Archive pour le Tag '22'

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Carburant : le SP 95 passe de 0, 17 à 0,22 euros le litre ….. En Arabie Saoudite

Carburant : le SP 95 passe de 0, 17 à 0,22 euros le litre ….. En Arabie Saoudite

 

Pour un pays comme la France qui se réjouit de voir le litre  de gasoil actuellement ramené à 1 euro l’augmentation décidée en Arabie Saoudite pourrait prêter à sourire. Pour l’Arabie Saoudite, la vérité est cependant plus grave et plus tragique (comme pour la plupart des pays producteurs de pétrole) ; sur la tendance en effet ; l’Arabie Saoudite s’oriente vers une faillite certaine, elle est même menacée d’une dégradation par les agences de notation. En cause évidemment la baisse des cours du pétrole qui ont perdu 60 % de leur valeur en un peu plus d’un an. De ce fait le pays devra se serrer sérieusement la ceinture avec en particulier de nouvelles taxes et des réorientations des dépenses budgétaires. Le déficit budgétaire a en effet atteint L’Arabie saoudite, ses finances mises à mal par la chute des cours de pétrole, a annoncé lundi son intention de couper dans ses dépenses, de procéder à des réformes structurelles et de lancer des privatisations en 2016 afin de réduire son déficit budgétaire qui a atteint un niveau de leur de 15 % du PIB en 2015 soit environ 100 milliards de dollars,  record cette année. Le projet de budget 2016 dévoilé par le ministère des Finances constitue la plus importante inflexion de la politique économique du royaume depuis des années et comporte des réformes politiquement sensibles devant lesquelles les autorités avaient jusqu’ici reculé. Il indique aussi en creux que le pouvoir n’attend pas de redressement des prix du brut dans un avenir prévisible et se prépare au contraire à des années de maigres recettes pétrolières. En octobre, le Fonds monétaire international avait averti que le premier producteur de l’OPEP serait à court d’argent d’ici cinq ans s’il ne se serrait pas la ceinture. Le déficit budgétaire saoudien a atteint 367 milliards de riyals (89 milliards d’euros ou 98 milliards de dollars) en 2015, soit 15% du produit intérieur brut. Le projet de budget 2016 prévoit de le ramener à 326 milliards de riyals, ce qui devrait dispenser Ryad de céder des actifs à l’étranger. L’objectif des dépenses a été fixé à 840 milliards de riyals contre 975 milliards effectivement dépensés cette année. Le ministère des Finances a précisé qu’il passerait en revue une série de projets gouvernementaux pour s’assurer de leur nécessité et de leur efficacité. Les recettes sont quant à elles prévues à 514 milliards de riyals, contre 608 milliards en 2015, ce dernier chiffre à mettre au regard d’un objectif initial de 715 milliards. Les cours du pétrole se sont établis à 54 dollars le baril en moyenne cette année mais ils sont maintenant descendus à moins de 37 dollars.

Sondage popularité : Hollande plonge à 22 % mais Sarkozy ne profite pas

Sondage popularité : Hollande plonge à 22 % mais Sarkozy ne profite pas

D’après Le sondage Elabe que publient « Les Echos » et Radio classique,  La cote de « confiance » du chef de l’Etat, plombé par l’absence de résultats tangibles, n’est que de 22%, soit son plus bas niveau de l’année. Mais ce plongeon de cinq points en un mois ne profite pas beaucoup à Sarkozy qui reste scotché autour de 26 % d’opinions favorables. Certes il y a des fortes chances pour que l’un des deux l’emporte en 2017 car le réservoir des voix de Marine Le Pen au second tour est relativement faible comparé à ses deux concurrents. Mais ils auraient tort de minimiser l’ampleur du rejet qu’ils suscitent : 44 % des Français n’ont « pas confiance du tout » dans le chef de l’Etat et 43 % ont du patron des Républicains une image « très négative ». A l’inverse, ils ne sont que 3 % à avoir « tout à fait confiance » en François Hollande et 5 % à avoir une image « très positive » de Nicolas Sarkozy. Le jeu de miroirs ne s’arrête pas là. Le chef de l’Etat a l’approbation de 76% des sympathisants socialistes quand son prédécesseur est à 79% parmi ceux de son parti. Le premier est rejeté par la gauche de la gauche (il ne dépasse pas 31% de confiance au Front de gauche) ; le second, par les centristes (36% de bonnes opinions à l’UDI et 12% au Modem). Leur image est particulièrement dégradée dans le camp opposé. François Hollande est à 7 % seulement parmi les sympathisants de droite, et 4 % parmi ceux des Républicains. Contre 6 % et 5 % pour Nicolas Sarkozy chez les sympathisants de gauche et chez ceux du PS. La route est parsemée d’embûches pour le premier, qui doit encore obtenir pour des résultats et faire en sorte qu’ils lui soient crédités, et pour le second, qui doit remporter la primaire à droite . Marine Le Pen est en embuscade. La présidente du Front national ne recueille que 27 % de bonnes opinions dans notre baromètre. Même si, souligne Bernard Sananès, « ce qu’elle représente et ce qu’elle dit est plus structurant que son image personnelle ».

