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Transports parisiens : augmentation des tarifs de 3%

Transports parisiens : augmentation des tarifs de 3%

 

Après le gaz, l’électricité, les impôts, les assurances, bien d’autres services c’est maintenant au tour des transports parisiens. Paradoxe l’indice INSEE affiche toujours une inflation sous les 1% ! Pas étonnant la croissance des dépenses contraintes n’est pas intégrée dans l’indice des prix  Une nouvelle fois, les prix des transports franciliens devraient donc augmenter plus vite que l’inflation. Autre paradoxe celle de la politique des transports et de la prise en compte de la transition énergétique.  Le Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif) propose en effet  de les relever de 2,9% en moyenne à partir du 1er janvier prochain.  Cette hausse serait environ six fois supérieure au niveau de l’inflation, actuellement à 0,5%.  Cette proposition est contenue dans un document dont l’AFP eu copie, ce mardi 2 décembre. Elle sera soumise au vote lors d’un conseil d’administration du Stif, qui se tiendra le 10 décembre prochain. Dans le détail, l’augmentation atteindrait 4,3% pour les personnes ayant un abonnement Navigo pour les zones 1 et 2, les plus proches du centre de Paris. La facture mensuelle atteindrait ainsi 70 euros, pour se caler sur le tarif  du passe unique, qui doit être mis en place d’ici à septembre 2015.  La semaine dernière, d’ailleurs, le gouvernement avait apporté son soutien à ce passe à tarif unique, le qualifiant de « mesure de justice sociale ». Pour les autres abonnements Navigo (zones 3, 4 et 5) l’augmentation serait contenue à 2,9%.  La même hausse s’appliquerait au prix du carnet de 10 tickets, aux forfaits courts (Mobilis, ticket jeune week-end, forfait Paris visite) ainsi qu’aux billets origine-destination sur les réseaux SNCF et RER. Les forfaits Imagine R, dont bénéficient 825.000 scolaires et étudiants, augmenteraient également de 2,9% mais pour l’année scolaire 2015/2016.  Le prix du ticket à l’unité passerait de 1,70 à 1,80 euro (+5,8%) mais celui du ticket acheté à bord resterait à 2 euros. Enfin, les dessertes d’aéroports connaîtraient des augmentations variables: la navette Orlyval passerait de 9 à 9,30 euros (+3,3%), Orlybus de 7,50 à 7,70 euros (+2,6%) et Roissybus de 10,50 à 11 euros (+4,7%).  Ces propositions aboutiraient à une hausse des recettes tarifaires de 3,2% pour une année pleine, précise le Stif dans ce document. L’année dernière, le Stif avait déjà décidé de relever les tarifs des transports franciliens de 3%. Cette augmentation devait alors permettre de répercuter sur les usagers la hausse de la TVA sur les transports publics qui étaient alors passée de 7 à 10%.

Croissance : + 0,3% au 3e trimestre

Croissance : + 0,3% au 3e trimestre

Une bonne surprise, la croissance du troisième trimestre qui progresse de 0.3%. En réalité de 0.2% puisqu’on a revu à la baisse la croissance du second trimestre (-0.1%).Quand même de quoi atteindre au moins 0.4% en 2014, pas le Pérou ! Surtout pour faire diminuer le chômage.  Dans un communiqué, le ministre des Finances Michel Sapin souligne que l’acquis de croissance pour 2014, à savoir le niveau de l’ensemble de l’année si la croissance du dernier trimestre était nulle, se situe à +0,4%, ce qui crédibilise les dernières prévisions du gouvernement. Celui-ci a revu en septembre à 0,4% son scénario pour l’économie française en 2014, contre 1,0% auparavant.  La contribution de la demande intérieure finale à la croissance du trimestre a été positive de 0,2 point et celle de la variation des stocks de 0,3 point. Mais le commerce extérieur y a contribué négativement à hauteur de 0,2 point, du fait d’une progression des importations plus forte que des exportations. Les dépenses de consommation des ménages ont augmenté de 0,2% et celle des administrations publiques ont bondi de 0,8%, notamment les médicaments et les services de santé, indique l’Insee.  Mais l’investissement s’est contracté de 0,6%, un recul dû essentiellement aux administrations publiques (-1,2%) et aux ménages (-1,7%), sur fond de déprime, pour ces derniers, des achats immobiliers. L’investissement des seules entreprises a reculé encore de 0,1% après avoir déjà perdu 0,6% au premier trimestre et 0,5% au second.

