Archive pour le Tag '350'

Des chèques comme s’il en pleuvait, encore 350 millions pour le cinéma !

Des chèques comme s’il en pleuvait, encore 350 millions pour le cinéma !


A priori, on ne peut que se réjouir de ce nouveau chèque de 350 millions du gouvernement en direction de la culture (on pourrait cependant s’interroger sur le caractère culturel quand il s’agit de certaines séries ou de certains jeux vidéo). L’exception culturelle française est sans doute à soutenir. Reste que le gouvernement qui d’un côté par la voix du ministre de l’économie prône maintenant la rigueur financière par ailleurs ne cesse de distribuer des chèques à différentes catégories pour calmer certaines colères et tenter de remonter dans l’estime des Français. On observera qu’à chaque fois rien n’est dit du financement. Finalement un peu comme la promesse illusoire d’une réduction d’impôt pour les couches moyennes ; on a là aussi oublié d’indiquer les modalités de financement.

La ministre de la Culture annonce un investissement de 350 millions d’euros pour la production de films, séries et jeux vidéo
Ambition : faire de la France « un leader des tournages ». La ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, a présenté vendredi 19 mai, lors du Festival de Cannes, un plan intitulé « La grande fabrique de l’image ». Ce plan, détaillé sur le site du ministère de la Culture, prévoit un investissement de 350 millions d’euros d’ici à 2030 pour le cinéma, les séries, les jeux vidéo ou encore les effets spéciaux.

Il s’inscrit dans le plan d’investissement France 2030 lancé par Emmanuel Macron en 2021 pour tenter de faire de la France un acteur essentiel dans des secteurs stratégiques de l’économie. « Notre ambition est (…) de faire de la France une terre de tournages, d’innovation et de compétences pour tous les métiers de l’image », a déclaré Rima Abdul-Malak au Parisien

Ferroglobe Chambéry : 350 emplois supprimés

Ferroglobe Chambéry : 350 emplois supprimés

Encore des usines françaises victimes de la concurrence chinoise Le groupe américano-espagnol Ferroglobe, spécialiste du silicium, annonce la suppression de 350 emplois. En faite des emplois qui comme les deux usines concernées seraient « mis en sommeil ».

Au total, 221 emplois seront supprimés sur le site de La Léchère et 131 au sein de l’usine de Livet-et-Gavet. Ferroglobe détient via FerroPem quatre autres usines en France qui ne sont pas menacées.

Début octobre, les syndicats avaient fait état de leurs inquiétudes après l’annonce d’une réflexion autour d’un plan de restructuration au sein de Ferroglobe en raison de difficultés économiques. Deux mois plus tard, Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie, avait appelé Ferroglobe à «ses responsabilités» et à «soutenir sa filiale» française devant l’Assemblée nationale.

FerroPem a subi une baisse de la demande de 25% et une chute des cours de 30% depuis le début 2018 en raison de la concurrence du silicium chinois, fragilisant sa position financière et menaçant le paiement de ses fournisseurs.

Sondages législatives : 350-380 sièges pour LREM-

Sondages législatives : 350-380 sièges pour LREM-

Selon les projections d’un sondage Harris Interactive-Indeed pour LCP publié jeudi  La République en marche (LREM) d’Emmanuel Macron et ses alliés du MoDem disposeraient d’une majorité absolue à l’Assemblée nationale avec un contingent de 360 à 390 élus, selon les projections d’un sondage Harris Interactive-Indeed pour LCP publié jeudi. L’alliance Les Républicains-UDI est créditée dans la même enquête de 125 à 140 sièges, le Parti socialiste de 20 à 30 sièges, la France insoumise et le Parti communiste de 15 à 25 sièges et le Front national de 8 à 18 sièges. En termes d’intentions de vote, LREM et le MoDem sont à 30%, un point de moins que dans une précédente enquête publiée le 1er juin, Les Républicains et l’UDI à 19% (+1 point), le Front national à 17% (-1 point). Suivent la France Insoumise (12%, +1 point) et le PS (7%, – 1 point). L’enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 931 personnes inscrites sur les listes électorales choisies parmi un échantillon représentatif de 1.016 personnes âgées de 18 ans et plus et interrogées en ligne du 6 au 8 juin.

