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Sondage confiance : Hollande (25%) et Valls (37%) et ça plonge et ça plonge !

Sondage Confiance : Hollande (25%) et Valls (37%) et ça plonge et ça plonge !

Un sondage qui vient confirme relui d’hier de TNT SOFRES. François Hollande perd quatre points de confiance, à 25%, en mars par rapport à février, tandis que Manuel Valls fait une chute de sept points, à 37%, selon un sondage CSA/Les Echos/Radio classique publié aujourd’hui. Un sondage qui surtout met en valeur la perte de crédibilité de Valls qui se grille chaque jour un peu plus avec ses crises d’autoritarisme et ses colères simulées. L’overdose fausse de  autorité ne passe plus, le comédien a trop surjoué !   Dans le baromètre CSA de février, le chef de l’Etat avait gagné dix points de confiance par rapport à décembre, le chef du gouvernement gagnant 11 points. L’enquête de janvier, qui coïncidait avec les attentats à Paris, n’avait, en effet, pas été publiée. Les Français sont 69% à ne pas faire confiance au président de la République « pour affronter les principaux problèmes qui se posent au pays ». 6% n’ont pas d’opinion. 57% ne font pas confiance à Manuel Valls, au lieu de 51% en février. 6% ne se prononcent pas.

Cyberattaques : 25 milliards recensées au Japon

Cyberattaques : 25 milliards recensées au Japon

 

La cyberdépendance du monde pourraiat bien aboutir un jour à une  catastrophe mondiale car les cyberattaques ne cessent de se développer. Exemple au Japon avec  25 milliards d’attaques informatiques en 2014, soit le double de l’année précédente, selon une enquête rapportée par l’agence de presse Kyodo. Il est clair  que les systèmes informatiques permettent une gestion  optimisée des informations et de nombre de  fonctions, pour autant cette cyberdépendance extrême constitue une fragilité pour nombre de système dont certains sont vitaux pour la société. Il serait urgent à cet égard de réfléchir à une  stratégie mondiale de protection et de défense des systèmes informatiques.  L’institut national des technologies de la communication et de l’information (NICT), qui est doté d’un réseau de 240.000 outils pour détecter ce type d’intrusions, a évalué à 40% la part d’attaques en provenance de Chine. Figurent ensuite en bonne place la Corée du Sud, la Russie et les Etats-Unis. Dans un nombre croissant de cas, les pirates prennent le contrôle de routeurs, caméras de sécurité et autre systèmes connectés à internet afin d’établir leurs propres communications, a indiqué l’institut. Cette étude a été menée pour la première fois en 2005: à l’époque, seulement 310 millions d’incidents avaient été recensés. Les cyberattaques et l’espionnage informatique devraient encore se multiplier en 2015 et les groupes extrémistes vont multiplier leurs offensives sur la toile, avait prévenu en décembre le spécialiste américain en sécurité sur internet McAfee. Parmi les piratages les plus récents, un groupe de hackers, le GOP, a pénétré le 24 novembre dans le système informatique de Sony Pictures, filiale américaine de cinéma du géant japonais de l’électronique, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers.

Pauvreté : 25% d’européens menacés, la France en 5ème position

Pauvreté : 25% d’européens menacés, la France en 5ème position

 

 

