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Automobile électrique: Vers un report au-delà de 2035 ?

Automobile électrique: Vers un report au-delà de 2035 ?

Progressivement la quasi totalité des constructeurs automobiles européens réclament un report des dates de pollution notamment de CO2.

 

En effet à partir de janvier 2025, le seuil de pollution sera abaissé de 15 % pour atteindre une moyenne de 81 g de CO2 par véhicule et par kilomètre, contre 95 g les années précédentes. Pour le tenir, chaque groupe devra vendre un plus grand nombre de véhicules 100 % électriques (BEV) pour compenser les émissions moyennes des véhicules thermiques écoulés au cours de l’année. Le problème est que la vente de véhicules électriques actuellement est sur une pente baissière. Par ailleurs ,la perspective d’interdiction de véhicules thermiques neufs  à partir de 2035 semble de plus en plus irréaliste et là encore les industriels demandent un report de la date. Quant au renouvellement total du parc il faudra sans doute encore au moins une trentaine d’années pour le réaliser.

 

Interdiction des automobiles thermiques: report de la date de 2035 à 2040 ou 2050 ?

Automobiles -Interdiction des voitures neuves thermiques: report en 2040 ?

 

 

L’objectif visant à atteindre l’interdiction des motorisations thermiques pour les voitures neuves en 2035 semble de plus en plus illusoire si l’on s’en tient à l’évolution du parc automobile. Selon les chiffres du ministère de la Transition écologique, il y aurait plus de 38,9 millions de voitures en circulation en France. Les conducteurs tricolores sont pour la plupart propriétaires d’une citadine (30%), d’une berline (15%) ou d’un SUV (10%).

Concernant la motorisation, Les Français sont encore une majorité écrasante à faire leur plein à la station essence. Le parc automobile français est composé à 93,4% de voitures à moteurs thermiques. Malgré un chiffre en baisse, 53% d’entre elles roulent encore au diesel.
Les voitures électriques (VE) ou hybrides ne représentent que 3,2% du parc français.

Luca de Meo, directeur général de Renault, demande donc officiellement un décalage du calendrier de la fin du moteur thermique en Europe, aujourd’hui fixé à 2035. « Nous avons besoin d’un peu plus de souplesse dans le calendrier », a-t-il expliqué au quotidien Les Échos le 22 juillet. Et le patron opérationnel de Renault d’évoquer la date de 2040 comme possible nouvelle échéance.Notons aussi que les Allemands demande aussi ce report du calendrier. Du coup on évoque la date de 2040 ou 2050

Cette date de fin du moteur thermique représente un symbole très fort. Et c’est pourquoi elle est souvent évoquée, aussi bien par les constructeurs que par les autorités. Mais, en réalité, les regards de l’ensemble des acteurs de l’industrie automobile sont fixés sur des dates beaucoup plus rapprochées. « Ce qui nous inquiète surtout, ce sont les échéances plus rapprochées, à 2025 et 2030 », confirme Marc Mortureux, le directeur général de la Plateforme automobile (PFA), qui regroupe l’ensemble des acteurs français.

 

Fin des voitures thermiques en 2035 ?

Fin des voitures thermiques en  2035 ?

 

 Fin total des voitures thermiques en 2035 ? Pas forcément car les voitures thermiques roulants à  l’E- fioul ( sans émission carbone*) pourrait être autorisées après 2035 conformément notamment aux souhaits de l’industrie allemande ( et ses voitures de luxe type Porsche). Rien n’est cependant joué car les avis sur la question au sien de la commission sont assez opposés. La présidente de la Commission européenne, reconduite jeudi dans ses fonctions par le Parlement européen, a en tout cas ,  envoyé des signaux pour trancher ce débat houleux de la campagne des élections européennes.

Elle a fait passer le message qu’elle ne toucherait pas à l’objectif de 100 % de voitures neuves « zéro émission » en 2035 fixé dans la loi européenne, comme cela était réclamé par l’extrême droite et par certains membres du PPE (Parti populaire européen, où siège le duo allemand CDU-CSU). Mais qu’elle l’accompagnerait de textes réglementaires autorisant les moteurs thermiques fonctionnant avec des carburants synthétiques (e-fuels) après 2035.

« Nous maintenons cet objectif 2035, a ainsi affirmé Ursula von der Leyen lors d’une conférence de presse. Nous devons avoir une approche neutre du point de vue technologique, dans laquelle les carburants de synthèse auront un rôle à jouer. » Un peu plus tôt, devant les eurodéputés, elle avait promis « une modification ciblée de la réglementation dans le cadre du réexamen prévu » de la législation sur les émissions de CO2.

