Archive pour le Tag '30%'

Hypertension: 30 % des adultes

Hypertension:30 % des adultes

En France, près d’un adulte sur trois souffre d’hypertension artérielle et la moitié d’entre eux l’ignore, a souligné mardi 16 mai Santé publique France, déplorant l’absence de progrès récents face à cette maladie.

Près de 30% des adultes sont hypertendus, soit 17 millions de personnes, indique l’agence sanitaire qui se base sur deux enquêtes en population générale et une enquête auprès d’un panel de médecins généralistes et le Système national des données de santé.

L’hypertension artérielle est la maladie chronique la plus fréquente en France et un facteur de risque important de maladies cardiovasculaire, rappelle Santé publique France dans un rapport mardi.

Seul un hypertendu sur deux a connaissance de sa maladie. Un chiffre qui reste, selon l’agence de santé, très en dessous du niveau de connaissance atteint dans les autres pays européens ou nord-américains.

Parmi les malades, seul un sur quatre a une pression artérielle contrôlée, poursuit-elle. Et si plus d’1,6 million d’adultes commencent chaque année un traitement antihypertenseur, «la crise de la Covid-19 a eu un impact significatif avec une baisse de 11% de ces initiations en lien avec une diminution du recours aux soins».

Intox influenceurs Internet: 30 gros influenceurs épinglés pour fraude commerciale et fiscale

Intox influenceurs Internet: 30 gros influenceurs épinglés pour fraude commerciale et fiscale

Sur les 50 influenceurs contrôlés au cours du premier trimestre 2023, 30 étaient en situation d’infraction.

Sur France Info, Bruno Le Maire a dévoilé mercredi matin les résultats de la dernière campagne de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) à leur encontre.

Sur les 50 influenceurs contrôlés au cours du premier trimestre 2023, 30 étaient en situation d’infraction, passible de poursuite pour pratiques commerciales trompeuses. Le signe pour Bruno Le Maire d’un besoin urgent de régulation du secteur. Et ce pour empêcher qu’il ne devienne un «Far West» numérique. Le ministre de l’Économie compte même placarder publiquement les noms des influenceurs fautifs.

À la demande de Bercy, la DGCCRF a musclé les contrôles depuis décembre 2022, au point d’en avoir réalisé autant en un trimestre que pendant toute l’année dernière. Dans les 30 influenceurs en état d’infractions, «aucun n’était transparent quant au caractère commercial de sa démarche et l’identité de la personne pour le compte de laquelle il agissait», précise l’autorité de contrôle des fraudes dans un communiqué. En découlera le «prononcé de 18 injonctions de cesser des pratiques illicites, et à 16 procès-verbaux pénaux». Et le communiqué confirme que «Bruno Le Maire et la DGCCRF rendront publiques les mesures prises à l’encontre de certains influenceurs dans une optique de sensibilisation aux enjeux de loyauté».

Le 9 mai, une proposition de loi visant à lutter contre les arnaques et les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux sera votée au Sénat, après avoir été adoptée à l’unanimité à l’Assemblée Nationale. Ce texte devrait donner «un cadre clair et plus sécurisant pour le consommateur», renforcer les pouvoirs de la DGCCRF pour faire cesser plus rapidement les comportements illicites, et réaffirmer «les obligations des plateformes numériques [...] concernant la lutte contre les contenus illicites et la modération des comptes d’influenceurs».

Internet: 30 gros influenceurs épinglés pour fraude commerciale et fiscale

Internet: 30 gros influenceurs épinglés pour fraude commerciale et fiscale

Sur les 50 influenceurs contrôlés au cours du premier trimestre 2023, 30 étaient en situation d’infraction.

Sur France Info, Bruno Le Maire a dévoilé mercredi matin les résultats de la dernière campagne de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) à leur encontre.

Sur les 50 influenceurs contrôlés au cours du premier trimestre 2023, 30 étaient en situation d’infraction, passible de poursuite pour pratiques commerciales trompeuses. Le signe pour Bruno Le Maire d’un besoin urgent de régulation du secteur. Et ce pour empêcher qu’il ne devienne un «Far West» numérique. Le ministre de l’Économie compte même placarder publiquement les noms des influenceurs fautifs.

