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Narcotrafic : un chiffre d’affaires de plus de 3 milliards

Narcotrafic : un chiffre d’affaires de plus de 3 milliards

3 milliards minimum, c’est l’estimation du chiffre d’affaires annuel du trafic de stupéfiants en France, selon l’Insee et l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). Mais la dernière Commission d’enquête du Sénat sur l’impact du narcotrafic en France estime que ce montant pourrait atteindre le double, soit 6 milliards d’euros.

Toujours selon l’Insee et l’OFDT, c’est le nombre estimé de consommateurs réguliers de cannabis dans l’Hexagone, aujourd’hui le stupéfiant le plus vendu en France. Derrière, figure la cocaïne qui capte, elle, 600 000 consommateurs. Côtés « vendeurs », l’office anti-stupéfiants (OFAST) estime, lui, que 240 000 personnes vivent directement ou indirectement du trafic de drogue en France. Dont 21 000 à temps plein.

Selon les douanes françaises, 53,5 tonnes de cocaïne ont été saisies en 2024, soit une augmentation de 130 %, par rapport à 2023.

Salaires des cadres : 2,3 fois plus élevés que celui des employés

Salaires des cadres : 2,3 fois plus élevés que celui des employés

Selon une étude de l’INSEE, le salaire horaire brut moyen des cadres en France est, à 33,5 euros en 2022, 2,3 fois plus élevé que celui des employés (14,6 euros).

«Si l’on exclut du champ les apprentis, le salaire horaire brut est alors de 20,3 euros en moyenne», précise l’Institut national de la Statistique. Le salaire horaire brut des femmes est inférieur de 13% à celui des hommes, ce qui est notamment lié au fait qu’elles sont «moins souvent cadres et sont surreprésentées dans les secteurs les moins rémunérateurs, comme la santé ou les services auprès des ménages».

Le niveau de salaire varie en effet grandement en fonction des secteurs d’activité. Le salaire horaire brut est ainsi en moyenne de 28,9 euros dans l’information et la communication et de 28,7 euros dans les activités financières et d’assurance, mais seulement de 14,3 euros dans l’hébergement et la restauration.

Taux Crédit immobilier : moins de 3,4%

Taux Crédit immobilier : moins de 3,4%

 

 

 Le gouverneur de la Banque de France a déclaré que le taux d’intérêt moyen des crédits immobiliers s’est établi « en dessous de 3,4 % en novembre, contre 4 % en janvier » 2024. Cette « baisse forte » découle de la diminution de l’inflation. « L’inflation, qui était la maladie aiguë de l’économie française, est en voie de guérison », a-t-il estimé, prévoyant qu’elle s’établira « autour de 1,5 % » en 2025. Le taux du crédit immobilier restera donc sans doute encore près du double de celui de l’inflation en 2025.

« Cela entraîne deux conséquences positives, la première, c’est du pouvoir d’achat et la seconde, c’est la baisse des taux d’intérêts », a poursuivi François Villeroy de Galhau. « D’ailleurs les Français recommencent à emprunter. C’est une bonne nouvelle pour un redémarrage progressif de l’immobilier », a ajouté le gouverneur.

En présentant ses voeux mercredi, le gouverneur de la Banque de France a aussi pronostiqué que la Banque centrale européenne (BCE) pourrait abaisser ses taux jusqu’à un niveau proche de 2% « d’ici l’été prochain » grâce au recul de l’inflation. Un élément clé pour que les banques françaises réduisent encore davantage leurs taux.

Croissance États-Unis : un solide chiffre de 3 % au deuxième trimestre

Croissance États-Unis : un solide chiffre de 3 % au deuxième trimestre
La croissance américaine a été confirmée à 3% en rythme annualisé au deuxième trimestre, selon la troisième et dernière estimation publiée ce jeudi par le département du Commerce. Pour rappel, elle avait été révisée à la hausse fin août à 3% en rythme annualisé, contre 2,8% initialement annoncés. À comparer évidemment à la croissance en Europe sur une tendance <1 % sur un an.