Résultat sans doute de la montée des inégalités, d’une croissance en panne, du chômage et de l’austérité, l’Europe s’enfonce dans la pauvreté. Selon Eurostat, l’institut des statistiques européen qui publie ces chiffres, près d’un quart (24,5 %) de la population des 28 pays de l’Union européenne serait donc concerné, contre 24,8 % en 2012. C’est en Bulgarie que le risque est le plus élevé. Près de la moitié de la population (48 %) y vit dans une situation précaire. Dans quatre autres pays (la Roumanie, la Grèce, la Lettonie et la Hongrie), plus du tiers de la population est aussi dans la zone à risque. Les Etats qui enregistrent les taux de personnes en difficultés les plus faibles sont la République tchèque (14,6 %), les Pays-Bas (15,9 %), la Finlande (16 %) et la Suède (16,4 %). La France arrive en cinquième position, avec 18,1 % de sa population menacée par la pauvreté, soit 11.230 personnes. Un taux bien inférieur à la moyenne européenne. Mais surtout l’Hexagone est l’un des quelques pays à voir la part de sa population en situation de précarité régresser sur les 5 dernières années (18,5 % en 2008). Seules la République tchèque, l’Autriche, la Pologne, la Roumanie, la Slovénie et la Finlande ont aussi vu leur population de personnes en grande difficultés se réduire. Pour établir leurs conclusions, les experts se sont appuyés sur les résultats d’une enquête sur les revenus et le niveau de vie dans chaque pays. Ils ont ainsi identifié trois facteurs pouvant faire basculer les ménages dans la pauvreté. Pour 17 % des Européens, la menace serait monétaire, c’est-à-dire que leur revenu disponible pour vivre est inférieur au seuil de pauvreté dans leur pays respectif. En France, 13,7 % de la population est dans cette situation, et cette part a augmenté de près d’un point depuis 2008. L’étude relève ensuite que 10 % de la population à risque de l’UE souffrent de «privation matérielle sévère», et ne sont pas en mesure d’honorer le paiement de ses factures ou de se chauffer correctement. Environ 5 % de la population française se situent dans cette catégorie. Enfin, les difficultés d’accès au travail sont le troisième facteur de risque. En Europe, 10,7 % de la population en âge de travailler vivent dans un ménage où les adultes «ont utilisé moins de 20 % de leur potentiel total de travail au cours de l’année passée», souligne Eurostat qui note que cette proportion n’a cessé d’augmenter depuis 2008. La Grèce (18,2 %), la Croatie (15,9 %), l’Espagne (15,7 %) et la Belgique (14 %) affichent les plus fortes proportions de ménages sous employés. La France affiche là encore un taux inférieur à la moyenne de l’UE (7,9 % contre 10,7 %) et en baisse sur 5 ans (8,8 en 2008).

 

UNEDIC : 25 milliards de dettes en 2015

UNEDIC : 25 milliards de dettes en 2015

 

Avec environ 100 000 chômeurs en plus en 2015, la dette cumulée de l’Unedic atteindra de l’ordre de 25 milliards en 2015. Un déficit qui s’ajoute à celui de la sécu et du budget de l‘Etat (sans parler d’autres déficits comme celui d’EDF ou de la SNCF). En matière de rétablissement des équilibres financiers Hollande aura tout raté. Tous les efforts demandés n’auront donc servi à rien sinonqu’à affaiblir la croissance. L’Unedic, organisme de gestion de l’assurance chômage, maintient donc à peu près ses prévisions de déficit, à 3,8 milliards d’euros pour 2014 et environ 3,5 milliards pour 2015, malgré une dégradation des prévisions de croissance économique française. « Le déficit de 2014 s’élèverait à 3,8 milliards d’euros, portant la dette cumulée à 21,4 milliards d’euros en fin d’année », lit-on dans ses prévisions financières publiées lundi. Dans ses prévisions de mai dernier, l’Unedic prévoyait un déficit de 3,75 milliards pour 2014, contre 3,8 en 2013, et une dette cumulée de 21,335 milliards. Pour 2015, l’Unedic prévoit une stabilisation du déficit de l’assurance chômage à 3,5 milliards d’euros, ce qui porterait la dette cumulée à 24,9 milliards en fin d’année. Dans ses prévisions de mai, elle anticipait un déficit de 3,6 milliards d’euros pour l’année prochaine. Les effets des mesures prises dans le cadre de la nouvelle convention d’assurance chômage conclue par les partenaires sociaux au premier semestre de cette année paraissent limités, au regard de l’ampleur des déficits. L’Unedic estime que sans la convention de mai 2014, le déficit de l’assurance chômage serait supérieur de 300 millions d’euros cette année et de 830 millions l’an prochain, par rapport à ses nouvelles prévisions.

