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Baisse dimpôts pour les ménages : en 2015, 2016, 2017 ou à la St Glinglin

Baisse dimpôts pour les ménages : en 2015, 2016, 2017 ou à la St Glinglin

 

Annonce, démenti, contre-information, contradiction, ce qui caractérise les promesses de baisses dimpôts pour les ménages. En fait il se confirme que le gouvernement s’est emmêlé les pieds dans les chiffres. Les 50 milliards économies – pourtant très virtuelles- ne pourront servir à la fois aux allégements des entreprises, aux réductions de déficit et aux réductions de la fiscalité des ménages. Du coup on ne sait plus si cette dernière promesse est pour 2015, 2016, 2017 ou à la St Glinglin. Après le temps des annonces, l’heure est donc à la temporisation. En l’espace d’une semaine, le calendrier de la baisse des prélèvements obligatoires pour les ménages a été avancé de deux ans. Le résultat de la dynamique optimiste enclenchée par François Hollande depuis l’annonce de sa volonté de trouver un grand compromis avec les entreprises pour relancer l’emploi. En brandissant son pacte de responsabilité aux entreprises à l’occasion de ses vœux aux Français pour la nouvelle année, François Hollande a fait un pari. Celui d’une croissance dopée par un retour de la confiance, incitant les entreprises à renouer avec les investissements et les embauches. Fort de ce cercle vertueux, Bercy envisage même d’avancer à 2016 la baisse des prélèvements obligatoires prévue à horizon 2017.  Une annonce surprenante à la lumière des prévisions initiales. Dans ses vœux du 31 décembre, le chef de l’État indiquait vouloir alléger la pression fiscale sur les ménages en fin de quinquennat en 2017. Une ligne conforme à la trajectoire des finances publiques transmise par le gouvernement et le parlement français à la commission européenne cet automne. La France tablait alors sur une stabilisation des prélèvements obligatoires à 46.1% du PIB jusqu’en 2016 avant d’envisager une baisse de 0.3 point à partir de 2017. Mais le volontarisme présidentiel a bien failli accoucher d’un nouveau couac fiscal. Visiblement grisé par le scénario optimiste déclamé à l’envi par le Président, un de ses conseillers  a annoncé que l’Élysée envisageait une première baisse d’impôts dès 2015 pour les ménages, évoquant un « geste » qui serait du même ordre que celui pour les entreprises. Une confidence imprudente lâchée lors d’une réunion en « off » avec une vingtaine de journalistes suite au discours du Président aux acteurs économiques mardi.  Depuis, le gouvernement s’active pour tempérer cette annonce. L’Élysée a corrigé l’information dès l’après-midi. Par la voix de ses ministres, Bercy s’est mis en branle dès le lendemain pour rectifier le tir. Les ministres de l’Économie et du Budget martelant que tout dépendra de la croissance et de la réduction des dépenses.  Bernard Cazeneuve, d’abord, a indiqué que l’objectif est toujours de diminuer la pression fiscale d’ici 2017 « le plus vite possible » et dès 2015 « si nous pouvons le faire ». Un son de cloche rapidement repris par le ministre du Budget Pierre Moscovici qui explique que si « des marges de manœuvre supplémentaires » sont dégagées « du fait de la croissance et des économies », « cela permettra d’agir plus vite sur les impôts ». Ce jeudi, le ministre du Travail Michel Sapin s’est à son tour employé à jouer la carte de la temporisation. « Si la croissance est plus forte que prévue, si nous allons plus vite que nous le prévoyons aujourd’hui : oui, les premiers à qui il faudra rendre grâce, parce qu’ils ont fait des efforts considérables depuis 4 ans, ce sont l’ensemble des Français par une baisse des impôts », a-t-il lâché au micro de RTL.

