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Sondages élections européennes : le RN à 31 %

Sondages élections européennes : le RN à 31 %

Selon le dernier baromètre Odoxa pour Public Sénat et la presse quotidienne régionale publié le 19 décembre, si les européennes devaient avoir lieu maintenant, le Rassemblement national occuperait de loin la première place en termes d’intention de votes, avec 31 % des voix chez les personnes interrogées certaines d’aller voter et ayant exprimé un choix. Ce serait potentiellement un record pour le parti d’extrême-droite, qui avait réalisé 24,86 % en 2014 et 23,34 %, lors du dernier scrutin européen en 2019.

Avec 31 % de voix dans cette enquête, une liste conduite par de Jordan Bardella dépasserait de 10 points celle du camp présidentiel (Renaissance, Modem, Horizons). Par rapport à 2019, cette dernière sera en léger recul, puisqu’elle avait recueilli 22,42 %.

Dans ces conditions, le Rassemblement national pourrait gagner 29 sièges, sur les 81 qui reviennent à la France au Parlement européen. Il n’est pas le seul à être sur la ligne de départ à l’extrême droite. Reconquête aborde pour la première fois ce scrutin. Après son échec cuisant aux législatives, le parti fondé par Éric Zemmour à la dernière présidentielle recueillerait 6 % d’intention de votes, dans l’hypothèse d’une liste conduite par Marion Maréchal. Rappelons qu’une liste doit obtenir au minimum 5 % pour obtenir des sièges au Parlement européen : la liste Reconquête pourrait emporter 5 sièges. Nicolas Dupont Aignan, avec une liste Debout la France, serait en mesure de remporter 2 % des voix.

La liste des Républicains, que devrait conduire une nouvelle fois l’eurodéputé François-Xavier Bellamy, obtiendrait 9 %, un niveau très proche de son étiage de 8,5 % atteint en 2019.

Sous les 7 % d’intentions de vote, les Écologistes et les Insoumis à la peine
Aucun parti de gauche ne parviendrait non plus à dépasser la barre des 10 %. Une liste du Parti Socialiste conduite par Raphaël Glucksmann recueillerait 9 %. C’est malgré tout un niveau supérieur aux 6,2 % récoltés en 2019. La France Insoumise ne bougerait quasiment pas, à 6,5 % (6,3 % en 2019). Le recul serait en revanche conséquent pour les écologistes, qui ont officiellement désigné Marie Toussaint pour prendre la tête de la campagne. Dans notre sondage, la famille écologiste recueillerait 6 %, ce qui serait son plus mauvais score depuis 20 ans à des élections européennes. Il y a 5 ans, la liste Europe Écologie menée par Yannick Jadot avait recueilli 13,5 %, c’est-à-dire plus du double.

Les communistes, avec 3 % d’intentions de vote, ne seraient pas en mesure dans la projection de ce sondage, de remporter des sièges. Les différentes forces qui avaient participé à la naissance de la NUPES pèseraient ensemble 24,5 %, soit quatre points de moins en cinq ans. Le Parti radical de Gauche pourrait obtenir 0,5 % des voix, et une liste Lutte Ouvrière 2,5 %.

À noter que l’Alliance rurale conduite par Willy Schraen, créditée de 0,5 % des voix dans cette étude, n’aurait qu’un effet marginal sur les listes à droite de la majorité présidentielle.

Enfin, 3 % des électeurs interrogés font le choix d’une autre liste. Au total, 24 % parmi l’échantillon interrogé n’a pas encore exprimé d’intention de vote.

Méthodologie : l’enquête a été réalisée les 13 et 14 décembre 2023, sur Internet, auprès d’un échantillon de 1 004 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération.

Covid France 9 février 2023: 3.991 nouveaux cas en 24h et 31 morts en 24 heures

Covid France 9 février 2023: 3.991 nouveaux cas en 24h et 31 morts en 24 heures.

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 144.381 cas confirmés soit +3.991 en 24h.
On enregistre mercredi 8 février 2023 : 3.991 nouveaux cas confirmés en 24h soit 144.381 cas total et 31 morts .
Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.582 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 134.918 (+31 en 24h).
Le taux de reproductivité R est de 0,82 le taux d’incidence à 37,54 et la tension hospitalière à 15,2 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.
La France compte actuellement 13.577 (-42) personnes hospitalisées et 767 (-13) malades en réanimation.

