Archive pour le Tag '30 €'

Santé-Relèvement de la consultation médecin à 30 € contre moins de prestations médicales !

santé-Relèvement de la consultation médecin à 30 € contre moins de prestations médicales !

 

 

C’est une curieuse proposition de la sécurité sociale aux médecins à savoir le relèvement à 30 € pour une consultation à condition de diminuer les prestations en médicaments , examens et arrêt travail. D’un point de vue déontologique, cette espèce de marché va sûrement faire émerger de nombreuses critiques. Cette forme d’étatisation de la médecine n’est pas tout à fait conforme aux règles scientifiques.

 

C’est un peu comme si on voulait réduire le nombre de consultations pour diminuer le déficit global. Justement ce qui se produit aujourd’hui avec l’insuffisance générale du nombre de praticiens est justement ce qui n’est pas très probant quant à l’effet sur l’assurance-maladie

 

. Face à l’envolée des dépenses de santé, la Sécu impose aux médecins de réduire leurs prescriptions. Chaque généraliste génèrerait 700.000 euros par an de dépenses en médicaments, examens et arrêts de travail. Le sujet était au cœur de la nouvelle séance de négociations de plus de quatre heures, jeudi, entre les six syndicats de médecins et l’Assurance-maladie. C’est une condition sine qua non que posent les pouvoirs publics à toute revalorisation des tarifs, réclamée depuis plus d’un an par les professionnels pour compenser l’inflation. Alors que les médecins étaient sortis de la dernière séance le 8 février jugeant que le compte n’y était pas, Thomas Fatôme, directeur de l’Assurance-maladie a affirmé avoir « revu sa copie ». Mais « face aux revalorisations importantes que nous mettons sur la table, nous voulons des objectifs quantitatifs…

Relèvement de la consultation médecin à 30 € contre moins de prestations médicales !

Relèvement de la consultation médecin à 30 € contre moins de prestations médicales !

 

 

C’est une curieuse proposition de la sécurité sociale aux médecins à savoir le relèvement à 30 € pour une consultation à condition de diminuer les prestations en médicaments , examens et arrêt travail. D’un point de vue déontologique, cette espèce de marché va sûrement faire émerger de nombreuses critiques. Cette forme d’étatisation de la médecine n’est pas tout à fait conforme aux règles scientifiques.

 

C’est un peu comme si on voulait réduire le nombre de consultations pour diminuer le déficit global. Justement ce qui se produit aujourd’hui avec l’insuffisance générale du nombre de praticiens est justement ce qui n’est pas très probant quant à l’effet sur l’assurance-maladie

 

. Face à l’envolée des dépenses de santé, la Sécu impose aux médecins de réduire leurs prescriptions. Chaque généraliste génèrerait 700.000 euros par an de dépenses en médicaments, examens et arrêts de travail. Le sujet était au cœur de la nouvelle séance de négociations de plus de quatre heures, jeudi, entre les six syndicats de médecins et l’Assurance-maladie. C’est une condition sine qua non que posent les pouvoirs publics à toute revalorisation des tarifs, réclamée depuis plus d’un an par les professionnels pour compenser l’inflation. Alors que les médecins étaient sortis de la dernière séance le 8 février jugeant que le compte n’y était pas, Thomas Fatôme, directeur de l’Assurance-maladie a affirmé avoir « revu sa copie ». Mais « face aux revalorisations importantes que nous mettons sur la table, nous voulons des objectifs quantitatifs…

Des médecins impose des consultations à 30 € au lieu de 25

Des médecins impose des consultations à 30 € au lieu de 25


Des médecins généralistes Du secteur 1 ont passé leur tarif de consultation à 30 euros et parfois plus en raison de l’insuffisance du tarif fixé par la sécurité sociale

Une manière de protester contre l’augmentation de 1,50 euro, proposée par l’Assurance maladie en avril dernier et faisant passer la consultation à 26,50 euros, à l’automne prochain.

Un médecin généraliste gagne entre 4 297 € bruts et 17 072 € bruts par mois en France, soit un salaire moyen de 10 684 € bruts par mois, avant paiement des charges et impôts qui représentent environ 60% des revenus des professions libérales.

« Renaissance « : une campagne d’adhésion avec cotisation à 30 € par an, Pourquoi pas 3 euros ?

« Renaissance » : une campagne d’adhésion avec cotisation à 30 € par an, Pourquoi pas 3 euros ?

Les partis politiques tentent de renforcer des effectifs qui ne cessent de s’effriter partout y compris dans le parti pouvoir en marche reconvertie en « Renaissance ».
« Renaissance » mise sur une vaste campagne d’affichage et de tractage pour séduire de nouveaux adhérents.

Un véritable naufrage pour le parti du président « Renaissance  » qui devaient succéder à l’organisation « En marche » . Pour remobiliser dans le camp du pouvoir, les partisans de Macron avaient décidé de constituer un énorme parti visant à regrouper 400 000 adhérents.

En vérité, la campagne de recrutement du nouveau parti du pouvoir est un véritable fiasco puisque « Renaissance » ne doit regrouper qu’environ 10 000 personnes

Cet échec est double d’une part ce parti qui avait pour vocation de regrouper en son sein la totalité des sensibilités de la majorité n’est pas parvenue à son objectif. Les centristes de François Bayrou ont refusé de rejoindre l’organisation commune. Par ailleurs Édouard Philippe cultive sa différence avec son parti « horizons »totalement centré sur la perspective des élections présidentielles de 2027.

