Archive pour le Tag '300'

Dette: La France va emprunter un record de 300 milliards

Dette: La France va emprunter un record de 300 milliards

 

L’Agence France Trésor (AFT) vient d’annoncer ce jeudi qu’elle lèverait 300 milliards d’euros de dette sur les marchés financiers tout au long de l’année 2025. Du jamais vu. En 2024 elle avait levé le montant déjà inédit de 285 milliards, qui suivait le record précédent de 270 milliards en 2023.Notons que le coût des emprunts est actuellement autour de 50 milliards ( pour le seul remboursement des intérêts).

Les 300 milliards d’euros d’emprunt annoncés pour 2025 équivalent précisément au montant indiqué dans le projet de loi de finances (PLF) présenté en octobre dernier par le gouvernement Barnier, lequel a pourtant été censuré début décembre. « Dès le premier lundi de l’année 2025, nous émettrons sous les offices de la loi spéciale qui garantit la continuité financière de l’État . Cette loi nous autorise à continuer à réaliser toutes les opérations de trésorerie et de dette, et ce jusqu’à l’entrée en vigueur de la loi de finances pour 2025 », détaille Antoine Deruennes, directeur général de l’AFT.

 

IRIS² : 300 satellites pour l’ autonomie stratégique européenne

IRIS² : 300 satellites pour l’ autonomie stratégique européenne

 Il s’agit là d’un tournant pour l’Europe spatiale. Et surtout d’un signal fort pour une souveraineté européenne décuplée. La Commission européenne a annoncé fin octobre 2024 son engagement en faveur du programme IRIS², premier réseau de satellites multi-orbitaux en Europe, en attribuant ce projet au consortium SpaceRISE. Constituée d’environ 300 satellites, cette constellation sera opérationnelle aux alentours de 2030. Alors que le monde est marqué par l’essor de constellations, notamment américaines (Starlink, Kuiper) et que le besoin en connectivité n’a jamais été aussi fort, la connectivité sécurisée est absolument essentielle pour l’autonomie stratégique européenne. A ce titre, IRIS² incarne une Europe spatiale souveraine. Par Philippe Baptiste, président-directeur général du CNES (Centre National d’Études Spatiales). dans la Tribune

Décidée en 2023 par la Commission européenne, la constellation IRIS² (Infrastructure de résilience, d’interconnectivité et de sécurité par satellite) fournira d’ici à quelques années un service de communications sécurisées aux organismes et agences gouvernementales de l’Union européenne, tout en positionnant des acteurs privés européens sur le marché très prometteur des constellations de connectivité. L’architecture de la constellation permettra aux utilisateurs de communiquer avec une faible « latence », c’est-à-dire que la transmission ultra-rapide des informations permettra d’atteindre les performances des réseaux terrestres. Réduction de la fracture numérique, télémédecine pour l’intervention dans des zones isolées, véhicule connecté, défense, transports maritimes, des pans entiers de notre vie quotidienne en Europe seront transformés grâce à IRIS² !

L’Europe pourra utiliser les services sécurisés d’IRIS², c’est-à-dire des services dont la confidentialité est garantie, pour protéger efficacement ses citoyens. IRIS² contribue donc directement à notre autonomie stratégique et permettra à l’Europe de ne pas dépendre d’autres puissances spatiales, notamment en période de crise. Rappelons que lors du conflit russo-ukrainien, Elon Musk, tout en mettant à disposition de l’Ukraine son réseau Starlink, en a empêché l’utilisation aux abords de la Crimée, interférant directement sur la conduite de la guerre.

L’Union européenne peut d’ores et déjà s’enorgueillir de deux très grands succès spatiaux : Galileo, infrastructure de navigation par satellite grâce à laquelle trois milliards d’utilisateurs se positionnent chaque jour avec une extrême précision, et Copernicus, programme d’observation de la Terre par satellite qui permet d’accéder à des données essentielles pour comprendre notre climat et notre environnement. IRIS² est donc le troisième pilier de l’Europe spatiale. Il a pu voir le jour grâce à l’inébranlable volonté politique de l’ancien Commissaire européen Thierry Breton qui a fait fi des sceptiques, des conservateurs et de ceux toujours enclins au renoncement.

