiques. En effet quand les matières premières tirent vers le haut , les résultats financiers doivent en général en pâtir. C’est exactement le contraire dans le monde des hydrocarbures où au contraire le positionnement en oligopole permet de rajouter des hausses au hausses. Ces profits sont réalisés d’abord sur le dos des pays dont on exploite les ressources, ensuite sur le dos des consommateurs. Et comble l’hypocrisie Total envisage d’une ristourne au lieu d’aligner l’évolution des prix du carburant sur l’évolution des cours actuellement en baisse.

Le bénéfice net ajusté de Total double ainsi quant à lui pour dépasser 36 milliards, alors que le résultat net s’élève lui à 20,5 milliards en 2022, en hausse de 28%. Il s’agit pour le groupe pétrogazier français du plus haut bénéfice jamais réalisé et l’un des meilleurs de l’histoire du CAC40.

Comme ses concurrentes américaines et britanniques ExxonMobil, Shell ou BP, la major française a pleinement bénéficié de la hausse du prix des hydrocarbures, et notamment du gaz, à la suite de la guerre en Ukraine, qui a provoqué la fermeture des gazoducs russes et une course au gaz naturel liquéfié (GNL) pour le remplacer dans toute l’Europe.
Compte tenu de ses résultats, TotalEnergies prévoit de verser à ses actionnaires un dividende total de 3,81 euros par action au titre de l’année 2022, dont 1 euro en dividende exceptionnel, déjà versé en décembre 2022.

L’entreprise annonce également ce mercredi être « prête à envisager » de nouvelles ristournes sur le prix des carburants à la pompe, proposition accueillie « favorablement » par le porte-parole du gouvernement Olivier Véran.

« Nous sommes prêts à intervenir, comme nous l’avons fait en 2022, si les sanctions contre la Russie poussent les prix à la pompe vers le haut » a déclaré le PDG du groupe pétrolier Patrick Pouyanné devant la presse. « Le montant » comme les « conditions » d’une ristourne sont encore à déterminer, a-t-il expliqué, admettant qu’un litre de carburant à deux euros constituait un « seuil psychologique (…) dans les têtes des Français ».

Le dirigeant anticipe notamment une potentielle hausse des prix du diesel, en raison des sanctions prises par Bruxelles à l’encontre de la Russie, qui conduisent à « acheter du diesel indien venant du brut russe». « Il faut réorganiser toutes les flottes de tankers donc cela a un coût », pointe-t-il. Or le parc automobile français, comparé à d’autres pays européens est très « diésélisé ». En France, « 70% des ventes du réseau de TotalEnergies, c’est du diesel, » a indiqué Patrick Pouyanné.

L’annonce de ces résultats risque en effet de faire une nouvelle fois de faire polémique, dans un contexte de grogne sociale liée au projet de réforme des retraites et d’inflation. Et ce, même si la major multiplie les gestes en faveur de ses clients. Après la ristourne TotalEnergies a récemment annoncé qu’il contribuera à hauteur d’un rabais de 100 euros par mégawattheure (MWh) au dispositif prévu par Bercy pour contenir la facture d’électricité des très petites entreprises (TPE).

Notons par ailleurs que Total énergie est aussi un parasite en matière d’électricité puisqu’il ne produit pas grand-chose, ne transporte rien et n’apporte aucune valeur ajoutée. Pire, il bénéficie comme les autres parasites de prix réduits de l’électricité nucléaire, un prix imposé par le gouvernement à EDF.

Elections: L’ensemble de la gauche seulement 36 %

 

Elections: L’ensemble de la gauche seulement 36 %

 

L’étude fine des résultats des élections régionales et départementales montre qu’à l’intérieur d’un bloc de gauche affaibli, les différentes forces le composant connaissent des trajectoires contrastées, analyse le chercheur en science politique Simon Persico dans une tribune au « Monde ».

 

Tribune.

 Plusieurs raisons obligent à nuancer tout enseignement que l’on peut tirer des élections régionales et départementales de 2021. D’abord, ce double scrutin constituait le troisième rendez-vous électoral depuis 2017. Les électeurs, qui avaient déjà pu profiter des deux élections intermédiaires précédentes – européennes de 2019 et municipales de 2020 – pour envoyer un message politique, se sont très peu mobilisés.