Robotisation : 3 millions d’emplois supprimés d’ici 2025 ?

Robotisation : 3 millions d’emplois supprimés d’ici 2025 ?

 

Une étude intéressante qui essaye de mesurer l’impact du développement de robots sur l’emploi. Une étude toutefois un peu mécanique car qui fait l’impasse sur le développement de nouveaux services et de nouveaux produits aussi sur évolution de modes de vie. Ainsi plus de la moitié des produits consommés dans 20 ans sont aujourd’hui inconnus. Le débat sur l’apport positif ou négatif des robots dans l’économie doit donc être nuancé.  Selon un scénario jugé « tout à fait probable » par une étude de Roland Berger commandée par le JDD et publiée dimanche 26 octobre, les robots seraient responsables de la suppression de 3 millions d’emplois en France, d’ici à 2025 en raison de 20% des tâches devenues automatisées. Ainsi, « le taux de chômage en pertes brutes s’élèverait à 18% ». Quelques secteurs seraient épargnés, d’après l’étude. Pour la santé, la culture et l’éducation, aucune perte d’emploi ne serait à déplorer à cause des robots. L’environnement, la relation clients et les nouvelles technologies devraient encore mieux s’en sortir puisque 500.000 postes seraient créés dans ces domaines. A contrario, le bâtiment, l’industrie, l’agriculture, l’administration publique, l’armée, la police et le service aux entreprises devraient être particulièrement touchés. Toutefois avec l’automatisation, 30 milliards d’euros (recettes et économies) seraient engrangés et 13 milliards d’euros de pouvoir d’achat seraient libérés (en dividende et baisse de prix), d’après le cabinet de conseil Roland Berger. La robotisation va toucher « les classes moyennes, y compris les classes moyennes supérieures », explique Hakim El Karoui, associé au cabinet Roland Berger, dont les propos sont rapportés par le JDD. Il s’agirait des professions intellectuelles comme les comptables, les journalistes, les juristes, dont certaines tâches pourront être accomplies par des machines. Ce qui implique des problèmes posés « à notre modèle social », analyse le JDD d’autant plus que la classe moyenne repésente le « cœur de la démocratie » d’après Hakim El Karoui.

 

Gaz : augmentation de 6,3%

Gaz :   augmentation  de 6,3%

 

Gaz, électricité, gasoil (deux augmentation pout ce carburant prévues en 2015), les mauvaise nouvelles s’accumulent concernant l’évolution de prix. Officiellement l’inflation serait maintenue à un niveau très bas (0.4% en août sur un an,  cela d’après l’indicateur officiel des prix à la consommation de l’INSEE, en réalité on assiste à une déformation de la structure de consommation avec une hausse des dépense contraintes y compris les impôts. Du coup l’indice de l’ISEE devient un indicateur très théorique. Donc encore une mauvaise nouvelle pour ceux qui se utilisent le gaz: le prix de cette ressource énergétique va augmenter de 6,3% cet automne, selon la radio Europe 1 ce 29 septembre. Il devrait augmenter successivement de 3,9% en octobre -c’était annoncé- mais encore de 2,4% en novembre, pour 7,9 millions de foyers.  Depuis neuf mois, le prix du gaz n’avait fait que baisser. Mais en deux mois, cette baisse des prix, qui n’avait atteint que 6,7%, sera donc compensée.  Ce revirement viendrait de la crise ukrainienne, qui plonge dans l’incertitude le devenir des livraisons de gaz russe transitant par le pays. Depuis juin déjà, le Kremlin a arrêté de fournir du gaz à son voisin. Du coup, les marchés s’inquiètent, et le cours augmente. S’ajoute à cela un phénomène récurrent: à l’approche de l’hiver, les investisseurs anticipent une hausse de la demande en gaz de chauffage. Ces hausses résultent enfin de la nouvelle formule de calcul du prix du gaz adoptée en juillet. Jusque-là, le cours du gaz sur les marchés ne comptait que pour 45% du prix de cette ressource en France. Désormais, il en représente 60%.  Si le prix de marché continue d’augmenter, le gouvernement pourra activer une clause de sauvegarde, telle que prévue par la loi, qui lui permettrait de s’opposer à une augmentation trop forte et de l’étaler sur plusieurs mois.