Sondage 2017 : chute de Sarkozy à 22%

Sondage 2017 : chute de Sarkozy à 22%

 

Ce n’est peut-être pas par hasard que Sarkozy a déclaré que sa candidature pour 2017 n’était pas obligatoire. Il avait sans doute connaissance de  sondages qui montrent  sa chute dans l’opinion. Un phénomène surtout dû au fait  que  Sarkozy n’a jusque la rien montré de nouveau chez lui ;  pire ,il ne parvient pas à remettre en ordre l’UMP ( d’ou l’affaire confuse de l’élection du Doubs), sans parler de ses escapades « conférencières » largement rémunérées qui confirment son coté bling-bling. Ajoutons à cela que le dynamisme de Sarko parait passablement émoussé , enfin Sarko  n’impose plus le respect voire la peur d’antan. . Seulement 22% des Français souhaitent que Nicolas Sarkozy soit candidat en 2017, soit 11 points de moins qu’en juillet 2014 avant son retour en politique (33%), selon un sondage réalisé par BVA pour Orange et iTélé qui vient confirmer la chute de popularité de l’ancien président. « Cette chute de 11 points, moins de six mois après l’annonce par Nicolas Sarkozy de son retour dans la vie politique, en septembre 2014, montre que ce retour au premier plan n’a pas convaincu les Français », estime BVA. Sarkozy est « probablement victime d’une certaine lassitude de l’opinion, d’une potentialisation du risque d’apparaître comme un homme du passé », toujours selon BVA. En outre, le souhait de voir le président de l’UMP se présenter en 2017 est désormais minoritaire auprès des sympathisants de la droite auprès desquels il chute à 40%, contre 62% en juillet 2014 et 67% en février 2013. Forte chute aussi du côté des sympathisants de l’UMP: en février 2013, 75% d’entre eux souhaitaient sa candidature en 2017, et ils étaient 78% en juillet 2014, mais ils ne sont plus que 57% aujourd’hui. Par ailleurs, en cas de second tour opposant le FN à l’UMP ou au PS, notamment lors du second tour des départementales des 22 et 29 mars, les Français marquent leur préférence pour le front républicain. En cas de second tour FN-PS, 49% des Français préfèrent que l’UMP appelle à voter pour le candidat du PS (contre 24% pour le candidat du FN et 25% pour l’abstention ou le vote blanc) et en cas de second tour FN-UMP, 57% des Français souhaitent que le PS appelle à voter UMP (14% pour le FN et 27% à voter blanc ou s’abstenir). Chez les sympathisants UMP, c’est la ligne du ni-ni (ni PS, ni FN) qui l’emporte avec 46%. 28% préfèrent que l’UMP appelle à voter FN, et 25% que l’UMP les appelle à voter PS. Chez les sympathisants du PS, le réflexe du front républicain (voter UMP contre le FN) domine avec 79%, 14% préférant que le PS appelle à voter blanc ou à s’abstenir et 3% à voter FN.

Enquête réalisée les 19 et 20 février auprès d’un échantillon de 1076 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus selon la méthode des quotas.

 

