Archive pour le Tag '2022'

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CAC 40: 142 milliards d’euros de bénéfices en 2022

CAC 40: 142 milliards d’euros de bénéfices en 2022

On peut légitimement s’interroger sur les facteurs explicatifs des exceptionnels profits du CAC 40. En fait il y a bien deux facteurs explicatifs majeurs, d’une part la reprise économique mais aussi l’envolée de l’inflation. Une envolée de l’inflation qui a permis aux grandes entreprises d’augmenter en toute discrétion prix et profits. Remarquons que parallèlement les consommateurs ont dû régler une facture d’inflation presque équivalente aux profits du CAC. Pour partie en tout cas un mécanisme de transfert et de vase communiquant ! L’exemple plus significatif étend celui de Total. Sur le plan monétaire les banques centrales ont inondé le marché de liquidités gratuites qui ont soutenu la demande et nourrit l’inflation productrice de profits pour les grandes entreprises mais maintenant de perte de pouvoir d’achat pour les consommateurs.

Grâce à une année exceptionnelle dans les secteurs du luxe et de l’énergie, les 40 plus importantes entreprises françaises cotées à la bourse de Paris ont dégagé 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés en 2022, une baisse de 9% par rapport à l’année précédente
Le quartier d’affaires de La Défense

Les entreprises françaises du CAC 40 affichent une santé de fer. En 2022, elles ont dégagé 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés, notamment en raison de résultats exceptionnels dans les secteurs du luxe et de l’énergie, selon un calcul réalisé par l’AFP et relayé par La Voix du Nord ce jeudi 9 mars. Des résultats qui sont néanmoins en baisse de 9 % par rapport à l’année 2021, lors de laquelle ces entreprises avaient dégagé près de 156 milliards d’euros de bénéfices.

Au total, le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1 729 milliards d’euros pour l’année 2022, rapporte le quotidien de presse régionale. Un chiffre d’affaires en hausse de 19 % sur un an, notamment porté par la hausse des prix pour de nombreuses entreprises. Il est cependant important de noter que le calcul réalisé par l’AFP n’inclut pas les résultats de Pernod-Ricard et Alstom, car ces deux entreprises ont des exercices comptables décalés.

Energie et luxe. Parmi les entreprises françaises du CAC 40, TotalEnergies est celle qui se porte le mieux, avec un résultat net record de 19,5 milliards d’euros en 2022. Plus généralement, le secteur de l’énergie se porte bien en 2022, avec 23,2 milliards d’euros de bénéfices au total, soit une hausse de 14 % par rapport à 2021. Malgré d’importants coûts en lien avec la guerre en Ukraine, les entreprises du secteur ont pu profiter d’une hausse des prix de l’énergie provoquée elle aussi par le conflit ukrainien, mais aussi par la reprise de l’activité après la pandémie de Covid-19.

Le secteur du luxe, représenté par les entreprises LVMH, Kering, Hermès et L’Oréal, affiche lui aussi de très bons résultats pour l’année 2022, avec des bénéfices en hausse de 23 % sur un an, ce qui représente 4,5 milliards d’euros de bénéfices supplémentaires. Logiquement, les reversements aux actionnaires augmentent aussi. Des chiffres qui devraient, sans surprise, relancer le débat autour de la taxation des superprofits des entreprises.

Une bonne croissance en 2022 qui s’est écroulée en fin d’année

Une bonne croissance en 2022 qui s’est écroulée en fin d’année

Une bonne tenue de la croissance française à 2,6% l’an dernier, selon les chiffres définitifs de l’Insee révélés ce mardi. Elle a en revanche encore ralenti au quatrième trimestre 2022, connaissant une légère hausse de 0,1%.

Cette tendance à la baisse devrait vraisemblablement se poursuivre cette année. L’Insee prévoit en effet une croissance seulement légèrement positive au premier semestre 2023, avec +0,2% prévu au premier trimestre comme au deuxième. L’institut national de la statistique n’a pas encore fourni d’estimation sur l’année entière. Le gouvernement, lui, table sur 1% de croissance sur 2023. La Banque de France est beaucoup plus pessimiste, prévoyant une croissance famélique de 0,3%.

Par ailleurs, l’Insee note que la consommation des ménages a décru au dernier trimestre 2022( 1,2 % après +0,4 %), «tirée vers le bas par la consommation en biens». Les importations ont fléchi ( 0,4 % après +4,2 %), «du fait de la baisse des importations énergétiques», et les exportations ont ralenti (+0,5 % après +1,0 %), «du fait des produits manufacturés». Ainsi, «la contribution du commerce extérieur à l’évolution du PIB est donc positive», observe l’Insee (+0,3 point après 1,1 point).

Hausses des violences en 2022, la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Hausses des violences en 2022, la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Comme nombre de ses prédécesseurs, à commencer par Sarkozy mais aussi bien d’autres, le ministre de l’intérieur se caractérise surtout par des déclarations tapageuses mais par une action molle qui en quelque sorte favorise encore davantage la délinquance. La quasi-totalité des crimes et délits ont en effet augmenté en 2022, selon un rapport publié par le service statistique du ministère de l’Intérieur. Pour l’essayiste et juriste Amine Elbahi, ces chiffres montrent que des pans entiers du territoire sont hors de contrôle.