 

Chômage : baisse de 0,3% en août, le ministre prudent !

Chômage : baisse de 0,3% en août, le ministre prudent !

 

Il a raison d’être prudent le ministre car ce n’est pas la première fois que le chômage baisse en août. Comme nous l’indiquions hier la raison est simple traditionnellement les chômeurs s’inscrivent peu à Pôle emploi en août mais surtout en septembre après les vacances. Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (sans aucune activité) a reculé de 0,3% le mois dernier, soit 11.100 personnes, pour s’établir à 3.413.300, après un record à 3.424.400 en juillet. En ajoutant les catégories B et C (les personnes ayant exercé une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle emploi a baissé de 5.800, soit 0,1%, pour s’élever à 5.078.000 en métropole et 5.380.200 en incluant les départements d’Outre-mer. Sur un an, le chômage croît de 5,2% pour la catégorie A en métropole et de 6,0% pour les catégories A, B et C. « Je prends acte de cette baisse mais je considère, comme j’ai eu l’occasion de le dire à plusieurs reprises, que les chiffres mensuels ne peuvent s’interpréter que dans la durée », a déclaré le ministre du Travail, François Rebsamen, dans un communiqué. En août, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A a baissé de 0,1% pour les moins de 25 ans (+0,7% sur un an), il a baissé de 0,5% dans la tranche 25-49 ans (+4,2% sur un an), et a progressé de 0,1% pour les 50 ans et plus (+11,6% sur un an). En catégories A, B et C, la variation est de -0,1% pour les moins de 25 ans (+1,5% sur un an), -0,3% pour les 25-49 ans (+5,2% sur un an) et +0,3% pour les 50 ans et plus (+11,6% sur un an) Le nombre de demandeurs d’emploi de longue durée, inscrits depuis un an ou plus à Pôle emploi, a baissé de 0,1% (+9,6% sur un an). Les entrées à Pôle emploi (catégories A, B et C) ont diminué de 1,9% en France métropolitaine (+4,7% sur un an) et les sorties ont augmenté de 7,9% (-4,5% sur un an).

 

Créations d’entreprises : baisse de 0,3%

Créations d’entreprises : baisse  de 0,3%

 

Un petit recul de 0,3% au mois d’août lié à la baisse des auto-entrepreneurs  en France pour s’élever à 46.687, selon les données publiées vendredi par l’Insee. En excluant les auto-entrepreneurs, il a augmenté de 0,2%, à 22.820. Sur les trois derniers mois à fin août, en données brutes, le nombre de créations a augmenté de 2,8% (+3,8% hors entreprises individuelles) par rapport à la même période de 2013, les secteurs contribuant le plus à cette hausse étant le soutien aux entreprises, l’enseignement, santé, action sociale et l’hébergement et restauration. Sur 12 mois, il affiche une progression de 2,1% (+3,9% hors entreprises individuelles). En août, 51,0% des créations enregistrées sur les douze derniers mois ont été des demandes de création d’auto-entreprises.

 

Retour aux 3% de déficit public : Hollande refile le bébé à son successeur en 2017

Retour aux 3% de déficit public : Hollande refile le bébé à son successeur en 2017

 

 