SONDAGE Hollande : à 22%

SONDAGE Hollande : à 22%

Hollande gagne 2 points et ce qui suscite des commentaires optimistes sur sa représidentialisation ! De quoi sourire car 2 point c’est dans la marge d’erreur statistique d’un sondage. D’ailleurs, 77% des Français ont encore aujourd’hui une opinion négative du chef de l’Etat. D’après les sondeurs  Hollande  profiterait  d’une actualité marquée par les dossiers internationaux : commémoration du 11 Novembre, conférence environnementale, sommet de la Francophonie, entrevue avec Vladimir Poutine… Autant d’événements « susceptibles d’avoir permis un début de représidentialisation de François Hollande, représidentialisation qui aura pérennisé la fragile reprise de sa popularité », relève Erwan Lestrohan, directeur d’études de l’institut LH2.   Cette progression s’expliquerait  par une restauration de la popularité de François Hollande à gauche. Avec 53% d’opinions positives auprès des sympathisants de la gauche (+4 points depuis novembre), le chef de l’Etat repasse la barre des 50% auprès de cette population symbolique, un cap qu’il n’avait pas atteint depuis juillet 2014″, observe LH2. Le Premier ministre enregistre pour sa part une légère baisse de popularité sur un mois. 34% des Français ont une opinion positive du Premier ministre, un point de moins qu’en novembre. Et 64% en ont une opinion négative (stable). La popularité du Premier ministre se maintient dans le même étiage depuis la fin de l’été (entre 32% et 35%) mais sa structure change et tend à se « gauchiser » : 56% des sympathisants de gauche ont aujourd’hui une bonne opinion de Manuel Valls (+4 points).La popularité de Manuel Valls a d’abord été portée, jusqu’à sa nomination à Matignon, par de bonnes opinions venant de la droite François Hollande. « En valeur absolue et en comparaison à ses prédécesseurs, sa popularité reste au plus bas : il se situe depuis octobre 2013 sous la barre des 30% d’opinions positives, score le plus bas atteint par Nicolas Sarkozy sur 2007-2012″, commente LH2. Une année 2014 marquée par les problèmes de multiples natures : les déroutes électorales du Parti socialiste (élections municipales et européennes), la remise en cause au sein même du PS de la ligne choisie par François Hollande, les crises ministérielles (départ des écologistes, puis d’Arnaud Montebourg et Benoît Hamon), les affaires (Thévenoud, Arif, Lamdaoui), les scandales privés (livre de Valérie Trierweiler).

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22 chauffeurs pour Taubira qui roule en vélo !

22 chauffeurs pour  Taubira qui roule en vélo !

C’est maintenant bien connu Taubira se rend au ministère de la justice en vélo, c’est branché et plus écolo (même si elle est suivie par trois voitures du ministère,çà c’est moins écolo !). En  plus de ce fameux vélo de fonction (ridicule au demeurant car si l’on se fie à son popotin elle ne fait de la bicyclette que devant les cameras)), elle dispose de 22 chauffeurs pour 17 conseillers ministériels. La preuve sans doute que la justice bouge beaucoup ! Le chiffre a donc de quoi surprendre. Selon les données officielles, le cabinet de Christiane Taubira dispose de 22 chauffeurs – un record au sein du gouvernement – alors qu’il compte seulement 17 collaborateurs. Par comparaison, ils sont 12 conducteurs aux Affaires étrangères, 4 à l’Éducation, 18 à l’Écologie, 6 à la Fonction publique… Des situations hétérogènes dont chaque ministre a hérité de ses prédécesseurs. Le ministère de la Justice indique que son service comprend deux motards, un coursier et deux agents administratifs. Et assure qu’il fait des efforts. « Au cours des quatre dernières années, nous avons réduit notre effectif de trois chauffeurs », dit un porte-parole. Le parc est passé de 35 à 18 véhicules.  En théorie, seuls les ministres et la tête de leur cabinet ont droit à un véhicule à plein temps. Les autres sont à disposition des conseillers, même pour des déplacements peu lointains dans Paris. Chaque chauffeur (un policier, le plus souvent) est en binôme et travaille donc une semaine sur deux, avec des horaires larges. Les dépenses des cabinets ministériels demeurent opaques, sans contrôle réel. Le député PS René Dosière, héraut de la transparence publique, estime que le coût moyen d’un cabinet s’élève à 17 millions par an, dont 5 millions pour la communication. Il réclame que « tous les frais soient rendus publics au fur et à mesure des dépenses effectuées dans l’année » : salaires, déplacements, repas, etc. Une solution pour éviter « les fantasmes », dit-il, et les abus.

 

Sondage élections européennes : FN 22%, UMP 21, PS 17 %

Sondage élections européennes : FN 22%, UMP 21, PS  17 %

Le Front national fait la course en tête dans les intentions de vote pour les élections européennes avec 22% des voix, selon un sondage Harris Interactive pour LCP et Le Parisien diffusé mardi. L’UMP est en deuxième position avec 21% des intentions de vote, devant le Parti socialiste (17%), les listes centristes de l’UDI et du MoDem (9%) et celles d’Europe-Ecologie (9%), et celles du Front de gauche (8%). Selon cette enquête, 36% des sondés considèrent que la France gagne à être dans l’Union européenne, 28% jugeant qu’elle y perd et 34% répondant ni l’un, ni l’autre.

