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Montpellier : Le coupable en voiture d’une agression d’un policier déjà condamné à 28 reprises

Montpellier : Le coupable en voiture d’une agression d’un policier déjà condamné à 28 reprises

Il n’est sans doute pas étonnant que 62 % des Français soient mécontents de la politique de sécurité des pouvoirs publics d’après un dernier sondage. Et l’agression d’un policier à Montpellier confirme les raisons de ce mécontentement. En effet l’intéressé qui a traîné en voiture un policier avait déjà été condamné 28 fois par la justice.

«Vendredi, l’homme ayant traîné un policier sur plusieurs mètres à bord d’une voiture volée a été interpellé à Montpellier. L’information a été rendue publique ce dimanche par le procureur de la République Fabrice Belargent, dans un communiqué transmis au Figaro. Ce dernier précise que l’homme a déjà été condamné 28 fois par la Justice.

1er février, en début de soirée, l’individu a subi un contrôle par un équipage de la brigade anti-criminalité, son véhicule étant signalé volé. Si son passager a été interpellé, l’homme a résisté et démarré en trombe en marche arrière, entraînant le policier qui s’occupait de lui sur plusieurs mètres. Le fonctionnaire s’est fait écraser contre une autre voiture en stationnement, se blessant grièvement avant que son agresseur ne prenne la suite.

Economie, politique, société: les plus lus- (28 Janvier 2021- 6 heures)

Economie, politique, société: les plus lus- (28 Janvier 2021- 6 heures)

 

 

Covid France 28 janvier 2022 : encore 392 168 cas en 24 heures

Covid France 28 janvier 2022 : encore 392 168 cas en 24 heures

392 168 cas en 24 heures jeudi 27 janvier 2022 soit un chiffre toujours très élevé, proche de la barre des 400 000, mais en baisse de 33 015 cas en comparaison de jeudi dernier.

La moyenne 7 jours baisse pour la deuxième journée consécutive, à 360 297 cas enregistrés quotidiennement contre 365 013 hier, et le taux d’incidence passe à 3792,08 cas pour 100 000 habitants en France actuellement (3739,68 hier).

Le nombre de décès enregistrés en 24 heures à l’hôpital reste élevé, avec 268 morts (hors Ehpad) dans ce nouveau bilan, soit 10 de plus qu’hier et 22 de plus que jeudi dernier.

Dans les hôpitaux, on dénombre actuellement 30 982 patients hospitalisés avec Covid-19, en hausse de 358 par rapport à hier, tandis que 3694 personnes sont en réanimation soit encore 18 de moins.

Sur les dernières 24 heures, 3095 malades ont été admis à l’hôpital soit 202 de moins que la veille et 42 de plus comparé à jeudi dernier. 316 admissions en réanimation ont été enregistrées, soit 25 de moins qu’hier et 15 de plus que jeudi dernier.

 

Covid 28 novembre 21: moyenne en hausse

Covid 28 novembre 21: moyenne en hausse

 

La moyenne sur une semaine est toujours en hausse. Samedi 28 novembre le nombre de contaminés a atteint 31 648 soit une moyenne sur sept jours de 29 297. À comparer au chiffre d’il y a un mois le 28 octobre où on observait 5507 contaminés et une moyenne de 6461. Un taux de progression tout à fait exceptionnel qui montre que la France va bientôt rejoindre les taux de contamination constatée dans les pays voisins notamment en Allemagne et au Royaume-Uni.

 

Commerce : autorisation de Réouverture des commerces le 28 novembre : un soulagement en demi-teinte .

Commerce : autorisation de Réouverture des commerces le 28 novembre : un soulagement en demi-teinte

 

Un accueil mi-figue mi-raisin de la part de la profession concernant la perspective de réouverture des commerces le 28 novembre. Globalement, une ouverture qui va profondément affecter les résultats financiers de ce secteur d’activité. Nombre d’entreprises seront condamnés à la faillite. En outre,  les conditions de réouverture sont particulièrement draconiennes puisqu’on impose désormais une surface de 8 m² par client soit le double que précédemment. Dans le même temps, les clients continueront de se balader librement dans les grandes surfaces, de se côtoyer et de tripoter à loisir les biens y compris l’alimentation.