Finalement l’austérité n’aura servi strictement à rien, elle aura déstabilisé tout le monde, détruit la croissance et n’a pas modifié les déficits qui augmentent en 2014 par rapport à 2013. Du coup Hollande abandonne et refile le bébé à son successeur ; C’est aussi le résultat de la fronde des français face à augmentation de la fiscalité. Avec l’absence de croissance et l’incapacité dans laquelle se trouve Hollande d’engager des réformes structurelles, il faut laisser filer le budget. Hollande n’a plus aucune marge de manœuvre. Le gouvernement français renonce donc à tenter de ramener le déficit public à la limite européenne de 3% avant l’élection présidentielle de 2017 et prévoit une hausse du déficit cette année au lieu d’une baisse, a annoncé mercredi Michel Sapin. Cette annonce du ministre des Finances est un nouveau coup dur pour un exécutif impopulaire, fragilisé par la contestation de sa politique dans son propre camp, et qui dirige un pays dont la crédibilité sur les questions budgétaires est faible. Pour l’Europe et la zone euro, l’incapacité de la France à redresser ses comptes est une mauvaise nouvelle, qui survient le jour même de la nomination de la nouvelle Commission. D’autant que ce dérapage s’explique par une croissance économique extrêmement faible dans la deuxième économie européenne et par une inflation bien plus basse que sa moyenne historique. Selon Michel Sapin, le déficit public atteindra 4,4% du PIB fin 2014, au lieu de 3,8% prévu auparavant, soit plus qu’en 2013, année pour laquelle il avait été annoncé à 4,2% par l’Insee puis revu à 4,1%, selon Bercy. Le dérapage serait ainsi de plus de 6 milliards d’euros cette année. En 2015, le déficit serait à peine réduit, à 4,3%, au lieu de 3% prévu auparavant, et il reviendrait sous la barre des 3% fin 2017, a précisé Michel Sapin. Alors que la France a déjà obtenu un délai de deux ans pour revenir à la limite européenne de 3%, à fin 2015, Michel Sapin a déclaré lors d’une conférence de presse que Paris ne demandait « aucune modification des règles européennes ». « Nous ne demandons pas leur suspension, nous ne demandons aucune exception, ni pour la France ni pour tout autre pays, nous demandons la prise en compte collective d’une réalité économique qui nous concerne tous : une croissance trop faible, une inflation trop basse », a ajouté le ministre des Finances, en disant s’inscrire « dans le respect des traités ». Le gouvernement prévoit désormais une croissance du PIB de 0,4% en 2014 et de 1,0% en 2015, alors qu’il envisageait dans sa précédente trajectoire une croissance de 1,0% cette année et de 1,7% l’an prochain.

Déficit: il faut remettre en cause l’objectif des 3% (Cambadélis)

Déficit: il faut remettre en cause l’objectif des 3% (Cambadélis)

C’est fait, ils ont enfin compris que le France n’atteindra pas les 3% (du PB) pour le déficit du budget ; du coup Cambadélis, secrétaire du PS se rend à l’évidence et demande qu’on ne respecte plus cette exigence européenne. Il a raison mais il aurait pu –avec le gouvernement -s’en apercevoir plus tôt Avec une croissance zéro au premier semestre, une croissance de 0.4 à 0.5% en 2014, des prix à la baisse qui vont diminuer les rentrées de TVA, mécaniquement il est impossible d’atteindre les 3% de déficit en 2015. En 2016, peut-être- et tout dépendra de la croissance. Il est clair que l’environnement international n’est pas très dynamique, que l’Europe flirte avec la crise (activité industrielle qui baisse en Allemagne, récession en Italie et croissance zéro en France).dans ces conditions une stratégie d’austérité auusi brutale est suicidaire tant pour le niveau de l’activité que pour le chômage. . Jean-Christophe Cambadélis, le Premier secrétaire du Parti socialiste (PS), juge « inévitable » d’abandonner l’objectif d’un déficit public de 3% du PIB en 2015, dans un entretien aux Echos à paraître jeudi 14 août.   »Ces seuils ont été fixés avant la crise. Et aujourd’hui, il y a une nouvelle situation. On est dans une possible déflation. Il faut en tenir en compte », ajoute-t-il dans cet entretien mis en ligne mercredi soir sur le site du quotidien.  Faut-il abandonner ce critère? « C’est inévitable » répond celui qui, déjà, se montrait critique, pendant la campagne des élections européennes, sur les critères de Maastricht. « Il y a danger avec le fléchissement des prix ce mois-ci en France, leur niveau historiquement bas en Europe, une croissance anémique, une demande faible, un euro fort. Nous sommes en situation de pré-déflation si ce n’est de déflation », explique-t-il.  Et d’en appeler « immédiatement à un débat public national sur ce sujet ». Selon lui, « il ne faut pas demander la permission » au gouvernement allemand. « Ce ne serait pas du niveau de la France. Il faut provoquer le débat » car « il y a un changement majeur : c’est la déflation ».   »L’évidence, quand on voit la situation de la croissance en Allemagne, c’est qu’il n’y a pas de quoi se réjouir. Les Allemands seraient bien fondés à, avec nous, analyser la situation réelle dans laquelle nous sommes », poursuit le numéro un du PS.   »Beaucoup de pays font des efforts. Mais la spirale de l’austérité qui les a conduits à la récession produit de nouveaux effets, ceux de la déflation. Nos amis allemands devraient se rendre compte que leur investissement est plus que léger et que leur croissance est particulièrement faible. Dans ces conditions, ils ont des mesures à prendre, comme nous, pour relancer la zone euro », selon lui.  Outre l’Allemagne, Jean-Christophe Cambadélis fait aussi le constat qu’en « Italie, malgré la « Renzi-mania », l’économie dévisse » et que « la France fait du surplace, malgré ses réformes et le prix électoral faramineux que nous avons dû payer. Elles lui permettent de se maintenir, mais pas de progresser. Or endiguer la crise, ce n’est pas la surmonter », prévient le patron de Solferino.