À la demande de Bercy, la DGCCRF a musclé les contrôles depuis décembre 2022, au point d’en avoir réalisé autant en un trimestre que pendant toute l’année dernière. Dans les 30 influenceurs en état d’infractions, «aucun n’était transparent quant au caractère commercial de sa démarche et l’identité de la personne pour le compte de laquelle il agissait», précise l’autorité de contrôle des fraudes dans un communiqué. En découlera le «prononcé de 18 injonctions de cesser des pratiques illicites, et à 16 procès-verbaux pénaux». Et le communiqué confirme que «Bruno Le Maire et la DGCCRF rendront publiques les mesures prises à l’encontre de certains influenceurs dans une optique de sensibilisation aux enjeux de loyauté».

Le 9 mai, une proposition de loi visant à lutter contre les arnaques et les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux sera votée au Sénat, après avoir été adoptée à l’unanimité à l’Assemblée Nationale. Ce texte devrait donner «un cadre clair et plus sécurisant pour le consommateur», renforcer les pouvoirs de la DGCCRF pour faire cesser plus rapidement les comportements illicites, et réaffirmer «les obligations des plateformes numériques [...] concernant la lutte contre les contenus illicites et la modération des comptes d’influenceurs».

Conséquence de l’intelligence artificielle, IBM pourrait supprimer 30 % des emplois

Conséquence de l’intelligence artificielle, IBM pourrait supprimer 30 % des emplois

Le patron d’IBM envisage de réduire drastiquement le personnel administratif du géant informatique, étant donné le potentiel de l’intelligence artificielle (IA) et des technologies d’automatisation à exécuter ce type de tâches. « Il me semble que 30% (des 26.000 employés administratifs) pourraient facilement être remplacés par l’IA et l’automatisation sur une période de cinq ans », a déclaré Arvind Krishna à Bloomberg lundi.
Le dirigeant prévoit donc un gel des recrutements dans ce département, qui représente une fraction des quelque 260.000 salariés du groupe américain.

Comme de nombreuses entreprises de la tech, IBM a mis en place un plan social cet hiver. Le groupe devrait licencier 5000 employés en tout, d’après Bloomberg, mais a en parallèle embauché 7000 personnes au premier trimestre.

Le pionnier de l’IA générative OpenAI a démontré avec son interface ChatGPT et d’autres outils que ces nouvelles technologies sont capables de rédiger des emails, de créer des sites web, de générer des lignes de codes, et, en général, d’exécuter de nombreuses tâches répétitives.

Budget : Augmentation de 30 milliards du coût de la dette

Budget :Augmentation de 30 milliards du coût de la dette

Selon les « Echos », à l’horizon 2027, la charge de la dette ( autour de 3000 milliards !) pourrait coûter 10 milliards d’euros supplémentaires. Une augmentation mécanique puisque la France augmentée empruntait à 0 % en 2021 et en 2023 autour de 3%. Conséquence l’endettement coûtera 30 milliards de plus

Bercy estimait à 20 milliards d’euros la hausse de la charge d’endettement entre 2022 et 2027 mais selon les dernières prévisions, le montant pourrait être de 30 milliards d’euros, soit 10 milliards d’euros de plus que prévu, d’après des informations ressortant du programme de stabilité, citées par Les Echos.

Le document devrait être révélé d’ici quelques jours, puis envoyé à la fin du mois d’avril à la Commission européenne.
Jeudi 13 avril, la Cour des comptes alertait déjà sur la situation dans son rapport sur « la gestion du budget de l’Etat en 2022 ». Les Sages de la rue Cambon évoquaient « le retournement marqué de la charge de la dette », en forte hausse « après une décennie de quasi-stabilité ou de légère baisse ». De fait, l’inflation joue, une partie des obligations françaises étant indexées sur l’évolution des prix.

Plombée par son endettement public à 111,6 % du PIB, la France reste fortement exposée à une remontée des taux. Début 2021, Paris se finançait à un taux proche de 0 % pour ses emprunts à 10 ans. Las, il tourne autour de 2,8 % actuellement (avec un pic à plus de 3 % en janvier et en mars). La charge de la dette publique française risque de peser lourd dans les années qui viennent. D’où, aussi, la nécessité de trouver des pistes de réduction de la dépense publique. Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, notamment, planche sur la question.

Mots clés: EMPRUNTS

La crise du recrutement dans 30% des entreprises

La crise du recrutement dans 30% des entreprises

Sur 56% d’entreprises ayant des objectifs de recrutement, 29% ont des difficultés pour embaucher, selon la Grande consultation des entrepreneurs (GCE) menée par Opinion Way pour CCI France, La Tribune et LCI.