«On se moque de nous», dénonce son Secrétaire général, Marc Sanchez, réagissant au nom des TPE«La jauge à 8 m2 double les contraintes précédemment requises pour l’accueil de la clientèle espérée nombreuse en cette période de fêtes de fin d’année. Ce sont encore les grandes surfaces qui vont tirer parti de l’ouverture des rayons « non essentiels ».

Ce n’est évidemment pas le doublement de l’aide qui passerait de 1500 € à 3000 € qui pourra permettre de sauver certains petits commerces. Une aide qui ne pourra même pas aider sur un mois d’activité alors sur un an !

 

Ne devrait-on pas permettre aux petits commerces de bénéficier de quinze jours exclusifs ?» écrit-il dans un communiqué. Même réaction du côté du côté du Conseil du commerce de France (Cdcf). S’il reconnaît avoir «été entendu» par le gouvernement, «le soutien financier pour les charges, les loyers et les stocks est essentiel aussi. Nous rouvrons, mais ça n’efface pas le mois de novembre perdu», explique-t-il.

Évidemment dans le secteur des cafés et des restaurants, c’est la catastrophe annoncée avec la réouverture hypothétique le 20 janvier. La plupart des experts prévoit que de leur de 30 % de ces commerces pourrait définitivement disparaître.

Coronavirus : 28 départements en zone rouge

Coronavirus : 28 départements en zone rouge

7071 nouveaux cas ont été recensés ces dernières 24 heures et sept départements ont été ajoutés à la liste autorisant des mesures renforcées. Le Nord, le Bas-Rhin, la Seine-Maritime, la Côte-d’Or – quatre départements qui comptent des agglomérations importantes, la métropole de Lille, Rouen, Le Havre, Strasbourg, Dijon – les deux départements de Corse (Corse-du-Sud et Haute-Corse) et l’île de La Réunion sont concernés par ces nouvelles mesures du fait de l’accélération des contaminations..

Près de 25.000 nouveaux cas en trois jours, et des indicateurs qui continuent globalement de se détériorer,  9.000 nouveaux cas vendredi, un record depuis le début de l’épidémie et des tests à grande échelle en France, 8.500 cas environ ont été confirmés samedi, puis 7.071 dimanche, d’après Santé publique France

La Convention citoyenne rejette les 28 heures de travail !!!

 

 

Il s’agit de la première des 150 mesures soumises à l’adoption des membres à être rejetée  et qui nous a sans doute évité le ridicule. 

. Beaucoup d’intervenants se sont notamment inquiétés des conséquences économiques de la mesure et de l’image qu’une adoption donnerait de leurs travaux.

«C’est totalement déconnecté de la réalité et c’est indéfendable dans le contexte actuel. Et cette mesure discrédite totalement la convention, c’est donner le bâton pour se faire battre. Si c’est proposé, ça sera rejeté et ça aura juste discrédité notre travail,» jugeait ainsi Mélanie (en séance, les membres de la convention ne sont mentionnés que par leurs prénoms).

«Le partage c’est beau mais avec la crise actuelle c’est pas possible. J’ai travaillé toute ma vie 50 heures par semaine en élevant seule deux enfants. C’est toujours les mêmes qui travaillent moins, toujours les mêmes qui travaillent plus et pour des salaires minables,» lançait de son côté Marie-Hélène en refusant la mesure. «C’est hors mandat par rapport à la diminution des gaz à effet de serre», jugeait de son côté Lionel, tandis que d’autres abondait : «Il faudrait une convention citoyenne séparée sur le travail».

