Archive pour le Tag '2017'

Page 29 sur 31

Juppé –Sarkozy : la guerre commence pour 2017

Juppé –Sarkozy : la guerre commence pour 2017

 

 Certains s’étonnent comme Bernadette Chirac que Sarkozy s’engage pour la présidence de l’IMP. Ce ne serait pas de son niveau ! Comme nous l’indiquions il y a déjà de semaines, la stratégie de Sarkozy c’est de contrôler l’UMP (refondue dans un nouveau parti) et donc les primaires. Actuellement Sarkozy est très largement en tête chez les militants UMP mais pas dans l’opinion, ni si les primaires sont ouvertes aux centristes. Du coup, il va magouiller pour l’organisation de ces primaires. Ce que vient un peu naïvement de découvrir Juppé.  Dans une interview à paraître mardi dans Sud-Ouest, Alain Juppé, candidat à la primaire UMP, estime que si Nicolas Sarkozy abandonnait l’idée de primaires UMP avant la présidentielle, ce serait « un point de conflit dur ».  Quatre jours après l’annonce du retour de Nicolas Sarkozy, Alain Juppé le met en garde. Lui-même candidat à la primaire UMP en vue de la présidentielle de 2017, il ne veut pas que l’ex-président de la République puisse changer les règles du jeu. Dans une interview à paraître mardi dans le quotidien Sud-Ouest, interrogé sur l’hypothèse d’un changement des statuts de l’UMP « pour empêcher des primaires à droite« , il avertit que « l’abandon des primaires serait un point de conflit dur » avec Nicolas Sarkozy.  Dimanche Alain Juppé avait déjà averti qu’il irait « jusqu’au bout« . « Nicolas Sarkozy ne pourra pas faire les primaires tout seul, ça ne marchera pas. Si le but est de faire voter les 175.000 militants de l’UMP, ce n’est pas la peine, ils l’auront fait en décembre prochain« , pour la présidence de l’UMP, ajoute le maire de Bordeaux. « La raison d’être de ces primaires, c’est de les ouvrir à nos partenaires du centre pour qu’il n’y ait qu’un seul candidat à la présidentielle de 2017« , rappelle-t-il, disant attendre « sur ce point les engagements des différents candidats à la présidence de l’UMP« . »La raison d’être des primaires« , insiste-t-il, est « qu’il n’y ait qu’un seul candidat dans notre camp pour être élu. La division pourrait entraîner un deuxième tour entre le candidat socialiste et Madame Le Pen« , avertit-il. Alain Juppé lui ne brigue pas la présidence de l’UMP, seulement les primaires, convaincu que le vainqueur atteindra ensuite l’Elysée.   Egalement interrogé sur l’intervention télévisée de Nicolas Sarkozy dimanche soir, son ancien ministre des Affaires étrangères indique que « l’on ne change jamais vraiment. On peut s’améliorer ou se dégrader, ça dépend des cas« . Le ton est donné.

 

2017 : Juppé ira jusqu’au bout et pour un seul mandat

2017 : Juppé ira  jusqu’au bout et pour un seul mandat

« le match » pour 2017 « a commencé », « je vais aller jusqu’au bout «L’ancien Premier ministre Alain Juppé (UMP) a estimé dimanche que le « match » pour 2017 avait « commencé » et affirmé qu’il irait « jusqu’au bout » de sa candidature à des « primaires de la droite et du centre », deux jours après le retour politique de Nicolas Sarkozy. « Je ne suis pas une girouette. Si j’ai dit ça, c’est parce que j’y ai réfléchi, pensé, j’en ai envie et donc je vais aller jusqu’au bout. Je sais bien qu’aujourd’hui le match a commencé et que le tacle commence. On essaie de faire croire que je n’irai pas jusqu’au bout. Eh bien je vais en apporter la démonstration. Vous le verrez en 2016 et 2017 (…) Je le confirme, je l’écris, je le signe« , a déclaré au « Grand rendez-vous Europe 1-Le Monde-i>Télé » le maire de Bordeaux, en s’engageant au passage à n’exercer qu’un seul mandat présidentiel s’il est élu en 2017.