Bilan de régions:

• Ile-de-France : 4.022 (+13) hospitalisées, 246 (-5) en réanimation et +1 décès en 24h
• Grand Est : 1.209 (+5) hospitalisés, 68 (+3) en réanimation et +7 décès en 24h
• Hauts de France : 1.309 (-15) hospitalisés, 66 (+1) en réanimation et +5 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 1.296 (+10) hospitalisés, 92 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.134 (+11) hospitalisé, 57 (-3) en réanimation et +1 décès en 24h
• Bretagne: 343 (+2) hospitalisés, 14 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
• Normandie : 771 (+4) hospitalisés, 21 (0) en réanimation et +4 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.136 (-25) hospitalisés, 88 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
• Pays de la Loire : 158 (-2) hospitalisés, 11 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
• Occitanie: 862 (-33) hospitalisés, , 51 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 607 (-9) hospitalisés, 23 (-1) en réanimation et 0 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 484 (+4) hospitalisés, 24 (0) en réanimation et 0 décès en 24h

Manif réforme des retraites 31 janvier 2023 : participation encore plus forte

Manif réforme des retraites 31 janvier 2023 : participation encore plus forte

Si effectivement on constate un léger tassement du nombre de grévistes, par contre la participation au mouvement du 31 janvier a encore été supérieur à la précédente mobilisation. Un véritable succès non seulement dans les grandes villes mais aussi dans les plus petites localités.

Grâce à l’unité syndicale des salariés qui n’avaient jamais participé à la moindre manifestation se sont joints au cortège pour protester contre la réforme injuste et inefficace du gouvernement. La mobilisation doit aussi son succès à la conjoncture sociale très maussade et notamment à l’envolée de l’inflation qui ampute gravement le pouvoir d’achat. En faite nombre de salariés n’accepte pas de travailler plus pour gagner moins surtout avec de telles inégalités.
La majorité politique et fortement secouée et surtout les députés de Macon.; Il y a en effet fort à parier que les députés qui ont l’intention de voter la réforme seront fortement interpellés par les électeurs dans leur circonscription respective. Le risque pour eux, c’est qu’il traîne pendant longtemps ce vote honteux et qu’il soit balayé lors des prochaines élections. De toute manière le pouvoir a d’ores et déjà perdus la bataille de l’opinion. Dans toutes les circonstances, il laissera des plumes dans cette affaire. S’il maintient la réforme le mécontentement sera tellement grand dans le pays que toute action politique ultérieure risque d’être paralysée. Inversement si la retire, ce sera de sa part une preuve de faiblesse.

Dans la plupart des grandes villes, comme Montpellier, Nantes, Rennes ou Marseille, la participation était même supérieure à celle du 19 janvier, lors de la première mobilisation.

En parallèle des manifestations, de nombreux secteurs connaissaient des mouvements de grèves, dans le public comme dans le privé mais les grévistes semblaient moins nombreux mardi que le 19. Il y avait ainsi 36,5% de grévistes à la SNCF, contre 46,3% le 19 de source syndicale. Dans l’Education nationale, le ministère comptabilisait à la mi-journée un quart de grévistes, en recul par rapport à la précédente journée de mobilisation. Le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, chiffrait à 55% le nombre de professeurs des collèges et des lycées en grève. Mardi matin, des lycéens et des étudiants se sont mobilisés, comme sur le site Saint-Charles de l’université Aix-Marseille ou à Sciences Po Paris.

De son côté, la CGT a annoncé 75 à 100% de grévistes dans les raffineries et dépôts de TotalEnergies. Quant aux grévistes d’EDF (40,3% contre 44,5% le 19, selon la direction), ils ont occasionné dans la nuit des baisses de charges dans les centrales électriques de « près de 3.000 MWH », sans toutefois causer de coupures.

Pris en étau entre la mobilisation de la rue et la virulence des oppositions à l’Assemblée, où le projet est débattu depuis lundi, le gouvernement a durci le ton ce week-end. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, a dénoncé « le profond mépris de la valeur travail » d’une partie de la gauche, et la volonté de la France insoumise de « bordéliser » le débat.

