Archive pour le Tag '2024 ?'

Finances publiques-Dette et déficit : report des efforts en 2024…ou 2027

Finances publiques-Dette et déficit : report des efforts en 2024…ou 2027 !

Il y a encore quelques mois le gouvernement et notamment le ministre de l’économie voulait donner l’illusion d’une plus grande rigueur de gestion des l’années 2023. Par ces perspectives ont été vite démenties aussitôt par Bruxelles comme par la Cour des Comptes. En effet, le déficit va continuer d’augmenter en 2023 car comme d’habitude les recettes ont été surestimées, à l’inverse des dépenses qui elle sont sous-estimées. ( Exemple les avantages progressifs accordés à certaines catégories pour faire passer la réforme des retraites qui atteignent de l’ordre de 10 milliards sur la vingtaine de milliards d’économies espérées). Sans parler des différentes aides promises pour amortir la crise de l’énergie dans l’industrie, le commerce et les petites entreprises.

La dette publique française a, en effet, explosé ces dernières années, et plus particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19. Elle a franchi les 100% du PIB pour la première fois durant la pandémie et se rapproche inexorablement du cap symbolique des 3000 milliards d’euros. Le coût de cette dette devient exorbitant puisqu’il représente environ 50 milliards par an. Et comme la France empreinte pour rembourser les emprunts précédents la note va encore monter avec l’augmentation des taux d’intérêt. Pourtant le ministre de l’économie affirme sa volonté de rigueur des 2024 avec un objectif en 2027 pour ramener le déficit public sous les 3 % du PIB.

«Avec le Président et la première ministre, nous sommes déterminés à faire baisser la dette à partir de 2026 et à ramener le déficit public sous les 3 % en 2027», met en avant le ministre de l’Économie. En 2021, le déficit public atteignait 6,4 % du produit intérieur brut, loin de la règle européenne des 3%.

«Dès le budget 2024, nous pourrons ainsi programmer des réductions de dépenses significatives», assure le ministre.

Mais ces économies ne seront pas réalisées sur le dos de la transition énergétique puisque pour réussir celle-ci, «60 à 70 milliards d’euros supplémentaires par an» sont nécessaires, chiffre Bruno Le Maire. Le problème c’est qu’on ne sait pas comment ces 60 à 70 milliards seront financés !

Le vrai problème qui n’est pas abordé par le ministre de l’économie est évidemment la réforme globale de l’État qui non seulement nourrit les déficits mais crée aussi en France un climat administratif délétère qui tue l’initiative et la responsabilité sans parler de la compétitivité. Un travail qui n’est pas prêt d’être engagé et encore moins réalisé puisque la très grande majorité des responsables politiques de haut niveau y compris au gouvernement sont d’anciens fonctionnaires.

Dette et déficit : report des efforts en 2024

Dette et déficit : report des efforts en 2024…ou 2027 !

Il y a encore quelques mois le gouvernement et notamment le ministre de l’économie voulait donner l’illusion d’une plus grande rigueur de gestion des l’années 2023. Par ces perspectives ont été vite démenties aussitôt par Bruxelles comme par la Cour des Comptes. En effet, le déficit va continuer d’augmenter en 2023 car comme d’habitude les recettes ont été surestimées, à l’inverse des dépenses qui elle sont sous-estimées. ( Exemple les avantages progressifs accordés à certaines catégories pour faire passer la réforme des retraites qui atteignent de l’ordre de 10 milliards sur la vingtaine de milliards d’économies espérées). Sans parler des différentes aides promises pour amortir la crise de l’énergie dans l’industrie, le commerce et les petites entreprises.

