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zone euro : excédent commercial de 29,2 milliards d’euros qui compense le déficit de la France

zone euro :  excédent commercial  de 29,2 milliards d’euros qui compense le déficit de la France

Alors que la France connaît un déficit de 3,4 milliards en juin (autour de 40 milliards pour l’année 2016), la zone euro, elle,  a enregistré en juin un excédent commercial de 29,2 milliards d’euros, en hausse par rapport au même mois de l’année précédente (+25,5 milliards d’euros), a annoncé l’Office européen de statistiques Eurostat mardi. Les exportations de biens de la zone euro vers le reste du monde se sont établies à 178,8 milliards d’euros, en baisse de 2% par rapport à juin 2015.  Les importations depuis le reste du monde ont quant à elle reculé de 5% à 149,5 milliards d’euros. Sur les six premiers mois de l’année, les exportations atteignent 1.005,5 milliards d’euros, en baisse de 1% par rapport au premier semestre 2015. Les importations s’élèvent à 871,0 milliards d’euros, en recul de 3%.L’excédent commercial de la zone euro sur cette période s’établit donc à 134,5 milliards d’euros contre 111,4 milliards sur la période janvier-juin 2015. L’excédent commercial en juin 2016 dans l’ensemble de l’Union européenne est de 7,7 milliards d’euros, en baisse par rapport à juin 2015, où il atteignait 9,3 milliards d’euros. Les exportations se sont établies à 151,4 milliards d’euros dans les 28 Etats membres, en baisse de 5% par rapport à juin 2015 (159,8 milliards), tandis que les importations se sont chiffrées à 143,8 milliards, soit une baisse de 4% par rapport au même mois l’an passé (150,5 milliards).

(Avec AFP)

Lundi de pentecôte travaillé : 2,29 milliards en 2016, la nouvelle vignette pour les vieux !

Lundi de pentecôte travaillé : 2,29 milliards en 2016, la nouvelle vignette pour les vieux !

Officiellement la journée de solidarité est destinée à contribuer à la prise en charge des personnes âgées et handicapées. Il s’agit de travailler un jour(en principe le lundi de Pentecôte) sans être rémunéré. En réalité l’intention  a été détournée puisque très peu de salariés travaillent  effectivement le lundi de Pentecôte (autour de 20 %). En fait la journée de solidarité s’est transformée en impôts supplémentaires. La journée de solidarité ressemble donc d’assez près à la taxe de l’ancienne vignette qui devait être destinée aux vieux ;  certes le produit de la journée non payée va bien en direction des personnes âgées et des personnes handicapées mais c’est un jeu d’écriture dans la mesure où le budget aurait pris de toute manière en charge les dépenses. Concrètement il n’y aura pas davantage de places dans les maisons de retraite, dans les foyers logements, pour les services à domicile surtout compte tenu de la situation financière dramatique des départements. Lesquels dans de nombreux cas ont d’ailleurs réduit le volume des aides  à domicile notamment pour les auxiliaires de vie. À noter qu’il y aurait lieu aussi de s’interroger sur la gestion des EHPAD aussi sur les profits dégagés par les maisons de retraite privées surtout compte de tenu du coup exceptionnellement élevé pour les résidents La Journée de solidarité, fixée initialement le lundi de Pentecôte mais organisée depuis huit ans à la carte, a rapporté 2,24 milliards d’euros en 2015 et 2,29 milliards d’euros devraient être collectés en 2016, estime la CNSA, chargée de sa gestion. Créée en juin 2004, après la canicule meurtrière de 2003, la contribution de solidarité pour l’autonomie (CSA), destinée à financer une meilleure prise en charge des personnes âgées et handicapées en perte d’autonomie, a rapporté depuis lors 28 milliards d’euros au total, souligne la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie dans un communiqué. En contrepartie de cette journée travaillée mais non payée, les employeurs publics et privés versent à la CNSA une contribution de 0,3 % de la masse salariale (correspondant au surcroît de valeur ajoutée d’un jour de travail). Les revenus du capital y sont également soumis, à l’exception de l’épargne populaire comme le livret A. En 2016, 1,375 milliard d’euros seront redistribués au bénéfice des personnes âgées, avec 458,4 millions d’euros allant aux conseils départementaux pour le financement de l’Allocation personnalisée d’autonomie (APA) et 916,8 millions d’euros alloués aux établissements et services médico-sociaux accueillant ce public. D’autre part, 916,8 millions d’euros bénéficieront aux personnes handicapées, avec 595,9 millions d’euros versés aux conseils départementaux pour le financement de la prestation de compensation du handicap et le fonctionnement des maisons départementales des personnes handicapées. Enfin, 320,9 millions d’euros seront alloués aux établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes en situation de handicap. Plus concrètement, les recettes du « jour de solidarité » contribueront par exemple à recruter du personnel en maison de retraite ou en structure spécialisée, à financer des heures d’aide à domicile pour les seniors en perte d’autonomie et les personnes handicapées. Le montant de 2,29 milliards en 2016 reste une prévision qui peut évoluer en fonction de la situation économique de la France, précise la CNSA. Par ailleurs, depuis le 1er avril 2013, la CSA est étendue aux retraités assujettis à l’impôt sur le revenu avec l’entrée en vigueur de la Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (Casa). Cette taxe, intégralement reversée à la CNSA en 2016, devrait rapporter 726 millions d’euros, prévoit la Caisse. Elle permettra de financer les mesures prévues dans la loi d’adaptation de la société au vieillissement, votée fin 2015, pour améliorer l’accompagnement des personnes âgées en perte d’autonomie. En particulier, 306,65 millions d’euros seront consacrés à la revalorisation de l’APA à domicile, 127 millions d’euros serviront à la prévention de la perte d’autonomie ou encore 6 millions au renforcement de l’accompagnement des aidants.