Au-delà de l’enjeu de souveraineté, IRIS² va aussi permettre à l’Europe spatiale d’investir dans le secteur des télécoms et des constellations où notre industrie a pris du retard. Le financement, provenant tout à la fois du secteur public et d’opérateurs privés, doit renforcer la compétitivité du secteur dans un contexte de concurrence accrue. En attribuant au consortium SpaceRISE le contrat de concession pour le développement, le déploiement et l’exploitation d’IRIS² sur 12 ans, la Commission européenne a envoyé un signal fort en faveur d’une ambition collective européenne qui constitue plus que la somme des intérêts nationaux. Ainsi, le consortium porté par le français Eutelsat, le luxembourgeois SES et l’espagnol Hispasat comprend également les très grandes entreprises européennes du spatial telles que Thales, Airbus, OHB, Deutsche Telekom, ou encore Orange. Mais ce sont aussi de nombreux acteurs émergents du spatial qui bénéficieront de ce nouvel élan.

IRIS² se démarque des constellations concurrentes Starlink ou Kuiper d’Amazon par une approche responsable et durable de l’utilisation de l’orbite basse. Seuls 300 satellites formeront la constellation IRIS² dans sa globalité. Un chiffre qui reflète la sobriété de ce projet, loin des dizaines de milliers de satellites de Starlink et de Kuiper. Cette stratégie illustre concrètement l’engagement de l’Europe pour des systèmes spatiaux contribuant à un espace plus durable.

Ce nouveau programme illustre parfaitement la montée en puissance et le rôle d’impulsion politique que doit donner la Commission européenne à la politique spatiale. Dans un paysage institutionnel et politique trop complexe, marqué par la coexistence de plusieurs acteurs – UE, États membres, Agence spatiale européenne – il faut un centre de décision unique et une ligne de mise en œuvre claire, pour éviter duplications et dilution de l’effort spatial européen. C’est l’UE, par le biais de la Commission, qui doit endosser ce rôle.

D’ailleurs, la constellation va de pair avec l’adoption, dans les prochains mois, d’une loi spatiale européenne. Au programme : un arsenal juridique pour la viabilité et la résilience des activités spatiales, ainsi que pour la gestion de débris spatiaux. L’ensemble de ces briques renforceront le leadership de l’Europe en portant une vision du spatial, centrée sur le service aux citoyens, le renforcement de la lutte contre le changement climatique et l’affirmation d’une indépendance européenne vis-à-vis de la Chine et des Etats-Unis.

Aux côtés d’Ariane 6 qui vient de faire son premier vol avec succès et qui doit naturellement mettre l’essentiel de la constellation en orbite, IRIS² est donc un nouveau moteur de l’Europe spatiale. L’accord de concession signé entre l’Union européenne et le consortium SpaceRISE le 16 décembre marque le véritable lancement d’IRIS². Cette signature intervient dans les premiers jours du mandat du nouveau Commissaire européen pour la défense et l’industrie spatiale, Andrius Kubilius, qui a d’ores et déjà plaidé pour une Europe spatiale forte. Qu’il soit entendu !

Drogue et violence: Plus de 300 narchomicides en 2024 ?

Drogue et violence: Plus de 300 narchomicides en 2024 ?

 

L’affaire de Poitiers remet sous les projecteurs la Mexicanisation  de la France en matière de drogue et de violence Police judiciaire a recensé 182 affaires de règlements de compte au premier semestre 2024, incluant homicides et tentatives d’homicides. 

Dénommés « narchomicides », les meurtres liés au trafic de stupéfiants ont déjà atteint des sommets en 2023.  Les autorités ont répertorié 418 cas d’assassinats et de tentatives d’assassinat entre malfaiteurs, marquant une hausse de 38 % par rapport à 2022. Ces affrontements violents ont causé la mort de 139 personnes.

Marseille arrive en tête des villes les plus touchées en 2023, avec 84 règlements de compte recensés. Valence et Nantes suivent avec respectivement 16 affaires. Viennent ensuite Nîmes (30) et Fort-de-France (20) en Martinique, puis Clermont-Ferrand (63), Cayenne (973), Avignon (84), Toulouse (31), Grenoble (38) et Sevran (93). Dans la capitale, la Direction nationale de la Police judiciaire (DNPJ) n’a comptabilisé que cinq cas.

Plus de 300 narchomicides en 2024 ?

Plus de 300 narchomicides en 2024 ?

