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Réfugiés : 1000 accueillis sur 30 000 prévus

Réfugiés : 1000 accueillis sur 30 000 prévus

 

Pierre Henry, directeur général de France terre d’asile,  souligne dans le JDD  le décalage entre le nombre de refugiés reçus et ceux qui étaient prévus.

 

Que pensez-vous de l’annonce d’Emmanuelle Cosse de doubler les capacités (de 2.000 à 5.000 places à la rentrée) des centres d’accueil et d’orientation (CAO) pour migrants?
C’est d’abord une annonce en réaction à une situation d’urgence prévisible. La création de place en CAO est une bonne chose, mais ne doit pas être l’unique dispositif. Cela fait plus d’un an que nous disons au gouvernement qu’il faut créer des dispositifs d’accueil d’environ 500 places dans chaque grande agglomération française. Des centres qui fonctionneraient de manière uniforme, où chacun pourrait décliner son identité, et dans lesquels nous serions en mesure d’orienter les personnes sur les dispositifs d’accompagnement. Dans le plan d’Emmanuelle Cosse il manque cet échelon du premier accueil. Créer des places en CAO est une bonne chose, mais comment y rentre les migrants et à partir d’où? Si on continue de dispatcher les migrants à partir de Paris ou de Calais, où ils viennent s’y concentrer, on ne va jamais sortir de cette crise migratoire qui dure depuis trois ans. La ministre connaît très bien ce dossier et si ces mesures ne sont pas portées, c’est avant tout par crainte de devoir affronter une levée de boucliers de la part des élus.

 

Le climat actuel empêche de porter des discours de solidarité sur les réfugiés?
La période actuelle produit de l’angoisse et de l’intolérance. Aujourd’hui, il y a manifestement la crainte de la part du gouvernement d’affronter la réaction d’élus dans un certain nombre de communes. Pour autant, nous ne sortirons pas du défi posé par cette crise sans solidarité nationale. C’est aussi l’honneur de la politique que de dire que l’on peut assurer la sécurité de nos compatriotes avec la protection des réfugiés.

Où en est la France vis-à-vis de ses engagements d’accueillir des quotas de réfugiés?
Sur l’objectif de 30.000 réfugiés à accueillir d’ici 2017, la France n’en a pris en charge qu’un millier (1.330, selon les chiffres communiqués par le ministère de l’Intérieur mercredi au JDD, ndlr). Ce n’est pas un cas isolé, c’est la situation qui prévaut dans toute l’Europe. Sur les 160.000 personnes à relocaliser en Europe, nous en sommes à moins de 6.000. La situation est la même partout : il y a un manque flagrant de solidarité. En France, c’est le cas lorsque l’on voit les protestations de certains élus d’Ile-de-France contre l’arrivée de migrants sur leurs communes. Ces réactions font trop souvent l’amalgame entre présence de réfugiés et insécurité. Comme si les réfugiés n’étaient pas d’abord les premières victimes de la terreur. Dans un second temps, il faut dire que c’est bien grâce à des dispositifs d’accueil, qui permettent d’assurer un contrôle des identités, que l’on peut assurer la protection des personnes. Ce qui est insécurisant, c’est que des gens soient à la rue sans que l’on sache qui ils sont. La sécurité de nos compatriotes passe par une refonte du dispositif d’accueil à l’échelle des territoires.

Quel regard portez-vous des campements parfois musclés ces derniers jours à Paris?
La réponse ne peut pas être uniquement policière. De même que dormir sur le trottoir ne peut pas être le mode d’entrée dans l’asile. Nous sommes aujourd’hui à Paris dans une impasse. Face à cela, l’initiative d’Anne Hidalgo de créer un camp de réfugiés est une très bonne chose… Mais cela ne fonctionnera que dans un écosystème vertueux. S’il n’y en a pas d’autres au niveau national, comment voulez-vous que cela fonctionne? Lorsque l’on va se retrouver avec 500 personnes au bout de deux ou trois jours, que va-t-on faire?