La dette publique française a, en effet, explosé ces dernières années, et plus particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19. Elle a franchi les 100% du PIB pour la première fois durant la pandémie et se rapproche inexorablement du cap symbolique des 3000 milliards d’euros. Le coût de cette dette devient exorbitant puisqu’il représente environ 50 milliards par an. Et comme la France empreinte pour rembourser les emprunts précédents la note va encore monter avec l’augmentation des taux d’intérêt. Pourtant le ministre de l’économie affirme sa volonté de rigueur des 2024 avec un objectif en 2027 pour ramener le déficit public sous les 3 % du PIB.

«Avec le Président et la première ministre, nous sommes déterminés à faire baisser la dette à partir de 2026 et à ramener le déficit public sous les 3 % en 2027», met en avant le ministre de l’Économie. En 2021, le déficit public atteignait 6,4 % du produit intérieur brut, loin de la règle européenne des 3%.

«Dès le budget 2024, nous pourrons ainsi programmer des réductions de dépenses significatives», assure le ministre.

Mais ces économies ne seront pas réalisées sur le dos de la transition énergétique puisque pour réussir celle-ci, «60 à 70 milliards d’euros supplémentaires par an» sont nécessaires, chiffre Bruno Le Maire. Le problème c’est qu’on ne sait pas comment ces 60 à 70 milliards seront financés !

Le vrai problème qui n’est pas abordé par le ministre de l’économie est évidemment la réforme globale de l’État qui non seulement nourrit les déficits mais crée aussi en France un climat administratif délétère qui tue l’initiative et la responsabilité sans parler de la compétitivité. Un travail qui n’est pas prêt d’être engagé et encore moins réalisé puisque la très grande majorité des responsables politiques de haut niveau y compris au gouvernement sont d’anciens fonctionnaires.

Perspectives Croissance reportées par Macron en 2024 !

Perspectives Croissance reportées par Macron en 2024 !


Alors que le gouvernement avait promis que l’économie sortirait de ses difficultés en 2023, Macron annonce le report en 2024.

Bref, la dialectique habituelle quand une situation est mauvaise et qui consiste à annoncer le printemps pour plus tard. Bien évidemment Macron n’en sait strictement rien. Par avance, il s’excuse des mauvais résultats. En matière notamment d’inflation qui va peser sérieusement sur la consommation des ménages dont le pouvoir d’achat est durement entamé.Et la responsabilité est reportée par Macron sur la conjoncture internationale afin de dédouaner le gouvernement.

Peut-être c’est que cette tendance récessionniste qui s’installe effectivement au plan mondial pourrait durer plus longtemps que ne le dit Macron. En effet si on peut prévoir le début d’un tassement économique, il est plus beaucoup plus difficile d’en prévoir la fin qui dépendra de l’inflation et du comportement des ménages face à la baisse de leur pouvoir d’achat. Sans parler de l’imprévisible évolution de la situation géopolitique.

Pour dégager sa responsabilité, Emmanuel Macron a donc prévenu que l’année 2023 serait « un moment un peu difficile de notre histoire » à cause du « ralentissement de l’économie mondiale », mais a espéré une « reprise qui devrait arriver en 2024, ce samedi sur TF1. « Je sais que les jours sont durs, que le coût de la vie pèse sur votre quotidien », a-t-il déclaré dans cet entretien donné à l’issue de sa visite d’Etat aux Etats-Unis.

Néanmoins la France figure « parmi ceux qui s’en sortent le mieux », a assuré le président de la République. « On va continuer de tenir, on va absorber ce choc, et il faut maintenant relancer les choses, par les réformes -sur le travail, l’éducation, la santé, les retraites- pour être plus forts », a-t-il ajouté..

Bref la dialectique habituelle quand une situation est mauvaise et qui consiste à annoncer le printemps pour plus tard. Bien évidemment ma condensée strictement rien. Par avance il s’excuse des mauvais résultats. En matière notamment d’inflation qui va peser sérieusement sur la consommation des ménages dont le pouvoir d’achat est durement entamé.