. « Derrière la légère révision (…) se cache une forte augmentation des dépenses de consommation, le principal moteur de l’économie qui représente près de 70% du PIB », avait également commenté Robert Frick, économiste pour Navy Federal Credit Union. Et ce, « alors que l’inflation se calmait, démontrant que nous avons atterri en douceur il y a quelques mois », selon lui, ce qui signifie que la banque centrale américaine (Fed) a réussi à faire baisser l’inflation sans faire plonger le pays dans la récession.

L’Europe de son côté a effectivement elle aussi réduit le niveau de son inflation référée maintenant se maintenir sur un objectif de 2 % à la différence près que la croissance européenne paraît particulièrement fragile. En cause sans doute aussi l’insuffisance d’investissement mais aussi le protectionnisme notamment vis-à-vis de la Chine

Economie, politique, société: les plus lus 3 août 2024

Economie, politique, société: les plus lus 3  août   2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Croissance: Au ralenti en 2024 avec seulement 0,3 % au deuxième trimestre

Croissance: Au ralenti en 2024 avec seulement 0,3 % au deuxième trimestre
La France et l’ensemble de la zone euro s’oriente vers une croissance très ralentie en 2024 avec une perspectives inférieure à 1 %. En cause une consommation des ménages qui recule sous l’effet de la baisse du pouvoir d’achat.

 

Après une hausse de 0,3% au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) a encore augmenté de 0,3% au deuxième trimestre. Une croissance tirée par le commerce extérieur et les investissements des entreprises alors que la consommation des ménages recule.
Cette première estimation de la croissance est conforme à celle de l’INSEE et à la Banque de France, avec une anticipation de 0,3% conforme au niveau de croissance effectif.

Dans le détail, entre avril et juin, l’activité économique a été soutenue par le commerce extérieur et un rebond des investissements des entreprises, a indiqué mardi l’Insee. A l’inverse, la consommation des ménages a reculé en volume en juin, diminuant de 0,5% par rapport au mois de mai, avec un repli notamment de la consommation d’énergie (-1,9%) et de la consommation alimentaire (-0,7%). Cette baisse de la consommation des ménages en juin fait suite à un rebond de 0,8% lors du mois précédent, revu « fortement à la baisse de 0,7 point » par rapport à ce que l’Insee avait initialement annoncé fin mai. Sur un an, la consommation des ménages est en baisse de 1%.

 

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

La  Banque centrale européenne anticipe une croissance de 0,6% en 2024, contre 0,8% prévu en décembre.

En France, l’OCDE prévoit une croissance à 0,7% pour 2024, tandis que la Banque de France voit cette dernière augmenter de 0,8% et même de 1% pour le gouvernement. Et l’Insee voit encore plus haut et table sur une hausse de 1,1% cette année.

 

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

La croissance en zone euro demeure faible et fragile. En effet le PIB de la zone euro a seulement progressé de 0,3% au premier trimestre  après un repli de 0,1% au quatrième trimestre 2023. La  Banque centrale européenne qui prévoit 0,6% de croissance en zone euro  a décidé de baisser ses taux directeurs pour soutenir l’activité économique.

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

 La hausse des prix devrait atteindre 2,8% cette année, contre une prévision de 2,7% il y a six mois, et 2,7% en 2025, contre 2,5% précédemment. Pour 2026, la prévision reste inchangée à 2,2%.

Cette faiblesse de la croissance a d’ailleurs amené la Banque centrale européenne a effectué une première baisse de 0,25 point de pourcentage sur ses taux directeurs jeudi. Après avoir été montés de manière fulgurante entre 2022 et 2023 puis avoir été maintenus entre 4% et 4,75% depuis septembre – au plus haut depuis la création de l’euro - le taux de dépôt passe à 3,75% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal s’établissent respectivement à 4,25% et 4,5%.

 

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

La croissance en zone euro demeure faible et fragile. En effet le PIB de la zone euro a seulement progressé de 0,3% au premier trimestre  après un repli de 0,1% au quatrième trimestre 2023. La  Banque centrale européenne qui prévoit 0,6% de croissance en zone euro  a décidé de baisser ses taux directeurs pour soutenir l’activité économique.

