Archive pour le Tag '2023'

1400 milliards: le coût de la dette pour les pays pauvres en 2023

1400 milliards: le coût de la dette pour les pays pauvres en 2023

Les pays en développement ont payé un montant record de 1.400 milliards de dollars pour le service de leur dette extérieure en 2023, en raison des taux d’intérêt très élevés, selon un rapport de la Banque mondiale publié mardi.

Parmi ces pays, « les plus pauvres et vulnérables » ont déboursé un montant record de 96,2 milliards de dollars pour le service de leur dette, dont près de 35 milliards pour les seuls coûts d’intérêt. Un record également. Ces pays sont ceux éligibles à un prêt de l’Association internationale de développement (IDA), l’agence de la Banque mondiale qui prête aux pays les plus pauvres.

La Banque mondiale  indique que le taux payé sur les prêts des créanciers officiels a doublé pour atteindre plus de 4%. Les taux appliqués par les créanciers privés ont été encore pires, atteignant 6%, au plus haut depuis 15 ans.

L’inflation: Un coût de 1230 euros pour chaque ménage français en 2023

L’inflation: Un coût de 1230 euros pour  chaque ménage français en 2023

En moyenne du fait de l’inflation, la perte de pouvoir d’achat de chaque ménage n’est pas négligeable puisqu’elle atteint 1230 € en 2023. Mais ce qu’il faut surtout observer dans la dernière étude de l’INSEE sur le sujet c’est l’extrême dispersion des pertes de niveau de vie qui vont de -7,1 % pour les plus pauvres à 3,1 % pour les plus riches. Un constat qui permet une nouvelle fois de remettre en cause les les ajustements de même niveau pour tous les revenus.

Notons enfin que l’INSEE se fonde toujours sur une évolution des prix de la consommation obsolète qui ne tient pas compte de la modification structurelle des achats des ménages qui globalement achètent moins et  différemment.

Selon le dernier rapport de l’Insee, « France, portrait social », publié ce jeudi 21 novembre, l’inflation a en effet représenté une perte moyenne de 1 230 euros annuels par personne en 2023, dans l’hypothèse où les ménages n’auraient pas modifié leur consommation sous l’effet de la hausse des prix. En termes de niveau de vie, l’institut national de statistiques souligne un impact plus fort de cette baisse chez les plus modestes, avec des pertes qui représentent -7,1 % du niveau de vie pour les 10 % les plus pauvres, contre seulement -3,1 % pour les 10 % les plus aisés.

Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023

Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023

 

Si l’on s’en tient au nombre d’interpellations pour trafic et usage de drogue , l’augmentation serait inférieure à 1 % d’après le ministère de l’intérieur. Par contre d’après les saisies le trafic aurait plutôt doublé avec en plus une augmentation importante des drogues de synthèse. Les faits d’homicide auraient augmenté de 57% en 2023. Une nouvelle hausse sera enregistrée en 2024.

Le ministère de l’Intérieur commente auprès du JDD : « La trajectoire 2024 est plus favorable que 2023, année historique, mais si l’on compare avec le 1er semestre de l’année 2022 ou 2021, on note une croissance du nombre de faits. »

Dénommés « narchomicides », les meurtres liés au trafic de stupéfiants ont atteint des sommets en 2023. Selon nos informations, les autorités ont répertorié 418 cas d’assassinats et de tentatives d’assassinat entre malfaiteurs, marquant une hausse de 38 % par rapport à 2022. Ces affrontements violents ont causé la mort de 139 personnes.

En réalité le nombre d’interpellations ou les saisies ne rendent pas compte de l’évolution du trafic qui ne cesse de se développer.

« La menace a atteint un niveau historiquement élevé », décrit sans fard la patronne de l’Office antistupéfiants (Ofast), Stéphanie Cherbonnier. « Aucun territoire n’est épargné. » Nourri par une forte demande – 5 millions de consommateurs réguliers de cannabis, 600.000 de cocaïne, selon l’Office français des drogues et toxicomanies (OFDT) -, le marché national des stupéfiants produit un chiffre d’affaires annuel estimé à 3 milliards d’euros.

