Archive pour le Tag '25%'

Page 2 sur 7

Grande distribution : E.Leclerc détient 25 % du marché

Grande distribution : E.Leclerc détient 25 % du marché

En parts de marché, E.Leclerc serait plus que jamais l’enseigne préférée des Français. Près d’un quart des achats de produits de grande consommation se ferait en effet dans un magasin du groupe.

Sur la période mi-avril/mi-mai, E.Leclerc obtient 23,9% des parts du marché, selon Kantar. Avec une augmentation de +1,1 point, le groupe creuse l’écart avec son poursuivant, Carrefour. L’attractivité de ce dernier reste néanmoins stable, le groupement captant toujours 18,8 % des achats de produit de grande consommation. La troisième marche est occupée par Les Mousquetaires et ses 16,4% de parts du marché. Viennent ensuite Système U (11,6%), Auchan Retail (8,3%), Lidl (8,2%) et Casino (6,1%).

En période d’inflation, les discounters attirent également davantage de clients. Lidl enregistre une hausse du même acabit, avec +0,5 pt. Aldi observe une progression encourageante, avec 0,2 point en plus.

Chute de 25,3% des prêts personnels

Chute de 25,3% des prêts personnels


En raison notamment de l’explosion de l’inflation et des taux d’intérêt, les prêts personnels, crédits à la consommation non affectés à un bien en particulier, ont chuté au premier trimestre de 25,3% sur un an, a annoncé lundi l’Association française des Sociétés Financières (ASF).

Avec près de 95 milliards d’euros d’encours à fin décembre, les prêts personnels représentent quasiment la moitié des encours du crédit à la consommation, selon la Banque de France. Les crédits affectés à l’amélioration de l’habitat et aux biens d’équipement du foyer se sont quant à eux maintenus sur le trimestre (+3,9%) et les crédits renouvelables ont bénéficié de circonstances favorables. (+11,1%). Ce volume de production ne dit en revanche rien sur la qualité des emprunteurs.

Qualifiant la conjoncture actuelle de «défavorable», l’ASF faisait remarquer dans un document paru en début de mois que la qualité de la demande des crédits à la consommation poursuivait son effritement avec des «premiers impayés (qui) augmentent légèrement».

Covid France 2 mars 2023 : 4525 cas supplémentaires en 24 heures et 25 morts

Covid France 2 mars 2023 : 4525 cas supplémentaires en 24 heures et 25 morts

On enregistre mercredi 1 mars 2023 : 4525 cas supplémentaires en 24 heures et 25 morts soient au total 164 988 morts.
Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.584 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 135.404 (+25 depuis le dernier bilan).
Le taux de reproductivité R est de 1,04 le taux d’incidence à 38,27 et la tension hospitalière à 14,2 %.
La France compte actuellement 12.787 (-71) personnes hospitalisées et 718 (-4) malades en réanimation.
Bilan des régions :
• Ile-de-France : 4.195 (+34) hospitalisées, 299 (+11) en réanimation et +5 décès en 24h
• Grand Est : 1.163 (+4) hospitalisés, 57 (-3) en réanimation et +8 décès en 24h
• Hauts de France : 1.269 (-7) hospitalisés, 54 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 983 (-4) hospitalisés, 63 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 856 (-89) hospitalisé, 50 (-3) en réanimation et +1 décès en 24h
• Bretagne: 282 (-7) hospitalisés, 9 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
• Normandie : 791 (+8) hospitalisés, 23 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.082 (-7) hospitalisés, 70 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
• Pays de la Loire : 145 (-1) hospitalisés, 7 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
• Occitanie: 766 (-3) hospitalisés, , 41 (-4) en réanimation et +1 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 566 (-2) hospitalisés, 21 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 407 (0) hospitalisés, 18 (-3) en réanimation et 0 décès en 24h

Achats alimentaires: hausse des prix de 25% sur deux ans

Achats alimentaires: hausse des prix de 25% sur deux ans

Les prix ont déjà augmenté très fortement depuis un an mais ils devraient exploser à partir de mars du fait des nouveaux contrats entre la grande distribution et les fournisseurs. En effet les hausses des fournisseurs peuvent aller jusqu’à des 50 %, en général elle dépasse les 20 % en moyenne.