 

Inflation en Chine : à 2,3% sur un an

Inflation en Chine : à 2,3% sur un an

Conséquence d’un environnement international maussade, la pression sur les prix des productions chinoises s’accentue. L’inflation des prix à la consommation s’est établie en juillet à 2,3% sur un an, inchangée par rapport au mois précédent et conforme aux attentes des économistes interrogés par Reuters. Par rapport à juin, les prix ont augmenté de 0,1%, là encore comme attendu.  Les chiffres publiés samedi par le Bureau national des statistiques montrent par ailleurs que les producteurs et industriels ont continué de subir des pressions déflationnistes : les prix à la production ont décru de 0,9% en variation annuelle, comme prévu par les économistes, soit un 29e mois consécutif de baisse. Sur un mois, ils ont diminué de 0,1%.

 

Sécurité routière : +3,8% en juin tués sur la route en juin

Sécurité routière : +3,8% en juin tués sur la route en juin

 

Comme d’habitude l’administration sort des chiffres de sécurité routière sans analyse. Cette fois encore on ne sait pas expliquer des chiffres en hausse (c’est la même chose quand ils sont en baisse). Difficile dans ces condition d’affiner la politiqué de sécurité routière. Une certitude toutefois les moyens coercitifs pour lutter en particulier contre l’alcool et la vitesse sont efficaces, de même que la prévention assuré par les forces de l’ordre ; encore faudrait-il qu’elles soient présentes sur les routes et bien plus souvent au lieu de sec contenter de sortir une heure par jour pour faire une rapide moisson de PV pour des fautes bénignes. .Les routes françaises ont tué 304 personnes le mois dernier, contre 293 en juin 2013. Le nombre de blessés est aussi en hausse, +5,4%. Le ministère de l’Intérieur annonce que 15.000 policiers et gendarmes seront déployés le week-end du 14 juillet. Déjà, en mai, la mortalité routière avait grimpé de 15% - 258 personnes avaient été tuées. En juin, selon les statistiques de l’Observatoire national interministériel de la Sécurité routière, la hausse a été de 3,8%. Mais le chiffre brut est plus important : 304 personnes ont trouvé la mort le mois dernier, contre 293 en juin 2013. C’est le quatrième mois consécutif de hausse : +28% en mars, +8% en avril, +15,2% en mai. Depuis le début de l’année, 112 personnes supplémentaires ont trouvé la mort sur les routes, soit une hausse de 7,9% par rapport à la même période de l’année précédente. « A l’occasion des prochains départs en vacances, il apparaît plus que jamais nécessaire d’inciter les usagers de la route à rester vigilants et prudents afin d’éviter que la pause estivale ne se transforme en drame pour eux et leur famille », estime le ministère de l’Intérieur. Celui-ci annonce « qu’à l’occasion du week-end prolongé du 14 juillet, près de 15.000 gendarmes et policiers seront présents, chaque jour, sur l’ensemble du réseau routier et autoroutier ». Et pendant l’été, « des opérations de contrôle seront par ailleurs organisées sur l’ensemble du territoire afin d’inciter les usagers de la route à rester vigilants ».