De début janvier à mi-novembre, la police a recensé 315 faits d’homicides ou tentatives entre malfaiteurs liés aux narcotrafics, en hausse de 57 % par rapport à la même période de 2022. Rien qu’à Marseille, la guerre à laquelle se livrent deux organisations criminelles concurrentes pour le contrôle du juteux marché de la drogue a fait 47 morts, pour l’essentiel des « petites mains du trafic ». D’autres villes sont gangrenées par cette violence : Nantes, Besançon, Toulouse, Avignon ou Nîmes ont connu cette année leur lot de règlements de comptes.En réalité toutes les villes mêmes les plus petites sont aujourd’hui contaminées par le trafic de drogue.

Selon les données de l’Ofast, 240.000 personnes vivent directement ou indirectement du trafic de stupéfiants en France, dont 21.000 à temps

D’après les chiffres communiqués par le ministère, les saisies en 2023 en France ont été de 4,15 millions de comprimés d’ecstasy et MDMA (contre 1,4 million en 2022) et 418 kg d’amphétamines et méthamphétamines (198 kg en 2022).

Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023

Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023

 

Si l’on s’en tient au nombre d’interpellations pour trafic et usage de drogue , l’augmentation serait inférieure à 1 % d’après le ministère de l’intérieur. Par contre d’après les saisies le trafic aurait plutôt doublé avec en plus une augmentation importante des drogues de synthèse. Les faits d’homicide auraient augmenté de 57% en 2023. Une nouvelle hausse sera enregistrée en 2024.

Le ministère de l’Intérieur commente auprès du JDD : « La trajectoire 2024 est plus favorable que 2023, année historique, mais si l’on compare avec le 1er semestre de l’année 2022 ou 2021, on note une croissance du nombre de faits. »

Dénommés « narchomicides », les meurtres liés au trafic de stupéfiants ont atteint des sommets en 2023. Selon nos informations, les autorités ont répertorié 418 cas d’assassinats et de tentatives d’assassinat entre malfaiteurs, marquant une hausse de 38 % par rapport à 2022. Ces affrontements violents ont causé la mort de 139 personnes.

En réalité le nombre d’interpellations ou les saisies ne rendent pas compte de l’évolution du trafic qui ne cesse de se développer.

« La menace a atteint un niveau historiquement élevé », décrit sans fard la patronne de l’Office antistupéfiants (Ofast), Stéphanie Cherbonnier. « Aucun territoire n’est épargné. » Nourri par une forte demande – 5 millions de consommateurs réguliers de cannabis, 600.000 de cocaïne, selon l’Office français des drogues et toxicomanies (OFDT) -, le marché national des stupéfiants produit un chiffre d’affaires annuel estimé à 3 milliards d’euros.

De début janvier à mi-novembre, la police a recensé 315 faits d’homicides ou tentatives entre malfaiteurs liés aux narcotrafics, en hausse de 57 % par rapport à la même période de 2022. Rien qu’à Marseille, la guerre à laquelle se livrent deux organisations criminelles concurrentes pour le contrôle du juteux marché de la drogue a fait 47 morts, pour l’essentiel des « petites mains du trafic ». D’autres villes sont gangrenées par cette violence : Nantes, Besançon, Toulouse, Avignon ou Nîmes ont connu cette année leur lot de règlements de comptes.En réalité toutes les villes mêmes les plus petites sont aujourd’hui contaminées par le trafic de drogue.

Selon les données de l’Ofast, 240.000 personnes vivent directement ou indirectement du trafic de stupéfiants en France, dont 21.000 à temps

D’après les chiffres communiqués par le ministère, les saisies en 2023 en France ont été de 4,15 millions de comprimés d’ecstasy et MDMA (contre 1,4 million en 2022) et 418 kg d’amphétamines et méthamphétamines (198 kg en 2022).

Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023

Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023

 

Si l’on s’en tient au nombre d’interpellations pour trafic et usage de drogue , l’augmentation serait inférieure à 1 % d’après le ministère de l’intérieur. Par contre d’après les saisies le trafic aurait plutôt doublé avec en plus une augmentation importante des drogues de synthèse. Les faits d’homicide auraient augmenté de 57% en 2023. Une nouvelle hausse sera enregistrée en 2024.