(Avec AFP)

Sondage Présidentielle 2017 premier tour : Hollande éliminé dans tous les cas et Marine Le Pen à 29%

Sondage Présidentielle 2017 premier tour : Hollande éliminé dans tous les cas et Marine Le Pen à 29%

Dans tous les cas Hollande serait éliminé, avec une marge encore plus importante si le candidat de la droite est Juppé. Alain Juppé devancerait en effet  largement François Hollande au premier tour de l’élection présidentielle et serait au coude-à-coude avec Marine Le Pen, si le scrutin avait lieu dimanche, selon un sondage IFOP-Fiducial publié vendredi. Dans l’hypothèse d’une candidature de Nicolas Sarkozy pour Les Républicains (LR), celui-ci ne devancerait l’actuel chef de l’Etat que de deux points, 23% contre 21%, loin derrière Marine Le Pen, à 28%. François Bayrou recueillerait 12% des intentions de vote, Jean-Luc Mélenchon 8%, Nicolas Dupont-Aignan 3,5% et Cécile Duflot 2%, selon cette enquête pour Sud Radio et Lyon capitale. Si Alain Juppé était le candidat LR, il obtiendrait 27% des suffrages au premier tour, deux points derrière la présidente du Front national (29%), mais loin devant François Hollande, crédité de 19% d’intentions de vote. Dans ce cas de figure, si François Bayrou était également candidat, il recueillerait 9% des voix, Jean-Luc Mélenchon 8%, Nicolas Dupont-Aignan 3% et Cécile Duflot 2%. Si François Bayrou n’était pas candidat, Alain Juppé arriverait cette fois en tête avec 31,5% des intentions de votes, devant Marine Le Pen (29%), et loin devant François Hollande à 20,5%. Jean-Luc Mélenchon serait à 9%, Nicolas Dupont-Aignan à 4% et Cécile Duflot à 3%. Dans tous les cas de figure, Nathalie Arthaud (LO) et Philippe Poutou (NPA) oscillent entre 1% et 2%.

