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Coronavirus Espagne : en 24 heures 2.000 cas en plus et une centaine de morts

Coronavirus Espagne  : en 24 heures 2.000 cas en plus et une centaine de morts

Quelque 2.000 nouveaux cas de coronavirus ont été enregistrés en Espagne et une centaine de personnes sont mortes, en 24 heures en Espagne, le pays le plus touché en Europe derrière l’Italie, ont annoncé dimanche les autorités. Selon le dernier bilan, un total de 7.753 cas ont été détectés tandis que 288 personnes sont décédées du Covid-19 dans le pays qui s’est mis à l’isolement quasi total pour tenter de freiner la propagation de la pandémie.

Les précédents chiffres, communiqués par les autorités samedi, faisaient état de plus de 5.700 cas et au moins 183 morts. Le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a annoncé samedi soir la mise à l’isolement quasi total du pays dont les 46 millions d’habitants n’ont le droit de sortir seuls de chez eux que pour des raisons impératives comme aller travailler, à la pharmacie, se faire soigner ou acheter à manger.

Tous les commerces non essentiels, les écoles, les musées, les établissements sportifs ont par ailleurs été fermées dans l’ensemble de l’Espagne tandis que les processions religieuses prévues pour la Semaine sainte début avril ont été annulées dans de nombreuses régions ou villes du pays comme Séville, en Andalousie.

Coronavirus 2019-nCoV : une centaine de morts en 24 heures

Coronavirus 2019-nCoV  : une centaine de morts en 24 heures

 

L’épidémie de coronavirus 2019-nCoV a causé 97 décès supplémentaires dimanche en Chine continentale, ont annoncé lundi les autorités sanitaires chinoises, ce qui porte à 908 le nombre de cas mortels dans le pays depuis que le virus s’est déclaré à Wuhan en décembre dernier.

L ’OMS reprend curieusement à son compte les informations de la Chine qui affirme qu’un total de 35 000 personnes ont été contaminées, à l’heure actuelle, en Chine continentale, dont 908 sont mortes. « Il y a eu une stabilisation du nombre des cas rapportés de Hubei », la province chinoise la plus touchée et où la maladie est apparue, a déclaré le responsable des programmes sanitaires d’urgence de l’OMS, Michael Ryan, lors d’un point de presse. Pourtant dans le même temps on annonce que 2841 cas supplémentaires ont été enregistrés dans cette région en 24 heures.

Pour des motifs diplomatiques tout autant qu’économiques,  nombre d’experts dont l’OMS  tentent de relativiser le flou des statistiques chinoises sur le développement du virus. Notons d’ailleurs qu’à ce jour l’OMS n’a pu encore envoyer aucun expert en Chine pour procéder à une évaluation. Pour l’instant, elle a juste dressé une liste de noms d’experts à la Chine. On attend encore la réponse. Comme souvent affirmé dans ce site, les statistiques chinoises ont ceci de particulier qu’elles prennent un caractère très politique;  en clair,  qu’elles sont régulièrement suivies par le pouvoir et éventuellement bidouillées par exemple concernant la mesure de la croissance. Si l’on s’en tient aux déclarations officielles chinoises, il y aurait environ autour de 35 000 personnes infectées.

Le 31 janvier, la revue britannique The Lancet, l’une des références en matière médicale, a publié une étude fondée sur un modèle mathématique d’après lequel 75.815 individus auraient été infectés à Wuhan – la principale province chinoise touchée par l’épidémie – au 25 janvier 2020. Officiellement, ce jour-là, le nombre de personnes diagnostiquées était de… 685. Soit un rapport de plus de 1 à 100. Il est possible qu’en faite sur l’ensemble de la Chine le nombre de personnes infectées soit plus proche de 200 000 que de 35 000. En outre, il faut surtout noter le taux d’expansion du virus. En Chine en dépit de tous les efforts consentis et qui sont importants,  le virus est loin d’être contenu contrairement à des régions extérieures qui semblent avoir pris des mesures assez draconiennes pour éviter la mobilité des personnes en général. .