Amine Elbahi est juriste en droit public, chargé d’enseignement en droit à l’université de Lille, et auteur du livre Je ne me tairai pas ! (Robert Laffont 2022). Il a été candidat LR dans le Nord lors des dernières législatives.

Le ministère de l’Intérieur a publié les chiffres sur la montée de l’insécurité et de la délinquance en 2022. Selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur publié le mardi 31 janvier 2023, en France, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022. Une lecture juste et responsable de ces chiffres doit nous amener à rester lucide, en pensant d’ores et déjà à toutes les victimes qui, par peur de représailles, par sentiment d’abandon, renoncent à poursuivre leurs bourreaux. En principe, le bilan annuel du ministère de l’Intérieur est établi à partir de deux types de données : les plaintes et les signalements enregistrés par les policiers et gendarmes, ainsi que les enquêtes de victimation, qui permettent d’enrichir les faits comptabilisés par les forces de l’ordre, étant donné que toutes les victimes ne déposent pas toujours plainte.

En 2022, pourtant, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’en est donné à cœur joie pour se satisfaire de la baisse des faits de délinquance observés en 2021, en omettant de préciser que la crise sanitaire était passée par là et que le travail des policiers et des gendarmes avait considérablement changé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes et la réalité refait surface : le rapport démontre l’explosion du nombre de victimes de coups et blessures volontaires (+15%), des violences intrafamiliales (+17 %) et sexuelles (+11 %). Les hausses s’observent dans la continuité de celles observées avant la crise sanitaire pour les homicides, les coups et blessures volontaires, les vols de véhicules et les escroqueries enregistrés par la police et la gendarmerie.
Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État.

Personne ne peut oublier la volonté délibérée du gouvernement de masquer les chiffres et les faits. Le ministère de l’Intérieur ne produit plus de chiffres globaux depuis 2016. En supprimant l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, le gouvernement a scindé les résultats en deux. Ce ne sont que des échantillons focalisés sur certains crimes et délits, triés sur le volet, qui sont communiqués aux Français. Chacun pourra interpréter ces chiffres et leur faire dire ce que l’on a envie de dire.
Il faut aussi regarder ce que ces chiffres ne disent pas. Plusieurs questions relevant du ministère de l’Intérieur sont d’ores et déjà exclues. Le lien entre l’explosion de la violence et la montée de l’immigration incontrôlée y est soigneusement écarté dans la mesure où la situation administrative des auteurs de ces crimes et délits n’est pas communiquée, pas plus que la part d’auteur d’une infraction pénale faisant l’objet d’une OQTF.
Aujourd’hui, c’est l’indifférenciation de ceux qui nous dirigent qui ne manquent pas de surprendre. Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État : les départements du Nord, de Seine-Saint-Denis, de Paris, des Bouches-du-Rhône sans oublier les Outre-mer.

Certains de ces territoires que l’on surnomme «perdus de la République» échappent à l’autorité de l’État. Or, ils sont acteurs plus que d’autres territoires de la hausse de ces chiffres. De ce constat découle la stratégie que l’État doit mettre en place pour remettre la France en ordre. Une stratégie segmentée et territorialisée, fondée sur la confiance avec les maires et les préfets. Sans oublier les actes de délinquance constatés par les 20.000 agents de police municipale qui assurent dans nombre de villes, la quasi-totalité de la police de la voie publique, en faisant payer aux Français deux fois le même service. Nous pouvons y parvenir si nous acceptons collectivement que les policiers et les gendarmes deviennent ce trait d’union entre les villes et l’État, en leur témoignant la considération de la Nation.
Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos.

Aux forces de l’ordre, nous leur devons respect et reconnaissance. Respect, en faisant en sorte que le fruit de leurs efforts aboutisse à la condamnation pénale des auteurs de crimes et de délits. Reconnaissance, en revalorisant les carrières des services accomplis en zones difficiles. Il y a cependant un maillon abîmé dans la chaîne pénale qui nécessite d’être réparée. Le nombre de condamnations pénales auxquelles ont débouché les infractions constatées par les forces de l’ordre doit être communiqué aux Français. Parmi ces infractions, combien d’affaires ont été réellement poursuivies par l’autorité judiciaire et combien d’auteurs de ces crimes et délits sont restés impunis ? Combien de Français ont renoncé à déposer plainte, découragés par la réponse de l’État face aux crimes et aux délits, découragés face à un service public du dépôt des plaintes surchargé ?

Preuve en est sur les chiffres, l’échec d’Emmanuel Macron à bâtir une société fondée sur la confiance avec les Français, c’est d’abord l’échec du gouvernement qui dispose de l’administration, bras armé de l’État, et qui n’a pas atteint son obligation de résultat. Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos. De la sécurité de tout un peuple dépend le rayonnement de la France dans le monde, notre art de vivre, notre culture et, plus généralement, la pérennité de notre civilisation.
Il faudra bien, un jour, soumettre la question politique au choix souverain des Français. Acceptons-nous de faire de la sécurité des Français une priorité nationale pour le pays ? Parce que les idées des électeurs de droite sont les mêmes. Parce que nous surmontons, avec les Français, les mêmes crises. Que nos politiques entendent les cris des citoyens et brisent les barrières du politiquement correct en se stigmatisant l’un et l’autre.