 

Hewlett-Packard : suppression de 10% des effectifs soit 30.000 emplois

Hewlett-Packard : suppression de 10% des effectifs soit   30.000 emplois

Au plan mondial la purge  sera sévère puisqu’il s’agit de supprimer environ 30 000 emplois sur 300 000.  HP compte se scinder en deux sociétés cotées dans le courant de l’année, séparant ses opérations dans les PC et les imprimantes de celles liées aux matériels et services destinés aux entreprises, ces dernières étant regroupées au sein d’une nouvelle entité baptisée Hewlett Packard Enterprise. Les suppressions de postes se traduiront par une charge de l’ordre de 2,7 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros), dont l’imputation commencera au quatrième trimestre. « Nous avons beaucoup travaillé ces dernières années pour réduire nos coûts et simplifier les procédures et ces dernières initiatives élimineront la nécessité de toute restructuration à l’avenir », a déclaré la directrice général Meg Whitman. Le nombre total des suppressions d’emplois planifié dans le cadre d’un plan de restructuration pluriannuel était de 55.000 à la date d’octobre 2014. Hewlett-Packard employait autour de 302.000 salariés au 31 octobre 2014, selon son rapport financier 2014.Au troisième trimestre, le chiffre d’affaires de la division PC et imprimantes, la plus importante, avait baissé de 11,5%. Le CA de la division services Enterprise avait diminué de 11% et celui de la division entreprises avait augmenté de 2%.

La France va accueillir 30 000 réfugiés

La France va  accueillir 30 000 réfugiés

La France pourrait accueillir environ 30.000 réfugiés au lieu de 15 000 en 2014 si la proposition du président de la Commission européenne de revoir à la hausse le nombre de demandeurs d’asile à répartir dans l’Union sur la base de quotas nationaux est entérinée. Jean-Claude Juncker proposera le 9 septembre de porter de 40.000 à 160.000 le nombre de migrants arrivés en Italie, en Grèce et en Hongrie à diriger vers les autres pays de l’UE, a annoncé vendredi une porte-parole de l’exécutif bruxellois.  En mai, Bruxelles avait prôné la prise en charge par l’ensemble des Etats membres de 40.000 de ces demandeurs d’asile sur la base de quotas contraignants baptisés « clés de répartition », mais le principe avait été rejeté en juin.  La France était alors censée accueillir 6.750 candidats et un quadruplement selon les mêmes critères obligerait la France à prendre en charge 27.000 réfugiés arrivés en Italie et en Grèce en plus de ceux qu’elle accepte directement sur son sol.  Paris et Berlin, qui ne voulaient pas aller au-delà d’un dispositif volontaire, se sont ralliés jeudi à l’idée d’un mécanisme européen de répartition contraignant après plusieurs drames, dont la découverte du cadavre d’un garçonnet syrien sur une plage turque. Même si le système d’accueil des demandeurs d’asile n’est pas saturé à ce jour, « il faut identifier nos capacités d’accueil et commencer à se préparer », explique une source gouvernementale française. Le dispositif d’accueil des demandeurs d’asile compte un peu plus de 25.000 places mais le gouvernement a annoncé au début de l’été la création de 9.500 places d’hébergement supplémentaires. A l’inverse de pays comme l’Allemagne, les demandes d’asile sont restées stables en France, avait indiqué au début de l’été le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve.  Entre janvier et juillet 2015, près de 38.000 migrants ont demandé la protection de la France, suivant la même cadence que l’an dernier, selon Le Monde.  Le taux d’admission global en France varie entre 15% et 30% depuis 1987, indique l’Office français de protection des réfugiés et Apatrides (OFPRA) sur son site. En 2014, le nombre d’accords sur un statut de protection pris par l’OFPRA et la Cour nationale du droit d’asile s’établissait à 14.589, en hausse de 27,7% par rapport à 2013. Mais le nombre de demandes a légèrement diminué, passant de 66.251 en 2013 à 64.536 en 2014.