. « Il nous faut continuer le travail et nous préparer à une reprise qui je pense devrait arriver dans l’année 2024″, a estimé le chef de l’Etat.
« Nous avons tout pour sortir plus forts, plus grands de ce moment un peu difficile de notre histoire, et nous avons peut-être plus que beaucoup de nos voisins ( !!!), donc nous allons y arriver », a-t-il voulu rassurer.

Croissance reportée par Macron en 2024

Croissance reportée par Macron en 2024 !


Alors que le gouvernement avait promis que l’économie sortirait de ses difficultés en 2023, Macron annonce le report en 2024.

Bref, la dialectique habituelle quand une situation est mauvaise et qui consiste à annoncer le printemps pour plus tard. Bien évidemment Macron n’en sait strictement rien. Par avance, il s’excuse des mauvais résultats. En matière notamment d’inflation qui va peser sérieusement sur la consommation des ménages dont le pouvoir d’achat est durement entamé.Et la responsabilité est reportée par Macron sur la conjoncture internationale afin de dédouaner le gouvernement.

Peut-être c’est que cette tendance récessionniste qui s’installe effectivement au plan mondial pourrait durer plus longtemps que ne le dit Macron. En effet si on peut prévoir le début d’un tassement économique, il est plus beaucoup plus difficile d’en prévoir la fin qui dépendra de l’inflation et du comportement des ménages face à la baisse de leur pouvoir d’achat. Sans parler de l’imprévisible évolution de la situation géopolitique.

Pour dégager sa responsabilité, Emmanuel Macron a donc prévenu que l’année 2023 serait « un moment un peu difficile de notre histoire » à cause du « ralentissement de l’économie mondiale », mais a espéré une « reprise qui devrait arriver en 2024, ce samedi sur TF1. « Je sais que les jours sont durs, que le coût de la vie pèse sur votre quotidien », a-t-il déclaré dans cet entretien donné à l’issue de sa visite d’Etat aux Etats-Unis.

Néanmoins la France figure « parmi ceux qui s’en sortent le mieux », a assuré le président de la République. « On va continuer de tenir, on va absorber ce choc, et il faut maintenant relancer les choses, par les réformes -sur le travail, l’éducation, la santé, les retraites- pour être plus forts », a-t-il ajouté..

Bref la dialectique habituelle quand une situation est mauvaise et qui consiste à annoncer le printemps pour plus tard. Bien évidemment ma condensée strictement rien. Par avance il s’excuse des mauvais résultats. En matière notamment d’inflation qui va peser sérieusement sur la consommation des ménages dont le pouvoir d’achat est durement entamé.

. « Il nous faut continuer le travail et nous préparer à une reprise qui je pense devrait arriver dans l’année 2024″, a estimé le chef de l’Etat.
« Nous avons tout pour sortir plus forts, plus grands de ce moment un peu difficile de notre histoire, et nous avons peut-être plus que beaucoup de nos voisins ( !!!), donc nous allons y arriver », a-t-il voulu rassurer.

Augmentation des salaires de 4 % en 2022 et 3 % en 2023 et 2024 (Banque de France)

Augmentation des salaires de 4 % en 2022 et 3 % en 2023 et 2024 (Banque de France)

La pandémie, les difficultés logistiques et les problèmes de recrutement pourraient faire « bondir » les salaires de 4 % en 2022 d’après la Banque de France. Les années suivantes, en 2023 et 2024 ces revenus augmenteraient de 3 % par an.

 

Du fait de l’inflation et de l’environnement économique et sanitaire, la Banque de France prévoit des augmentations de salaires pour les trois ans à venir. En fait il s’agirait d’une régularisation. En effet l’inflation aura atteint entre 2,6 et 2,7 % en 2021, le même niveau est à attendre  attendre en 2022.