En janvier 2023, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85%, selon la société d’analyse IRI. Et surtout cela va continuer. Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on a déjà assisté à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation.

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre . En moyenne les dépenses alimentaires des Français ont diminué de 10 % sur un an.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Consommation-Produits alimentaires: hausse des prix de 25% sur deux ans

Consommation-Produits alimentaires: hausse des prix de 25% sur deux ans

Les prix ont déjà augmenté très fortement depuis un an mais ils devraient exploser à partir de mars du fait des nouveaux contrats entre la grande distribution et les fournisseurs. En effet les hausses des fournisseurs peuvent aller jusqu’à des 50 %, en général elle dépasse les 20 % en moyenne.

En janvier 2023, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85%, selon la société d’analyse IRI. Et surtout cela va continuer. Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on a déjà assisté à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation.

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre . En moyenne les dépenses alimentaires des Français ont diminué de 10 % sur un an.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Produits alimentaires: hausse des prix 25% sur deux ans

Produits alimentaires: hausse des prix 25% sur deux ans

Les prix ont déjà augmenté très fortement depuis un an mais ils devraient exploser à partir de mars du fait des nouveaux contrats entre la grande distribution et les fournisseurs. En effet les hausses des fournisseurs peuvent aller jusqu’à des 50 %, en général elle dépasse les 20 % en moyenne.

En janvier 2023, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85%, selon la société d’analyse IRI. Et surtout cela va continuer. Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on a déjà assisté à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation.

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre . En moyenne les dépenses alimentaires des Français ont diminué de 10 % sur un an.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Achats alimentaires: : hausse de 25% sur deux ans

Achats alimentaires: : hause de 25% sur deux ans

Les prix ont déjà augmenté très fortement depuis un an mais ils devraient exploser à partir de mars du fait des nouveaux contrats entre la grande distribution et les fournisseurs. En effet les hausses des fournisseurs peuvent aller jusqu’à des 50 %, en général elle dépasse les 20 % en moyenne.

En janvier 2023, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85%, selon la société d’analyse IRI. Et surtout cela va continuer. Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on a déjà assisté à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation.

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre . En moyenne les dépenses alimentaires des Français ont diminué de 10 % sur un an.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Denrées alimentaires: 25 % d’augmentation à partir de mars ?

Denrées alimentaires: 25 % d’augmentation à partir de mars ?

Les prix des denrées alimentaires explosent et pourraient subir une augmentation de 25 % sur deux ans à partir de mars

>Les prix ont déjà augmenté très fortement depuis un an mais ils devraient exploser à partir de mars du fait des nouveaux contrats entre la grande distribution et les fournisseurs. En effet les hausses des fournisseurs peuvent aller jusqu’à des 50 %, en général elle dépasse les 20 % en moyenne.

En janvier 2023, les prix des produits alimentaires ont accusé une hausse de 13,85%, selon la société d’analyse IRI. Et surtout cela va continuer. Il faudra encore ajouter 10 % d’augmentation en moyenne à partir de mars. En clair les achats alimentaires auront augmenté de 25 % sur deux ans.

Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on a déjà assisté à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation.

Après la crise du Covid-19 qui a renforcé les achats en ligne, l’inflation vient à son tour modifier les habitudes de consommation des Français. C’est ce qui transparaît du baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis. L’étude, qui se base sur 20 millions de cartes bancaires pour analyser les achats de leurs détenteurs, met en évidence le fait que « les Français cherchent à optimiser leur budget » et font des choix sur leurs dépenses, résume Myriam Dassa, directrice du Baromètre . En moyenne les dépenses alimentaires des Français ont diminué de 10 % sur un an.