L’abstention massive, renforcée par l’impossibilité de sanctionner un pouvoir national qui n’était à la tête d’aucune région, aboutit à une participation dominée par les générations les plus âgées et les catégories sociales les plus favorisées, au détriment des jeunes notamment. Cela n’est pas sans conséquences sur les équilibres politiques, les catégories les plus mobilisées étant aussi les plus favorables à la droite et, au sein de la gauche, au Parti socialiste (PS).

Ce contexte de très faible participation a bénéficié massivement aux exécutifs sortants. La surparticipation des électeurs les plus légitimistes explique ainsi la grande stabilité qui ressort de ces deux élections : si la gauche compte deux conquêtes à La Réunion et à la Martinique, on ne dénombre, en France métropolitaine, aucune alternance au niveau régional, et moins d’une dizaine au niveau départemental : cinq exécutifs départementaux passent de gauche à droite, deux basculent de droite à gauche.


Cette stabilité explique le sentiment de satisfaction affiché par les responsables socialistes au soir du 27 juin. Il paraîtrait toutefois hasardeux de considérer que ces élections marquent le retour du PS au premier plan de la vie politique française. En effet, et c’est la troisième raison qui oblige à nuancer les enseignements tirés de ces deux élections, ils illustrent la profonde déconnexion entre vie politique nationale et vie politique locale, un phénomène qui apparaissait déjà lors des élections municipales de 2020.

L’étude fine des résultats offre pourtant quelques enseignements pour les forces de gauche. D’abord, indépendamment de la résistance des socialistes dans les régions et les départements qu’ils dirigeaient, le niveau total de la gauche et des écologistes se maintient à un niveau total bas. A l’échelle nationale, l’ensemble des forces de gauche obtient environ 36 % des suffrages exprimés lors du premier tour des régionales ; elles retrouvent ainsi leur niveau de 2015, qui constituait déjà un point bas pour des élections régionales, dans un contexte de forte sanction à l’encontre du gouvernement socialiste.

Elections régionales : nouveau record d’abstention avec au maximum 36% de participation

Elections régionales : nouveau record d’abstention avec au maximum 36% de participation

A quelques jours du second tour des élections régionales, l’indicateur de participation Ifop pour le JDD vient confirmer le phénomène abstentionniste que connaît notre pays. En effet, 64% des électeurs n’envisagent pas de voter dimanche prochain, soit 30,5 millions de Français inscrits sur les listes électorales. Comparée à l’abstention historique mesurée dimanche 20 juin au premier tour, on observe un léger regain d’à peine trois points, bien inférieur à la progression de la participation de l’ordre de huit points enregistrée entre les deux tours du précédent scrutin régional.

Dans le détail des réponses, on retrouve d’ailleurs les mêmes clivages observés au premier tour : 13% seulement des moins de 25 ans envisagent de voter contre 50% des plus de 65 ans. S’agissant des électorats présidentiels, l’électorat de François Fillon (61% de votants) semble, comme le 20 juin, nettement plus mobilisé que celui de Marine Le Pen (39%).

Parmi les sympathisants de gauche, 38% disent avoir l’intention d’aller voter (50% pour les sympathisants du PS, 40% pour ceux de EELV, 23% pour ceux de LFI). Par ailleurs 39% des proches de la majorité présidentielle ont l’intention d’aller voter, tout comme 59% des sympathisants des Républicains et 43% de ceux du Rassemblement national.

Sécu : un déficit de près de 36 milliards en 2021

Sécu : un déficit de près de 36 milliards en 2021

Lundi, à l’occasion du retour du texte à l’Assemblée nationale, en deuxième lecture, le ministre délégué aux Comptes publics, Olivier Dussopt, a de nouveau modifié les prévisions financières. Une rectification à près de 8 milliards. Le gouvernement prévoit désormais que le déficit du régime général et du fonds de solidarité vieillesse s’élèvera à 35,7 milliards d’euros en 2021, soit 7,8 milliards de plus que la prévision précédente. « Nous ne modifierons pas l’Ondam 2020 », a précisé le ministre, qui a déjà actualisé cet objectif de dépenses d’assurance-maladie à deux reprises en première lecture, devant chaque chambre du Parlement et révisé les recettes de 2020 au Sénat. Accélération des revalorisations « Ségur » , mesures supplémentaires pour inciter les soignants à sacrifier leurs vacances de la Toussaint, dégâts économiques du reconfinement : le déficit pour 2020 est maintenant attendu à 49 milliards d’euros , soit 4,6 milliards de plus que prévu en septembre.

