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Bitcoin (+163% sur un an ): La folie continue

Bitcoin (+163% sur un an ): La folie continue

Depuis le début de l’année, le bitcoin a progressé de plus de 160%, à 43.500 dollars. L’avenir semble tout aussi radieux pour le jeton star en 2024.Mais dont le plus haut était à 62 000 $ fin 2021.Le bitcoin qui est aussi un extraordinaire moyen de profit demeure aussi un outil monétaire à grand risque car il ne repose sur aucun actif et dépend surtout du rapport entre la demande et l’offre limitée comme l’indique un article de Radio France.


Le bitcoin, est une cryptomonnaie. Elle a été lancée en 2009, en réaction à la crise bancaire et à la faillite de Lehman Brothers.
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Ne faisant plus confiance aux banques, un certain Satoshi Nakamoto – que personne ne connaît – a imaginé une monnaie indépendante des Etats, indépendante des banques centrales, et bien sûr indépendante des banques commerciales.
Une monnaie dont la sécurité est assurée par un mécanisme de cryptage, complètement décentralisé: c’est en fait un réseau d’ordinateurs qui garantit la fiabilité de la monnaie et le suivi des transactions.

Pour fournir ce service, les propriétaires de ces ordinateurs à forte puissance de calcul sont rémunérés en bitcoin, qu’ils peuvent revendre. Plus il y a de transactions, plus il y a de bitcoins. Mais dès le départ le créateur a dit qu’il n’y aurait jamais plus de 21 millions de bitcoins en circulation. Et on y est presque.
C’est ce nombre limité, qui crée une forme de rareté et fait flamber le prix .

Le bitcoin, c’est un peu comme l’or: il existe en quantité limitée, ce qui en fait une valeur refuge.

Aujourd’hui, le bitcoin est la plus ancienne des crypto-monnaies, presqu’une institution. Les financiers les plus traditionnels, ceux qui travaillent pour les caisses de retraites ou les grandes fortunes, lui font confiance.

Et puis, on constate que beaucoup d’investisseurs achètent les bitcoins pour les garder et ne les revendent jamais. Ce qui ajoute à la rareté et contribue à la hausse.

En n finance, tout est relatif. Certains investisseurs s’inquiètent moins de cette bulle que de l’envolée des dettes des Etats, qui ne cessent d’augmenter pour faire face à la pandémie. Ils pensent que cela finira par créer de l’inflation et par peser sur leur épargne traditionnelle et sur les monnaies comme le dollar ou l’euro.

Ils savent qu’il y a un risque mais pas plus qu’en achetant des actions Tesla ou Amazon qui font les montagnes russes.
Et puis ne vous y trompez pas : ils n’en ont pas tant que cela, des bitcoins. Ce marché, ce n’est encore que 5% du marché de l’or. Une toute petite partie de l’épargne mondiale donc.

Alors que la valorisation du bitcoin est désormais comparable à celle de la période faste du début 2022, à 769 milliards de dollars, rien ne semble stopper le développement de ce marché en 2024. Début décembre, l’ether, la deuxième crypto-devise associée au réseau Ethereum, a également atteint son plus haut niveau en un an et demi, à 2.274 dollars.

L’an prochain, deux moteurs sont attendus pour le jeton star. D’abord, la perspective de la fin de la remontée des taux d’intérêt annoncée pour l’an prochain qui va desserrer l’étau sur les investissements, le bitcoin suivant traditionnellement la courbe des valeurs tech sur le Nasdaq. Ensuite, la probable validation à venir des autorités américaines d’autoriser un fonds indiciel (ETF) en bitcoins au comptant.

Résultat, l’engouement pour les cryptomonnaies se montre solide. En France, les nouveaux investisseurs se tournent davantage vers les cryptoactifs : ils sont 54% à y avoir investi, contre 25% des investisseurs traditionnels, selon une étude de l’Autorité des marchés financiers français (AMF) publiée en novembre.

Le but reste cependant peu transparent et se caractérise surtout par une grande spéculation avec de très forts à coup de valorisation. Il pourrait aussi être menacé par l’éventualité de la création officielle de cryptomonnaies par les banques centrales.

salaires : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC en 2021

salaires : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC en 2021

D’après une étude de Proxinvest, la rémunération des grands patrons du CAC aura encore atteint un record avec une progression de 52 % sur l’année 2021. À comparer évidemment à la croissance des revenus des salariés limités à 3 à 4 % alors que l’inflation est proche de 10%. ( Officiellement 6 % d’après l’indice obsolète de l’INSEE).