Avec une inflation moyenne de 5,2% en 2022, dont des pics à 6,2% sur un an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Prisons : 25 % des détenus d’origine étrangère

Prisons : 25 % des détenus d’origine étrangère

La France compte environ 10 % d’étrangers en France. Par contre, le pourcentage est notoirement supérieur en prison ou 25 % des détenus sont d’origine étrangère ( réellement étrangers). On pourrait y ajouter les détenus français d’origine étrangère ( la loi interdit d’effectuer des statistiques de ce type) et là on aboutirait à un pourcentage ainsi dépassant les 50 %.Une grande partie des incarcérations concerne les délits de trafic de drogue et les atteintes à la personne.

Répartition des infraction à la législation: stupéfiants : 18,2 % (9 034 personnes), Atteinte à l’autorité de l’État : 4,7 % (2 333 personnes), Infraction routière (autre que homicide et blessure involontaire) : 6,7 % (3 328 personnes) Violence contre les personnes : 15,6 % (7 723 personnes).( Ces infractions ne donnent pas toute lieue à incarcération mais permettent d’éclairer la question délictuelle)

Au 1er juillet, sur 72.020 détenus, l’administration pénitentiaire comptait 53.952 Français et donc 18.068 détenus étrangers. Le tout pour 60.709 places de prison opérationnelles.

En tête des nationalités les plus représentées en détention, on retrouve celles d’Afrique du nord, avec 3974 Algériens, 2093 Marocains et 1254 Tunisiens. Si ces deux derniers chiffres sont stables, le nombre d’Algériens est en nette progression par rapport à 2021 : ils étaient alors 2750 dans nos prisons. Si l’on rapporte ces données à l’ensemble de la communauté algérienne en France, soit 569.000 ressortissants sans compter les détenus bénéficiant de la double nationalité, leur délinquance est plus de 5 fois supérieure à celle de la communauté portugaise, quasiment aussi nombreuse et qui compte 497 détenus.

Cela démontre à l’évidence les très grandes difficultés d’intégration des valeurs notamment républicaines par certaines populations.

On est loin de l’objectif final qui devrait être l’assimilation progressive. Au contraire on assiste plutôt à une sorte de balkanisation avec l’existence de plusieurs modes de civilisation. Refuser ce constat, c’est en même temps renoncer au projet républicain et à ses valeurs.

L’audience de TF1 plonge de 25 %

L’audience de TF1 plonge de 25 %

Conséquence directe du conflit avec Canal+ qui a bloqué la diffusion de la première chaîne de France, TF1 (et son groupe) voit son audience baisser de plus de 25 %.

Les deux groupes étaient en conflit commercial depuis septembre, la filiale de Vivendi ayant cessé de diffuser les chaînes de TF1 faute d’accord financier.
En conflit commercial depuis septembre, TF1 et Canal+ annoncent ce vendredi soir avoir signé un « nouvel accord de distribution », alors que la filiale de Vivendi avait cessé de diffuser les chaînes du groupe TF1 sur tous ses canaux de distribution, faute d’accord financier.

Cet accord qui renouvelle « sur le long terme » la distribution de toutes les chaînes du groupe TF1 (TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films, LCI), « ainsi que leurs services de rattrapage », auprès des abonnés du groupe Canal+ sera effectif à partir du lundi 7 novembre 2022, quelques semaines avant le début du Mondial de football au Qatar.
Les détails financiers de cet accord n’ont pas été divulgués.

L’arrêt de la diffusion de ses chaînes par Canal+ a été préjudiciable aux audiences du groupe TF1. En octobre, l’ensemble de ses cinq chaînes a vu sa part d’audience tomber à 25,6%, contre 27,7% un an plus tôt, selon Médiamétrie.

Covid France 25 avril 2022 : +58.954 nouveaux cas confirmés en 24h.

Covid France 25 avril 2022 : +58.954 nouveaux cas confirmés en 24h.

 

On enregistre dimanche 24 avril 2022 : : +58.954 nouveaux cas confirmés en 24h,  145.060 morts au total, +40 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.715 (+7) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 116.345 (+33 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,90 le taux d’incidence à 870,37 et la tension hospitalière à 32,4 %. Le taux de positivité est à 27,0 %.