 

L’affaire de Poitiers remet sous les projecteurs la Mexicanisation  de la France en matière de drogue et de violence Police judiciaire a recensé 182 affaires de règlements de compte au premier semestre 2024, incluant homicides et tentatives d’homicides. 

Dénommés « narchomicides », les meurtres liés au trafic de stupéfiants ont déjà atteint des sommets en 2023.  Les autorités ont répertorié 418 cas d’assassinats et de tentatives d’assassinat entre malfaiteurs, marquant une hausse de 38 % par rapport à 2022. Ces affrontements violents ont causé la mort de 139 personnes.

Marseille arrive en tête des villes les plus touchées en 2023, avec 84 règlements de compte recensés. Valence et Nantes suivent avec respectivement 16 affaires. Viennent ensuite Nîmes (30) et Fort-de-France (20) en Martinique, puis Clermont-Ferrand (63), Cayenne (973), Avignon (84), Toulouse (31), Grenoble (38) et Sevran (93). Dans la capitale, la Direction nationale de la Police judiciaire (DNPJ) n’a comptabilisé que cinq cas.

Les hausses d’impôts pour 300 entreprises

Les hausses d’impôts pour 300 entreprises 

Pas de choc fiscal global puisque d’après Michel Barnier: «300» seulement seront concernées, pendant «un an et peut-être deux ans», selon les calculs du gouvernement. Il s’agit de celles qui présentent un chiffre d’affaires supérieur à un milliard d’euros par an. La contribution, pensée pour être exceptionnelle, verra sa durée inscrite dans la loi.

 

Pour le premier ministre, il n’y aura «pas d’impôt nouveau sur la quasi-totalité des quatre millions» d’entreprises du pays.

 Le premier ministre est par ailleurs revenu sur la prise de position de Gérald Darmanin. «Je ne voterai pas une augmentation d’impôts», a menacé l’ancien ministre de l’Intérieur, sur Franceinfo, ce jeudi. «J’ai très peu de temps [...]. Je n’ai pas le temps et je n’ai pas envie de faire des polémiques», a répondu Michel Barnier. Darmanin   qui d’une certaine manière a été impliqué dans le déficit du budget et l’acroissemenet de la dette pour avoir été ministre de Macron

 

 

Avion avec 300 Indiens bloqués à Vatry , pourquoi ?

Avion avec 300 Indiens bloqués à Vatry. Traite d’êtres humains et où fuite de la pauvreté ?


Finalement c’est le grand flou sur les raisons qui ont amené la France sur dénonciation à bloquer un avion qui transportait 300 Indiens vers l’Amérique. On a longuement entendu les éléments juridiques qui permettaient à la France d’intervenir pour finalement décider le ré-embarquement et le départ de l’avion. Vraisemblablement on ne connaîtra jamais les vraies raisons du voyage des Indiens dont certains pensent qu’il s’agit de traite d’êtres humains.

Sans doute mais tout autant, c’est sans doute une fuite de la pauvreté. Certes l’Inde évolue à grand pas pour sortir d’une misère difficilement concevable pour les occidentaux mais il faudra sans doute au moins une ou deux générations voire davantage pour vraiment moderniser le pays et en faire bénéficier une population immense qui va devenir la première du monde.

Cette affaire d’avion bloqué à Vatry pour des questions techniques pose d’abord la question juridique et la faiblesse du droit international en matière de migration. Elle pose surtout la problématique plus générale d’une explosion de l’immigration dans toutes les zones mondiales. Les désastres économiques, le pillage des richesses, les entraves démocratiques conduisent de plus en plus des populations à fuir vers l’ horizon des pays développés. Jusque-là, les grandes migrations affectaient surtout l’interne des continents , elles concernent l’ensemble du globe.

La question évidemment n’est pas simple; il n’y a pas uniquement la question du décalage économique et social mais aussi le transfert de civilisation et de mode de pensée qui bouscule les pays récepteurs par ailleurs souvent demandeurs pourtant de cette population en raison des déficits démographiques des pays d’accueil.

MBappé: : Une offre de 300 millions pour son transfert !

MBappé: : Une offre de 300 millions pour son transfert !