Le ministère de l’Intérieur commente auprès du JDD : « La trajectoire 2024 est plus favorable que 2023, année historique, mais si l’on compare avec le 1er semestre de l’année 2022 ou 2021, on note une croissance du nombre de faits. »

Dénommés « narchomicides », les meurtres liés au trafic de stupéfiants ont atteint des sommets en 2023. Selon nos informations, les autorités ont répertorié 418 cas d’assassinats et de tentatives d’assassinat entre malfaiteurs, marquant une hausse de 38 % par rapport à 2022. Ces affrontements violents ont causé la mort de 139 personnes.

En réalité le nombre d’interpellations ou les saisies ne rendent pas compte de l’évolution du trafic qui ne cesse de se développer.

« La menace a atteint un niveau historiquement élevé », décrit sans fard la patronne de l’Office antistupéfiants (Ofast), Stéphanie Cherbonnier. « Aucun territoire n’est épargné. » Nourri par une forte demande – 5 millions de consommateurs réguliers de cannabis, 600.000 de cocaïne, selon l’Office français des drogues et toxicomanies (OFDT) -, le marché national des stupéfiants produit un chiffre d’affaires annuel estimé à 3 milliards d’euros.

De début janvier à mi-novembre, la police a recensé 315 faits d’homicides ou tentatives entre malfaiteurs liés aux narcotrafics, en hausse de 57 % par rapport à la même période de 2022. Rien qu’à Marseille, la guerre à laquelle se livrent deux organisations criminelles concurrentes pour le contrôle du juteux marché de la drogue a fait 47 morts, pour l’essentiel des « petites mains du trafic ». D’autres villes sont gangrenées par cette violence : Nantes, Besançon, Toulouse, Avignon ou Nîmes ont connu cette année leur lot de règlements de comptes.En réalité toutes les villes mêmes les plus petites sont aujourd’hui contaminées par le trafic de drogue.

Selon les données de l’Ofast, 240.000 personnes vivent directement ou indirectement du trafic de stupéfiants en France, dont 21.000 à temps

D’après les chiffres communiqués par le ministère, les saisies en 2023 en France ont été de 4,15 millions de comprimés d’ecstasy et MDMA (contre 1,4 million en 2022) et 418 kg d’amphétamines et méthamphétamines (198 kg en 2022).

Trafic de drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023

Trafic de drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023

 

Si l’on s’en tient au nombre d’interpellations pour trafic et usage de drogue , l’augmentation serait inférieure à 1 % d’après le ministère de l’intérieur. Par contre d’après les saisies le trafic aurait plutôt doublé avec en plus une augmentation importante des drogues de synthèse. Les faits d’homicide auraient augmenté de 57% en 2023. Une nouvelle hausse sera enregistrée en 2024.

Le ministère de l’Intérieur commente auprès du JDD : « La trajectoire 2024 est plus favorable que 2023, année historique, mais si l’on compare avec le 1er semestre de l’année 2022 ou 2021, on note une croissance du nombre de faits. »

Dénommés « narchomicides », les meurtres liés au trafic de stupéfiants ont atteint des sommets en 2023. Selon nos informations, les autorités ont répertorié 418 cas d’assassinats et de tentatives d’assassinat entre malfaiteurs, marquant une hausse de 38 % par rapport à 2022. Ces affrontements violents ont causé la mort de 139 personnes.

En réalité le nombre d’interpellations ou les saisies ne rendent pas compte de l’évolution du trafic qui ne cesse de se développer.

« La menace a atteint un niveau historiquement élevé », décrit sans fard la patronne de l’Office antistupéfiants (Ofast), Stéphanie Cherbonnier. « Aucun territoire n’est épargné. » Nourri par une forte demande – 5 millions de consommateurs réguliers de cannabis, 600.000 de cocaïne, selon l’Office français des drogues et toxicomanies (OFDT) -, le marché national des stupéfiants produit un chiffre d’affaires annuel estimé à 3 milliards d’euros.

De début janvier à mi-novembre, la police a recensé 315 faits d’homicides ou tentatives entre malfaiteurs liés aux narcotrafics, en hausse de 57 % par rapport à la même période de 2022. Rien qu’à Marseille, la guerre à laquelle se livrent deux organisations criminelles concurrentes pour le contrôle du juteux marché de la drogue a fait 47 morts, pour l’essentiel des « petites mains du trafic ». D’autres villes sont gangrenées par cette violence : Nantes, Besançon, Toulouse, Avignon ou Nîmes ont connu cette année leur lot de règlements de comptes.En réalité toutes les villes mêmes les plus petites sont aujourd’hui contaminées par le trafic de drogue.