Cigarettes : 25% venues au noir soit 3 milliards de recettes fiscales en moins

Cigarettes : 25% venues au noir soit 3 milliards de recettes fiscales en moins

 

 

Jusque là on estimait à environ 20% les cigarettes  vendues au noir, or nous avions indiqué que ce chiffre était plus proche de 25% compte tenu des difficultés statistiques à évaluer une activité par définition non déclarée. Ce que vient de confirmer une étude. Plus d’une cigarette sur quatre fumée en France en 2013 a été achetée au marché noir. Une étude du groupe de conseil et d’audit KPMG confirme l’essor des marchés parallèles de vente de tabac, contre lesquels majors et buralistes cherchent à lutter. L’étude note que les ventes en-dehors des bureaux de tabac ont représenté 25,2% des ventes totales l’an dernier, contre 22,6% en 2012. Soit une augmentation de plus de 11% en un an. «C’est un drame, a réagi Pascal Montredon, président de la confédération des buralistes. Nous le prévoyions depuis plusieurs mois et c’est arrivé: le marché parallèle a explosé et ce n’est pas fini puisqu’on enregistre encore un recul des ventes depuis le début de l’année. L’État de droit est complètement bafoué.»  Dans le collimateur des buralistes: les augmentations successives du prix du paquet de cigarettes, «trois en moins de quinze mois», rappelle Pascal Montredon. Les taxes sur le tabac ont rapporté l’an dernier à l’État 11,2 milliards d’euros, plus que prévu. Début juin, deux sénateurs proposaient même d’instaurer une nouvelle taxe, cette fois sur les mégots de cigarettes. Autant de coups de pouce pour les comptes publics qui incitent cependant les fumeurs à se fournir à l’étranger, où les paquets sont moins chers. L’étude de KPMG souligne que les ventes transfrontalières ont augmenté de 36% entre 2012 et 2013. En tête des pays où les consommateurs vont se fournir: la Belgique et l’Algérie. Les entrées en France de cigarettes à l’origine de ces deux pays ont grimpé respectivement de 99% et 85% entre 2012 et 2013, pour passer la barre des 2 milliards d’unités, juste derrière les ventes en duty free (2,62 milliards). Autre cheval de bataille des buralistes, les quotas de cigarettes importées de l’étranger qui avaient fait bondir Bruxelles. Dès 2009, l’Europe avait rappelé la France à l’ordre, jugeant les mesures en vigueur trop protectionnistes. Au 1er janvier, les seuils ont été relevés de cinq à dix cartouches par personne et de 50 à 1000 cigares. «L’Union européenne a puni la France, résultat: les ventes transfrontalières ont explosé, se désole Pascal Montredon. Les pays qui le veulent devraient avoir le droit d’imposer les seuils qu’ils souhaitent.» Selon la confédération des buralistes, l’essor des marchés parallèles a privé l’État de 3 milliards de recettes fiscales et a engendré la fermeture de nombreux tabac représentant environ 2500 emplois. Les buralistes, déjà échaudés par le succès de l’e-cigarette, demandent au gouvernement de se mobiliser contre les marchés parallèles. Reçu par le ministère de l’Intérieur ce mercredi soir, Pascal Montredon a notamment exigé le blocage des sites de vente de tabac en ligne et le renforcement des moyens de douanes et de gendarmerie pour lutter contre l’importation illégale de tabac. Prochain objectif: «obtenir un rendez-vous avec le Premier ministre, puis avec le président de la République». Mais pas question de céder à la «réunionite», les buralistes veulent avant tout «des actions concrètes, efficaces et mesurables».

 

Grève SNCF : un coût de 3 milliards pour un mouvement pathétique

Grève SNCF : un cout de 3 milliards pour un mouvement pathétique

 

