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La ministre de la consommation prévoit une inflation d’au moins 3 % chaque année

La ministre Prévoit une inflation d’au moins 3 % chaque année


La ministre de la consommation, Olivia Grégoire prévoit des taux d’inflation entre 3 et 5 % chaque année. Une prédiction en réalité dans le marc de café dans la mesure où l’intéressée n’a pas de compétence économique particulière puisqu’elle travaillait précédemment dans le numérique et la santé. En fait une ministre de la consommation qui ne sert pas à grand-chose et qui tente donc de se faire remarquer avec des propos assez douteux. Personne ne peut en effet prédire que dans les années futures l’inflation demeurera entre 3 et 5 %. En effet une telle augmentation aussi régulière pourrait finir par tuer en grande partie la demande. Avec l’inflation constatée actuellement on va déjà atteindre un niveau de prix difficilement compatible avec la solvabilité des acheteurs potentiels. On l’a vu par exemple avec cette crise du logement qui rend désormais impossible l’accession à la propriété pour nombre de ménages. On le voit aussi justement dans l’alimentation où les consommateurs modifient structurellement la nature et le volume des achats. Inévitablement cette modification de la demande va peser prochainement sur l’offre et donc aussi sur les prix.

Invitée de BFMTV pour une soirée spéciale autour de l’inflation en France, la ministre, Olivia Grégoire a indiqué que, dans les prochaines années, il ne serait pas réaliste de s’attendre à des augmentations de 0,5 à 1% par an, comme avant la crise.

La ministre des PME, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme a prévenu sur BFMTV que l’inflation allait moins augmenter dans les prochaines années mais n’allait pas « revenir à 0% ».

Une fois la crise passée, « on va probablement avoir une inflation structurelle, dont alimentaire, qui sera plus élevée que les 0,5 ou 1% qu’on a connus ces dernières décennies », a anticipé Olivia Grégoire.

« Est-ce qu’on va revenir à 0? Je ne le crois pas. Je crois qu’il ne le faut pas. On sera plutôt vers 3, 4 ou 5% », affirme-t-elle mentionnant les « 30-40 ans » durant lesquels la France a vécu « dans la déflation ».

Chute de 25,3% des prêts personnels

Chute de 25,3% des prêts personnels


En raison notamment de l’explosion de l’inflation et des taux d’intérêt, les prêts personnels, crédits à la consommation non affectés à un bien en particulier, ont chuté au premier trimestre de 25,3% sur un an, a annoncé lundi l’Association française des Sociétés Financières (ASF).

Avec près de 95 milliards d’euros d’encours à fin décembre, les prêts personnels représentent quasiment la moitié des encours du crédit à la consommation, selon la Banque de France. Les crédits affectés à l’amélioration de l’habitat et aux biens d’équipement du foyer se sont quant à eux maintenus sur le trimestre (+3,9%) et les crédits renouvelables ont bénéficié de circonstances favorables. (+11,1%). Ce volume de production ne dit en revanche rien sur la qualité des emprunteurs.

Qualifiant la conjoncture actuelle de «défavorable», l’ASF faisait remarquer dans un document paru en début de mois que la qualité de la demande des crédits à la consommation poursuivait son effritement avec des «premiers impayés (qui) augmentent légèrement».

Covid France 3 mai 2023 : 1065 cas supplémentaires en 24 heures et 63 morts

Covid France 3 mai 2023 : 1065 cas supplémentaires en 24 heures et 63 morts

On enregistre mardi 2 mai 2023 : 1065 cas supplémentaires en 24 heures et 63 morts soit depuis le début de la pandémie 166.645 morts au total.
Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.641 (+1) et celui de décès en milieu hospitalier est de 137.004 (+62 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,83 le taux d’incidence à 57,71 et la tension hospitalière à 14,7 %.

La France compte actuellement 12.439 (+31) personnes hospitalisées et 741 (-14) malades en réanimation.


Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.709 (-3) hospitalisées, 312 (-5) en réanimation et +5 décès en 24h
Grand Est : 577 (-2) hospitalisés, 43 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
Hauts de France : 999 (0) hospitalisés, 54 (+2) en réanimation et +7 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 921 (-14) hospitalisés, 42 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 830 (+38) hospitalisé, 54 (+3) en réanimation et +12 décès en 24h
Bretagne: 406 (+1) hospitalisés, 13 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 550 (+10) hospitalisés, 26 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.233 (-5) hospitalisés, 79 (-5) en réanimation et +10 décès en 24h
Pays de la Loire : 221 (+8) hospitalisés, 8 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Occitanie: 756 (-22) hospitalisés, , 45 (-7) en réanimation et +5 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 622 (-2) hospitalisés, 30 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 410 (+3) hospitalisés, 22 (0) en réanimation et +7 décès en 24h

Affaire Hanouna- C8 condamné à amende record de 3,5 millions d’euros

Affaire Hanouna- C8 condamné à amende record de 3,5 millions d’euros

Pour avoir traité le député député Louis Boyard (LFI) ddespèce d’abruti » et de « merde » pendant l’émission, Hanouna est encore condamné cette fois à une amende record de 3,5 millions d’euros. L’animateur provocateur n’ est pas à son premier coup d’essai. La provocation constitue d’ailleurs l’un des moyens privilégiés de la promotion d’une émission de beaufs qui se caractérise par sa vulgarité et sa nullité.

La sanction de l’Arcom est tombée : au terme de la procédure engagée après les propos de Cyril Hanouna pendant l’émission « Touche pas à mon poste », diffusée le 10 novembre 2022, la chaîne C8 doit payer un montant de 3,5 millions d’euros. Le régulateur des médias a estimé, au regard de «la nature et de l’ampleur des manquements» ainsi que «des précédentes sanctions pour des violations des mêmes obligations», qu’il y avait lieu de frapper fort. C’est, à ce jour, la sanction financière la plus importante jamais prononcée à l’encontre d’une chaîne de télévision française. Cela représente, selon les calculs de l’Arcom, 3,65 % du chiffre d’affaires de l’année 2021 de C8.

Cyril Hanouna avait violemment pris à partie le député Louis Boyard (LFI), le traitant de « merde», de «bouffon», de «tocard», d’«abruti», après que celui avait accusé les «cinq personnes les plus riches» de France d’«appauvrir l’Afrique», citant Vincent Bolloré, propriétaire du groupe Canal+ et de sa chaîne C8, lors d’une séquence consacrée au bateau de migrants Ocean Viking.

Boulangerie : La baguette à 3 ou 4 euros ?

Boulangerie : La baguette à 3 ou 4 euros ?

Les boulangers et pâtissiers font face à une situation sans précédent avec d’une part une augmentation des coûts de l’électricité qui peuvent être multipliés en moyenne par cinq, des coûts en forte augmentation aussi pour les matières premières notamment blé et beurre.

Du coup, pour équilibrer le prix de la baguette par exemple devrait passer à 3 ou 4 euros. Ce n’est pas la première fois que la question du prix du pain serait à l’origine d’un mouvement social en France notamment. La révolution française elle-même trouve des racines dans la crise du prix du pain.

Le gouvernement prend subitement conscience des hausses tout à fait exceptionnelles de l’énergie pour les boulangers, des hausses multipliées par six à huit.Et qui menacent l’existence de la moitié de la profession. Un bouclier tarifaire a été mis en place mais il est jugé trop complexe et trop peu efficace par la profession. Aussi le gouvernement vient d’autoriser que le paiement des impôts des boulangers soit différé.