Sécurité- Explosion des violences en 2022: la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Sécurité- Explosion des violences en 2022: la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Comme nombre de ses prédécesseurs, à commencer par Sarkozy mais aussi bien d’autres, le ministre de l’intérieur se caractérise surtout par des déclarations tapageuses mais par une action molle qui en quelque sorte favorise encore davantage la délinquance. La quasi-totalité des crimes et délits ont en effet augmenté en 2022, selon un rapport publié par le service statistique du ministère de l’Intérieur. Pour l’essayiste et juriste Amine Elbahi, ces chiffres montrent que des pans entiers du territoire sont hors de contrôle.

Amine Elbahi est juriste en droit public, chargé d’enseignement en droit à l’université de Lille, et auteur du livre Je ne me tairai pas ! (Robert Laffont 2022). Il a été candidat LR dans le Nord lors des dernières législatives.

Le ministère de l’Intérieur a publié les chiffres sur la montée de l’insécurité et de la délinquance en 2022. Selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur publié le mardi 31 janvier 2023, en France, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022. Une lecture juste et responsable de ces chiffres doit nous amener à rester lucide, en pensant d’ores et déjà à toutes les victimes qui, par peur de représailles, par sentiment d’abandon, renoncent à poursuivre leurs bourreaux. En principe, le bilan annuel du ministère de l’Intérieur est établi à partir de deux types de données : les plaintes et les signalements enregistrés par les policiers et gendarmes, ainsi que les enquêtes de victimation, qui permettent d’enrichir les faits comptabilisés par les forces de l’ordre, étant donné que toutes les victimes ne déposent pas toujours plainte.

En 2022, pourtant, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’en est donné à cœur joie pour se satisfaire de la baisse des faits de délinquance observés en 2021, en omettant de préciser que la crise sanitaire était passée par là et que le travail des policiers et des gendarmes avait considérablement changé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes et la réalité refait surface : le rapport démontre l’explosion du nombre de victimes de coups et blessures volontaires (+15%), des violences intrafamiliales (+17 %) et sexuelles (+11 %). Les hausses s’observent dans la continuité de celles observées avant la crise sanitaire pour les homicides, les coups et blessures volontaires, les vols de véhicules et les escroqueries enregistrés par la police et la gendarmerie.
Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État.

Personne ne peut oublier la volonté délibérée du gouvernement de masquer les chiffres et les faits. Le ministère de l’Intérieur ne produit plus de chiffres globaux depuis 2016. En supprimant l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, le gouvernement a scindé les résultats en deux. Ce ne sont que des échantillons focalisés sur certains crimes et délits, triés sur le volet, qui sont communiqués aux Français. Chacun pourra interpréter ces chiffres et leur faire dire ce que l’on a envie de dire.
Il faut aussi regarder ce que ces chiffres ne disent pas. Plusieurs questions relevant du ministère de l’Intérieur sont d’ores et déjà exclues. Le lien entre l’explosion de la violence et la montée de l’immigration incontrôlée y est soigneusement écarté dans la mesure où la situation administrative des auteurs de ces crimes et délits n’est pas communiquée, pas plus que la part d’auteur d’une infraction pénale faisant l’objet d’une OQTF.
Aujourd’hui, c’est l’indifférenciation de ceux qui nous dirigent qui ne manquent pas de surprendre. Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État : les départements du Nord, de Seine-Saint-Denis, de Paris, des Bouches-du-Rhône sans oublier les Outre-mer.

Certains de ces territoires que l’on surnomme «perdus de la République» échappent à l’autorité de l’État. Or, ils sont acteurs plus que d’autres territoires de la hausse de ces chiffres. De ce constat découle la stratégie que l’État doit mettre en place pour remettre la France en ordre. Une stratégie segmentée et territorialisée, fondée sur la confiance avec les maires et les préfets. Sans oublier les actes de délinquance constatés par les 20.000 agents de police municipale qui assurent dans nombre de villes, la quasi-totalité de la police de la voie publique, en faisant payer aux Français deux fois le même service. Nous pouvons y parvenir si nous acceptons collectivement que les policiers et les gendarmes deviennent ce trait d’union entre les villes et l’État, en leur témoignant la considération de la Nation.
Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos.

Aux forces de l’ordre, nous leur devons respect et reconnaissance. Respect, en faisant en sorte que le fruit de leurs efforts aboutisse à la condamnation pénale des auteurs de crimes et de délits. Reconnaissance, en revalorisant les carrières des services accomplis en zones difficiles. Il y a cependant un maillon abîmé dans la chaîne pénale qui nécessite d’être réparée. Le nombre de condamnations pénales auxquelles ont débouché les infractions constatées par les forces de l’ordre doit être communiqué aux Français. Parmi ces infractions, combien d’affaires ont été réellement poursuivies par l’autorité judiciaire et combien d’auteurs de ces crimes et délits sont restés impunis ? Combien de Français ont renoncé à déposer plainte, découragés par la réponse de l’État face aux crimes et aux délits, découragés face à un service public du dépôt des plaintes surchargé ?