On peut se demander jusqu’où ira la folie financières dans le foot business. En effet, l’Arabie saoudite, par l’intermédiaire du club d’Al-Hilal, a formulé une offre sans précédent de 300 M€ au Paris Saint-Germain pour Kylian Mbappé. Le journal L’Équipe confirme l’information, et ajoute que le PSG est «prêt à accepter» si Al-Hilal s’entend sur le plan contractuel avec Mbappé, 24 ans. La chaîne américaine CBS parle d’un bail d’une seule saison rémunérée à hauteur de… 700 M€.

Mbappé est sous contrat au PSG jusqu’en juin 2024. Le PSG est prêt à le vendre dès cet été pour ne pas qu’il parte «gratuitement» l’an prochain, au point de l’avoir écarté de sa tournée en Asie. L’enfant de Bondy refuserait de prolonger mais aussi de partir, et s’en tiendrait à la même ligne de conduite depuis le début : honorer sa dernière et juteuse année de contrat à Paris.

Pétrole russe : embargo des États-Unis! et un baril vers les 300 $

Pétrole russe : embargo des États-Unis!  et un baril vers les 300 $

Les cours du pétrole se sont envolés de plus de 7% immédiatement après l’annonce du président américain, tutoyant les plus hauts historiques. Dans la foulée, Kwasi Kwarteng, la ministre britannique des Entreprises et de l’énergie a annoncé que le Royaume-Uni arrêterait d’ici à fin 2022 les importations de brut et produits pétroliers russes.

Initialement réticent à l’idée d’un embargo, qui risque d’accélérer encore l’inflation aux Etats-Unis, Joe Biden a été mis sous pression par le Congrès, où un consensus avait été trouvé lundi en vue de soumettre au vote une proposition de loi en ce sens.

Dans la foulée, Kwasi Kwarteng, la ministre britannique des Entreprises et de l’énergie a annoncé que le Royaume-Uni arrêterait d’ici à fin 2022 les importations de brut et produits pétroliers russes.

Vers les 300 dollars ?

Les conséquences économiques ne sont pas encore connues, les prix vont encore grimper ce jour, mais le vice-Premier ministre russe, chargé de l’Énergie, Alexandre Novak, mettait en garde dimanche contre cette éventuelle mesure, qui pourrait, selon lui, pousser le baril « à plus de 300 dollars ».

 

Reste à savoir quelle va être la position de l’Union européenne. Pour le moment, la communauté européenne n’a pas emboîté le pas à l’Oncle Sam. Et pour cause : elle est bien plus dépendante du pétrole russe que les Etats-Unis. Environ 30% des besoins de l’Europe en pétrole sont assurés par la Russie, contre 8% seulement pour les Etats-Unis.

Sur les 10,5 millions de baril/jour (mbj) produit par la Russie, les exportations s’élèvent à 4,27 mbj, dont 60% sont livrées à l’Europe et 35% à l’Asie (1,44 mbj, dont 56% (805.000 b/j) par la Chine).

« La Russie est aussi un centre important de raffinerie et un exportateur de produits raffinés comme le diesel, l’essence, et le fuel domestique. En 2021, les exportations de produits raffinés ont atteint 2,69 mbj. Comme le pétrole brut, elles ont aussi une dimension mondiale avec l’Union européenne constituant un important marché pour le diesel russe (580.000 barils par jour), le naphta (matière première pour la pétrochimie) et l’essence (234.000 barils par jour), le mazout (223.000 barils par jour) et le fioul domestique (214.000 barils par jour) », indiquent les experts du Oxford Institute for Energy Studies.

EDF : une amende de 300 millions ridicule

EDF : une amende de 300 millions ridicule

Une sanction de 300 millions d’euros par l’Autorité de la concurrence pour abus de position dominante. Une amende assez ridicule d’abord parce que finalement elle sera payée par le contribuable et par l’usager. Ensuite parce qu’elle repose sur un reproche assez inédit concernant l’ouverture du fichier clients EDF aux autres opérateurs dans le cas de la libéralisation.

L’organisme indépendant « au service de la compétitivité et du consommateur », comme il se présente, reproche au fournisseur d’électricité d’avoir « exploité abusivement » de 2004 à 2021 des fichiers de clients, dont le groupe disposait dans le cadre de sa mission de service public de l’électricité. Et ce dans le but de proposer aux consommateurs des offres de marché en gaz, électricité et autres services énergétiques, dans une « logique de conquête commerciale » lors de la période d’ouverture à la concurrence du secteur.