Retour aux 3% de déficit public : Hollande refile le bébé à son successeur en 2017

Retour aux 3% de déficit public : Hollande refile le bébé à son successeur en 2017

 

 

Finalement l’austérité n’aura servi strictement à rien, elle aura déstabilisé tout le monde, détruit la croissance et n’a pas modifié les déficits qui augmentent en 2014 par rapport à 2013. Du coup Hollande abandonne et refile le bébé à son successeur ; C’est aussi le résultat de la fronde des français face à augmentation de la fiscalité. Avec l’absence de croissance et l’incapacité dans laquelle se trouve Hollande d’engager des réformes structurelles, il faut laisser filer le budget. Hollande n’a plus aucune marge de manœuvre. Le gouvernement français renonce donc à tenter de ramener le déficit public à la limite européenne de 3% avant l’élection présidentielle de 2017 et prévoit une hausse du déficit cette année au lieu d’une baisse, a annoncé mercredi Michel Sapin. Cette annonce du ministre des Finances est un nouveau coup dur pour un exécutif impopulaire, fragilisé par la contestation de sa politique dans son propre camp, et qui dirige un pays dont la crédibilité sur les questions budgétaires est faible. Pour l’Europe et la zone euro, l’incapacité de la France à redresser ses comptes est une mauvaise nouvelle, qui survient le jour même de la nomination de la nouvelle Commission. D’autant que ce dérapage s’explique par une croissance économique extrêmement faible dans la deuxième économie européenne et par une inflation bien plus basse que sa moyenne historique. Selon Michel Sapin, le déficit public atteindra 4,4% du PIB fin 2014, au lieu de 3,8% prévu auparavant, soit plus qu’en 2013, année pour laquelle il avait été annoncé à 4,2% par l’Insee puis revu à 4,1%, selon Bercy. Le dérapage serait ainsi de plus de 6 milliards d’euros cette année. En 2015, le déficit serait à peine réduit, à 4,3%, au lieu de 3% prévu auparavant, et il reviendrait sous la barre des 3% fin 2017, a précisé Michel Sapin. Alors que la France a déjà obtenu un délai de deux ans pour revenir à la limite européenne de 3%, à fin 2015, Michel Sapin a déclaré lors d’une conférence de presse que Paris ne demandait « aucune modification des règles européennes ». « Nous ne demandons pas leur suspension, nous ne demandons aucune exception, ni pour la France ni pour tout autre pays, nous demandons la prise en compte collective d’une réalité économique qui nous concerne tous : une croissance trop faible, une inflation trop basse », a ajouté le ministre des Finances, en disant s’inscrire « dans le respect des traités ». Le gouvernement prévoit désormais une croissance du PIB de 0,4% en 2014 et de 1,0% en 2015, alors qu’il envisageait dans sa précédente trajectoire une croissance de 1,0% cette année et de 1,7% l’an prochain.

2017 : Non à une candidature de Hollande pour 85% des Français

2017 : Non à une candidature de Hollande pour 85% des Français

 

Petit a petit tous les sondages tendent vers les mêmes chiffres,  Hollande a tout au plus 15% de partisans chez les Français, Un rejet global de sa politique actuelle et maintenant surtout le souhait ne plus le revoir en 2017. Une situation historique ; Autant de Français estiment d’ailleurs qu’il sera dans l’incapacité de se représenter. Selon un sondage IFOP-JDD, 85% des Français ne souhaitent pas que le Président postule à un second mandat. Ce qui constituerait une première (excepté le cas de Georges Pompidou) dans l’histoire de la Ve République. Même les sympathisants socialistes (65%) ne souhaitent pas que François Hollande se représente. Le pronostic est plus serré. Il reste minoritaire puisque 55% des personnes pensent qu’il ne sera pas candidat en 2017. Seulement 16% jugent qu’il sera « certainement » sur la ligne de départ de la prochaine présidentielle. Que peut faire François Hollande après la folle semaine? Plus de trois Français sur dix Français lui conseillent de ne « rien » faire et d’attendre la fin de son mandat. Cela ressemble à de la résignation. La carte du remaniement n’est plus réclamée que par 11% des Français. Il faut dire que le gouvernement de Manuel Valls est en place depuis cinq mois et a déjà subi des replâtrages. La vraie surprise c’est la tentation de la dissolution qui passe en moins de trois mois de 17 à 23%. Avec sans surprise des pics au FN (46%) et à l’UMP (31%). Au rayon des reproches faits au Président, ce sont les promesses non tenues qui arrivent en tête (33%). Vient ensuite la façon dont François Hollande incarne la fonction présidentielle (24%) et le manque de résultats de la politique économique (19%).