Preuve en est sur les chiffres, l’échec d’Emmanuel Macron à bâtir une société fondée sur la confiance avec les Français, c’est d’abord l’échec du gouvernement qui dispose de l’administration, bras armé de l’État, et qui n’a pas atteint son obligation de résultat. Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos. De la sécurité de tout un peuple dépend le rayonnement de la France dans le monde, notre art de vivre, notre culture et, plus généralement, la pérennité de notre civilisation.
Il faudra bien, un jour, soumettre la question politique au choix souverain des Français. Acceptons-nous de faire de la sécurité des Français une priorité nationale pour le pays ? Parce que les idées des électeurs de droite sont les mêmes. Parce que nous surmontons, avec les Français, les mêmes crises. Que nos politiques entendent les cris des citoyens et brisent les barrières du politiquement correct en se stigmatisant l’un et l’autre.

Explosion des violences en 2022: la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Explosion des violences en 2022: la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Comme nombre de ses prédécesseurs, à commencer par Sarkozy mais aussi bien d’autres, le ministre de l’intérieur se caractérise surtout par des déclarations tapageuses mais par une action molle qui en quelque sorte favorise encore davantage la délinquance. La quasi-totalité des crimes et délits ont en effet augmenté en 2022, selon un rapport publié par le service statistique du ministère de l’Intérieur. Pour l’essayiste et juriste Amine Elbahi, ces chiffres montrent que des pans entiers du territoire sont hors de contrôle.

Amine Elbahi est juriste en droit public, chargé d’enseignement en droit à l’université de Lille, et auteur du livre Je ne me tairai pas ! (Robert Laffont 2022). Il a été candidat LR dans le Nord lors des dernières législatives.

Le ministère de l’Intérieur a publié les chiffres sur la montée de l’insécurité et de la délinquance en 2022. Selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur publié le mardi 31 janvier 2023, en France, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022. Une lecture juste et responsable de ces chiffres doit nous amener à rester lucide, en pensant d’ores et déjà à toutes les victimes qui, par peur de représailles, par sentiment d’abandon, renoncent à poursuivre leurs bourreaux. En principe, le bilan annuel du ministère de l’Intérieur est établi à partir de deux types de données : les plaintes et les signalements enregistrés par les policiers et gendarmes, ainsi que les enquêtes de victimation, qui permettent d’enrichir les faits comptabilisés par les forces de l’ordre, étant donné que toutes les victimes ne déposent pas toujours plainte.

En 2022, pourtant, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’en est donné à cœur joie pour se satisfaire de la baisse des faits de délinquance observés en 2021, en omettant de préciser que la crise sanitaire était passée par là et que le travail des policiers et des gendarmes avait considérablement changé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes et la réalité refait surface : le rapport démontre l’explosion du nombre de victimes de coups et blessures volontaires (+15%), des violences intrafamiliales (+17 %) et sexuelles (+11 %). Les hausses s’observent dans la continuité de celles observées avant la crise sanitaire pour les homicides, les coups et blessures volontaires, les vols de véhicules et les escroqueries enregistrés par la police et la gendarmerie.
Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État.

Personne ne peut oublier la volonté délibérée du gouvernement de masquer les chiffres et les faits. Le ministère de l’Intérieur ne produit plus de chiffres globaux depuis 2016. En supprimant l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, le gouvernement a scindé les résultats en deux. Ce ne sont que des échantillons focalisés sur certains crimes et délits, triés sur le volet, qui sont communiqués aux Français. Chacun pourra interpréter ces chiffres et leur faire dire ce que l’on a envie de dire.
Il faut aussi regarder ce que ces chiffres ne disent pas. Plusieurs questions relevant du ministère de l’Intérieur sont d’ores et déjà exclues. Le lien entre l’explosion de la violence et la montée de l’immigration incontrôlée y est soigneusement écarté dans la mesure où la situation administrative des auteurs de ces crimes et délits n’est pas communiquée, pas plus que la part d’auteur d’une infraction pénale faisant l’objet d’une OQTF.
Aujourd’hui, c’est l’indifférenciation de ceux qui nous dirigent qui ne manquent pas de surprendre. Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État : les départements du Nord, de Seine-Saint-Denis, de Paris, des Bouches-du-Rhône sans oublier les Outre-mer.

Certains de ces territoires que l’on surnomme «perdus de la République» échappent à l’autorité de l’État. Or, ils sont acteurs plus que d’autres territoires de la hausse de ces chiffres. De ce constat découle la stratégie que l’État doit mettre en place pour remettre la France en ordre. Une stratégie segmentée et territorialisée, fondée sur la confiance avec les maires et les préfets. Sans oublier les actes de délinquance constatés par les 20.000 agents de police municipale qui assurent dans nombre de villes, la quasi-totalité de la police de la voie publique, en faisant payer aux Français deux fois le même service. Nous pouvons y parvenir si nous acceptons collectivement que les policiers et les gendarmes deviennent ce trait d’union entre les villes et l’État, en leur témoignant la considération de la Nation.
Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos.