Bâtiment : 30 000 emplois en moins

Bâtiments : 30 000 emplois en moins
En 2014, la chute de la production de logements neufs aura ainsi été de 10,3% avec seulement quelque 300.000 mises en chantier, loin de l’objectif gouvernemental de 500.000, tandis que le non-résidentiel neuf reculait de 5,9%. En revanche, l’amélioration-entretien de logements (-0,9%) a mieux résisté, « confirmant son habituel rôle d’amortisseur du secteur », selon le bilan de la fédération. « La croissance économique ne fut pas au rendez-vous en 2014, contrairement à ce que les économistes retenaient comme hypothèse », a souligné Jacques Chanut, président de la FFB, lors d’une conférence de presse, pointant en outre « un environnement institutionnel pour le moins instable ». La FFB blâme aussi le « blocage de nombreux permis de construire par les maires au cours de l’été », après l’alternance issue des élections municipales et une « confiance en l’avenir de l’ensemble des acteurs toujours au plus bas ». 2015 ne devrait pas être l’année de la reprise, « compte tenu du moral déprimé de tous les acteurs, ménages, entreprises et même collectivités territoriales, et des freins structurels qui handicapent l’économie française », estime la FFB, tablant sur une activité en recul de 0,4% et 30.000 nouveaux postes détruits, en équivalents-emplois à temps plein. « Les suppressions de postes se sont déjà accélérées au second semestre, il y en a eu autant que pendant l’année et demie qui a précédé », a précisé à l’AFP Bernard Coloos, directeur aux affaires économiques et financières de la FFB. Pour la fédération, aucune vraie reprise du secteur privé n’interviendra avant qu’un « certain niveau de confiance ne (soit) retrouvé ».

Dette de la France : 2000 milliards ou 30.000 euros par français

Dette de la France : 2000 milliards ou 30.000 euros par français

 

2000 milliards de dettes, un chiffre qui fait tourner la tête mais  tellement énorme qu’on a du mal à comprendre ce que cela représente. Cela signifie notamment pour chaque français une dette de 30 000 euros environ qu’ils auront un jour ou l’autre à rembourser d’une manière ou une autre. .Pour cette dette la charge des intérêts représente de l’ordre de 45 milliards à comparer aux 340 milliards de recettes du budget de l’Etat et aux 465 milliards de dépenses (le déficit continuant d’augmenter).  La dette française a donc officiellement dépassé le seuil des 2.000 milliards d’euros. A la fin du 2ème trimestre 2014, elle atteignait 2023,7 milliards exactement, selon les données publiées ce mardi matin par l’Insee. Ce qui équivaut à un endettement de 95,1% du PIB. Cela fait de nombreux mois -voire de nombreuses années- que la situation de notre endettement inquiète.  A titre de comparaison, il était de 12% en 1974, 20% en 1981, 50% en 1994 et 60% en 2002. La moyenne de l’Union européenne était l’an dernier à plus de 86% du PIB, la Grèce détenant la palme avec une dette représentant 172% de sa richesse produite. La dette allemande, elle, est redescendue à 78% du PIB après avoir dépassé 80% en 2010, Berlin ayant mis beaucoup d’argent sur la table pour contrer la crise financière de 2009. Le chiffre sera dans toutes les têtes, alors que le gouvernement doit présenter demain le projet de loi de Finances pour 2015. Bercy devrait d’ailleurs annoncer à cette occasion que la dette du pays va se rapprocher dangereusement des 100% du PIB l’an prochain.