D’après la dernière Grande consultation des entrepreneurs réalisée par OpinionWay pour CCI France, La Tribune et LCI, sur 56% des entreprises qui ont exprimé ces douze derniers mois leur intention de recruter, 29% n’ont pas atteint leurs objectifs. Dans le détail, seules 17% ont réussi en partie à remplir ces objectifs et 12% pas du tout.

A l’opposé, 27% ont complètement réussi et 44% n’avaient pas prévu de recrutements. Sans surprise, les obstacles sont plus fréquents dans l’industrie et la construction et moins répandus dans les services. « Il y a un véritable problème de pénurie. Ces pénuries de main-d’oeuvre s’expliquent par un manque d’anticipation sur les métiers de demain et les métiers en tension », a affirmé Alain Di Crezcenso, président de CCI France lors d’un point presse ce jeudi 6 avril.

Toutes ces pénuries de main-d’oeuvre résultent en partie de l’amélioration du marché du travail mais aussi d’une relation au travail bouleversée depuis la pandémie. De nombreux secteurs fonctionnant en horaires décalés (hôtellerie-restauration) ou avec des conditions de travail jugées pénibles sont toujours en manque de bras.

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La première cause évoquée par les entreprises (60%) est que les profils recherchés sont trop rares dans leur bassin d’emploi. Ce taux atteint même 70% dans le secteur industriel contre 57% dans les services.
Méthode : Étude réalisée auprès d’un échantillon de 1.013 dirigeants d’entreprise. L’échantillon a été réalisé par téléphone du 9 au 17 mars 2023. La représentativité de l’échantillon a été assurée par un redressement selon le secteur d’activité et la taille, après stratification par région d’implantation.

Électricité : Un bouclier inefficace sollicité seulement par 30 % des entreprises

Électricité : Un bouclier inefficace sollicité seulement par 30 % des entreprises

Un bouclier tarifaire sollicité seulement par 30 % des entreprises ( TPE). En cause, la complexité des dispositifs, aussi la peur de voir l’administration mettre son nez dans d’autres domaines.

Il est clair qu’il aurait été beaucoup plus simple de réguler le secteur notamment en éliminant tous les pseudos énergéticiens ici un qui ne produisent rien, qui ne transportent rien, qui utilisent les compteurs d’EDF et n’apportent aucune valeur ajoutée. Bref le retour au tarif régulé d’autant que normalement la France peut et doit être indépendante pour sa production d’électricité et même exporter.

Or la France perpétue le système voulu par l’Europe de libéralisation qui consiste à multiplier les intermédiaires inutiles et en plus en lien de façon totalement idiote le prix de l’électricité et du gaz. (bouclier tarifaire, plafonnement à 280 euros, amortisseur…) rebute les TPE et PME.

Le dispositif se veut très simple. Une attestation, avec une seule case à cocher suffit aux entreprises éligibles pour bénéficier d’aides pour leur facture d’électricité. Pourtant, à ce jour, «seules 30 % des attestations ont été récupérées», reconnaît Bercy, qui continue d’appeler «à la mobilisation», après avoir réuni les fournisseurs d’électricité vendredi après-midi.
La Direction générale des finances a déjà envoyé plus de 5 millions d’e-mails – une entreprise peut avoir plusieurs adresses de courriel -, les fournisseurs ont alerté leurs clients, rien n’y fait. Les remontées ne sont pas à la mesure des attentes. Pourtant, quelque 800.000 très petites et moyennes entreprises (TPE et PME) seraient concernées par un de ces trois dispositifs. Il s’agit soit du bouclier tarifaire pour les TPE ayant un abonnement inférieur à 36 kVA, soit du plafonnement à 280 euros HT du MWh pour toutes les TPE .

Covid France 30 novembre 2022 : forte hausse avec 91 814 cas supplémentaires en 24 heures

Covid France 30 novembre 2022 : forte hausse avec 91 814 cas supplémentaires en 24 heures

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 962.687 cas confirmés soit +91.814 en 24h.
On enregistre mardi 29 novembre 2022 : 91 814 cas supplémentaires en 24 heures , 158.859 morts au total, +88 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.354 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 129.505 (+88 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,32 le taux d’incidence à 449,33 et la tension hospitalière à 21,3 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.
La France compte actuellement 19.061 (+279) personnes hospitalisées et 1.076 (+11) malades en réanimation.