Internet : hausse de l’audience de 36 %

Internet : hausse de l’audience de 36 %

Selon les données de Médiamétrie, le temps de surf est passé en moyenne à 2 h 50 par jour sur la seconde quinzaine de mars, soit 36 % de plus que l’année précédente. «Cette hausse est plus marquée sur les ordinateurs et les tablettes, qui sont les écrans privilégiés à domicile», note Bertrand Krug, directeur du département internet de Médiamétrie.

L’institut n’a pas encore de données sur l’effet du confinement sur les gros consommateurs d’internet, qui se connectent habituellement 7 heures par jour. Mais les résultats d’audiences pour le mois de mars montrent une claire modification dans les usages, et une forte accélération de certains services.

Deux grandes catégories trustent le haut du classement des sites les plus visités en mars: les réseaux sociaux et les médias.

 

 

 

Coronavirus: la croissance chute de 36% en France

Coronavirus: la croissance chute de 36% en France

Une baisse de croissance de 36 % depuis le confinement constaté par l’INSEE.

, l’Insee confirme également que chaque mois de confinement se traduirait par une perte de trois points de Produit intérieur brut (PIB) annuel. Du coup les perspectives de croissance annoncée par le ministre du budget comme les perspectives de déficit budgétaire apparaissent complètement sous-estimer.

L’institut souligne que la reprise de l’activité prendra du temps et qu’elle n’interviendra que longtemps après la levée des mesures de confinement, mises en œuvre le 17 mars dernier et que l’exécutif entend prolonger sans surprise au-delà de la date annoncée du 15 avril.

L’Insee indique qu’il publiera “si possible fin avril” la première estimation du PIB au premier trimestre.

“L’évolution du PIB devrait être nettement négative au premier trimestre et sans doute plus encore au deuxième trimestre, selon la durée et les modalités de sortie du confinement”, souligne l’Institut.

La Banque de France a estimé pour sa part mercredi que l’économie française s’était sans doute contractée de 6% au premier trimestre. À ce rythme et si le confinement même partiel continue  jusqu’à l’été la baisse du PIB  pourrait atteindre de l’ordre de 20 %.

36 milliards d’investissements français en Italie, 3 milliards en France pour l’Italie

La balance est en effet très déséquilibrée. Sur les cinq dernières années, les investissements français dans des entreprises italiennes ont atteint 36 milliards d’euros. Dans le même temps, les Italiens ont réalisé pour seulement 3 milliards d’acquisitions en France. Le géant du luxe LVMH, déjà propriétaire de Fendi ou Pucci, vient de s’offrir le joaillier romain Bulgari pour 3,7 milliards d’euros. Alors que le luxe italien occupe une part comparable sur le marché mondial à celle des acteurs français, le secteur, dominé par des joyaux familiaux (Armani, Prada, Ferragamo…), n’a pas su faire émerger de groupes cotés en Bourse capables de rivaliser avec les champions tricolores LVMH ou PPR (famille Pinault), propriétaire de Gucci et Bottega Veneta. Les mouvements inverses sont beaucoup plus modestes. La famille Borletti, actionnaire des grands magasins Rinascente, a racheté Le Printemps aux Pinault, avec le soutien majoritaire de financiers. Le patron du chausseur Tod’s, Diego Della Valle, a relancé la petite marque française ­Roger Vivier. Il a aussi investi au capital de l’enseigne américaine Saks. C’est d’ailleurs l’une des rares figures du capitalisme transalpin qui aspire encore à jouer un rôle de consolidateur. Il s’est récemment positionné comme un recours face à Vincent Bolloré qui détient 5% du géant bancaire Mediobanca. L’homme d’affaires breton, également actionnaire et vice-président de l’assureur ­Generali, vient de jeter un pavé dans la mare en refusant d’en approuver les comptes, dénonçant leur manque de transparence, ce qui a été perçu comme un exemple de l’arrogance française. La défense de l’italianité peine toutefois à émerger. Il y a deux ans, le sauvetage de la faillite d’Alitalia par Air France avait suscité une levée de boucliers incarnée jusqu’au sommet de l’État par Berlusconi. Or, dans ce cas comme dans les autres, le patronat italien n’a pas su élaborer d’alternative.