Aux forces de l’ordre, nous leur devons respect et reconnaissance. Respect, en faisant en sorte que le fruit de leurs efforts aboutisse à la condamnation pénale des auteurs de crimes et de délits. Reconnaissance, en revalorisant les carrières des services accomplis en zones difficiles. Il y a cependant un maillon abîmé dans la chaîne pénale qui nécessite d’être réparée. Le nombre de condamnations pénales auxquelles ont débouché les infractions constatées par les forces de l’ordre doit être communiqué aux Français. Parmi ces infractions, combien d’affaires ont été réellement poursuivies par l’autorité judiciaire et combien d’auteurs de ces crimes et délits sont restés impunis ? Combien de Français ont renoncé à déposer plainte, découragés par la réponse de l’État face aux crimes et aux délits, découragés face à un service public du dépôt des plaintes surchargé ?

Preuve en est sur les chiffres, l’échec d’Emmanuel Macron à bâtir une société fondée sur la confiance avec les Français, c’est d’abord l’échec du gouvernement qui dispose de l’administration, bras armé de l’État, et qui n’a pas atteint son obligation de résultat. Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos. De la sécurité de tout un peuple dépend le rayonnement de la France dans le monde, notre art de vivre, notre culture et, plus généralement, la pérennité de notre civilisation.
Il faudra bien, un jour, soumettre la question politique au choix souverain des Français. Acceptons-nous de faire de la sécurité des Français une priorité nationale pour le pays ? Parce que les idées des électeurs de droite sont les mêmes. Parce que nous surmontons, avec les Français, les mêmes crises. Que nos politiques entendent les cris des citoyens et brisent les barrières du politiquement correct en se stigmatisant l’un et l’autre.

Economie-Faillite d’entreprises : très forte augmentation en 2022

Economie-Faillite d’entreprises : très forte augmentation en 2022

Les défaillances ont bondi de 49,9% entre 2021 et 2022 pour s’établir à 42.000 (contre 28.000 en 2021, 32.000 en 2020 et 51.000 en 2019), selon les derniers chiffres dévoilés par le cabinet Altares. Les faillites ont grimpé en flèche dans toutes les régions françaises. Le débranchement progressif des aides du « quoi qu’il en coûte », la guerre en Ukraine et le coup de frein de l’économie ont allongé les files d’attente dans les tribunaux de commerce. Les PME et jeunes entreprises, fragilisées par les longues années de pandémie, sont les plus menacées par la poursuite de la crise énergétique en 2023 et les menaces de récession.

 

Selon un bilan d’Altares dévoilé ce mardi 17 janvier, le nombre de faillites d’entreprises s’est envolé de 50% entre 2021 et 2022, mais sans retrouver son niveau d’avant-Covid. Le cabinet a enregistré 42.500 faillites l’année dernière, contre 28.371 en 2021 et 32.280 en 2020, mais encore assez loin des 52.144 de 2019.

« Sur 2022, le nombre de 42.000 reste en deçà de celui d’avant Covid [52.144 en 2019]. Sur le chiffre de 50%, il s’agit d’un record. Cela signifie que sur chaque mois, il y a eu une forte hausse », détaille Thierry Millon, directeur des études chez Altares interrogé par La Tribune.

 « Depuis la fin 2021, il y a eu une amorce des hausses de défauts dans les entreprises. C’est plus difficile depuis le début de l’année 2022. Cette tendance lourde, qui ne s’est pas démentie en fin d’année 2022, nous embarque sur une trajectoire inconfortable en 2023 », a ajouté Thierry Millon.

Les plus grandes entreprises sont loin d’être épargnées avec une hausse de 28%, mais ce chiffre reste très en deçà de la moyenne nationale (+50%). Sur le front de l’emploi, le nombre d’emplois menacés a bondi à plus de 140.000 l’année dernière, contre moins de 100.000 en 2021.

Les entreprises entament 2023 dans un contexte économique particulièrement dégradé. La plupart des économistes et instituts de conjoncture ont révisé à la baisse leurs prévisions de croissance ces derniers mois et le spectre d’une récession en Europe se renforce de jour en jour.

Faillite d’entreprises : très forte croissance en 2022

Faillite d’entreprises : très forte croissance en 2022

Les défaillances ont bondi de 49,9% entre 2021 et 2022 pour s’établir à 42.000 (contre 28.000 en 2021, 32.000 en 2020 et 51.000 en 2019), selon les derniers chiffres dévoilés par le cabinet Altares. Les faillites ont grimpé en flèche dans toutes les régions françaises. Le débranchement progressif des aides du « quoi qu’il en coûte », la guerre en Ukraine et le coup de frein de l’économie ont allongé les files d’attente dans les tribunaux de commerce. Les PME et jeunes entreprises, fragilisées par les longues années de pandémie, sont les plus menacées par la poursuite de la crise énergétique en 2023 et les menaces de récession.