Manipulation de changes : Une amende de 350 millions de dollars pour BNP Paribas

Manipulation de changes : Une amende de 350 millions de dollars pour BNP Paribas

 

.La banque française a écopé mercredi d’une amende de 350 millions de dollars aux Etats-Unis pour des malversations commises par ses traders sur le marché des changes, suite à un accord trouvé avec la justice américaine. La somme est largement inférieure à l’amende record de 8,9 milliards de dollars infligée à l’établissement en 2014 pour avoir violé des embargos américains contre le Soudan, Cuba et l’Iran. « La banque a accordé peu d’attention à la surveillance de son activité de courtage des changes, ce qui a permis à ses traders et d’autres de violer la législation de l’Etat de New York pendant plusieurs années et d’abuser de la confiance des clients », fustige dans un communiqué Maria Vullo, la patronne du régulateur des services financiers (DFS) de New York.  Elle explique que, de 2007 à 2011, une douzaine de cambistes de l’établissement français basés à New York, Londres et Tokyo se sont entendus sur des plateformes de messagerie instantanée pour manipuler les taux de référence de devises de pays émergents comme le rand sud-africain, le forint hongrois et la livre turque. Un des traders impliqués « a explicitement baptisé le groupe  »cartel » dans ses échanges, et appelé le reste des cambistes avec lesquels il était de connivence pour manipuler le prix du rand sud-africain  »Domination ZAR » d’après le symbole de cotation du rand qui est Zar », détaille le régulateur. Ces cambistes élaboraient ensemble, via les forums de discussion, des simulations de courtage sur les devises, s’entendaient pour pousser artificiellement le taux de référence d’une monnaie et encaissaient ainsi des bénéfices indus, déplore encore le DFS. Une des tactiques consistait par exemple à gonfler artificiellement la valeur du rand sud-africain pendant les échanges à New York. En 2014, BNP Paribas avait déjà dû s’acquitter d’une amende de près de neuf milliards de dollars aux Etats-Unis et avait plaidé coupable pour régler son litige concernant la violation d’embargos économiques américains.

Apple Watch : vendue 350 euros pour un coût de 84 dollars !

Apple Watch : vendue 350 dollars  pour un coût de 84 dollars !

 

D’après  une étude du cabinet IHS, le coût de production du modèle d’entrée de gamme n’atteint que 24% de son prix de vente. Seulement 2,50 dollars sont consacrés à la main d’oeuvre. Du jamais vu dans l’histoire de la firme à la pomme. Trimestre après trimestre, Apple publie des résultats colossaux. Le secret de sa réussite? Des marges importantes réalisées sur chacun de ses produits. L’Apple Watch, dernier en date, ne déroge pas à la règle. Ainsi, selon le cabinet IHS Technology, l’Apple Watch Sport avec un boîtier de 38 millimètres, le modèle d’entrée de gamme d’Apple, coûterait-il 83,70 dollars à fabriquer…pour un prix de vente de 349 dollars (399 euros sur le marché européen)! Le coût de production de cette montre représente donc seulement 24% de son prix de vente. Un ratio plus important que celui des autres produits de la marque qui varie de 29 à 38%. A titre d’exemple, le coût de production de l’iPhone 6 atteint, selon les calculs du site américain Teardown.com, 227 dollars tandis que celui de l’iPhone 6 Plus grimpe à 242,50 dollars. Deux appareils vendus respectivement aux États-Unis à 649 dollars et 749 dollars, soit des ratios coût de production/prix de vente de 35% et 32%.  Selon IHS, qui s’est amusé à décortiquer la montre, les composants les plus chers sont l’écran (20,50 dollars) et le processeur (10,20 dollars). La batterie ne revient qu’à 0,80 cent. Au total les coûts des matériaux qui composent la montre s’élèvent à 81,20 dollars auxquels s’ajoute le coût de la main d’œuvre (2,50 dollars). Soit donc un total de 83,70 dollars. «Le ratio (coût de production/prix de vente, ndlr) de l’Apple Watch est plus faible que celui de l’iPhone 6 Plus et des autres nouveaux produits d’Apple et pourrait être source d’importants bénéfices si les ventes correspondent à l’intérêt suscité par l’Apple Watch», souligne Kevin Keller, analyste chez IHS. ( lu dans le Figaro)

