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Coronavirus France : 300 cas en plus en 24 heures, en tout 1500 ,au moins 25 mortels •

 

 

Les chiffres officiels sont parfois différents des réalités  comme l’indiquait notamment le Figaro. Les détails précis ont peu d’importance, il  faut surtout noter la vitesse de propagation du virus avec 300 cas en plus en 24 heures. On est encore loin des chiffres de l’Italie mais une situation à l’italienne n’est pas à exclure d’après les spécialistes d’autant qu’il y a encore beaucoup d’inconnues sur les processus de contamination qui peuvent passer notamment par des porteurs sains voir même des porteurs guéris et à nouveau contaminés. La circulation du virus paraît particulièrement importante dans l’Est de la France, en région parisienne mais aussi dans la région Rhône-Alpes. Fait-il  rappeler qu’on a autorisé  à Lyon le match de football Lyon Turin même s’il est difficile d’établir aujourd’hui des corrélations scientifiques crédibles. Ce lundi soir, sur son site internet, Santé publique France donnait 30 décès. Interpellé sur cet écart, le directeur général de la santé a expliqué cette variation par son souci de disposer de “données consolidées” lorsqu’il donne son point de presse quotidien.

Sur les 25 décès qu’il a annoncés, on compte quinze hommes et dix femmes; par ailleurs, 21 personnes ayant succombé au virus étaient âgées de plus de 70 ans ou présentaient de nombreuses “comorbidités”, soit la présence d’autres troubles ou pathologies, a-t-il dit.

Sur la circulation du virus, le Pr Salomon a indiqué qu’un nouveau regroupement de cas, le septième identifié jusque-là, était apparu à Ajaccio, en Corse.

L’île, a-t-il ajouté, présente au total 38 cas confirmés et se trouve désormais parmi les six régions françaises les plus touchées avec le Grand Est, la Bourgogne-Franche-Comté, les Hauts-de-France, l’Île-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes.

Parmi les autres regroupements de cas, ou “clusters”, deux restent localisés en Haute-Savoie (aux Contamines et à La Balme-de-Sillingy), un dans le Morbihan (dans les communes d’Auray, Crac’h et Carnac) et un concerne un groupe de retour d’un voyage sur le Nil avec 15 à 18 personnes atteintes sur une vingtaine de voyageurs.

Le regroupement de cas lié à un rassemblement religieux le mois dernier à Mulhouse (Haut-Rhin) est “aujourd’hui très disséminé” puisque ses participants sont rentrés chez eux.

Idem dans le département de l’Oise où le virus circule plus largement.

“Nous sommes toujours en stade 2” dans le plan de lutte contre le virus, où il s’agit de freiner sa propagation, a rappelé Jérôme Salomon.

“Nous avons une évolution probablement inéluctable, difficilement évitable vers une épidémie (ndlr, stade 3) mais il demeure de nombreuses incertitudes, d’abord sur le comportement du virus et surtout sur l’impact des mesures barrières, individuelles et collectives que nous mettons en place”, a-t-il ajouté au lendemain de la décision des pouvoirs publics d’interdire désormais les rassemblements de plus de 1.000 personnes.

Sondage Municipales : 25% prêts à sanctionner Macron

Sondage Municipales : 25% prêts à sanctionner Macron  

Selon un sondage BVA réalisé pour Europe 1 et Orange, l’enjeu des municipales est essentiellement local. 90 % voteront donc en fonction de ce qui leur apparaît comme les intérêts locaux ( dans l’ordre la sécurité, les impôt et l’environnement) . Pour autant 25 % déclarent qu’ils en profiteront pour sanctionner Macron et son gouvernement.

Un chiffre minoritaire mais suffisant pour influencer la répartition des forces politiques .  Les résultats pourraient être catastrophiques pour la république en marche . Ce parti déjà peu implanté localement manque d’affichage et de présence locale .

Un quart des personnes (26%) souhaite utiliser ce moment pour sanctionner l’exécutif actuel. Les employés et ouvriers (35%) et les sympathisants du Rassemblement National (53%) sont parmi les plus nombreux à vouloir signaler leur mécontentement au niveau national. À l’inverse, pour 9% des sondés, il y aura un vote en « soutien » d’Emmanuel Macron et de son gouvernement.

