Archive pour le Tag '2022'

Social – Hausse du niveau de vie des Français en 2022….. d’après l’INSEE !

Social – Hausse du niveau de vie des Français en 2022….. d’après l’INSEE !

Sans doute par un miracle méthodologique, l’INSEE déclare que le niveau de vie des Français aurait augmenté de près de 200 € en moyenne en 2022 et cela en dépit de l’inflation. Il est clair que les statisticiens distingués de l’INSEE ne doivent pas faire leurs courses et leurs achats aux mêmes endroits que la plupart des autres Français. Il y a notamment une sous-estimation chronique de la hausse des produits de consommation courante. Cette sous-estimation tient aussi à la modification de la structure et du volume des achats des Français. Les consommateurs ont en effet modifié la nature et l’ampleur de leurs dépenses alors que l’indice INSEE des prix, lui, continue de prendre en compte des prix de produits que les Français n’achètent plus ou en tout cas moins. Il y a évidemment l’effet de l’augmentation de l’énergie aussi bien pour le transport que pour le chauffage.

D’après l’INSEE, niveau de vie des Français a augmenté de 190 euros en moyenne en 2022 malgré l’inflation. Les mesures socio-fiscales mises en oeuvre par l’exécutif ont permis d’amortir une partie du choc lié à l’inflation, selon l’Insee. Mais derrière cette moyenne, des disparités criantes apparaissent. Les classes moyennes ont ainsi bénéficié d’une hausse du niveau de vie (+70 euros) bien inférieures à celle des plus aisés (+280 euros) ou des plus modestes (360 euros).

Avec des calculs sans doute de coin de table, les statisticiens de l’INSEE estiment qu’avec

les chèques énergie, les indemnités carburant, la prime exceptionnelle de rentrée, la suppression de la taxe d’habitation, les Français ont bénéficié de mesures à la fois exceptionnelles et pérennes.

Au total, tous ces dispositifs ont permis un bond du revenu disponible des ménages français de 8,4 milliards d’euros, selon l’ouvrage de référence Portrait social de la France dévoilé par l’Insee ce jeudi 23 novembre.

Sur ce total, 4,6 milliards d’euros correspondent à des mesures exceptionnelles et 3,7 milliards d’euros à des mesures pérennes. Résultat, le niveau de vie des Français a augmenté de 190 euros, soit +0,7% en 2022. Mais derrière cette moyenne, il existe des disparités spectaculaires. « Les gains de niveau de vie sont plus importants pour les premiers niveaux de vie. Ils diminuent ensuite jusqu’au sixième décile. Ils réaugmentent ensuite dans le haut de la distribution », a déclaré Sylvie Le Minez, cheffe de l’Unité des études démographiques et sociales lors d’un point presse.

L’autre résultat marquant de la publication phare de l’Insee est que l’explosion des prix a provoqué une hausse des dépenses supplémentaires de 1.320 euros en moyenne par personne sur l’année. Cette hausse importante n’a cependant pas frappé les ménages de la même manière. « Rapportées au niveau de vie, ces augmentations pèsent davantage chez les plus modestes que chez les plus aisés. L’ampleur du choc est plus de deux fois plus grande pour les 10 % les plus modestes que pour les 10 % les plus aisés », soulignent les statisticiens dans leur ouvrage.

Le relèvement des niveaux de vie a certes permis de compenser une vaste partie de cette hausse en moyenne. Mais les plus modestes ont malgré tout subi un choc d’inflation plus marqué que les autres catégories. Chez les plus aisés, la hausse du niveau de vie a même surcompensé (+110) les dépenses supplémentaires liées à l’inflation. Les économistes expliquent cette surcompensation par une hausse des revenus du patrimoine particulièrement élevée.