Bilan des régions :

• Ile-de-France : 5.137 (+55) hospitalisées, 310 (+2) en réanimation et +11 décès en 24h
• Grand Est : 1.688 (-2) hospitalisés, 94 (+1) en réanimation et +12 décès en 24h
• Hauts de France : 1.633 (-4) hospitalisés, 85 (-8) en réanimation et +13 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 2.012 (+5) hospitalisés, 120 (-1) en réanimation et +6 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.709 (+77) hospitalisé, 99 (+5) en réanimation et +10 décès en 24h
• Bretagne: 581 (-8) hospitalisés, 34 (-3) en réanimation et +4 décès en 24h
• Normandie : 952 (-15) hospitalisés, 27 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.430 (+41) hospitalisés, 86 (-2) en réanimation et +7 décès en 24h
• Pays de la Loire : 415 (+34) hospitalisés, 26 (+5) en réanimation et +4 décès en 24h
• Occitanie: 1.334 (+35) hospitalisés, , 75 (+5) en réanimation et +7 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 879 (+24) hospitalisés, 43 (+5) en réanimation et +4 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 938 (+22) hospitalisés, 59 (+1) en réanimation et +7 décès en 24h

Eoliennes terrestres: Une dépréciation de l’immobilier de 30 %

Eoliennes terrestres: Une dépréciation de l’immobilier de 30 %

  Le mix énergétique a été remis en cause, en clair la part du nucléaire ne va pas bouger avant 2040 ou 2050 au moins  contrairement à la loi de programmation énergétique. Pire, on va construire de nouvelles centrales EPR après avoir fermé Fessenheim ! Mais pour masquer,son revirement , Macron annonce qu’il va accélérer le développement des inutiles et coûteuses éoliennes ;Il s’agit de tenter de sauver son vernis écolo auprès de la gauche. Les conséquences sur les différents projets sont catastrophiques sur le prix de l’immobilier et se traduisent en réalité par des effets antiredistributifs.
D’après de nombreuses études faites au plan international et national (en France notamment auprès des notaires et des commissaire-enquêteur),  l’éolien entraîne une baisse très sensible de la valeur du foncier et en particulier de l’immobilier. Pour l’immobilier, la perte moyenne se situe autour de 30 % avec une certaine dispersion selon l’équilibre entre la demande et l’offre et selon l’éloignement des éoliennes..Les pertes les plus importantes se situent dans les zones rurales déjà économiquement défavorisées. Des zones qui ne cessent de perdre des habitants et des emplois qui déséquilibrent la demande au profit du phénomène de sururbanisation. Du coup, les prix ne sont soutenus dans les zones peu denses essentiellement que par les achats de retraités et de résidents secondaires y compris dans certains cas d’étrangers. En dépit de cela,  les prix ont baissés d’environ 50 % en une quinzaine d’années. Avec  l’installation d’éoliennes,  la perte supplémentaire serait  d’environ 30%. Pour preuve les effets désastreux de l’annonce d’éoliennes dans des communes de l’est du Maine et Loire ( par exemple  à Noyant village de 2000 habitants qui a déjà accepté des éoliennes dans la zone de Chigné et qui est favorable à de nouvelles implantations) où des pavillons type 5 avec jardin se vendent  autour de 50 000 à  80 000 euros quand ils valaient encore 100 000 euros il y a quelques années.
La perspective de projet même vague concernant des parcs d’éolienne éloigne certains candidats à l’achat en particulier des retraités mais surtout les étrangers. Ainsi en Anjou, où résident nombre de britanniques, l’impact est significatif. Cela en raison du fait qu’en général les britanniques ont en moyenne acheté  au double du prix habituel il y a une quinzaine d’années soutenant ainsi les prix du marché. Depuis avec la dépréciation de la livre, le Brexit, la dépréciation immobilière générale des zones peu denses, les prix de vente vont notoirement diminuer. Ils vont subir une nouvelle baisse avec l’éolien qui contaminera l’ensemble de l’offre. . Un transfert financier en quelque sorte vers les bénéficiaires, les promoteurs et les ressources publiques locales.
Comme redistribution on fait mieux ! Pour vérifier le raisonnement, il suffit d’abord de comparer le prix estimé par les propriétaires et celui estimé par les notaires ou agences immobilière. Un exercice recommandé  pour voir plus clair !  En général la surestimation frôle les 50%. Là où on évalue un bien à 150 000 euros, il faudra sans doute se contenter de 100 000 lors de la transaction. Là dessus, il conviendra désormais d’appliquer une dépréciation liée à l’implantation des éoliennes. Observons l’un des effets de l’observation de ce phénomène de dépréciation des prix. Nombre de personnes âgées comptent  sur la valeur de leur patrimoine immobilier pour financer leur futur séjour en maison de retraites. Le prix moyen d’un séjour est de 2000 à 3000 euros mensuels or la valeur du patrimoine sera consommée  en 3 ou 4 ans ! Un problème pour la population très âgée d’une commune comme Noyant qui compte environ 40% de personnes âgées de plus de 60 ans ( pour 25% en moyenne départementale ) et qui ne cesse de perdre de la population par manque d’attractivité