 

Baisse des impôts: pas avant 2017

Baisse des impôts: pas avant 2017

 

Il aurait bien une baisse des impôts mais pas avant 2016 ou 2017. En fait juste avant les élections présidentielles. De combien, on verra, tout dépendra de la croissance (dit Moscovici) et sans doute beaucoup des économies publiques réellement réalisées et là c’est loin d’être gagné. Le sort réservé aux contribuables français se précise. Si une baisse des impôts semble acquise -sans doute à la fin du quinquennat- son montant n’est pas encore fixé. Mais Pierre Moscovici a donné, ce dimanche 17 janvier, des indications sur le calendrier. »Ce qu’a dit le président de la République, c’est qu’il y aurait à l’automne une nouvelle loi de programmation des finances publiques (…) Nous en avons fait voter une à l’automne 2012 mais la trajectoire a besoin d’être corrigée car la croissance dans la zone euro a été plus faible que prévue. Il faut donc recaler cette trajectoire, et à ce moment-là nous pourrons dire de combien nous baisserons les prélèvements », a indiqué le ministre de l’Economie et des Finances sur Radio J. « Les prélèvements obligatoires ont atteint un niveau élevé (…) Il s’agit dans un premier temps de les stabiliser et à terme de les baisser. De combien, pour qui et à quel rythme », cela fera l’objet de discussions, a précisé le ministre. Vendredi 17 janvier, Bernard Cazeneuve, le ministre délégué au Budget, avait laissé entendre que des baisses d’impôts « pourraient » intervenir dès 2016, soit un an avant ce qui est prévu jusqu’ici dans la trajectoire des Finances publiques.

2017 : Sarkozy annonce son retour

2017 : Sarkozy annonce son retour

Sarkozy reviendra, c’est une évidence à moins que … les socialistes parviennent à la coincer juridiquement dans les différentes affaires qui le concerne. Il n’ya guère photo entre Hollande et Sarkozy, ce dernier crédité dans les sondages d’environ 57% et hollande plombé à 27%. On peut faire confiance aux socialistes pour plomber le retour de Sarko qui il faut le dire s’est un peu emmêlé les pieds (et les mains) dans certaines affaires financières ; Sarko à droite n’a aucun concurrent, Copé toujours aussi impopulaire est l’équivalent de Désir pour le PS, Fillon pris dans es contradictions ne décolle pas, les quadras de l’UMP quant à eux se neutralisent. Seul Juppé parvient à se détacher un peu mais très loin de Sarko. A gauche Hollande ses définitivement discrédité, il est à peu prés certain qu’il ne parviendra même pas au second tour (comme Jospin). Quant au FN ou au front de gauche, ils demeureront des partis de protestation car si certaines (pas toutes) de leurs critiques semblent fondées leurs projets ne paraissent pas crédibles. Faute d’offre politique nouvelle, c’est un boulevard qui s’ouvre pour Sarkozy. Pas forcément bon signe pour un pays qui aurait tellement besoin de renouveau. Du coup  l’ex-Président de la République continue de distiller des petites phrases en ce sens. Cette fois, c’est L’Express qui rapporte les propos de l’ex-chef de l’État, invité jeudi à une conférence à Lagos au Nigeria. Une personne présente dans le public a demandé à Nicolas Sarkozy s’il comptait « revenir au Nigeria comme président de la République? ». Réponse de l’intéressé : « J’ai été passionné par ma tâche pendant 5 ans. J’ai une éternelle reconnaissance envers les Français. » Pour la suite, « ils décideront », a-t-il répondu. L’entourage de l’ex-chef d’État a toutefois minimisé cette déclaration. « La question était posée sur le ton de l’humour. Il y a répondu de la même façon. D’ailleurs, il a ensuite ajouté: ‘ceux qui veulent que je revienne vont être ravis. Ceux qui ne le veulent pas aussi. Je contente tout le monde’ », précise un proche dont L’Express rapporte les propos. Dès mercredi soir, le retour de Nicolas Sarkozy dans la vie politique française était déjà au cœur de l’actualité. L’hebdomadaire Le Point rapportait en effet des propos de Nicolas Sarkozy précisant ses intentions. « La question n’est pas de savoir si je veux ou ne veux pas revenir. Je ne peux pas ne pas revenir. Je n’ai pas le choix. C’est une fatalité. Une fatalité », a-t-il ainsi déclaré selon le magazine.

 

Sondage présidentielles : Hollande 9% !

Sondage présidentielles : Hollande 9% !

 

Un tiers des Français (33%) souhaitent que Manuel Valls soit le candidat socialiste à la présidentielle de 2017, loin devant François Hollande (9%), selon un sondage Harris Interactive pour le Figaro magazine et LCP diffusé jeudi. Pour le magazine, cette enquête montre que l’actuel chef de l’Etat affronte une crise majeure avec la colère grandissante contre la politique du gouvernement et les remous de l’affaire Leonarda, la collégienne rom expulsée de France. Les sympathisants socialistes placent toujours le président en tête (37 %) mais mettent son ministre de l’Intérieur en deuxième position (24 %). Pour l’ensemble des Français, la maire de Lille Martine Aubry arrive en troisième position (8%), devant le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg. Plus grave pour l’exécutif, 80% d’entre eux estiment que François Hollande ne gagnerait pas face à un candidat de droite. Seul Manuel Valls pourrait avoir une chance de l’emporter (54%), seuls 16% des sondés pensant la même chose du chef de l’Etat. « Et si, pour la première fois depuis 1974, un président sortant n’était pas en situation de se représenter pour un second mandat ? », s’interroge Le Figaro magazine.

 

Européennes-2017 : Le Pen , plus qu’un boulevard, la voie royale

Européennes-2017 : Le Pen ,  plus qu’un boulevard, la voie royale

 

Finalement Marine Lepen parle peu au regard de sa représentativité ; elle a raison moins elle parle plus elle devient crédible. En fait le PS d’un coté, l’Ump d’autre part lui tracent une voie royale. On sait que les sondages sous estiment en général les scores du FN car nombre d’interrogés ne sont pas fiers d’ avouer leur préférence pour l’extrême droite. Un sondage démontre que déjà s’il y avait élections européennes aujourd’hui, PS, UMP, FN seraient à égalité. Avec la crise, les affaires à gauche comme à droite, surtout l’incapacité à faire face à au chômage, le discrédit sera de plus en plus grand vis-à-vis d’une gauche incompétente dont le seul remède est le matraquage fiscal et d’une droite sans projet, sans leader surtout occupée à se partager la dépouille de Sarkozy ( qui va sombrer dans les affaires). Pour Marine Lepen il n’y a pas meilleure situation, plus le temps va passer et plus elle va monter en popularité moins pour la porter  au pouvoir que pour voter contre les deux partis de gouvernement. Avantage de la situation Marine Lepen n’a pas à parler ; chaque qu’elle  le faiat, elle suscite en effet la controverse voire le ridicule quant s’agit de questions économiques  dont elles ignorent tout. Le silence de sa part lui évite cet inconvénient. Le député Lassalle qui fait le tour de France à pied a bien résumé la situation ; pour la France profonde, c’est le ralbol, l’épuisement, le rejet de la classe politique et même la crainte (ou l’espérance)  d’une explosion sociale. Aussi le rejet de cette Europe technocratique, enfin le plus grave peut-être un crise identitaire. Autant de choses que Lepen dénonce habilement même si les solutions sont complètement inadaptées à la situation ; , des solutions  à la fois démagogiques et dangereuses. Mais les français n’en sont plus en recherche d’un vote adhésion mais d’un vote de protestation et la posture de contestation de Marine Lepen suffit. Le premier séisme aura lieu au européennes, il sera suivi d’autres. Conséquence le pays risque de s’enfoncer dans une crise générale car évidemment Lepen explosera en vol le jour où elle aura à gérer les réalités socio-économiques du pays. Un étape supplémentaire dans le déclin  du pays.

2017- Fillon : rupture avec Sarkozy

2017- Fillon : rupture avec Sarkozy

François Fillon, interrogé à Tokyo sur l’ancien chef de l’État et ses conférences à travers le monde (comme jeudi à Las Vegas), entérine sa rupture avec Sarkozy: « Moi, je suis engagé dans la vie politique, ce n’est pas son cas », insiste-t-il, ajoutant que M. Sarkozy avait annoncé son retrait après sa défaite à la présidentielle de 2012. Candidat en 2017 « quoi qu’il arrive »: par ces mots, prononcés jeudi à Tokyo, François Fillon a marqué sa « détermination » à être candidat à l’élection présidentielle, semblant ainsi écarter un retour de Nicolas Sarkozy, même s’il a ensuite voulu clarifier sa position en évoquant la primaire.  En réalité, au soir de sa défaite, le 6 mai 2012, Nicolas Sarkozy était resté suffisamment vague pour laisser une porte ouverte. « Une autre époque s’ouvre (…) mon engagement dans la vie de mon pays sera désormais différent (…) au moment où je m’apprête à redevenir un Français parmi les Français », avait-il affirmé.  Les sarkozystes Roger Karoutchi et Patrick Balkany ont tous deux réagi en affirmant que « ce n’était pas le moment » de tenir de tels propos, les Français étant « plus préoccupés » par les problèmes économiques.  Selon le sénateur Karoutchi, parler maintenant de 2017, « c’est accélérer le calendrier ». « On n’est pas dans le timing » et M. Fillon est « plus préoccupé par sa carrière que par ce qu’il se passe en France », a renchéri M. Balkany.  Toutes ces subtilités de langage montrent en tous cas que la droite française reste divisée en deux camps, reproduisant depuis des années la rupture opérée en 1994 entre chiraquiens et balladuriens, quand Nicolas Sarkozy avait pris le parti d’Édouard Balladur contre son ancien mentor Jacques Chirac pour la présidentielle de 1995, ce que les chiraquiens ne lui ont jamais pardonné.  François Fillon, à l’époque balladurien, vient d’ailleurs de s’adjoindre un allié de poids en la personne du chiraquien Patrick Stéfanini, ex-directeur de campagne de M. Chirac en 1995 et 2002, et qui deviendra, d’ici quelques jours, le secrétaire général de Force républicaine, l’association de François Fillon. Cette information, révélée par i-Télé, a été confirmée à l’AFP par l’entourage de M. Fillon.

Non cumul des mandats : en 2017 ou à la ST Glinglin !

 

Non cumul des mandats : en 2017 ou à la ST Glinglin !

D’un côté, le Parti socialiste. Les militants ont voté : la loi doit s’appliquer dès 2014 aux députés élus ou réélus maires. De l’autre, des ministres et des députés inquiets pour l’avenir de la majorité absolue socialiste à l’Assemblée, et qui veulent préparer au mieux les passages de relais entre sortants et dauphins dans leurs mairies.
D’un côté les principes : une promesse doit être strictement tenue. De l’autre le pragmatisme politique : la promesse est tenue puisque la loi est votée, tout de suite, et totalement appliquée d’ici la fin du quinquennat.  Des points de vue politiquement inconciliables. Le Conseil d’Etat apporte une lecture juridique : en raison du principe de non-rétroactivité des lois, la nouvelle règle ne peut concerner le mandat en cours. S’il persistait, le gouvernement s’exposerait à la censure du Conseil constitutionnel. François Hollande doit désormais arbitrer entre l’avis du Conseil d’Etat, qui renforce celui de ses  ministres (dont celui de l’Intérieur, Manuel Valls) et les désirs du PS. Peu de suspense : le non-cumul s’appliquera sans doute en 2017. Le texte sera examiné en Conseil des ministres dans le courant du mois prochain. Dici 2017, il se passera beaucoup de choses !!

 

Le pain Copé chocolat pour 2017

Le pain Copé chocolat pour 2017

 

Copé a reçu un pain, pas en chocolat, mais de Juppé ; Son coup d’Etat sur l’UPM se sera terminé par un énorme fiasco et une mascarade. Juppé ne remettra certainement pas les clés de l’UMP à Copé pas même à Fillon. Pour 2017, Copé a en tout cas largement hypothéqué ses chances. On peut être sûr que Juppé va remettre de l’ordre dans la maison qu’il connaît bien. Pour ne pas faire perdre complètement la face  aux intéressés, il est probable qu’il n’y aura pas de président à l’UMP pour longtemps (il mettra en place une commission et une nouvelle procédure) mais une direction collégiale ou seront écartés les extrémistes arrivistes type Rachida Dati ou Morano dont les propos outranciers ont largement porté atteinte à la crédibilité de l’UMP. Copé a voulu copier Sarkozy mais sans le tallent et avec le ridicule en plus (les pains au chocolat). Pour 2017, pour Copé c’est chocolat.

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