 

Dans sa dernière note, qui tente de se projeter conjoncturellement à moyen terme, l’institution souligne en effet qu’en 2023 et 2024 il continuerait d’augmenter à un rythme soutenu, «autour de 3 %, supérieur à celui de la période 2012-2019 et proche de celui du début des années 2000». Et de souligner que les premiers accords salariaux conclus dans certaines branches depuis octobre 2021 suggèrent une progression des salaires négociés, «qui peut beaucoup varier suivant la situation de chaque branche, mais reste souvent supérieure à celle des dernières années précédant la crise du Covid».

5.000 équipements sportifs en plus d’ici 2024, pour quels athlètes ?

5.000 équipements sportifs en plus d’ici 2024, pour quels athlètes ?

Il est grand temps que la France se réveille compte-tenu de la proximité des jeux olympiques de 2024. Lors de la dernière édition les résultats des équipes de France notamment en athlétisme et en natation ont été catastrophiques. Le gouvernement a donc décidé d’attribuer une centaine de millions à des équipements sportifs dits de proximité.

La question est de savoir si cette orientation n’est pas un peu trop tardive car on ne forme pas des athlètes en deux ou trois ans. La question de la performance sportive de la France ne serait être résumée en seuls équipements supplémentaires. Le problème de fond est celui de la pratique sportive en milieu scolaire afin de détecter les futurs athlètes et d’assurer la promotion du sport en général.

 

Dans les projets du gouvernement Sont ainsi prévus 1.000 «citystade» (terrain multisports, on se demande encore pourquoi cette expression anglophone !), 1.000 dojos et salles de sport de combat, 500 terrains de basket 3×3, 500 terrains de tennis paddle, 500 skate park, 200 sites sportifs mobiles comme des bassins, ou encore des équipements «innovants» utilisant le numérique. Il s’agit aussi d’accompagner de nouvelles pratiques sportives comme le basket 3×3 ou encore le skate devenu discipline olympique, et constituer «l’héritage» des JO de Paris 2024. Certains équipements seront des «requalifications» d’espaces existants, comme «des rez-de-chaussée d’immeuble sociaux».

 

 

Le taux de participation financière de l’État sera de 50%, un taux qui pourra être porté jusqu’à 80%, ou 100% en Outre-Mer, a précisé l’Élysée. La gestion de ces équipements pourra être confiée aux collectivités, à des fédérations, à des acteurs commerciaux via des délégations de service public.

SALAIRES DES ENSEIGNANTS: salaire mini à 2000 EUROS ……D’ICI 2024

SALAIRES DES ENSEIGNANTS: salaire mini à 2000 EUROS ……D’ICI 2024

Les enseignants sont toujours aussi mal payés en France; pour preuve, le ministre de l’éducation nationale a fixé un objectif de « 2000 euros net minimum pour tout professeur en 2024″.

Interrogé sur le salaire des enseignants français, considéré comme l’un des plus bas en Europe, Jean-Michel Blanquer a déclaré qu’il « comprenait totalement » les enseignants français qui réclament une revalorisation de leur salaire.

« Il y a encore moins d’un an, c’était 1700 euros net par mois pour commencer sa carrière de professeur. Avec les mesures que nous prenons, en février 2022, ce sera 1869 euros net par mois », rappelle le ministre de l’Éducation .

JO Paris 2024 : un coût jusqu’à 24 milliards !

JO Paris 2024 : un coût jusqu’à 24 milliards !

 

Il n’est pas étonnant que des pays soient de moins en moins chauds pour organiser les JO dont le coût devient démentiel. Surtout avec la crise sanitaire qui va imposer des mesures supplémentaires. Ainsi d’après les calculs d’experts, les JO de Tokyo pourraient coûter presque 30 milliards. Une facture dont Paris devrait tenir compte au lieu de se réjouir un peu naïvement de l’organisation de cette épreuve sportive où en plus en l’état des performances actuelles, la France n’est pas certaine de faire beaucoup mieux qu’à Tokyo.