Selon les données de l’Ofast, 240.000 personnes vivent directement ou indirectement du trafic de stupéfiants en France, dont 21.000 à temps

D’après les chiffres communiqués par le ministère, les saisies en 2023 en France ont été de 4,15 millions de comprimés d’ecstasy et MDMA (contre 1,4 million en 2022) et 418 kg d’amphétamines et méthamphétamines (198 kg en 2022).

Pouvoir d’achat : baisse en 2023, selon l’Insee

Pouvoir d’achat : baisse  en 2023, selon l’Insee

Le pouvoir d’achat des salariés a diminué en 2023, même si c’est dans une moindre mesure pour les bas salaires, selon une étude de l’Insee publiée ce mercredi, alors que les négociations annuelles obligatoires (NAO) se tiennent dans nombre d’entreprises.

« En 2023, un salarié du secteur privé gagne en moyenne 2.735 euros nets par mois en équivalent temps plein (EQTP) », souligne l’Insee dans sa note. Un salaire qui « a augmenté de 4% pour le net », précise l’institut.

Mais avec une inflation « encore forte » (+4,9 % en 2023, après +5,2 % en 2022), et des primes qui ont « légèrement reculé », « le salaire net moyen a diminué de 0,8 % en euros constants, après -1% en 2022 », selon l’Insee. De sorte que concrètement, le pouvoir d’achat du salaire net moyen en 2023 est à son niveau de 2019.

Par ailleurs l’Insee indique que « la moitié des salariés du secteur privé perçoivent moins de 2.183 euros nets par mois » pour un temps complet, avec une disparité telle qu’« un salarié sur dix gagne moins de 1.512 euros, un sur dix perçoit plus de 4.302 euros » et « un salarié sur cent gagne plus de 10.222 euros nets, soit près de 7,4 fois le Smic ».

 

 

 

Investissements étrangers : encore un recul dans le monde en 2023

Investissements étrangers : encore un recul dans le monde en 2023

 
Les flux d’investissements directs étrangers ont reculé en 2023, pour la deuxième année consécutive, selon l’ONU Commerce et Développement (CNUCED). Une baisse de 2% due au triple effet d’un ralentissement économique couplé à l’augmentation des tensions commerciales et géopolitiques. Mais l’agence onusienne estime néanmoins « possible » une croissance cette année.

Cette baisse est due à « l’augmentation des tensions commerciales et géopolitiques dans un contexte de ralentissement de l’économie mondiale », selon la CNUCED (photo d’illustration). (Crédits : JON NAZCA)
Pour la deuxième année consécutive, les investissements directs étrangers (IDE) à l’échelle de la planète ont baissé. Ils ont en effet reculé de 2% en 2023 pour s’établir à 1.300 milliards de dollars, selon le dernier rapport sur ce sujet publié ce jeudi par l’organisme des Nations Unies « ONU Commerce et Développement » (CNUCED). Une faible baisse en apparence, contre -12% en 2022, qui cache en réalité un recul plus marqué de 10% en excluant du calcul « quelques situations exceptionnelles dans des pays européens », souligne l’agence onusienne.

Les experts de la CNUCED attribuent cette baisse à « l’augmentation des tensions commerciales et géopolitiques dans un contexte de ralentissement de l’économie mondiale ». Pour autant, ils affichent un certain optimiste pour cette année.

Dans le détail, les flux d’IDE vers les pays en développement ont diminué de 7% pour atteindre 867 milliards de dollars l’année dernière. Ceux situés en Asie ont enregistré une baisse du même ordre (-8%) mais celle-ci masque une forte augmentation des nouveaux projets (+44% en valeur).

Elle est moindre en Afrique (-3%, à 53 milliards de dollars), le continent ayant été tiré vers le bas par l’Egypte et l’Afrique du sud. La Cnuced note toutefois que l’Afrique « a attiré une part croissante des mégaprojets mondiaux entièrement nouveaux, six d’entre eux étant évalués à plus de 5 milliards de dollars ». En tête de liste figure un projet d’hydrogène vert en Mauritanie, pays moins avancé d’Afrique du nord-ouest. « Ce projet devrait générer 34 milliards de dollars d’investissements, un montant plusieurs fois supérieur au PIB du pays », note le rapport.