Toujours selon ce sondage, la réforme des retraites compte pour beaucoup dans la décision de sanctionner ou de soutenir Emmanuel Macron et son gouvernement : 91% de ceux qui souhaitent sanctionner l’exécutif déclarent que la réforme des retraites pèse dans leur décision. Et 80% de ceux qui souhaitent soutenir l’exécutif disent de même.

Près de la moitié (48%) des Français ayant l’intention d’aller voter déclarent qu’ils se baseront sur le programme et les propositions des candidats aux municipales pour faire leur choix. En tête des sujets à traiter en priorité aux yeux des Français : la sécurité (36%), les impôts locaux et la gestion des finances locales (32%) et la protection de l’environnement (31%).

* Étude réalisée par BVA auprès d’un échantillon interrogé par internet du 6 au 10 février 2020. Échantillon de 1005 personnes âgées de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, profession de l’interviewé, région et catégorie d’agglomération.

Sondage parti d’opposition: 41% aucun, 25% RN et LFI 13%.

Sondage parti d’opposition: 41% aucun, 25% RN et LFI 13%.  

D’après un sondage Elabe pour BFM, 4 Français interrogés sur 10 (41%) déclarent qu’aucun mouvement politique ne parvient à incarner l’opposition à l’exécutif à leurs yeux. Un chiffre similaire à celui enregistré en septembre 2019 par Elabe, à la même question.

Le premier parti cité à cette question est le Rassemblement National (RN). Il est pour 25% des Français interrogés (+1% par rapport au même sondage en septembre 2019), le principal groupe politique d’opposition. Le parti d’extrême droite est nettement devant La France Insoumise (LFI) à 13% (-1%). Le parti Les Républicains (LR) est lui cité par 7% (-1%) des personnes interrogées, alors qu’Europe Ecologie / Les Verts (EELV) l’est par 5% (=).

À noter que le RN de Marine Le Pen est le premier groupe politique cité comme principale force d’opposition quelle que soit la catégorie professionnelle des Français interrogés.

Il ressort que des catégories de la population sont particulièrement représentées chez certains partis. Ainsi, les personnes se sentant proches du RN sont plus nombreuses au sein des ouvriers (23%), les personnes âgées de plus de 65 ans se sentent plus proches de LaREM ou de LR (16% et 18%). LFI fédère avant tout les moins de 25 ans, et enfin les professions intermédiaires expriment une plus forte proximité avec EELV que la moyenne (14%).

Etude ELABE réalisée pour BFMTV sur un échantillon 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet les 4 et 5 février 2020.

Sondage: grosse chute de Macron, à 25% seulement

Sondage: grosse chute de Macron, à 25% seulement 

Un sondage très peu repris par les grands médias sous domination de la finance qui montre que Macron paye lourdement la facture de son incompétence et de ses provocations à propos des retraites. Pour le  dernier baromètre YouGov réalisé du 6 au 7 janvier, Emmanuel Macron voit sa popularité chuter de 4 points, pour s’établir à 25% d’opinions favorables, contre 29% au mois de décembre.

 

Une chute brutale qui intervient alors que la grève contre la réforme des retraites s’enlise, et que les tractations avec les syndicats réformistes sur l’âge pivot patinent.

De son côté, le premier ministre accuse une baisse -moins sévère- de 2 points sur le mois.

“Malgré une hausse de 5 points auprès des sympathisants de Gauche (26% d’opinions favorables), le chef de l’Etat baisse auprès de l’ensemble des autres franges de l’opinion”, note l’institut de sondage. Emmanuel Macron a néanmoins encore de la marge avant de retrouver l’impopularité qui s’exprimait au plus fort de la crise des gilets jaunes, quand sa cote flirtait avec les 20% d’opinions favorables.

En cette rentrée 2020, la popularité du chef de l’État est dans la moyenne qu’il enregistre depuis la révélation de l’affaire Benalla en juillet 2018.

Difficile de ne pas lier cette glissade à la gestion de la réforme des retraites. Surtout que dans le détail, Emmanuel Macron perd 15 points auprès des électeurs de droite, après avoir progressé de 12 points dans cette frange de l’opinion le mois précédent. Un rééquilibrage qui peut s’expliquer par les concessions faites à certaines catégories professionnelles qui échappent déjà au régime universel, la disparition des régimes spéciaux étant un marqueur fort à droite. Édouard Philippe enregistre d’ailleurs une chute similaire sur cette frange de l’opinion.