 

Selon un bilan d’Altares dévoilé ce mardi 17 janvier, le nombre de faillites d’entreprises s’est envolé de 50% entre 2021 et 2022, mais sans retrouver son niveau d’avant-Covid. Le cabinet a enregistré 42.500 faillites l’année dernière, contre 28.371 en 2021 et 32.280 en 2020, mais encore assez loin des 52.144 de 2019.

« Sur 2022, le nombre de 42.000 reste en deçà de celui d’avant Covid [52.144 en 2019]. Sur le chiffre de 50%, il s’agit d’un record. Cela signifie que sur chaque mois, il y a eu une forte hausse », détaille Thierry Millon, directeur des études chez Altares interrogé par La Tribune.

 « Depuis la fin 2021, il y a eu une amorce des hausses de défauts dans les entreprises. C’est plus difficile depuis le début de l’année 2022. Cette tendance lourde, qui ne s’est pas démentie en fin d’année 2022, nous embarque sur une trajectoire inconfortable en 2023 », a ajouté Thierry Millon.

Les plus grandes entreprises sont loin d’être épargnées avec une hausse de 28%, mais ce chiffre reste très en deçà de la moyenne nationale (+50%). Sur le front de l’emploi, le nombre d’emplois menacés a bondi à plus de 140.000 l’année dernière, contre moins de 100.000 en 2021.

Les entreprises entament 2023 dans un contexte économique particulièrement dégradé. La plupart des économistes et instituts de conjoncture ont révisé à la baisse leurs prévisions de croissance ces derniers mois et le spectre d’une récession en Europe se renforce de jour en jour.

Renault : un recul des ventes de près de 15% en 2022

Renault : un recul des ventes de près de 15% en 2022

La marque Renault voit ses ventes reculer de 14,6 % en 2022.. Elle conserve néanmoins la deuxième place sur le marché français des véhicules particuliers, derrière Peugeot. Pour 2023, le constructeur mise sur sa gamme hybride et électrique pour assurer sa croissance et prévoit quatre lancements « importants ».

 

Avec 1.466.729 véhicules vendus en 2022, la marque Renault enregistre un recul de 14,6% par rapport à 2021 (1.751.000 de ventes), a indiqué le constructeur ce mardi.

Renault voit ainsi ses ventes reculer plus vite que la moyenne du marché, mais reste sur le podium des ventes électriques européennes, derrière Tesla et Volkswagen. « On a vendu tout ce qu’on a produit », et les portefeuilles de commandes sont encore bien remplis, a indiqué le directeur exécutif de la marque, Fabrice Cambolive, lors d’une conférence de presse.

Hors d’Europe, les ventes sont stables par rapport à 2021

Chaleur : record historique 2015 à 2022

 

Chaleur  : record historique  2015 à 2022 

Record de chaleur historique et de façon mécanique record aussi d’effet de serre.

L’an dernier, la température moyenne mondiale était d’environ 1,2°C de plus que durant la période de référence 1850-1900, selon le service européen Copernicus sur le changement climatique (C3S). Plusieurs régions du globe ont connu une année record comme l’Europe occidentale, le Moyen-Orient, la Chine ou la Corée du Sud. Mais la «vision d’ensemble» est plus importante que les anomalies annuelles, a rappelé mardi lors d’une conférence de presse Carlo Buontempo, directeur du C3S: car si 2016 reste l’année la plus chaude, «2022 s’inscrit dans la lignée des huit dernières années, qui sont les huit plus chaudes jamais enregistrées à l’échelle de la planète», toutes ayant enregistré au moins +1 °C par rapport à l’ère préindustrielle.

Chaleur  : record historique  2015 à 2022  dans environnement

Les températures moyennes augmentent plus vite au niveau des pôles; selonune étude publiée dans la revue Communications Earth & Environment, l’Arctique s’est même réchauffé près de quatre fois plus vite que le reste du monde lors des quarante dernières années. . En Antarctique, en février dernier, la glace a atteint son étendue la plus faible en 44 ans d’enregistrement par satellite à cette période de l’année.

 

2022 est la deuxième année la plus chaude (et celle avec l’été le plus chaud) jamais enregistrée au niveau européen, mais elle figure en première place du tableau dans plusieurs pays d’Europe de l’ouest comme la France, le Royaume-Uni, l’Espagne ou le Portugal.

Selon les données du programme Copernicus, «les températures européennes ont augmenté de plus du double de la moyenne mondiale au cours des trente dernières années et le taux d’augmentation est le plus élevé de tous les continents du monde», avec +0,5°C par décennies, selon l’organisation météorologique mondiale.