Ce qui n’empêche pas les déclarations irresponsables de l’OMS : «Il y a eu une stabilisation du nombre des cas rapportés de Hubei», la province chinoise la plus touchée et où la maladie est apparue, a déclaré le responsable des programmes sanitaires d’urgence de l’OMS Michael Ryan, lors d’un point de presse à Genève. Cette province est soumise à des mesures drastiques d’isolement par les autorités chinoises pour tenter de contenir la diffusion de l’épidémie. «Nous enregistrons une période de stabilité de quatre jours, où le nombre de cas rapportés n’a pas progressé. C’est une bonne nouvelle et cela pourrait refléter l’impact des mesures de contrôle qui ont été mises en place», a-t-il ajouté.

Plutôt que de délivrer des informations douteuses l’OMS ferait mieux de se pencher sur le manque crucial de matériel de prévention, un manque à l’échelle mondiale.

Grève Retraites: Nouvelle journée le 24 janvier

Grève Retraites: Nouvelle journée le 24 janvier

 

Macron voudrait bien passer à autre chose, notamment de plus consensuel; par exemple,  en instrumentalisant la fameuse convention citoyenne sur l’environnement. Une commission bidon uniquement mise en place pour reverdir un président qui n’a pas témoigné une grande sensibilité aux questions écologiques. Il a même envisagé un référendum sur des propositions qui n’ont pas pris encore la moindre forme; histoire sans doute d’obtenir un vote plus favorable que ce qui mesure sa popularité actuelle qui chute sérieusement. Malheureusement pour Macron tout autant que pour le pays, le conflit social s’enlise comme s’est enlisée l’affaire des gilets jaunes. Mais si la mobilisation baisse, elle reste majoritairement soutenue par l’opinion publique, et la bataille de la rue se double d’un nouvel affrontement, dans l’hémicycle cette fois, où le cadre de l’examen du projet de loi est déjà critiqué par les oppositions de gauche et de droite, avant même son arrivée prévue le 17 février.

La page est loin d’être tournée. Pour preuve une nouvelle journée de grève et de manifestations aura lieu le 24 janvier, jour de la présentation du texte en conseil des ministres.

Dans un communiqué, les syndicats CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef, UNL, MNL et FIDL rejettent de nouveau un “projet absurde et injuste” et “exigent le maintien des régimes de retraite existants par répartition solidaire et intergénérationnelle, fondés sur un système par annuités ». Lors d’une conférence de presse mercredi, le Premier ministre Edouard Philippe a dénoncé la grève dans les transports, la plus longue dans l’histoire de France, qui est selon lui “sans issue” compte tenu de la détermination “totale” du gouvernement à aller jusqu’au bout de la suppression des régimes spéciaux.

Si la position des syndicats radicaux est loin d’être défendable sur tous les points, le même reproche peut être fait au pouvoir politique qui non seulement se montre incapable d’aboutir à un compromis sérieux mais multiplie aussi les actes de provocation tant vis-à-vis des syndicats les plus durs que vis-à-vis des syndicats réformistes. Avec l’enlisement, ce qui est de plus en plus en cause c’est la capacité de ce gouvernement et de Macron à gérer le pays.

Européennes: 24% d’intentions de vote pour LREM, 21% le RN

Européennes: 24% d’intentions de vote pour LREM, 21% le RN

D’après le sondage quotidien réalisé par l’institut Harris Interactive et l’agence Epoka, en partenariat avec TF1-LCI la liste de la république en marche serait en tête avec 24 4 % suivie par le rassemblement national avec 21 %. En fait, les deux formations sont au coude à coude depuis un moment. Les seules évolutions significatives à constater sont la remontée des républicains proches de 15 %. Derrière les insoumis sont autour de 10 % comme les écologistes. Derrière, le score des autres formations est assez marginal, même le parti socialiste a de la peine à dépasser 5%.

Méthodologie

Enquête réalisée en ligne les 26 et 27avril 2019. Échantillon de 1059 personnes inscrites sur les listes électorales, issu d’un échantillon de 1197 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes: sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région de l’interviewé(e) et vote aux élections antérieures.

