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Covid France 18 mars 2023 : 7228 cas supplémentaires en 24 heures et 26 morts

Covid France 18 mars 2023 : 7228 cas supplémentaires en 24 heures et 26 morts

Découvrez les derniers chiffres concernant l’épidémie de covid-19 en France. D’après le dernier bilan de Santé Publique France, la France fait état de +26 morts supplémentaires au total. On recense ce vendredi 17 mars 2023, 165.314 morts au total et +7.228 nouveaux cas confirmés en 24h.

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 142.673 cas confirmés soit +7.228 depuis le dernier bilan.

On recense ce vendredi 17 mars 2023 : 7228 cas supplémentaires en 24 heures et 26 morts soit au total 165.314 morts au total.

Le taux de reproductivité R est de 1,27 le taux d’incidence à 62,72 et la tension hospitalière à 14,9 %.

La France compte actuellement 13.279 (-46) personnes hospitalisées et 755 (+6) malades en réanimation.


Bilan des régions
:

Ile-de-France : 4.551 (+4) hospitalisées, 303 (-8) en réanimation et +7 décès en 24h
Grand Est : 1.234 (+14) hospitalisés, 65 (+2) en réanimation et 0 décès en 24h
Hauts de France : 1.393 (+13) hospitalisés, 70 (+4) en réanimation et +2 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 856 (-77) hospitalisés, 32 (-4) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 813 (+3) hospitalisé, 51 (+4) en réanimation et +4 décès en 24h
Bretagne: 311 (+3) hospitalisés, 14 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 861 (-4) hospitalisés, 27 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.142 (-5) hospitalisés, 75 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
Pays de la Loire : 175 (0) hospitalisés, 9 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 740 (+1) hospitalisés, , 46 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 604 (-1) hospitalisés, 25 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 449 (+4) hospitalisés, 26 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h

Covid France 26 septembre 2022: +37.524 cas supplémentaires en 24h.

Covid France 26 septembre 2022: +37.524  cas supplémentaires en 24h.

 

D’après les dernières de données connues  vendredi 23 septembre 2022, on enregistre :+37.524  cas Supplémentaires en 24 ,  154.887 morts au total, +33 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.131 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 125.756 (+33 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,37 le taux d’incidence à 314,37 et la tension hospitalière à 13,8 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 12.961 (+53) personnes hospitalisées et 700 (-7) malades en réanimation.

Bilan des régions :

  • Ile-de-France : 4.084 (+19) hospitalisées, 270 (+5) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Grand Est : 1.025 (+25) hospitalisés, 55 (+3) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.015 (-9) hospitalisés, 53 (-1) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.076 (+22) hospitalisés, 41 (-2) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.111 (+10) hospitalisé, 41 (-3) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Bretagne: 394 (-10) hospitalisés, 23 (+2) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Normandie : 703 (+19) hospitalisés, 27 (+3) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 993 (+8) hospitalisés, 63 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 194 (+2) hospitalisés, 15 (-1) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Occitanie: 922 (-7) hospitalisés, , 38 (-10) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 570 (-14) hospitalisés, 30 (+1) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 541 (-7) hospitalisés, 30 (-2) en réanimation et +1 décès en 24h

 

Economie, politique, société: les plus lus- 26 Janvier 2021- 8 heures

Economie, politique, société: les plus lus- 26 Janvier 2021- 8 heures

 

 

Economie, politique, société: les plus lus- 26 Janvier 2021- 7 heures

Economie, politique, société: les plus lus- 26 Janvier 2021- 7 heures

 

Covid France 26 janvier 2022 : hausse aussi des morts

Covid France 26 janvier 2022 : hausse aussi des morts

 

 

Des records ont été battus ce mardi 25 janvier avec le nombre de contaminations de plus de 500 000 en 24 heures, le nombre d’hospitalisés de plus de 30 000 et un nombres de décès toujours très important.

 

Concernant les décès à l’hôpital, la courbe ne cesse de grimper ces dernières semaines. Santé publique France rapporte 364 nouveaux décès liés au coronavirus recensés à l’hôpital pendant les dernières 24 heures.

 

En moyenne, les hôpitaux enregistrent maintenant 251 nouvelles victimes de l’épidémie chaque jour, contre une moyenne de 218 nouveaux décès par jour il y a une semaine. Au total, le bilan humain de la France s’établit à 129 386 morts au coronavirus depuis début 2020.

Covid France 26 janvier 2022 : record aussi d’hospitalisations

Covid France 26 janvier 2022 : record aussi d’hospitalisations

 

mardi 25 janvier 2022 deux  records notamment auront été battu:  celui des contaminations avec plus de 500 000 mais aussi le nombres d’hospitalisés qui dépassent les 30 000.

 

Le nombre de patients atteints par le Covid-19 hospitalisés repasse de nouveau au-dessus du plateau de 30 000. C’est la première fois depuis avril 2021. Précisément, 30 189 patients diagnostiqués Covid-19 sont hospitalisés en France ce mardi 25 janvier, soit 441 patients de plus que lundi. En revanche, tous ces patients ne sont pas forcément hospitalisés pour un traitement du Covid-19. Santé publique France ne dévoile pas encore quotidiennement la part précise des patients avec le Covid-19 à l’hôpital mais pour d’autres motifs.

 

Par contre du côté des services de soins critiques, la baisse se poursuit. 3 741 patients atteints par les formes les plus graves se trouvent dans ces services ce mardi, ils sont 35 de moins par rapport à la veille.

 

Parmi les pays les plus touchés la France dans le peloton de tête

 

Parmi les pays les plus touchés la France dans le peloton de tête 

Avec l’envolée des contaminations au cours des dernières semaines, la France se situe dans le polo donc de tête des décès  provenant du covid. Bien entendu ces statistiques peuvent être soumises à discussion tellement sont différents les systèmes statistiques et de santé dans chaque pays sans parler des considérations politiques .

Au 22 janvier la France a  enregistrée de l’ordre de 2000 décès pour 1 million d’habitants inférieurs à celui des États-Unis avec 2600, à celui du Brésil avec 2900, à celui du Royaume-Uni avec 2300 , à celui de l’Argentine avec 2600, inférieurs à la Colombie 2600, inférieurs à l’Ukraine avec 2400, inférieurs à la Belgique avec 2500 mais très supérieurs à celui de l’Allemagne, un pays comparable, avec 1300 décès par million d’habitants.

En cause sans doute ,les tergiversations sur la politique de prévention avec de nombreuses contradictions en France. Une politique sanitaire caractérisée d’une part par sa complexité d’autre part par son ambiguïté puisque le pouvoir en même temps annonce la fin prochaine de la pandémie et la levée des mesures au même moment où les statistiques s’envolent. Des annonces sans doute trop optimistes et la levée de mesures de protection trop prématurée.Le même phénomène qu’on a connu au cours de l’été 2021 !

Covid France 27 DÉCEMBRE 2021 : +27.697 NOUVEAUX CAS

Covid France  27 DÉCEMBRE 2021 : +27.697 NOUVEAUX CAS

Covid France  26 DÉCEMBRE 2021:  9.116.068 cas confirmés soit +27.697 en 24h. Des chiffres non significatifs le dimanche compte tenu de la fermeture de la plupart des laboratoires.

On compte  122.642 morts au total, +96 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 27.033 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 95.609 (+96 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,09 le taux d’incidence à 712,25 et la tension hospitalière à 65,2 %. Le taux de positivité est à 6,7 %.

La France compte actuellement 16.365 (+203) personnes hospitalisées et 3.299 (+17) malades en réanimation.

Données des régions:

  • si Ile-de-France : 3.296 (+24) hospitalisées, 627 (-2) en réanimation et +15 décès en 24h
  • Grand Est : 1.411 (+17) hospitalisés, 302 (+1) en réanimation et +9 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.251 (+12) hospitalisés, 285 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 2.132 (+47) hospitalisés, 460 (+6) en réanimation et +15 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.323 (+26) hospitalisé, 453 (+6) en réanimation et +19 décès en 24h
  • Bretagne: 441 (+8) hospitalisés, 64 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Normandie : 716 (+7) hospitalisés, 93 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.072 (+25) hospitalisés, 248 (+7) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 471 (+4) hospitalisés, 94 (-5) en réanimation et +8 décès en 24h
  • Occitanie: 1.509 (+14) hospitalisés, , 337 (-3) en réanimation et +15 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 474 (+2) hospitalisés, 101 (+2) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 797 (+13) hospitalisés, 129 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h

Ce dimanche 26 décembre 2021, le virus Covid-19 touche 277.331.862 cas confirmés et a fait au total 5.378.157 morts dans le monde.

 

Cop 26: Un fiasco hypocrite

Cop 26: Un fiasco hypocrite

 

Avec maintenant un peu de recul, les médias reconnaissent que la COP 26 constitue une véritable arnaque. On constate en effet un nombre impressionnant d’engagements partiels qui en réalité ne sont nullement contraignants et surtout la mise de côté de l’objectif central de ne pas dépasser 1,5° de réchauffement par rapport à l’ère pré industrielle. Même ambiguïté concernant les énergies fossiles y compris le charbon. Un papier du « monde confirme » l’échec de cette COP 26

 

Papier du « Monde ». ( extrait)

 

 

C’était sans doute le plus spectaculaire des rendez-vous manqués de cette conférence mondiale tant attendue sur le climat, mais on en retiendra surtout la persistance du profond clivage Nord-Sud. La solidarité des pays développés à l’égard des plus vulnérables, qui ne sont pas responsables du dérèglement climatique mais se trouvent souvent en première ligne, n’a pas été à la hauteur du défi : les pays riches ont certes accepté de doubler les fonds consacrés à l’adaptation au réchauffement climatique, mais ils ont refusé des financements spécifiques pour les dégâts irréversibles auxquels il n’est plus possible de s’adapter.

On se dirige donc toujours vers 2,7 °C de réchauffement à la fin du siècle. L’action a été repoussée à l’an prochain. Le renoncement sur le charbon montre qu’il sera difficile de sortir à temps de cette énergie, la plus polluante. Ainsi, malgré la mise à disposition de 8,5 milliards de dollars (7,4 milliards d’euros) annoncée par la France, l’Allemagne, l’Union européenne et les Etats-Unis pour l’aider dans sa transition énergétique, l’Afrique du Sud s’est exprimée contre la mention d’une sortie du charbon dans le pacte climatique de Glasgow. Les pays du Sud ont rappelé qu’ils étaient aussi en droit de profiter des énergies fossiles pour se développer, comme l’ont fait avant eux les pays du Nord : lorsque les riches parlent de transition énergétique, les pauvres, eux, demandent simplement l’accès à l’énergie.

Parmi les problèmes non résolus, enfin, figurent ceux de la crédibilité et de la transparence des promesses faites. Aucun dispositif ne permet de vérifier la validité et la force des annonces dont cette COP26 a été riche, pas plus que des engagements de neutralité carbone. L’Australie, l’Arabie saoudite, le Brésil, la Turquie et la Russie se sont engagés à atteindre des émissions nettes nulles d’ici à 2050, 2053 ou 2060, mais sans fixer d’objectifs réalistes de réduction des émissions pour 2030. A la COP27, qu’accueillera l’Egypte en 2022, les Etats devront faire mieux. Procrastiner n’est plus une option.

COP 26 : un aveu d’échec

COP 26 : un aveu d’échec

 

La COP 26 devrait au moins avoir le mérite d’acter le fait que la plupart des Etats n’ont pas suffisamment mis en application l’accord de Paris. Un accord pourtant pas très contraignant puisque chaque État demeurait maître de déterminer ses objectifs et de leur actualisation. Un dernier travail qui n’a même pas été suffisamment effectué

Le communiqué final de la COP 26 devrait d’une certaine manière acter l’incapacité des grandes puissances concernées a hausser leur objectif de réduction d’émission, du moins pour cette session, comme espérés par certains. Le projet d’accord final appelle ainsi les Etats à délivrer leurs nouvelles contributions d’ici la 27e COP, en novembre 2022. Soit dans un an. Mais aussi, trois ans avant la nouvelle échéance prévue en 2025.

Selon les dernières estimations de l’Onu données mardi, les nouveaux engagements climatiques à l’échéance 2030 de certains Etats, juste avant ou au début de la COP, ne devraient entraîner aucun changement de la trajectoire de température vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C d’ici la fin du siècle.

Les prévisions mises à jour mardi par le PNUE, qui évaluent les objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet serre de quelque 150 Etats pour 2030 ne changent pas vraiment la donne. Les engagements pour 2030 des deux dernières semaines représenteraient 0,5 gigatonne (gt) d’équivalent CO2 d’émissions en moins en 2030, mais il faudrait ajouter à cela 27 gt pour limiter le réchauffement à +1,5°C, objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris.

De ce fait, les objectifs à 2030 révisés n’entraînent aucun changement de la trajectoire de température: +2,7°C d’ici la fin du siècle, selon le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

Pour Jennifer Morgan, directrice de Greenpeace international,  »il ne s’agit pas d’un plan pour régler la crise climatique mais d’un accord pour croiser les doigts en espérant que ça va aller. Une demande polie aux pays de si possible, peut-être, faire plus l’an prochain. Ce n’est pas assez ».

COP 26: Une assemblée citoyenne mondiale !

COP 26: Une assemblée citoyenne mondiale !

 

 

Le retour d’une chimère ou de la caricature démocratique avec la création d’une assemblée citoyenne mondiale. Comme si on ne disposait pas déjà de suffisamment d’institutions représentatives et surtout compétentes pour discuter de problématiques complexes au lieu de rassembler des citoyens qu’on peut manipuler sans état d’âme.

Claire Mellier est l’une des initiatrices de la première assemblée mondiale de citoyens sur le climat qui a démarré ses travaux en octobre. Auparavant elle a participé à la conception ou à l’animation d’une dizaine d’assemblées citoyennes sur la crise climatique, dont celles du Royaume-Uni et d’Ecosse, et a aussi observé en tant que chercheuse la convention citoyenne pour le climat en France. Elle explique l’intérêt et les difficultés d’un panel mondial, et montre aussi comment les modes d’organisation de ces dispositifs, en donnant plus ou moins de marge de manœuvre aux citoyens, peuvent jouer un rôle dans les conclusions qui en découlent.

L’assemblée citoyenne mondiale sur le climat va présenter le 1er novembre ses premières recommandations dans le cadre de la COP26. Pourquoi avoir organisé ce dispositif ?

Le changement climatique est une crise à l’échelle mondiale, mais les décisions qui permettraient d’y remédier dépendent des politiques publiques que seuls les Etats ont le pouvoir de mettre en place à l’échelle nationale. Malheureusement, on voit bien que le processus de gouvernance mondiale mis en place au sein de la COP et fondé sur les négociations entre Etats n’est pas suffisamment efficace. On entame la 26e édition et les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter. Les engagements pris par les Etats à ce jour mènent la planète vers un réchauffement climatique de 2,7 °C à la fin du siècle.

 

L’idée de réunir une assemblée de citoyens est née de ce constat d’échec de notre système de gouvernance, et de la volonté de chercher des leviers efficaces. Elle a été initiée par des chercheurs, des membres de fondations, des spécialistes de la démocratie participative parmi lesquels le Conseil danois de la technologie, la Fondation pour l’innovation en politique [en Afrique] et l’université de Canberra [Australie].

Les financements proviennent de fondations et d’organisations philanthropiques. Un échantillon de la population mondiale peut-il dépasser les clivages politiques et géopolitiques en apportant une expertise citoyenne ? C’est ce que cherche à montrer ce processus expérimental.

L’expérience est inédite à l’échelle de la planète. Comment travaillez-vous ?

L’assemblée est composée de cent citoyens tirés au sort, représentatifs de la population mondiale dont dix-huit Chinois, dix-huit Indiens, cinq Américains, dix-sept Africains… Elle est aussi représentative des disparités de développement dans la population mondiale : environ 60 % des citoyens tirés au sort gagnent moins de dix dollars par jour.

A la COP 26: pour une relance verte

A la COP 26: pour une relance verte

Constatant que les engagements pris en 2015 lors de la COP21 sont très loin de répondre aux objectifs, Laurent Fabius, Alok Sharma et Laurence Tubiana appellent à poursuivre l’action commune pour orienter le monde vers une reprise verte.

AGlasgow (Ecosse), le monde doit honorer les engagements définis par l’accord de Paris pour l’avenir de notre planète. A son adoption en 2015, l’accord de Paris a fait naître un espoir pour notre planète : il marquait le moment où les dirigeants mondiaux ont véritablement décidé de lutter contre le changement climatique et de contenir ses pires conséquences.

Cet accord historique a tracé une voie permettant de limiter le réchauffement du globe à nettement moins de 2 °C de plus que les niveaux pré-industriels, avec l’espoir de ne pas dépasser 1,5 °C d’augmentation.

Cela, bien entendu, n’a pas instantanément résolu le problème, et la crise climatique continue de s’aggraver. Les banquises disparaissent, le courant du Gulf Stream est à son plus bas niveau depuis un millénaire, inondations et sécheresses menacent vies et moyens de subsistance aux quatre coins de la planète.

A la fin février, les Nations unies (ONU) ont adressé au monde un signal d’alarme. On doit écouter ce signal. Qualifié d’« alerte rouge » pour notre planète, le récent rapport de l’ONU sur l’évaluation des objectifs de réduction des émissions mondiales d’ici à 2030 souligne que les engagements climatiques collectifs, qui ont été pris jusqu’à présent, sont très loin de pouvoir répondre aux objectifs convenus à Paris en 2015.

Cela devra impérativement changer lorsque les pays du monde se retrouveront cet automne à Glasgow. Nous devons, à cette occasion, obtenir des engagements fermes à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Cela implique des actes forts – à la fois des décisions cohérentes à court terme, des objectifs renforcés à l’horizon 2030, intégrés à des stratégies à long terme ouvrant des orientations claires pour la neutralité carbone d’ici à 2050.

Nous avons besoin d’un nouveau paquet de soutien aux pays en développement, comme le prévoit clairement l’accord de Paris. Le chemin vers cet objectif commence la semaine prochaine avec la Conférence ministérielle sur le climat et le développement, organisée par le Royaume-Uni, et se poursuit avec les réunions du Fonds monétaire international (FMI), du G7 et du G20.

Il faut donc se féliciter de la décision prise, la semaine dernière, par les ministres des finances du G7, qui sont convenus de créer des fonds de réserve d’urgence pour les pays en développement confrontés aux conséquences économiques de la pandémie de Covid-19.

Mais cela doit être le début d’une action plus large visant à offrir un allègement de la dette et un soutien financier plus importants et de meilleure qualité à ceux qui en ont le plus besoin. L’engagement de ne laisser personne de côté est au cœur de l’accord de Paris. Six ans plus tard, ce mantra est toujours d’actualité : il incombe à toutes les grandes économies de se mobiliser et d’aider les personnes dans le besoin. Il est impératif que les pays contributeurs honorent leur engagement collectif à consacrer au moins 100 milliards de dollars [85 milliards d’euros] par an à aider les pays les plus menacés par les conséquences du réchauffement climatique. Le sommet ministériel international Climat et Développement, prévu fin mars, s’attachera à mobiliser les esprits autour de cet objectif.

Energie renouvelable :26,9% de l’électricité

Energie renouvelable :26,9% de l’électricité

Les énergies renouvelables progressent un peu mais ne couvre que 26,9 % de la consommation d’électricité en 2020 d’après un rapport officiel.

 

Dans le détail, la production a été surtout tirée par la filière éolienne (+17,3%) et hydraulique (+9,3%).

La puissance totale du parc renouvelable installé a également poursuivi sa progression l’an dernier, atteignant 55.906 MW fin 2020, en hausse de 2.039 MW. Cette progression a été tirée par l’éolien (+1.105 MW) et le solaire (+820 MW).

C’est toutefois toujours le parc hydroélectrique qui domine le paysage français même si sa puissance est restée quasi stable.

Hors renouvelables, la France dépend encore très largement du nucléaire pour la production de son électricité, avec une part supérieure à 70% ces dernières années.

États-Unis : Trump veut rouvrir les frontières le 26 janvier ; Biden décide l’inverse !

États-Unis : Trump veut rouvrir les frontières le 26 janvier ; Biden décide l’inverse !

Il est vraiment temps que la transition s’opère entre Trump  et Biden pour ne pas ajouter de la confusion à la confusion dans tous les domaines. Ainsi Trump vient-il d’annoncer qu’il allait rouvrir la frontière américaine aux voyageurs en provenance de l’espace Schengen, du Royaume-Uni, de l’Irlande et du Brésil – à compter du 26 janvier, date à partir de laquelle il sera obligatoire de présenter un test négatif avant d’être accepté sur le territoire, a confirmé la Maison Blanche lundi 18 janvier.

Mais un démenti de l’équipe du président élu Joe Biden, qui prendra ses fonctions les 20 janvier, est rapidement venu doucher les espoirs des voyageurs des deux côtés de l’Atlantique. «Avec la pandémie qui s’aggrave, et des variants plus contagieux qui émergent à travers le monde, ce n’est pas le moment de lever les restrictions sur les voyages internationaux», a déclaré, sur son compte Twitter, Jen Psaki, qui doit officiellement prendre mercredi ses fonctions de porte-parole du nouveau président démocrate.

À noter les mêmes divergences entre les deux hommes sur le nouveau plan d’aide social et économique. Trump s’est toujours montré réticent au point de bloquer les négociations entre républicains et démocrates. Biden, lui, vient d’annoncer un plan nouveau de 19 000 milliards.

Sondage terrorisme islamique : 26% seulement des Français font confiance au gouvernement

Sondage terrorisme islamique : 26% des Français font confiance au gouvernement

Selon le dernier baromètre sécurité Fiducial/Odoxa que révèle Le seuls 26% de nos concitoyens font encore confiance aux autorités pour les protéger, ce qui représente une baisse spectaculaire de 18 points depuis le mois de juillet et de 7 points en une semaine.

Bien que recueillis sous le coup de la très vive émotion nationale provoquée par l’assassinat de l’enseignant, les résultats de cette enquête dessinent une tendance. «Pendant quatre ans, les Français ont été plus de 40% à penser que le gouvernement était capable de les protéger, à l’exception du mois d’octobre 2019 au lendemain de l’attentat à la préfecture de police de Paris (36%)», précisent les analystes qui ajoutent: «Les différents attentats touchant la France sur cette période ont évidemment eu des effets sur cet indicateur, mais ils restaient contenus (7 à 8 points)».

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