Airbus 350: retard ou caprices du Qatar

Airbus 350: retard ou caprices du Qatar

Pas de motif invoqué pour le retard de livraison des A 350 au Qatar. En fait il s’agit essentiellement des caprices du président de Qatar Airways qui a pris l’habitude de médiatiser ses exigences sur des détails insignifiants afin de valoriser l’image de sa compagnie. Bref une campagne de pub à bas coûts.  Airbus et Qatar Airways avaient annoncé que la livraison, prévue samedi, du tout premier A350 avait été reportée sine die. Aucun motif n’avait alors été invoqué pour expliquer cette décision. L’annonce de mercredi avait fait très mal: Airbus avait perdu 10,42% à la Bourse de Paris, sa plus forte baisse depuis l’été 2008.  Qatar Airways, qui sera le premier transporteur à recevoir le nouvel Airbus A350 long-courrier, affirme ses ambitions d’entrer dans le club des grandes compagnies aériennes, à l’instar d’Emirates et Etihad, ses rivales du Golfe.  La compagnie qatarie, propriété de l’Etat, confirme son appétit pour les long-courriers nouvelle génération en réceptionnant l’A350 XWB (extra wide body). Qatar Airways a commandé un total de 80 exemplaires: 43 dans la version A350-900 (315 passagers), dont le premier lui sera donc livré dans les prochains jours à Toulouse, et 37 dans sa version allongée A350-1000 (369 sièges), qui doit entrer en service mi-2017.  Cette livraison intervient après celle récente de trois des 14 superjumbos A380 qu’elle a commandés. D’ailleurs, Airbus avait déjà fait les frais du caractère imprévisible du président de Qatar Airways avec cet A380. L’avionneur européen avait alors été obligé de reporter de trois mois la livraison de cet appareil. En cause: des différends sur la qualité de l’aménagement de la cabine.

 

Frais bancaires: de 100 à 350 euros selon les banques

Frais bancaires: de 100 à 350 euros selon les banques

 

Paradoxe,  non seulement les banques disposent gratuitement des dépôts et évidemment font travailler l’argent mais en plus elles ne cessent d’augmenter les frais dits de gestion. Pourtant les profits et les dividendes n’ont jamais été auusi élevés. . A eux seuls, les quatre premiers groupes français – Crédit Agricole, BNP Paribas, BPCE et Société Générale – ont affiché 15 milliards d’euros de bénéfices nets en 2013, soit l’équivalent des profits des trois premiers réseaux avant crise. Symbole de ce retour en force, le Crédit Agricole triomphe aujourd’hui en affichant le meilleur résultat 2013 des banques françaises, avec un bénéfice net de 5,14 milliards d’euros, détrônant ainsi BNP Paribas.  « Les banques se concentrent aujourd’hui sur des activités matures et elles deviennent des sortes d’ »utilities ». Elles prennent moins de risques, elles font moins de croissance, elles ont besoin de plus de fonds propres et leur rentabilité est donc moins élevée. Mais elles ont une forte capacité à distribuer des dividendes. BNP Paribas veut porter son taux de distribution des bénéfices à environ 45 % en 2016 », analyse Romain Burnand, gérant chez Moneta. La Société Générale veut, elle, porter sa distribution de dividendes à 40 % en 2014. Ce qui est loin d’être une mauvaise affaire pour les investisseurs. Dans le même temps  les tarifs bancaires repartent  à la hausse. «De plus en plus de banques facturent des frais de tenue de compte annuels souvent compris entre 20 et 28 euros et les frais des cartes bancaires augmentent en moyenne de 2 à 4%», constate dans une étude Ludovic Herschlikovitz, directeur général de Choisir-ma-banque, filiale de Meilleurtaux.. Selon les résultats de l’étude, un jeune actif paie en moyenne 114,50 euros par an de frais bancaires (frais, services…). Mais, les écarts sont très importants d’un établissement à l’autre. Dans les banques à réseau classique, le Crédit agricole Nord-Est se distingue en ne facturant en moyenne que 25,87 euros par an. À l’opposé la Banque Marze est la plus chère (152,40 euros).  «Dans de nombreuses régions et pour plusieurs profils, le Crédit agricole remporte plusieurs Trophées d’or décernés aux banques ayant des tarifs inférieurs à la moyenne», souligne Ludovic Herschlikovitz. «La banque a récemment modifié sa méthode de tarification. Baptisée Le socle et adoptée par toutes ses caisses régionales, elle comprend les services de base. Les autres sont optionnels», ajoute-t-il. Les banques en ligne ont des tarifs très proches. Un jeune actif paiera ainsi moins de 15 euros de frais par an chez Boursorama, ING, Fortuneo et Soon (nouvelle banque mobile d’Axa) et 22 euros chez Hello Bank (BNP Paribas). Plus établies dans la vie, les personnes qui apparaissent dans cette catégorie ont une consommation bancaire large et détiennent une carte Visa classique. Leurs frais bancaires annuels s’élèvent à 191,81 euros selon l’étude de Choisir-ma-banque.  Le «Trophée d’or» de la banque la moins chère revient à la Caisse d’épargne Provence-Côte d’Azur avec 110,97 euros de frais annuels pour ce type de profil. La Banque populaire et le Crédit agricole sont aussi très compétitifs selon l’étude. À l’opposé la banque Dupuy de Parseval (dans l’Hérault) est trois fois plus chère (315,12 euros). Côté banques en ligne Boursorama et ING arrivent en tête du classement, facturant 18 euros en moyenne. Les clients aisés utilisent généralement davantage de services et sont dotés d’une carte bancaire haut de gamme (Visa Premier…). Ils paient en moyenne 244,59 euros de frais bancaires annuels, selon l’étude. Le Crédit mutuel Massif Central remporte le «trophée d’or» de la banque la moins onéreuse (157,07 euros par an). «Alors qu’il ne s’agit pas de sa cible privilégiée, le Crédit coopératif est lauréat du “Trophée d’or” dans sept régions sur treize. Le Crédit agricole possède aussi des offres compétitives pour ses clients haut de gamme», note Ludovic Herschlikovitz. La banque Dupuy de Parseval est une nouvelle fois la plus onéreuse (315,12 euros par an). Les banques en ligne qui ne facturent pas les cartes bancaires, sont de loin les plus compétitives. À commencer par Boursorama, la mois chère avec 27,86 euros de frais bancaires annuels… Quels que soient les profils, les banques en ligne sont les moins chères.