En réalité, la loi européenne n’a jamais mentionné l’interdiction des moteurs thermiques, elle la sous-entend en imposant aux automobiles neuves de ne plus émettre aucun CO2 à partir de 2035. Les voitures d’occasion continueront d’être autorisé à circuler bien au-delà au moins jusqu’en 2050. ( Date de neutralité carbone théorique pour l’union européenne)

« Aujourd’hui, un e-fuel zéro carbone injecté dans un moteur thermique vaut 6 euros le litre avant taxes, donc on est loin d’une solution compétitive face à la batterie électrique, vers laquelle les industriels s’orientent massivement. Peut-être qu’il y aura une niche de marché, qui doit être sécurisée d’un point de vue juridique, mais cela n’implique pas de rouvrir le calendrier 2035 », commente Pascal Canfin, ex-président de la commission environnement du Parlement européen.

E.fioul ou gasoil

Comme son nom l’indique, le carburant de synthèse n’existe pas à l’état brut : il est issu d’un mélange entre du CO2 et de l’hydrogène. Le premier est récupéré dans l’atmosphère. Le second, produit par électrolyse (on sépare les molécules d’eau grâce à un courant électrique). Ce mariage donne naissance à du gaz ou du méthanol, eux-mêmes transformés en carburant de synthèse après un second raffinage. À l’arrivée, on obtient de l’essence (ou au choix du gazole, du kérosène ou de l’huile de synthèse) prête à alimenter un moteur thermique sans la moindre modification technique.

Autos-Fin des voitures thermiques en 2035 ?

Autos-Fin des voitures thermiques en  2035 ?

 

 Fin total des voitures thermiques en 2035 ? Pas forcément car les voitures thermiques roulants à  l’E- fioul ( sans émission carbone*) pourrait être autorisées après 2035 conformément notamment aux souhaits de l’industrie allemande ( et ses voitures de luxe type Porsche). Rien n’est cependant joué car les avis sur la question au sien de la commission sont assez opposés. La présidente de la Commission européenne, reconduite jeudi dans ses fonctions par le Parlement européen, a en tout cas ,  envoyé des signaux pour trancher ce débat houleux de la campagne des élections européennes.

Elle a fait passer le message qu’elle ne toucherait pas à l’objectif de 100 % de voitures neuves « zéro émission » en 2035 fixé dans la loi européenne, comme cela était réclamé par l’extrême droite et par certains membres du PPE (Parti populaire européen, où siège le duo allemand CDU-CSU). Mais qu’elle l’accompagnerait de textes réglementaires autorisant les moteurs thermiques fonctionnant avec des carburants synthétiques (e-fuels) après 2035.

« Nous maintenons cet objectif 2035, a ainsi affirmé Ursula von der Leyen lors d’une conférence de presse. Nous devons avoir une approche neutre du point de vue technologique, dans laquelle les carburants de synthèse auront un rôle à jouer. » Un peu plus tôt, devant les eurodéputés, elle avait promis « une modification ciblée de la réglementation dans le cadre du réexamen prévu » de la législation sur les émissions de CO2.

En réalité, la loi européenne n’a jamais mentionné l’interdiction des moteurs thermiques, elle la sous-entend en imposant aux automobiles neuves de ne plus émettre aucun CO2 à partir de 2035. Les voitures d’occasion continueront d’être autorisé à circuler bien au-delà au moins jusqu’en 2050. ( Date de neutralité carbone théorique pour l’union européenne)

« Aujourd’hui, un e-fuel zéro carbone injecté dans un moteur thermique vaut 6 euros le litre avant taxes, donc on est loin d’une solution compétitive face à la batterie électrique, vers laquelle les industriels s’orientent massivement. Peut-être qu’il y aura une niche de marché, qui doit être sécurisée d’un point de vue juridique, mais cela n’implique pas de rouvrir le calendrier 2035 », commente Pascal Canfin, ex-président de la commission environnement du Parlement européen.