Hier enfin Le ministre de l’économie a fixé un prix plancher de 283 € le mégawatt heure, une avancée certaine mais il faut rappeler que c’est encore le double du prix consenti aux particuliers et à certaines activités économiques. C’est encore 4 fois plus que le niveau souhaitable. Et évidemment il faut ajouter l’augmentation également forte du blé et du beurre.

Une conséquence directe de la libéralisation du secteur de l’électricité qui a permis à des intermédiaires qui ne produisent et ne distribuent rien d’engranger d’immenses bénéfices du fait de la corrélation entre le prix de l’électricité et du gaz.

L’une des conséquences de cette situation sera d’augmenter de façon assez importante le prix du pain mais en même temps de déplacer le mécontentement vers les consommateurs déjà affectés par une inflation générale

La cheffe du gouvernement souhaite que les petits commerçants, confrontés pour certains à une explosion de leur facture d’énergie depuis le déclenchement de l’offensive militaire russe en Ukraine en février, puissent étaler son paiement sur plusieurs mois. Ce qui nécessite un geste de la part des fournisseurs d’énergie. Ces derniers, qui sont convoqués, ce mardi à 14h30 au ministère de l’Economie, ont d’ailleurs été pointés du doigt par Elisabeth Borne.

Crise Boulangerie : La baguette à 3 ou 4 euros ?

Crise Boulangerie : La baguette à 3 ou 4 euros ?

3 ou 4 euros pour le prix de la baguette, une hypothèse qui n’est pas à exclure si les boulangers et pâtissiers doivent subir d’une part une hausse considérable des prix de l’électricité (en moyenne un coût multiplié par 5 mais qui peut aller jusqu’à 10 !) Et une très forte augmentation des matières premières. ( blé et beurre notamment

Pour équilibrer le prix de la baguette par exemple devrait passer à 3 ou 4 euros. Ce n’est pas la première fois que la question du prix du pain serait à l’origine d’un mouvement social en France notamment. La révolution française elle-même trouve des racines dans la crise du prix du pain.

Le gouvernement prend subitement conscience des hausses tout à fait exceptionnelles de l’énergie pour les boulangers, des hausses multipliées par six à huit.Et qui menacent l’existence de la moitié de la profession. Un bouclier tarifaire a été mis en place mais il est jugé trop complexe et trop peu efficace par la profession. Aussi le gouvernement vient d’autoriser que le paiement des impôts des boulangers soit différé.

Une conséquence directe de la libéralisation du secteur de l’électricité qui a permis à des intermédiaires qui ne produisent et ne distribuent rien d’engranger d’immenses bénéfices du fait de la corrélation entre le prix de l’électricité et du gaz.

L’une des conséquences de cette situation sera d’augmenter de façon assez importante le prix du pain mais en même temps de déplacer le mécontentement vers les consommateurs déjà affectés par une inflation générale

La cheffe du gouvernement souhaite que les petits commerçants, confrontés pour certains à une explosion de leur facture d’énergie depuis le déclenchement de l’offensive militaire russe en Ukraine en février, puissent étaler son paiement sur plusieurs mois. Ce qui nécessite un geste de la part des fournisseurs d’énergie. Ces derniers, qui sont convoqués, ce mardi à 14h30 au ministère de l’Economie, ont d’ailleurs été pointés du doigt par Elisabeth Borne.

Boulangerie : La baguette à 3 ou 4 euros ?

Boulangerie : La baguette à 3 ou 4 euros ?

Les boulangers et pâtissiers font face à une situation sans précédent avec d’une part une augmentation des coûts de l’électricité qui peuvent être multipliés en moyenne par cinq, des coûts en forte augmentation aussi pour les matières premières notamment blé et beurre.

Du coup, pour équilibrer le prix de la baguette par exemple devrait passer à 3 ou 4 euros. Ce n’est pas la première fois que la question du prix du pain serait à l’origine d’un mouvement social en France notamment. La révolution française elle-même trouve des racines dans la crise du prix du pain.