La facture pour Tokyo pourrait  atteindre 28 milliards de dollars selon une étude dévoilée par MoneyTransfers.com s’appuyant sur des données de Statista et de la Banque Mondiale. Une estimation confirmée par le magazine Forbes , qui obtient un montant identique en se reposant notamment sur les données de deux quotidiens japonais, Nikkei et Asahi. L’évaluation de l’université d’Oxford est moins élevée mais atteint tout de même 20 milliards d’euros, soit quasiment trois fois plus que les plans de départ.

JO 2024 à Paris :pour les médailles, il y a encore du travail pour la France !

JO 2024 à Paris :pour les médailles,  il y a encore du travail pour la France !

intreview sur FranceInfo ( extrait)

 

 

Pour Claude Onesta, manager de la haute performance à l’Agence nationale du sport (ANS), certaines fédérations en retrait durant les Jeux de Tokyo, comme l’athlétisme, ont une organisation qui « ne produit plus ses effets ».  »On va les accompagner de manière plus directive », a-t-il prévenu dans la perspective des JO 2024 de Paris.

Quel bilan tirez-vous de ces JO de Tokyo ?

Claude Onesta : Il y a des belles surprises et des déceptions. Il y a des choses qu’on voyait arriver. Il y a les fédérations dont les organisations liées à la performance sont opérationnelles. Il y a une deuxième population de fédérations qui réussissent, mais pourraient mieux faire. Il faut que ceux qui faisaient cinq médailles soit capables d’en faire huit ou dix, et que ceux qui en font zéro puissent en faire une ou deux. Le système sur lequel est organisé certaines autres fédérations ne produit plus ses effets. En athlétisme par exemple, le fait que le résultat soit faible va obliger à un bilan sans concessions. Pour ces dernières, on va les accompagner de manière plus directive. 

Que comptez vous mettre en place dans les trois ans qui viennent ?

Transformer la natation ou l’athlétisme en trois ans, ce n’est pas possible. Ce qui m’intéresse, c’est que ce travail débute, et ce qu’il faut, c’est qu’on ait une équipe qui travaille sur la réalisation à court terme pour les sportifs qui sont à proximité des médailles. Il ne faut pas garder les gens dans un même lot. Dans chaque fédération, je veux que des athlètes soient dans une cellule dédiée « performance 2024″ et qu’on puisse calculer des solutions pour qu’ils soient opérationnels pour les JO de Paris.

Avez-vous identifié précisément la génération 2024 susceptible de rapporter des médailles à Paris ?

Elle est là. Elle n’est pas forcément à Tokyo, elle est déjà dans les circuits de « perf » des fédérations. Si on arrive à transformer des médailles d’argent en médailles d’or, c’est qu’ils sont déjà au coeur de la performance, ce n’est pas impossible. Et il y a aussi ceux qui ont été quatrième ou cinquième, il y en a à peu près 25 aujourd’hui qui ont fini à ces places là, dont la proximité au podium est donc une réalité. Il faut qu’on arrive à les traiter de manière très spécifique pendant les trois ans à venir, pour les amener à un affinage qui va leur permettre de franchir le petit seuil supplémentaire qui pourrait permettre de comptabiliser les médailles.

Trump candidat en 2024 !

Trump candidat en 2024 !

 

 

 

Indécrottable Trump devant ses partisans à réaffirmer que la victoire lui avait été volée par Biden. Et d’attaquer de nouveau président avec de gros sabots sur sa gestion notamment des frontières. Par contre pas un mot sur sa gestion économique pas davantage que sur sa gestion sanitaire là oùTrump  s’est largement planté. L’information nouvelle c’est que Trump n’envisagen pas de créer un nouveau parti républicain mais qu’il entend bien le mettre en tutelle. Trump a affirmé que le Parti républicain était uni et assuré qu’il n’avait aucune intention de tenter de lancer un nouveau parti, une idée dont l’ancien président avait pourtant discuté ces deux derniers mois avec des conseillers. « Nous ne commençons pas de nouveaux partis. Nous avons le Parti républicain. Il va être uni et plus fort que jamais. Je ne lance pas un nouveau parti », a-t-il annoncé.