 

Le chef de l’État semble également payer son absence dans les débats, alors que le pays vit sa plus longue grève depuis mai 68.

 

À l’inverse, Édouard Philippe, qui est en première ligne sur le front syndical et médiatique, accuse dans ce dernier baromètre une baisse moins importante.

Emmanuel Macron voit aussi sa cote baisser au sein de son cœur électoral. En un mois, le chef de l’État perd 9 points chez les sympathisants du centre, et plus spécifiquement 3 points chez ceux de La République en Marche. Une tendance qui pourrait s’expliquer par la crispation autour de l’âge pivot, une mesure rejetée par 34% des sympathisants LREM.

Grève dans 25 services d’urgence à Paris

Grève dans 25 services d’urgence à Paris

Huit syndicats (CGT, SUD, FO, CFDT, CFTC, CFE-CGC, Unsa, SMPS) ont déposé un préavis de grève appelant l’ensemble du personnel à se mobiliser pour le week-end de Pâques. Ce préavis couvre la période du jeudi 18 avril à 21 heures au samedi 20 avril à 7 heures. Les syndicats réclament «l’arrêt des fermetures de services (…), des plans d’économies et des suppressions d’emplois». Ils demandent également «la titularisation des contractuels», une «revalorisation» des salaires et un budget «à la hauteur des besoins de la population». Pour tous ces sujets, ils espèrent l’ouverture de «véritables négociations» avec la direction. . Un sondage mené durant le Grand débat national indiquait que 94% d’entre eux attendent une augmentation des moyens financiers pour l’hôpital public français, 88% d’entre eux estimant qu’il était «en danger».

Gilets jaunes: perte de 25% de chiffre d’affaires dans le commerce ?

Gilets jaunes: perte de 25% de chiffre d’affaires dans le commerce ?

Le mouvement des gilets jaunes aura  moins été l’occasion pour la secrétaire d’État à l’Économie, Agnès Pannier-Runacher, de rappeler qu’elle existe. D’après elle, après un calcul de coin de table sûrement effectuée dans un bistrot, elle considère que le commerce a perdu un quart de son site d’affaires ! L’objectif est clair faire endosser la baisse de croissance observée depuis le début de l’année parler gilets jaunes.  En matière de chiffre d’affaires »  On est plutôt sur une moyenne de moins 25 %, mais avec de très grands écarts », a-t-elle indiqué. Selon Agnès Pannier-Runacher, certains commerçants ont subi des baisses de ventes de – 40 % à – 70 %, notamment « ceux qui ont été amenés à fermer le rideau certains samedis de ces dernières semaines ». Les plus touchés seraient les commerçants dont les biens sont périssables. On ne peut nier que le mouvement des gilets jaunes a eu  un impact négatif sur certains commerces près desquels se déroulaient des manifestations. Mais contrairement à ce qu’affirme la sous ministre de l’économie, ce ne sont pas les commerces de bien périssables ont été le plus touchés  mais surtout les autres. Les déclarations de la ministre qui cherche à exister sont évidemment excessives et ridicules. Pour preuve les évaluations de l’institut Nielsen qui indique que  les perturbations liées au mouvement des « Gilets jaunes » ont coûté 1% de chiffre d’affaires à la grande distribution au cours des cinq dernières semaines, la forte baisse des ventes dans le non alimentaire ayant été compensée par la bonne tenue de l’alimentaire,  Les blocages des manifestants ayant rendu difficile l’accès aux magasins, les consommateurs se sont adaptés, choisissant de faire leurs courses durant la semaine, privilégiant les magasins de proximité, plus accessibles, ou le “drive”, ces points de retrait des courses effectuées sur internet. Au total, hors essence, les ventes du secteur ont reculé de 160 millions d’euros sur cinq semaines par rapport à la même période 2017. “Les consommateurs ont privilégié l’essentiel, à savoir l’alimentaire et les produits d’hygiène beauté”, souligne Emmanuel Fournet, directeur “Insight distribution” chez Nielsen. A l’inverse, le non alimentaire – surtout présent dans les grands hypermarchés – n’a pas bénéficié du report vers d’autres jours de la semaine, ajoute-t-il. Les grands hypermarchés sont donc les principales victimes des perturbations liées au mouvement de protestation. Parmi les distributeurs, ce sont Carrefour, Leclerc, Auchan et Intermarché qui sont les plus exposés à ce modèle de magasins, qui pèse moins dans le chiffre d’affaires de Casino en France ou de Système U. Au total, sur cinq semaines, les ventes de produits alimentaires ont progressé de 0,3%, tandis qu’elles ont chuté de 7,3% dans le non alimentaire (multimédia, bazar ou textile).