La grève SNCF finira cette semaine faute de combattants et de manière pathétique. La faute évidemment aux syndicats corpos réacs qui ont géré le mouvement comme des irresponsables. En La faute surtout aux gauchistes corpos de sud que la CGT a suivi pour ne pas perdre le contact avec les plus radicaux. Bilan :  sans doute l’un des derieirs mouvements à la SNCF dont limage a été grandement affectée dans l’opinion publique. A prévoir auusi une raclée aux élections professionnelles pour Sud et la CGT. Du coup pour éviter ce type de grève les gouvernements seront de plus en plus incités à donner des coups de canifs dans ce statut de cheminot. Un bilan donc catastrophique au plan économique et social. Un coût de l’ordre de 3 milliards déjà pour l’économie et de 150 millions pour la seule SNCF. Au 9eme jour de grève de certains cheminots, le patron de la SNCF estime le coût du conflit à 153 millions d’euros pour l’entreprise publique. La facture totale atteindrait selon certaines estimations 400 millions par jour pour l’économie française.  Le 16 juin, Guillaume Pepy estimait sur RMC à 80 millions d’euros le coût de la grève pour la SNCF. Ce jeudi 19 juin, dans Le Parisien/Aujourd’hui en France, le patron de l’entreprise publique affirme qu’il est désormais de 153 millions au 9eme jour de conflit. « Cela fait 15 trains franciliens. Soit un tiers de notre résultat de l’année dernière. C’est énorme », constate-t-il. Pour le transport de fret, la moitié des marchandises qui étaient sur les trains sont passées par la route, ajoute-t-il.  « Il y a des risques que des entreprises ne reviennent pas. Il y a une perte de confiance, et ça c’est grave ». « Il y a un risque que cela laisse des traces à cause de ces clivages, des pressions qu’il y a eus entre grévistes et ceux qui travaillent », ajoute le président de la SNCF.  Plus globalement, le conflit entraînerait un coût global de 300 à 400 millions d’euros par jour en conséquences directes et indirectes pour les entreprises comme pour les salariés. C’est ce qu’affirme en tout cas Frédéric Gonand, professeur à Paris-Dauphine dans le Parisien, qui se base sur les conflits précédents dans les transports.  Mais le fait que la grève actuelle intervienne en mai, mois des ponts où les salariés prennnent des RTT en cascade, pourrait réduire le manque à gagner supplémentaire pour les entreprises. A l’inverse, le secteur du tourisme pourrait être davantage impacté que si le conflit se déroulait en hiver. L’Insee ne devrait rendre son verdict qu’au début 2015.

 

Bouygues souhaite garder ses 29,3% d’Alstom, c’est quoi ce cirque ?

Bouygues souhaite garder ses 29,3% d’Alstom, c’est quoi ce cirque ?

Bouygues change de fusil d’épaule et annonce maintenant  vouloir garder les 30% qu’il détient. Du coup on se demande pourquoi tout ce cirque Or on sait que pour l’essentiel c’est la volonté de Bouygues de se débarrasser de se parts qui avait justifié la mise en venet par appartements d’Alstom. Il serait temps que le gouvernement mette les pieds dans le plat et décide dune stratégie dans la mesure où pour l’essentiel les commandes d’Alstom sont des commandes publiques (TGV, centrales électriques etc.) de la France notamment. Le groupe Bouygues a en effet affirmé mardi soir vouloir conserver les 29,3% qu’il détient dans Alstom, adressant ce qui s’apparente à une fin de non-recevoir à l’offre du conglomérat japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) de lui racheter jusqu’à près d’un tiers de cette participation. « Bouygues souhaite rester un actionnaire de long terme d’Alstom à hauteur de 29,3% », a déclaré un porte-parole de Bouygues interrogé par l’AFP. Dans sa proposition commune avec Siemens portant sur la branche énergie d’Alstom, MHI avait annoncé souhaiter monter jusqu’à 10% du capital d’Alstom en rachetant une partie des parts de Bouygues.

Sondage : Hollande à 3% pour 2017

Sondage : Hollande à 3% pour 2017

 

 Les Français ne sont plus que 3% à le préférer comme candidat du PS à la prochaine présidentielle de 2017, selon l’étude OpinionWay réalisée en exclusivité pourLe Figaro Magazine. Le même chiffre que les sondages lui donnaient quelques mois avant la primaire de 2011, quand il était opposé notamment à Dominique Strauss-Kahn .   L’humiliation est sévère pour le président de la République qui est dépassé par Manuel Valls  mais aussi par Martine Aubry . Un véritable coup de tonnerre pour le chef de l’Etat, au lendemain de la déroute des socialistes aux élections européennes.  81% des sympathisants socialistes veulent l’organisation d’une primaire, même si le président voulait être candidat, mais seulement 15% d’entre eux voteraient pour lui dans ce cas.  La conclusion est claire : les sympathisants socialistes craignent une nouvelle candidature du chef de l’Etat et au fond, le seul moyen de l’éviter reste d’organiser une primaire avec d’autres prétendants pour s’assurer que François Hollande ne sera pas désigné !  Les tensions au sommet de l’Etat vont inévitablement s’accroitre puisque l’homme vers qui se tourne les électeurs socialistes n’est autre que Manuel Valls, le premier ministre ! 40% des sympathisants socialistes le préfèrent comme candidat à la présidentielle, largement devant les autres. Une situation inédite sous la Ve République qui ne peut que compliquer les relations entre les deux hommes.