Automobiles : des voitures électriques Apple en 2024 ?

Automobiles : des voitures électriques Apple en 2024 ?

 

Apple se fixe pour objectif de produire dès 2024 une voiture de tourisme susceptible d’être équipée de sa propre technologie de batterie électrique.

Au coeur de ce projet baptisé Titan, qui a avancé par à-coups depuis 2014, figure une technologie innovante susceptible de diminuer “radicalement” le coût des batteries et d’augmenter l’autonomie des véhicules, selon l’une de ces sources. Ce projet a été relancé en 2018 avec le retour d’un ancien d’Apple, Doug Field, qui a travaillé pour Tesla, ont dit deux autres sources.

Se lancer dans la construction automobile représente un défi logistique même pour un groupe comme Apple, même s’il dispose d’une énorme trésorerie et écoule chaque année des centaines de millions d’appareils électroniques assemblés à partir de composants venant de diverses parties du monde.

Concernant la batterie, Apple prévoit de recourir à une conception “monocellulaire” inédite permettant de libérer de l’espace au sein de l’équipement et donc d’y intégrer davantage de matériaux actifs, ce qui augmenterait l’autonomie de la voiture, selon l’une des sources. Ces batteries pourraient aussi être des batteries dites lithium-fer-phosphate (LFP), moins exposées à une surchauffe et donc plus sûres que les autres batteries lithium-ion.

Coronavirus: les pays en développement attendront jusqu’en 2024

Coronavirus: les pays en développement attendront jusqu’en 2024

Piloté par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’alliance pour les vaccins Gavi, le projet COVAX vise à fournir au moins 2 milliards de doses d’ici fin 2021 pour vacciner 20% des personnes les plus vulnérables dans 91 pays pauvres et à revenu intermédiaire, principalement en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

Dans un document confidentiel de Gavi, les partisans du projet affirment que l’initiative pourrait ne pas atteindre son objectif en raison d’un manque de fonds, des risques liés à l’approvisionnement et des conditions contractuelles compliquées.

“Le risque d’échec du programme COVAX est très élevé”, lit-on dans un rapport interne de Gavi. Cela en raison des difficultés à réunir les fonds nécessaires.

Un tel échec pourrait priver les populations des pays pauvres d’un accès aux vaccins contre le COVID-19 jusqu’en 2024, explique l’un des documents.

Pour vacciner au moins 20% des personnes dans les pays pauvres l’année prochaine, COVAX dit avoir besoin de 4,9 milliards de dollars (4,02 milliards d’euros) en plus des 2,1 milliards que le projet a déjà collecté. Selon une étude de Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, une personne sur quatre n’aura pas accès au vaccin contre le coronavirus avant au moins 2022.

Trump: candidat en 2024 !!!

Trump:  candidat en 2024 !!!

 

Le président américain battu ne cesse de ruminer sa défaite l’imputant à une supposée fraude massive. Pour tenter de rebondir et rassurer ses supporters,  Trump vient d’évoquer la possibilité d’une candidature en 2024.

 

Une candidature très hypothétique bien entendu car l’intéressé va surtout rencontrer certaines difficultés juridiques liées non seulement à sa gestion catastrophique de la crise sanitaire mais aussi à des fraudes constatées dans la gestion de ses propres affaires. La perspective de la case judiciaire voir pénitentiaire paraît plus probable que la case présidentielle pour l’intéressé

En théorie, rien ne l’empêche de tenter de nouveau sa chance en 2024. La Constitution américaine interdit d’assumer plus de deux mandats, mais en faire deux non-consécutifs est une possibilité. Un seul homme a réussi ce pari : Grover Cleveland, à la fin du XIXe siècle. Elu en 1884, il fut battu en 1888, puis élu de nouveau en 1892. Il est, dans les livres d’histoire, à la fois le 22e et le 24e président des Etats-Unis. Grover Cleveland avait 56 ans au début de son deuxième mandat. Donald Trump en aurait 78.