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Retraites-Manifestation 31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation

Retraites-Manifestation 31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation

Il est clair que le gouvernement a largement perdu la bataille de l’opinion. D’une certaine manière au contraire plus il s’exprime et plus les opposants devienne nombreux soutenant d’ailleurs aussi la mobilisation y compris ses conséquences comme le démontre la plupart des sondages. Du coup, on peut s’attendre à une mobilisation encore supérieure à celle du 21 janvier. La participation à la protestation pourrait même être exceptionnelle non seulement à Paris mais tout autant en province y compris dans les petites villes.

Dans les deux hypothèses le gouvernement a perdu la bataille. Si par hypothèse le gouvernement devait maintenir son texte à peu près en état, il créerait alors dans l’opinion un mouvement d’hostilité sans précédent qui annulerait toute velléité de réforme jusqu’à la fin du mandat du président de la république. Inversement, s’il retire sa réforme- ce qui n’est pas totalement exclu compte tenu des reculs déjà opérés par Macon- alors il y aurait sans doute une crise politique avec un changement de gouvernement et plus certainement le recours à des élections législatives.

Comme d’habitude on peut prévoir des mouvements sociaux dans de nombreux secteurs économiques. Restera à vérifier l’implication dans le secteur privé st aussi dans la jeunesse. Le risque étant que le mouvement dérive vers des mouvements plus radicaux et incontrôlés si le gouvernement continue de s’entêter.

Des mobilisations prévisibles:

-La branche énergie : la CGT (FNME-CGT) appelle ses agents à se mettre en grève et à manifester le 31 janvier. «On construit un 31 janvier encore plus fort que le 19», a d’ores et déjà annoncé le secrétaire fédéral de la FNME-CGT, Fabrice Coudour. Avant cette journée, les salariés de l’énergie se sont mobilisés jeudi dans les centrales électriques, les raffineries, les ports et les docks, pour une sorte de tour de chauffe. Des baisses de production électrique ont notamment été enregistrées, ainsi que de nombreuses actions dites «Robin des Bois», permettant à certains de bénéficier d’énergie gratuite.

- Dans les transports, la CGT Cheminots et SUD-Rail encouragent même les cheminots à «agir massivement par la grève».

- A la RATP l’intersyndicale da aussi appelé ce mercredi «tous les agents de l’entreprise à exprimer leur refus de cette contre-réforme des retraites en participant à la grève et à la manifestation du mardi 31 janvier». .

-Dans branche carburant : les salariés de TotalEnergies, qui avaient posé un préavis pour deux jours, ont finalement suspendu leur mouvement jeudi soir, afin de préparer le terrain pour la journée du 31. Après le 31 janvier, la CGT énergie a déjà prévu de nouvelles journées de grèves les 6, 7 et 8 février.

-Dans la santé,la fédération CGT Santé et Action Sociale a déposé un préavis de grève pour le 31 janvier, qui concerne notamment «les établissements sanitaires et sociaux, médico-sociaux de la fonction publique hospitalière». Un autre préavis spécifique a par ailleurs déjà été déposé pour le 2 février. Aucun autre syndicat du secteur sanitaire n’a pour l’heure fait de même.

- Dans la Poste , l’intersyndicale des postiers (CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, UNSA, SUD) a de nouveau appelé à la grève le 31 janvier. La distribution des courriers et des colis, ainsi que l’accueil dans les bureaux de Poste, pourraient s’en retrouver perturbés.

- Les stations de ski devraient elles aussi être affectées par le mouvement de grève du 31 janvier. Les deux principaux syndicats de salariés de remontées mécaniques, Force ouvrière (FO) et la CGT, ont déposé un préavis de grève pour le 31 janvier.

- Dans le secteur aérien, l’USACcgt, un syndicat important de l’aviation civile, «a décidé de s’inscrire pleinement dans la journée unitaire de mobilisation du 31 janvier prochain», écrit-il dans un communiqué. En conséquence, il appelle l’ensemble des personnels de l’aviation civile «à se mettre massivement en grève et à participer aux manifestations».

- Dans l’Éducation nationale, les syndicats appellent également à poursuivre le 31 janvier le mouvement engagé le 19 janvier dernier. Les fédérations syndicales de l’éducation, de l’enseignement supérieur et la recherche «appellent les personnels à amplifier la grève le 31 janvier pour obtenir le retrait» de la réforme, lit-on dans un communiqué commun de l’intersyndicale. «La date du 31 janvier doit être encore plus forte que le 19 janvier», ajoute-t-elle.