La France compte actuellement 24.888 (+48) personnes hospitalisées et 1.640 (+4) malades en réanimation.

bilan des régions françaises:

  • Ile-de-France : 5.033 (+10) hospitalisées, 409 (-2) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Grand Est : 2.157 (+7) hospitalisés, 139 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Hauts de France : 2.491 (-17) hospitalisés, 163 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 2.584 (-11) hospitalisés, 163 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.260 (+4) hospitalisé, 147 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Bretagne: 1.234 (+24) hospitalisés, 62 (-1) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Normandie : 1.772 (0) hospitalisés, 78 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.669 (+14) hospitalisés, 117 (+2) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 850 (-11) hospitalisés, 67 (-3) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Occitanie: 1.986 (+19) hospitalisés, , 137 (+3) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 1.052 (+6) hospitalisés, 63 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 1.144 (+9) hospitalisés, 66 (+4) en réanimation et +2 décès en 24h

La Fed : Un relèvement des taux directeurs de 0,25 %

La Fed : Un relèvement des taux directeurs de 0,25 %

La FED pourrait s’en tenir un relèvement des taux directeurs de 0,25 % au lieu de 0,50 % envisagés ces derniers temps. Il s’agit certes de de lutter contre l’inflation galopante qui a atteint 7,9 % sur un an en février mais aussi de ne pas ajouter de difficultés à une croissance maintenant également menacée par la situation en Ukraine.

L’institution est aujourd’hui confrontée à un dilemme: « maîtriser l’inflation sans provoquer de récession ». Son président, Jerome Powell, s’est récemment dit confiant dans la capacité de l’institution à le résoudre, en assurant un « atterrissage en douceur ». Mais elle garde une mémoire douloureuse: celle de l’inflation à deux chiffres des années 1970-1980 lorsque, en relevant drastiquement ses taux jusqu’à 20%, la Fed avait plongé les Etats-Unis dans la récession.

Les économistes de Wells Fargo tablent sur six hausses d’un quart de point de pourcentage (0,25%) en 2022. Les hausses de la Fed se font habituellement par paliers de 0,25 point de pourcentage. Selon l’évaluation des produits à terme de CME Group, citée par l’AFP, sur les marchés, la quasi-totalité des acteurs (95,9%) table sur une hausse d’un quart de point, les autres anticipant un maintien des taux à leur niveau actuel. L’hypothèse d’une hausse plus brutale de 0,50, qui à un moment a paru plausible, ne convainc plus.

En Europe, où l’inflation, à +5,8% en février, est moins élevée, l’homologue de la Fed, la Banque centrale européenne (BCE) a décidé jeudi de maintenir pour le moment ses taux à leur plus bas historique. Elle a toutefois décidé d’arrêter son programme de rachats d’obligations au troisième trimestre, première étape d’une normalisation de sa politique monétaire et de fin de sa politique de soutien à l’économie de la zone euro, dont pourtant l’invasion de l’Ukraine par la Russie assombrit les perspectives économiques. Le signe que son inquiétude principale est l’inflation galopante.


P

Ehpad Orpea: une marge de 25 % en 2021

Ehpad Orpea: une marge de 25 % en 2021

 

Tous les voyants sont au vert pour les EHPAD Orpéa. Ce que montre des indicateurs qui affichent une croissance soutenue de son chiffre d’affaires, qui a progressé de 9,2% à 4,285 milliards d’euros, mais aussi de l’excédent brut d’exploitation retraité des loyers (ebitdar), qui a augmenté de 10,9%, à 1,068 milliard d’euros, soit une marge de 24,9%.

D’ici à la semaine prochaine, le gouvernement doit rendre publiques les conclusions d’une double enquête administrative sur les activités de l’entreprise, ouverte après la publication du livre de Victor Castanet. Le journaliste y décrit un « système » mis en place par Orpea pour optimiser les profits dégagés par ses Ehpad, au détriment du bien-être de ses résidents âgés.

Economie, politique, société: les plus lus (25 février 2021- 7h00)

Economie, politique, société: les plus lus  (25 février 2021-  7h00)

Présidentielle 2022 : Macron sur les sites de rencontre !

Société: L’impossible simplification administrative

 

 

Présidentielle 2022 : Macron sur les sites de rencontre !

Société: L’impossible simplification administrative