«Le télétravail avant c’était un ovni, personne n’imaginait ça. Mais l’application de cette mesure ça n’est pas dans six mois, c’est dans dix ans, il faut se projeter et réfléchir», répondait Sylvie pour défendre la mesure. «On peut être d’accord ou ne pas être d’accord, mais ça n’est pas à vous de dire qu’on va avoir l’air de guignols», lançait Annie. «On a voulu dire que le modèle et le système ne nous conviennent pas, alors osons».

Le coronavirus France 28 morts en 24 heures en France

Le coronavirus France 28 morts en 24 heures en France

 

28 morts supplémentaires liés au coronavirus ces dernières 24 heures en milieu hospitalier, a annoncé jeudi la direction générale de la santé, qui ajoute que la baisse continue du nombre de personnes hospitalisées observée depuis plus de deux mois se poursuit.

Le nombre de personnes hospitalisées pour leur contamination au coronavirus a reculé à 10.125, soit 142 de moins que mercredi et au plus bas depuis le 23 mars.

Les services de réanimation traitaient jeudi 752 patients atteints du COVID-19, soit 20 de moins que la veille. Le recul est continu depuis le pic atteint le 8 avril dernier, quand 7.148 malades étaient en réanimation. Il faut remonter au 17 mars pour retrouver un nombre inférieur de patients en réanimation (699).

L’agence Santé publique France fait pour sa part état d’une progression de 467 cas confirmés de contamination, portant le total à 158.174 depuis le début de l’épidémie.

Attention aux clusters y compris en métropole

La DGS souligne que la Guyane et Mayotte, où le virus circule “très activement”, font toujours l’objet d’une surveillance renforcée de la part des autorités sanitaires.

En Guyane, la situation épidémique nécessite des transferts de patients et la mobilisation de renforts en cours de programmation pour anticiper toute surcharge des capacités médicales et soulager les équipes sanitaires.

A Mayotte, le nombre de cas est élevé, mais la tendance est à la baisse. Les renforts et les évacuations vers l’île de la Réunion ont permis d’éviter des tensions majeures, indique la DGS.

La direction générale de la santé relève par ailleurs que le taux de reproduction du virus a augmenté en Normandie, franchissant le seuil de vigilance.

Ce taux de reproduction, ou R0, correspond au nombre moyen de personnes infectées par un seul cas. S’il est inférieur à 1, l’épidémie recule. En Normandie, il est remonté à 1,14, précise la DGS jeudi soir.

“Cette augmentation s’explique par la détection de cas groupés, ou clusters, au sud de l’agglomération rouennaise, en cours de gestion. Cette situation reflète donc une circulation virale réelle, mais contrôlée, qui implique une vigilance accrue de la part de l’ensemble de la population”, souligne la direction générale de la santé.

Coronavirus: 28 décès réanimation en baisse

Coronavirus: 28 décès réanimation en baisse

28 morts supplémentaires en 24 heures en France pour un total de 29.374 décès depuis le 1er mars, a annoncé vendredi la direction générale de la Santé (DGS), qui a fait état

Le nombre de personnes hospitalisées pour une contamination au coronavirus a reculé à 11.124, soit 341 de moins que jeudi.

Les services de réanimation traitaient vendredi 879 patients atteints du COVID-19, soit 24 de moins que la veille. Il s’agit du plus faible nombre enregistré depuis le 17 mars dernier, jour de la mise en oeuvre du confinement (699 personnes étaient alors en réanimation).

Ces derniers jours, le nombre de cas dans la Meuse et en Meurthe-et-Moselle a attiré l’attention des services de santé en dépassant le seuil de vigilance, fixé à 10 tests positifs pour 100.000 habitants.

“Ce pic a fait l’objet d’investigations de la part des équipes de terrain afin d’identifier tout risque de reprise épidémique”, souligne la DGS.

Quatre régions (Ile de France, Grand-Est, Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France) regroupent toujours près des trois-quarts des patients hospitalisés en réanimation.

Le nombre total de cas confirmés de contaminations s’élève à 156.287, soit 726 cas de plus en 24 heures, a précisé ultérieurement Santé Publique France.