Le gouvernement prend subitement conscience des hausses tout à fait exceptionnelles de l’énergie pour les boulangers, des hausses multipliées par six à huit.Et qui menacent l’existence de la moitié de la profession. Un bouclier tarifaire a été mis en place mais il est jugé trop complexe et trop peu efficace par la profession. Aussi le gouvernement vient d’autoriser que le paiement des impôts des boulangers soit différé.

Une conséquence directe de la libéralisation du secteur de l’électricité qui a permis à des intermédiaires qui ne produisent et ne distribuent rien d’engranger d’immenses bénéfices du fait de la corrélation entre le prix de l’électricité et du gaz.

L’une des conséquences de cette situation sera d’augmenter de façon assez importante le prix du pain mais en même temps de déplacer le mécontentement vers les consommateurs déjà affectés par une inflation générale

La cheffe du gouvernement souhaite que les petits commerçants, confrontés pour certains à une explosion de leur facture d’énergie depuis le déclenchement de l’offensive militaire russe en Ukraine en février, puissent étaler son paiement sur plusieurs mois. Ce qui nécessite un geste de la part des fournisseurs d’énergie. Ces derniers, qui sont convoqués, ce mardi à 14h30 au ministère de l’Economie, ont d’ailleurs été pointés du doigt par Elisabeth Borne.

Russie : récession de de 3,7% au 3ème trimestre

Russie : récession de de 3,7% au 3ème trimestre

Il faut prendre évidemment avec prudence l’évaluation officielle de la Russie concernant la récession en cours. Le produit intérieur brut (PIB) russe aurait baissé seulement de 3,7% au troisième trimestre, selon l’estimation définitive publiée mercredi par l’agence nationale de statistiques Rosstat, une légère révision par rapport au premier chiffre dévoilé mi-novembre (-4%). Après une contraction de 4,1% au deuxième trimestre, le PIB russe a ainsi suivi une trajectoire globalement identique au troisième trimestre, faisant entrer la Russie en récession technique. Selon Rosstat, le PIB s’est ainsi contracté de 3,7% entre juillet et septembre.En réalité on pourrait plus proche de 5 %.

Ce chiffre reste plus faible que les estimations anticipées par les analystes, qui avaient dit mi-novembre s’attendre à une chute plus marquée de l’économie au troisième trimestre, autour de -4,5%. La catégorie « commerce de gros et de détail, réparations de véhicules, véhicules et motos » a été le secteur le plus touché, avec une chute de près de 20% de son activité. A l’inverse, le secteur de la construction a, lui, augmenté de 6,6% en glissement annuel.

Les trois premiers mois de 2022 avaient vu le PIB russe croître de 3,5%, mais le déclenchement de l’offensive en Ukraine fin février a entraîné une pluie de sanctions internationales et de nombreux problèmes pour l’économie russe: importations et exportations limitées, pénurie de personnel exacerbée, difficultés d’approvisionnement en pièces détachées, etc.

Rémunérations : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC en 2021

Rémunérations : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC en 2021

D’après une étude de Proxinvest, la rémunération des grands patrons du CAC aura encore atteint un record avec une progression de 52 % sur l’année 2021. À comparer évidemment à la croissance des revenus des salariés limités à 3 à 4 % alors que l’inflation est proche de 10%. ( Officiellement 6 % d’après l’indice obsolète de l’INSEE).

Dès lors, il ne faut pas s’étonner des protestations voire des réactions violentes de certains car les patrons entretiennent par leur irresponsabilité ce climat d’hostilité. D’une certaine manière, le gouvernement est bien entendu complice. D’une part parce qu’il ne veut pas taxer les superprofits des grandes entreprises et les dividendes ( dans les grands patrons se gavent) , d’autre part parce que le gouvernement s’oppose aussi un rattrapage des salaires sur l’inflation pour ne pas créer une spiral salaire prix.