A l’opposé, certaines mesures d’amortissement (revalorisation des allocations d’assurance-chômage, +2,9% ; de l’indice des fonctionnaires, + 3,5% ; primes) ont augmenté moins vite que l’inflation ou n’ont pas permis de compenser l’envolée des prix. Pour 2023 et 2024, l’indice des prix devrait marquer le pas dans l’Hexagone. Mais la fermeture du robinet des aides pourrait mettre en difficulté de nombreux ménages.

Hausse du niveau de vie des Français en 2022….. d’après l’INSEE !

Hausse du niveau de vie des Français en 2022….. d’après l’INSEE !

Sans doute par un miracle méthodologique, l’INSEE déclare que le niveau de vie des Français aurait augmenté de près de 200 € en moyenne en 2022 et cela en dépit de l’inflation. Il est clair que les statisticiens distingués de l’INSEE ne doivent pas faire leurs courses et leurs achats aux mêmes endroits que la plupart des autres Français. Il y a notamment une sous-estimation chronique de la hausse des produits de consommation courante. Cette sous-estimation tient aussi à la modification de la structure et du volume des achats des Français. Les consommateurs ont en effet modifié la nature et l’ampleur de leurs dépenses alors que l’indice INSEE des prix, lui, continue de prendre en compte des prix de produits que les Français n’achètent plus ou en tout cas moins. Il y a évidemment l’effet de l’augmentation de l’énergie aussi bien pour le transport que pour le chauffage.

D’après l’INSEE, niveau de vie des Français a augmenté de 190 euros en moyenne en 2022 malgré l’inflation. Les mesures socio-fiscales mises en oeuvre par l’exécutif ont permis d’amortir une partie du choc lié à l’inflation, selon l’Insee. Mais derrière cette moyenne, des disparités criantes apparaissent. Les classes moyennes ont ainsi bénéficié d’une hausse du niveau de vie (+70 euros) bien inférieures à celle des plus aisés (+280 euros) ou des plus modestes (360 euros).

Avec des calculs sans doute de coin de table, les statisticiens de l’INSEE estiment qu’avec

les chèques énergie, les indemnités carburant, la prime exceptionnelle de rentrée, la suppression de la taxe d’habitation, les Français ont bénéficié de mesures à la fois exceptionnelles et pérennes.

Au total, tous ces dispositifs ont permis un bond du revenu disponible des ménages français de 8,4 milliards d’euros, selon l’ouvrage de référence Portrait social de la France dévoilé par l’Insee ce jeudi 23 novembre.

Sur ce total, 4,6 milliards d’euros correspondent à des mesures exceptionnelles et 3,7 milliards d’euros à des mesures pérennes. Résultat, le niveau de vie des Français a augmenté de 190 euros, soit +0,7% en 2022. Mais derrière cette moyenne, il existe des disparités spectaculaires. « Les gains de niveau de vie sont plus importants pour les premiers niveaux de vie. Ils diminuent ensuite jusqu’au sixième décile. Ils réaugmentent ensuite dans le haut de la distribution », a déclaré Sylvie Le Minez, cheffe de l’Unité des études démographiques et sociales lors d’un point presse.

L’autre résultat marquant de la publication phare de l’Insee est que l’explosion des prix a provoqué une hausse des dépenses supplémentaires de 1.320 euros en moyenne par personne sur l’année. Cette hausse importante n’a cependant pas frappé les ménages de la même manière. « Rapportées au niveau de vie, ces augmentations pèsent davantage chez les plus modestes que chez les plus aisés. L’ampleur du choc est plus de deux fois plus grande pour les 10 % les plus modestes que pour les 10 % les plus aisés », soulignent les statisticiens dans leur ouvrage.

Le relèvement des niveaux de vie a certes permis de compenser une vaste partie de cette hausse en moyenne. Mais les plus modestes ont malgré tout subi un choc d’inflation plus marqué que les autres catégories. Chez les plus aisés, la hausse du niveau de vie a même surcompensé (+110) les dépenses supplémentaires liées à l’inflation. Les économistes expliquent cette surcompensation par une hausse des revenus du patrimoine particulièrement élevée.