Ces pratiques ont ainsi contribué « à conforter la position d’EDF dans l’ensemble du secteur de l’énergie et à retarder le développement de fournisseurs alternatifs », est-il précisé.

 

Depuis 2007, les particuliers peuvent souscrire au tarif réglementé de vente (TRV) d’EDF (pour l’électricité) avec des prix fixés par les pouvoirs publics, mais aussi à des offres de marché, à prix libres, vendues aussi bien par l’opérateur historique français que par des dizaines de concurrents (Engie, Eni, Total, Vattenfall, etc).

Lors d la  crise récente sur les prix de l’énergie nombre de c es fournisseurs qui avaient promis la lune ont mis la pédale douce pour la fourniture d’électricité ou même ont cessé toute activité dans ce domaine. Sans parler de ce qui promettait de fournir de « l’électricité verte »alors qu’il n’existe qu’un réseau qui véhicule l’électricité produite par les différentes énergies. L’autorité de la concurrence serait sans doute mieux à faire en se préoccupant de l’approvisionnement nécessaire à l’économie puisqu’aujourd’hui la France est même contrainte d’importer de l’électricité. Tout cela pose la question aussi de ces différents organismes de régulation qui ne servent  pas à grand-chose et qui pour des questions existentielles se singularisent  par des décisions assez discutables.

Le SMIC dans l’Europe : De 300 à 2300 €

Le SMIC dans l’Europe : De 300 à 2300 €

L’idée d’un salaire minimum commun en Europe est a priori intéressante. Mais névitablement l’harmonisation se fera sur une moyenne qui viendra affecter défavorablement ceux  qui sont en haut de l’écart. La France y compris. En effet les écarts vont de 300 € en Bulgarie à plus de 2000 € au Luxembourg.

 

De ce fait l’ harmonisation préconisée par Macron n’apportera pas grand chose de positif aux salariés français. Au 1er janvier 2022, parmi les 21 pays de l’UE qui disposent d’un salaire minimum, treize sont sous le seuil des 1.000 euros mensuels (avant impôt et contributions sociales). Les plus faibles sont enregistrés en Bulgarie (332 euros par mois), en Lettonie (500) et en Roumanie (515), a indiqué l’office européen des statistiques dans un communiqué.

Seuls six pays disposent d’un salaire minimum brut mensuel supérieur à 1.500 euros, les plus élevés étant au Luxembourg (2.257), en Irlande (1.775) et aux Pays-Bas (1.725). L’Allemagne (1.621) et la France (1.603) arrivent juste derrière la Belgique (1.658).

Santé–UE : le colorant E171 interdit…. il en reste 300 autorisés

Santé--UE : le  colorant E171 interdit…. il en reste 300 autorisés

Le E171, composé de particules de dioxyde de titane sous forme de poudre, est utilisé dans de nombreux produits alimentaires -confiseries, chewing-gums, pâtisseries, soupes ou plats cuisinés- pour ses propriétés colorantes (pigment blanc) et opacifiantes. Il sera interdit par l’union économique. Le problème c’est qu’il y en a encore 300 autres qui sont autorisés sur 7à 800 possibles.

Plus de 300 additifs alimentaires sont en effet autorisés dans l’Union européenne. Tous font l’objet d’une évaluation de l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (Efsa). Pourtant, des publications scientifiques jettent régulièrement le doute sur certains d’entre eux.

Le Conseil supérieur de la Santé belge considère le dioxyde de titane comme «cancérigène possible», et la France l’avait interdit l’année dernière comme additif alimentaire pour un an. Des chercheurs avaient établi qu’il pouvait provoquer des lésions pré-cancéreuses chez des rats. En France, l’UFC-Que Choisir avait regretté que cette interdiction ne concerne pas la présence du dioxyde de titane dans les médicaments mais aussi les cosmétiques, où il est également employé.

UE : le colorant E171 interdit…. il en reste 300 autorisés

 

Le E171, composé de particules de dioxyde de titane sous forme de poudre, est utilisé dans de nombreux produits alimentaires -confiseries, chewing-gums, pâtisseries, soupes ou plats cuisinés- pour ses propriétés colorantes (pigment blanc) et opacifiantes. Il sera interdit par l’union économique. Le problème c’est qu’il y en a encore 300 autres qui sont autorisés sur 7à 800 possibles.