Couvre-feu à Joué les tours (37) pour les mineurs jusqu’au 24 janvier

Couvre-feu à Joué les tours (37) pour les mineurs jusqu’au 24 janvier

En raison de violences récurrentes, Un couvre feu a été décrété Joué les Tours.  Dans la banlieue chaude  de Tours. Une Problématique qui ne concerne pas seulement les grandes villes comme Paris, Lyon, Marseille par exemple mais à peu près toutes les métropoles, aussi les villes moyennes et même les petites villes autour de 10 000 habitants. Officiellement on compte près de 800 zones urbaines sensibles en France mais le chiffre est beaucoup plus important (ZUS). Cela concernerait 10 % de la population. En réalité il y a au moins cinq ou six fois plus de zones sensibles qu’officiellement. Ainsi par exemple à Tours on compte seulement quatre zones sensibles quand il y en a au moins 25 si on intègre les banlieues comme Joué-lès-Tours par exemple. Chaque jour, chaque nuit des violences sont commises et l’ordre voyou ce substitut à l’ordre républicain sur fond  le plus souvent de trafic de drogue. Une violence d’ailleurs souvent masquée par les responsables politiques mais aussi par les médias qui ne souhaitent pas évoquer par exemple le nombre de voitures brûlées presque chaque jour où le nombre d’agressions. Un voile pudique et posé sur ce phénomène sociétal. Pas étonnant Macron lui-même a enterré le rapport Borloo qui proposait un véritable plan de transformation des banlieues. Le ministre de l’intérieur Gérard Collomb a aussi démissionné en raison de l’ignorance de ces problèmes par le pouvoir.  A partir de lundi 24 décembre au soir et pour une durée d’un mois, la mairie de Joué-Lès-Tours instaure donc un couvre-feu pour les mineurs de moins de 17 ans, rapporte France Bleu Touraine. Les jeunes qui seraient surpris non accompagnés la nuit dans la rue seront ramenés à leur domicile par les forces de l’ordre. Aucun mineur de moins de 17 ans ne pourra sortir dans la rue la nuit sans être accompagné d’un adulte. Un couvre-feu qui s’applique entre 22 heures et 6 heures dans les quartiers de la Rabière, du Morier, de la Vallée Violette et du centre-ville, alors que la ville a été ces derniers mois le théâtre d’agressions et de violences. Fin novembre, une vingtaine de voitures avaient été brûlées. « À travers ces actes, c’est l’ensemble des habitants de la ville qui souffre d’un sentiment croissant d’insécurité et d’une image de leur ville qui se dégrade dangereusement », explique la mairie. C’est le maire Frédéric Augis qui a signé l’arrêté municipal instaurant ce couvre-feu pour mineurs.

 

Population des ZUS des principales Unités urbaines

 

Unité urbaine (agglomération) Population ZUS (1999) Rang population ZUS (1999) Population unité urbaine(1999) Rang unité urbaine(1999) Pourcentage ZUS Nombre de ZUS Population moyenne ZUS (1999)
Paris (agglomération parisienne)

1 262 037

1

9 644 507

1

13,1 %

148

8 527

Marseille- Aix-en-Provence

247 022

2

1 349 772

2

18,3 %

18

13 723

Lyon

201 765

3

1 348 832

3

14,2 %

28

6 862

Lille

193 727

4

1 000 900

4

19,4 %

16

12 108

Bordeaux

99 166

5

705 564

7

14,1 %

13

7 628

Creil et son Bassin

83 255

6

86 765

10

19,5 %

10

8 326

Douai-Lens

75 386

7

518 739

9

14,5 %

20

3 769

Nice

53 525

8

888 784

5

6,0 %

5

10 705

Valenciennes

52 620

9

357 395

13

14,7 %

16

3 289

Toulouse

46 657

10

761 090

6

6,1 %

5

9 331

Toulon

46 566

11

298 004

16

15,6 %

9

5 174

Nantes

46 330

12

544 932

8

8,5 %

6

7 722

Rennes

46 227

13

272 263

20

17,0 %

5

9 245

Rouen

45 835

14

389 862

12

11,8 %

10

4 584

Grenoble

41 026

15

419 334

11

9,8 %

7

5 861

Nancy

39 603

16

331 363

14

12,0 %

6

6 601

Montpellier

33 443

17

287 981

19

11,6 %

5

6 689

Metz

30 992

18

322 526

15

9,6 %

6

5 165

Tours

21 235

19

297 631

17

7,1 %

4

5 309

Saint-Étienne

19 951

20

291 960

18

6,8 %

5

3 990

Orléans

N/C

N/C

275 928

23

N/C

6

N/C

Ensemble principales unités urbaines

2 676 739

N/C

20 734 612

N/C

13,1 %

349

7 827

 