A l’opposé, certaines mesures d’amortissement (revalorisation des allocations d’assurance-chômage, +2,9% ; de l’indice des fonctionnaires, + 3,5% ; primes) ont augmenté moins vite que l’inflation ou n’ont pas permis de compenser l’envolée des prix. Pour 2023 et 2024, l’indice des prix devrait marquer le pas dans l’Hexagone. Mais la fermeture du robinet des aides pourrait mettre en difficulté de nombreux ménages.

Patrons du CAC : une rémunération moyenne de 6,7 millions d’euros en 2022

Patrons du CAC : une rémunération moyenne de 6,7 millions d’euros en 2022

La rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 au titre de 2022 atteint 6,7 millions d’euros, soit une hausse de 29% par rapport à 2019, année antérieure à la crise sanitaire. C’est près de 90 fois la somme versée à leurs salariés, selon Proxinvest.

Proxinvest rappelle que dans ses calculs, elle intègre toutes les formes de rémunération. Ce qui inclut le fixe, le bonus annuel, les jetons de présence, les avantages en nature, les stock-options et actions gratuites de performance valorisées à leur date d’attribution, l’intéressement en numéraire et les autres formes indirectes de rémunération.

Autre ordre de grandeur qui risque de faire grincer des dents, un dirigeant du CAC 40 gagne, en moyenne, 89 fois plus que ses salariés. « Si ce chiffre s’inscrit en baisse par rapport aux 110 fois de 2021, il reste le plus élevé comparé aux autres années », précise l’AFP.

« Si les rémunérations inférieures ou égales à 0,5 million d’euros, ne sont observées que dans 2 sociétés (dont une contrôlée par l’Etat), les rémunérations supérieures à 5 millions d’euros demeurent nombreuses », précise Proxinvest. La société recense 29 cas dans le SBF 120 en 2022, après 31 en 2021 et 24 en 2019.

Immigration : record en 2022

Immigration : record en 2022

Des flux migratoires inédits «depuis au moins 15 ans». C’est le cas de la France qui a vu arriver 301.000 personnes sur cette même année. En cause la misère sociale et le manque de démocratie dans les pays d’origine, aussi le besoin de main-d’œuvre.

Travailleurs, étudiants étrangers, demandeurs d’asile… quels que soient les indicateurs, partout des records. L’immigration permanente a atteint l’an dernier un niveau historique vers les pays de l’OCDE où six millions de personnes sont entrées pour combler en partie les «pénuries de main-d’œuvre».

«l’immigration dans les pays de l’OCDE atteint des niveaux sans précédent» en 2022, selon un rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques publié ce lundi.

L’immigration de travail a représenté 54.000 personnes en 2022, «un niveau jamais vu depuis les années 1960».

L’an dernier, plus d’un pays sur trois a enregistré des flux «inédits depuis au moins 15 ans», dont la France (301.000 personnes), l’Espagne (471.000) ou la Belgique (122.000), tandis que plusieurs autres comme le Royaume-Uni (521.000) et le Canada (437.000) ont battu des records absolus, selon les données compilées dans le document.

Dans le détail, la demande d’asile a explosé, selon l’OCDE, où deux millions de nouvelles demandes ont été déposées en 2022, «soit le nombre le plus élevé jamais enregistré à ce jour». C’est deux fois plus que l’année précédente et largement supérieur aux années 2015-2016, lorsque le conflit en Syrie avait généré une vague d’exil vers l’Europe.

Une part d’autant plus prépondérante que la progression de l’immigration familiale, qui reste la principale catégorie avec quatre entrées sur dix, est surtout «due aux familles accompagnant les travailleurs immigrés», observe l’OCDE. L’an dernier, selon les données de l’organisation, près de 80% des immigrés étaient «actifs», dont 70% en emploi et moins de 8% au chômage.

Sur l’ensemble des indicateurs, anticipe l’OCDE, les données préliminaires pour 2023 laissent déjà entrevoir «une nouvelle hausse».