En Amérique latine et dans les Caraïbes, l’IDE a reculé de 1%.

Concernant les pays développés, la CNUCED note l’impact de la mise en place d’un taux d’imposition mondial sur les bénéfices des sociétés multinationales.

« Les flux vers les pays développés ont été fortement affectés par les transactions financières des entreprises multinationales, motivées en partie » par la mise en place de cette taxe. Les flux vers la plupart des régions d’Europe et d’Amérique du Nord ont diminué respectivement de 14% et de 5%.

Un autre baromètre, publié début mai par le cabinet EY, a révélé que, pour la cinquième année consécutive, la France a conservé sa couronne de pays le plus attractif pour les projets d’investissements étrangers. Ainsi, 1.194 projets d’implantation ou d’extension de sites ont été annoncés l’an dernier contre 985 pour le Royaume-Uni et 733 pour l’Allemagne.

 

Plus de 5000 policiers blessés par violence en 2023

Plus de 5000 policiers blessés par violence en 2023

Signe sans doute du délitement de la société française et de l’affaiblissement de l’État plus de 5000 policiers ont encore été blessés suite à des violences en 2023. 
Selon un bilan que dévoile Le Figaro, pas moins de 5492 policiers ont été blessés par des violences en 2023, soit une moyenne de quinze par jour. Insultés dans la rue, molestés lors des manifestations, renversés par des chauffards, piégés dans des guets-apens au pied des immeubles des cités et maintenant attaqués dans le cœur d’un hôtel de police. L’affaire des deux policiers grièvement blessés par balle, jeudi soir, dans les murs même du commissariat du 13e arrondissement de Paris, démontre que ce qui devrait être l’ultime sanctuaire des forces de l’ordre n’est plus inviolable.

Intervenant sur l’agression au cutter d’une femme de 73 ans dans un appartement, la patrouille a dû enfoncer la porte d’entrée et utiliser un pistolet à impulsions électriques à plusieurs reprises avant de maîtriser le forcené, qui serait d’origine asiatique. C’est après l’avoir ramené au commissariat vers 22 heures pour le faire souffler dans un éthylotest que ce dernier, pris de furie, s’est emparé d’une arme de service. Coup sur coup, il a touché un agent à la jambe, puis un second à hauteur de l’abdomen. Le pronostic vital de ce dernier était toujours engagé.

 

Retraite des cheminots : remise en cause de la réforme des retraites de 2023

Retraite des cheminots : remise en cause de la réforme des retraites de 2023La direction a signé lundi avec les syndicats un compromis qui efface une partie de la réforme des retraites de 2023.. La réforme des retraites de 2023 a décalé de deux ans l’âge légal de départ à la retraite en France pour les salariés du privé et les fonctionnaires (le plus souvent de 62 à 64 ans), ainsi que pour les bénéficiaires des régimes spéciaux.

À la SNCF, cet âge est donc passé de 52 à 54 ans pour les agents de conduite, et de 57 à 59 ans pour les autres personnels au statut. Mais, en pratique, les personnels de la vieille dame ferroviaire, déjà avantagés, vont avoir la possibilité de partir encore plus tôt.

La SNCF  a signé lundi un accord avec ses quatre syndicats représentatifs sur les fins de carrière, qui annule une partie des efforts demandés par la réforme de 2023.

Barbarie- Iran: 853 exécutions par le pouvoir chiite en 2023

Barbarie- Iran: 853 exécutions par le pouvoir chiite en 2023

853 exécutions,  une augmentation de 48% par rapport à 2022 et de 172% par rapport à 2021, rapporte  Amnesty , qui appelle la communauté internationale à prendre des mesures afin de «mettre un terme à l’effroyable vague d’exécutions»

Des exécutions en lien avec la montée de la  contestation qui  a secoué l’Iran pendant des mois après la mort en détention en septembre 2022 d’une jeune Kurde iranienne, Mahsa Amini, arrêtée par la police des mœurs pour non respect du strict code vestimentaire islamique. Neuf personnes ont été exécutées en lien avec ce soulèvement, selon des ONG.