 

Sondage 2017 : Le Pen bat largement Hollande au premier et second tour

Sondage 2017 : Le Pen bat largement  Hollande  au premier et second tour

. Selon un sondage Ifop réalisé pour le « ‘Figaro » les 3 et 4 septembre auprès d’un échantillon de 994 personnes, Marine Le Pen arriverait en tête au premier tour de la présidentielle non seulement face à François Hollande mais aussi face et n’importe lequel des principaux prétendants UMP, qu’il s’agisse de Nicolas Sarkozy, François Fillon ou Alain Juppé. Pire pour l’actuel locataire de l’Elysée:  s’il parvenait en 2017 au second tour, il serait écrasé par la présidente du Front National qui obtiendrait 54% des voix, alors que François Hollande n’en récolterait que 46%. Dans le détail, A la question: « Si dimanche prochain avait lieu le premier tour de l’élection présidentielle de 2017 pour lequel des candidats suivants y aurait-il plus de chances que vous votiez? », 30% des sondés choisissent Marine Le Pen devant Alain Juppé (24%) et François Hollande (16%), qui serait donc éliminé dès le premier tour. Dans l’hypothèse où  c’est Nicolas Sarkozy qui défend les couleurs de l’UMP,  Marine Le Pen arrive encore en tête, mais avec 28% des suffrages contre 25% à l’ancien président, et, là encore, 16% pour François Hollande. De quoi calmer les ardeurs de Nicolas Sarkozy qui prépare son retour en politique avec l’argument d’être le « sauveur » de l’UMP. Troisième hypothèse, si c’est François Fillon qui est le candidat de l’UMP, il recueillerait 17%, tout comme François Hollande, mais très loin loin derrière Marine Le Pen (32%). Pour le second tour, le sondage Ifop montre que dans tous les cas de figure, le candidat UMP battrait François Hollande:  François Fillon (62% contre 38%), Alain Juppé (66% contre 34%), Nicolas Sarkozy (61% contre 39%). En revanche, coup de tonnerre, si François Hollande se retrouvait au second tour face à Marine Le Pen, il serait battu  (54% contre 46%). Le « réflexe républicain » qui avait prévalu au second tour de la présidentielle de 2002 opposant Jacques Chirac à Jean-Marie Le Pen semble avoir vécu… En revanche,  Marine Le Pen échouerait au second tour face à n’importe lequel des candidats UMP: 43% contre 57% pour François Fillon, 36% contre 64% pour Alain Juppé, 40% contre 60% pour Nicolas Sarkozy.

2017 : Juppé double Sarkozy

2017 : Juppé double Sarkozy

Sarkozy ne s’attendait certainement pas à cette annonce prématurée de la candidature de Juppé pour 2017. En fait c’est une course de vitesse qui est engagée et pour l’instant c’est Juppé qui a pris la tête. Il faut dire que Jupé bénéficie actuellement d’une bonne cote dans l‘opinion même su Sarko est populaire parmi les militants de l’UMP. A force de minauder «  «  j’y vais, j’y vais pas » Sarko vient de perdre la première phase tactique. Une phase  qui pourrait bien le contraindre dans les prochains jours à se déclarer candidat à la présidence de l’UMP pour reprendre en main l’appareil et à l’occasion éjecter Huppé. Sarko a sans doute beaucoup trop attendu et ses casseroles commencent à devoir beaucoup l’opinion. ((On peut auusi compter sur Hollande pour noyer Sarko dans ces affaires)  Une opinion qui pense d’ailleurs que la droite ne fera pas mieux que la gauche ; alors que la gauche ne bénéficie plus que de 15% d’opinion favorable. Bref une crise politique qui dépasse sans doute la seule problématique des  personnalité qui pose doute simplement la nature de na démocratie, les conditions de choix des élites et surtout le projet susceptible à la fois de limite es gaspillages financiers et de remettre la France au travail. (Ce que ne pas faiat Sarko qui n’a pas osé supprimer les 35 heures qui ont plombé la croissance et le chômage).