Insécurité RATP : 900 chauffeurs agressés en 2022


Il est clair qu’il y a de de moins en moins de règles en matière de sécurité est tout simplement de respect des personnes. Ainsi les chauffeurs de bus de la RATP sont devenus une cible pour les individus violents. Le nombre d’agressions a en effet atteint autour de 900 et augmenté d’environ 30 % en 2022. Il serait sans doute urgent d’adapter la législation, l’action de la police et les décisions de la justice face à ce véritable fléau qui décourage de prendre les transports collectifs. Les chauffeurs effectuent une mission de service public et en tant qu’agent de service public il devrait pouvoir bénéficier d’un statut qui les protège davantage de toute agression.

Le nombre d’agressions de chauffeurs du réseau autobus de la RATP a explosé en 2022, en hausse de 29% par rapport à 2021, selon un rapport d’expertise réalisé pour le comité social et économique (CSE) du réseau de surface (RDS) de la régie, qui compte actuellement 15.000 chauffeurs de bus.

«Les chauffeurs vont au travail la boule au ventre. Les agressions ont augmenté. Cela fait 20 ans que je suis à la RATP et c’est de pire en pire», s’est alarmé auprès de l’AFP Ahmed Berrahal, élu CGT, membre de la commission santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT) du CSE RDS. «Les agressions sont de plus en plus graves. On tabasse le chauffeur, on lui assène des coups de poing. Il y a à peu près trois agressions par jour. Et beaucoup ne déclarent pas les agressions, comme les crachats, les insultes ou les menaces de mort», a-t-il ajouté. «La RATP ne fait pas grand chose, ça fait des années qu’on dénonce ces agressions. On réclame du personnel dans le bus avec le chauffeur», a-t-il protesté.

RATP : 900 agressions de chauffeurs en 2022 !!!


Il est clair qu’il y a de de moins en moins de règles en matière de sécurité est tout simplement de respect des personnes. Ainsi les chauffeurs de bus de la RATP sont devenus une cible pour les individus violents. Le nombre d’agressions a en effet atteint autour de 900 et augmenté d’environ 30 % en 2022. Il serait sans doute urgent d’adapter la législation, l’action de la police et les décisions de la justice face à ce véritable fléau qui décourage de prendre les transports collectifs. Les chauffeurs effectuent une mission de service public et en tant qu’agent de service public il devrait pouvoir bénéficier d’un statut qui les protège davantage de toute agression.

Le nombre d’agressions de chauffeurs du réseau autobus de la RATP a explosé en 2022, en hausse de 29% par rapport à 2021, selon un rapport d’expertise réalisé pour le comité social et économique (CSE) du réseau de surface (RDS) de la régie, qui compte actuellement 15.000 chauffeurs de bus.

«Les chauffeurs vont au travail la boule au ventre. Les agressions ont augmenté. Cela fait 20 ans que je suis à la RATP et c’est de pire en pire», s’est alarmé auprès de l’AFP Ahmed Berrahal, élu CGT, membre de la commission santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT) du CSE RDS. «Les agressions sont de plus en plus graves. On tabasse le chauffeur, on lui assène des coups de poing. Il y a à peu près trois agressions par jour. Et beaucoup ne déclarent pas les agressions, comme les crachats, les insultes ou les menaces de mort», a-t-il ajouté. «La RATP ne fait pas grand chose, ça fait des années qu’on dénonce ces agressions. On réclame du personnel dans le bus avec le chauffeur», a-t-il protesté.

Salaire en hausse mais pouvoir d’achat en baisse en 2022

Salaire en hausse mais pouvoir d’achat en baisse en 2022

La masse salariale du secteur privé en France a augmenté de 8,7% en 2022, en raison de la progression des effectifs salariés et de l’inflation, mais le pouvoir d’achat par tête a baissé, rapporte l’Urssaf vendredi 15 septembre Mais officiellement la baisse serait seulement 2,1 %. On se fonde évidemment sur un indicateur de l’inflation obsolète de l’INSEE car en réalité la hausse des prix et de l’ordre du double de ce qui est constaté officiellement. Il faut en effet tenir compte du changement de comportement des Français qui compte tenu de la baisse du pouvoir d’achat modifient la nature et le volume de leur consommation. Ainsi par exemple les dépenses contraintes représentent de plus en plus et se seront-elles dans les niveaux progressent aussi le plus.