Dès lors, il ne faut pas s’étonner des protestations voire des réactions violentes de certains car les patrons entretiennent par leur irresponsabilité ce climat d’hostilité. D’une certaine manière, le gouvernement est bien entendu complice. D’une part parce qu’il ne veut pas taxer les superprofits des grandes entreprises et les dividendes ( dans les grands patrons se gavent) , d’autre part parce que le gouvernement s’oppose aussi un rattrapage des salaires sur l’inflation pour ne pas créer une spiral salaire prix.

On objectera bien sûr que des salaires encore supérieurs sont constatés à l’étranger. Mais cette comparaison ne saurait en aucun cas valider les écarts constatés. Il faut en effet espérer que nombre de responsables ne sont pas seulement motivés par l’accumulation de revenus. Il faut espérer que la France dispose d’un réservoir de dirigeants qui méritent certes d’être bien payés mais qui ne sont pas simplement obnubilés par leur salaire.

La rémunération des grands patrons du CAC 40 en France a atteint un sommet à 7,9 millions d’euros en moyenne l’an dernier, selon un rapport publié mardi par le cabinet de conseil aux actionnaires Proxinvest. L’étude constate «une forte hausse des rémunérations médianes et moyennes dans tous les indices (CAC 40 et SBF 120, NDLR). On est bien sur des records historiques», a déclaré Jehanne Leroy, directrice de la recherche ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) lors d’une visioconférence avec des médias.

Elles sont portées par les très bons résultats post-Covid des sociétés en 2021, sur lesquels des éléments de rémunération sont indexés. La rémunération totale moyenne des patrons de l’indice CAC 40 a augmenté de 52%, tandis que celle des présidents exécutifs de l’indice SBF 120 composé des 120 plus grandes entreprises cotées en France a crû de 22% pour atteindre 4,5 millions d’euros. Dans les deux cas, c’est du jamais-vu depuis quinze ans.

C’est aussi «la première fois en huit ans que la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 représente plus de 100 fois la rémunération moyenne des salariés», soit 369 fois le SMIC en base 39 heures, selon le rapport qui détecte un moins bon respect du plafond de rémunération maximale socialement acceptable (5,12 millions d’euros) calculé par Proxinvest. En tout, 29 dirigeants dépassent ce plafond, contre 14 en 2020 et 24 en 2019, ce qui devrait relancer le débat sur le pouvoir d’achat des plus modestes, amputés en outre par l’inflation.

Sur la période 2014-2021, la rémunération moyenne des dirigeants a augmenté de 83,8%, soit trois fois plus vite que celle des salariés, qui a progressé de 23,9%. Le cabinet Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, se réjouit toutefois que, depuis 2021, toutes les sociétés du CAC 40 ont désormais intégré des conditions de performance ESG dans l’une des rémunérations variables du premier dirigeant.

Salaires: 52 % pour les patrons du CAC en 2021 des patrons mais seulement 3 à 4 % pour les salariés

Salaires: 52 % pour les patrons du CAC en 2021 mais seulement 3 à 4 % pour les salariés

D’après une étude de Proxinvest, la rémunération des grands patrons du CAC aura encore atteint un record avec une progression de 52 % sur l’année 2021. À comparer évidemment à la croissance des revenus des salariés limités à 3 à 4 % alors que l’inflation est proche de 10%. ( Officiellement 6 % d’après l’indice obsolète de l’INSEE).

Dès lors, il ne faut pas s’étonner des protestations voire des réactions violentes de certains car les patrons entretiennent par leur irresponsabilité ce climat d’hostilité. D’une certaine manière, le gouvernement est bien entendu complice. D’une part parce qu’il ne veut pas taxer les superprofits des grandes entreprises et les dividendes ( dans les grands patrons se gavent même s’ils n’ont jamais mis un sou personnel dans l’entreprise) , d’autre part parce que le gouvernement s’oppose aussi un rattrapage des salaires sur l’inflation pour ne pas créer une spiral salaire prix.

On objectera bien sûr que des salaires encore supérieurs sont constatés à l’étranger. Mais cette comparaison ne saurait en aucun cas valider les écarts constatés. Il faut en effet espérer que nombre de responsables ne sont pas seulement motivés par l’accumulation de revenus. Il faut espérer que la France dispose d’un réservoir de dirigeants qui méritent certes d’être bien payés mais qui ne sont pas simplement obnubilés par leur salaire.