On objectera bien sûr que des salaires encore supérieurs sont constatés à l’étranger. Mais cette comparaison ne saurait en aucun cas valider les écarts constatés. Il faut en effet espérer que nombre de responsables ne sont pas seulement motivés par l’accumulation de revenus. Il faut espérer que la France dispose d’un réservoir de dirigeants qui méritent certes d’être bien payés mais qui ne sont pas simplement obnubilés par leur salaire.

La rémunération des grands patrons du CAC 40 en France a atteint un sommet à 7,9 millions d’euros en moyenne l’an dernier, selon un rapport publié mardi par le cabinet de conseil aux actionnaires Proxinvest. L’étude constate «une forte hausse des rémunérations médianes et moyennes dans tous les indices (CAC 40 et SBF 120, NDLR). On est bien sur des records historiques», a déclaré Jehanne Leroy, directrice de la recherche ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) lors d’une visioconférence avec des médias.

Elles sont portées par les très bons résultats post-Covid des sociétés en 2021, sur lesquels des éléments de rémunération sont indexés. La rémunération totale moyenne des patrons de l’indice CAC 40 a augmenté de 52%, tandis que celle des présidents exécutifs de l’indice SBF 120 composé des 120 plus grandes entreprises cotées en France a crû de 22% pour atteindre 4,5 millions d’euros. Dans les deux cas, c’est du jamais-vu depuis quinze ans.

C’est aussi «la première fois en huit ans que la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 représente plus de 100 fois la rémunération moyenne des salariés», soit 369 fois le SMIC en base 39 heures, selon le rapport qui détecte un moins bon respect du plafond de rémunération maximale socialement acceptable (5,12 millions d’euros) calculé par Proxinvest. En tout, 29 dirigeants dépassent ce plafond, contre 14 en 2020 et 24 en 2019, ce qui devrait relancer le débat sur le pouvoir d’achat des plus modestes, amputés en outre par l’inflation.

Sur la période 2014-2021, la rémunération moyenne des dirigeants a augmenté de 83,8%, soit trois fois plus vite que celle des salariés, qui a progressé de 23,9%. Le cabinet Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, se réjouit toutefois que, depuis 2021, toutes les sociétés du CAC 40 ont désormais intégré des conditions de performance ESG dans l’une des rémunérations variables du premier dirigeant.

« Renaissance « : une campagne d’adhésion avec cotisation à 30 € par an, Pourquoi pas 3 euros ?

« Renaissance » : une campagne d’adhésion avec cotisation à 30 € par an, Pourquoi pas 3 euros ?

Les partis politiques tentent de renforcer des effectifs qui ne cessent de s’effriter partout y compris dans le parti pouvoir en marche reconvertie en « Renaissance ».
« Renaissance » mise sur une vaste campagne d’affichage et de tractage pour séduire de nouveaux adhérents.

Un véritable naufrage pour le parti du président « Renaissance  » qui devaient succéder à l’organisation « En marche » . Pour remobiliser dans le camp du pouvoir, les partisans de Macron avaient décidé de constituer un énorme parti visant à regrouper 400 000 adhérents.

En vérité, la campagne de recrutement du nouveau parti du pouvoir est un véritable fiasco puisque « Renaissance » ne doit regrouper qu’environ 10 000 personnes

Cet échec est double d’une part ce parti qui avait pour vocation de regrouper en son sein la totalité des sensibilités de la majorité n’est pas parvenue à son objectif. Les centristes de François Bayrou ont refusé de rejoindre l’organisation commune. Par ailleurs Édouard Philippe cultive sa différence avec son parti « horizons »totalement centré sur la perspective des élections présidentielles de 2027.

Par ailleurs, la tendance de gauche au sein de la majorité présidentielle ne cesse de s’affaiblir et de se fondre dans les orientations conservatrices de Macron.La plupart des anciens socialistes ralliés à Macron ont vendu leur âme pour un portefeuille. Ils tentent vainement exister mais sont complètement marginalisés par le recentrage nettement à droite du président de la république.