 2015 ? dans environnement

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Covid France 28 DÉCEMBRE 2022 : nouvelle baisse avec +140 MORTS ET +26.081 NOUVEAUX CAS

Covid France 28 DÉCEMBRE 2022 : +140 MORTS ET +26.081 NOUVEAUX CAS

On enregistre mercredi 28 décembre 2022 :26.081 cas supplémentaires en 24h soit aul tota l1.568.638 cas confirmés, +140 MORTS en 24h soit, 161.715 morts au total

Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.469 (+6) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 132.246 (+134 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,79 le taux d’incidence à 421,26 et la tension hospitalière à 29,3 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 24.993 (-91) personnes hospitalisées et 1.483 (+36) malades en réanimation.

Bilan des régions:

Ile-de-France : 5.939 (+18) hospitalisées, 390 (+7) en réanimation et +14 décès en 24h
Grand Est : 2.167 (+9) hospitalisés, 123 (0) en réanimation et +9 décès en 24h
Hauts de France : 2.504 (+64) hospitalisés, 153 (+14) en réanimation et +8 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 2.745 (-29) hospitalisés, 156 (+4) en réanimation et +15 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.405 (+6) hospitalisé, 144 (+2) en réanimation et +18 décès en 24h
Bretagne: 971 (-29) hospitalisés, 56 (+3) en réanimation et +5 décès en 24h
Normandie : 1.100 (-21) hospitalisés, 35 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.857 (-64) hospitalisés, 137 (-7) en réanimation et +16 décès en 24h
Pays de la Loire : 743 (-24) hospitalisés, 36 (+1) en réanimation et +6 décès en 24h
Occitanie: 1.992 (+67) hospitalisés, , 137 (+16) en réanimation et +20 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 1.110 (-58) hospitalisés, 44 (-2) en réanimation et +11 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 1.113 (-24) hospitalisés, 56 (-4) en réanimation et +5 décès en 24h

Covid France le 27 décembre 2022 : baisse de l’épidémie

Covid France le 27 décembre 2022 : baisse de l’épidémie

Les chiffres du 25 décembre ne sont pas significatifs compte tenu de la fermeture des laboratoires. La tendance générale est cependant à la baisse depuis quelques jours.

On enregistre pour le 25 décembre 2022: 161.152 morts au total et aucun nouveau cas de contamination signalée.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.446 (-9) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 131.706 (-49 en 24h).
Le taux de reproductivité R est de 0,94 le taux d’incidence à 482,27 et la tension hospitalière à 28,7 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 25.218 (+99) personnes hospitalisées et 1.454 (+9) malades en réanimation.

Bilan des régions :
• Ile-de-France : 5.948 (+7) hospitalisées, 391 (+4) en réanimation et 0 décès en 24h
• Grand Est : 2.200 (+4) hospitalisés, 136 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
• Hauts de France : 2.391 (+2) hospitalisés, 135 (+1) en réanimation et 0 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 2.812 (-12) hospitalisés, 147 (0) en réanimation et +4 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.383 (+7) hospitalisé, 142 (0) en réanimation et +4 décès en 24h
• Bretagne: 988 (-9) hospitalisés, 53 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
• Normandie : 1.088 (-5) hospitalisés, 37 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.941 (-16) hospitalisés, 136 (-1) en réanimation et 0 décès en 24h
• Pays de la Loire : 738 (-18) hospitalisés, 37 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
• Occitanie: 1.929 (0) hospitalisés, , 110 (-4) en réanimation et +4 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 1.171 (+4) hospitalisés, 50 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 1.138 (+7) hospitalisés, 58 (0) en réanimation et +2 décès en 24h

Covid France 26 décembre 2022 : 158 morts supplémentaires et 43.766 nouveaux cas confirmés en 24h

Covid France 26 décembre 2022 : 158 morts supplémentaires et 43.766 nouveaux cas confirmés en 24h

On enregistre selon les dernières données vendredi 23 décembre 2022: 158 morts supplémentaires, soit 161.152 morts au total et +43.766 nouveaux cas confirmés en 24h, soit 1.676.067 cas confirmés au total.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.446 (+6) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 131.706 (+152 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,94 le taux d’incidence à 501,11 et la tension hospitalière à 28,7 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 25.218 (-177) personnes hospitalisées et 1.454 (+2) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 5.924 (+55) hospitalisées, 387 (+6) en réanimation et +18 décès en 24h
Grand Est : 2.227 (-7) hospitalisés, 138 (+1) en réanimation et +4 décès en 24h
Hauts de France : 2.355 (-47) hospitalisés, 128 (-6) en réanimation et +15 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 2.793 (-195) hospitalisés, 147 (-11) en réanimation et +30 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.402 (-23) hospitalisé, 144 (+2) en réanimation et +23 décès en 24h
Bretagne: 1.026 (+7) hospitalisés, 55 (+10) en réanimation et +10 décès en 24h
Normandie : 1.114 (+20) hospitalisés, 37 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.953 (-12) hospitalisés, 146 (+2) en réanimation et +11 décès en 24h
Pays de la Loire : 782 (+12) hospitalisés, 37 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
Occitanie: 1.965 (-11) hospitalisés, , 117 (-9) en réanimation et +16 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 1.177 (-4) hospitalisés, 48 (+5) en réanimation et +9 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 1.132 (+10) hospitalisés, 56 (+2) en réanimation et +10 décès en 24h