31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation

Manif 31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation

Il est clair que le gouvernement a largement perdu la bataille de l’opinion. D’une certaine manière au contraire plus il s’exprime et plus les opposants devienne nombreux soutenant d’ailleurs aussi la mobilisation y compris ses conséquences comme le démontre la plupart des sondages. Du coup, on peut s’attendre à une mobilisation encore supérieure à celle du 21 janvier. La participation à la protestation pourrait même être exceptionnelle non seulement à Paris mais tout autant en province y compris dans les petites villes.

Dans les deux hypothèses le gouvernement a perdu la bataille. Si par hypothèse le gouvernement devait maintenir son texte à peu près en état, il créerait alors dans l’opinion un mouvement d’hostilité sans précédent qui annulerait toute velléité de réforme jusqu’à la fin du mandat du président de la république. Inversement, s’il retire sa réforme- ce qui n’est pas totalement exclu compte tenu des reculs déjà opérés par Macon- alors il y aurait sans doute une crise politique avec un changement de gouvernement et plus certainement le recours à des élections législatives.

Comme d’habitude on peut prévoir des mouvements sociaux dans de nombreux secteurs économiques. Restera à vérifier l’implication dans le secteur privé st aussi dans la jeunesse. Le risque étant que le mouvement dérive vers des mouvements plus radicaux et incontrôlés si le gouvernement continue de s’entêter.

Des mobilisations prévisibles:

-La branche énergie : la CGT (FNME-CGT) appelle ses agents à se mettre en grève et à manifester le 31 janvier. «On construit un 31 janvier encore plus fort que le 19», a d’ores et déjà annoncé le secrétaire fédéral de la FNME-CGT, Fabrice Coudour. Avant cette journée, les salariés de l’énergie se sont mobilisés jeudi dans les centrales électriques, les raffineries, les ports et les docks, pour une sorte de tour de chauffe. Des baisses de production électrique ont notamment été enregistrées, ainsi que de nombreuses actions dites «Robin des Bois», permettant à certains de bénéficier d’énergie gratuite.

- Dans les transports, la CGT Cheminots et SUD-Rail encouragent même les cheminots à «agir massivement par la grève».

- A la RATP l’intersyndicale da aussi appelé ce mercredi «tous les agents de l’entreprise à exprimer leur refus de cette contre-réforme des retraites en participant à la grève et à la manifestation du mardi 31 janvier». .

-Dans branche carburant : les salariés de TotalEnergies, qui avaient posé un préavis pour deux jours, ont finalement suspendu leur mouvement jeudi soir, afin de préparer le terrain pour la journée du 31. Après le 31 janvier, la CGT énergie a déjà prévu de nouvelles journées de grèves les 6, 7 et 8 février.

-Dans la santé,la fédération CGT Santé et Action Sociale a déposé un préavis de grève pour le 31 janvier, qui concerne notamment «les établissements sanitaires et sociaux, médico-sociaux de la fonction publique hospitalière». Un autre préavis spécifique a par ailleurs déjà été déposé pour le 2 février. Aucun autre syndicat du secteur sanitaire n’a pour l’heure fait de même.

- Dans la Poste , l’intersyndicale des postiers (CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, UNSA, SUD) a de nouveau appelé à la grève le 31 janvier. La distribution des courriers et des colis, ainsi que l’accueil dans les bureaux de Poste, pourraient s’en retrouver perturbés.

- Les stations de ski devraient elles aussi être affectées par le mouvement de grève du 31 janvier. Les deux principaux syndicats de salariés de remontées mécaniques, Force ouvrière (FO) et la CGT, ont déposé un préavis de grève pour le 31 janvier.

- Dans le secteur aérien, l’USACcgt, un syndicat important de l’aviation civile, «a décidé de s’inscrire pleinement dans la journée unitaire de mobilisation du 31 janvier prochain», écrit-il dans un communiqué. En conséquence, il appelle l’ensemble des personnels de l’aviation civile «à se mettre massivement en grève et à participer aux manifestations».

- Dans l’Éducation nationale, les syndicats appellent également à poursuivre le 31 janvier le mouvement engagé le 19 janvier dernier. Les fédérations syndicales de l’éducation, de l’enseignement supérieur et la recherche «appellent les personnels à amplifier la grève le 31 janvier pour obtenir le retrait» de la réforme, lit-on dans un communiqué commun de l’intersyndicale. «La date du 31 janvier doit être encore plus forte que le 19 janvier», ajoute-t-elle.