 

Suppression de 25 «petites taxes»

Suppression de  25 «petites taxes»

Pour alléger la charge de travail des fonctionnaires, Bercy a décidé de supprimer 25 petites taxes (sur de l’ordre de 1000 !) d’ici à 2020, «dont une vingtaine l’année prochaine», pour un montant total de 400 millions d’euros, a annoncé le ministre de l’Action et des Comptes publics Gérald Darmanin. Ces taxes sont celles qui ont «moins de 150 millions d’euros de rendement», a-t-il déclaré lors d’une rencontre à Bercy avec plusieurs centaines de cadres de son administration ce mercredi.

 

Le ministre avait déjà annoncé au printemps la suppression de certaines de ces taxes. Il avait ainsi cité «la taxe farine» comme exemple de «complexité (…) un peu absurde». Cette taxe, payée par les meuniers, représente selon l’Association nationale de la meunerie française (ANMF) environ 58 millions d’euros par an.

Cette notion de «taxe à faible rendement» avait déjà été mise en avant dans un rapport de l’Inspection générale des Finances (IGF), remis au gouvernement au début du quinquennat de François Hollande. Ce texte avait ainsi identifié 192 taxes dont le rendement est inférieur à 150 millions d’euros et recommandé d’en supprimer entre 90 et 120 pour concentrer «le financement des acteurs publics sur un nombre limité de grandes impositions».

Etats-Unis : 25% de droits douane sur les voitures importées !

Etats-Unis :  25% de droits  douane sur les voitures importées !

Des droits de douane sur les voitures pourraient frapper de plein fouet l’économie européenne et surtout l’Allemagne. Des droits pouvant aller jusqu’à25%. ! Il est clair que face à une telle menace économique l’Union économique sera contrainte de répliquer. Au total ce sera un mauvais coup pour les échanges internationaux et la croissance.  L’administration Trump songe en effet ouvrir une enquête sur les importations automobiles dans le cadre d’un dispositif juridique, la Section 232 d’une loi de 1962 sur le commerce, qui pourrait conduire à l’instauration de ces droits de douane, précise le Wall Street Journal en s’appuyant sur des sources du secteur automobile informées des grandes lignes de ce projet. Ce dernier est encore au stade de l’ébauche et il risque de se heurter à une forte hostilité, de la part des partenaires commerciaux des Etats-Unis mais aussi des concessionnaires américains de véhicules importés, souligne le journal. Le président américain Donald Trump a déjà annoncé des droits de douane sur l’acier et l’aluminium en s’appuyant sur cette Section 232, qui autorise la mise en place de protections commerciales au nom de la “sécurité nationale” des Etats-Unis. Les titres General Motors et Ford ont pris respectivement 0,6% et 0,9% après la clôture à Wall Street alors que le titre coté à New York de Fiat Chrysler Automobile (FCA) a perdu 2%.

 

Proportionnelle : 10% seulement pas 25% ! (Larcher)

Proportionnelle : 10% seulement pas 25% ! (Larcher)

 

