Archive pour le Tag '33%'

Politique- Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 %

Politique- Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 %

 Dans le baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos pour  » la Tribune », , Barnier compte 46% d’avis défavorables parmi les Français sondés les 9 et 10 octobre. Cela fait 13 points de plus que son lot d’avis favorables, évalué à 33%. Macron , lui ,tombe à 20 %
 Le phénomène touche aussi bien François Ruffin que Marine Le Pen, Édouard Philippe ou Raphaël Glucksmann. La palme de la baisse revient à Gabriel Attal et Bernard Cazeneuve. Le premier est passé de 31 à 23% de satisfaits, le second de 19 à 11%.

 Quant à Emmanuel Macron, sa dégringolade ne fait que se poursuivre. Seuls 25% des Français interrogés le soutiennent. Un niveau proche de son plancher de 20%, atteint à l’époque des Gilets jaunes. Plus alarmant pour lui, c’est dans son propre camp que le soutien s’effrite : chez les sympathisants de Renaissance, du MoDem et d’Horizons, il perd 13 points. Pour eux, l’après-Macron a bel et bien commencé. « Globalement, les Français estiment que leurs représentants ont failli, sans pour autant préserver les divers opposants, développe Brice Teinturier. Ce qui se passe autour du budget sonne, dans l’opinion, comme un désaveu massif de la politique menée par Emmanuel Macron. C’est comme si on réalisait que dans son bilan, il y a un énorme trou, à savoir la dette, qu’on va devoir régler dans la douleur parce que ça n’a pas été traité avant. »

 

Le pessimisme général des citoyens a, en conséquence, fait un bond spectaculaire. D’abord, s’agissant des hausses d’impôts annoncées, 62% des Français sondés pressentent qu’elles ne toucheront pas uniquement les plus fortunés et les grandes entreprises, contrairement aux engagements pris par l’exécutif.

Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33

Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 

 Dans le baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos pour  » la Tribune », , Barnier compte 46% d’avis défavorables parmi les Français sondés les 9 et 10 octobre. Cela fait 13 points de plus que son lot d’avis favorables, évalué à 33%. Macron , lui ,tombe à 20 %
 Le phénomène touche aussi bien François Ruffin que Marine Le Pen, Édouard Philippe ou Raphaël Glucksmann. La palme de la baisse revient à Gabriel Attal et Bernard Cazeneuve. Le premier est passé de 31 à 23% de satisfaits, le second de 19 à 11%.

 Quant à Emmanuel Macron, sa dégringolade ne fait que se poursuivre. Seuls 25% des Français interrogés le soutiennent. Un niveau proche de son plancher de 20%, atteint à l’époque des Gilets jaunes. Plus alarmant pour lui, c’est dans son propre camp que le soutien s’effrite : chez les sympathisants de Renaissance, du MoDem et d’Horizons, il perd 13 points. Pour eux, l’après-Macron a bel et bien commencé. « Globalement, les Français estiment que leurs représentants ont failli, sans pour autant préserver les divers opposants, développe Brice Teinturier. Ce qui se passe autour du budget sonne, dans l’opinion, comme un désaveu massif de la politique menée par Emmanuel Macron. C’est comme si on réalisait que dans son bilan, il y a un énorme trou, à savoir la dette, qu’on va devoir régler dans la douleur parce que ça n’a pas été traité avant. »

 

Le pessimisme général des citoyens a, en conséquence, fait un bond spectaculaire. D’abord, s’agissant des hausses d’impôts annoncées, 62% des Français sondés pressentent qu’elles ne toucheront pas uniquement les plus fortunés et les grandes entreprises, contrairement aux engagements pris par l’exécutif.