Eoliennes: Une dépréciation de l’immobilier de 30 %

Eoliennes: Une dépréciation de l’immobilier de 30 %

  Le mix énergétique a été remis en cause, en clair la part du nucléaire ne va pas bouger avant 2040 ou 2050 au moins  contrairement à la loi de programmation énergétique. Pire, on va construire de nouvelles centrales EPR après avoir fermé Fessenheim ! Mais pour masquer,son revirement , Macron annonce qu’il va accélérer le développement des inutiles et coûteuses éoliennes ;Il s’agit de tenter de sauver son vernis écolo auprès de la gauche. Les conséquences sur les différents projets sont catastrophiques sur le prix de l’immobilier et se traduisent en réalité par des effets antiredistributifs.
D’après de nombreuses études faites au plan international et national (en France notamment auprès des notaires et des commissaire-enquêteur),  l’éolien entraîne une baisse très sensible de la valeur du foncier et en particulier de l’immobilier. Pour l’immobilier, la perte moyenne se situe autour de 30 % avec une certaine dispersion selon l’équilibre entre la demande et l’offre et selon l’éloignement des éoliennes..Les pertes les plus importantes se situent dans les zones rurales déjà économiquement défavorisées. Des zones qui ne cessent de perdre des habitants et des emplois qui déséquilibrent la demande au profit du phénomène de sururbanisation. Du coup, les prix ne sont soutenus dans les zones peu denses essentiellement que par les achats de retraités et de résidents secondaires y compris dans certains cas d’étrangers. En dépit de cela,  les prix ont baissés d’environ 50 % en une quinzaine d’années. Avec  l’installation d’éoliennes,  la perte supplémentaire serait  d’environ 30%. Pour preuve les effets désastreux de l’annonce d’éoliennes dans des communes de l’est du Maine et Loire ( par exemple  à Noyant village de 2000 habitants qui a déjà accepté des éoliennes dans la zone de Chigné et qui est favorable à de nouvelles implantations) où des pavillons type 5 avec jardin se vendent  autour de 50 000 à  80 000 euros quand ils valaient encore 100 000 euros il y a quelques années.
La perspective de projet même vague concernant des parcs d’éolienne éloigne certains candidats à l’achat en particulier des retraités mais surtout les étrangers. Ainsi en Anjou, où résident nombre de britanniques, l’impact est significatif. Cela en raison du fait qu’en général les britanniques ont en moyenne acheté  au double du prix habituel il y a une quinzaine d’années soutenant ainsi les prix du marché. Depuis avec la dépréciation de la livre, le Brexit, la dépréciation immobilière générale des zones peu denses, les prix de vente vont notoirement diminuer. Ils vont subir une nouvelle baisse avec l’éolien qui contaminera l’ensemble de l’offre. . Un transfert financier en quelque sorte vers les bénéficiaires, les promoteurs et les ressources publiques locales.
Comme redistribution on fait mieux ! Pour vérifier le raisonnement, il suffit d’abord de comparer le prix estimé par les propriétaires et celui estimé par les notaires ou agences immobilière. Un exercice recommandé  pour voir plus clair !  En général la surestimation frôle les 50%. Là où on évalue un bien à 150 000 euros, il faudra sans doute se contenter de 100 000 lors de la transaction. Là dessus, il conviendra désormais d’appliquer une dépréciation liée à l’implantation des éoliennes. Observons l’un des effets de l’observation de ce phénomène de dépréciation des prix. Nombre de personnes âgées comptent  sur la valeur de leur patrimoine immobilier pour financer leur futur séjour en maison de retraites. Le prix moyen d’un séjour est de 2000 à 3000 euros mensuels or la valeur du patrimoine sera consommée  en 3 ou 4 ans ! Un problème pour la population très agée d’une commune comme Noyant qui compte environ 40% de personnes âgées de plus de 60 ans ( pour 25% en moyenne départementale ).