Retraites: Nouvelle mobilisation le 31 janvier

Retraites: Nouvelle mobilisation le 31 janvier

Comme prévu tous les syndicats se sont réunis le soir même de l’énorme manifestation du 19 janvier. Ils ont d’abord fait le constat du succès exceptionnel de cette manifestation qui aurait réuni 2 millions de personnes d’après les syndicats (1,2 millions d’après le ministère de l’intérieur). De toute manière, une mobilisation considérable non seulement à Paris mais également en province y compris dans les petites villes.

Du coup, les syndicats ont immédiatement décidé d’une nouvelle journée. On semble donc s’engager dans un processus d’affrontement qui va s’installer dans la durée avec le risque de porter gravement atteinte à l’économie dans les perspectives sont déjà très fragiles pour 2023.

L’entêtement de Macon pourrait conduire le pays vers la récession avec des pertes considérables de croissance et une nouvelle dégradation de la confiance des acteurs économiques. Si le mouvement devait durer jusqu’à l’été, les pertes financières liées à la diminution de l’activité générale se chiffreraient alors en dizaines de milliards. Des chiffres encore bien supérieurs aux économies hypothétiques attendues de la réforme des retraites.

La prochaine journée de mobilisation contre la réforme des retraites aura lieu le mardi 31 janvier, a appris franceinfo de sources syndicales, jeudi 19 janvier. La CGT voulait que ce soit le 26 janvier, mais c’est finalement la CFDT qui a obtenu gain de cause. Cette date a été choisie lors de la réunion entre les huit principaux syndicats français réunis en intersyndicale, pour laisser le temps aux organisations syndicales de déposer de nouveaux préavis de grève et de pouvoir remobiliser sur le terrain, après cette première journée qui a été plutôt réussie.

Plusieurs organisations appellent également à des manifestations locales lundi 23 janvier, lors de la présentation en Conseil des ministres du projet de réforme des retraites, avec des concerts de casseroles, des rassemblements devant les préfectures, devant les locaux de députés, voire des marches aux flambeaux comme on en a vu cette semaine à Marseille

Plus de 200 manifestations ont eu lieu à Paris et en régions et plus d’un million de personnes (1,12 million) ont défilé jeudi en France, dont 80 000 à Paris, contre le projet de réforme des retraites du gouvernement, selon un décompte diffusé par le ministère de l’Intérieur. Selon la CGT, cette première journée d’action a réuni deux millions de personnes. Ils manifestaient à l’appel de la CFDT, la CGT, FO, la CFE-CGC, la CFTC, l’Unsa, la FSU et Solidaires, contre une réforme des retraites jugée « injuste et brutale » par les syndicats.

Covid France 31 août 2022 :27 358 cas supplémentaires en 24 heures

On enregistre ce mardi 30 août 2022 :  27 358 cas supplémentaires en 24 heures, 154.039 morts au total, +72 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.103 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 124.936 (+72 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,90 le taux d’incidence à 181,30 et la tension hospitalière à 16,9 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 14.694 (-235) personnes hospitalisées et 854 (+6) malades en réanimation.

 

Bilan des régions  :

  • Ile-de-France : 4.213 (-90) hospitalisées, 294 (-4) en réanimation et +12 décès en 24h
  • Grand Est : 1.096 (-9) hospitalisés, 66 (+3) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.180 (-60) hospitalisés, 59 (-4) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.194 (-31) hospitalisés, 60 (-1) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.458 (-17) hospitalisé, 59 (+2) en réanimation et +12 décès en 24h
  • Bretagne: 442 (-25) hospitalisés, 31 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Normandie : 885 (+3) hospitalisés, 38 (+2) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.138 (-31) hospitalisés, 71 (-6) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 273 (+13) hospitalisés, 21 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Occitanie: 1.121 (-10) hospitalisés, , 61 (+4) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 647 (-8) hospitalisés, 28 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 597 (+13) hospitalisés, 34 (+1) en réanimation et 0 décès en 24h

Covid France 31 décembre 2021 : 206.243 nouveaux cas en 24 heures

Covid France 31 décembre 2021 : 206.243 nouveaux cas en 24 heures

Encore plus de 200 000 contaminations en 24 heures. L’épidémie progresse encore en France, où 180 personnes sont mortes du Covid ces dernières 24 heures. 18.321 malades sont actuellement hospitalisés, indique Santé publique France, dont 1922 arrivés ce jeudi. 3506 patients sont traités en soins critiques – 299 d’entre eux le sont depuis la veille.

