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SONDAGE Covid . 35 % seulement font confiance au gouvernement

SONDAGE Covid . 35 % seulement font confiance au gouvernement

D’après un sondage IFOP pour le JDD 35 % seulement des Français font confiance au gouvernement pour lutter contre le virus.

La défiance prévaut même majoritairement dans des segments plutôt favorables au chef de l’Etat, comme les retraités (64%) ou les cadres supérieurs (58%). Et 39% des électeurs de Macron de 2017 ne lui font pas confiance. Les électeurs de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon sont les plus critiques, avec une défiance qui grimpe respectivement à 78% et 76%.

Quant à l’engagement présidentiel de proposer, d’ici à la fin de l’été, un vaccin « à tous les Français adultes qui le souhaitent », le scepticisme s’accroît : 66% (contre 63% une semaine plus tôt et 58% les 3 et 4 février) considèrent qu’il ne sera pas tenu. Emmanuel Macron avait fait cette annonce le 2 février dernier sur TF1 et a réitéré cet objectif mercredi. Une promesse « qui rappelle, de loin, celle de François Hollande d’inversion de la courbe du chômage », analyse Dabi : « Il y a un risque de démonétisation de la parole présidentielle. »

Enquête réalisée le 1er avril par questionnaire auto-administré en ligne auprès d’un échantillon représentatif de 1.021 personnes, âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, avec une marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.

Les 35″ vaccinodromes » de Véran: du pipeau !

Les 35″ vaccinodromes » de Véran: du pipeau !

 

 

 

Il faut d’abord rappeler que le ministre de la santé n’est pas À UNE contradiction près puisqu’il n’y a pas si longtemps il condamnait les initiatives relatives à la création de VACCINoDRÔMEs peu adaptés à la situation . POURTANT C’EST CE QU’IL PROPOSE À PARTIR D’AVRIL.

 

La FRANCE NE MANQUE PAS DE VACCINoDRÔMEs QUI TOURNENT À PEU PRÈS A VIDE FAUTEN DE DOSES. EN OUTRE ET SURTOUT ,LE CANAL HABITUEL ET LE PLUS EFFICACE DE LA VACCINATION QUI PASSE PAR LES MÉDECINS, LES PHARMACIENS ET LES INFIRMIÈRES MANQUE CRUELLEMENT DE VACCINS. C’EST POURTANT LE RÉSEAU LE PLUS PROCHE ET LE PLUS EFFICACE.

 

POUR MASQUER LE FIASCO COMPLET DU PLAN DE VACCINATION, CHAQUE SEMAINE LES POUVOIRS PUBLICS -ET EN PARTICULIER LE MINISTRE DE LA SANTÉ -TENTEnt  DE COMBLER LE VIDE AVEC DE NOUVELLES ANNONCES SOIT DE NOUVELLES CATÉGORIES D’ÂGE SUSCEPTIBLE DE RECEVOIR LE VACCIN SOIT AVEC DE NOUVEAUX CHIFFRES AUSSITÔT DÉSAVOUÉS PAR LA RÉALITÉ.

 

LA RÉALITÉ EST POURTANT DRAMATIQUE LA FRANCE NE PEUT VACCINER QU’ENVIRON 60 000 PERSONNES PAR JOUR QUAND IL EN FAUDRAIT 400 000 POUR TENIR LES OBJECTIFS.

 L’annonce de 35 vaccinés Drôme prise en charge par l’armée constituent une nouvelle escroquerie du ministre de la santé

Ces 35 centres, pris en charge par l’armée, s’inscrivent dans les 1 à 2 grands centres de vaccination par département gérés par le ministère et l’assurance maladie. Il s’agit pour les autorités de «pouvoir être capables d’utiliser tous les vaccins qui nous sont livrés à partir du mois d’avril pour vacciner massivement les Français», a-t-il poursuivi. Olivier Véran a réaffirmé l’objectif de «10 millions de primovaccinés à la mi-avril, et puis ensuite ça va augmenter, parce que les apports de vaccin vont augmenter», a-t-il assuré.