Le salaire moyen par tête (SMPT) a progressé l’an dernier de 5,2% et de 5,7% avec les primes exceptionnelles, à 2.786 euros bruts mensuels, tandis que les prix à la consommation auraient augmenté de 5,3%.

Les 28 universités françaises du classement de Shanghai 2022

Les 28 universités françaises du classement de Shanghai 2022


classement national dans l’ordre

Paris-Saclay Université
PSL Université
Sorbonne Université
Université de Paris
Aix Marseille Université
Université Grenoble Alpes
Université de Strasbourg
Université de Montpellier
Claude Bernard Université Lyon 1
Paul Sabatier Université (Toulouse 3)
Université de Bordeaux
Université de Lorraine
Ecole Normale Superieure – Lyon
Institut Polytechnique de Paris
Université de Lille
Université de Toulouse 1
Université de Bourgogne
Université de Clermont Auvergne
Université de Côte d’Azur
Université de Nantes
Université de Rennes 1
Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
INSA Toulouse
École des hautes études en sciences sociales
Montpellier Business School
Université Paris-Est Créteil Val de Marne
Université de Savoie
Université de Tours

Finances publiques: Nouvelle dégradation des comptes en 2022

Finances publiques: Nouvelle dégradation des comptes en 2022

Nouveau déficit record pour la France, ce qui va davantage plomber la dette ( plus de 3000 milliards).Le résultat net des comptes de l’État français s’est dégradé en 2022 après une amélioration en 2021, a indiqué jeudi la Cour des comptes dans un rapport. Le déficit constaté est de 160 milliards d’euros, proche des 166 milliards enregistrés en 2020. En 2021, le résultat comptable de l’État s’était redressé, limitant le déficit à 141 milliards d’euros.

La hausse des recettes «en lien avec le dynamisme de l’économie, n’a pas suffi pour absorber l’augmentation des différentes catégories de charges», constatent encore les Sages qui ajoutent que les charges de fonctionnement ont progressé de 9% par rapport à 2021, et les charges financières de 98%. L’endettement financier net de l’État s’est accru de 151 milliards, dont 37 milliards dus à une dégradation de la trésorerie. Fin juin, la Cour des comptes avait alerté sur des objectifs jugés peu ambitieux de la France en matière de réduction des dépenses publiques, par rapport à ceux de ses voisins européens.

Nouvelle dégradation des comptes en 2022

Nouvelle dégradation des comptes en 2022

Nouveau déficit record pour la France, ce qui va davantage plomber la dette ( plus de 3000 milliards).Le résultat net des comptes de l’État français s’est dégradé en 2022 après une amélioration en 2021, a indiqué jeudi la Cour des comptes dans un rapport. Le déficit constaté est de 160 milliards d’euros, proche des 166 milliards enregistrés en 2020. En 2021, le résultat comptable de l’État s’était redressé, limitant le déficit à 141 milliards d’euros.

La hausse des recettes «en lien avec le dynamisme de l’économie, n’a pas suffi pour absorber l’augmentation des différentes catégories de charges», constatent encore les Sages qui ajoutent que les charges de fonctionnement ont progressé de 9% par rapport à 2021, et les charges financières de 98%. L’endettement financier net de l’État s’est accru de 151 milliards, dont 37 milliards dus à une dégradation de la trésorerie. Fin juin, la Cour des comptes avait alerté sur des objectifs jugés peu ambitieux de la France en matière de réduction des dépenses publiques, par rapport à ceux de ses voisins européens.