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

 La hausse des prix devrait atteindre 2,8% cette année, contre une prévision de 2,7% il y a six mois, et 2,7% en 2025, contre 2,5% précédemment. Pour 2026, la prévision reste inchangée à 2,2%.

Cette faiblesse de la croissance a d’ailleurs amené la Banque centrale européenne a effectué une première baisse de 0,25 point de pourcentage sur ses taux directeurs jeudi. Après avoir été montés de manière fulgurante entre 2022 et 2023 puis avoir été maintenus entre 4% et 4,75% depuis septembre – au plus haut depuis la création de l’euro - le taux de dépôt passe à 3,75% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal s’établissent respectivement à 4,25% et 4,5%.

 

BCE: Comme prévu, baisse des taux de 4 % à 3,75%

BCE: Comme prévu, baisse des taux de 4 % à 3,75%

 

Une baisse des taux comme prévu mais sans aucune assurance concernant de nouvelles étapes en 2024. Le taux de dépôt est ramené à 3,75 %. Mais pour Christine Lagarde, le combat pour maîtriser l’inflation, sur la bonne voie, n’est pas terminé. En clair de nouvelles étapes demeurent hypothétique pour l’année en cours ( comme pour la banque centrale américaine qui pourrait ne retenir qu’une seule baisse de taux en 2024). 

 

La Banque centrale européenne (BCE) a diminué ses taux directeurs d’un quart de point, comme attendu depuis des semaines. La décision du Conseil des gouverneurs, réuni jeudi à Francfort, prise à la quasi-unanimité de ses vingt-six membres, à une voix près, apporte un peu d’oxygène à l’économie européenne étranglée par des taux élevés depuis des mois. La baisse de 4 % à 3,75 % du taux de dépôt n’est pourtant pas le coup d’envoi d’un desserrement régulier de l’étau espéré par les acteurs de l’économie : ménages emprunteurs, entreprises qui investissent ou États endettés.

« Nous ne nous engageons pas à l’avance sur une trajectoire de taux particulière », Un avertissement pour tous ceux qui pensaient à des nouvelles phases de baisse pour l’année en cours

 

BCE: Une baisse des taux, de 4% à 3,75% ?

BCE: Une baisse des taux, de 4% à 3,75% ?

La Banque centrale européenne (BCE) doit annoncer ce jeudi la baisse de ses taux d’intérêt. L’ampleur de cette première baisse des taux après le cycle de relèvement devrait être de 25 points de base, selon les experts. Une baisse équivalente devrait être décidée par la banque fédérale américaine. La question qui se pose maintenant pour les deux zones géographiques, c’est de savoir s’il s’agit de la seule baisse pour l’année en cours.

L’inflation est repartie à la hausse en mai dans la zone euro, à 2,6% sur un an après 2,4% en mars et avril, selon des chiffres publiés vendredi. Mais, cette remontée « est liée à des facteurs temporaires », a commenté Riccardo Marcelli Fabiani, analyste d’Oxford Economics.

Cette baisse des taux pourrait aussi coïncider avec celle qu’envisage la banque fédérale américaine. Une différence toutefois la croissance américaine se porte nettement mieux que celle de l’union européenne. En effet les États-Unis attendent une croissance de 2,1 % en 2024 d’après le fonds monétaire international. L’Union européenne devant se contenter de l’ordre de 0,9%. À noter que les taux d’inflation se rapprochent : 2,6 %  pour la zone euro et 2,7% pour les États-Unis
BCE: Une baisse des taux, de 4% à 3,75% ? dans actu-économie politique

L’inflation officielle à 2,3% sur un an

 

L’inflation officielle  à 2,3% sur un an

 