 

En fait si l’armée peut être c’est pour assurer la campagne de vaccination outre-mer mais pas en France

 

Interrogé par l’AFP, le ministère des Armées précise que, le concernant, «la réflexion en cours concerne les hôpitaux d’instruction des armées», au nombre de 8 sur le territoire national. «On envisage une intensification de la vaccination dans ces hôpitaux en fonction de nos moyens et du nombre de doses mises à disposition», explique-t-on au sein du ministère. «Les armées sont déjà très engagées aujourd’hui aux côtés des autres services de l’État et de la Santé publique dans la gestion de la crise du Covid», commentait dimanche sur BFMTV leur chef d’état-major, le général François Lecointre, en évoquant notamment l’acheminement par voie militaire de vaccins dans les territoires d’outre-mer.

 

35 citoyens tirés au sort au-dessus du parlement ! ( Bernard Accoyer)

35 citoyens tirés au sort au-dessus du parlement ! ( Bernard Accoyer)

 

Bernard Accoyer, ancien président de l’assemblée nationale, s’indigne du faite que 35 citoyens choisis au hasard puissent se situer au-dessus du Parlement (chronique dans l’opinion)

 

 Chronique

Alors que la pandémie érode la situation et le moral des Français, ne serait-il pas plus rassurant de consulter les élus choisis démocratiquement plutôt que de créer un nième comité de 35 citoyens, sans légitimité ni compétence, si ce n’est celles suggérées par un tirage au sort obscur et une « formation » accélérée nécessairement restreinte et « orientée ». La Convention citoyenne sur le climat a démontré cela, comme les impasses dans lesquelles il a acculé l’exécutif.

Le Parlement, Assemblée nationale et Sénat, ne doit pas être contourné, il dispose constitutionnellement du pouvoir de contrôle de l’action gouvernementale, d’élus responsables et de moyens humains et matériels performants. Ses moyens d’expertises, notamment l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) mais aussi de commissions permanentes et à l’Assemblée nationale du Comité d’évaluation et de contrôle (CEC).

Décrochage. Ses capacités de travail approfondies sont considérables. Elles sont trop souvent ignorées ou contournées par l’exécutif, en particulier les travaux remarquables par leur qualité de l’OPECST. L’absence de commissions permanentes chargées des sciences, de la recherche et de l’innovation dans nos assemblées explique, en partie, le décrochage scientifique, technologique et industriel de la France ; et probablement aujourd’hui la défiance envers des technologies pourtant éprouvées telle que la vaccination.

Afin de rétablir la confiance et rechercher les meilleures solutions face à la crise sanitaire, économique et morale, rendons au Parlement la place qui doit être la sienne, avant que cette crise ne devienne démocratique.

 

Bernard Accoyer, ancien Président de l’Assemblée nationale.

Convention vaccinale : 35 citoyens choisis au hasard….. dans les bistrots ?

Convention vaccinale : 35 citoyens choisis au hasard….. dans les bistrots ?

 

 

Il est clair que le président de la république décide de tout concernant la stratégie sanitaire depuis qu’il a installé un comité de défense qui met sous le boisseau toutes les institutions représentatives y compris le Parlement.

Du coup pour se rattraper, Macron tente de donner l’illusion que la population est associée. Ainsi 35 citoyens seront tirés au sort pour décider en tout cas être associés à la stratégie vaccinale ; par ailleurs une stratégie vaccinale déjà décidée!

 On se souvient du ridicule déjà de la convention citoyenne sur le climat véritable auberge espagnole où tout a été proposé et pas grand-chose retenu, heureusement d’ailleurs tellement c’était contradictoire.

Concernant la crise sanitaire, on peut se demander de quelle compétence peuvent se prévaloir des citoyens choisis au hasard. La vaccination exige en effet la maîtrise de la problématique. Pourquoi pas aussi confier à des citoyens choisis au hasard dans des bistrots des questions aussi complexes que le développement de l’ordinateur quantique ou des perspectives de l’hydrogène. Bref de la pure communication!  

 

Coronavirus : 35 Français tirés au pour décider de la stratégie vaccinale !!!

Coronavirus : 35 Français tirés au pour décider de la stratégie vaccinale !!!