Sondage Départementales : l’UMP et FN à 29%, PS à 23%

Sondage Départementales : l’UMP et FN à 29%, PS à 23%

C’est le souhait des français, pas forcément ce qu’ils vont voter. Une nuance de taille car abstention elle pourraiat atteindre entre 50 et 60%. Or c’est dans le camp du PS que les électeurs sont le moins, mobilisés, ensuite à l’UMP. Du coup les intentions de vote, elles tournent selon les sondages autour de 30% pour le FN, 27% pour l’UMP et 20% pour le PS. ‘ (notons que la gauche est assez divisée).  L’UMP, allié à l’UDI, fait jeu égal avec le Front national dans le souhait des français de les voir remporter les élections départementales fin mars. Le sondage que publie le JDD, réalisé par l’IFOP, démontre que 29% des personnes interrogées veulent que ces deux partis l’emportent. Le Parti socialiste reste distancé, avec un résultat de 23%. Si l’UMP et le FN font jeu égal, leurs partisans sont différents : le parti de Marine Le Pen obtient ses meilleurs scores chez les ouvriers (50%) et les employés (50%). L’UMP fait ses meilleurs résultats chez les professions libérales et cadres supérieurs (45%). L’abstention s’annonce forte les 22 et 29 mars : 57% des personnes interrogées disent vouloir s’abstenir. Mais elle serait inégalement répartie : beaucoup plus forte à gauche qu’à droite. Avec un pic impressionnant chez les moins de 35 ans.

 

Bouygues souhaite garder ses 29,3% d’Alstom, c’est quoi ce cirque ?

Bouygues souhaite garder ses 29,3% d’Alstom, c’est quoi ce cirque ?

Bouygues change de fusil d’épaule et annonce maintenant  vouloir garder les 30% qu’il détient. Du coup on se demande pourquoi tout ce cirque Or on sait que pour l’essentiel c’est la volonté de Bouygues de se débarrasser de se parts qui avait justifié la mise en venet par appartements d’Alstom. Il serait temps que le gouvernement mette les pieds dans le plat et décide dune stratégie dans la mesure où pour l’essentiel les commandes d’Alstom sont des commandes publiques (TGV, centrales électriques etc.) de la France notamment. Le groupe Bouygues a en effet affirmé mardi soir vouloir conserver les 29,3% qu’il détient dans Alstom, adressant ce qui s’apparente à une fin de non-recevoir à l’offre du conglomérat japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) de lui racheter jusqu’à près d’un tiers de cette participation. « Bouygues souhaite rester un actionnaire de long terme d’Alstom à hauteur de 29,3% », a déclaré un porte-parole de Bouygues interrogé par l’AFP. Dans sa proposition commune avec Siemens portant sur la branche énergie d’Alstom, MHI avait annoncé souhaiter monter jusqu’à 10% du capital d’Alstom en rachetant une partie des parts de Bouygues.

Contrôleurs aériens : grève du 24 au 29 juin

Contrôleurs aériens : grève du 24 au 29 juin

Deux syndicats d’aiguilleurs du ciel, le SNCTA et l’UNSA-ICNA, ont appelé les contrôleurs aériens à faire grève du 24 au 29 juin prochain, premier week-end de grands départs en vacances, selon les Échos.  Les deux syndicats représentent respectivement 40,9% et 22,4% de la profession. Un mouvement qui devrait également toucher les aéroports européens.  Il s’agit pour les contrôleurs aériens de protester contre le plan de performance européen qui vise à faire baisser le coût du contrôle du trafic aérien, par une baisse des redevances. Ils redoutent à terme la privatisation de certains services comme la météo et la maintenance des installations, qui ne sont pas directement liées au contrôle aérien.   Les gouvernements français et allemand s’étaient prononcés contre le projet de la Commission européenne. Le secrétaire d’État aux transports, Frédéric Cuvillier recevra mercredi les représentants des deux syndicats.