Japon: l’excédent commercial chute de 36% en juin sur un an

Japon: l’excédent commercial chute de 36% en juin sur un an

 

Signe sans doute une légère amélioration du contexte international, les exportations du Japon augmentent de manière sensible en juin  notamment en direction de l’union européenne qui connaît elle aussi une certaine reprise. Peut-être aussi les faits d’une politique monétaire très accommodante qui vise à racheter sans limitation des actifs par  la banque centrale japonaise. Le commerce extérieur du Japon est en effet revenu dans le vert en juin après un déficit surprise en mai, mais l’excédent s’est replié de 36% sur un an du fait d’une augmentation de la facture énergétique, tandis que les exportations restaient dynamiques. Selon les chiffres publiés jeudi par le ministère des Finances, le solde s’est établi à 439,9 milliards de yens (3,4 milliards d’euros au cours actuel), légèrement en-deçà des estimations des économistes (488 milliards de yens). Le mois dernier, les exportations ont progressé de 9,7% pour atteindre 6.607,6 milliards de yens (53 milliards d’euros), signant leur 7e mois positif d’affilée dans un contexte d’amélioration de la conjoncture mondiale. Les économistes mettent cependant en garde contre plusieurs risques qui pourraient peser sur les échanges à moyen terme: un possible ralentissement de la demande en Asie et les tendances protectionnistes à l’oeuvre sous la présidence de Donald Trump aux Etats-Unis. Les importations ont quant à elles augmenté de 15,5% à 6.167,6 milliards de yens, tirées par une hausse en valeur des achats de produits pétroliers (+56%), de gaz naturel liquéfié (+44%) et de charbon (+116%). Par région, les expéditions ont augmenté de 19,5% vers la Chine, un des principaux partenaires commerciaux de l’archipel, ce qui lui a permis de réduire son déficit de 40%. Vers les Etats-Unis, autre gros client, elles ont pris 7,1%, mais le surplus, dans le viseur du chef d’Etat américain, a un peu diminué en raison d’importations accrues (pétrole et charbon essentiellement). Enfin, les exportations ont gagné 9,6% vers l’Union européenne, région avec laquelle le Japon vient de conclure un ambitieux accord de libre-échange. Sur l’ensemble du premier semestre, l’excédent commercial nippon a diminué de plus de 40%, mais les exportations ont dans le même temps augmenté de 9,5% sur un an. Ce rebond a contribué à soutenir la reprise de la troisième économie mondiale, un élément que devrait noter jeudi la Banque du Japon (BoJ) à l’issue d’une réunion de deux jours. Selon des informations de presse, elle pourrait légèrement relever ses prévisions de croissance, sans pour autant mettre un frein à sa politique monétaire ultra-accommodante face à une inflation toujours chancelante.

Les dépenses sociales : 36 milliards dont 11 pour le RSA

Les dépenses sociales : 36 milliards dont 11 pour le RSA

 