Résultats législatives : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP à 28,1%, le camp Macron à 21%

Résultats  législatives  : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP  à 28,1%, le camp Macron à 21%

Pour résumer conformément aux prévisions le RN figurent largement en tête des législatives de 1024 avec 33,2 %, le nouveau Front populaire sauve les meubles à 28,1 % et le camp Macron qui s’écroule complètement à 21 %. Comme prévu encore le second tour s’annonce très complexe et dépendra des report de voix. Il n’est pas du tout certain qu’on parvienne à dégager une majorité absolue et finalement ces élections n’auront pas résolu la crise politique mais l’ auront complexifier. Bref la crise politique en France est loin d’être terminée et  dépassera l’échéance du second tour. Au second tour, le RN et ses alliés pourraient être présents dans 390 à 430 circonscriptions.

Indiscutablement le RN remporte une nette victoire. Le nouveau Front populaire Obtient un meilleur score que celui réalisé en 2022 par la Nupes (25,78%), précédente alliance de la gauche alors dominée par La France insoumise. Elle pourrait être présente au second tour dans 370 à 410 circonscriptions. Les candidats divers gauche, hors NFP, obtiennent quant à eux 1,7%.

Le camp présidentiel, qui ne pointe qu’en troisième position (21,0%), est le grand perdant de la soirée, avec un net revers par rapport aux précédentes législatives, où il avait obtenu 25,75% au premier tour. Le camp Macron, éliminé dans presque la moitié des circonscriptions  ne pourrait être présent au second tour que dans 290 à 330 circonscriptions.

 Les Républicains  font  10,0% des suffrages (contre 13,62% il y a deux ans), les candidats du parti vont devoir b

Résultats législatives : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP à 28,1%, le camp Macron à 21%

Résultats  législatives  : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP  à 28,1%, le camp Macron à 21%

Pour résumer conformément aux prévisions le RN figurelargement en tête des législatives de 1024 avec 33,2 %, le nouveau Front populaire sauve les meubles à 28,1 % et le camp Macron qui s’écroule complètement à 21 %. Comme prévu encore le second tour s’annonce très complexe et dépendra des report de voix. Il n’est pas du tout certain qu’on parvienne à dégager une majorité absolue et finalement ces élections n’auront pas résolu la crise politique mais l’ auront complexifier. Bref la crise politique en France est loin d’être terminée et  dépassera l’échéance du second tour. Au second tour, le RN et ses alliés pourraient être présents dans 390 à 430 circonscriptions.

Indiscutablement le RN remporte une nette victoire. Le nouveau Front populaire Obtient un meilleur score que celui réalisé en 2022 par la Nupes (25,78%), précédente alliance de la gauche alors dominée par La France insoumise. Elle pourrait être présente au second tour dans 370 à 410 circonscriptions. Les candidats divers gauche, hors NFP, obtiennent quant à eux 1,7%.

Le camp présidentiel, qui ne pointe qu’en troisième position (21,0%), est le grand perdant de la soirée, avec un net revers par rapport aux précédentes législatives, où il avait obtenu 25,75% au premier tour. Le camp Macron, éliminé dans presque la moitié des circonscriptions  ne pourrait être présent au second tour que dans 290 à 330 circonscriptions.

 Les Républicains  font  10,0% des suffrages (contre 13,62% il y a deux ans), les candidats du parti vont devoir batailler pour conserver quelques dizaines de fiefs. Ils pourront batailler dans 70 à 90 circonscriptions, selon Ipsos-Talan.

 

Covid France 6 avril 2023 : 9 922 cas supplémentaires et 33 morts en 24 heures

Covid France 6 avril 2023 : 9 922 cas supplémentaires et 33 morts en 24 heures
.

On enregistre mercredi 5 avril 2023 :9 922 cas supplémentaires et 33 morts en 24 heures soit au total 165.794 morts

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.605 (+2) et celui de décès en milieu hospitalier est de 136.189 (+31 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 1,06 le taux d’incidence à 83,66 et la tension hospitalière à 14,1 %.

La France compte actuellement 12.743 (-94) personnes hospitalisées et 712 (+4) malades en réanimation.


Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.675 (-29) hospitalisées, 318 (-7) en réanimation et +6 décès en 24h
Grand Est : 687 (-74) hospitalisés, 43 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Hauts de France : 1.266 (+1) hospitalisés, 44 (+7) en réanimation et +4 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 939 (+38) hospitalisés, 46 (+5) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 889 (+7) hospitalisé, 41 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
Bretagne: 368 (+16) hospitalisés, 10 (+2) en réanimation et +6 décès en 24h
Normandie : 493 (-1) hospitalisés, 17 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.137 (-15) hospitalisés, 75 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Pays de la Loire : 168 (+13) hospitalisés, 7 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 730 (-48) hospitalisés, , 45 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 652 (-10) hospitalisés, 25 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 572 (+7) hospitalisés, 30 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h

Présidentielle 2022 : Macron à 33,5% , nouvel effet drapeau

 

Cinq jours après son annonce de candidature, Emmanuel Macron progresse de 8,5 points pour se hisser à 33,5% d’intentions de voix, selon une étude Elabe pour BFMTV et L’Express, publiée mardi 8 mars soir.Un nouvel effet drapeau d’après le directeur d’Elabe.

Une conjoncture qui pousse les Français à se rallier derrière le chef de l’État en ces temps de crises. C’est ce que le directeur général de l’Ifop Frédéric Dabi appelle l’«effet drapeau».

En deuxième position, 18,5 points plus loin, Marine Le Pen recule à 15% (-2). Si la prétendante du RN se qualifie pour le second tour face à Emmanuel Macron, elle semble pâtir du contexte ukrainien et d’une campagne où elle ne parvient pas pour l’instant à ancrer son discours dans l’opinion. Derrière la candidate nationaliste, se trouve Jean-Luc Mélenchon à 13% (+0,5), qui occuperait donc la troisième place dans cette présidentielle. L’Insoumis profite du réflexe du «vote utile» dans une gauche éparpillée et morcelée électoralement.

 

Présidentielle 2022 : Macron Progresse à 33,5%

Présidentielle 2022 : Macron Progresse  à 33,5% 

Macron progresse de 8,5 points pour se hisser à 33,5% d’intentions de voix, selon une étude Elabe pour BFMTV et L’Express, publiée mardi soir.  Ce que le directeur général de l’Ifop Frédéric Dabi appelle l’«effet drapeau».

En deuxième position, 18,5 points après, Marine Le Pen qui recule à 15% (-2). Si la prétendante du RN se qualifie pour le second tour face à Emmanuel Macron, elle semble pâtir du contexte ukrainien et d’une campagne où elle ne parvient pas pour l’instant à ancrer son discours dans l’opinion. Derrière la candidate nationaliste, se trouve Jean-Luc Mélenchon à 13% (+0,5), qui occuperait donc la troisième place dans cette présidentielle. L’Insoumis profite ainsi du réflexe du «vote utile» dans une gauche éparpillée et morcelée électoralement.

Éric Zemmour (11% -3) et Valérie Pécresse (10,5%, -1,5) reculent et se retrouvent respectivement en quatrième et en cinquième positions. 

SONDAGE Macron: 33 % de soutien

SONDAGE Macron: 33 % de soutien 

Après deux mois de baisse, la cote de confiance d’Emmanuel Macron se stabilise à 33 % en mai, selon le baromètre Elabe pour « Les Echos » et Radio Classique.

Quatre ans exactement après son élection, et à un an de la prochaine présidentielle , la confiance envers Emmanuel Macron est largement minoritaire. Mais elle est supérieure de 1 point à celle de Nicolas Sarkozy à la même période de son quinquennat. Et elle est le double de celle de François Hollande….. deux président non réélus !