La rémunération des grands patrons du CAC 40 en France a atteint un sommet à 7,9 millions d’euros en moyenne l’an dernier, selon un rapport publié mardi par le cabinet de conseil aux actionnaires Proxinvest. L’étude constate «une forte hausse des rémunérations médianes et moyennes dans tous les indices (CAC 40 et SBF 120, NDLR). On est bien sur des records historiques», a déclaré Jehanne Leroy, directrice de la recherche ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) lors d’une visioconférence avec des médias.

Elles sont portées par les très bons résultats post-Covid des sociétés en 2021, sur lesquels des éléments de rémunération sont indexés. La rémunération totale moyenne des patrons de l’indice CAC 40 a augmenté de 52%, tandis que celle des présidents exécutifs de l’indice SBF 120 composé des 120 plus grandes entreprises cotées en France a crû de 22% pour atteindre 4,5 millions d’euros. Dans les deux cas, c’est du jamais-vu depuis quinze ans.

C’est aussi «la première fois en huit ans que la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 représente plus de 100 fois la rémunération moyenne des salariés», soit 369 fois le SMIC en base 39 heures, selon le rapport qui détecte un moins bon respect du plafond de rémunération maximale socialement acceptable (5,12 millions d’euros) calculé par Proxinvest. En tout, 29 dirigeants dépassent ce plafond, contre 14 en 2020 et 24 en 2019, ce qui devrait relancer le débat sur le pouvoir d’achat des plus modestes, amputés en outre par l’inflation.

Sur la période 2014-2021, la rémunération moyenne des dirigeants a augmenté de 83,8%, soit trois fois plus vite que celle des salariés, qui a progressé de 23,9%. Le cabinet Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, se réjouit toutefois que, depuis 2021, toutes les sociétés du CAC 40 ont désormais intégré des conditions de performance ESG dans l’une des rémunérations variables du premier dirigeant.

Rémunérations : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC en 2021

Rémunérations : seulement 3 à 4 % pour les salariés mais 52 % pour les patrons du CAC en 2021

D’après une étude de Proxinvest, la rémunération des grands patrons du CAC aura encore atteint un record avec une progression de 52 % sur l’année 2021. À comparer évidemment à la croissance des revenus des salariés limités à 3 à 4 % alors que l’inflation est proche de 10%. ( Officiellement 6 % d’après l’indice obsolète de l’INSEE).

Dès lors, il ne faut pas s’étonner des protestations voire des réactions violentes de certains car les patrons entretiennent par leur irresponsabilité ce climat d’hostilité. D’une certaine manière, le gouvernement est bien entendu complice. D’une part parce qu’il ne veut pas taxer les superprofits des grandes entreprises et les dividendes ( dans les grands patrons se gavent) , d’autre part parce que le gouvernement s’oppose aussi un rattrapage des salaires sur l’inflation pour ne pas créer une spiral salaire prix.

On objectera bien sûr que des salaires encore supérieurs sont constatés à l’étranger. Mais cette comparaison ne saurait en aucun cas valider les écarts constatés. Il faut en effet espérer que nombre de responsables ne sont pas seulement motivés par l’accumulation de revenus. Il faut espérer que la France dispose d’un réservoir de dirigeants qui méritent certes d’être bien payés mais qui ne sont pas simplement obnubilés par leur salaire.

La rémunération des grands patrons du CAC 40 en France a atteint un sommet à 7,9 millions d’euros en moyenne l’an dernier, selon un rapport publié mardi par le cabinet de conseil aux actionnaires Proxinvest. L’étude constate «une forte hausse des rémunérations médianes et moyennes dans tous les indices (CAC 40 et SBF 120, NDLR). On est bien sur des records historiques», a déclaré Jehanne Leroy, directrice de la recherche ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) lors d’une visioconférence avec des médias.

Elles sont portées par les très bons résultats post-Covid des sociétés en 2021, sur lesquels des éléments de rémunération sont indexés. La rémunération totale moyenne des patrons de l’indice CAC 40 a augmenté de 52%, tandis que celle des présidents exécutifs de l’indice SBF 120 composé des 120 plus grandes entreprises cotées en France a crû de 22% pour atteindre 4,5 millions d’euros. Dans les deux cas, c’est du jamais-vu depuis quinze ans.

C’est aussi «la première fois en huit ans que la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 représente plus de 100 fois la rémunération moyenne des salariés», soit 369 fois le SMIC en base 39 heures, selon le rapport qui détecte un moins bon respect du plafond de rémunération maximale socialement acceptable (5,12 millions d’euros) calculé par Proxinvest. En tout, 29 dirigeants dépassent ce plafond, contre 14 en 2020 et 24 en 2019, ce qui devrait relancer le débat sur le pouvoir d’achat des plus modestes, amputés en outre par l’inflation.

Sur la période 2014-2021, la rémunération moyenne des dirigeants a augmenté de 83,8%, soit trois fois plus vite que celle des salariés, qui a progressé de 23,9%. Le cabinet Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, se réjouit toutefois que, depuis 2021, toutes les sociétés du CAC 40 ont désormais intégré des conditions de performance ESG dans l’une des rémunérations variables du premier dirigeant.

Déficit Sécu 2021 : » seulement » 24,6 milliards !

Déficit Sécu  2021 : » seulement » 24,6 milliards !

Tout va très bien madame la marquise semble dire le très ambigu ministre des comptes publics, Olivier Dussopt (député élu du PS qui a rejoint Macron le lendemain son élection).

Des prévisions évidemment totalement aléatoire dans la mesure où on ne connaît pas quelle sera une croissance notamment menacée par l’inflation et la guerre en Ukraine.

 

Grâce à un surplus de croissance, la Sécu a vu ses recettes rebondir de 9,7% l’an dernier, encaissant davantage de cotisations (3,9 milliards), d’impôts (1,5 milliard) et de prélèvement sur les indépendants (1 milliard) qu’escompté. Elle a aussi récupéré 1,8 milliard d’euros provisionnés au titre des reports de paiement accordés aux entreprises, dont «la capacité à faire face est plus importante que ce que nous imaginions, ce qui est une bonne nouvelle», a-t-il observé.

Dans le même temps, les dépenses ont encore progressé de 5,6%, avec notamment 239,5 milliards pour l’assurance maladie, soit un «dépassement» de 700 millions d’euros lié à «la cinquième vague épidémique» de Covid-19 et «l’accélération de la campagne de dépistage» en fin d’année. Sous réserve d’une accalmie sur le front sanitaire, l’amélioration «substantielle» des comptes de la Sécu «pourrait avoir un effet positif sur le solde de l’exercice 2022 et des années suivantes», a indiqué Olivier Dussopt, même s’il n’est «pas possible à ce stade» d’en mesurer l’ampleur. Ou alors l’inverse ? ( Faut-il rappeler par exemple que Marisol Touraine avaient prévu l’équilibre des comptes en son temps !)


Croissance Chine : Plus 5,5 % en 2022 au lieu de 8,1 % en 2021

Croissance Chine : Plus 5,5 % en 2022 au lieu de 8,1 % en 2021

Officiellement la Chine envisage 5,5% »  un ralentissement de sa croissance avec un objectif « d’environ 5,5% » pour cette année, contre +8,1% en 2021. 

Des craintes toujours d’actualité. « Au niveau mondial, maintenir une croissance moyenne à élevée pour une économie de cette taille (comme la Chine) est un défi majeur », a estimé devant la presse le Premier ministre chinois, Li Keqiang. Avec la pandémie mondiale, un rebond épidémique en Chine et la guerre en Ukraine, « l’économie fait face à de nouvelles pressions baissières », a-t-il averti. Le Premier ministre n’a pas explicitement mentionné ces facteurs mais évoqué « divers environnements complexes qui changent et des incertitudes qui augmentent ».

 

Ehpad Orpea: une marge de 25 % en 2021

Ehpad Orpea: une marge de 25 % en 2021

 

Tous les voyants sont au vert pour les EHPAD Orpéa. Ce que montre des indicateurs qui affichent une croissance soutenue de son chiffre d’affaires, qui a progressé de 9,2% à 4,285 milliards d’euros, mais aussi de l’excédent brut d’exploitation retraité des loyers (ebitdar), qui a augmenté de 10,9%, à 1,068 milliard d’euros, soit une marge de 24,9%.

D’ici à la semaine prochaine, le gouvernement doit rendre publiques les conclusions d’une double enquête administrative sur les activités de l’entreprise, ouverte après la publication du livre de Victor Castanet. Le journaliste y décrit un « système » mis en place par Orpea pour optimiser les profits dégagés par ses Ehpad, au détriment du bien-être de ses résidents âgés.

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