Entre mercredi et jeudi 206.243 nouvelles personnes ont été testées positives au Covid-19. Le seuil des 200.000 cas par jour avait été dépassé pour la première fois mercredi, un nouveau record après près de 180.000 cas mardi. Le taux d’incidence est de 1049,5 pour 100.000 habitants, du jamais vu depuis le début de la pandémie.

Sur le plan de la vaccination, 76,7% des Français (soit 51.740.923 de personnes) sont complètement vaccinés et 78,4% ont reçu au moins une injection (soit 52.891.873 de personnes).

 

Afghanistan : retrait américain au 31 août confirmé

Afghanistan : retrait américain au 31 août confirmé

 

 

 

Le président Biden après avoir envisagé un départ après le 31 août Afghanistan est revenu sur ses propositions. Cela d’autant plus que les talibans menaçaient les États-Unis de représailles. Lors d’un sommet virtuel avec ses homologues du G7, le président des Etats-Unis a donc  opposé pour l’instant une fin de non-recevoir aux alliés de Washington. Les dirigeants européens notamment plaident avec insistance pour une prolongation de la présence militaire américaine, afin de laisser plus de temps aux évacuations d’Afghans jugés à risque dans leur propre pays depuis la prise du pouvoir par les talibans.

Origine Covid : 31 scientifiques internationaux demandent une véritable enquête

Origine Covid  : 31 scientifiques internationaux demandent une véritable enquête

 

31 scientifiques internationaux demandent que soit engagée une véritable enquête approfondie sur l’origine du virus en Chine. Après beaucoup de réticences, l’organisation mondiale de la santé avait réussi à faire accepter une petite enquête sur place relativement favorable d’ailleurs à la Chine. Rien d’étonnant à cela puisque la Chine tient en laisse l’organisation mondiale de la santé. Très critiquée l’organisation mondiale de la santé avaient dû alors réagir.

Le 12 juin 2021, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que les familles des millions de personnes qui sont mortes du COVID-19 «méritent de savoir quelle est l’origine de ce virus, afin que nous puissions éviter que cela ne se reproduise». En accord avec ce souhait, les dirigeants du G7 ont publié le lendemain une déclaration commune appelant à «une étude de phase 2 sur les origines de la COVID-19, qui soit transparente, établie dans un délai raisonnable, dirigée par des experts, fondée sur la science, convoquée par l’OMS et également menée, comme le recommande le rapport des experts, en Chine».

Macron à la télé : 31 millions de Français pour l’audience président monarque

Macron à la télé : 31 millions de Français pour l’audience  président monarque

Conséquence du régime de monarchie républicaine que connaît la France, l’allocution du président a encore été suivie par 31 millions de Français. Il est vrai qu’en matière de crise sanitaire c’est le président qui décide à peu près de tout et seul. Le premier ministre, le ministre de la santé assurent  le service après-vente et le parlement joue les utilités. Une intervention de 24 minutes surtout consacrées à l’auto justification du pouvoir qui a pourtant changé de stratégie. Tout cela pour annoncer la fermeture des écoles et la limitation de la mobilité dans un rayon de 10 km. Dans le détail, près de 12,6 millions de téléspectateurs se sont massés devant TF1, ce qui représente une part d’audience de près de 38%. Sur France 2, quasiment 10 millions de personnes étaient aussi au rendez-vous, soit 29,2% du public. M6, qui retransmettait l’intervention, a fédéré de son côté 3,3 millions de Français. TMC en a attiré 1,3 million supplémentaire. Et Canal+, autour de 300 000. L’audience des chaînes d’information en continu, qui ont retransmis l’allocution du chef de l’État, est déjà comptabilisée. Mais le détail des chiffres pour chacune d’elles ne sera pas publié avant 11 heures.

Leader Price: fermeture de 31 magasins

Leader Price: fermeture de 31 magasins

 

31 magasins leader Price devraient être fermés DU FAÎT DE LA CONCURRENCE D’ALDI.