 

Sondage : Hollande à 22%

Sondage : Hollande à 22%

Sans doute l’effet de Noel, les français accordent deux point de plus à Hollande reste à savoir si après le premier janvier , on ne constatera pas l’effet gueule de bois, surtout avec les hausses de TVA  .Vingt-deux pour cent des Français se disent satisfaits du président François Hollande, selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche, une hausse de deux points par rapport au mois dernier. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault recueille pour sa part 24% d’opinions favorables, un point de plus qu’en novembre. Deux pour cent des personnes interrogées se disent « très satisfaites » du chef de l’Etat et 20% « plutôt satisfaites ». Les Français sont 40% à se dire « très mécontents » et 38% « plutôt mécontents » du président. Pour ce qui est du chef du gouvernement, ils sont un pour cent à se dire « très satisfaits » et 23% « plutôt satisfaits », 44% « plutôt mécontents » et 31% « très mécontents ». Un pour cent ne se prononcent pas.

Sondage : Hollande un bon président pour 22% seulement !

Sondage : Hollande un bon président pour 22% seulement !

 

Seuls 22% des Français estiment que François Hollande est un bon Président de la République, contre une majorité absolue, 51%, qui considèrent qu’il est un mauvais Président, 27% n’ayant pas souhaité se prononcer, selon un sondage CSA pour BFM-TV. Selon cette enquête, diffusée le jour d’une intervention télévisée du chef de l’Etat pour rassurer les Français, les cadres (63%), les personnes travaillant à leur compte (59%), et les retraités (55%), sont particulièrement sévères quant à sa capacité à remplir sa fonction. François Hollande est considéré comme un bon président de la République par 60% de ses électeurs de premier tour, proportion qui n’est que de 48% parmi ceux qui l’ont choisi au second tour, le 6 mai dernier. Ce sondage a été effectué les 26 et 27 mars auprès d’un échantillon national représentatif de 961 personnes âgées de 18 ans et plus. Selon un sondage LH2 pour Le Nouvel Observateur diffusé mercredi, moins d’un an après son élection à la présidence de la République, seuls 27% des Français sont satisfaits de François Hollande alors que 68% se déclarent déçus.

 

Louis Gallois : 22 mesures pour la compétitivité

 

Louis Gallois : 22 mesures pour la compétitivité Fin du suspens. Le très attendu rapport Gallois a été remis lundi matin au Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Ses propositions pour relancer la compétitivité française seront annoncées en détails dans l’après-midi, mais Louis Gallois a déjà confirmé les grandes lignes du rapport parues dans la presse.

L’essentiel. « Je propose 22 mesures principales », a annoncé Louis Gallois à la sortie de Matignon. Elles visent à « arrêter le décrochage de l’industrie française » qui s’est aggravé « depuis une dizaine d’années », estime l’auteur du rapport.

La principale proposition. Louis Gallois préconise une baisse des cotisations des entreprises de l’ordre de 30 milliards d’euros, dont 20 milliards concernent les charges patronales et 10 milliards les charges salariales.

Un « choc de confiance ». Le rapport devait parler d’un « choc de compétitivité », mais François Hollande a banni l’expression, lui préférant un « pacte de compétitivité » qui s’inscrirait dans la durée. Louis Gallois opte finalement pour le « compromis » : son rapport plaide pour un « choc de compétitivité qui est en fait un choc de confiance ».

Un « pacte social » et un « véritable patriotisme ». La relance de la compétitivité française nécessite un « dialogue social à tous les niveaux » avec « un nouveau dynamisme », précise Louis Gallois, « parce que nous avons besoin que se noue une sorte de pacte social entre tous les partenaires ». L’ancien patron va plus loin : pour mener la « reconquête industrielle », nous avons « besoin d’un véritable patriotisme. Il faut que le club France travaille de manière solidaire. »

La feuille de route. Jean-Marc Ayrault avait confié en juillet « une mission sur la compétitivité de nos entreprises » à Louis Gallois, ancien patron de la SNCF et d’EADS, avec pour objectif de « préparer la mise en œuvre d’actions concrètes, d’ici la fin de l’année ». L’exécutif, qui a pris ses distances avec le rapport dès les premières fuites dans la presse, a assuré qu’il s’en inspirera pour décider des mesures pour relancer la compétitivité du pays. Celles-ci seront annoncées mardi.

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