Nouvelle dérive des dépenses sociales notamment du RSA. Les départements ont consacré 36,1 milliards d’euros à l’aide sociale en 2015, un montant net dont la progression de 2% sur un an à une nouvelle fois été soutenue par les dépenses liées aux revenu de solidarité active (RSA), selon une étude publiée vendredi par la direction des études du ministère des Affaires sociales et de la Santé (Drees). Le nombre de bénéficiaires du RSA explose à peu près au même rythme que le nombre de chômeurs depuis 2009 soit une progression de l’ordre  de 70 % qui s’explique aussi par l’extension des conditions d’attribution. Un système qui risque d’exploser financièrement s’il n’est pas nationalisé. Les départements sont en effet financièrement complètement asphyxiés par une allocation dont il ne gère pas les modalités réglementaires d’attribution. De ce point de vue,  il y a une contradiction à décider  nationalement du principe d’une allocation et à faire participer les collectivités locales à leur financement sans leur donner les moyens correspondants. Compte tenu de cette situation aussi d’autres contraintes qui pèsent sur les collectivités locales 50% des départements pourraient se retrouver en faillite d’ici cinq ans. Comme déjà indiqué le nombre de bénéficiaires évolue au même rythme que le nombre  de chômeurs mais cela n’interdit pas cependant de s’interroger sur les conditions d’attribution. Certes le RSA est une prestation de survie et ne permet pas évidemment de mener grand train pour autant dans certains cas il est plus intéressant de s’installer dans le chômage avec le RSA et d’autres prestations que de travailler pour un salaire inférieur à 1000 €. Une situation qui a d’ailleurs conduit de départements envisagés aux bénéficiaires de RSA une contrepartie en termes de travail. Comme souvent lorsqu’il s’agit de prestations sociales la solidarité nationale est largement justifiée. Toutefois cinq certains ont tendance à s’installer dans cette situation d’assisté qui les prive  d’ailleurs de toute possibilité de réinsertion professionnelle. Fin 2015, le nombre de foyers allocataires du RSA a dépassé pour la première fois la barre des 2,5 millions en France. Au 31 décembre 2015, d’après les dernières données publiées par la CAF, il y avait en effet 2,53 millions de foyers allocataires du Revenu de solidarité active. C’est 71% de plus que lors de sa création, en juin 2009. La première explication est mathématique: le RSA, créé en juin 2009, ne concernait que la France métropolitaine, puis il a été étendu sous certaines conditions aux jeunes de moins de 25 ans en septembre 2010 (RSA jeune), puis dans les départements d’outre-mer (DOM) et certaines collectivités d’outre-mer (COM) à partir de janvier 2011, puis à Mayotte en janvier 2012. Le champ de couverture du RSA s’est donc élargi avec le temps. La deuxième explication réside dans le plan pluriannuel contre la pauvreté lancé par le gouvernement Ayrault en janvier 2013, qui prévoit la revalorisation (hors inflation) du barème du RSA de 10% sur cinq ans. Des augmentations -en plus des revalorisations réglementaires effectuées le 1er janvier de chaque année – ont eu lieu les 1er septembre 2013, 2014 et 2015. Elles ont pour conséquence d’augmenter les montants versés aux allocataires percevant déjà le RSA, et provoquent aussi des entrées dans le dispositif. La troisième explication tient dans la tendance structurelle de la France (depuis plus de 30 ans), à rester figée dans le chômage de masse, avec une aggravation très marquée depuis la crise de 2008. Mécaniquement, quand le nombre de chômeurs monte, le nombre d’allocataires de prestations sociales augmente dans la foulée.

 

Réouverture du dossier Robert Boulin, 36 ans après !!!

Réouverture du  dossier Robert Boulin, 36 ans après !!!

 

 