 

Habitat : transition énergétique , un coût de 15 à 30 000 euros

Habitat : transition énergétique , un coût de 15 à 30 000 euros 

François Brottes, le président de la commission des Affaires économiques à l’Assemblée nationale les détails relatifs à  la rénovation thermique de l’habitat, qui constitue l’un des défis majeurs des prochaines années. Selon lui, le futur texte aura un triple avantage « Aujourd’hui, c’est très compliqué d’obtenir un « écoprêt ». Il faut devoir faire toutes sortes de travaux, etc. On va simplifier la norme, ce qui peut permettre de gagner du temps et de l’énergie à la sortie », a assuré François Brottes. « On va avoir un système de crédit d’impôt qui va être doublé, donc beaucoup plus attractif », a affirmé le député socialiste. Interrogé sur le manque à gagner pour l’Etat, il a tenu à relativiser. « Quand vous faites un crédit d’impôt pour que les gens fassent des travaux, quand vous faites travailler des entreprises qui vont payer des impôts, qui vont mobiliser de la TVA, qui vont neutraliser du chômage (qui coûte cher à toute la société), vous avez tout de suite des dépenses passives qui se transforment en dépenses actives pour la croissance », a-t-il indiqué. François Brottes a également insisté sur le concept de tiers financeur. Il s’agit en fait de « permettre aux gens d’avoir quelqu’un qui porte le financement à leur place ».  « On peut convaincre les propriétaires. La rénovation thermique, cela coûte entre 15.000 et 30.000 euros par logement. Le tiers financeur porte le financement de cet investissement, et récupère le capital qu’il a investi et les intérêts au moment de la mutation (héritage, vente, etc.) », a-t-il détaillé. « Comme le bien a pris de la valeur, et comme le propriétaire a bénéficié du confort, il est tout de même gagnant. Il faut juste qu’il accepte qu’il y ait un moment de remboursement. Le problème, c’est d’avoir des acteurs tiers financeurs qui portent le financement pendant plusieurs dizaines d’années ».

 

Renault : 7500 emplois menacés, 30 000 avec les fournisseurs

Renault : 7500 emplois menacés, 30 000 avec les fournisseurs

 

Après Peugeot, c’est Renault qui annonce un vaste pal de suppression d’emplois. En causse évidemment la crise avec la baisse générale des ventes mais aussi la perte de compétitivité des constructeurs français. , Renault a don annoncé mardi qu’il voulait supprimer 7.500 emplois en France d’ici 2016 afin d’améliorer sa compétitivité, assurant que tout plan social est exclu. En fait c’est au moins  30 000 postes qui sont concernés avec les fournisseurs ( dont certains son délocalisés). Le groupe, qui a engagé cet automne des négociations pour rapprocher la compétitivité de ses usines françaises de celle de ses sites espagnols, n’en avait pas jusqu’ici chiffré les retombées en termes d’emplois. Pour supprimer 7.500 emplois, soit 14% d’un effectif français d’environ 54.000 personnes, Renault compte sur 5.700 départs naturels et sur un prolongement et un élargissement du dispositif GPEC (mobilité, reconversions et aménagements de fin de carrière). Renault ne prévoit ni licenciement sec, ni licenciement économique ni plan de départs volontaires. « Lors de cette nouvelle séance (de négociations sur la compétitivité, NDLR), nous avons réaffirmé notre volonté de maintenir en France les activités corporate et coeur de métier de Renault, tout en mettant en oeuvre les actions nécessaires pour abaisser le point mort », a déclaré Gérard Leclercq, directeur des opérations France de Renault, cité dans un communiqué. Selon la CGT, Renault a dit aux syndicats qu’il prévoyait 8.200 suppressions d’emplois, soit 15% des effectifs français, le chiffre de 7.500 annoncé prenant en compte les embauches envisagées par le groupe sur la période. « C’est une nouvelle saignée dans les effectifs qui va encore affaiblir Renault au cours des prochaines années », a réagi Fabien Gache, représentant CGT. Le groupe répète que s’il parvient à un accord avec les syndicats, il s’engagera à ne pas fermer de site en France grâce à l’affectation de volumes de production supplémentaires pour la marque Renault, mais aussi pour ses partenaires Nissan et Daimler.  

 

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