2017: Alain Juppé sera candidat

2017: Alain Juppé sera candidat

. « J’ai décidé d’être candidat, le moment venu, aux primaires de l’avenir » qu’organisera la droite pour désigner son représentant à la présidentielle 2017, écrit l’ex-Premier ministre sur son blog ce mercredi. Une candidature qui s’ajoute à celles de François Fillon, Xavier Bertrand, Christian Estrosi (sauf si Nicolas Sarkozy revient) ou encore NKM.  L’élection de 2017, « nous devons la gagner pour sortir la France du marasme où elle stagne aujourd’hui. Ce n’est pas acquis! », écrit le responsable de droite, dans un post intitulé « 2017, bientôt ». Il avait déjà entrouvert la porte à une candidature en juin dernier.  Alain Juppé défend dans cette déclaration le principe même des primaires « ouvertes à toutes celles et tous ceux, inscrits ou non dans un parti, qui ne veulent ni de la France barricadée sur elle-même que leur promet le FN ni de ce qu’est devenue, faute d’adaptation aux réalités du monde actuel, l’idéologie socialiste » pour « parvenir à une candidature d’union ». Les organiser au « printemps 2016″ serait un « bon délai » selon lui.   Certains à droite, comme Nicolas Sarkozy, sont moins convaincus de la pertinence des primaires. « Il y a toujours des Bournazel pour vous tirer vers le bas« , a notamment déclaré l’ex-chef de l’Etat en juin, en référence à l’adversaire battu par NKM lors des primaires pour la droite à Paris.  Dans les sondages Alain Juppé et l’ex-président font pour l’instant jeu égal auprès des sympathisants de l’UMP en termes de popularité. L’e-premier ministre possède même une longueur d’avance auprès des sympathisants de droite en général. Signe de leur rivalité: les deux hommes ont déjà commencé à s’échanger des piques. « Il vaut mieux un sexa en forme qu’un quinqua amorti », s’était amusé Alain Juppé en juin, au sujet de son âge.   Nicolas Sarkozy, lui pourrait sortir du bois dans les semaines qui viennent, après avoir entretenu lui-même le feuilleton de son retour pendant des mois

 

Sondage 2017 : Hollande à 17% !

Sondage 2017 : Hollande  à 17% !

 

Selon un sondage IFOP pour Marianne, le François Hollande serait éliminé au premier tour avec 17%, contre Marine Le Pen (26%) et Nicolas Sarkozy (25%). Pire, c’est la gauche dans son ensemble, de Lutte ouvrière au parti socialiste, qui semble reculer avec 33% des intentions de vote, contre 53,5% en octobre 2011, selon un sondage IFOP pour le Journal du Dimanche. Après deux années d’exercice, François Hollande ne bénéficie que de 17% des intentions de vote, soit un point de moins que le score dont il était gratifié en novembre 2010. C’est à partir de cette date que les sondages commencent à l’inclure dans les hypothèses de candidatures, avec Martine Aubry, Dominique Strauss-Kahn et Ségolène Royal. Mais en novembre 2010, François Hollande n’était pas encore le candidat officiel du Parti socialiste. Et lorsqu’il annonce sa candidature en 2011, il est encore le Corrézien au caractère « bonhomme », qui a fait un régime et cessé de faire des blagues pour adopter un discours plus « présidentiable ». Il était même considéré comme un moins bon candidat que Martine Aubry et Dominique Strauss-Kahn. Le futur président n’est alors crédité que de 18% des voix, quand l’ancienne secrétaire du PS et le patron du FMI en récoltent respectivement 22% et 29%. En 2010, suivant l’identité du candidat du parti socialiste, la gauche rassemblait de 40% à 46,5% des intentions de vote, selon l’IFOP. En 2011, alors que François Hollande a été élu pour représenter le Parti socialiste, elle recueillait 53,5% des intentions de vote. Trois ans plus tard, deux ans après l’élection de François Hollande, la gauche, de Nathalie Arthaud à François Hollande, ne rassemble plus que 33% des intentions de vote.  Le PS est en perte de vitesse, mais il n’est pas le seul. Les écologistes étaient crédités de 6 à 8% d’intentions de vote en 2010, avec Eva Joly à leur tête. Aujourd’hui, supposément menés par Cécile Duflot, ils ne sont plus qu’à 3%. Seul Jean-Luc Mélenchon peut se réjouir : de 7% en 2010, il est aujourd’hui crédité de 10% à 11% des intentions de vote. Un tel rapport de force droite-gauche s’est rarement vu. Aujourd’hui, la droite, de l’UMP au FN, rassemble 54% des intentions de vote, soit 21 points de plus que la gauche. En 2010, l’écart n’était que d’une dizaine de points en faveur de la droite et de 7 points en faveur de la gauche fin 2011. Marine Le Pen confirme la percée du Front national dans l’électorat des ouvriers et des employés. Ils étaient 24% et 32% à se dire prêt à voter pour elle en 2011, ils sont 37% et 41% en 2014. Le MoDem de François Bayrou monte également en puissance, de 6,5% en 2011 jusqu’à 16% si Arnaud Montebourg représente le PS (13% si c’est François Hollande). Bien sûr, un sondage effectué aussi tôt avant les élections ne peut prévoir le résultat de la présidentielle mais il mesure à un instant donné la sensibilité des électeurs à une ligne politique et la crédibilité qu’ils accordent aux potentiels candidats. Par ailleurs, aucun de ces sondages ne rend compte ni du vote blanc ni des indécis.