Plus de 300 additifs alimentaires sont en effet autorisés dans l’Union européenne. Tous font l’objet d’une évaluation de l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (Efsa). Pourtant, des publications scientifiques jettent régulièrement le doute sur certains d’entre eux.

Le Conseil supérieur de la Santé belge considère le dioxyde de titane comme «cancérigène possible», et la France l’avait interdit l’année dernière comme additif alimentaire pour un an. Des chercheurs avaient établi qu’il pouvait provoquer des lésions pré-cancéreuses chez des rats. En France, l’UFC-Que Choisir avait regretté que cette interdiction ne concerne pas la présence du dioxyde de titane dans les médicaments mais aussi les cosmétiques, où il est également employé.

Un fonds de 300 millions pour les harkis : Une reconnaissance et un acte électoral

Un fonds de 300 millions pour les harkis : Une reconnaissance et un acte électoral

 Un article de l’opinion (Extrait)Un fonds de 300 millions pour les harkis« Emmanuel Macron veut frapper très fort, confie un proche du dossier. La séquence de lundi est préparée depuis des mois en toute discrétion par les conseillers élyséens, de Bruno Roger-Petit, conseiller mémoire, à Cécile Renault, chargée du projet mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie à l’Elysée. » Le facteur déclencheur est la remise du rapport Stora sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie, en janvier dernier.

A l’époque, les responsables de l’association Ajir pour les Harkis, dirigée par Mohand Hamoumou, longtemps maire de la ville de Volvic (2008 à 2020), déplorent le manque de clarté sur les représailles subies par la communauté restée en Algérie à l’indépendance. « L’attente principale des Harkis est absente du rapport : une loi de reconnaissance et réparation, maintes fois promise voire proposée mais jamais votée », déplore surtout un communiqué d’Ajir, demandant au chef de l’Etat de faire voter cette loi avant la fin de son mandat.

Quatre défenseurs de la cause harki – Mohand Hamoumou, Claire-Tassadit Houd, militante associative, Dalila Kerchouche, journaliste, et Serge Carel, harki torturé récemment décoré par Macron – ont été reçus le 10 mai à l’Elysée. Emmanuel Macron leur assure alors qu’il n’était pas question que le rapport Stora serve de prétexte à les mettre sous « la moquette de la mémoire française ».

« Le chef de l’Etat a été très touché par ce qu’il a entendu ce jour-là sur ce drame, notamment le parcours de Dalila Kerchouche, née en 1973 derrière les barbelés du camp de Bias dans le Sud-Ouest, poursuit le proche du dossier. Il a donc voulu que la France tourne la page alors la grande majorité des Français considèrent que cette communauté a été victime d’une profonde injustice de la République. »

Le destin des harkis s’est joué à partir de mars 1962 dans la foulée des accords d’Evian sur l’indépendance algérienne. Robert Boulin, alors secrétaire d’Etat aux rapatriés, lance une opération d’évacuation avant que d’autres ministres en charge du dossier (Pierre Messmer, Louis Joxe, Roger Frey) fassent machine arrière à l’été, y voyant un danger terroriste. Trois mois plus tard, le Premier ministre, Georges Pompidou, relance les rapatriements sans que leur accueil soit préparé.

La communauté est alors installée dans des camps de fortune, dans des hameaux de forestage, parfois dans des foyers. Les conditions sont indignes (manque d’eau et d’électricité), les rapatriés sont privés de leurs droits fondamentaux d’aller et venir, d’envoyer leurs enfants à l’école. « Parmi tous ceux qui reviennent en France, appelés et pieds noirs, ils sont les seuls à avoir subi ce traitement singulier », commente une source élyséenne.

Considérant qu’il y a un consensus bipartisan sur cette injustice, Emmanuel Macron devrait annoncer lundi un projet de loi, consulté par l’Opinion, portant « reconnaissance de la Nation et réparation des préjudices subis par les personnes rapatriées d’Algérie anciennement de statut civil de droit local et par leurs familles du fait des conditions de leur accueil sur le territoire français ».