La partie de poker continu entre le président de la république et le président du Sénat, Gérard Larcher. Sur trois dispositions essentielles envisagées dans la modification de la constitution, le président du Sénat est en désaccord, à savoir : la limitation du nombre de parlementaires, le non-cumul des mandats et l’introduction d’une dose de proportionnelle à l’assemblée nationale. Sur ce dernier aspect le président du Sénat accepterait un taux de proportionnelle à l’assemblée mais refuse le chiffre de 25 % avancés par le gouvernement au motif que cela bouleverserait la logique des institutions concernant notamment  stabilité politique en France. Le gouvernement et le président de la république menacent  par ailleurs, si l’opposition persiste, de recourir au référendum. Il hésite cependant car il connaît les risques politiques ; en effet, on répond rarement en France à la question posée lors d’un référendum ; c’est souvent l’occasion d’exprimer un mécontentement global vis-à-vis du gouvernement. Or le gouvernement actuellement voit sa popularité diminuer de manière assez significative. Du coup, il semblerait qu’un accord avec le Sénat serait politiquement moins dangereux. Il faut pour cela convaincre les trois cinquièmes des élus parlementaires et notamment le président du Sénat “La question de la proportionnelle sur le fond (…) je n’y suis pas favorable pour les députés parce que le fait majoritaire repose sur le scrutin majoritaire et la Ve République repose là-dessus”, a donc déclaré Gérard Larcher (Les Républicains) au ‘Grand Rendez-vous’ Europe 1, Les Echos, CNews. “Je militerai pour une proportionnelle qui soit la plus mesurée possible pour ne pas nous conduire au spectacle auquel nous avons assisté en Allemagne”, a-t-il ajouté en référence aux négociations difficiles qui ont permis mercredi de reconduire Angela Merkel à la tête du gouvernement allemand dans une position affaiblie. A la question de savoir quelle dose de proportionnelle serait raisonnable selon lui, il a répondu: “j’ai une tentation plutôt vers 10%”. Aujourd’hui, les députés sont élus au scrutin majoritaire. Une dose de proportionnelle permettrait plutôt d’attribuer des sièges en fonction du nombre de voix. Selon Gérard Larcher, “plus de 70% des sénateurs sont élus à la proportionnelle”.

Emplois en 2017 :25% en région parisienne

Emplois en 2017 :25% en région parisienne

Proportionnellement au nombre d’habitants la région Parisienne offre le plus d’emplois. En  France, la région parisienne occupe la première marche du podium, avec 1.683.100 offres d’emploi publiées en 2017. Soit 25,1% des offres françaises.  Dans la capitale, 461.212 offres ont été proposées en 2017. Ensuite, loin derrière, on découvre Nanterre (44.919 offres), Boulogne Billancourt (23.112 occurrences), Saint-Denis (19.347 offres), Versailles (16.310 offres), Évry (15.010 emplois proposés), Créteil (14.428 offres), Courbevoie (13.619 offres), Levallois-Perret (12.322 offres), et enfin Issy-les-Moulineaux, qui a enregistré 11.751 offres. Ces chiffres ont été obtenus sur la base de 7 millions d’offres d’emploi recueillies et analysées par Jobijoba durant l’année 2017. La deuxième région la plus dynamique en matière d’offres d’emploi est l’Auvergne-Rhône Alpes, avec 13,5%, soit quasiment deux fois moins que la région parisienne… On retrouve ensuite la Nouvelle-Aquitaine sur la troisième marche du podium avec 7,7%, puis les Pays de la Loire, quatrième avec 7,3% des offres captées. La Provence-Alpes Côte d’Azur et les Hauts-de-France sont en plein milieu du classement, qui se termine à la 13e et 14e place avec les DOM-TOM (1,8%) et la Corse (0,2%) qui ferme la marche.  Le baromètre a également isolé six secteurs attractifs, qui ont proposé le plus d’offres d’emploi sur le marché français en 2017. Le grand gagnant: le secteur du commerce-vente qui a concentré 16,5% des offres, secondé par l’informatique et ses 9,4% d’offres d’emploi. Vient ensuite le secteur des Ressources humaines-gestion (8,7%), l’industrie (7,8%) et enfin la comptabilité et les métiers liés au secrétariat-administratif (qui représentent chacun 6% d’offres captées).

Grève des routiers le 18 et le 25 septembre

Grève des routiers le 18 et le 25 septembre  

 