 

Sondage 2017 : Hollande et Valls éliminés au premier tour

Sondage 2017 : Hollande et Valls éliminés au premier tour

La présidentielle n’aura lieu que dans trois ans mais déjà les sondeurs s’en donnent à cœur joie. Selon une étude IFOP, Marine Le Pen (26%) et Nicolas Sarkozy (25%) se qualifieraient pour le second tour de l’élection suprême si elle avait lieu demain. Un résultat qui confirme celui obtenu en avril 2014. Un sondage IFOP plaçait déjà Nicolas Sarkozy (31%) et Marine Le Pen en tête (24%). Le « candidat » UMP perd six points en quelques mois, tandis que la présidente du Front national voit son score augmenter. Face à eux, François Hollande ou Manuel Valls seraient en incapacité de se qualifier pour le second tour, plafonnant à 17%. François Bayrou (12-13%), Jean-Luc Mélenchon (11-12%), Cécile Duflot, Nicolas Dupont-Aignan (3% chacun), Nathalie Arthaud (2%) et Philippe Poutou (1%) suivraient. L’IFOP a également testé l’hypothèse d’une candidature d’Arnaud Montebourg. Le ministre de l’Économie n’obtiendrait que 10% des voix, loin derrière Marine Le Pen (27%), Nicolas Sarkozy (26%), François Bayrou (12-13%) et Jean-Luc Mélenchon (11%). « Les enseignements qu’indique le sondage reflètent un état de l’opinion à l’instant de sa réalisation et non une prédiction », rappelle l’institut qui souligne également « l’incertitude concernant l’offre électorale à trois ans du prochain scrutin présidentiel ». L’IFOP prévient également que son étude est sujette à une marge d’erreur allant de 1,4% à 2,8%.

 

2017 : Hollande craint Le Pen ou espère au second tour

2017 : Hollande craint Le Pen ou espère au second tour

 

 

Finalemenet Hollande ne pense qu’à cela : se faire réélire en 2017. Il dit craindre que Marine Lepen se qualifie pour le second tour, en fait c’est ce qu’il espère puisqu’il compte sur le reflexe républicain pour se faire élire ; Au passage, il s’assoit sur les primaires socialistes. Pas sûr évidemment qu’il se qualifie tellement i est impopulaire et inefficace. Le président craint donc de revivre la présidentielle de 2002, quand la gauche avait été éliminée du premier tour, devancée par le Front national, rapporte « Le Parisien ». Le FN au second tour en 2017 ? « Ce n’est pas un risque, c’est une réalité », estime François Hollande, selon Le Parisien, dimanche 20 juillet. Le président se prépare à un bon score de Marine Le Pen à la prochaine présidentielle, rapporte le quotidien. François Hollande craint de revivre le scénario du 21 avril 2002, quand Lionel Jospin avait été éliminé du premier tour de la présidentielle, devancé par Jean-Marie Le Pen et Jacques Chirac. Il commence donc déjà à se mettre en ordre de bataille pour arriver au second tour en 2017. Car si l’arrivée de Marine Le Pen en tête au premier tour est presque une certitude pour la gauche, la victoire de son adversaire au second tour l’est tout autant. « Celui qui arrivera au second tour avec elle sera élu« , prédit un ténor du PS cité par le Parisien.  Dans cette perspective, le chef de l’État est persuadé qu’il pourra tirer profit de son bilan à l’Élysée. « Je me prépare pour qu’on ait en 2017 un bilan qui permette à la gauche d’être au deuxième tour et de gagner l’élection », glisserait-il à ses visiteurs, faisant peu de cas de l’hypothèse d’une primaire socialiste pourtant réclamée par plusieurs courants rue de Solferino.