Air France : nouvelles grèves les 17, 18 23 et 24 avril

Air France : nouvelles grèves les 17, 18 23 et 24 avril

 

 

Les dix organisations syndicales, mobilisées en faveur d’une augmentation générale des salaires de 6 %, ont en effet décidé de déposer un préavis de grève pour les 17, 18, 23 et 24 avril. Elles coïncideront avec trois journées d’arrêt de travail à la SNCF. Au total, onze journées de grève ont été égrenées par les syndicats de la compagnie aérienne en un mois et demi. À raison de 20 millions d’euros de pertes par jour pour l’entreprise, la facture atteint déjà 220 millions d’euros. La décision a été prise à l’issue d’une réunion infructueuse mercredi avec la direction sur les salaires. «Quelle cohérence économique y a-t-il à préférer dilapider des centaines de millions d’euros en conflit social plutôt que de reconnaître qu’après six années de blocage, la demande des salariés est légitime ?», s’interroge l’intersyndicale en faisant écho aux propos de Philippe Evain, le président du Syndicat des pilotes (SNPL) d’Air France dans Libération.

 

Travailleurs détachés : hausse de 24%, pourquoi ?

Travailleurs détachés : hausse de 24%, pourquoi ?

 

 

La progression du nombre de travailleurs n’est pas en soi critiquable, ce sont les conditions de ces détachements qui posent question. En outre, il faut mettre en rapport le nombre de travailleurs étrangers et le nombre de Français salariés détachés à l’étranger. Ce nombre de travailleurs européens détachés en France a augmenté de 23,8% en 2016, après une hausse de la même importance en 2015, pour s’établir à 354.151 salariés, selon les statistiques de la Direction générale du travail, dévoilés lundi par Les Echos. Le nombre de travailleurs européens détachés en France a augmenté de 23,8% en 2016, après une hausse de la même importance en 2015, pour s’établir à 354.151 salariés, selon les statistiques de la Direction générale du travail, dévoilés lundi par Les Echos.  Les deux tiers de ces travailleurs, venus principalement d‘Espagne, du Portugal, d‘Allemagne et de Pologne, ont été embauchés dans cinq régions : Grand-Est, Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte-D’Azur, Hauts-de-France et Île-de-France. L‘intérim et le BTP sont les deux secteurs qui ont eu le plus recours à ces travailleurs, avec respectivement 22% et 18% des employés.  Si la France est le pays européen qui accueille le plus de travailleurs étrangers chaque année après l’Allemagne, elle est aussi l’un de ceux qui en expatrient le plus derrière la Pologne et l’Allemagne, selon la Commission européenne. En 2011, La France a ainsi détaché officiellement 169.029 travailleurs selon la Direction générale du travail (DGT). Ce chiffre ne prend en compte que les travailleurs déclarés. Leur nombre réel tournerait plutôt autour de 300.000 selon certaines estimations. La particularité des travailleurs détachés en France c’est qu’on leur impose souvent des conditions sociales inférieures à celles des Français. Macron  c’est félicité  de l’accord relatif aux conditions de détachement des travailleurs étrangers dans les différents états européens mais cet   un accord est assez bâtard et ne reprend pas vraiment les propositions de la France qui voulait limiter le temps de détachement à un an. Un temps qui autorise des distorsions sociales puisque les travailleurs détachés ne sont pas soumis pour nombre d’aspects sociaux aux dispositions du pays dans lequel ils travaillent. La France a dû accepter qu’on limite les contrats de détachement à 18  mois et non pas un an. Autant dire que ce délai autorisera encore de nombreuses dérives. Mais de toute façon Macron n’avait pas le choix, il lui fallait un compromis coûte que coûte sur la forme car il avait fait de cette question un symbole de sa campagne électorale. La proposition de Macron a rencontré de nombreuses oppositions des sexes pays de l’Est, du Royaume-Uni de l’Irlande mais aussi de l’Espagne et du Portugal autant de pays qui profitent largement du détachement notamment dans le BTP, l’intérim  l’agriculture mais aussi le transport routier. Le projet de directive, discuté depuis dix-huit mois à la commission Juncker d’abord, puis au parlement européen et par les vingt-huit capitales, vise à faire bénéficier deux millions de travailleurs détachés hors de leur pays de la règle «À travail égal, salaire égal sur un même lieu de travail». Le principe a longtemps inquiété des pays d’Europe centrale et orientale, soucieux de garder jusqu’au bout l’avantage compétitif d’une main d’œuvre à bon marché. Pourtant, il a fini par faire un quasi-consensus à Luxembourg. La ministre française Muriel Pénicaud a parlé d’«un grand jour pour l’Europe». «C’est une étape essentielle pour recréer la confiance européenne», a réagi la présidence française. Le blocage est venu aussi du transport, passagers et marchandises. Les routiers espagnols et portugais, qui n’ont que la France comme porte d’entrée dans l’UE, effectuent des opérations de «cabotage» dans l’Hexagone, une pratique qui consiste à charger puis décharger à plusieurs reprises hors de leur frontière. Ils concurrencent ainsi les routiers français, dont les salaires et les charges sociales sont plus élevés. Le même contentieux pèse en Allemagne, face à des concurrents polonais et d’Europe centrale. Le compromis est déjà bâtard, son application par exemple dans le transport routier posera sans doute les mêmes questions qu’aujourd’hui dans la mesure où les textes peuvent être facilement contournés et que les dérives sont pratiquement incontrôlables. En outre ce compromis devra passer devant le Parlement européen qui lui est encore plus laxiste dans ses intentions. Le texte du parlement européen fixe une limite de vingt-quatre mois aux contrats de détachement, deux fois plus longue que celle voulue par l’Élysée.