 

Encore un collectif de citoyens bidon qui seraient tirés au hasard pour contribuer à la définition de la stratégie vaccinale. Comme s’il n’existait pas déjà nombre d’organismes particulièrement compétents et représentatifs. Pourquoi pas aussi choisir un collectif de fidèles des bistrots qui ont sûrement des idées en matière médicale surtout après trois ou quatre tournées d’apéritif.

On peut se demander si Macron n’est pas complètement fou de prendre des personnes au hasard sur un sujet aussi complexe.

Pourquoi pas aussi un collectif de citoyens pour décider de l’avenir de l’hydrogène ou des ordinateurs quantiques. Une pratique macronienne particulièrement opportuniste et hypocrite.

Défaillances d’entreprises: hausse de 35 %

défaillances d’entreprises: hausse de 35 %

Les défaillances d’entreprises dans le monde vont augmenter de 35% entre 2019 et 2021 à travers le monde, et de 25% en France, selon une étude publiée lundi par l’assureur-crédit Euler Hermes.

« En France, la vague de défaillances arrivera au quatrième trimestre 2020 et se prolongera sur le premier semestre 2021″, prédit l’assureur-crédit qui indique les reports de charges et les prêts garantis par l’Etat d’une part, les fermetures de tribunaux de commerce et les gels des procédures collectives d’autre part ont retardé son arrivée. En effet, moins de 6.000 défaillances d’entreprises ont été enregistrées au cours du second trimestre selon la dernière étude du cabinet Altares publiée le 9 juillet. Cependant, « en matière de volume, un triste record sera prochainement atteint: en 2021, plus de 64.000 défaillances d’entreprises sont attendues en France », anticipe Euler Hermes.

Pour les Etats-Unis, où « la propagation rapide du virus a accentué le recul de l’activité économique et généré une crise des liquidités pour de très nombreuses entreprises », la hausse des défaillances sur la même période devrait atteindre 57%, précise Euler Hermes. Dans le détail, les défaillances croîtront à l’échelle mondiale de 17% cette année et de 16% l’an prochain, selon l’étude qui relève qu’en Europe, certains pays comme la Suède, l’Irlande, l’Italie et le Portugal seront touchés de plein fouet dès 2020 par cette vague qui atteindra surtout l’année prochaine d’autres Etats comme la France, le Royaume-Uni ou l’Allemagne.

L’assureur-crédit Coface avait de son côté estimé début juin que les défaillances d’entreprises allaient augmenter d’un tiers entre 2019 et 2021 à travers le monde, et de 21% en France.

Coronavirus France : 35 morts tendance à la baisse

Coronavirus France : 35 morts tendance à la baisse

35 morts ces dernières 24 heures dans les hôpitaux français. Le bilan total s’élève ce samedi à 29.142 morts dans le pays depuis le début de l’épidémie, dont 18.792 à l’hôpital, selon les chiffres communiqués ce samedi par Santé Publique France.

Ce bilan quotidien ne comprend pas les décès dans les établissements sociaux et médico-sociaux, qui seront actualisés le mardi 9 juin.

En France, 12.479 personnes sont actuellement hospitalisées en raison d’une infection à Covid-19, dont 1059 sont traitées en service de réanimation pour une forme sévère du virus. 35 lits ont été libérés en soins intensifs et 15 nouveaux patients y ont été admis ces dernières 24 heures.

Santé Publique France précise que 70.806 personnes sont sorties guéries de l’hôpital depuis le début de l’épidémie.

397.179 morts dans le monde

La pandémie du nouveau coronavirus a par ailleurs fait au moins 397.179 morts dans le monde depuis son apparition en décembre en Chine, selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles ce samedi à 19 heures GMT.

Plus de 6.827.260 cas d’infection ont été officiellement diagnostiqués dans 196 pays et territoires depuis le début de l’épidémie, dont au moins 2.963.800 sont aujourd’hui considérés comme guéris.