 

SNCF : 350 millions d’économies en 2014

SNCF : 350 millions d’économies en 2014

 

Difficile pari pour la SNCF, déficitaire en 2013 et qui vise 350 millions d’économies cette année afin d’augmenter  sa marge opérationnelle, tout en améliorant de plus de 2% son chiffre d’affaires. Pas sûr que la croissance de l’activité soit au rendez-vous avec la crise ( surtout pour les TGV qui stagne) La compagnie publique ferroviaire française a fait état jeudi d’une perte nette part du groupe de 180 millions d’euros l’année dernière contre un bénéfice de 376 millions un an plus tôt, sous l’effet de la dépréciation comptable des rames TGV pour 1,4 milliard d’euros. L’opérateur ferroviaire a amélioré son chiffre d’affaires annuel de 0,5% à périmètre et change constants, à 32,232 milliards d’euros, malgré une baisse de 1,4% pour SNCF Voyages (activité TGV). La SNCF a légèrement réduit sa dette financière, de 131 millions, pour la ramener à 7,391 milliards d’euros, et a dégagé un cash-flow libre record de 464 millions. En 2014, la SNCF table sur une reprise économique modérée, mais avec des « contraintes fortes » comme l’augmentation du taux de TVA – de 7% à 10% – et des péages ferroviaires. Les volumes de transport de marchandises devraient stagner, tandis que le trafic de passagers est attendu en recul de 0,3% pour SNCF Voyages. Pour autant, la SNCF vise une croissance de son chiffre d’affaires supérieure à 2%, un cash-flow libre positif pour la quatrième année d’affilée et un niveau de dette contenu. Dans ces conditions, l’opérateur précise dans un communiqué qu’il entend poursuivre « sans relâche » ses plans de performance, avec 350 millions d’euros d’économies, dont près des deux tiers réalisés sur les frais de structure. Par ailleurs, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier a présenté jeudi une première série de mesures destinées à relancer le fret ferroviaire, comme l’expérimentation de « clusters » (groupement d’entreprises) pour s’adapter aux besoins de l’économie locale et l’intégration d’objectifs de développement du fret ferroviaire dans les projets stratégiques des grands ports maritimes qui seront redéfinis cette année.

 




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