 

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

 

Nicolas Sarkozy est toujours le champion à l’UMP, dont 78% des sympathisants souhaitent qu’il soit candidat en 2017, mais est rejeté par l’ensemble des Français, 59% ne voulant pas qu’il se présente, selon un sondage IFOP pour le Journal du Dimanche. A la question « souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat à l’élection présidentielle » de 2017?, 78% des sympathisants répondent oui, contre 22% non. La proportion est inverse avec l’ensemble des Français : 41% veulent sa candidature, 59% non. Les sympathisants UMP sont favorables à 52% à une candidature du maire de Bordeaux, Alain Juppé, 47% n’y étant pas favorable (1% ne se prononcent pas). 45% des Français souhaitent sa candidature, 54% n’y sont pas favorables (1% ne se prononcent pas). François Fillon obtient les mêmes résultats que Juppé auprès de l’ensemble des Français. 52% des sympathisants UMP ne veulent pas sa candidature (47% oui, 1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP souhaitent à 68% que Sarkozy, mis en examen notamment pour corruption active, soit candidat à la présidence de l’UMP en novembre, 32% ne le veulent pas. 39% des Français le désirent, 60% non (1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP verraient pour 64% d’entre eux d’un bon œil une candidature d’Alain Juppé et pour 58% celle de Fillon. A la question « qui incarne aujourd’hui le mieux le renouveau de l’UMP? », 23% des sympathisants UMP répondent François Baroin (18% des Français), devant Nathalie Kosciusko-Morizet (15% à l’UMP, 17% de l’ensemble des Français), Bruno Le Maire (14%, 16%), Xavier Bertrand (12% à l’UMP, 14% de l’ensemble), Laurent Wauquiez (9%, 8%), Valérie Pécresse (8%, 10%) et Hervé Mariton (2%, 2%).  16% des sympathisants UMP ne répondent « aucune de ces personnalités », comme 9% des Français.  4% ne se prononcent pas à l’UMP, (3% de l’ensemble). Ce sondage a été réalisé par téléphone les 4 et 5 juillet auprès d’un échantillon représentatif de 968 personnes de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

2017: Sarkozy – Juppé : ça chauffe déjà !

Sarkozy – Juppé : ça chauffe !

 

C’est pari pour les primaires à l’UMP et ça chauffe déjà,. Sarko, avec sa délicatesse habituelle,  a fait observer le grand âge de Juppé tandis que  Juppé , plus habile,  a estimé que Sarkozy ne devait pas s’attaquer à l’institution judicaire. C’est la confirmation que les ennuis de Sarko ne font pas que des heureux à gauche mais qu’il se défend à sa manière : en attaquant. La tension monte entre l’ancien président et l’ancien premier ministre, deux candidats potentiels pour représenter l’UMP en 2017. Alain Juppé n’écarte plus l’idée de se présenter être le candidat la droite en 2017. Nicolas Sarkozy n’a presque pas caché son intention de revenir lors de son interview télévisée mercredi 2 juillet. Résultat, entre les deux hommes, l’entente cordiale fait place aux petites piques. La dernière attaque en date est rapportée par Les Echosce vendredi. « Qu’il se présente, il me rajeunit », affirme Nicolas Sarkozy en privé, selon le quotidien, à propos de son aîné de 10 ans. Et d’ajouter : « Moi je n’ai jamais été condamné ! Et au fait, c’est quoi le bilan réformateur d’Alain Juppé ? Il est nul. » Allusion à la condamnation d’Alain Juppé en 2004, dans l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris (où en faiat Juppé a payé pour Chirac). Réagissant à la mise en examen de Nicolas Sarkozy. Alain Juppé avait pour sa part estimé jeudi que « vilipender » l’institution judiciaire n’était pas  »une bonne méthode. »

 

Sondage 2017 : 65% contre Sarkozy

Sondage 2017 : 65% contre Sarkozy

 

 