On objectera à juste titre que la plupart des partis politiques en France ne regroupent qu’une infime partie des adhérents potentiels. Les plus importants partis ne regroupent même pas 100 000 adhérents réels. La plupart des partis sont d’ailleurs davantage des clubs d’élus et de militants que des partis de masse.

Pour remonter la pente, le parti « renaissance » va créer une adhésion à 30 € par an. Pourquoi pas aussi 3 euros ?

Le parti de la majorité présidentielle va placarder 200 000 affiches et distribuer un demi-million de tracts la semaine prochaine dans tout le pays pour regonfler ses rangs.

Au total, 200 000 affiches seront placardées à travers tout le pays et 500 000 tracts consacrés à la thématique du pouvoir d’achat seront distribués par les équipes de Renaissance. « Blocage des tarifs du gaz et de l’électricité », « suppression de la redevance audiovisuelle » ou encore « aide exceptionnelle de rentrée de 100 euros pour les familles »… La majorité présidentielle a souhaité mettre en avant sur ce tract les différentes mesures qu’elle a prises ces dernières semaines face à la crise énergétique, notamment.

Si, à l’époque, l’adhésion était gratuite, puisqu’il suffisait de cliquer pour devenir « marcheur », le tarif annuel s’élève à présent à 30 euros, selon les informations du service politique de France Télévisions. « D’un mouvement où il n’y avait pas de cotisation, on passe à un parti politique, beaucoup plus structuré, avec un objectif : l’ancrage territorial. L’objectif numéro un, c’est de faire réussir le quinquennat, il reste quatre ans et demi », confie le secrétaire général de Renaissance, Stéphane Séjourné, à France Télévisions.
« Le président de la République nous a demandé d’être en campagne permanente. Renaissance est d’abord un parti de militants, et il faut qu’il le reste. Il y a une campagne européenne qui s’annonce et qui va nécessiter une grande mobilisation militante », ajoute-t-il. Sans rire évidemment !

Covid France 3 novembre 2022 : 5.691 cas supplémentaires en 24h.

Covid France 3 novembre 2022 : 5.691 cas supplémentaires en 24h.

On enregistre mercredi 2 novembre 2022 : 5.691 cas supplémentaires en 24h, 157.144 morts au total, +97 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.236 (+7) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 127.908 (+90 en 24h).
Le taux de reproductivité R est de 0,65 le taux d’incidence à 301,50 et la tension hospitalière à 21,1 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.
La France compte actuellement 19.263 (-120) personnes hospitalisées et 1.065 (-5) malades en réanimation.


• Bilan des des régions

• Ile-de-France : 5.409 (-59) hospitalisées, 312 (-12) en réanimation et +12 décès en 24h
• Grand Est : 1.806 (+3) hospitalisés, 121 (+5) en réanimation et +11 décès en 24h
• Hauts de France : 1.705 (+9) hospitalisés, 100 (+2) en réanimation et +11 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 2.001 (-34) hospitalisés, 89 (+9) en réanimation et +10 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.376 (-8) hospitalisé, 56 (+2) en réanimation et +8 décès en 24h
• Bretagne: 660 (+15) hospitalisés, 43 (+1) en réanimation et +6 décès en 24h
• Normandie : 1.123 (-22) hospitalisés, 47 (-1) en réanimation et +7 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.365 (+24) hospitalisés, 87 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
• Pays de la Loire : 372 (-11) hospitalisés, 20 (0) en réanimation et +4 décès en 24h
• Occitanie: 1.093 (-25) hospitalisés, , 58 (-11) en réanimation et +4 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 969 (-20) hospitalisés, 48 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 1.057 (+9) hospitalisés, 65 (0) en réanimation et +9 décès en 24h

Climat: UNE HAUSSE DE 3,8°C EN FRANCE D’ICI 2100

Climat UNE HAUSSE DE 3,8°C EN FRANCE D’ICI 2100

D’après un scénario du CNRS « la France de 2100 pourrait être 3,8°C plus chaude que celle du début du XXe siècle ». Dans ce cas, « le réchauffement saisonnier est estimé à 3,2°C (2,3 à 4,2°C) en hiver et à 5,1 °C (3,6 à 6,6°C) en été », écrivent les chercheurs.