Chômage partiel : Plus de 3,6 millions de salariés, 35% de l’économie paralysée

Chômage partiel : Plus de 3,6 millions de salariés, 35% de l’économie paralysée

Près de 20 % de la population sont actuellement en chômage partiel. Il faut ajouter à ce chiffre les salariés en congé plus ou moins forcé et en horaire réduit. Au total, l’appareil de production ne tourne qu’environ 65 %. D’où ce chiffre de 3 % de perte du pénible par mois de confinement avancé par certains experts dont l’INSEE quand d’autres experts pour ne pas désespérer sans doute les acteurs économiques parlent encore d’une incidence de deux à 2 % sur l’ensemble de l’année!  On entrevoit pas une reprise significative avant le début de l’été. Elle sera même sans doute progressive comme indiqué le Premier ministre jusqu’à la rentrée voir jusqu’à la fin de l’année. La perte de croissance pour le PIB  pourrait donc être de 15 à 20 %. Des conséquences terribles qui vont se traduire en défaillances d’entreprises et en chômage. On prévoit d’ores et déjà un taux de chômage pouvant passer de 8 % précédemment à 20 %.

Et e recours au chômage partiel s’intensifie nettement. Plus de 337.000 entreprises françaises ont fait appel à ce dispositif pour faire face à la crise du coronavirus, ce qui représente plus de 3,6 millions de salariés.

Dans le détail, depuis vendredi soir et le dernier décompte annoncé par la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, ce sont plus d’un million de salariés supplémentaires qui ont été placés en chômage partiel.

Pour l’heure le coût estimé dépasse les 11 milliards d’euros. «Le système pour éviter le licenciement et préparer la reprise est en pleine montée en puissance, on peut être fier d’un système autant protecteur», a expliqué la ministre à l’issue du Conseil des ministres. Une ministre qui sous-estime sans doute et de loin probable de l’opération sera plus proche de 50 milliards que de 10 milliards.

Anniversaire des 35 heures: la grosse bavure de la gauche

Anniversaire des 35 heures: la grosse bavure de la gauche

Surprise par sa victoire aux élections législatives, le gouvernement socialiste s’est précipité pour trouver un totem pouvant caractériser sa politique sociale. La vérité force à dire que les socialistes ne s’attendaient absolument pas être élus. De toute façon chaque fois qu’ils ont eu le temps d’élaborer  un programme ils ne l’ont guère appliqué longtemps. Rappelons-nous qu’en 80 le programme piloté par Chevènement a été vite enterré pour être remplacé par les 101 propositions du candidat Mitterrand  et en 1983 les propositions essentielles de Mitterrand ont alors été remises en cause.

Le même phénomène s’est produit en 97. Il fallait forcément faire « à gauche » alors on s’est inspiré d’une proposition de réduction du temps de travail de la CFDT qui proposait les 35 heures mais avec une différence de taille : sans compensation financière. C’est-à-dire une mesure qui permettait de ne pas augmenter le coût salarial. Le parti socialiste toujours aussi approximatif sur les questions socio-économiques n’a repris qu’une partie de la proposition et à imposé les 35 heures. Soit immédiatement une perte de compétitivité de l’ordre de 10 % que la France paye encore. Une conséquence toujours négative quantitativement même si ici ou là on a compensé par des gains de productivité en tout cas en partie. Le pire c’est que ces 35 heures ont installé dans le pays la culture du R,TT. Une culture qui remet en cause la valeur travail et qui explique pour une grande partie le déclin économique du pays. La loi sur la réduction du temps de travail, entrée en vigueur le 1er février 2000, a sapé la compétitivité de l’économie française. Plusieurs gouvernements se sont efforcés de l’amender, sans oser la supprimer.

C’est un anniversaire dont les entreprises françaises se passeront bien. Ce samedi, les 35 heures vont fêter leurs vingt ans, la réduction de la durée légale du travail décidée par le gouvernement Jospin étant devenue effective le 1er février 2000 dans les entreprises de plus de 20 salariés. Deux décennies durant lesquelles la simple évocation de l’expression «35 h» a suffi à alimenter les polémiques et les débats de quatre campagnes présidentielles. Deux décennies de joutes législatives aussi puisque la réduction du temps de travail imposée par les lois Aubry de 1998 et 2000 a depuis été déjà assouplie plus d’une demi-douzaine de fois…

À tel point qu’il est rare de rencontrer des salariés qui travaillent 35 heures par semaine. «La moyenne, c’est plutôt 37 heures», estime Anna Milleret-Godet, avocate chez Cohen & Gresser. Beaucoup de cadres travaillent entre 45 et 50 heures hebdomadaires selon la CFE-CGC, leur syndicat représentatif. Le problème c’est que certains cadres ont aussi adhéré à cette culture RTT.