E.fioul ou gasoil

Comme son nom l’indique, le carburant de synthèse n’existe pas à l’état brut : il est issu d’un mélange entre du CO2 et de l’hydrogène. Le premier est récupéré dans l’atmosphère. Le second, produit par électrolyse (on sépare les molécules d’eau grâce à un courant électrique). Ce mariage donne naissance à du gaz ou du méthanol, eux-mêmes transformés en carburant de synthèse après un second raffinage. À l’arrivée, on obtient de l’essence (ou au choix du gazole, du kérosène ou de l’huile de synthèse) prête à alimenter un moteur thermique sans la moindre modification technique.

Automobile :Fin des voitures thermiques en 2035

Automobile :Fin des voitures thermiques en  2035

 

 Fin total des voitures thermiques en 2035 ? Pas forcément car les voitures thermiques roulants à  l’E- fioul ( sans émission carbone) pourrait être autorisées après 2035 conformément notamment aux souhaits de l’industrie allemande. Rien n’est cependant joué car les avis sur la question au sien de la commission sont assez opposés. La présidente de la Commission européenne, reconduite jeudi dans ses fonctions par le Parlement européen, a en tout cas ,  envoyé des signaux pour trancher ce débat houleux de la campagne des élections européennes.

Elle a fait passer le message qu’elle ne toucherait pas à l’objectif de 100 % de voitures neuves « zéro émission » en 2035 fixé dans la loi européenne, comme cela était réclamé par l’extrême droite et par certains membres du PPE (Parti populaire européen, où siège le duo allemand CDU-CSU). Mais qu’elle l’accompagnerait de textes réglementaires autorisant les moteurs thermiques fonctionnant avec des carburants synthétiques (e-fuels) après 2035.Notons cependant que vraisemblablement les voitures thermiques en circulation continueraient circuler pendant encore des années sans doute jusqu’en 2050 au moins, le temps de renouveler le parc.

« Nous maintenons cet objectif 2035, a ainsi affirmé Ursula von der Leyen lors d’une conférence de presse. Nous devons avoir une approche neutre du point de vue technologique, dans laquelle les carburants de synthèse auront un rôle à jouer. » Un peu plus tôt, devant les eurodéputés, elle avait promis « une modification ciblée de la réglementation dans le cadre du réexamen prévu » de la législation sur les émissions de CO2.

Cet « en même temps » à la sauce européenne est une manière de satisfaire les Verts – dont le vote était crucial pour sa reconduction – et les opposants au texte, qui pourront dire que ce n’est plus la fin des moteurs thermiques…

En réalité, la loi européenne n’a jamais mentionné l’interdiction des moteurs thermiques, elle la sous-entend en imposant aux automobiles neuves de ne plus émettre aucun CO2 à partir de 2035…

« Aujourd’hui, un e-fuel zéro carbone injecté dans un moteur thermique vaut 6 euros le litre avant taxes, donc on est loin d’une solution compétitive face à la batterie électrique, vers laquelle les industriels s’orientent massivement. Peut-être qu’il y aura une niche de marché, qui doit être sécurisée d’un point de vue juridique, mais cela n’implique pas de rouvrir le calendrier 2035 », commente Pascal Canfin, ex-président de la commission environnement du Parlement européen.

Fin des voitures thermiques en 2035

Fin des voitures thermiques en  2035 ?

 

 Fin total des voitures thermiques en 2035 ? Pas forcément car les voitures thermiques roulants à  l’E- fioul ( sans émission carbone) pourrait être autorisées après 2035 conformément notamment aux souhaits de l’industrie allemande. Rien n’est cependant joué car les avis sur la question au sien de la commission sont assez opposés. La présidente de la Commission européenne, reconduite jeudi dans ses fonctions par le Parlement européen, a en tout cas ,  envoyé des signaux pour trancher ce débat houleux de la campagne des élections européennes.

Elle a fait passer le message qu’elle ne toucherait pas à l’objectif de 100 % de voitures neuves « zéro émission » en 2035 fixé dans la loi européenne, comme cela était réclamé par l’extrême droite et par certains membres du PPE (Parti populaire européen, où siège le duo allemand CDU-CSU). Mais qu’elle l’accompagnerait de textes réglementaires autorisant les moteurs thermiques fonctionnant avec des carburants synthétiques (e-fuels) après 2035.

« Nous maintenons cet objectif 2035, a ainsi affirmé Ursula von der Leyen lors d’une conférence de presse. Nous devons avoir une approche neutre du point de vue technologique, dans laquelle les carburants de synthèse auront un rôle à jouer. » Un peu plus tôt, devant les eurodéputés, elle avait promis « une modification ciblée de la réglementation dans le cadre du réexamen prévu » de la législation sur les émissions de CO2.