« Ceci aura des impacts très forts sur les écosystèmes et les cultures. On aura des pics de chaleur beaucoup plus fréquents et chauds, et des sécheresses plus intenses et prolongées. Dans ces conditions, l’un des points clés sera comment maintenir les ressources en eau et comment les utiliser », explique Julien Boé, chercheur pour le CNRS et le Cerfacs.
À noter que dans le pire des scénarios, la température moyenne en France pourrait grimper jusqu’à +6,7°C, et dans le meilleur des cas, l’augmentation de la température est tout de même évaluée à +2,3°C.

Ces données doivent aider et encourager l’Hexagone à mettre en place des politiques contre le changement climatique, « nous nous attendons à ce que cette évaluation soit d’un grand intérêt pour la communauté nationale et les parties prenantes », écrivent en effet les chercheurs. De plus, elles doivent aussi permettre à d’autres pays ou régions d’analyser l’avancée du réchauffement climatique sur leur propre sol.

Covid France 3 septembre 2022 :16 399 cas supplémentaires en 24 heures

Covid France 3 septembre 2022 :16 399 cas supplémentaires en 24 heures

On enregistre vendredi 2 septembre 2022 : 16 399 cas supplémentaires en 24 heures,

154.189 morts au total, +55 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.110 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 125.079 (+55 en 24h). 

Le taux de reproductivité R est de 0,90 le taux d’incidence à 175,96 et la tension hospitalière à 15,8 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 14.157 (-234) personnes hospitalisées et 799 (-15) malades en réanimation.

Bilan des régions  :

  • Ile-de-France : 4.194 (-29) hospitalisées, 275 (-3) en réanimation et +9 décès en 24h
  • Grand Est : 1.053 (-9) hospitalisés, 66 (-2) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.099 (-37) hospitalisés, 51 (-6) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.154 (-26) hospitalisés, 53 (-3) en réanimation et +11 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.386 (-20) hospitalisé, 48 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Bretagne: 426 (0) hospitalisés, 30 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Normandie : 797 (-13) hospitalisés, 34 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.108 (-8) hospitalisés, 71 (+3) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 230 (-15) hospitalisés, 21 (-2) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Occitanie: 1.106 (-18) hospitalisés, , 58 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 613 (-21) hospitalisés, 27 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 574 (-36) hospitalisés, 36 (+4) en réanimation et +7 décès en 24h

Pouvoir d’achat-Salaires : hausse de 3 % mais inflation de 6 %

Pouvoir d’achat-Salaires : hausse de 3 % mais inflation de 6 %

 

Il se confirme que les salariés et plus généralement les ménages vont payer la facture de la crise inflationniste. En effet en moyenne les salaires n’auraient augmenté jusque-là que de 3 % alors que l’inflation atteint déjà 6 %.

Le salaire mensuel de base des salariés du privé a augmenté de 3 % sur un an à fin juin, selon le ministère du Travail, qui a publié un communiqué en ce sens, vendredi 12 août, relaie Les Echos. Ce sont les employés et les ouvriers qui ont connu la plus forte augmentation, avec respectivement + 3,7 et + 3,3 %. Sur un an, le salaire horaire de base de ces deux catégories est en hausse de 3,5 %.

En parallèle, le Smic a connu une hausse de 8 % depuis octobre (1 328 euros mensuels pour un temps plein). 