CGT et de FO ont lancé un appel  à la grève reconductible à partir du 25 septembre contre la réforme du Code du travail.  La CFDT (syndicat majoritaire) annonce une grève le 18 septembre. Des routiers affrontés à une double difficulté d’une part par une structure démographique des entreprises très éclatée,  d’autre part par une  concurrence internationale féroce qui d’ailleurs a fait presque disparaitre le pavillon français sur les marchés extérieurs et qui vient concurrencer les transporteurs français sur le marché intérieur. S’ajoute à cela un phénomène de sous-traitance excessive  qui consiste à externaliser les contraintes sociales et financières.  La Fédération des transports de la CGT et son pendant de FO disent vouloir bloquer des axes routiers ainsi que des sites de dépôt de carburant à partir du 25 septembre pour manifester contre la réforme du gouvernement, a dit à Reuters Jérôme Vérité, le secrétaire général de la fédération de la CGT. Il a expliqué que les ordonnances auront beaucoup d‘impact sur ce secteur qui se caractérise par la présence d‘une majorité d‘entreprises de moins de 20 salariés. “On peut s‘attendre à un désastre social”, a-t-il dit. “Nous voulons que le gouvernement revienne sur les ordonnances”. Il ajoute que la grève durera “le temps qu‘il faudra». L’Union fédérale route FGTE-CFDT a appelé mercredi a une journée de mobilisation le 18 septembre. “Nous militants réfléchissent encore aux actions qu‘ils vont prendre”, précise le secrétaire général, Patrick Blaise. Ils prévoient, entre autres, de manifester devant le ministère du Travail et de bloquer des axes routiers ainsi que des sites.

Médecins généralistes : 25 % en moins

Médecins généralistes : 25 % en moins

Leur nombre a diminué de 8,4 % entre 2007 et 2016, selon les chiffres publiés jeudi 2 juin par le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) dans son atlas de la démographie médicale. Liée au non-remplacement d’une partie des départs à la retraite, cette chute « inexorable » et « préoccupante » devrait même se poursuivre jusqu’en 2025 et se traduire par « la perte d’un médecin généraliste sur quatre sur la période 2007-2025 », estime l’ordre. La pénurie affecte aussi bien des territoires ruraux que des zones urbaines. Entre 2007 et 2016, tous les départements français – sauf la Savoie (+1 %) et la Loire-Atlantique (0 %) – ont enregistré une baisse de leur « densité médicale », c’est-à-dire du nombre de médecins rapporté à la populationParis et le département de la Nièvre ont chacun perdu un quart de leurs généralistes au cours de cette période. « Il n’y a pas un département, pas un canton qui ne rencontre pas de problèmes pour trouver un remplacement de médecin de campagne », a souligné, mardi 31 mai, François Baroin, le maire (Les Républicains) de Troyes et président de l’Association des maires de France (AMF). Il avait d’ailleurs choisi de faire de l’accès aux soins le thème « numéro un » du débat d’ouverture du 99e congrès de l’AMF. Car si un numerus clausus longtemps insuffisant explique en partie le phénomène, le manque de candidats est aussi en partie dû aux aspirations des jeunes générations de médecins à exercer leur métier autrement.  Du côté de l’ordre des médecins, on rappelle que les maisons médicales ne constituent pas la solution miracle. « Une page a été tournée, il n’y aura plus un médecin par commune », prévient Patrick Romestaing, l’un des vice-présidents du CNOM. Soulignant les « limites » et les « effets d’aubaine » que peuvent susciter les aides financières, il appelle à mettre fin aux « mesurettes » au profit d’une « vaste réforme » du système. Et notamment à une meilleure découverte du métier de généraliste par les étudiants en médecine. « On demande aujourd’hui aux étudiants de choisir un métier qu’ils ne connaissent pas », explique Emile Frelat, du SNJMG, qui demande que tous les étudiants de deuxième cycle effectuent un stage de six mois en dehors de l’hôpital.

Penelope : salaire fictif à l’Assemblée depuis 25 ans !

Penelope : salaire fictif à l’Assemblée depuis 25 ans !

 

 