36 ans après les faits, la justice, bien évidemment indépendante, accepte de reprendre le dossier de l’affaire Boulin, le ministre du Travail gaulliste retrouvé mort en 1979 dans un étang de la forêt de Rambouillet, près de Paris, a-t-on appris auprès de l’avocate de la famille, Me Marie Dosé. une information judiciaire pour « arrestation, enlèvement et séquestration suivi de mort ou assassinat » a été ouverte par le tribunal de grande instance de Versailles, précise France Info, qui a révélé l’information. Une affaire évidemment qui sent le soufre puisqu’elle met notamment en cause le financement des partis politiques de la majorité de l’époque et notamment celle en provenance de la Francafrique ( Elf, Gabon etc.) ; financement que s’apprêter à dénoncer Robert Boulin. . La fille de l’ancien ministre du Travail, Robert Boulin, a donc porté plainte pour rouvrir l’enquête sur la mort de son père alors qu’un non-lieu a été rendu en 1991 et que deux tentatives de réouverture ont déjà échoué. C’est une véritable victoire pour la famille du ministre retrouvé mort en 1979, son corps inerte dans 50 cm d’eau dans un étang à Saint-Léger-en-Yvelines. À l’époque, la Justice avait retenu une mort par suicide, aujourd’hui, le parquet de Versailles ouvre une enquête pour « arrestation, enlèvement et séquestration suivi de mort ou assassinat« .   Ce qui a changé ? Un nouveau témoin, qui dans une lettre fournie par la fille Fabienne à la Justice, remet en question la version officielle. Un témoin qui aurait vu le ministre de Valéry Giscard d’Estaing « à l’heure où il était censé mettre des lettres disant qu’il se suicidait à La Poste, dans une voiture qui ressemble à celle de mon père, mais avec un conducteur et un passager derrière lui. L’ambiance avait l’air d’être lourde« , rapporte Fabienne Boulin-Burgeat, d’où l’importance du témoignage devant un juge d’instruction. « On ne peut pas se permettre de déshonorer un homme qui toute sa vie a servi son pays dans l’honneur », ajoute-elle.  « Regardons calmement, sereinement les faits« , dit-elle « résolue à ce que la vérité passe dans ce dossier. » « Je suis heureuse de voir que quand on pose des témoignages sérieux, qui remettent en cause complètement la thèse officielle, il y a des magistrats pour entendre et ont donc décidé de revoir ce dossier entièrement. C’est une très grande joie« , poursuit la fille du ministre. Pour l’avocate de la famille, maître Marie Dosé,  »raisonnablement, il est possible d’établir que Robert Boulin ne s’est pas suicidé. On pourra probablement s’approcher de la vérité et en terminer avec cette histoire de suicide« . Les proches de l’ancien ministre ont toujours fait part de leur scepticisme à l’égard de la version officielle.  L’ouverture d’une nouvelle instruction marque un rebondissement spectaculaire dans l’affaire, alors qu’en 2010 le parquet général de la cour d’appel de Paris avait refusé de rouvrir l’enquête pour homicide. Selon sa fille, Robert Boulin a été assassiné parce qu’il disposait d’informations sur un financement politique occulte. Pour conclure au suicide, la justice avait notamment retenu les huit lettres envoyées la veille de sa mort par le ministre à des médias et différentes personnalités, dont Jacques Chaban-Delmas, ancien Premier ministre.  Neuf fois ministre sous la Ve République, Robert Boulin était, à l’époque, pressenti comme successeur potentiel de Raymond Barre à Matignon. Courant octobre 1979, il avait été visé par une campagne de dénigrement au sujet d’une éventuelle acquisition irrégulière d’un terrain sur la commune de Ramatuelle (Var) par l’intermédiaire d’une connaissance, Henri Tournet. « M. Tournet avait vendu le terrain plusieurs fois, mais mon père ne s’est pas suicidé puisqu’il n’était coupable dans cette affaire d’aucune infraction. La preuve, nous y sommes toujours », avait déclaré Fabienne Boulin-Burgeat au Monde en mai dernier. Avec l’aide d’une succession d’avocats, la fille de l’ancien ministre a dit avoir relevé relevé « 77 anomalies » dans le dossier.

Sondage primaire 2017 : Valls 36%, Hollande 7%

Sondage primaire 2017 : Valls 36%, Hollande 7%

 

Camabadélis ne veut pas de primaire pas étonnnant Hollnde ne recueille  que 7%. Selon une enquête pour Orange et iTélé, le chef du gouvernement est choisi en premier par 36% des personnes interrogées suivi de loin par l’ex-ministre Arnaud Montebourg et la maire de Lille Martine Aubry (ex-æquo à 12%), puis Ségolène Royal (11%). Le président François Hollande crédité de 7%, arrive en cinquième position, deux petits points au-dessus du député Benoît Hamon (5%) et 3 au-dessus de sa garde des Sceaux Christiane Taubira (3%). Plus surprenant, auprès des seuls sympathisants du PS, l’écart est encore plus grand : 48% placent en tête le chef du gouvernement en vue de 2017, l’actuel chef de l’Etat arrivant deuxième à 18% et Martine Aubry 3e à 14%. Tous les autres sont à moins de 10%.  Chez les sympathisants de partis à la gauche du PS, c’est la bérézina pour l’Exécutif : Valls plafonne à 6% et le chef de l’État est à 2%. C’est la maire de Lille qui l’emporte (23%) devant l’ex-ministre du Redressement productif (17%).  Mais alors que Jean-Christophe Cambadélis a écarté plusieurs fois l’hypothèse d’une primaire pré-présidentielle, 81% des sondés y sont favorables même si François Hollande est candidat à sa propre succession (16% uniquement s’il ne postule pas, 15% pas favorables du tout). 

 

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