Amnesty dénonce «les politiques meurtrières de lutte contre la drogue de la République islamique», et relève que nombre d’«opposants et des membres de minorités ethniques opprimées figurent parmi les personnes exécutées», comme les Baloutches. L’année 2023 «a également été marquée par une intensification choquante de l’application de la peine de mort à des mineurs délinquants, avec l’exécution d’un garçon de 17 ans et de quatre jeunes condamnés pour des crimes commis alors qu’ils étaient âgés de moins de 18 ans», constate l’organisation.

La Nobel de la paix iranienne Narges Mohammadi, incarcérée depuis 2021 à Téhéran, a réclamé lundi «une pression systématique et globale» contre l’Iran face au durcissement de la «répression», dénoncée à l’ONU par des dizaines de pays et ONG. «Je m’adresse à vous avec une grande inquiétude», affirme Narges Mohammadi dans sa déclaration lue par l’ONG Ensemble contre la Peine de Mort lors de débats au Conseil des droits de l’homme (CDH) sur l’Iran.

 

 

Quelle « compétitivité » avec 59 000 nouveaux fonctionnaires en 2023 !

Quelle « compétitivité » avec  59 000 nouveaux fonctionnaires en 2023 !

 

Si certains secteurs souffrent également d’un manque d’effectifs par contre globalement le nombre de fonctionnaires étouffent complètement la compétitivité de l’économie et plombe les finances publiques. Pour remédier à cette situation il faudrait évidemment remettre en cause  les missions de l’État et les moyens de l’assurer. C’est la dramatique faiblesse de la France avec son armée de fonctionnaires à tous les niveaux nationaux, régionaux, départementaux et locaux qui explique les difficultés et les déficits structurels. Une armée qui pèse évidemment lourdement sur les finances publiques mais qui en outre génère procédures kafkaïennes dans tous les secteurs de la vie économique et sociale voir sociétale ( exemple les mineurs isolés). Le problème des fonctionnaires est existentielle; les effectifs justifient et nourrissent l’objet social. Plus personne dans l’Etat ne parvient à maîtriser le phénomène. Et pas davantage au plan local avec notamment des armées de jardiniers jusque dans les plus petites communes avec évidemment le double au moins d’effectifs qui seraient nécessaires. Comme si faire pousser les jonquilles relevaient des missions régaliennes.

Selon les chiffres publiés par l’Insee, jeudi 29 février, l’emploi salarié dans la fonction publique augmente de nouveau sur un an, avec une augmentation de + 0,4 % (soit la création de 24 500 emplois) au quatrième trimestre, après une augmentation de 0,2 % au trimestre précédent (+ 9 300 emplois). En tout, il dépasse de 1 % son niveau de l’année dernière, avec une augmentation de 58 700 fonctionnaires, et de 1,8 % son niveau d’avant la crise sanitaire (+ 104 400 emplois).

Ainsi, l’emploi salarié total a augmenté de 0,6 %, soit 150 000 postes en plus, dont 0,4 % dans le privé. Par rapport à fin 2019, avant la crise sanitaire, l’augmentation est de 5 % avec près de 1,3 million d’emplois supplémentaires. Durant les trois derniers mois de 2023, l’emploi salarié est resté stable, avec une très légère hausse du nombre d’emplois (+ 11 900) par rapport au trimestre précédent.

Quelle « compétitivité » avec 59 000 nouveaux fonctionnaires en 2023 !

 Quelle « compétitivité » avec  59 000 nouveaux fonctionnaires en 2023 !

 

Si certains secteurs souffrent également d’un manque d’effectifs par contre globalement le nombre de fonctionnaires étouffent complètement la compétitivité de l’économie et plombe les finances publiques. Pour remédier à cette situation il faudrait évidemment remettre en cause tellement les missions de l’État et les moyens de l’assurer. C’est la dramatique faiblesse de la France avec son armée de fonctionnaires à tous les niveaux nationaux, régionaux, départementaux et locaux qui explique les difficultés et les déficits structurels. Une armée qui pèse évidemment lourdement sur les finances publiques mais qui en outre génère procédures kafkaïennes dans tous les secteurs de la vie économique et sociale voir sociétale ( exemple les mineurs isolés). Le problème des fonctionnaires est existentielle les effectifs justifient et nourrisse l’objet social. Plus personne dans l’état ne parvient à maîtriser le phénomène.