 

5G : Huawei autorisé par Boris Johnson pour 35% !

5G : Huawei autorisé  par Boris Johnson pour 35% !

 

Une décision de Boris Johnson conforme au personnage, c’est-à-dire particulièrement ambigüe qui prévoit que la technologie chinoise  d’Huawei sera autorisé à se développer dans le système de communication britannique à hauteur de 35 %. Officiellement en dehors des secteurs considérés comme stratégiques. Boris Johnson en prenant cette décision tente ainsi de ne pas mécontenter la Chine et les États-Unis. La Grande-Bretagne en effet  intéressée par les capitaux chinois et par ses investissements mais elle compte aussi renforcer ses échanges avec les États-Unis du fait du brexit . Trump a  fortement recommandé à l’UE de refuser la  technologie chinoise pour des questions de sécurité et d’intelligence économique voire politique. Le Premier ministre britannique a donc autorisé mardi Huawei à jouer un rôle limité dans le développement du réseau mobile de cinquième génération (5G), malgré les pressions de Washington, qui soupçonne le géant chinois des télécoms d’espionnage pour le compte de Pékin.

Boris Johnson a dû tenir compte de la “relation privilégiée” que la Grande-Bretagne entretient avec les Etats-Unis, mais aussi de l’avenir des échanges commerciaux après la rupture avec l’Union européenne.

Le chef du gouvernement a donc décidé que les fournisseurs “à haut risque” seraient autorisés à jouer un rôle dans les domaines “non sensibles” du réseau 5G.

Leur implication sera limitée à 35%, ils seront exclus du traitement des données comme de tous les réseaux et lieux sensibles, tels que les sites nucléaires et les bases militaires, a précisé le gouvernement.

“Il s’agit d’une solution spécifique au Royaume-Uni pour des raisons spécifiques au Royaume-Uni et cette décision répond aux défis auxquels nous sommes confrontés en ce moment”, a souligné Nicky Morgan, secrétaire aux Communications, à l’issue d’une réunion du Conseil de sécurité nationale présidée par Boris Johnson.

Les Etats-Unis avaient averti Londres que laisser Huawei jouer un rôle dans le développement de la 5G risquait de compromettre la coopération bilatérale en matière de renseignement. Liu Xiaoming, ambassadeur de Chine à Londres, avait quant à lui estimé l’an dernier que l’exclusion de Huawei nuirait au commerce et aux investissements chinois en Grande-Bretagne.

Invités à commenter la décision britannique, la Maison Blanche et le département d’Etat américain n’ont pas répondu.

“Cette décision fondée sur des preuves se traduira par une infrastructure de télécommunications plus avancée, plus sûre et plus rentable, adaptée à l’avenir. Elle donne au Royaume-Uni un accès à une technologie de pointe et garantit un marché concurrentiel”, s’est félicité Victor Zhang, vice-président de Huawei.

Les grands acteurs britanniques du marché des télécommunications ont jugé que l’exclusion de Huawei leur coûterait des milliards de dollars et retarderait le déploiement de la 5G. BT et Vodafone utilisent déjà des équipements fabriqués par le géant chinois, mais ils sont essentiellement utilisés en périphérie des réseaux.

Les tarifs douaniers de Trump ont coûté 35 milliards de dollars à la Chine

Les tarifs douaniers de Trump ont coûté 35 milliards de dollars à la Chine

 

L’augmentation des tarifs douaniers décidés par Trump  pour les importations chinoises a eu pour effet de réduire de 35 milliards de dollars (31,6 milliards d’euros), soit plus d’un quart, les importations de produits chinois aux Etats-Unis au cours du premier semestre de l’année, selon une étude de la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (Cnuced) publiée mardi.

Ce conflit engagé il y a seize mois a aussi pour effet de pousser à la hausse les prix à la consommation aux Etats-Unis, note la Cnuced, qui estime que les deux premières puissances économiques de la planète sont perdantes.