Carburant : la remise passe de 18 à 0,30 centimes en septembre et octobre

Carburant : la remise passe de 18 à 0,30 centimes en septembre et octobre

 

 

Une remise toujours bonne à prendre  qui augmente seulement de 0,30 € en septembre et octobre. Une orientation qui forcément sera critiquée car non ciblée. En effet la réduction incitera à tous les automobilistes sans tenir compte de leurs revenus. En fait ce petit cadeau fiscal s’ajoute aussi à la décision de Total d’accorder également une remise de 0,20 € entre septembre et novembre. Tout cela pour éviter de mettre en place une taxe sur les superprofits des grandes sociétés comme par exemple Grande-Bretagne et ailleurs. Bizarre quand même qu’on est attendu que les cours soient au plus haut, ce qui confirme que cette hausse profitait surtout aux pétroliers mais aussi à l’État. « La remise pourrait passer de 18 à 30 centimes d’euros en septembre, et en octobre puis passer à 10 en novembre et 10 en décembre », a détaillé le ministre. Avec la remise de 20 centimes à la pompe annoncée vendredi par TotalEnergies, « vous auriez dans certaines stations services en France un carburant à 1,5 euros », un seuil défendu par LR, a-t-il poursuivi.

Le géant pétrolier a promis une remise à la pompe de 20 centimes par litre entre septembre et novembre (puis 10 centimes jusqu’à la fin de l’année), devant la menace brandie par les députés d’une taxe sur les « superprofits ». Bruno Le Maire a également proposé aux députés LR le « report » de l’indemnité carburant transport (ICT), ciblée sur les gros rouleurs et les classes populaires, mais critiquée par la droite qui réclame une mesure « généralisée ».

Bruno Le Maire a également évoqué une mesure spécifique pour les « petites stations rurales », disposition également réclamée par les LR. Le groupe LR, satisfait par ces annonces, a retiré ses amendements, ouvrant la voie à une adoption de la remise.

Problèmes de recrutement : Après les 30 glorieuses, les 30 paresseuses !

Problèmes  de recrutement : Après les 30 glorieuses, les 30 paresseuses !

Il est loin le temps des 30 glorieuses caractérisées schématiquement par un taux de croissance assez exceptionnel de l’ordre de 5 % en France. Avec un taux de chômage quasi inexistant inférieur à 2 % et surtout ce dynamisme et cet optimisme de la population active décidée à accéder au progrès tout autant qu’à le produire.

 Pour tout dire ce qui sépare les deux périodes, c’est surtout en dehors des chiffres macro économiques : la perte de la valeur travail. De ce point de vue,  on peut considérer qu’ aux  30 glorieuses des années 45 à 75 succède la période des 30 paresseuses des années 80 à 2010-2020.

A partir des années 80 et jusqu’à maintenant, les pouvoirs public n’ont cessé de construire une immense cathédrale sociale qui finalement s’applique sans distinction à ceux qui en ont besoin et à ceux qui en profitent indûment. Pourquoi dès lors travailler s’il est possible de vivre aussi bien et même mieux en choisissant d’être chômeur. Bien entendu le raisonnement ne s’applique pas à l’ensemble des personnes en recherche d’emploi mais un nombre suffisant pour qu’on considère que la France est engluée dans une crise de recrutement.

Très grossièrement , on constate qu’il y a encore malheureusement 3 millions de chômeurs mais que 3 millions d’emplois restent vacants. On ne peut évidemment combler le manque global de manière mécanique. Se pose aussi des problèmes de formation, de compétences mais aussi de motivation. Et dans la plupart des cas et dans toutes les catégories sociaux professionnelles, la France est contrainte de recourir à la main-d’œuvre étrangère ( du médecin au cueilleur de pommes).