Selon les chiffres publiés par l’Insee, jeudi 29 février, l’emploi salarié dans la fonction publique augmente de nouveau sur un an, avec une augmentation de + 0,4 % (soit la création de 24 500 emplois) au quatrième trimestre, après une augmentation de 0,2 % au trimestre précédent (+ 9 300 emplois). En tout, il dépasse de 1 % son niveau de l’année dernière, avec une augmentation de 58 700 fonctionnaires, et de 1,8 % son niveau d’avant la crise sanitaire (+ 104 400 emplois).

Ainsi, l’emploi salarié total a augmenté de 0,6 %, soit 150 000 postes en plus, dont 0,4 % dans le privé. Par rapport à fin 2019, avant la crise sanitaire, l’augmentation est de 5 % avec près de 1,3 million d’emplois supplémentaires. Durant les trois derniers mois de 2023, l’emploi salarié est resté stable, avec une très légère hausse du nombre d’emplois (+ 11 900) par rapport au trimestre précédent.

Economie- Déficit commercial français : encore 100 milliards en 2023

Economie- Déficit commercial français : encore 100 milliards en 2023

Un déficit commercial attendu autour de 100 milliards d’euros, il révèle en fait la chute de compétitivité française.

Le déficit sur les échanges en biens s’est ainsi creusé de près de 47 milliards d’euros entre 2019 et 2023, dont 27 milliards pour le déficit énergétique et 21 milliards pour les produits manufacturés. Au sein de l’Europe, la France perd du terrain : sa part dans les exportations de la zone euro a diminué de 0,9 point pour les biens et services (-1 point pour les biens, -0,6 point pour les services) pendant ces quatre ans.
«La faiblesse de notre commerce extérieur sur les produits manufacturés reflète un manque structurel de compétitivité de notre base industrielle», jugent les économistes de Rexecode. La sentence semble sévère alors que l’exécutif a fait de la bataille pour la compétitivité l’un de ces mantras depuis 2017. Les chiffres l’étayent pourtant. La compétitivité-prix du pays s’est dégradée depuis 2019, autrement dit le coût des exportations françaises augmente plus vite que celles des autres pays européens.

«Les enquêtes de compétitivité hors prix indiquent, édition après édition, que les produits français sont jugés comme étant plutôt de bonne qualité mais aussi comme trop chers par rapport à cette qualité, ce qui renvoie à la question de la compétitivité prix», indique encore le rapport de Rexecode.

«Les enquêtes de compétitivité hors prix indiquent, édition après édition, que les produits français sont jugés comme étant plutôt de bonne qualité mais aussi comme trop chers par rapport à cette qualité, ce qui renvoie à la question de la compétitivité prix», indique encore le rapport de Rexecode.

Déficit commercial français : encore 100 milliards en 2023

Déficit commercial français : encore 100 milliards en 2023

Un déficit commercial attendu autour de 100 milliards d’euros, il révèle en fait la chute de compétitivité française. (
Le déficit sur les échanges en biens s’est ainsi creusé de près de 47 milliards d’euros entre 2019 et 2023, dont 27 milliards pour le déficit énergétique et 21 milliards pour les produits manufacturés. Au sein de l’Europe, la France perd du terrain : sa part dans les exportations de la zone euro a diminué de 0,9 point pour les biens et services (-1 point pour les biens, -0,6 point pour les services) pendant ces quatre ans.
«La faiblesse de notre commerce extérieur sur les produits manufacturés reflète un manque structurel de compétitivité de notre base industrielle», jugent les économistes de Rexecode. La sentence semble sévère alors que l’exécutif a fait de la bataille pour la compétitivité l’un de ces mantras depuis 2017. Les chiffres l’étayent pourtant. La compétitivité-prix du pays s’est dégradée depuis 2019, autrement dit le coût des exportations françaises augmente plus vite que celles des autres pays européens.

«Les enquêtes de compétitivité hors prix indiquent, édition après édition, que les produits français sont jugés comme étant plutôt de bonne qualité mais aussi comme trop chers par rapport à cette qualité, ce qui renvoie à la question de la compétitivité prix», indique encore le rapport de Rexecode.

«Les enquêtes de compétitivité hors prix indiquent, édition après édition, que les produits français sont jugés comme étant plutôt de bonne qualité mais aussi comme trop chers par rapport à cette qualité, ce qui renvoie à la question de la compétitivité prix», indique encore le rapport de Rexecode.

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