“Au total, ces résultats montrent que les droits de douane imposés par les Etats-Unis à la Chine font souffrir économiquement les deux pays”, peut-on lire dans le rapport de la Cnuced. “Les pertes pour les Etats-Unis sont largement liées à l’augmentation des prix pour les consommateurs, tandis que les pertes de la Chine sont liées à des pertes significatives d’exportation.”

Entre les mois de janvier et juin, les importations aux Etats-Unis de produits chinois frappés par des droits de douanes sont tombées à 95 milliards de dollars, contre 130 milliards sur le premier semestre 2018.

L’étude de la Cnuced montre aussi que certains pays ont mis à profit ce conflit pour augmenter leurs exportations vers les Etats-Unis. C’est particulièrement vrai pour Taiwan, dont les exportations vers le marché américain ont progressé de 4,2 milliards de dollars. Le Mexique (+3,5 milliards) et l’Union européenne (+2,7 milliards) en ont également profité.

Allongement durée du travail : plutôt les 35 heures que le départ en retraite

Allongement durée du travail : plutôt les 35 heures que le départ en retraite

 

Globalement 54 % des Français sont opposés à l’allongement de la durée du travail qu’il s’agisse des 35 heures ou du en retraite. Selon un sondage Ifop* pour le JDD

Si cet allongement de la durée du travail devait s’imposer alors la préférence irait à l’allongement de la durée hebdomadaire de travail :

  • 41% des personnes interrogées ont une préférence pour l’abandon des 35h ;
  • 25% sont pour l’augmentation du nombre d’années de cotisation pour percevoir une retraite à taux plein ;
  • 14% sont pour la suppression d’un ou plusieurs jours fériés ;
  • les 20% restants refusent de choisir l’une de ces trois propositions.

Dans le détail, la fin des 35h clive là encore la population : 56% des sympathisants de droite la souhaite, contre 37% pour ceux de la gauche ; et les catégories supérieures (49%), en particulier les artisans et commerçants, plutôt que les catégories populaires (38%) ou les salariés (38%). La suppression d’au moins un jour férié trouve au contraire plutôt un écho à gauche, même s’il reste très minoritaire (17%, contre 9% à droite). Quant au décalage du départ à la retraite, il est accueillit de façon assez homogène auprès des sondés, et n’est donc poussé par personne en particulier.

* Enquête Ifop pour le JDD réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 19 avril 2019, menée auprès d’un échantillon de 1.009 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. La marge d’erreur pour ce sondage est +/- 1,4 point pour un résultat de 5 ou 95% ; +/- 1,8 point pour un résultat de 10 ou 90% ; +/- 2,5 points pour un résultat de 20 ou 80% ; +/- 2,8 points pour un résultat de 30 ou 70% ; +/- 3 points pour un résultat de 40 ou 60% ; +/- 3,1 points pour un résultat de 50%.

 

Des fonctionnaires qui travaillent moins de 35 heures !

Des fonctionnaires qui travaillent moins de 35 heures !

 