Officiellement l’INSEE a enregistré une inflation qui dépasse les 6 % en juillet d’après un indicateur largement obsolète du fait d’une part de la modification de structure de la consommation ( avec notamment une hausse de la consommation des services et autres abonnements). Il faudrait aussi prendre en compte la valse des marques dans les magasins qui substituent à d’anciens produits de nouvelles marchandises notoires moi plus chères ( cas de l’huile par exemple donc le prix peut être au moins doublé).  Sur un an, selon l’estimation provisoire réalisée en fin de mois, les prix à la consommation augmenteraient de 6,1 % en juillet 2022, après +5,8 % le mois précédent. Cette hausse de l’inflation serait due à une accélération des prix des services en lien avec la période estivale, de l’alimentation et – dans une moindre mesure – des produits manufacturés. Les prix de l’énergie ralentiraient.

Sur un mois, les prix à la consommation augmenteraient de 0,3 %, après +0,7 % en juin. Les prix de l’énergie se replieraient nettement, du fait des prix des produits pétroliers. La baisse serait également marquée pour les prix des produits manufacturés, notamment ceux de l’habillement et des chaussures en raison des soldes d’été. Les prix des services et de l’alimentation accéléreraient.

Sur un an, l’indice des prix à la consommation harmonisé augmenterait de 6,8 %, après +6,5 % en juin. Sur un mois, il croîtrait de 0,3 %, après +0,9 % le mois précédent.

L’indice des prix à la consommation de l’Insee en juin montrait une hausse de 28,5 % sur un an du prix de l’électricité, du gaz et autres combustibles, et une hausse de 6,3 % des produits alimentaires et boissons non alcoolisées, deux secteurs tirant l’inflation vers le haut. Les pâtes, les viandes surgelées, farines et huiles sont les plus touchées d’après un papier des Echos.

Hausse des salaires de 3 % mais inflation de 6 %

Hausse des salaires de 3 % mais inflation de 6 %

 

Il se confirme que les salariés et plus généralement les ménages vont payer la facture de la crise inflationniste. En effet en moyenne les salaires n’auraient augmenté jusque-là que de 3 % alors que l’inflation atteint déjà 6 %.

Le salaire mensuel de base des salariés du privé a augmenté de 3 % sur un an à fin juin, selon le ministère du Travail, qui a publié un communiqué en ce sens, vendredi 12 août, relaie Les Echos. Ce sont les employés et les ouvriers qui ont connu la plus forte augmentation, avec respectivement + 3,7 et + 3,3 %. Sur un an, le salaire horaire de base de ces deux catégories est en hausse de 3,5 %.

En parallèle, le Smic a connu une hausse de 8 % depuis octobre (1 328 euros mensuels pour un temps plein). 

Selon une estimation de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), publiée vendredi 12 août, les prix à la consommation ont augmenté de 6,1 % en juillet sur un an, après une hausse de 5,8 % en juin. L’accélération est marquée dans les services (+ 3,9 %, après + 3,3 %) et l’alimentation (+ 6,8 %, après + 5,8 %). L’augmentation est moins forte dans les produits manufacturés (+ 2,7 %, après + 2,5 %). Enfin, la hausse s’est retournée dans les prix de l’énergie (+ 28,5 %, après + 33,1 %).

Sur un mois, l’indice des prix à la consommation a augmenté de 0,3 %, après avoir grimpé de 0,7 % en juin. La hausse est nettement marquée dans les services (+ 1,3 %, après + 0,3 %) et les « autres services » (+1,4 %, après + 0,2 %). Deux champs sont nettement en accélération : les services d’hébergement (+ 16,4 %, après + 4,6 %) ainsi que les services de transport (+ 11,7 %, après + 3,4 %). En juillet, la hausse reste importante du côté de l’alimentation (+ 1 %, après + 0,8 %), mais un repli est notamment constaté du côté des produits manufacturés (- 1,6 %, après + 0 %) comme de l’énergie (- 1,3 %, après + 5,2 %).

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