Sondage santé : 25% renoncent aux soins faute d’argent

Sondage santé : 25% renoncent aux soins faute d’argent

25,7% selon une étude de l’Institut de recherche et documentation en économie de la Santé (Irdes), disent avoir renoncé à un soin dans les douze derniers mois pour des raisons financières. Plus de 8.000 ménages et 23.000 individus ont participé à cette enquête, menée tous les deux ans par l’Irdes. Pour cette édition, les questions sur le renoncement aux soins ont porté plus précisément sur le type de soin concerné. Ainsi, 18% des bénéficiaires de l’assurance maladie âgés d’au moins 18 ans ont renoncé à des soins dentaires pour raisons financières, 10% à des soins d’optique, 5% à des consultations médicales et 4% à d’autres types de soins. Comme dans les précédentes enquêtes, les personnes sans complémentaire sont les plus touchées: 24% d’entre elles ont renoncé à des soins d’optique contre 15% chez les bénéficiaires de la CMU-C (couverture maladie universelle) et moins de 9% chez ceux qui bénéficient d’une complémentaire santé autre que la CMU-C. Logiquement, les personnes appartenant aux 20% de ménages les plus pauvres sont 15% à déclarer un renoncement à des soins d’optique contre seulement 3,6% pour les 20% les plus riches. Cette enquête pose aussi « de nouvelles questions sur les renoncements aux soins liés à des difficultés d’accès »: 17,1% des personnes interrogées disent avoir renoncé à des soins parce que le délai d’attente pour un rendez-vous était trop long et 3% parce que le cabinet était trop éloigné ou en raison de difficultés de transports. Par ailleurs, 89% des personnes déclarent bénéficier d’une complémentaire et 6% de la CMU-C. Depuis la mise en place de la CMU-C en 2000, le taux de personnes non couvertes par une complémentaire se stabilise à 5% (16% en 1998 et 8,5% en 2002). Les moins couverts sont les chômeurs (14%) et les plus modestes (11% dans le 1er quintile de revenu). Enfin, près des deux tiers (64%) des salariés du secteur privé bénéficient d’une complémentaire santé collective, avant la mise en œuvre de sa généralisation au 1er janvier 2016.

Cigarettes : 25% venues au noir soit 3 milliards de recettes fiscales en moins

Cigarettes : 25% venues au noir soit 3 milliards de recettes fiscales en moins

 

 

Jusque là on estimait à environ 20% les cigarettes  vendues au noir, or nous avions indiqué que ce chiffre était plus proche de 25% compte tenu des difficultés statistiques à évaluer une activité par définition non déclarée. Ce que vient de confirmer une étude. Plus d’une cigarette sur quatre fumée en France en 2013 a été achetée au marché noir. Une étude du groupe de conseil et d’audit KPMG confirme l’essor des marchés parallèles de vente de tabac, contre lesquels majors et buralistes cherchent à lutter. L’étude note que les ventes en-dehors des bureaux de tabac ont représenté 25,2% des ventes totales l’an dernier, contre 22,6% en 2012. Soit une augmentation de plus de 11% en un an. «C’est un drame, a réagi Pascal Montredon, président de la confédération des buralistes. Nous le prévoyions depuis plusieurs mois et c’est arrivé: le marché parallèle a explosé et ce n’est pas fini puisqu’on enregistre encore un recul des ventes depuis le début de l’année. L’État de droit est complètement bafoué.»  Dans le collimateur des buralistes: les augmentations successives du prix du paquet de cigarettes, «trois en moins de quinze mois», rappelle Pascal Montredon. Les taxes sur le tabac ont rapporté l’an dernier à l’État 11,2 milliards d’euros, plus que prévu. Début juin, deux sénateurs proposaient même d’instaurer une nouvelle taxe, cette fois sur les mégots de cigarettes. Autant de coups de pouce pour les comptes publics qui incitent cependant les fumeurs à se fournir à l’étranger, où les paquets sont moins chers. L’étude de KPMG souligne que les ventes transfrontalières ont augmenté de 36% entre 2012 et 2013. En tête des pays où les consommateurs vont se fournir: la Belgique et l’Algérie. Les entrées en France de cigarettes à l’origine de ces deux pays ont grimpé respectivement de 99% et 85% entre 2012 et 2013, pour passer la barre des 2 milliards d’unités, juste derrière les ventes en duty free (2,62 milliards). Autre cheval de bataille des buralistes, les quotas de cigarettes importées de l’étranger qui avaient fait bondir Bruxelles. Dès 2009, l’Europe avait rappelé la France à l’ordre, jugeant les mesures en vigueur trop protectionnistes. Au 1er janvier, les seuils ont été relevés de cinq à dix cartouches par personne et de 50 à 1000 cigares. «L’Union européenne a puni la France, résultat: les ventes transfrontalières ont explosé, se désole Pascal Montredon. Les pays qui le veulent devraient avoir le droit d’imposer les seuils qu’ils souhaitent.» Selon la confédération des buralistes, l’essor des marchés parallèles a privé l’État de 3 milliards de recettes fiscales et a engendré la fermeture de nombreux tabac représentant environ 2500 emplois. Les buralistes, déjà échaudés par le succès de l’e-cigarette, demandent au gouvernement de se mobiliser contre les marchés parallèles. Reçu par le ministère de l’Intérieur ce mercredi soir, Pascal Montredon a notamment exigé le blocage des sites de vente de tabac en ligne et le renforcement des moyens de douanes et de gendarmerie pour lutter contre l’importation illégale de tabac. Prochain objectif: «obtenir un rendez-vous avec le Premier ministre, puis avec le président de la République». Mais pas question de céder à la «réunionite», les buralistes veulent avant tout «des actions concrètes, efficaces et mesurables».