Emmanuel Macron a vu sa cote de confiance progresser de 8 points en quatre ans chez les 18-24 ans alors qu’elle a baissé de 22 points chez les plus de 65 ans. Sans surprise, il suscite la confiance la plus forte des cadres – 48 %, en baisse de 8 points en quatre ans – alors qu’il a perdu 11 points au sein des professions intermédiaires (34 %) et 14 points chez les ouvriers (23 %). A noter qu’il est resté stable chez les employés, à 30 %.

LE VARIANT BRITANNIQUE: 33% DES CAS EN BRETAGNE!

 LE VARIANT BRITANNIQUE:  33% DES CAS EN BRETAGNE!

La Bretagne est une des régions la moins touchée par le virus cependant les résultats préliminaires de la deuxième enquête flash effectuée par Santé Publique France le 27 janvier et dévoilés ce mercredi, les variants représentent désormais 14% des cas positifs en France. Cependant les dernières données faisaient apparaître un taux de 20 %. En effet les variants progressent de façon exponentielle et doublerait toutes les semaines. En Bretagne, la situation serait encore plus alarmante: le taux de variants parmi les tests positifs s’y élèverait à 33,6%, soit plus d’une personne sur quatre. Ce chiffre est cependant à prendre avec beaucoup de précaution, explique à BFMTV.com Stéphane Mulliez, directeur de l’ARS Bretagne.

Absentéisme dans la fonction publique: 33 jours, 20 dans le priv

Absentéisme dans la fonction publique: 33 jours, 20 dans le privé

Un peu plus de 33 jours dans le public pour une vingtaine de jours dans le privé. Pourtant les conditions de travail sont loin d’être favorables au privé.

 

33 jours, c’est l’absentéisme moyen des agents du service public dans les mairies en France, selon un classement que dévoile le think-tank libéral iFRAP en se basant sur les derniers bilans sociaux disponibles, ceux de 2017. Le rapport note que la population vieillissante chez les fonctionnaires, l’augmentation des congés «longue maladie» ou le temps de réintégration au travail après une absence font gonfler l’absentéisme dans les mairies. La ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) est celle qui enregistre le plus gros taux d’absentéisme, avec 52 jours d’arrêt en moyenne.

Pour établir ce classement, l’iFRAP a récupéré les données de 53 communes représentant 142.000 agents et 8,9 millions de Français vivant dans ces villes. Un échantillon national représentatif, donc, même si ces données datent de 2017, car celles de 2019 n’ont pas encore été compilées.

L’absentéisme des salariés du secteur privé, lui,  est resté stable en 2019 par rapport à l’année précédente.

 

Avec « 18,7 jours d’absence par an et par salarié en moyenne », contre 18,6 jours en 2018, l’absentéisme des salariés du secteur privé est resté stable en 2019 par rapport à l’année précédente, selon le 12e baromètre du groupe de conseil Ayming publié ce mercredi.

Le taux d’absentéisme atteignait ainsi 5,1% l’an dernier, d’après une enquête réalisée en mars et avril auprès de 45 403 entreprises du privé employant 1,92 million de salariés et portant sur les arrêts maladie, accidents du travail et maladies professionnelles « dès le 1er jour d’arrêt », a précisé Ayming.

Sondage Castex : seulement 33 % de soutien

Sondage Castex : seulement 33 % de soutien

 

D’après le baromètre du Figaro, Jean Castex ne dispose que d’une très faible confiance avec 33 % de soutien dans l’opinion. Au  même niveau que le très transparent Bernard Cazeneuve (32% en janvier 2017) mais très loin de Jean-Pierre Raffarin (60% en juin 2002). Seul avantage pour Emmanuel Macron de ce faible niveau de son premier ministre: le président de la République reprend le dessus mais avec un soutien tout juste de supérieur autour de 35 %.

L’exécutif président et premier ministre compris a bien du mal à persuader l’opinion de la pertinence de sa politique aussi bien sur le plan sanitaire qu’en matière économique. À noter l’ascension d’Édouard Philippe juste derrière l’intouchable Nicolas Hulot, se permettant d’être en tête auprès des sympathisants LREM (78%) et de LR (61%).