En réalité, la loi européenne n’a jamais mentionné l’interdiction des moteurs thermiques, elle la sous-entend en imposant aux automobiles neuves de ne plus émettre aucun CO2 à partir de 2035. Les voitures d’occasion continueront d’être autorisé à circuler bien au-delà au moins jusqu’en 2050. ( Date de neutralité carbone théorique pour l’union européenne)

« Aujourd’hui, un e-fuel zéro carbone injecté dans un moteur thermique vaut 6 euros le litre avant taxes, donc on est loin d’une solution compétitive face à la batterie électrique, vers laquelle les industriels s’orientent massivement. Peut-être qu’il y aura une niche de marché, qui doit être sécurisée d’un point de vue juridique, mais cela n’implique pas de rouvrir le calendrier 2035 », commente Pascal Canfin, ex-président de la commission environnement du Parlement européen.

« Gaza 2035 » : une renaissance ?

« Gaza 2035 » : une renaissance ?

 Les autorités israéliennes ont lancé « Gaza 2035 », une zone de libre-échange ambitieuse visant à transformer Gaza en un hub industriel et technologique de premier plan. Ce projet a pour objectif de renforcer les liens entre la Méditerranée et le Golfe Persique, tout en offrant une alternative stratégique face à l’influence chinoise en connectant l’Inde à l’Europe. Par Michel Santi, économiste (*). ( dans la Tribune)

Israël et les États-Unis planchent sur une route qui permettrait aux poids lourds d’aller vers les Émirats arabes unis à travers la Jordanie et l’Arabie Saoudite. En parallèle, la normalisation des relations entre ces pays sera couronnée par un projet de chemin de fer (à l’étude depuis 2017) reliant le port israélien de Haïfa aux États du Golfe.

Ce trajet historique viendra s’appuyer et compléter celui à l’étude par le Conseil de Coopération du Golfe prévoyant une ligne de plus de 2.000 km qui reliera le Kuwait au Sultanat d’Oman à travers l’Arabie et le Bahreïn. Une extension du tracé ferroviaire autorisera enfin une liaison entre Alexandrie et la ville avant-gardiste de NEOM rêvée par le Prince héritier d’Arabie et qui se trouve à 200 km de la ville palestinienne de Rafah. La combinaison de ces projets accomplira par ailleurs un objectif stratégique majeur consistant à rapprocher la Méditerranée et le Golfe Persique.

C’est dans ce contexte en pleine effervescence que les autorités israéliennes au plus haut niveau, assistées de leur intelligence artificielle, ont conçu « Gaza 2035 » destinée à devenir une zone de libre-échange grande comme 3,5 Paris intra-muros, soit environ 37.000 hectares. Elle s’étendra depuis la ville de Sdredot située de Gaza jusqu’au port égyptien d’Al Arish, dans la péninsule du Sinaï au sud de Gaza. Netanyahu et ses équipes envisagent donc de convertir la Gaza actuelle – ou ce qu’il en reste – en un territoire globalisé, industriel, à vocation largement mercantile, dont les ambitions à terme seraient même, grâce à sa localisation méditerranéenne, de dépasser en prospérité Dubaï.

Les promoteurs de Gaza 2035 espèrent en outre séduire les entreprises de la Tech, et ambitionnent également que cette zone devienne un centre mondial de fabrication de véhicules électriques. Quoiqu’il en soit, c’est des infrastructures massives comme des ports, des chemins de fer et des aéroports qui sont prévues, et qui seront fonctionnelles grâce à une combinaison de panneaux solaires et d’énergie fossile. Avec un slogan facile : remplacer à Gaza la « prospérité par la crise ».

De l’aveu même du Premier ministre, le préalable à Gaza 2035 sera de «reconstruire à partir de rien», afin que le développement économique neutralise les racines politiques des multiples crises et guerres régionales.

Cette vision de Gaza 2035 et de ces investissements lourds en infrastructures semble très sérieuse, et suscite l’adhésion de nombre de nations à travers le monde qui y retrouvent un intérêt commun. La Maison Blanche y prévoit un corridor commercial et des pipelines à hydrogène embrassant des régions allant depuis l’Inde jusqu’en Grèce au port du Pirée. Il s’agit là, pour les Occidentaux, de prendre un avantage considérable sur la Chine en établissant de multiples ponts entre l’Inde et l’Europe, d’intensifier les relations avec le sud global, de renforcer l’Europe et principalement son approvisionnement énergétique vis-à-vis de la Russie, d’autoriser les nations du Golfe à diversifier leurs économies, tout en normalisant définitivement – voire en la banalisant – la situation entre Israël et les États arabes. L’Inde, enfin, pourra se dégager d’une certaine emprise exercée sur elle par la Chine, et ce n’est – selon son Premier ministre Modi qui fait référence à la guerre en cours entre Israël et le Hamas- «aucun évènement ou conflit qui gênera la réalisation de ce «projet intergénérationnel». La France aurait même déjà nommé son haut-commissaire à l’« India-Middle East-Europe Economic Corridor ».

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(*) Michel Santi est macro-économiste, spécialiste des marchés financiers et des banques centrales. Il est fondateur et directeur général d’Art Trading & Finance.
Il vient de publier « Fauteuil 37 » préfacé par Edgar Morin. Il est également l’auteur d’un nouvel ouvrage : « Le testament d’un économiste désabusé ».

L’interdiction des voitures thermiques reportée après 2035 ?

L’interdiction des voitures thermiques reportée après 2035 ?

Le journal la tribune s’interroge sur l’éventualité d’un report de l’interdiction des voitures thermiques après 2035. L’organe d’information estime toutefois que les investissements dans la voiture électrique sont trop importants pour envisager cette hypothèse. Un curieux raisonnement. Cela d’autant plus que l’électrification du parc profite pour l’instant essentiellement aux Chinois alliés ou non au constructeur l’Europe.

 

Par ailleurs on n’a pas encore résolu la question de la capacité d’achat des automobilistes dont beaucoup n’ont pas les moyens financiers pour accéder à la voiture électrique. Conséquence, les voitures thermiques continueront d’exister sans doute après 2035 d’une part parce qu’elles seront toujours fabriquées, d’autre part que les véhicules vont sans doute circuler jusqu’en 2070 ou plus. Enfin il existe des interrogations sur la motorisation future par exemple à l’hydrogène et sur la mobilité en général ( concept du véhicule et rapports entre transports privés et transports publics par exemple)

Au 1er janvier 2035 en théorie ,plus aucune voiture à essence, diesel ou hybride ne sera commercialisée en Europe. Une décision adoptée depuis 2022 par le Parlement et les Etats membres.  Mais beaucoup dans le monde politique s’interroge sur la pertinence de cette date ; une interrogation partagée aussi par certains constructeurs automobiles.

Fin des voitures thermiques en 2035 : Renault dénonce l’impréparation

Fin des voitures thermiques en 2035 :  Renault dénonce l’impréparation 

En commission des Affaires économiques du Sénat mercredi, le président du conseil d’administration du groupe Renault Jean-Dominique Senard a dénoncé l’impréparation du secteur automobile, confronté à un enjeu de taille depuis l’interdiction de la vente de voitures thermiques dans l’Union européenne prévue en 2035. Le président de Renault dénonce l’impréparation qui va avantager les Chinois nettement en avance en matière de voitures électriques. 

 

«L’analyse d’impact n’a pas été faite», a cinglé Jean-Dominique Senard. Peu de temps après, «tout le monde a découvert ou a fait mine de découvrir que nous avions un énorme sujet autour de la question des ressources nécessaires pour alimenter les usines de batteries que nous sommes en train de mettre en place en France», a-t-il encore lâché. Une faille liée, d’après lui, à l’absence en Europe «d’accès significatif aux mines dans le monde qui produisent des métaux nécessaires à la fabrication de batteries.» Comme le lithium, le nickel, ou encore le cuivre. «L’industrie automobile se retrouve devant des défis majeurs qui n’avaient pas été anticipés», considère ce capitaine d’industrie.

 

Si la visée environnementale est évidente, le patron de Renault s’inquiète d’un décrochage de l’Europe face aux autres puissances mondiales, notamment la Chine.

Voiture électrique : la moitié des Français ignorent l’interdiction de production à partir de 2035

Voiture électrique : la moitié des Français ignorent l’interdiction de production à partir de 2035


C’est pas encore gagné pour la voiture électrique puisque à peu près la moitié des Français ignorent encore l’interdiction de production d’automobiles thermiques à partir de 2035 . Une étude 2024 de l’Observatoire Cetelem, publiée mardi, montre que les automobilistes français, connaissent mal les réglementations et le futur de l’automobile. Par exemple, si l’UE a entériné en mars dernier la fin de la vente de voitures thermiques à partir de 2035, seul un Français sur deux (53%) est au courant de l’existence de cette interdiction future.

Par ailleurs, de plus en plus d’automobilistes doutent de l’intérêt de la voiture électrique. Seulement 19 % des Européens veulent changer de véhicule dans les 12 prochains mois contre 27 % il y a encore deux ans.

La plus grande partie des automobilistes ne croit pas au progrès technologique et environnemental de la voiture électrique. Cependant ce refus pourrait être nourri en réalité par le coût que représente l’investissement. En moyenne en effet une voiture électrique coûte le double d’une voiture à moteur thermique. Sans parler évidemment de l’interrogation sur un jour une fiscalité sur électricité consommée par les voitures.

Les Français demeurent moins bien informés que les Allemands (66%), les Britanniques (62%) ou encore les Espagnols (62%).

De même, sur les zones à faibles émissions (ZFE), ces zones urbaines dont l’accès est limité aux véhicules les moins polluants, le degré d’information demeure lui aussi parcellaire. Si 77% des Français connaissent leur existence, seuls 48% savent précisément de quoi il s’agit. L

Dans l’Hexagone, 11 métropoles ont jusqu’ici mis en place une zone à faibles émissions, dont Paris, Lyon, Marseille ou Strasbourg. Mais seuls six Français sur dix (59%) savent que ces ZFE sont bel et bien présentes dans l’Hexagone. «C’est en Allemagne, Belgique, Royaume-Uni et aussi en France que l’on recense les scores les plus élevés, nations qui ont mis en place des ZFE ou envisagent leur déploiement», précise l’Observatoire.

À ce «brouillard», comme l’appelle l’étude, s’ajoute le «doute qu’a jeté sur la voiture électrique» l’augmentation des prix de l’électricité à la suite de la guerre en Ukraine, a expliqué à l’AFP le directeur de l’Observatoire, Flavien Neuvy. Les «gens se demandent si c’est vraiment une bonne idée», affirme-t-il, alors que le passage à l’électrique est nécessaire pour limiter le réchauffement climatique. Ainsi, comme le résume l’Observatoire Cetelem, cette étude «montre en tout cas que les automobilistes sont dans l’expectative à maints égards, jusqu’à faire preuve de suspicion et de scepticisme» sur la voiture électrique.

Automobiles : quelle motorisation autorisées après 2035

Automobiles : quelle motorisation autorisées après 2035


Une confusion supplémentaire pourrait s’installer concernant la motorisation des automobiles à partir de 2035. Officiellement le moteur thermique responsable d’émissions de carbone sera interdit en 2035 toutefois seront autorisés les moteurs thermiques utilisant du carburant de synthèse présumé sans émissions de carbone. Par ailleurs officiellement les pouvoirs publics soutiennent le développement du moteur électrique qui n’est pas complètement neutre loin s’en faut concernant le carbone. Et s’ajoute encore à cela la perspective éventuelle de l’hydrogène comme carburant. De quoi nourrir la confusion des esprits et l’industrie pendant plusieurs années voir l’avantage.

Ce pourrait bien être une remise en cause de l’électrique en tout cas une interrogation de plus sur l’avenir de l’électrique. C’est un véritable coup de théâtre qui vient d’avoir lieu à Bruxelles. Il était convenu d’interdire les moteurs thermiques à partir de 2035 sous la pression des écolos. Mais devant le mécontentement de l’industrie automobile notamment allemande et des automobilistes, il sera autorisé de prolonger l’autorisation des moteurs thermiques au-delà de 2035 sous réserve d’utilisation de carburant de synthèse plus neutre en carbone. Le problème c’est que ce carburant de synthèse est loin d’être au point techniquement et commercialement. Mais d’ici 2035 l’industrie allemande aura sûrement trouvé une solution plus ou moins bâtarde. Cela laisse ouverte évidemment la porte à la prolongation du thermique.

La Commission européenne et l’Allemagne ont annoncé samedi avoir trouvé un accord pour débloquer un texte clé du plan climat de l’Union européenne (UE) sur les émissions de CO2 des voitures, en assouplissant l’interdiction des moteurs thermiques après 2035.
« Nous avons trouvé un accord avec l’Allemagne sur l’utilisation future des carburants de synthèse dans les voitures », a annoncé le commissaire européen à l’Environnement Frans Timmermans sur Twitter.

« Les véhicules équipés d’un moteur à combustion pourront être immatriculés après 2035 s’ils utilisent exclusivement des carburants neutres en termes d’émissions de CO2 », a précisé le ministre allemand des Transports, Volker Wissing.

Après des mois de négociations, les pays de l’Union européenne (UE) et le Parlement européen s’étaient mis d’accord l’an dernier sur une loi visant à interdire la vente de nouvelles voitures et camionnettes à moteur thermique dans l’UE à partir de 2035, mais son entrée en vigueur a été suspendue au début du mois après l’opposition inattendue des libéraux allemands, qui souhaitaient une exemption pour les véhicules utilisant des carburants de synthèse et ont bloqué un vote du Conseil de l’UE.

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Les automobiles à moteur thermique autorisées après 2035

Les automobiles à moteur thermique seront autorisées après 2035


Ce pourrait bien être une remise en cause de l’électrique en tout cas une interrogation de plus sur l’avenir de l’électrique. C’est un véritable coup de théâtre qui vient d’avoir lieu à Bruxelles. Il était convenu d’interdire les moteurs thermiques à partir de 2035 sous la pression des écolos. Mais devant le mécontentement de l’industrie automobile notamment allemande et des automobilistes, il sera autorisé de prolonger l’autorisation des moteurs thermiques au-delà de 2035 sous réserve d’utilisation de carburant de synthèse plus neutre en carbone. Le problème c’est que ce carburant de synthèse est loin d’être au point techniquement et commercialement. Mais d’ici 2035 l’industrie allemande aura sûrement trouvé une solution plus ou moins bâtarde. Cela laisse ouvert évidemment la porte à la prolongation du thermique.

La Commission européenne et l’Allemagne ont annoncé samedi avoir trouvé un accord pour débloquer un texte clé du plan climat de l’Union européenne (UE) sur les émissions de CO2 des voitures, en assouplissant l’interdiction des moteurs thermiques après 2035.
« Nous avons trouvé un accord avec l’Allemagne sur l’utilisation future des carburants de synthèse dans les voitures », a annoncé le commissaire européen à l’Environnement Frans Timmermans sur Twitter.
« Les véhicules équipés d’un moteur à combustion pourront être immatriculés après 2035 s’ils utilisent exclusivement des carburants neutres en termes d’émissions de CO2 », a précisé le ministre allemand des Transports, Volker Wissing.

Après des mois de négociations, les pays de l’Union européenne (UE) et le Parlement européen s’étaient mis d’accord l’an dernier sur une loi visant à interdire la vente de nouvelles voitures et camionnettes à moteur thermique dans l’UE à partir de 2035, mais son entrée en vigueur a été suspendue au début du mois après l’opposition inattendue des libéraux allemands, qui souhaitaient une exemption pour les véhicules utilisant des carburants de synthèse et ont bloqué un vote du Conseil de l’UE.

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Les voitures thermiques seront autorisées après 2035

Les voitures thermiques seront autorisées après 2035


Ce pourrait bien être une remise en cause de l’électrique en tout cas une interrogation de plus sur l’avenir de l’électrique. C’est un véritable coup de théâtre qui vient d’avoir lieu à Bruxelles. Il était convenu d’interdire les moteurs thermiques à partir de 2035 sous la pression des écolos. Mais devant le mécontentement de l’industrie automobile notamment allemande et des automobilistes, il sera autorisé de prolonger l’autorisation des moteurs thermiques au-delà de 2035 sous réserve d’utilisation de carburant de synthèse plus neutre en carbone. Le problème c’est que ce carburant de synthèse est loin d’être au point techniquement et commercialement. Mais d’ici 2035 l’industrie allemande aura sûrement trouvé une solution plus ou moins bâtarde. Cela laisse ouvert évidemment la porte à la prolongation du thermique.

La Commission européenne et l’Allemagne ont annoncé samedi avoir trouvé un accord pour débloquer un texte clé du plan climat de l’Union européenne (UE) sur les émissions de CO2 des voitures, en assouplissant l’interdiction des moteurs thermiques après 2035.
« Nous avons trouvé un accord avec l’Allemagne sur l’utilisation future des carburants de synthèse dans les voitures », a annoncé le commissaire européen à l’Environnement Frans Timmermans sur Twitter.
« Les véhicules équipés d’un moteur à combustion pourront être immatriculés après 2035 s’ils utilisent exclusivement des carburants neutres en termes d’émissions de CO2 », a précisé le ministre allemand des Transports, Volker Wissing.