La hausse des chiffres de la délinquance en 2022 sous Macron

La hausse des chiffres de la délinquance en 2022 sous Macron


La quasi-totalité des indicateurs sont en hausse, selon les données du ministère de l’Intérieur . Homicides, coups et blessures, violences sexuelles, vols… quasiment tous les indicateurs de la délinquance se sont inscrits en hausse l’an dernier, selon les données du ministère de l’Intérieur.

« Les hausses poursuivent celles observées avant la crise sanitaire pour les homicides, les coups et blessures volontaires, les violences sexuelles et les escroqueries enregistrés par la police et la gendarmerie », note le ministère de l’Intérieur. Cela donne une progression de 8 % des homicides, de 15 % des coups et blessures volontaires (dont une hausse de 17 % pour les violences intrafamiliales), de 11 % des violences sexuelles, de 11 % des cambriolages ou encore de 13 % pour les usages de stupéfiants.

« Cette augmentation fait suite à des années 2020 et 2021, très fortement marquées par l’épidémie de Covid, et durant lesquelles de nombreuses infractions avaient diminué suite, notamment, aux confinements et à la généralisation du télétravail », rappelle le ministère de l’Intérieur.

Pour la Place Beauvau, la hausse des violences intrafamiliales s’explique aussi par le « contexte de libération de la parole, de meilleure prise en charge des victimes et d’amélioration des politiques publiques ». « Il en est de même des violences sexuelles qui affichent une hausse de 11 % en 2022 qui demeure bien en deçà de celle de 2021 (+ 33 %) », ajoute le ministère. Votée en fin d’année dernière, la loi de programmation du ministère de l’Intérieur donnera plus de moyens aux forces de l’ordre.

Le seul indicateur à afficher une baisse est celui des vols violents sans arme (-4 %), dont le repli est continu depuis plusieurs années. « En 2012, on comptait près de 30.000 vols violents sans armes. On en compte moins de 15.000 aujourd’hui alors même que ce sont des faits traumatisants se déroulant sur la voie publique et dans les transports et parmi ceux qui contribuent le plus au sentiment d’insécurité », souligne l’entourage de Gérald Darmanin.

Les données concernant les stupéfiants (+13 % pour l’usage et +4 % pour le trafic) sont en nette hausse
« Lors du dernier trimestre 2022, le nombre de mis en cause pour trafic atteint son plus haut niveau depuis 2016 », précise-t-il.

France: 21.000 personnes espionnées en 2022

France: 21.000 personnes espionnées en 2022

D’après le dernier rapport de la commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR),20.958 personnes ont été espionnées l’année dernière.

Soit une baisse sensible de près de 9% au regard de près de 23.000 ciblées en 2021. Ce repli s’explique, observent les «gendarmes» des services secrets, par une «diminution du nombre de suspects surveillés au titre de la prévention du terrorisme : près de 1500 en moins, d’une année sur l’autre» . «De fait, on sait que le terrorisme (qui reste très majoritairement d’inspiration djihadiste) n’est plus guère le fait d’organisations structurées mais plutôt d’individus isolés, souvent peu socialisés, embraie le conseiller d’État honoraire Serge Lasvignes, président de la CNCTR. La commission voit dans cette évolution le signe…

France: 21.000 personnes espionnées en 2022

France: 21.000 personnes espionnées en 2022

D’après le dernier rapport de la commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR),20.958 personnes ont été espionnées l’année dernière.