Départementales : le FN en tête à 33% ?

Départementales : le FN en tête à 33% ?

Jusque là les différents sondages plaçait le FN autour de 30%, l’UMP derrière vers 27% et le PS à 21% ; Mais ce sont des sondages sur des intentions de vote qui ne précisent pas si les sondés vont ou non voter. Or l ‘abstention sera massive autour de 55%. Une abstention qui va surtout concerner les sympathisants de gauche puis l’UMP mais dans une  moindre mesure. Du coup  il n’est pas étonnant que pour un  sondage Odoxa pour Le Parisien, le parti de Marine Le Pen rassemble 33% d’intentions de vote pour le premier tour du 22 mars.  Ce sont 7 points de plus que dans la précédente enquête, il y a un mois. Le parti frontiste connaîtrait un succès renforcé auprès des jeunes, puisqu’un sondé sur deux âgé de 25 à 34 ans choisirait le bulletin FN, selon ce sondage. Ces bons scores se font au détriment de la droite et de la gauche. L’UMP et son allié l’UDI emportent l’adhésion de 27% des sondés. Le PS, quant à lui, totalise seulement 19% des intentions de vote. Un PS qui va être la très grosse victime de l’abstention parce que les départementales ne mobilisent pas ( 30% des électeurs ignorent d’ailleurs tout de cette élection). Il est même probable , encore une  fois du faiat de l’abstention que les résultats seront  encore plus catastrophiques pour le PS. Les experts prévoient que la gauche pourrait perdre 40 départements sur 60 détenus actuellement mais la claque pourrait être encore plus cinglante. Le grand vainqueur sera très certainement au premier tour le FN  en raison de la forte mobilisation de ses électeurs mais aussi l’UMP au second tour qui va bénéficier du reflexe républicain alors qu’à l’inverse ce reflexe républicain dans un duel FN-PS jouera beaucoup moins ( la moitié environ des électeurs UMP voteraient FN)°.

Sondage Santé : 33% réduisent les dépenses

Sondage Santé : 33% réduisent les dépenses

D’après Europ Assistance – CSA., 33% des Français interrogés ont indiqué avoir dû renoncer ou reporter des soins médicaux pour des raisons financières au cours de l’année 2013. Un nombre en augmentation par rapport à l’année dernière (+6 points).Au premier rang des renoncements figurent les dépenses allouées aux soins dentaires (25%). Les achats de lunettes ou de lentilles de correction (17%), les soins courants (12%), les achats de médicaments (7%) et les soins lourds (7%) sont les autres soins auxquels les Français renoncent ou qu’ils reportent le plus souvent. Les femmes (41% contre 23% des hommes) et les 18-39 ans (40% contre 22% des 60 ans et plus), sont les premiers concernés. A l’international, le renoncement aux soins reste élevé aux États-Unis (23%). Mais aussi en Europe (18%), où les Allemands (24%) et les Italiens (20%) sont, derrière la France, les pays où les citoyens ont dû sacrifier le plus de soins l’année écoulée. À l’inverse, seuls 4% des Britanniques et 6% des Suédois ont admis de tels renoncements. Interrogés sur ce qui constitue à leurs yeux la meilleure source de financement pour couvrir l’augmentation des dépenses de santé, 40% des Français ont indiqué préférer une hausse de la franchise par acte médical. 32% ont cité les impôts et les cotisations obligatoires tandis que 28% ont émis le souhait de privilégier un financement par les assurances privées, complémentaires ou mutuelles. Enfin, les Français gardent une opinion plutôt favorable de leur système de santé. Avec une note de 5.1 sur 10, leur jugement est stable par rapport à l’année précédente. 43% d’entre eux jugent également égalitaire l’accès aux soins (+5 points par rapport à l’année précédente).

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol