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Coronavirus France : hausse, 26.000 nouveaux cas

Coronavirus France : hausse, 26.000 nouveaux cas

Une forte hausse mais à relativiser pour des questions statistiques liées notamment à l’ouverture des laboratoires en ces périodes de fêtes.

26.457 nouvelles contaminations par le coronavirus mercredi, une progression sur 24 heures inédite depuis le 18 novembre, et 303 décès supplémentaires en milieu hospitalier liés à l’épidémie pour un bilan total de 64.381 morts depuis le début de la crise sanitaire, selon les chiffres publiés par les autorités.

Au total, 2.600.498 personnes ont été contaminées en France depuis le début de l’épidémie, en mars. Cette progression sur 24 heures s’explique en partie par un rattrapage de données qui n’avaient pu être intégrées aux bilans épidémiques de la veille en raison d’un incident sur les remontées informatisées, explique l’agence Santé publique France.Les autorités sanitaires avaient souligné mardi que le nombre de nouveaux cas de COVID-19 déclarés (+11.395) était “sous-estimé”.

Les hôpitaux français traitent parallèlement 24.593 patients atteints du COVID-19, soit 183 de moins que mardi, une première baisse après quatre jours de remontée continue du nombre de patients hospitalisés pour une infection liée au SARS-CoV-2.Le nombre de patients soignés en réanimation recule à 2.661, soit 14 lits occupés de moins que la veille.

La dette d’un chômeur étalée sur 26 000 ans (pôle emploi)

La dette d’un chômeur étalée sur 26 000 ans (pôle emploi)

 

Finalement Pôle emploi qui ne sert à rien en matière d’emploi a peut-être trouvé un nouvel objet social : le réétalemenet des dettes. Une solution pour régler les problèmes d’endettement : les étaler sur 20 000 ans . De cette manière on pourraiat sauver la Grèce ou encore  ramener la dette de la France de 2000 milliards actuellement à 100 000 euros. . Pôle emploi  réclame en effet à un chômeur depuis mars 2013 le remboursement d’un «indu», c’est-à-dire une somme que l’établissement considère avoir versé à tort, de plus de 3135,20 euros. Licencié en 2011, le jeune homme aujourd’hui intérimaire avait en effet attaqué son ancien employeur aux prud’hommes et obtenu que son licenciement soit requalifié «sans cause réelle et sérieuse». Dans ce cas, c’est à l’employeur qu’il revient de rembourser Pôle emploi des allocations versées entre le jour de son licenciement et le jour du jugement.  Mais l’établissement public a de son côté directement ponctionné le compte du jeune Girondin à hauteur de 150 ou 200 euros par mois, dès septembre 2014. Conseillé par son avocat, l’intérimaire a donc saisi le médiateur de Pôle emploi et demandé au tribunal l’annulation de sa dette. C’est une semaine avant une audience au tribunal prévue le 23 mars dernier qu’il reçoit sur sa page web Pôle emploi ce courrier confinant à l’absurde: «Vous nous avez demandé un échelonnement pour rembourser la somme de 3135,20 € que nous vous avons versé à tort. Après examen de votre dossier, nous avons accepté cet échelonnement. Il s’opérera par retenues sur vos allocations de 0,01 € par mois jusqu’à extinction de votre dette». Soit un échéancier sur… 26.126 ans.  Si Pôle emploi a refusé de commenter, une déléguée syndicale CFDT interrogée par Sud Ouest explique qu’il s’agit là d’un «bug». «Même si les charges de travail sont très lourdes, cette personne aurait dû être reçue par un conseiller, comme pour tout échéancier de plus de 1 000 euros», explique Martine Lajuncome au quotidien régional.  Ce n’est pas la première fois que Pôle emploi propose de tels échéanciers aux demandeurs d’emploi endettés à son égard. Une chômeuse de Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis, débitrice à hauteur de 2648 euros, s’était par exemple vu proposer en avril 2013 de rembourser sa dette en 22.000 ans, à raison, comme le Girondin, de 0,01 euro par mois.  Ces sommes versées par erreur et réclamées par la suite par Pôle emploi peuvent mettre les demandeurs d’emploi en difficulté financière. Dans son rapport annuel 2013, le Médiateur de Pôle emploi avait réclamé des mesures d’urgence pour réduire ces trop perçus. L’année dernière, l’établissement public est parvenu à en limiter l’ampleur. Selon une note diffusée par l’Unédic vendredi, il a versé 1,55 million d’euros d’allocations injustifiées, soit 8% de moins qu’en 2013. Le taux de recouvrement, en revanche, a également diminué, de 64% à 60%.

 




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