Les valeurs du travail se sont progressivement étiolées et la responsabilité en incombe aux familles, à l’école, aux politiques, à la société tout entière. Le travail a en effet une triple fonction. Certes il permet d’obtenir une rémunération qui finance les conditions de vie. Mais c’est aussi une nécessité pour une insertion sociale harmonieuse de la population. C’est enfin le moyen d’assurer des richesses au pays qui peuvent alors être redistribuées. Bref le travail est aussi une valeur citoyenne.

Or par démagogie,  on n’a cessé de porter atteinte à cette valeur et l’un des derniers coups a été la mise en place brutale des 35 heures qui a contribué à tuer un peu plus la compétitivité en France et surtout à favorisé la culture RTT puis la distance voire  l’indifférence et même le rejet du travail.

La principale faiblesse économique de la France c’est précisément ce manque de travail de la population active ( sur la journée, le mois, l’année et toute la vie). Pendant les 30 glorieuses beaucoup travaillaient le double de temps de ceux  d’aujourdhui.

Le problème évidemment c’est que des pays en développement notamment devenus concurrents ne peuvent se payer cette faiblesse des pays développés comme la France où la question devient dramatique d’un point de vue économique et sociétal..

Société– Difficultés de recrutement : Après les 30 glorieuses, les 30 paresseuses !

Société– Difficultés de recrutement : Après les 30 glorieuses, les 30 paresseuses !

Il est loin le temps des 30 glorieuses caractérisées schématiquement par un taux de croissance assez exceptionnel de l’ordre de 5 % en France. Avec un taux de chômage quasi inexistant inférieur à 2 % et surtout ce dynamisme et cet optimisme de la population active décidée à accéder au progrès tout autant qu’à le produire.

 Pour tout dire ce qui sépare les deux périodes, c’est surtout en dehors des chiffres macro économiques : la perte de la valeur travail. De ce point de vue,  on peut considérer qu’ aux  30 glorieuses des années 45 à 75 succède la période des 30 paresseuses des années 80 à 2010-2020.

A partir des années 80 et jusqu’à maintenant, les pouvoirs public n’ont cessé de construire une immense cathédrale sociale qui finalement s’applique sans distinction à ceux qui en ont besoin et à ceux qui en profitent indûment. Pourquoi dès lors travailler s’il est possible de vivre aussi bien et même mieux en choisissant d’être chômeur. Bien entendu le raisonnement ne s’applique pas à l’ensemble des personnes en recherche d’emploi mais un nombre suffisant pour qu’on considère que la France est engluée dans une crise de recrutement.

Très grossièrement , on constate qu’il y a encore malheureusement 3 millions de chômeurs mais que 3 millions d’emplois restent vacants. On ne peut évidemment combler le manque global de manière mécanique. Se pose aussi des problèmes de formation, de compétences mais aussi de motivation. Et dans la plupart des cas et dans toutes les catégories sociaux professionnelles, la France est contrainte de recourir à la main-d’œuvre étrangère ( du médecin au cueilleur de pommes).

Les valeurs du travail se sont progressivement étiolées et la responsabilité en incombe aux familles, à l’école, aux politiques, à la société tout entière. Le travail a en effet une triple fonction. Certes il permet d’obtenir une rémunération qui finance les conditions de vie. Mais c’est aussi une nécessité pour une insertion sociale harmonieuse de la population. C’est enfin le moyen d’assurer des richesses au pays qui peuvent alors être redistribuées. Bref le travail est aussi une valeur citoyenne.

Or par démagogie,  on n’a cessé de porter atteinte à cette valeur et l’un des derniers coups a été la mise en place brutale des 35 heures qui a contribué à tuer un peu plus la compétitivité en France et surtout à favorisé la culture RTT puis la distance voire  l’indifférence et même le rejet du travail.

La principale faiblesse économique de la France c’est précisément ce manque de travail de la population active ( sur la journée, le mois, l’année et toute la vie). Pendant les 30 glorieuses beaucoup travaillaient le double de temps de ceux  d’aujourdhui.

Le problème évidemment c’est que des pays en développement notamment devenus concurrents ne peuvent se payer cette faiblesse des pays développés comme la France où la question devient dramatique d’un point de vue économique et sociétal..

Difficultés de recrutement : Après les 30 glorieuses, les 30 paresseuses

Difficultés de recrutement : Après les 30 glorieuses, les 30 paresseuses

Il est loin le temps des 30 glorieuses caractérisées schématiquement par un taux de croissance assez exceptionnel de l’ordre de 5 % en France. Avec un taux de chômage quasi inexistant inférieur à 2 % et surtout ce dynamisme et cet optimisme de la population active décidée à accéder au progrès tout autant qu’à le produire.