Soit une baisse sensible de près de 9% au regard de près de 23.000 ciblées en 2021. Ce repli s’explique, observent les «gendarmes» des services secrets, par une «diminution du nombre de suspects surveillés au titre de la prévention du terrorisme : près de 1500 en moins, d’une année sur l’autre» . «De fait, on sait que le terrorisme (qui reste très majoritairement d’inspiration djihadiste) n’est plus guère le fait d’organisations structurées mais plutôt d’individus isolés, souvent peu socialisés, embraie le conseiller d’État honoraire Serge Lasvignes, président de la CNCTR. La commission voit dans cette évolution le signe…

Allocations : fraudes en hausse de 13% en 2022

Allocations : fraudes en hausse de 13% en 2022

Les fraudes aux allocations versées par les Caisses d’allocations familiales ont atteint le « montant record » de 351,4 millions d’euros en 2022, en hausse de 13,5% par rapport à 2021, a annoncé, lundi 5 juin, la Caisse nationale d’allocations familiales (Cnaf). Des chiffres que la Cnaf explique par des « contrôles mieux ciblés ».( Notons que parallèlement des bénéficiaires potentiels ne réclament pas leurs allocations pour un montant au moins équivalent aux fraudes (

En effet, la Cnaf compte 700 contrôleurs et 30 nouveaux contrôleurs du Service national de lutte contre la fraude à enjeux (SNLFE), recrutés depuis 2021 pour vérifier ce système « largement fondé sur les déclarations des allocataires », ajoute-t-elle. Ainsi, 32,4 millions de contrôles ont été réalisés en 2022, ayant conduit notamment à la détection de « 48 692 cas de fraudes individuelles », précise la Cnaf, qui a versé au total près de 99 milliards d’euros d’aides à 13,6 millions d’allocataires.

Le préjudice moyen s’élève à 7 217 euros, d’après la Caisse nationale d’allocations familiales. Cette dernière confirme par ailleurs qu’il s’agit bien de fraudeurs agissant sciemment, et non d’erreurs réalisées par les allocataires.

Dans le détail, le Revenu de solidarité active (RSA) concentre 60% des fraudes. Viennent ensuite la prime d’activité (13%), les aides au logement (12%) et l’allocation adulte handicapé (3%).

Société-CAC 40: 142 milliards d’euros de bénéfices en 2022 !

Société-CAC 40: 142 milliards d’euros de bénéfices en 2022 !

On peut légitimement s’interroger sur les facteurs explicatifs des exceptionnels profits du CAC 40. En fait il y a bien deux facteurs explicatifs majeurs, d’une part la reprise économique mais aussi l’envolée de l’inflation. Une envolée de l’inflation qui a permis aux grandes entreprises d’augmenter en toute discrétion prix et profits. Remarquons que parallèlement les consommateurs ont dû régler une facture d’inflation presque équivalente aux profits du CAC. Pour partie en tout cas un mécanisme de transfert et de vase communiquant ! L’exemple plus significatif étend celui de Total. Sur le plan monétaire les banques centrales ont inondé le marché de liquidités gratuites qui ont soutenu la demande et nourrit l’inflation productrice de profits pour les grandes entreprises mais maintenant de perte de pouvoir d’achat pour les consommateurs.

Grâce à une année exceptionnelle dans les secteurs du luxe et de l’énergie, les 40 plus importantes entreprises françaises cotées à la bourse de Paris ont dégagé 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés en 2022, une baisse de 9% par rapport à l’année précédente
Le quartier d’affaires de La Défense

Les entreprises françaises du CAC 40 affichent une santé de fer. En 2022, elles ont dégagé 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés, notamment en raison de résultats exceptionnels dans les secteurs du luxe et de l’énergie, selon un calcul réalisé par l’AFP et relayé par La Voix du Nord ce jeudi 9 mars. Des résultats qui sont néanmoins en baisse de 9 % par rapport à l’année 2021, lors de laquelle ces entreprises avaient dégagé près de 156 milliards d’euros de bénéfices.

Au total, le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1 729 milliards d’euros pour l’année 2022, rapporte le quotidien de presse régionale. Un chiffre d’affaires en hausse de 19 % sur un an, notamment porté par la hausse des prix pour de nombreuses entreprises. Il est cependant important de noter que le calcul réalisé par l’AFP n’inclut pas les résultats de Pernod-Ricard et Alstom, car ces deux entreprises ont des exercices comptables décalés.

12345...39



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol