Archive pour le Tag '2027'

Finances publiques-Dette et déficit : report des efforts en 2024…ou 2027

Finances publiques-Dette et déficit : report des efforts en 2024…ou 2027 !

Il y a encore quelques mois le gouvernement et notamment le ministre de l’économie voulait donner l’illusion d’une plus grande rigueur de gestion des l’années 2023. Par ces perspectives ont été vite démenties aussitôt par Bruxelles comme par la Cour des Comptes. En effet, le déficit va continuer d’augmenter en 2023 car comme d’habitude les recettes ont été surestimées, à l’inverse des dépenses qui elle sont sous-estimées. ( Exemple les avantages progressifs accordés à certaines catégories pour faire passer la réforme des retraites qui atteignent de l’ordre de 10 milliards sur la vingtaine de milliards d’économies espérées). Sans parler des différentes aides promises pour amortir la crise de l’énergie dans l’industrie, le commerce et les petites entreprises.

La dette publique française a, en effet, explosé ces dernières années, et plus particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19. Elle a franchi les 100% du PIB pour la première fois durant la pandémie et se rapproche inexorablement du cap symbolique des 3000 milliards d’euros. Le coût de cette dette devient exorbitant puisqu’il représente environ 50 milliards par an. Et comme la France empreinte pour rembourser les emprunts précédents la note va encore monter avec l’augmentation des taux d’intérêt. Pourtant le ministre de l’économie affirme sa volonté de rigueur des 2024 avec un objectif en 2027 pour ramener le déficit public sous les 3 % du PIB.

«Avec le Président et la première ministre, nous sommes déterminés à faire baisser la dette à partir de 2026 et à ramener le déficit public sous les 3 % en 2027», met en avant le ministre de l’Économie. En 2021, le déficit public atteignait 6,4 % du produit intérieur brut, loin de la règle européenne des 3%.

«Dès le budget 2024, nous pourrons ainsi programmer des réductions de dépenses significatives», assure le ministre.

Mais ces économies ne seront pas réalisées sur le dos de la transition énergétique puisque pour réussir celle-ci, «60 à 70 milliards d’euros supplémentaires par an» sont nécessaires, chiffre Bruno Le Maire. Le problème c’est qu’on ne sait pas comment ces 60 à 70 milliards seront financés !

Le vrai problème qui n’est pas abordé par le ministre de l’économie est évidemment la réforme globale de l’État qui non seulement nourrit les déficits mais crée aussi en France un climat administratif délétère qui tue l’initiative et la responsabilité sans parler de la compétitivité. Un travail qui n’est pas prêt d’être engagé et encore moins réalisé puisque la très grande majorité des responsables politiques de haut niveau y compris au gouvernement sont d’anciens fonctionnaires.

Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Politique- Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Politique–Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Politique–Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle lors du prochain congrès d’Europe écologie les Verts. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux. ( Notons qu’à l’intérieur même des « Insoumi »s une personnalité comme Clémentine Autain prend aussi du champ avec Mélenchon dans la perspective de 2027).

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la présidence de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . Par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleine de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée. Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

Pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Sandrine Rousseau: objectif, remplacer Mélenchon en 2027

Sandrine Rousseau: objectif, remplacer Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Ainsi a-t-elle eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Hollande : le retour en 2027, au secours !

Hollande : le retour en 2027, au secours !

Émoustillé par l’emprise de Mélenchon sur la gauche, Hollande envisage son retour en 2027. Et le pire c’est qu’il y croit sérieusement, comme il croit sans doute à son triste bilan qui a eu pour résultat de tuer le parti socialiste et de faire émerger Macron.Dix ans plus tard presque jour pour jour, François Hollande veut  donc entamer  une nouvelle page de sa vie politique. Depuis ses vastes bureaux de la rue de Rivoli, où Philae, le labrador noir qu’il a eu à l’Elysée, se balade de pièce en pièce, il reçoit à tour de bras. Cette semaine, il a vu son ex-ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll, échangé avec son dernier chef de gouvernement, Bernard Cazeneuve, mais aussi avec l’influente présidente de la région Occitanie, Carole Delga, avec le Marseillais qui rue dans les brancards contre l’accord à gauche, Patrick Mennucci, ou encore l’opposante à Olivier Faure au sein du Parti socialiste, Hélène Geoffroy.
L’ancien Président échafaude son plan sur les cinq prochaines années. « 2027 se prépare dès 2022, sur le plan des idées et sur celui de l’incarnation », expose-t-il.

Déficit : le retour à 3 % en 2027 ou à la saint-glinglin

 

Encore une promesse de coiffeur de Macron dont le programme politique va alourdir de manière considérable la dette. Du coup l’objectif , des 3 % est reporté en 2027, plus exactement à la saint-glinglin

Mis en avant en 2017, relégué au second plan en 2022, le redressement des comptes publics reste néanmoins à l’agenda d’Emmanuel Macron. Le chef de l’Etat, candidat à sa réélection, a assuré lors de la présentation de son programme ce jeudi que « l’effort budgétaire » de 50 milliards d’euros qu’il promet pour les cinq prochaines années – en nouvelles dépenses et en baisses d’impôts – serait financé par des économies ( non précisées !) et ne se traduirait pas par un accroissement de la dette.

« Je veux à la fois financer ces mesures et garder nos ancres de finances publiques, qui visent à commencer à réduire la dette à partir de 2026 et à repasser le déficit sous les 3 % du PIB en 2027 », a expliqué le locataire de l’Elysée.

Durant tout le propos liminaire qui a duré pourtant près d’une heure trente, Emmanuel Macron s’est quasiment gardé de prononcer les mots « dette » ou « déficit ». Une absence notable, quand on songe que le quinquennat finissant a été marqué par un « quoi qu’il en coûte » qui a fait bondir l’endettement public à plus de 115 % du PIB .

Pour financer ces fameux 50 milliards, trois grands blocs d’économies ont été esquissés. Il y aura d’abord les grandes réformes autour du travail (retraites, objectif de plein-emploi) qui doivent rapporter 15 milliards. Environ 15 autres milliards viendront de réformes dites de modernisation (facturation électronique, e-carte vitale, taux d’IS minimal, lutte contre la fraude et l’optimisation, etc.).

Enfin, un plan d’économies doit rapporter 20 milliards, en limitant la croissance de la dépense publique courante en volume (hors inflation) à 0,8 % par an, en dessous de sa croissance tendancielle. Pour aller au-delà et ramener le déficit à 3 % du PIB, le chef de l’Etat compte sur un retour durable de la croissance. Rien que le passage d’un taux de chômage de 7,5 % à 5 % en 2027 – le nouvel objectif – rapporterait en tout 30 milliards aux finances publiques, selon le chef de l’Etat.Un vrai calcul de comptable qu’il repose sur aucune analyse sérieuse avec des perspectives de réduction de dépenses complètement illusoires.

Politique -La ligne Maginot de l’Europe : se priver du gaz russe en 2027 ! Ridicule

Politique -La ligne Maginot de l’Europe : se priver du gaz russe en 2027 ! Ridicule

 

 

 

 

Globalement nombre de pays européens sont victimes de la politique énergétique irresponsable de l’Allemagne et de quelques autres pays du nord de l’Europe. En effet en dépit de la cruauté de la guerre en Ukraine, d’une certaine manière l’union européenne détourne la tête. Elle compte sur sa ligne Maginot qui consisterait à se priver du gaz seulement en 2027.

 

Il n’est pas certain que cette menace soit très opérationnelle pour stopper la folie meurtrière de Poutine. Une folie qui n’a jamais été réellement prise en compte par les pays européens qui ont toujours continué d’entretenir des relations diplomatiques alors que Poutine ne cessait ses entreprises guerrières en Europe, au Moyen-Orient mais aussi en Afrique.

 

En cause, le fait en particulier que l’Allemagne et d’autres ne peuvent se passer du gaz russe après avoir fait une croix sur le nucléaire. Pire, jusqu’à ces derniers jours ces pays souhaitaient  que la France abandonne son nucléaire une des rares armes de souveraineté économique du pays pour d’hypothétiques éoliennes à l’énergie intermittente très coûteuse. Résultat, pour se priver du gaz russe on va réactiver les centrales au charbon. Une vraie politique de gribouille sur le plan économique et énergétique et une politique pacifiste hypocrite d’une union européenne qui a toujours privilégié le business par rapport à d’autres valeurs sociétales.

 La stratégie de l’Europe rappelle celle de la ligne Maginot qui devait arrêter l’ennemi. Qui sait où va s’arrêter Poutine ? Personne n’en sait rien et sans doute lui non plus qui paraît de plus en plus affecté par le syndrome de l’isolement du dictateur .

 S’il y a des sanctions massives à prendre, il faut les prendre évidemment maintenant et non attendre des signes de bonne volonté d’un cinglé du KGB qui n’a connu  dans sa vie que la force et le meurtre comme moyen de persuasion.

La ligne Maginot de l’Europe : se priver du gaz russe en 2027 ! Ridicule

La ligne Maginot de l’Europe : se priver du gaz russe en 2027 ! Ridicule

 

 

 

 

Globalement nombre de pays européens sont victimes de la politique énergétique irresponsable de l’Allemagne et de quelques autres pays du nord de l’Europe. En effet en dépit de la cruauté de la guerre en Ukraine, d’une certaine manière l’union européenne détourne la tête. Elle compte sur sa ligne Maginot qui consisterait à se priver du gaz seulement en 2027.

 

Il n’est pas certain que cette menace soit très opérationnelle pour stopper la folie meurtrière de Poutine. Une folie qui n’a jamais été réellement prise en compte par les pays européens qui ont toujours continué d’entretenir des relations diplomatiques alors que Poutine ne cessait ses entreprises guerrières en Europe, au Moyen-Orient mais aussi en Afrique.

 

En cause, le fait en particulier que l’Allemagne et d’autres ne peuvent se passer du gaz russe après avoir fait une croix sur le nucléaire. Pire, jusqu’à ces derniers jours ces pays souhaitaient  que la France abandonne son nucléaire une des rares armes de souveraineté économique du pays pour d’hypothétiques éoliennes à l’énergie intermittente très coûteuse. Résultat, pour se priver du gaz russe on va réactiver les centrales au charbon. Une vraie politique de gribouille sur le plan économique et énergétique et une politique pacifiste hypocrite d’une union européenne qui a toujours privilégié le business par rapport à d’autres valeurs sociétales.

 La stratégie de l’Europe rappelle celle de la ligne Maginot qui devait arrêter l’ennemi. Qui sait où va s’arrêter Poutine ? Personne n’en sait rien et sans doute lui non plus qui paraît de plus en plus affecté par le syndrome de l’isolement du dictateur .

 S’il y a des sanctions massives à prendre, il faut les prendre évidemment maintenant et non attendre des signes de bonne volonté d’un cinglé du KGB qui n’a connu  dans sa vie que la force et le meurtre comme moyen de persuasion.

Union européenne : La fin du pétrole et du gaz russe d’ici 2027

Union européenne : La fin du pétrole et du gaz russe d’ici 2027

 

 

Lors du sommet de Versailles Il a été décidé de se priver du pétrole et du gaz russe d’ici 2027. À noter évidemment que les États-Unis ont décidé l’arrêt immédiat des importations mais les États-Unis sont un exportateur net de produits pétroliers . La stratégie repose sur deux piliers. Le premier consiste à augmenter les importations de gaz naturel liquéfié (GNL) et de gazoducs en provenance de fournisseurs non russes ainsi que les volumes de production et d’importation de biométhane et d’hydrogène renouvelable.


« Nous devons devenir indépendants du pétrole, du charbon et du gaz russes. Nous ne pouvons tout simplement pas compter sur un fournisseur qui nous menace explicitement », indique Ursula von der Leyen dans ce rapport. « Grâce aux mesures du plan REPowerEU, nous pourrions progressivement supprimer au moins 155 milliards de mètres cubes de gaz fossile utilisés, ce qui équivaut au volume importé de Russie en 2021 », peut-on lire dans le document.

Pour rappel, L’UE importe 90% de sa consommation de gaz, la Russie fournissant environ 45% de ces importations, à des niveaux variables selon les États membres. La Russie représente également environ 25% des importations de pétrole et 45% des importations de charbon.

Deuxième axe : réduire plus rapidement l’utilisation des combustibles fossiles dans les maisons, les bâtiments, l’industrie et le système électrique. La Commission estime pour cela qu’il faut augmenter les énergies renouvelables et l’électrification et s’attaquer aux goulots d’étranglement des infrastructures.

Budget: Le déficit public « réduit » à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

Budget: Le déficit public « réduit »  à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

 

D’après le gouvernement le déficit public serait ramené à 3 % en 2027. Une échéance suffisamment lointaine pour qu’on ait le temps sans doute de le modifier à plusieurs reprises ! Pour 2021 , ce déficit serait ramené autour de 7 % au lieu des 8,2 % prévus. En cause : une croissance plus soutenue que ce qui était attendu, et le redressement des comptes de la sécurité sociale. Pour 2022, on compte sur un déséquilibre de 5 %. 

La croissance, elle, devrait atteindre 6,7% en 2021 si l’on en croit la dernière prévision de l’Insee. C’est plus que ce qu’avait prévu le gouvernement en septembre dernier, puisqu’il tablait alors sur 6,25%, a rappelé Olivier Dussopt. Quant au déficit de la sécurité sociale, de 40  milliards d’euros en 2020, il « redescendrait en 2021 à environ 25  milliards », a-t-il détaillé.

Enfin, le déficit de l’Etat s’élèverait pour sa part à 171 milliards d’euros, soit « près de 34,5 milliards de moins par rapport à nos dernières prévisions », s’est encore félicité le ministre.

« Tous ces mouvements confortent nos prévisions de déficit à 5% en 2022, puis à 3% en 2027 », a-t-il ajouté. Tout en précisant que la remontée des taux d’intérêt ne remet pas en question l’objectif de 5% de déficit pour cette année.

Le déficit public « réduit » à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

Le déficit public « réduit »  à 3%….en 2027 ( Olivier Dussopt)

 

D’après le gouvernement le déficit public serait ramené à 3 % en 2027. Une échéance suffisamment lointaine pour qu’on ait le temps sans doute de le modifier à plusieurs reprises ! Pour 2021 , ce déficit serait ramené autour de 7 % au lieu des 8,2 % prévus. En cause : une croissance plus soutenue que ce qui était attendu, et le redressement des comptes de la sécurité sociale. Pour 2022, on compte sur un déséquilibre de 5 %.

La croissance, elle, devrait atteindre 6,7% en 2021 si l’on en croit la dernière prévision de l’Insee. C’est plus que ce qu’avait prévu le gouvernement en septembre dernier, puisqu’il tablait alors sur 6,25%, a rappelé Olivier Dussopt. Quant au déficit de la sécurité sociale, de 40  milliards d’euros en 2020, il « redescendrait en 2021 à environ 25  milliards », a-t-il détaillé.

Enfin, le déficit de l’Etat s’élèverait pour sa part à 171 milliards d’euros, soit « près de 34,5 milliards de moins par rapport à nos dernières prévisions », s’est encore félicité le ministre.

« Tous ces mouvements confortent nos prévisions de déficit à 5% en 2022, puis à 3% en 2027 », a-t-il ajouté. Tout en précisant que la remontée des taux d’intérêt ne remet pas en question l’objectif de 5% de déficit pour cette année.

JOSPIN 2022 ou 2027 ? La gauche recrute dans les maisons de retraite !

JOSPIN 2022 ou 2027? La gauche recrute dans les maisons de retraite !

Le  looser François Hollande qui en connaît un rayon en matière d’échec  présidentiel estime que les candidats de la gauche sont tous des lilliputiens. Sans doute pour tenter encore et encore un éventuel retour et incarner cette introuvable union de la gauche. Force est de constater avec Hollande que le casting de la gauche n’a guère changé.

En tête on trouve toujours l’éternel grognon Mélenchon, les mêmes candidats de l’extrême-gauche, et les fantaisistes Montebourg, égérie du slip français ou encore Anne Hidalgo qui veut en même temps doubler le salaire des fonctionnaires et réduire le temps de travail.

Résultat cette gauche-là est complètement discréditée et elle n’atteindra toutes forces comprises que de l’ordre de 25 %. Certains reviennent même à envisager de solliciter Jospin, pourtant pas un exemple de réussite politique, pour l’élection de 2022 vous-même 2027 où les chances de la gauche paraissent plus sérieuses. Bref à gauche, on va bientôt recruter des candidats à la présidentielle dans les maisons de retraite.

À 84 ans Lionel Jospin est encore vert ou plutôt rosé . En 2022, il sera âgé de seulement 85 ans. Et en 2027 de 90 ans. Peut-être l’âge de la nouvelle maturité politique pour un pays fortement déçu d’avoir misé sur la jeunesse d’un Macron qui a perdu la boussole en même temps que la raison à force de se laisser entraîner par la dictature médiatique de la mode du moment.

Près de vingt ans après la présidentielle de 2002, un groupe de trois amis va se lancer dans un périple de quelques jours à travers la France dans les pas de Lionel Jospin, dans l’espoir de le convaincre de se présenter au prochain scrutin  d’après BFM;. 

Presidentielles : Ségolène Royal candidate en 2022, 2027 et …2042 ?

Presidentielles : Ségolène Royal candidate en 2022, 2027 et …2042 ?

 

 

 

L’ancienne candidate défaite par Sarkozy montre ainsi son caractère inoxydable et même presque inusable. Plus le temps passe et plus elle tente de rebondir même si ces rebonds sont de plus en plus court voir insignifiants. Ségolène royale doit avoir autour de la soixantaine, elle sera encore présentable en 2022 car elle ne manque pas de charme et de distinction. Pourquoi pas aussi en 2027, aux échéances suivantes et même en 2042. Il serait étonnant que comme Hollande son ex, elle lâche un jour la politique. Finalement une attitude quand même un peu lamentable qui confirme que la vieillesse est parfois un cauchemar quand il n’y a plus que l’espérance d’un mandat pour animer la vie. On a même vu Ségolène royale presque mendier un poste auprès de Macron. Elle objectera sans doute qu’elle ne veut plus entendre parler des socialistes et d’ailleurs elle précise que son éventuel candidature ne se fera pas sous le drapeau socialiste. Mais alors sous quel drapeau ? Sur quelle ligne politique ? Avec quels militants ? Avec quels alliés ? Peut-être que sa seule perspective est de se présenter au premier tour puis de se désister en faveur de Macron afin d’obtenir ce poste ministériel qui lui manque si cruellement. L’ex-candidate socialiste à la présidentielle française de 2007 Ségolène Royal a en effet indiqué samedi à Radio-Canada qu’elle n’excluait pas d’être de nouveau candidate en 2022, ajoutant qu’elle serait « présente sur les échéances politiques qui viennent » mais « pas sous le chapeau socialiste ».

« Oui c’est vrai », a répondu l’ancienne candidate, battue par Nicolas Sarkozy, interrogée par Radio-Canada pour savoir si elle avait bien, lors d’une interview la veille en France, « laissé la porte entrouverte à une candidature peut-être en 2022″.  »Quand je vois à la fois la lenteur de la mutation écologique et la question des droits des femmes, du respect de la dignité de femmes, du nombre très faible de femmes aux responsabilités dans le monde, je me dis que ces combats-là doivent continuer à être conduits », a-t-elle expliqué lors de l’émission « Les faits d’abord », sur la radio publique francophone. De belles paroles, assez juste d’ailleurs, mais qui cache une ambition qui caractérise sans doute son seul projet politique

« Maintenant on verra comment les choses se passent, ce n’est pas du tout une déclaration de candidature, ce serait d’ailleurs très maladroit de ma part, je me ferais immédiatement attaquer de toutes parts », a précisé Ségolène Royal. L’ancienne ministre socialiste de l’Ecologie, nommée ambassadrice des négociations sur les pôles Arctique et Antarctique par Emmanuel Macron, a expliqué qu’elle souhaitait « continuer ses combats environnementaux et féministes ».

« Oui, je serai présente sur les échéances politiques qui viennent pour défendre les valeurs auxquelles je crois et pour me mettre au service de ces valeurs. Sous quelle forme, on verra », a-t-elle ajouté. Envisage-t-elle ce combat « sous le chapeau socialiste » ? « Ah non, pas sous le chapeau socialiste, non », a-t-elle tranché. Sous les couleurs d’un nouveau parti ? « On verra, les choses se construisent tranquillement, on verra si elles vont jusqu’au bout ou pas », a conclu Ségolène Royal.

Ségolène Royal candidate en 2022, 2027 et …2042 ?

Ségolène Royal candidate en 2022, 2027 et …2042 ?

 

 

 

L’ancienne candidate défaite par Sarkozy montre ainsi son caractère inoxydable et même presque inusable. Plus le temps passe et plus elle tente de rebondir même si ces rebonds sont de plus en plus court voir insignifiants. Ségolène royale doit avoir autour de la soixantaine, elle sera encore présentable en 2022 car elle ne manque pas de charme et de distinction. Pourquoi pas aussi en 2027, aux échéances suivantes et même en 2042. Il serait étonnant que comme Hollande son ex, elle lâche un jour la politique. Finalement une attitude quand même un peu lamentable qui confirme que la vieillesse est parfois un cauchemar quand il n’y a plus que l’espérance d’un mandat pour animer la vie. On a même vu Ségolène royale presque mendier un poste auprès de Macron. Elle objectera sans doute qu’elle ne veut plus entendre parler des socialistes et d’ailleurs elle précise que son éventuel candidature ne se fera pas sous le drapeau socialiste. Mais alors sous quel drapeau ? Sur quelle ligne politique ? Avec quels militants ? Avec quels alliés ? Peut-être que sa seule perspective est de se présenter au premier tour puis de se désister en faveur de Macron afin d’obtenir ce poste ministériel qui lui manque si cruellement. L’ex-candidate socialiste à la présidentielle française de 2007 Ségolène Royal a en effet indiqué samedi à Radio-Canada qu’elle n’excluait pas d’être de nouveau candidate en 2022, ajoutant qu’elle serait « présente sur les échéances politiques qui viennent » mais « pas sous le chapeau socialiste ».

« Oui c’est vrai », a répondu l’ancienne candidate, battue par Nicolas Sarkozy, interrogée par Radio-Canada pour savoir si elle avait bien, lors d’une interview la veille en France, « laissé la porte entrouverte à une candidature peut-être en 2022″.  »Quand je vois à la fois la lenteur de la mutation écologique et la question des droits des femmes, du respect de la dignité de femmes, du nombre très faible de femmes aux responsabilités dans le monde, je me dis que ces combats-là doivent continuer à être conduits », a-t-elle expliqué lors de l’émission « Les faits d’abord », sur la radio publique francophone. De belles paroles, assez juste d’ailleurs, mais qui cache une ambition qui caractérise sans doute son seul projet politique

« Maintenant on verra comment les choses se passent, ce n’est pas du tout une déclaration de candidature, ce serait d’ailleurs très maladroit de ma part, je me ferais immédiatement attaquer de toutes parts », a précisé Ségolène Royal. L’ancienne ministre socialiste de l’Ecologie, nommée ambassadrice des négociations sur les pôles Arctique et Antarctique par Emmanuel Macron, a expliqué qu’elle souhaitait « continuer ses combats environnementaux et féministes ».

« Oui, je serai présente sur les échéances politiques qui viennent pour défendre les valeurs auxquelles je crois et pour me mettre au service de ces valeurs. Sous quelle forme, on verra », a-t-elle ajouté. Envisage-t-elle ce combat « sous le chapeau socialiste » ? « Ah non, pas sous le chapeau socialiste, non », a-t-elle tranché. Sous les couleurs d’un nouveau parti ? « On verra, les choses se construisent tranquillement, on verra si elles vont jusqu’au bout ou pas », a conclu Ségolène Royal.

Lors d’une interview aux chaînes françaises BFMTV et RMC vendredi, l’ex-candidate avait été interrogée sur les souhaits supposés de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, son ex-compagnon, de revenir en politique.  »Moi je n’ai pas été présidente de la République, donc j’ai le droit d’y penser un peu », avait-elle répondu. Avant de noter que « ce n’est pas l’échéance ».




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