Sondage 2017-20 avril : Macron 24 %, Le Pen 21,5 %

Sondage 2017-20 avril : Macron 24 %, Le Pen 21,5 %

 

Emmanuel Macron, à 24%, devant Marine Le Pen, 21,5%, François Fillon, 20%, et Jean-Luc Mélenchon, 19,5%, selon un sondage Elabe pour L’Express et BFMTV publié vendredi. Dans cette enquête réalisée avant l’attaque survenue jeudi soir sur les Champs-Elysées, à Paris, la candidate du Front national perd 1,5 point quand ses concurrents Les Républicains et de La France insoumise gagnent respectivement 0,5% et 1,5% d’intentions de vote. L’institut précise que par rapport à la taille de l’échantillon interrogé, les quatre candidats de tête se tiennent dans la marge d’erreur. Derrière eux, Benoît Hamon est crédité de 7% des intentions de vote, en baisse d’1 point, son plus bas score depuis le début de cette enquête fin janvier. Au second tour, Emmanuel Macron gagnerait, quel que soit son opposant. Face à Marine Le Pen et François Fillon, le leader d’En Marche ! l’emporterait avec 65%, contre 35% pour concurrent. Avec 59% des voix, il gagnerait aussi contre Jean-Luc Mélenchon, crédité de 41% des votes. L’homme fort de La France insoumise l’emporterait face à François Fillon avec 56% des voix, contre 44%. Jean-Luc Mélenchon battrait aussi la présidente du Front national sur le score de 60%-40%. Dans le dernier duel, Marine Le Pen s’inclinerait contre François Fillon, 59% pour le député de Paris contre 41% pour la candidate d’extrême droite.

L’enquête a été réalisée en ligne les 19 et 20 avril auprès d’un échantillon représentatif de 1500 personnes.

Sondage 2017 du 10 avril : Le Pen (24%) , Macron (23%), Fillon (18,5%) et Mélenchon (18%)

Sondage 2017 du 10 avril :  Le Pen (24%) , Macron (23%), Fillon (18,5%) et Mélenchon (18%)

 

Selon le sondage quotidien Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNEWS et Sud Radio, publié lundi, la candidate du Front national recule de 0,5 point, tout comme Emmanuel Macron (En Marche !), François Fillon (Les Républicains) étant stable et Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) gagnant un point. Ce dernier a progressé de trois points en une semaine. Le candidat socialiste Benoît Hamon perd quant à lui 0,5 point, à 9%. Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) serait sixième, avec 4,0%, en baisse de 0,5 point. Dans l’hypothèse d’un second tour Macron-Le Pen, l’ancien ministre de l’Economie l’emporterait avec 58% des voix. Le sondage a été réalisé en ligne du 6 au 10 avril auprès de 2.616 personnes issues d’un échantillon de 2.800 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Air France : Nouvelle grève du 24 au 27 juin des pilotes pour tuer la compagnie

Air France : Nouvelle grève du 24 au 27 juin des pilotes pour tuer la compagnie

 