30 % environ des fonctionnaires d’Etat travailleraient moins de 35 heures et environ 20 % sans aucune justification. Pas vraiment une surprise, ni une nouveauté dans la mesure où dans la plupart des administrations il n’y a aucun outil d’évaluation du rapport au travail, encore moins de la compétence et de la compétitivité. Bref, si on alignait les fonctionnaires sur le régime du privé en matière de durée du travail on pourraiat supprimer des milliers d’emplois sans dommage. . On objectera sans doute que certains fonctionnaires ne sont pas regardants sur leur temps de travail et dépasse la durée prévue. Mais cet arbre ne doit pas cacher la forêt d’agents qui n’ont pour référence que le rapport de la plupart des fonctionnaires au travail et qui se conforte dans une culture corporatiste très laxiste en matière de rendement.  Il y a des fonctionnaires dont on peut comprendre la durée légale plus faible. Par exemple, ceux qui ont des horaires atypiques (travail de nuit, travail le week-end…) ou avec une pénibilité élevée. Mais ce que le rapport de l’IGF cible, c’est la situation de ces fonctionnaires qui n’endurent pas ces contraintes et qui profitent malgré tout du même régime. Pas sous la forme d’une durée légale réduite mais via toute une série d’avantages qui se sont sédimentés au fil des décennies. . Par exemple, ces « jours ministre » comme il existe des jours du maire dans certaines communes. Mais aussi ces sept jours de congé en plus au ministère de la Culture au titre de la « semaine Malraux », une semaine aussi au ministère des Affaires sociales, deux jours au ministère de l’Intérieur. A l’Education nationale, ce sont les jours de fractionnement qui permettent aux fonctionnaires du secondaire d’allonger leurs congés pour compenser le fait qu’ils ne peuvent pas choisir leurs vacances. Il y a aussi, dans l’administration pénitentiaire, les personnels administratifs qui bénéficient des cinq jours de repos compensateurs de leurs collègues surveillants alors qu’ils n’ont pas, eux, les contraintes horaires des surveillants. Au total, conclut le rapport de l’IGF, si on faisait revenir aux 35 heures les quelque 190.000 agents de l’Etat pour lesquels les dérogations n’ont pas de justification, ça permettrait de réduire les effectifs de 30.000 postes.

PSA Vesoul : fin des 35 heures

PSA Vesoul : fin des 35 heures

Le site PSA de Vesoul qui emploie 3.000 salariés a signé jeudi soir l’accord qui augmente son temps de travail à plus de 35 heures sans compensation salariale complète. L’accord a été signé par les syndicats FO, CFTC et CFE-CGC représentant près de 80 % des salariés, pour une entrée en vigueur prévue en septembre, a indiqué à l’AFP une porte-parole de la direction. Il augmente de près de 8% le temps de travail hebdomadaire, qui est porté à 37h45, moyennant une augmentation de salaire limitée à 3,1% et constitue l’un des premiers « accords de performance collective » d’entreprise créés par les ordonnances Macron réformant le Code du travail. Parmi les quatre syndicats représentatifs chez PSA Vesoul, seule la CGT a refusé de signer, dénonçant une « casse des 35 heures » et l’instauration du « travail gratuit » du fait du différentiel de près de 5% entre la hausse du temps travaillé et celle de la rémunération. La signature constitue une « étape importante pour la compétitivité du site, soumis à une forte concurrence », a souligné la porte-parole de la direction. PSA le jugeait en effet indispensable pour garantir la pérennité de Vesoul, qui constitue son centre de mondial de pièces détachées et évolue de ce fait dans le secteur de la logistique soumis à la concurrence d’opérateurs internationaux et des nouveaux acteurs de l’e-commerce.

Dette SNCF: Reprise de 35 milliards

Dette SNCF: Reprise de 35 milliards

 

D’après les Echos, “La reprise de dette est envisagée en deux étapes : 2020, puis 2022”, L’évolution du groupe ferroviaire vers le statut de société anonyme imposant à SNCF Réseau de contenir sa dette en deçà de 10 à 12 milliards d’euros, “le projet du gouvernement, serait donc de délester à terme d’environ 35 milliards la future société. Le gouvernement, qui vise un retour du système ferroviaire à l’équilibre financier à la fin du quinquennat, compte atteindre cet objectif “par une diminution de la charge de la dette, des gains de productivité supplémentaires par SNCF Réseau, et une contribution financière accrue de SNCF Mobilités, l’entité chargée de faire rouler les trains”, est-il précisé dans Les Echos. La reprise au moins partielle de la dette figurait parmi les revendications des syndicats, qui mèneront mercredi et jeudi le onzième épisode de la grève en pointillé entamée le 3 avril et programmée jusqu’au 28 juin. Le Sénat doit entamer cette semaine l’examen du projet de loi “pour un nouveau pacte ferroviaire” contesté par les cheminots, dans lequel le gouvernement prévoit d’introduire par voie d’amendement certaines concessions faites aux organisations réformistes (CFDT et Unsa) pour tenter de mettre fin au conflit social le plus dur du début du quinquennat. La reprise de la dette même partielle constitue une avancée même sil reste à régler le financement futur des investissements et les conditions sociales des cheminots qui seront désormais privés de statut.

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