Ce n’est pas depuis quelques années que Pénélope a reçu u salaire fictif mais cela a commencé il y a 25 ans dès l’élection de Fillon comme député. Ce que révèle Mediapart et ce que confirme l’avocat de Fillon. « Penelope Fillon a en fait bénéficié d’argent public dès le premier mandat parlementaire de son mari, grâce à des contrats d’études ou de missions commandées par celui-ci », lit-on dans l’article du site d’informations. L’avocat de l’ex-Premier ministre et de son épouse, Antonin Levy, a confirmé à Reuters que le Parquet national financier (PNF) disposait de cette information depuis fin janvier et s’est étonné de ce qu’elle sorte maintenant. Ces éléments font partie de ceux qui ont été transmis par l’Assemblée nationale fin janvier mais, jusqu’ici, « personne n’a considéré qu’ils étaient dignes d’intérêt », a-t-il dit. « La bonne question à se poser, c’est pourquoi le Parquet national financier qui, lui, savait depuis des semaines, n’en a pas parlé, et pourquoi cette information sort à 14 jours du premier tour », a ajouté l’avocat. Me Levy a dénoncé une nouvelle « fuite à charge, qui démontre l’instrumentalisation de la procédure pour la transformer en feuilleton médiatique et influer sur la campagne électorale ». François Fillon a notamment été mis en examen le 14 mars pour détournement de fonds publics, complicité et recel d’abus de biens sociaux. L’enquête ouverte par le PNF a ensuite été élargie au chef de « trafic d’influence » et aux costumes sur mesure offerts à François Fillon par l’avocat franco-libanais Robert Bourgi. Penelope Fillon a été à son tour mise en examen le 28 mars, notamment pour complicité et recel de détournement de fonds publics. Outre les époux Fillon, a également été mis en examen pour détournement de fonds publics, dans cette affaire à tiroirs, l’ex-suppléant de l’ancien Premier ministre, Marc Joulaud, qui a employé Penelope Fillon de 2002 à 2007. Les magistrats cherchent notamment à déterminer si Penelope Fillon a bien travaillé comme attachée parlementaire au service de son mari et de Marc Joulaud, et comme collaboratrice de La Revue des deux mondes, en contrepartie de rémunérations approchant au total près d’un million d’euros brut. François Fillon est passé du statut de favori de la présidentielle après la primaire à droite, fin novembre, à celui de troisième homme, voire quatrième, donc éliminé du second tour. Il n’a eu de cesse de dénoncer les oeuvres d’un « cabinet noir » dont le chef serait l’actuel président, François Hollande.

 

Sondage 2017 : Le Pen (26 %), Macron (25 %), Fillon (19,5 %)

Sondage 2017 : Le Pen (26 %), Macron (25 %), Fillon (19,5 %) 

 

Un sondage BVA-Salesforce pour la presse régionale et Orange  qui confirme à nouveau que Marine Le Pen et Macron se tienne dans un mouchoir de poche et que Fillon est assez largement décroché. La présidente du Front national est stable avec 26% des voix, et l’ancien ministre de l’Economie perd un point avec 25%, selon cette enquête diffusée samedi. Le socle électoral d’Emmanuel Macron, candidat d’En Marche!, demeure fragile et semble même s’éroder un peu par rapport à la semaine dernière : parmi ses électeurs potentiels, 54% se déclarent sûrs de leur choix, soit deux points de moins, souligne BVA. Le candidat de la droite François Fillon se maintient en dépit de la séquence de sa mise en examen : il est crédité de 19,5% des intentions de vote, un score à peine en baisse par rapport à la précédente mesure (-0,5 point). Le socialiste Benoît Hamon est celui qui pâtit le plus du désarroi des électeurs de gauche. Il perd un point par rapport à la précédente mesure et est désormais crédité de 12,5% des intentions de vote. Le candidat de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon est crédité de 12% des intentions de vote (+0,5 point) et fait ainsi quasiment jeu égal avec Benoît Hamon. Au second tour, Emmanuel Macron battrait largement Marine Le Pen avec 62% des intentions de vote, contre 38%. Ce sondage a été effectué du 15 au 17 mars auprès d’un échantillon de 1.425 personnes inscrites sur les listes électorales, issues d’un échantillon représentatif de 1.501 Français âgés de 18 ans et plus.

 

 

 

Sondage : Le Pen (26,5%), Macron (25,5%) et Fillon (18%) (IFOP)

Sondage : Le Pen (26,5%), Macron (25,5%) et Fillon (18%) (IFOP)

 

Marine Le Pen reste en tête des intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, avec 26,5%, devant Emmanuel Macron (25,5%) et François Fillon (18%), selon le sondage quotidien IFOP-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud Radio publié jeudi. La candidate du Front national et celui d’En Marche ! sont stables, tandis que François Fillon (Les Républicains) recule de 0,5 point. C’est l’écart le plus important mesuré entre Emmanuel Macron et François Fillon depuis le début de ce sondage. Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen, avec 61% contre 39%. Le socialiste Benoît Hamon est stable, à 13,5%, tandis que Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) recule de 0,5 point, à 11%. Le sondage a été réalisé du 13 au 16 mars auprès d’un échantillon de 1.386 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d’un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

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