TRUMP : ENVISAGE DÉJÀ DE SE PRÉSENTER EN 2024

TRUMP : ENVISAGE DÉJÀ DE SE PRÉSENTER EN 2024

 

Peut-être qu’on peut mieux comprendre sinon admettre le déni de démocratie de Trump  qui profite des derniers jours de sa présidence pour entretenir sa popularité auprès de ses partisans. Il avait en effet confié dans le privé qu’il envisagerait de se présenter en 2024. Cela pourrait expliquer qu’il a l’intention même avant le changement présidentiel de tenir des meetings un peu partout. Et sans doute d’engager une sorte de campagne permanente d’ici 2024 pour déstabiliser le mandat de Joe Biden.

 

Au lendemain de sa défaite contre Joe Biden, Donald Trump aurait déjà confié à des conseillers qu’il envisage de se représenter à l’élection présidentielle américaine de 2024, selon deux sources proches du président citées par le site d’information américain Axios.

 

Depuis la victoire de Joe Biden samedi, le président Donald Trump refuse de concéder la victoire à son rival démocrate. Arguant de « fraudes » électorales, sans fournir de preuves, Donald Trump promet de multiplier les actions en justice. Et il prépare peut-être déjà 2024 !

Un programme de six réacteurs nucléaires EPR à partir de 2024

Un programme de six réacteurs nucléaires EPR à partir de 2024

 

En dépit des les agitation des écolos bobos la stratégie énergétique française ne changera pas comme d’ailleurs indiqué dans les documents de planification , PPE. On va certes construire quelques éoliennes gadgets très coûteux et inefficaces mais l’essentiel de la production de l’électricité sera encore largement assurée par le nucléaire. Ainsi en une vingtaine d’années on aura construit six réacteurs EPR d’une puissance chacun de 1650 Mégas  au moins soit l’équivalent de 10 réacteurs classiques.

Notons que ces réacteurs EPR auront une durée de vie de 60 ans minimums. Certes des énergies renouvelables progressent mais en France si on voulait remplacer le nucléaire par les éoliennes il faudrait couvrir le pays par 35 000 éoliennes et encore ce ne serait pas suffisant car il faudrait maintenir des centrales y compris polluantes pour combler l’intermittence de production.

De toute manière même s’il faut rechercher de nouvelles énergies notamment pour produire de l’électricité la part du nucléaire ne se réduira pas en France avant une cinquantaine d’années. Bercy et le ministère de la Transition écologique travaillent en effet à un programme de construction de six réacteurs nucléaires d’ici 2044 sur la base d’un devis de 47,2 milliards d’euros, selon un document publié mercredi par le journal spécialisé Contexte.

Le texte, rédigé par le Trésor, précise que la construction de trois paires du futur nouveau modèle d’EPR est envisagée et s’étalerait sur douze ans, soit de 2024 à 2036, de 2028 à 2040 et de 2032 à 2044.

Au total, l’État prendrait à sa charge la majorité (54%) des six installations et la rémunération d’EDF, qui sera discutée avec la Commission européenne, passerait par un tarif d’achat garanti de l’électricité produite dit de “contrat pour différence” (CFD).

Le document cité par Contexte évoque aussi plusieurs scénarios de partage des surcoûts potentiels des réacteurs entre l’Etat et l’électricien public.

La publication spécialisée rapporte également que le texte livre des éléments sur la santé financière d’EDF après la crise du coronavirus, avec des projections de flux de trésorerie post-dividendes négatifs jusqu’en 2029 et un endettement passant de 41,1 milliards d’euros en 2019 à 56,9 milliards en 2028, situation qui rendrait nécessaire “une importante intervention de l’État”.

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