 

Vacances : budget réduit de 25% pour les Français

Vacances : budget réduit de 25% pour les Français

 

Toujours moins loin, moins cher et plus court pour les vacances des français qui vont réduire de 25 % leur budget vacances ; Merci M. Hollande, le changement c’est vraiment maintenant ! Par rapport à 2013, les Français qui peuvent partir en vacances de Pâques seront encore plus vigilants sur leurs dépenses. En cause? Le budget moyen qu’ils allouent à cette période est en recul de près de 25% comparé à l’an passé, révèle la douzième édition du baromètre «Les Français et les vacances», réalisé par l’IFOP à l’initiative de Mondial Assistance. Au total, ils consacreront 600 euros à leur projet de vacances. «Il s’agit du plus faible budget depuis 2011, toutes vacances confondues», souligne cette étude réalisée en ligne les 27 et 28 mars auprès d’un millier de personnes. Comme les années précédentes, les Français ne sont pas nombreux à s’offrir des vacances. Seuls 23% d’entre eux partiront quelques jours, «une tendance qui s’installe dans le temps» puisqu’ils étaient 25% en 2012 et 22% en 2013. Ils sont aussi 23% à envisager de partir à l’occasion des prochains ponts du mois de mai.  Résultats: ils partiront moins loin, moins longtemps et surtout à moindre frais. Cette année, les Français envisagent de partir 7 jours en moyenne, soit un jour de moins qu’en 2013. 48% comptent partir moins d’une semaine. Un chiffre qui ne cesse de progresser puisqu’ils n’étaient que 39% en 2013 et 31% en 2012 à faire des séjours courts. Près d’un vacancier sur trois (31%) va réserver son séjour à la dernière minute et 13% consulteront un site Internet de mise en relation de particuliers à particuliers. Côté destination, les Français partiront pour la plupart d’entre eux à la mer (37%) et à la campagne (25%). Mais dans l’ensemble, ils séjourneront majoritairement en France (70%). Près d’un quart ira passer quelques jours dans un pays européen quand seuls 5% des séjours se feront en Afrique et en Asie. Autre révélateur: le lieu d’hébergement envisagé. 40% ont l’intention de séjourner chez des membres de leur famille contre 24% en 2013. Cette année, ils seront aussi moins nombreux à opter pour l’hôtel (21% contre 25% en 2013).  Les résultats de cette enquête confirment les conclusions d’une autre étude menée récemment par le cabinet Protourisme: les vacances deviennent un luxe pour de plus en plus de Français. À peine 41% d’entre eux ont passé au moins une nuit payante hors de chez eux l’an dernier, contre 45% en 2012, expliquait le cabinet spécialisé. Camping, locations meublées, hôtellerie… Quel que soit le mode d’hébergement, le nombre de nuitées a baissé ces deux dernières années.  Pour autant, les Français ne sont pas prêts à abandonner leurs vacances. Les intentions de départ pour 2014 (au moins 4 nuits) remontent, passant de 48% des Français à 49%. Autre signal positif pour les acteurs du tourisme: le budget annuel de vacances par foyer progresse à nouveau, passant de 1978 à 2078 euros. Mais tout ceci dépendra en grande partie de la météo.

Epargne Livret A : « Avec 1,25%, un taux bas » (Moscovici)

Livret A : « Avec 1,25%, un taux bas » (Moscovici)

Moscovici a déclaré sur RTL que le taux du livret A était déjà bas avec 1.25% ; En fait d’après les calculs officiels, ce taux aurait dû être ramené à 1% puisque l’ inflation théoriquement ne devrait pas dépasser 0.9%  en 2013. Mais le livret A apparait de moins en moins attractif. Première raison les menaces fiscales qui ont pesé (et pèsent encore) sur l’épargne en général . Seconde raison, le recul des revenus contraint les français à puiser dans le bas de laine depuis le dernier trimestre 2013 en particulier du fait de la hausse des impôts. Dernière raison pour maintenir ce taux de 1.25%: tenter de stopper la décollecte. Le gouvernement compte en effet  sur cette épargne notamment  pour le logement mais cette épargne se rétrécit. Une rémunération du livret A à 1.25 ou 1.25% ne changera pas grand-chose car ce taux devient assez insignifiant et ne garantit pas même le capital si l’on se réfère à l’inflation réelle.