L’Etat instaurera aussi un fonds d’indemnisation de quelque 300 millions d’euros, soit huit fois plus que le fond prévu initialement

Cette loi, si elle est adoptée, déterminera les conditions de la mise en œuvre du droit à la réparation. Une commission spéciale sera instituée auprès de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre. Son rôle sera de statuer sur les demandes et le montant de l’offre de réparation, après instruction par les services de l’Office. L’Etat instaurera aussi un fonds d’indemnisation de quelque 300 millions d’euros, soit huit fois plus que le fond prévu initialement.

« Il est temps pour la République française de sortir d’une ambiguïté mémorielle qui a oscillé depuis soixante ans entre non-dits et, parfois même, perçu par les Harkis et par d’autres qui sont sensibles à leur cause comme un déni », justifie la source élyséenne.

Clientèle électorale.

 Cette séquence mémorielle permettra au chef de l’Etat de parler à ces « oubliés » qui ont fait le choix historique de l’Algérie française, à leurs descendants mais aussi aux pieds noirs et aux militaires français engagés durant la guerre contre les combattants de l’indépendance.

 

300 élus territoriaux au secours de Macron !

 300 élus territoriaux au secours de  Macron !

 

Opération débauchage par le pouvoir en place après la terrible défaite régionale. Ainsi 300 élus, dont beaucoup en attente de marocains, affichent leur soutien à Macron de manière pour le moins excessive dans le JDD.

Les signataires soutiennent l’objectif «ambitieux mais nécessaire» d’arriver à vacciner tous les Français : «Ce n’est en effet qu’en atteignant un taux de couverture vaccinale supérieur à 90% de la population que nous pourrons tourner durablement la page, retrouver une vie normale», écrivent-ils.Ce qui constitue une évidence !Plus curieux cette déclaration au plan économique:

«Sur le plan économique, nous partageons également les orientations annoncées, la priorité donnée au travail, à la production et au mérite», poursuivent les auteurs de la tribune. Selon eux, «amplifier ce mouvement est primordial pour permettre à la France de retrouver son indépendance, reprendre le contrôle de notre destin et réinscrire le pays dans une trajectoire de plein-emploi».

«Notre conviction», concluent-ils, «est que nous vivons un moment de bascule comme l’Histoire en offre parfois. L’alternative est simple : soit nous nous divisons dans des guerres picrocholines. Alors, la France passera à côté des révolutions en cours : numérique, technologique, écologique, démographique. Soit, nous faisons bloc, État et collectivités locales, dans un pacte de confiance renouvelé. Alors, notre Nation se donnera une chance de participer à l’invention du monde qui vient».

Parmi les 326 signataires figurent encore les LR Jean-Luc Moudenc (maire de Toulouse), Michèle Lutz (maire de Mulhouse) et Arnaud Robinet (maire de Reims), les ex-LR Laurent Marcangeli (maire d’Ajaccio), Hubert Falco (maire de Toulon) et Christophe Béchu (maire d’Angers), ou le PS Laurent Cathala (maire de Créteil).

Prestations sociales: une fraude d’environ 300 millions

Prestations sociales:  une fraude d’environ 300 millions

En 2020, les 680 contrôleurs de l’organisme public ont détecté 39.917 fraudes pour un montant total de 255 millions d’euros. Un chiffre en recul par rapport à l’année précédente – 323,7 millions d’euros en 2019 – mais qui s’explique notamment par la suspension temporaire des contrôles sur place des allocataires. “Le préjudice moyen de la fraude est de 6.921 euros”, précise la Cnaf à l’occasion d’une présentation à la presse, ce jeudi 17 juin, de sa politique de prévention et de lutte contre la fraude. En comptabilisant ce qui relève de l’erreur, la Cnaf a, en réalité, récupéré près de 830 millions d’euros l’année dernière. Les masses financières en jeu sont donc importantes.

 

Il résulte des contrôles menés que loin devant les autres allocations sociales, c’est le revenu de solidarité active (RSA, 46% du total de la fraude en nombre) qui est le plus fraudé. Viennent ensuite la prime d’activité (20,4%) et les aides au logement (16,3%). Près de 7 fraudeurs sur 10 font une fausse déclaration à l’organisme ou mentent par omission sur leur situation personnelle ou professionnelle. Les autres techniques de fraude sont composées de la fraude à l’isolement (15%). Un allocataire déclare, par exemple, vivre seul alors qu’il vit en couple. Ainsi que le faux et usage de faux justificatifs (15%).

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