Économies de 50 milliards: vote seulement « consultatif » à l’Assemblée le 29 avril

Économies de 50 milliards: vote seulement « consultatif » à l’Assemblée le 29 avril

 

Un  vote seulement  consultatif de l’Assemblée nationale mardi 29 avril mais qui risque d’^ter cependant houleux.   »Le vote aura lieu le 29 avril » et non pas le 30 comme initialement prévu, a-t-on précisé dans l’entourage du Premier ministre.  Ce programme de stabilité, qui détaillera la stratégie budgétaire de la France pour les années 2015 à 2017 sera d’abord présenté en Conseil des ministres le 23 avril et le même jour à la commission des Finances de l’Assemblée par le ministre des Finances Michel Sapin et le secrétaire d’Etat au Budget Christian Eckert.  Il viendra donc ensuite en séance le 29 avril en vertu de l’article 50-1 de la Constitution, qui permet au gouvernement de faire une « déclaration » suivie d’un débat et éventuellement d’un vote.  Ce programme sera ensuite transmis à la Commission européenne qui devrait formuler environ un mois après des « recommandations » qui devront être théoriquement prises en compte par le gouvernement dans la construction du projet de loi de finances 2015.  Le plan d’économies présenté par Manuel Valls a été fortement critiqué par une partie du groupe socialiste qui s’oppose en particulier au gel jusqu’à octobre 2015 des prestations sociales (hors minimas sociaux).  L’Assemblée n’aura pas la possibilité d’amender ce texte et le vote sera purement consultatif.  Mais il sera regardé dans les faits comme un deuxième vote de confiance à l’égard du gouvernement, trois semaines après la déclaration de politique générale du Premier ministre où déjà onze députés PS s’étaient abstenus.

L’agroalimentaire : 29% des effets de serre (humains)

L’agroalimentaire : 29% des effets de serre (humains)

 

 La production alimentaire pourrait représenter jusqu’à 29% des émissions humaines de gaz à effet de serre, soit deux fois l’estimation des Nations unies pour les gaz émanant de l’agriculture, selon une étude publiée mercredi. Le Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (GCRAI/CGIAR), chargé de coordonner la recherche agricole internationale, s’est intéressé aux émissions de la totalité du système agroalimentaire, y compris la déforestation, la production d’engrais et le transport, et non pas à la seule agriculture proprement dite. Dans son rapport intitulé « Changement climatique et systèmes alimentaires », il estime que la production alimentaire est responsable de 19% à 29% de la totalité des émissions de gaz à effet de serre de l’espèce humaine, soit nettement plus que l’estimation de 14% avancée par les Nations unies qui est basée sur une définition plus étroite de l’agriculture. Selon ses conclusions, il faut donc faire plus pour réduire les émissions de gaz à effet de serre liées à l’alimentation. « D’un point de vue alimentaire, (l’approche des Nations unies) n’a pas de sens », estime Bruce Campbell, qui dirige le programme de recherche du GCRAI sur le changement climatique, l’agriculture et la sécurité alimentaire. Beaucoup de pays pourraient entreprendre d’importantes économies en réduisant les émissions, fait-il valoir. « Il y a de bonnes raisons économiques d’améliorer l’efficacité dans l’agriculture et pas seulement de réduire les gaz à effets de serre. » Par exemple, la Chine, pourrait nettement réduire ses émissions par une production plus efficace des engrais. Le Royaume-Uni pourrait baisser ses émissions en consommant l’agneau venant des exploitations néo-zélandaises plus efficaces qu’en élevant ses propres moutons. Une moindre consommation de viande au profit des végétaux (légumes et des fruits) aiderait aussi. Faire pousser des céréales pour nourrir les animaux à viande nécessite beaucoup plus de terre et émet beaucoup plus de gaz à effet de serre que produire des céréales pour la consommation humaine. Un autre rapport du GCRAI indique que le changement climatique pourrait réduire les rendements des trois principales céréales en terme de production calorique – maïs, blé et riz – dans les pays en développement dans les décennies à venir. Cela pourrait forcer certains agriculteurs à procéder à des changement radicaux et cultiver des céréales plus adaptées aux sécheresses et aux inondations, comme l’igname, l’orge, le millet, le manioc ou encore les lentilles » Le système agricole mondial est face à une bataille ardue pour nourrir neuf à dix milliards de personnes à l’horizon 2050. Le changement climatique représente un obstacle important dans cette lutte », lit-on dans le rapport, intitulé « Recalibrage de la production alimentaire dans le monde en développement ».

 

 

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