Après des mois de négociations, les pays de l’Union européenne (UE) et le Parlement européen s’étaient mis d’accord l’an dernier sur une loi visant à interdire la vente de nouvelles voitures et camionnettes à moteur thermique dans l’UE à partir de 2035, mais son entrée en vigueur a été suspendue au début du mois après l’opposition inattendue des libéraux allemands, qui souhaitaient une exemption pour les véhicules utilisant des carburants de synthèse et ont bloqué un vote du Conseil de l’UE.

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Automobiles: les voitures thermiques autorisées après 2035 !

Automobiles:les voitures thermiques autorisées après 2035 !


Ce pourrait bien être une remise en cause de l’électrique en tout cas une interrogation de plus sur l’avenir de l’électrique. C’est un véritable coup de théâtre qui vient d’avoir lieu à Bruxelles. Il était convenu d’interdire les moteurs thermiques à partir de 2035 sous la pression des écolos. Mais devant le mécontentement de l’industrie automobile notamment allemande et des automobilistes, il sera autorisé de prolonger l’autorisation des moteurs thermiques au-delà de 2035 sous réserve d’utilisation de carburant de synthèse plus neutre en carbone. Le problème c’est que ce carburant de synthèse est loin d’être au point techniquement et commercialement. Mais d’ici 2035 l’industrie allemande aura sûrement trouvé une solution plus ou moins bâtarde. Cela laisse ouvert évidemment la porte à la prolongation du thermique.

La Commission européenne et l’Allemagne ont annoncé samedi avoir trouvé un accord pour débloquer un texte clé du plan climat de l’Union européenne (UE) sur les émissions de CO2 des voitures, en assouplissant l’interdiction des moteurs thermiques après 2035.
« Nous avons trouvé un accord avec l’Allemagne sur l’utilisation future des carburants de synthèse dans les voitures », a annoncé le commissaire européen à l’Environnement Frans Timmermans sur Twitter.
« Les véhicules équipés d’un moteur à combustion pourront être immatriculés après 2035 s’ils utilisent exclusivement des carburants neutres en termes d’émissions de CO2 », a précisé le ministre allemand des Transports, Volker Wissing.

Après des mois de négociations, les pays de l’Union européenne (UE) et le Parlement européen s’étaient mis d’accord l’an dernier sur une loi visant à interdire la vente de nouvelles voitures et camionnettes à moteur thermique dans l’UE à partir de 2035, mais son entrée en vigueur a été suspendue au début du mois après l’opposition inattendue des libéraux allemands, qui souhaitaient une exemption pour les véhicules utilisant des carburants de synthèse et ont bloqué un vote du Conseil de l’UE.

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Automobiles: les voitures thermiques autorisées après 2035

Automobiles: les voitures thermiques autorisées après 2035 !

C’est évidemment un véritable coup de théâtre qui vient d’avoir lieu à Bruxelles. Il était convenu d’interdire les moteurs thermiques à partir de 2035 sous la pression des écolos. Mais devant le mécontentement de l’industrie automobile notamment allemande et des automobilistes, il sera autorisé de prolonger l’autorisation des moteurs thermiques au-delà de 2035 sous réserve d’utilisation de carburant de synthèse plus neutre en carbone.

La Commission européenne et l’Allemagne ont annoncé samedi avoir trouvé un accord pour débloquer un texte clé du plan climat de l’Union européenne (UE) sur les émissions de CO2 des voitures, en assouplissant l’interdiction des moteurs thermiques après 2035.
« Nous avons trouvé un accord avec l’Allemagne sur l’utilisation future des carburants de synthèse dans les voitures », a annoncé le commissaire européen à l’Environnement Frans Timmermans sur Twitter.
« Les véhicules équipés d’un moteur à combustion pourront être immatriculés après 2035 s’ils utilisent exclusivement des carburants neutres en termes d’émissions de CO2 », a précisé le ministre allemand des Transports, Volker Wissing.

Après des mois de négociations, les pays de l’Union européenne (UE) et le Parlement européen s’étaient mis d’accord l’an dernier sur une loi visant à interdire la vente de nouvelles voitures et camionnettes à moteur thermique dans l’UE à partir de 2035, mais son entrée en vigueur a été suspendue au début du mois après l’opposition inattendue des libéraux allemands, qui souhaitaient une exemption pour les véhicules utilisant des carburants de synthèse et ont bloqué un vote du Conseil de l’UE.

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