Sondage popularité : le PS perd 25%

Sondage popularité : le PS perd 25%

 

Un an après sa double victoire de la présidentielle et des législatives, le PS n’a plus la cote auprès des Français et, dans une moindre mesure, auprès de ses propres sympathisants, si l’on en croit les résultats d’un sondage IFOP pour Dimanche Ouest-France Au lendemain du scrutin présidentiel, 55% des interviewés jugeaient que le parti de la Rue de Solferino était proche de leurs préoccupations. Ils ne sont plus que 30% aujourd’hui, soit le plus bas niveau depuis 2005. Seules 44% des personnes interrogées jugent que le PS soutient suffisamment le gouvernement, soit une baisse de 23 points en un an.  Plus inquiétant : ils ne sont plus que 28% (mais 78% des sympathisants PS) à estimer que le PS a un projet pour la France, soit une baisse de 25 points en un an, tandis que 72% se disent « plutôt pas d’accord » avec cette opinion. Là encore, le recul est spectaculaire puisque 53% estimaient en août 2012 que le parti de François de Hollande avait un projet pour le pays. La contre-performance du PS est encore plus nette qu’au moment du congrès de Reims de novembre 2008 qui avait vu les militants se déchirer (45% des interviewés estimaient alors que ce parti était proche de leurs préoccupations). « Alors que son image était en amélioration constante depuis 2009 et que les effets néfastes du congrès de Reims avaient progressivement été effacés, ce mouvement de reconquête de l’opinion subit ainsi un véritable coup d’arrêt plus d’une année après l’élection de François Hollande », commente Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l’Ifop.  Pour ce qui concerne la gouvernance du parti, qu’agite actuellement le débat entre les pro et les anti-taxe climat énergie , _ nouvelle taxe ou « verdissement » de la fiscalité existante  ? _ seul un petit quart des sondés (24%) trouve que le parti socialiste « a des dirigeants de qualité » (une baisse de 30 points par rapport à août 2012). Le jugement laisse aussi à désirer chez les sympathisants, puisqu’ils ne sont plus que 67% à avoir une bonne opinion des caciques de leur parti préféré; ce qui représente un recul 17 points en un an, note l’Ifop.

 

Sondage –Hollande : entre 25% en Alsace et 35% en Limousin

Sondage –Hollande : entre 25% en Alsace et 35% en Limousin

 

La popularité du président de la République François Hollande, crédité de 35% de bonnes opinions au plan national, varie de plus ou moins 16 points selon les régions, allant de 41% dans le Limousin à 25% en Alsace, selon un sondage BVA pour la presse régionale. A l’échelle nationale, 35% des Français se disent satisfaits du président de la République et 64% insatisfaits, 1% ne se prononçant pas. Dans le détail, la cote de popularité du chef de l’Etat est supérieure à la moyenne (de 37% à 41% de bonnes opinions) dans le grand Sud-Ouest (Poitou-Charentes, Aquitaine, Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon, Limousin et Auvergne), en Bretagne et Basse Normandie ainsi que dans le Nord-Pas-de-Calais. Sa popularité est en revanche inférieure à la moyenne nationale (de 25% à 33% de bonnes opinions) dans le Nord-Est (Lorraine, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Picardie, Alsace) et en Provence-Alpes-Côte-d’Azur. Elle se situe enfin dans la moyenne (de 34% à 36%) dans les régions entre ces deux zones, sur un axe en diagonal Nord-Ouest/Sud-Est, comprenant la Haute-Normandie, les Pays-de-la-Loire, l’Ile-de-France, le Centre, la Bourgogne et Rhône-Alpes. Cette géographie de la popularité de François Hollande correspond assez précisément à la géographie électorale du 2e tour de l’élection présidentielle, constate également l’institut BVA.

 

Alcool : 25% des décès sur les routes

Alcool : 25% des décès sur les routes

Selon l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT), l’abus d’alcool est responsable de près d’un quart des quelque 30.000 morts enregistrés chaque année dans des accidents de la route au sein de l’Union européenne. Ce rapport est le fruit d’une étude menée de 2006 à 2011 dans 13 pays de l’UE.par ailleurs selon les pays l’alcool ( maintenant la drogue) et la vitesse ( parfois combinées) sont responsables de 50 à 75% des accidents.

 

Espagne : chômage record à 25%

Espagne : chômage record à 25%

 

Le taux de chômage en Espagne s’est établi à 25% au troisième trimestre, un nouveau record, selon des données officielles publiées vendredi qui semblent suggérer qu’une réforme du code de travail permettant de licencier plus facilement a laissé encore plus de personnes sans emploi.Ce taux de chômage se compare à celui de 24,6% du deuxième trimestre et au consensus des économistes de 25,1%.

 

 

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