Par ailleurs, la tendance de gauche au sein de la majorité présidentielle ne cesse de s’affaiblir et de se fondre dans les orientations conservatrices de Macron.La plupart des anciens socialistes ralliés à Macron ont vendu leur âme pour un portefeuille. Ils tentent vainement exister mais sont complètement marginalisés par le recentrage nettement à droite du président de la république.

On objectera à juste titre que la plupart des partis politiques en France ne regroupent qu’une infime partie des adhérents potentiels. Les plus importants partis ne regroupent même pas 100 000 adhérents réels. La plupart des partis sont d’ailleurs davantage des clubs d’élus et de militants que des partis de masse.

Pour remonter la pente, le parti « renaissance » va créer une adhésion à 30 € par an. Pourquoi pas aussi 3 euros ?

Le parti de la majorité présidentielle va placarder 200 000 affiches et distribuer un demi-million de tracts la semaine prochaine dans tout le pays pour regonfler ses rangs.

Au total, 200 000 affiches seront placardées à travers tout le pays et 500 000 tracts consacrés à la thématique du pouvoir d’achat seront distribués par les équipes de Renaissance. « Blocage des tarifs du gaz et de l’électricité », « suppression de la redevance audiovisuelle » ou encore « aide exceptionnelle de rentrée de 100 euros pour les familles »… La majorité présidentielle a souhaité mettre en avant sur ce tract les différentes mesures qu’elle a prises ces dernières semaines face à la crise énergétique, notamment.

Si, à l’époque, l’adhésion était gratuite, puisqu’il suffisait de cliquer pour devenir « marcheur », le tarif annuel s’élève à présent à 30 euros, selon les informations du service politique de France Télévisions. « D’un mouvement où il n’y avait pas de cotisation, on passe à un parti politique, beaucoup plus structuré, avec un objectif : l’ancrage territorial. L’objectif numéro un, c’est de faire réussir le quinquennat, il reste quatre ans et demi », confie le secrétaire général de Renaissance, Stéphane Séjourné, à France Télévisions.
« Le président de la République nous a demandé d’être en campagne permanente. Renaissance est d’abord un parti de militants, et il faut qu’il le reste. Il y a une campagne européenne qui s’annonce et qui va nécessiter une grande mobilisation militante », ajoute-t-il. Sans rire évidemment !

Novartis et Roche : un traitement oculaire de 30 € facturés à plus de 1000 euros !

Novartis et Roche : un traitement oculaire de 30 € facturés à plus de 1000 euros !

Il est clair que dans une société où la santé 30 une place majeure dans les préoccupations et le budget des ménages, l’industrie pharmaceutique peut réaliser des profits assez incroyables. Des profits par exemple qui peuvent expliquer l’incroyable opposition au professeur Raoul qui proposé un traitement à quelques ‘euros ( la quinine employée depuis des dizaines d’années en Afrique notamment pour lutter contre le palu)

Alors que du  laboratoire américain Gilead a ainsi fixé le prix du remdesivir à 390 $ par flacon dans les pays développés, portant le prix total d’un traitement avec l’antiviral – traitement de 5 jours avec 6 flacons – à 2 340 $ (2 085 €) par patient. Notons que le traitement du laboratoire américain n’a pas fait la preuve d’une efficacité plus grande que l’Hydro chloroquine de Raoult. À ce jour il n’y a aucun traitement spécifiquement dédié aux virus dont l’efficacité soit reconnue scientifiquement au plan mondial. Le dérapage des prix vient toutefois d’être sanctionné par les autorités françaises à propos d’un médicament de 30 € facturés plus de 1100 € pour traiter une maladie oculaire. L’Autorité de la concurrence française a en effet prononcé mercredi, une sanction de 444 millions d’euros, l’une des plus importantes de son histoire, contre les laboratoires Novartis, Roche et Genentech.

Les médicaments en cause permettent de lutter contre la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), la maladie oculaire la plus répandue chez les plus de 50 ans, et la plus grave maladie oculaire dans les pays occidentaux. Elle peut mener à la cécité. Longtemps, un seul médicament a permis de la traiter : le Lucentis, fabriqué par le laboratoire américain Genentech, exploité et vendu par Novartis à 1 161 euros l’injection au moment des faits (aujourd’hui la Sécurité sociale a réussi à faire baisser le prix à 890 euros.

Puis, des médecins se sont rendu compte qu’un autre médicament, l’Avastin, permettait aussi de traiter la DMLA. Ce médicament fabriqué aussi par Genentech, et exploité par Roche, visait originellement à combattre le cancer. Et il coûte 30 fois moins cher : 30 à 40 euros l’injection. Les autorités publiques de nombreux pays ont donc lancé des projets de recherche pour tester l’efficacité de l’Avastin contre la DMLA, afin d’encadrer et développer cette utilisation.

Les trois laboratoires ont alors lancé une vaste campagne de communication et de dénigrement de l’Avastin qui a duré plusieurs années et qui a tué la vente de l’Avastin.

 




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