«Malgré les promesses de maintien dans l’emploi de la direction d’Aldi tout le temps des négociations du rachat de Leader Price, la direction d’Aldi France vient d’annoncer une première salve de fermetures de 31 magasins», a écrit la CGT Commerce, syndicat majoritaire chez Leader Price, dans un communiqué. «L’objectif est de rassembler notre réseau de magasins Aldi en France et celui de Leader Price, qui sont géographiquement très complémentaires». Pour la CGT ce sont 119 magasins sur les 500 leaders Price en France qui sont menacées, cela concerne 1500 salariés

 

Boeing : 31 milliards de contrats militaires pour compenser le civil

Boeing : 31 milliards de contrats militaires pour compenser le civil

on est sans doute pas sorti de la lutte que se livrent Boeing et Airbus à propos des entraves à la concurrence dues au soutien des Etats concernés. Des soutiens de différentes natures mais dans la période le militaire compense l’écroulement du civil. Airbus a décidé de se recentrer en partie sur le militaire comme Boeing. Boeing qui a obtenu 31 milliards de dollars de contrats militaires signés par le Département de la défense (DoD) et destinés à équiper l’ensemble des forces armées américaines (Air Force, Navy, Army…) ou à soutenir des organismes comme la DARPA ou encore Defence Logistics Agency, selon un décompte effectué par La Tribune. Certains de ces contrats sont destinés à l’exportation (via le système de ventes à l’étranger, le FMS).. Un  montant auquel il faut également ajouter six contrats, dont la valeur s’élève au total à 24,84 milliards.

Coronavirus Floride : 31 % des enfants positifs

Coronavirus Floride : 31 % des enfants positifs

 

La tendance pourrait révéler l’ampleur de la pandémie aux Etats-Unis. Sur 54.000 enfants testés au nouveau coronavirus en Floride plus de 16.700, soit près d’un tiers, était positif. Un chiffre qui a de quoi inquiéter alors que plusieurs études scientifiques affirment que les enfants sont généralement moins touchés par le Covid-19 que les adultes.

Le taux de positivité des enfants, 31,1 % selon les données des autorités sanitaires, est pourtant plus élevé que celui de l’Etat, fixé à environ 11 %. Le nombre de contamination pourrait donc être largement sous estimé dans l’Etat.

Ces données viennent également remettre en question celles communiquées depuis le début de la crise par les Center For Disease Control and Prevention (CDC) qui affirment que les moins de 18 ans représentent seulement 6,4 % des personnes infectées. La Californie et le Mississippi enregistrent également des taux proches de 10 %.

 

Croissance allemande : une chute de plus de 31 % des exportations

Croissance allemande : une chute de plus de 31 % des exportations

. Les exportations de l’Allemagne se sont effondrées en avril, au plus fort de la pandémie de Covid-19, de 31,1 %.

L’Allemagne a ainsi vendu à l’étranger des biens pour «seulement» 75,7 milliards d’euros. Conséquence du ralentissement de l’activité, les importations ont elles aussi reculé de 16,5 %, à 72,2 milliards d’euros. L’Allemagne affiche donc toujours un excédent commercial mais celui-ci s’est réduit à 3,5 milliards d’euros, contre 17,4 milliards en mars.

Les exportations avec les pays de l’Union européenne ont baissé de 35 % sur un an, avec une chute prononcée pour la France (- 48,3 %) et l’Italie (- 40,1 %). Les ventes vers la Chine n’ont, elles, baissé que de 12,6 %. L’économie de l’empire du Milieu a redémarré alors que l’Europe était encore confinée.

L’Allemagne pourrait voir son PIB se contracter de 10 % au deuxième trimestre, du jamais vu depuis cinquante ans.

Quant aux importations de l’Allemagne, elles ont progressé de 10 % en provenance de la Chine, et de 2,4 % pour les États-Unis, alors qu’elles se sont tassées de 37,3 % venant de France.

Les données du mois de mai devraient être meilleures pour la locomotive européenne, très dépendante de ses échanges extérieurs. Le ministère de l’Économie estimait dernièrement que le creux de la récession avait été atteint en avril. L’assouplissement progressif des mesures de confinement et la reprise de la production dans l’industrie automobile ont depuis favorisé un début de reprise économique.

L’Allemagne pourrait voir son PIB se contracter de 10 % au deuxième trimestre, du jamais vu depuis cinquante ans, selon les principaux instituts économiques allemands.

 

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