 Pour tout dire ce qui sépare les deux périodes, c’est surtout en dehors des chiffres macro économiques : la perte de la valeur travail. De ce point de vue,  on peut considérer qu’ aux  30 glorieuses des années 45 à 75 succède la période des 30 paresseuses des années 80 à 2010-2020.

A partir des années 80 et jusqu’à maintenant, les pouvoirs public n’ont cessé de construire une immense cathédrale sociale qui finalement s’applique sans distinction à ceux qui en ont besoin et à ceux qui en profitent indûment. Pourquoi dès lors travailler s’il est possible de vivre aussi bien et même mieux en choisissant d’être chômeur. Bien entendu le raisonnement ne s’applique pas à l’ensemble des personnes en recherche d’emploi mais un nombre suffisant pour qu’on considère que la France est engluée dans une crise de recrutement.

Très grossièrement , on constate qu’il y a encore malheureusement 3 millions de chômeurs mais que 3 millions d’emplois restent vacants. On ne peut évidemment combler le manque global de manière mécanique. Se pose aussi des problèmes de formation, de compétences mais aussi de motivation. Et dans la plupart des cas et dans toutes les catégories sociaux professionnelles, la France est contrainte de recourir à la main-d’œuvre étrangère ( du médecin au cueilleur de pommes).

Les valeurs du travail se sont progressivement étiolées et la responsabilité en incombe aux familles, à l’école, aux politiques, à la société tout entière. Le travail a en effet une triple fonction. Certes il permet d’obtenir une rémunération qui finance les conditions de vie. Mais c’est aussi une nécessité pour une insertion sociale harmonieuse de la population. C’est enfin le moyen d’assurer des richesses au pays qui peuvent alors être redistribuées. Bref le travail est aussi une valeur citoyenne.

Or par démagogie,  on n’a cessé de porter atteinte à cette valeur et l’un des derniers coups a été la mise en place brutale des 35 heures qui a contribué à tuer un peu plus la compétitivité en France et surtout à favorisé la culture RTT puis la distance voire  l’indifférence et même le rejet du travail.

La principale faiblesse économique de la France c’est précisément ce manque de travail de la population active ( sur la journée, le mois, l’année et toute la vie). Pendant les 30 glorieuses beaucoup travaillaient le double de temps de ceux  d’aujourdhui.

Le problème évidemment c’est que des pays en développement notamment devenus concurrents ne peuvent se payer cette faiblesse des pays développés comme la France où la question devient dramatique d’un point de vue économique et sociétal..

Covid France 30 juin 2022 : nouvelle hausse avec 124.724 cas nouveaux

Covid France 30 juin 2022 : nouvelle hausse avec 124.724 cas nouveaux

 

ON ENREGISTRE ce mercredi 29 juin 2022 : 124.724 cas nouveaux en 24h, 149.491 morts au total, +48 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.903 (+1) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 120.588 (+47 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,45 le taux d’incidence à 741,97 et la tension hospitalière à 18,1 %. Le taux de positivité est à 13,1 %.

La France compte actuellement 15.690 (+194) personnes hospitalisées et 914 (+16) malades en réanimation.

Compte tenu de la tendance actuelle favorable et la baisse des principaux indicateurs, à partir du 11 juin 2022, les indicateurs COVID-19 produits par Santé publique France seront actualisés sur Géodes et data.gouv.fr tous les jours à l’exception des week-end et des jours fériés.

Bilan des régions :

  • Ile-de-France : 4.503 (+44) hospitalisées, 296 (+2) en réanimation et +8 décès en 24h
  • Grand Est : 971 (+5) hospitalisés, 78 (-1) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.331 (+27) hospitalisés, 88 (0) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.572 (+26) hospitalisés, 78 (+7) en réanimation et +8 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.236 (-3) hospitalisé, 64 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Bretagne: 576 (+18) hospitalisés, 34 (+3) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Normandie : 1.031 (0) hospitalisés, 38 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.017 (+2) hospitalisés, 54 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 365 (+19) hospitalisés, 21 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Occitanie: 1.227 (+11) hospitalisés, , 67 (+6) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 613 (-3) hospitalisés, 34 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 656 (+14) hospitalisés, 26 (0) en réanimation et +2 décès en 24h

 

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