L’INSEE annonce officiellement un ralentissement de l’inflation qui enregistre toutefois une hausse de 2,3 % en février sur un an. Bien évidemment il ne s’agit pas d’une baisse de prix mais d’une hausse plus mesurée . Une tendance toutefois à relativiser car la nature et le volume des achats des Français a profondément évolué témoin d’ailleurs l’assez net  tassement de la consommation. Inversement les dépenses contraintes, elle, comme les assurances par exemple dont les tarifs en moyenne ont évolué de plus 6 % début de l’année, continuent de progresser nettement

En mars, selon les estimations de l’Insee, l’inflation  serait limitée à 2,3 %, après 3 % en février. Au pic du phénomène, il y a un an, les hausses de prix avaient atteint 6,3 %. « Cette baisse de l’inflation serait due au ralentissement sur un an des prix de l’alimentation (+ 1,7 % en mars après + 3,6 % en février), des services, du tabac, de l’énergie et des produits manufacturés », explique l’institut dans un communiqué.

 L’inflation est déjà revenue à 3 % et redescendra bien à 2 % d’ici à 2025 », assurait ainsi récemment François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France.

La plupart des lobbys ayant profité de la spéculation considère maintenant qu’on ne reviendra pas au niveau des anciens prix compte tenu du caractère dit structurel de l’inflation.

Sondage Endettement : les Français ne veulent pas payer la facture !

Sondage Endettement : les Français ne veulent pas payer la facture !

Selon l’ enquête Ipsos-« La Tribune Dimanche », les Français (93 %) estiment que la réduction des déficits doit figurer parmi les priorités ou les sujets importants du gouvernement mais préféreraient que l’on baisse des dépenses publiques au lieu d’augmenter les impôts. 

La problématique n’est pas évidente car on ne trouve guère d’unanimité pour supprimer des dépenses de l’État. Les gouvernements successifs sont jugés responsables de l’endettement du pays. Mais les attentes auxquelles ils répondent (protection sociale, services publics…) sont relativisées ainsi que la capacité économique et sociale du pays à les financer. « Les Français se défaussent sur les politiques », observe Brice Teinturier, directeur général d’Ipsos. Quel parti politique gérerait mieux les caisses publiques que le gouvernement actuel ? Aucun ne convainc profondément l’opinion. Certes, une personne sur trois cite le RN, qui arrive largement devant les autres. Mais cette proportion reflète surtout l’audience actuelle du parti lepéniste et le rejet radical des autres formations par ses sympathisants.

Des « méga-camions » en Europe

Des « méga-camions » en Europe

L’Europe étudie aujourd’hui la perspective de camions de 60 t au lieu de 40 aujourd’hui. Des camions très lourds sans doute adaptés dans certains pays mais pas dans d’autres compte tenu de la taille des véhicules sur des voies banalisées utilisées donc par d’autres usagers (voitures, motocycles, vélos et piétons). En outre,  une perspective contraire à la volonté de développer la part du rail. Notons que ce n’est pas tellement le poids qui compte pour le transport par camion mais le plus souvent le volume compte tenu de l’évolution structurelle des échanges. Il faut évidemment aussi prendre en compte l’impact sur les infrastructures. Enfin il y a la sécurité avec la difficulté supplémentaire de doubler les camions encore plus longs

 

Frédéric Delorme, président de Rail Logistics Europe (SNCF)dénonce aussi « les dangers significatifs des méga-camions pour piétons et cyclistes », à savoir la distance de freinage rallongée ou encore les difficultés à tourner.

En outre, l’objectif européen de doubler d’ici 2030 la part du ferroviaire dans le transport de marchandises, à 30%, « sera mis en péril », tranche Alberto Mazzola, directeur de la Communauté européenne du rail (CER), influent lobby du secteur.

À noter enfin l’impact de ces camions alourdis sur les chaussées et ponts. Le cabinet D-Fine prédit 1,15 milliard d’euros de dépenses publiques additionnelles par an pour l’entretien des infrastructures routières, avec « des détériorations disproportionnées : dix camions de 44 tonnes font plus de dommages que quinze de 40 tonnes ».

« Il faut prévenir cette folie, avec trop peu de moyens pour le fret ferroviaire tandis qu’un bonus serait alloué aux « méga-camions » massacreurs d’infrastructures », insiste l’eurodéputé écologiste David Cormand.

Reste que, en commission Transports, le texte a cependant été massivement soutenu par les groupes socio-démocrates, PPE (droite) et Renew (libéraux), à l’exception du Français Dominique Riquet. Le dossier reflétant les sensibilités nationales, « l’équilibre sera précaire » en plénière ce mardi, reconnaît Marie-Pierre Vedrenne (Renew).

 

France : une aide supplémentaire de 3 milliards à l’Ukraine

France : une aide supplémentaire de 3 milliards à l’Ukraine

La  France s’engage à fournir en 2024 « jusqu’à 3 milliards d’euros » d’aide militaire « supplémentaire » à Kiev, après un soutien qu’elle chiffre à 1,7 milliard en 2022 et 2,1 milliards en 2023.

Volodymyr Zelensky est arrivé vendredi à Paris après avoir fait de même à Berlin, autant de soutiens très attendus alors que l’armée ukrainienne est à la peine face aux Russes et l’aide américaine gelée.

Lors d’une conférence de presse, le président s’est d’abord empressé de se réjouir de la signature de ce nouveau pacte avec l’Ukraine. Mais avant d’en dévoiler les contours, le président a de nouveau rendu hommage à l’opposant Alexeï Navalny, dont la mort dit selon lui « la faiblesse du Kremlin et la peur de tout opposant ». Plus tôt dans la journée il avait dénoncé dans un tweet : « la Russie d’aujourd’hui, on met les esprits libres au goulag et on les y condamne à la mort ».

Dans ce texte signé juste avant la conférence de presse de Macron et Zelensky, la France s’engage à fournir en 2024 « jusqu’à 3 milliards d’euros » d’aide militaire « supplémentaire » à Kiev, après un soutien qu’elle chiffre à 1,7 milliard en 2022 et 2,1 milliards en 2023.

Cet accord «  fait suite aux engagements qui avaient été pris en format G7 en marge du Sommet de l’Otan à Vilnius en juillet 2023 », a rappelé la présidence française. Les pays du G7 s’étaient engagés à apporter à Kiev un soutien militaire « sur le long terme » afin de l’aider à combattre l’actuelle offensive russe mais aussi dissuader Moscou de toute attaque future contre son voisin.

Ce texte, « conclu pour une durée de dix ans »« comprend des engagements précis, y compris financiers » dans les domaines militaire et civil, selon la présidence française.

 

Michelin : Bénéfices en hausse à 3,6 milliards d’euros

Michelin : Bénéfices en hausse à 3,6 milliards d’euros

Il se confirme évidemment que les grandes société ont finalement profité de l’inflation et cela en dépit du tassement de la croissance. En clair ils ont rajouté des hausses indues à l’évolution de l’inflation générale. Après Total, après d’autres Michelin affiche donc un résultat en progression. Michelin doit aussi son résultat à une certaine diversification et cela dans un champ international.

Un bénéfice opérationnel record en 2023, à 3,6 milliards d’euros, en hausse de plus de 5% par rapport à 2022. L’Ebitda (bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement) progresse quant à lui de 4%, à 5,5 milliards d’euros, et la marge opérationnelle augmente légèrement de 0,7 point, à 12,6%. Et ce, malgré une diminution de la vente des pneus de 4,7% et un effet de change négatif de 2,9% de l’euro qui baissent le chiffre d’affaires du groupe de 0,8% cette année, à 28,3 milliards d’euros.

Cette rentabilité s’explique par les autres activités de Michelin, en hausse de 10%, où l’entreprise s’applique davantage de marges.

Pour 2025, Michelin anticipe une hausse plus importante de son résultat grâce aux bénéfices de sa restructuration. En novembre, l’entreprise française a ainsi supprimé deux usines en Allemagne et 1.500 emplois. De plus, le groupe va lancer un programme de rachat d’actions, qui pourrait représenter jusqu’à 1 milliard d’euros sur la période 2024-2026.

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