Sous les coups de boutoir des syndicats corpo d’Air France, la compagnie pourrait bien connaître le sort d’autres entreprises du secteur public et nationalisé qui ont disparu comme la CGM, la SNCM, et bien d’autres. En effet Les syndicats de pilotes d’Air France-KLM (SNPL, Spaf, Alter) ont déposé vendredi un préavis de grève pour la période du 24 au 27 juin. Les pilotes de la compagnie ont déjà observé un mouvement de grève du 11 au 14 juin, à l’appel du principal syndicat SNPL, pour protester contre la mise en oeuvre de mesures de productivité, notamment une baisse de la majoration des heures de nuit. Un mouvement cependant très peu suivi qui a affecté  25 % des pilotes. Des pilotes qui refusent de voir leurs rémunérations diminuer de 2 à 5 %, mesure qui découle du plan de modernisation de l’entreprise « transforme 2015 ». Il faut sans doute rappeler que les pilotes d’Air France sont parmi les mieux payés du monde alors que leur durée de travail est l’une des plus réduites. Les rémunérations évoluent de 10 000 euros en moyenne à 20 000 selon les catégories d’avion. Une nouvelle grève pourrait dégrader un peu plus une image déjà très affectée de la compagnie, une compagnie qui se caractérise par très haut niveau technique mais par un niveau très faiblard tant  sur le plan commercial que sur celui de la négociation sociale. À ce rythme de perturbation il ne faudra pas s’étonner un jour Air France est totalement délocalisé pour éviter les turbulences récurrentes des syndicats corpos. Les syndicats de pilotes d’Air France  protestent  rémunérations. Air France espère économiser 20 à 30 millions d’euros par an en réduisant la rémunération des heures de vol de ses pilotes, notamment en ramenant la majoration des heures de nuit de 50% à 40%, a précisé le DRH Gilles Gateau, ex-directeur de cabinet de Manuel Valls, arrivé début janvier. Le Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL, majoritaire) chiffre la baisse des salaires à 2%-5% pour les pilotes, a déclaré à Reuters son porte-parole Emmanuel Mistrali.  L’appel à la grève des pilotes  du 240 au 27  juin risque d’être mortel  pour la compagnie. Première conséquence à très court terme : une nouvelle dégradation d’une image commerciale déjà bien atteinte. Seconde conséquence à moyen terme : encore une détérioration des résultats financiers pour une compagnie qui sort à peine la tête de l’eau. Dernière conséquence : la perspective d’une délocalisation de la compagnie pour des motifs sociaux mais aussi fiscaux. Les pilotes n’acceptent toujours pas le plan de productivité transforment 2015 Un plan qui pourtant devrait en appeler un autre tellement la compétitivité de l’entreprise est affectée. Une attitude évidemment complètement irresponsable de la part de syndicats corporatistes complètement ignorants des évolutions structurelles du marché.

Baisse de 24% du tourisme à Paris

Baisse de 24% du tourisme à Paris

Selon le baromètre mensuel du Comité régional du Tourisme 74% des professionnels franciliens et 81% des professionnels parisiens interrogés estiment que leur activité est en baisse par rapport au mois de novembre 2014, « une diminution de l’ordre de 27% en termes de fréquentation et de 24% en termes de retombées économiques », selon le CRT.  »Les clientèles françaises et internationales sont sensiblement en baisse par rapport à novembre 2014 notamment les Italiens, les Japonais et les Brésiliens », est-il précisé. Le baromètre souligne cependant que l’activité touristique en Seine-Saint-Denis et dans le Val d’Oise est « légèrement meilleure du fait de l’ouverture de la COP21″. Par secteurs, 48% hôteliers interrogés qualifient de « moyenne » leur activité du mois de novembre, et 35% de « mauvaise ». Dans les établissements 3 à 5 étoiles, 53% des professionnels considèrent que leur activité du mois de novembre a été « moyenne », tandis que dans les hôtels « économiques » la plupart des professionnels (48%) la jugent « mauvaise ». Dans les résidences de tourisme, 37% des professionnels interrogés qualifient de « moyenne » leur activité en novembre, 33% de « bonne » et 30% de « mauvaise ». Les perspectives pour le mois de décembre et les fêtes de fin d’année – une période qui connaît traditionnellement une forte fréquentation touristique – « ne sont pas encourageantes », indique le CRT. « En effet, l’état des réservations est qualifié de moyen par 45% des professionnels, de mauvais voire très mauvais par 35% et de bon voire très bon par 20%. Ces prévisions sont malheureusement parmi les plus faibles depuis plusieurs années et démontrent que le secteur du tourisme francilien subit les conséquences des événements du 13 novembre », résume le baromètre.