 

Sondage : Hollande à 3% pour 2017

 

 Les Français ne sont plus que 3% à le préférer comme candidat du PS à la prochaine présidentielle de 2017, selon l’étude OpinionWay réalisée en exclusivité pourLe Figaro Magazine. Le même chiffre que les sondages lui donnaient quelques mois avant la primaire de 2011, quand il était opposé notamment à Dominique Strauss-Kahn .   L’humiliation est sévère pour le président de la République qui est dépassé par Manuel Valls  mais aussi par Martine Aubry . Un véritable coup de tonnerre pour le chef de l’Etat, au lendemain de la déroute des socialistes aux élections européennes.  81% des sympathisants socialistes veulent l’organisation d’une primaire, même si le président voulait être candidat, mais seulement 15% d’entre eux voteraient pour lui dans ce cas.  La conclusion est claire : les sympathisants socialistes craignent une nouvelle candidature du chef de l’Etat et au fond, le seul moyen de l’éviter reste d’organiser une primaire avec d’autres prétendants pour s’assurer que François Hollande ne sera pas désigné !  Les tensions au sommet de l’Etat vont inévitablement s’accroitre puisque l’homme vers qui se tourne les électeurs socialistes n’est autre que Manuel Valls, le premier ministre ! 40% des sympathisants socialistes le préfèrent comme candidat à la présidentielle, largement devant les autres. Une situation inédite sous la Ve République qui ne peut que compliquer les relations entre les deux hommes.

 

Sondage : Hollande à 3% pour 2017

 

 Les Français ne sont plus que 3% à le préférer comme candidat du PS à la prochaine présidentielle de 2017, selon l’étude OpinionWay réalisée en exclusivité pourLe Figaro Magazine. Le même chiffre que les sondages lui donnaient quelques mois avant la primaire de 2011, quand il était opposé notamment à Dominique Strauss-Kahn .   L’humiliation est sévère pour le président de la République qui est dépassé par Manuel Valls  mais aussi par Martine Aubry . Un véritable coup de tonnerre pour le chef de l’Etat, au lendemain de la déroute des socialistes aux élections européennes.  81% des sympathisants socialistes veulent l’organisation d’une primaire, même si le président voulait être candidat, mais seulement 15% d’entre eux voteraient pour lui dans ce cas.  La conclusion est claire : les sympathisants socialistes craignent une nouvelle candidature du chef de l’Etat et au fond, le seul moyen de l’éviter reste d’organiser une primaire avec d’autres prétendants pour s’assurer que François Hollande ne sera pas désigné !  Les tensions au sommet de l’Etat vont inévitablement s’accroitre puisque l’homme vers qui se tourne les électeurs socialistes n’est autre que Manuel Valls, le premier ministre ! 40% des sympathisants socialistes le préfèrent comme candidat à la présidentielle, largement devant les autres. Une situation inédite sous la Ve République qui ne peut que compliquer les relations entre les deux hommes.

 

Agriculteurs : réduction de charges de 3%

Agriculteurs :  réduction de charges de 3%

 

Le Premier ministre Manuel Valls a promis au président de la FNSEA, Xavier Beulin, une réduction de 3% de leurs charges sociales dès 2015, représentant un gain de 700 millions d’euros par an pour le secteur. « Sur les bas salaires, en agriculture, il y avait déjà un certain nombres d’exonérations, donc il faut donner un coup de pouce supplémentaire. Il nous propose de prendre 3% de charges sociales à partir de 2015″, a expliqué le président du principal syndicat agricole français vendredi sur Europe 1.   »On a fait une estimation, sur une année, c’est à peu près 700 millions d’euros de réductions de charges », a-t-il ajouté.  Manuel Valls a poursuivi jeudi ses consultations syndicales sur le pacte de responsabilité, recevant notamment la FNSEA et Coop de France (coopératives agricoles).  Lors de cet entretien, la FNSEA s’est engagée à jouer le jeu de ce pacte, rappelant qu’il y avait 9.000 emplois non pourvus dans le secteur agricole et qu’elle ferait tout pour qu’ils soient pourvus.  Lors de son discours de politique générale devant les députés le 8 avril, le Premier ministre a promis une baisse du coût du travail de 30 milliards d’euros d’ici à 2016, qui passera notamment par une suppression des charges pour l’employeur d’un salarié payé au Smic au 1er janvier 2015.

 

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