Covid France 23 décembre 2022 : 120 morts et 49 517 cas supplémentaires en 24 heures

Covid France 23 décembre 2022 : 120 morts et 49 517 cas supplémentaires en 24 heures

On enregistre jeudi 22 décembre 2022 :120 morts et 49 517 cas supplémentaires en 24 heures; . Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.440 (+7) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 131.554 (+113 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,94 le taux d’incidence à 521,92 et la tension hospitalière à 28,7 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 25.395 (+170) personnes hospitalisées et 1.452 (+9) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 5.869 (+73) hospitalisées, 381 (+8) en réanimation et +15 décès en 24h
Grand Est : 2.234 (+6) hospitalisés, 137 (+7) en réanimation et +15 décès en 24h
Hauts de France : 2.402 (+46) hospitalisés, 134 (0) en réanimation et +15 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 2.988 (+3) hospitalisés, 158 (0) en réanimation et +11 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.425 (+5) hospitalisé, 142 (-3) en réanimation et +10 décès en 24h
Bretagne: 1.019 (+27) hospitalisés, 45 (-4) en réanimation et +5 décès en 24h
Normandie : 1.094 (+26) hospitalisés, 37 (+2) en réanimation et +5 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.965 (+21) hospitalisés, 144 (+5) en réanimation et +6 décès en 24h
Pays de la Loire : 770 (+27) hospitalisés, 36 (-4) en réanimation et +7 décès en 24h
Occitanie: 1.976 (+3) hospitalisés, , 126 (+1) en réanimation et +11 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 1.181 (+4) hospitalisés, 43 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 1.122 (-71) hospitalisés, 54 (-3) en réanimation et +7 décès en 24h

Covid France17 décembre 2022: 56 361 supplémentaires 24h

Covid 17 décembre 2022: 56 361 supplémentaires 24h

On enregistre vendredi 16 décembre 2022 : 56 361 supplémentaires 24h , 160.359 morts au total, +131 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.415 (+6) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 130.944 (+125 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,12 le taux d’incidence à 620,75 et la tension hospitalière à 27,5 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 24.173 (+48) personnes hospitalisées et 1.393 (+19) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 5.618 (+6) hospitalisées, 355 (+4) en réanimation et +7 décès en 24h
Grand Est : 2.149 (-20) hospitalisés, 134 (+1) en réanimation et +24 décès en 24h
Hauts de France : 2.216 (-23) hospitalisés, 111 (-7) en réanimation et +12 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 2.830 (+20) hospitalisés, 159 (+1) en réanimation et +16 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.427 (+24) hospitalisé, 135 (+13) en réanimation et +23 décès en 24h
Bretagne: 835 (+15) hospitalisés, 49 (+2) en réanimation et +5 décès en 24h
Normandie : 1.030 (+10) hospitalisés, 38 (-1) en réanimation et +6 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.962 (+1) hospitalisés, 118 (+2) en réanimation et +12 décès en 24h
Pays de la Loire : 667 (+23) hospitalisés, 41 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 1.815 (-31) hospitalisés, , 137 (+6) en réanimation et +10 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 1.122 (+18) hospitalisés, 46 (0) en réanimation et +4 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 1.180 (+11) hospitalisés, 58 (-4) en réanimation et +4 décès en 24h

Covid France 16 décembre 2022 :62 541 cas supplémentaires en 24 heures

Covid France 16 décembre 2022 :62 541 cas supplémentairesen 24 heures

Découvrez les derniers chiffres concernant l’épidémie de covid-19 en France.

On enregistre jeudi 15 décembre 2022 : 62 541 cas supplémentaires 24 heures, 160.228 morts au total, +106 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.409 (+8) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 130.819 (+98 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,12 le taux d’incidence à 630,79 et la tension hospitalière à 27,2 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 24.125 (+383) personnes hospitalisées et 1.374 (+33) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 5.612 (+10) hospitalisées, 351 (+7) en réanimation et +16 décès en 24h
Grand Est : 2.169 (+56) hospitalisés, 133 (+7) en réanimation et +10 décès en 24h
Hauts de France : 2.239 (+76) hospitalisés, 118 (+5) en réanimation et +4 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 2.810 (+58) hospitalisés, 158 (+2) en réanimation et +13 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.403 (+34) hospitalisé, 122 (-1) en réanimation et +14 décès en 24h
Bretagne: 820 (-3) hospitalisés, 47 (+2) en réanimation et +4 décès en 24h
Normandie : 1.020 (+5) hospitalisés, 39 (+2) en réanimation et +4 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.961 (+33) hospitalisés, 116 (+2) en réanimation et +10 décès en 24h
Pays de la Loire : 644 (+37) hospitalisés, 38 (+4) en réanimation et +4 décès en 24h
Occitanie: 1.846 (+46) hospitalisés, , 131 (+3) en réanimation et +7 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 1.104 (+62) hospitalisés, 46 (+1) en réanimation et +5 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 1.169 (-30) hospitalisés, 62 (0) en réanimation et +5 décès en 24h

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