Sondage popularité : Hollande à 24%

Sondage popularité : Hollande à 24%

Traditionnellement la cote des gouvernants remonte pendant la période estivale. C’est encore le cas Hollande qui gagne 2 %. En septembre avec l’accumulation des problèmes il est vraisemblable que les Français seront moins tolérants à son égard. Encore une  fois, l’été lui  a profité. François Hollande obtient 24 % de satisfaits (+ 2) et Manuel Valls 43 % (+ 3) ce mois-ci dans notre baromètre IFOP-JDD. « On revient pour la première fois du quinquennat à une tradition ancienne du baromètre, celle d’un mois d’août meilleur pour l’exécutif. Ce mois est traditionnellement celui du relâchement des attentes », analyse Frédéric Dabi, directeur à l’IFOP. Et pour lui, d’après les paroles des Français interrogés, un élément explique cette légère remontée du chef de l’Etat : « Il augmente chez les professions libérales et les cadres supérieurs ( + 5) et chez les 35/49 ans (+ 7), c’est bien l’effet de son annonce d’une baisse des impôts qui joue. François Hollande était passé sous la barre des 50 % de satisfaits sous l’effet du choc fiscal en septembre 2012. Là, on voit qu’il remonte un peu à gauche. Son annonce crée un certain espoir ». Pour autant Hollande a encore du chemin à parcourir pour se qualifier en 2017. En effet les différents sondages donnent toujours Marine Lepen en tête avec 28%, Sarkosy avec 25% et Hollande loin derrière sous la barre des 20%. Hollande qui serait battu par Marine Lepen s’il parvenait quand même à se qualifier pour le second tour.

Hollande hué aux 24 Heures du Mans

Hollande hué aux 24 Heures du Mans

Hollande à nouveau sifflé, cette fois lors des 24 heures du Mans, une réaction à l’égard de sa politique évidemment mais aussi  à l’égard de l’affaire Valls qui témoigne de la totale déconnexion du gouvernement par rapport aux réalités économiques et sociales. . L’ arrivée de Hollande  sur les lieux a été accompagnée de huées et sifflets de la part d’une partie de la foule. « Monsieur François Hollande est avec nous aujourd’hui! », a annoncé le speaker au micro lors de l’arrivée du Président samedi. Sa voix a ensuite été recouverte pendant de longues secondes par des huées et des sifflets émanant des gradins. Le tour de piste, déjà prévu sans casque pour le Président, a ensuite été annulé – officiellement, parce que le déjeuner avait pris trop de retard. Ce qui ne l’a cependant pas empêché de donner le départ des 24 Heures comme prévu. 

Sondage popularité : Hollande 24%, Valls 39 %

Sondage popularité : Hollande 24%, Valls 39 %

 

Comme pour le chômage ne n’es par vraiment l’inversion de la courbe d’impopularité pour l’exécutif. Juste un petit point de mieux en mai, ces à dire dans la marge d’erreur statistique. La cote de popularité de François Hollande s’est stabilisée en mai après trois mois consécutifs de baisse qui ont entamé une bonne partie du sursaut enregistré en début d’année dans le sillage des attentats de Paris, selon le baromètre Ipsos-Le point publié lundi. Le chef de l’Etat recueille 24% d’opinions favorables, soit un point de plus qu’un mois plus tôt, mais bien loin des 38% touchés en janvier. Le Premier ministre Manuel Valls est lui crédité de 39% d’opinions favorables, là aussi un point au-dessus de son score d’avril. dan un autre sondage de la semaine dernière, celui de l’IFOP les chiffres étaient proches  , La cote de popularité du Président est restée stable en mai, à 21%. Valls alors que le Premier ministre a perdu trois points, selon le baromètre IFOP pour le Journal du Dimanche, tombant à 37%.  Alors que 77% des Français ne souhaite pas voir François Hollande comme candidat en 2017, le chef de l’État est donc resté en mai à son score le plus bas de l’année 2015, huit points en dessous de son pic de janvier après les attentats, huit points au-dessus du plancher historique à 13 % atteint en septembre et novembre 2014, selon le sondage.  2% des personnes interrogées se déclarent « très satisfaites » et 19% « plutôt satisfaites » de François Hollande. Mais elle sont 40% « plutôt mécontentes » et 38% « très mécontentes » tandis que 1% ne se prononcent pas, des chiffres exactement semblables au mois d’avril. Le Premier ministre se rapproche de son plus bas niveau, à 35 %, qu’il avait atteint en septembre et décembre 2014. Même s’il demeure mieux perçu par l’opinion que François Hollande, le chef du gouvernement accuse une glissade plus sévère depuis le début de l’année : il se situe 16 points au-dessous de son pic de janvier, note leJDD.  En mai, 4% (+1%) des Français se déclarent « très satisfaits » du Premier ministre, 33% (-3%) « plutôt satisfaits », 40% (+3%) « plutôt mécontents » et 22% (=) « très mécontents ».