Depuis le début de l’épidémie, 103.177 personnes ont été hospitalisées, dont 18.185 en réanimation, et 72.572 personnes sont rentrées à domicile.

Sur les 29.374 personnes décédées en France depuis le début de l’épidémie, 18.990 l’ont été au sein des établissements hospitaliers.

Les données des décès en établissements sociaux et médico-sociaux, pour l’essentiel des Ehpad, seront actualisées mardi prochain.

Mobilisation interprofessionnelle (CGT et FO) le 28 juin

Mobilisation interprofessionnelle (CGT et FO) le 28 juin

On ne peut pas dire quelles manifs interprofessionnelles aient connu un vrai succès ce dernières semaines et derniers mois. Ce serait plutôt un fiasco. Pourtant,  la CGT lance un nouveau mouvement pour le 28 juin, cette fois sans son allié habituel SUD mais avec FO ! Ce qui permettra au moins au nouveau patron de FO de prendre  la mesure de son décalage entre ses propos et la mobilisation sur laquelle il peut compter ; autant dire qu’il agira de la dernière manif avant la rentrée de septembre. Une sorte de rituel d’enterrement car la participation risque d’être encore davantage insignifiante en raison de l’amalgame des revendications.  La CGT, FO et les organisations de jeunesse Unef, UNL et Fidl ont appelé mercredi à une journée de mobilisation le 28 juin, pour la défense des étudiants, travailleurs, chômeurs et retraités. C’est la première fois depuis la loi travail de 2016 que la CGT et FO organisent ensemble une mobilisation interprofessionnelle. Dans un communiqué, elles invitent par ailleurs les autres syndicats à « se réunir dès fin août pour analyser la situation sociale » et « envisager » des initiatives unitaires. Solidaires, allié traditionnel de la CGT, n’a pas souhaité s’associer à cet appel. Elle appellera aussi à une mobilisation le 28 juin mais de son côté et sur « ses propres mots d’ordre », a précisé à l’AFP Eric Beynel, son porte-parole. Alliées contre la loi travail portée en 2016 par la ministre socialiste Myriam El-Khomri, la CGT et FO ont organisé 14 manifestations nationales ensemble. Elles se sont brouillées depuis mais Pascal Pavageau, le numéro un de FO depuis avril, n’a jamais caché son envie de renouer avec la CGT.

Grève SNCF : unité syndicale….. Jusqu’au 28 juin

Grève SNCF : unité syndicale….. Jusqu’au 28 juin

 

 

Il est vraisemblable que l’unit syndicale ne tiendra pas au-delà du 28 juin dernier jour d’action  prévu pas intersyndicale ; de toute manière la mobilisation va s’éteindre progressivement d’autant que les divergences  sont nettement apparues entre les différents syndicats. Le début du conflit le 3 avril. La CGT, CFDT, l’UNSA et Sud Rail se rencontraient pour une nouvelle réunion sur l’avenir de la grève intermittente annoncée initialement pour durer jusqu’au 28 juin. Le climat est toutefois particulièrement tendu entre les quatre organisations. Sud Rail, la CGT et l’UNSA reprochent à la CFDT d’avoir annoncé sans concertation qu’elle souhaitait une trêve de la grève pendant la semaine du baccalauréat afin d’acheminer les jeunes vers les épreuves. Pour le secrétaire fédéral de Sud Rail, Bruno Poncet, il faut “mettre la pression sur le gouvernement” pour “gagner le retrait de cette réforme” plutôt que de parler de suspension. Il a fait savoir pendant la réunion qu’il “ne voyait pas l’intérêt d’une interfédérale” si la CFDT maintenait son appel. L’UNSA, pour sa part, lui reproche sa volte-face sur le sujet, alors qu’elle avait elle-même fait cette proposition lors de la dernière rencontre intersyndicale. Elle estime que la CFDT met “en porte-à-faux” l’union syndicale. “Nous, on a toujours eu cette volonté de travailler jusqu’au bout du conflit en intersyndicale. Aujourd’hui, force est de constater que certains ont pris un autre chemin”, a déclaré le secrétaire général de la fédération, Roger Dillenseger. Plusieurs dizaines de cheminots grévistes se sont retrouvés devant les locaux de la SNCF où se tient cette rencontre, dans le dixième arrondissement de Paris, pour manifester leurs craintes face à un arrêt possible du mouvement. Certains ont tenté de forcer l’entrée du bâtiment. A l’issue de la rencontre, la CGT-Cheminots a voulu se montrer rassurante quant à la force du mouvement. “Les organisations syndicales, CGT, UNSA, Sud Rail et CFDT ont analysé l’état du rapport de force qui démontre que les cheminots sont toujours hostiles à la réforme”, a déclaré son secrétaire général, Laurent Brun. Il a appelé les cheminots à “se mobiliser massivement” sur la journée du 28 juin, dernière date prévue de la grève, pour montrer qu’ils restaient “déterminés” et a prévenu que si la tripartite du 15 juin était “improductive”, de nouvelles mobilisations seraient programmées. Les députés français ont adopté mercredi, à une large majorité de 452 voix contre 80, la réforme de la SNCF appelée à entrer en vigueur le 1er janvier 2020. Issu de l’accord trouvé lundi en commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat, le texte doit être définitivement entériné jeudi par un vote en séance à la chambre haute.

Naturalisation de 28 tirailleurs sénégalais : la honte !

Naturalisation de 28 tirailleurs sénégalais : la honte !

Près de 50 000 africains ont été tués leur de la première guerre mondiale et lors  de la période 39 45. Par la suite certain furent engagés sur le terrain de l’Indochine ou de l’Algérie. Ces Africains qui se sont battus pour le drapeau français n’ont eu droit qu’à très peu de reconnaissance. L’heure des premières grandes guerres beaucoup ont été incorporés de force. Nombreux ont été les morts,  les blessés ou les invalides pourtant en 1960 le parlement français a adopté un dispositif du blocage des tensions. Ce n’est qu’en 2007 que le Parlement français a acceptés de revaloriser ses pensions. La plupart de ces bénéficiaires était mort et beaucoup des combattants était dans l’incapacité de présenter des dossiers administratifs pour prétendre à obtenir ces compensations. Sans doute pour faire semblant de s’excuser François Hollande a autorisé la naturalisation de 28 anciens tirailleurs sénégalais ayant combattu dans les rangs de l’armée française. Mais parmi eux évidemment personne ayant combattu pendant les deux grandes guerres. François Hollande présidera samedi à l’Elysée une cérémonie de naturalisation de 28 anciens tirailleurs sénégalais ayant combattu dans les rangs de l’armée française. Âgés de plus de 80 ans pour la plupart, ces hommes issus de l’Afrique subsaharienne ont combattu pour la France dans différentes opérations militaires jusqu’en 1960 dans le cadre de la Guerre d’Algérie, mais aussi, pour quelques-uns d’entre eux, en Indochine, au Maroc et en Tunisie. Une réparation à minima car le courage des Africains au cours des deux grandes guerres a été exemplaire. L’heure de la guerre de 14 18 10 en même été parfois utilisé comme de la chair à canon. On objectera à juste titre que certains combattants français n’ont guère aussi été reconnus comme par exemple les réfractaires maquisards en 39 40 qui ont rejoint la résistance. On leur avait promit monts et merveilles et ils ont fini avec une médaille ! Pour les Africains, la situation est encore plus scandaleuse d’autant encore une fois beaucoup ont été incorporés de force. La décision de François Hollande est vraiment une manifestation de reconnaissance à minima pour qulesqes uns « Ce sera l’occasion de rappeler ce qu’a été la contribution de l’Afrique à la libération de l’Europe, et de rendre hommage à ces hommes valeureux qui ont risqué leur vie pour la France », a pourtant précisé l’Elysée. En décembre dernier, François Hollande s’était engagé auprès de son homologue sénégalais Macky Sall, en visite d’Etat à Paris, à ce que les dossiers de naturalisation des tirailleurs vivant en France et qui en font la demande soient examinés « avec rapidité et bienveillance ». Quelques dizaines de personnes sont aujourd’hui concernées. les dizaines de milliers duatres sont morts.

Sondage Fillon : 28% seulement pour

Sondage Fillon : 28% seulement pour

 

Fillon a de quoi se faire du souci car après son triomphe lors des primaires,  il ne cesse d’accumuler les erreurs et les approximations. Du coup, si effectivement 55 % des Français pensent qu’il sera quand même élu président  de la république, seulement 28 % le souhaitent. En cause évidemment plusieurs propositions majeures de Fillon très contestées  par l’opinion. La sécurité sociale d’abord avec des propositions critiquées par 90 % des Français, aussi la hausse des impôts qui pèseront sur les moins favorisés à travers en particulier la TVA. Également la perspective de suppression de 500 000 fonctionnaires opérés de manière brutale mais surtout sans discernement avec le non remplacement de ceux qui partent en retraite. . Selon le sondage réalisé par l’IFOP pour le JDD, une majorité de Français (55%) pronostiquent sa victoire dans la course à l’Elysée. En revanche, s’il est placé en tête des intentions de vote dans toutes les enquêtes depuis la primaire qui l’a désigné, son élection n’est souhaitée que par 28% des sondés. Mais le candidat pourrait s’alarmer de deux autres indicateurs. Selon les réponses collectées par l’IFOP, François Fillon est considéré comme insuffisamment attentif à leurs problèmes par 72% des Français (+ 9 points par rapport à novembre). Plus notable encore, le programme du candidat est jugé inquiétant par 62% des personnes interrogées, et même par son propre électorat naturel (50% des sympathisants LR, + 16 points par rapport à la fin novembre).

Primaire 2017: Alain Juppé 42%, Sarkozy 28%

 Primaire 2017: Alain Juppé 42%, Sarkozy 28%

D’après une enquête kantar public pour LCI, RTL et le Figaro, Nicolas Sarkozy perd 5 points pour descendre à 28 % des intentions de vote. Au second tour, le maire de Bordeaux gagnerait avec 62 % des suffrages contre 38 % à l’ex-président. L’écart entre eux passe de 18 à 24 points. Si la participation s’élevait à 5,2 millions d’électeurs, l’avance du maire de Bordeaux serait encore plus nette: 43 % des suffrages contre 26 %. Elle se réduit en revanche dans l’hypothèse d’une participation faible, à 1,8 million d’électeurs: l’ancien président ne perdait que 4 points, à 32 % des suffrages, contre 41 % à Alain Juppé. Au second tour, le score s’établirait à 38 % des voix contre 62 % en faveur de Juppé dans l’hypothèse large, et à 43 % contre 57 % dans l’hypothèse d’une participation restreinte. Dans tous les cas, le candidat de la «réforme tranquille» accroît son avance par rapport à l’enquête de septembre.  «Nicolas Sarkozy a réussi à imposer ses thèmes, mais tout se passe comme si les clivages qu’il crée se retournaient contre lui davantage que contre Alain Juppé», analyse Emmanuel Rivière. Pour le directeur général France de Kantar Public, l’évolution des intentions de vote traduit une dynamique «de rejet plus que d’adhésion», d’où «une certaine fragilité» de l’avance du maire de Bordeaux, qui «doit encore fidéliser» ses électeurs. En juin, lors de notre première enquête, 14 % des personnes interrogées motivaient leur vote par le «refus» d’un des candidats. Cette proportion a grimpé à 20 % et l’homme à abattre est clairement l’ancien chef de l’État. 29 % des électeurs d’Alain Juppé, soit 4 points de plus qu’en septembre, déclarent choisir le maire de Bordeaux pour empêcher son rival de revenir. Inversement, 7 % seulement des électeurs de Sarkozy (soit 4 points de plus tout de même que le mois dernier) disent vouloir écarter Juppé de la course. La dissymétrie est également visible dans le jugement porté par les personnes interrogées sur la stature des candidats: «43 % des électeurs de Sarkozy pensent que Juppé a la stature d’un président de la République, souligne Emmanuel Rivière, alors que 16 % seulement des électeurs de Juppé créditent Sarkozy de cette même stature.»

 

(Le Figaro)

 

Michelin : ça baigne aussi pour le patron, 28% d’augmentation !

Michelin : ça baigne aussi pour le patron 28% d’augmentation

Grâce notamment à des suppressions d’effectifs (environ 500 à Clermont-Ferrand), le patron de Michelin a pu augmenter son salaire de 28 %. Décidément ça baigne pour les patrons du CAC. 40. À la décharge de Michelin l’entreprise est par ailleurs relativement bien gérée et le patron n’est pas le plus rémunéré du CAC, mais quand même ! Michelin s’est en effet montré généreux pour son dirigeant, Jean-Dominique Senardet ses actionnaires. A l’issue de l’assemblée générale annuelle des actionnaires à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), les 1.500 actionnaires présents ont approuvé la rémunération annuelle de Jean-Dominique Senard à 2,384 millions d’euros contre 1,857 millions en 2014, soit 28% de progression. Ce satisfecit contraste avec « l’affront » qu’a subi Carlos Ghosn dont la rémunération de 7 millions d’euros n’avait pas été approuvée par l’assemblée générale des actionnaires de Renault, bien que ce vote n’ait été que consultatif. Le bond du salaire du président de Michelin est exclusivement dû à la progression de la part variable de sa rémunération qui a atteint 1,277 millions d’euros, la part fixe restant inchangée (1,1 million d’euros) ainsi que l’avantage en nature lié à sa voiture de fonction (7.000 euros). Le président de Michelin a bénéficié à plein des bons résultats de Michelin en 2015. L’année passée fut marquée par un résultat opérationnel de 2,577 milliards d’euros (+19%) et un flux libre positif de trésorerie de 833 millions d’euros, deux indicateurs présentés comme « historiques » par l’industriel. Sa part variable étant indexée à la fois sur le bénéfice consolidé du groupe et sur la réalisation de plusieurs objectifs, Jean-Dominique Senard a perçu à ce titre respectivement 508.000 euros et 769.000 euros. Au cours de cette assemblée annuelle, le dividende par action, proposé à 2,85 euros, a par ailleurs été approuvé, de même que le renouvellement de l’autorisation d’un programme de rachat d’actions limité à 10% du capital et à140 euros par action Michelin a par ailleurs confirmé pour 2016 son objectif d’une croissance de ses ventes supérieure à celle des marchés sur lesquels il opère, aidé par les ventes en hausse de pneus destinés aux voitures de tourisme et aux camionnettes. Ces perspectives optimistes sont encouragées par les bons résultats du premier trimestre 2016 avec un chiffre d’affaires en légère hausse de 0,9%. La principale activité de la firme au Bibendum, les ventes de pneus destinés aux voitures de tourisme et aux camionnettes, a notamment connu une progression de 4,3% sur la période à 2,9 milliards d’euros. De bonnes perspectives encouragées par le succès du « CrossClimate », un pneu été, également certifié comme pneu hiver. « C’est un peu un changement culturel. Je ne pensais pas que nous vendrions autant de (ces) pneus. C’est 30% de plus de nos scenarii les plus roses. Donc, on ne va pas bouder notre plaisir », a ajouté le gérant associé commandité de Michelin, pour qui ce produit représente une « révolution » en Europe. La firme a toutefois annoncé il y a quelques semaines la suppression de 495 postes dans son berceau historique de Clermont-Ferrand, liée à la fermeture d’un atelier de rechapage de pneus.

 

(Reuters-AFP)

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