Hollande : une semaine catastrophique ( feuilleton -24 mai 2015)

Hollande :  une  semaine catastrophique ( feuilleton -24 mai 2015)

 

Après une semaine de vacances aux Antilles, le roy François a remis le nez dans les affaires du royaume. D’abord pour constater que sa réforme des collèges était toujours aussi incomprise. Pourtant le niveau tant en maths qu’en Français ne cesse de se dégrader ;   des élèves de troisième ne seraient pas capables d’effectuer des exercices de CM2. On progresse !  Avec la réforme de la Belle Kacem  les mêmes élèves ne  seraient même pas capables de résoudre des épreuves de CP en pâte à modeler,  même avec le recours des travaux interdisciplinaires. Des travaux interdisciplinaires qui permettent justement de traiter en même temps français, maths et pâte à modeler. Du coup , on pourrait retirer une  matière ou deux pour ne pas traumatiser  les élèves :  les maths ou le français ou les deux ! Heureusement reste  le terrain international dans lequel excelle le roy François. L’immigration par exemple. Pas question de quotas, la France n’en veut pas. Et Valls de Vienne de le crier haut et fort, comme d’habitude ! Mais par contre on offrira le droit d’asile ! Comprenne qui pourra !  C’est une subtilité « hollandaise ».  Non,  en fait une  position de faux culs de toute la classe politique. Pas d’immigré chez nous, chez les autres : oui. En gros,  la position de tous les autres Etats européens. Normal,  il n’y a plus d’emplois dans le pays. Gattaz en avait promis 1 million ;  en fait il en propose 12 …dans son usine du Jura. 12, c’est  pas assez pour accueillir les 500  000 migrants qui viendront en Europe en 2015. La France a ses pauvres, elle n ‘a pas besoin des autres. Elle a ses riches aussi car les inégalités n’ont jamais été aussi importantes. Surtout de riches banquiers de plus en plus nombreux y compris à la célèbre Société générale. Justement, on vient de découvrir un os dans le fromage financier de la SocGé ;  L a policière chargée de l’enquête avoue que le rapport a été bidonné par la justice dans l’affaire Kerviel.  Une justice qui aurait subi la très amicale et discrète pression du pouvoir politique et du pouvoir économique.  Encore heureux que Kerviel ait évité de se faire couper la tête en place publique. Mais pour la révision,  il faudra attendre car la cour oligarchique royale veille ! Il ya aura peut-être  un nouveau procès mais il faut laisser du temps au temps ( comme disait Mitterrand). Il  a fallu 10 ans pour Dreyfus et il y a maintenant 20 ans que l’affaire Tapie traîne ! Et si on laisse faire le procès de la finance(  » l’enneni du Bourget »), demain ce sera celui de l’oligarchie, de la cour, pourquoi pas celui du monarque lui-même. Un monarque qui veut prolonger son pouvoir même si 77% de ses  sujets le rejettent. Il bénéficie du soutien de la coterie du PS, soit  60 000 militants ; Oui,  il manque 100 000 votants mais c’est sans doute dû à un biais statistique, un petit problème méthodologqiue en quelque sorte…ou démocratique. Il faudrait quand même un miracle pour François de Tulle soit réélu en 2017. A moins de rendre le vote obligatoire comme le proposent certains socialistes…. et avec un seul bulletin.

God save the King

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