65% des Français ne sont pas favorables à la candidature de Nicolas Sarkozy pour la Présidentielle de 2017 (Selon un sondage BVA pour ITélé et Le Parisien Aujourd’hui en France,). Pourtant, ils sont 70% à penser qu’il se présentera malgré tout. Si 94% des sympathisants de gauche ne souhaitent pas que l’ancien président soit candidat à un nouveau quinquennat, 62% des sympathisants de droite y sont favorables, une proportion qui atteint 78% parmi les sympathisants de l’UMP. Quant à savoir s’ils pensent qu’ »avec les affaires en cours, l’UMP peut tout de même présenter Nicolas Sarkozy » comme candidat à la présidentielle, 57% des Français ont répondu négativement.  Les avis sont radicalement opposés entre les sympathisants de gauche, dont 78% pensent que cela n’est pas possible, et les sympathisants de droite, parmi lesquels 63% jugent que c’est possible. Le sondage a été réalisé après la mise en examen de l’ancien chef de l’État, notamment pour corruption active.  Dans un entretien au Figaro de samedi, Guillaume Peltier, co-fondateur du courant sarkosyste La Droite forte, premier courant de l’UMP, estime que « le retour de Sarkozy est indispensable mais ne sera pas suffisant ».  « Il nous faudra être beaucoup plus courageux qu’en 2007 et 2012″, explique celui qui accueille samedi à la Ferté-Imbault (Loir-et-Cher) le deuxième rassemblement de son courant.

 

Chômage : pas de baisse avant 2016-2017 d’après le FMI

Chômage : pas de baisse avant 2016-2017 d’après le FMI

 

Dans un rapport consacré à la France, le FMI a aussi prévenu qu’il n’attendait pas de décrue « notable » du chômage avant 2016.Et sans doute même 2017 compte tenu des  prévisions de croissance encore une peu optimistes .  Le taux de chômage devrait selon le FMI être stable à 10,3% cette année, puis 10,2% en 2015, 10% en 2016, 9,7% en 2017, 9,4% en 2018 et ne s’améliore pas (ce qui va se passer en 2014 où le gouvernement prévoit 1% pour le PIB, le FMI 0.7% et nombre d’observateurs plus neutres 0.5%)°L’institution basée à Washington diverge aussi du gouvernement pour ses prévisions de déficit public : elle l’estime à 4% du Produit intérieur brut cette année, là où Paris attend 3,8%. Le FMI prévoit un déficit à 3,4% l’an prochain, 2,7% en 2016, 2,1% en 2017, 1,2% en 2018 et 0,3%, quasiment l’équilibre, en 2019. En avril, le FMI estimait que le déficit public français pourrait être contenu à 3% dès l’an prochain.  Les prévisions économiques du Fonds monétaire international (FMI) pour la France ont été revues à la baisse, ce jeudi 3 juillet. Le FMI estime la croissance française cette année à 0,7% contre 1% lors de sa précédente prévision en avril. Le chômage ne devrait pas non plus baisser d’ici 2016, selon l’institution internationale. Le FMI attend 1,4% de croissance en 2015, 1,7% en 2016, 1,8% en 2017 puis 1,9% en 2018 et 2019. Le gouvernement français espère, lui, 1% cette année, une prévision à laquelle peu d’économistes et organisations internationales croient encore.  Le FMI évite d’accabler le pouvoir français, mais signale qu’il surveillera de près la mise en œuvre des réformes annoncées. Il salue « un ensemble cohérent de réformes basé sur une compréhension correcte des problèmes », une stratégie « ambitieuse » et juge que « le rythme et les moyens de consolidation budgétaire choisis sont les bons ». Le FMI déconseille donc à la France de pratiquer encore plus d’austérité, quitte à ce que son déficit dépasse l’an prochain le seuil de 3% du PIB fixé par les règles européennes. Mais il s’inquiète des « pressions (politiques et sociales) qui pourraient s’accroître alors que des réformes difficiles sont lancées » et juge qu’il « faudrait y résister car il y a peu de marge de manœuvre ». « Les mesures d’offre sont bienvenues » mais doivent, selon le FMI, « être dopées par des réformes du marché du travail » et une plus grande ouverture à la concurrence de certains marchés. Le FMI plaide depuis un moment pour une flexibilisation du Smic. Le Fonds souhaite également un « dialogue social plus coopératif » en France.

 

Alain Juppé : candidat en 2017

Alain Juppé : candidat en 2017

 

Panique chez les Sarkosyste car Juppé vient de déclarer qu’il sera candidat en 2017. Du coup les pro-Sarkozy pressent leur mentor de se déclarer le plus vite possible. Problème : les casseroles que trainent Sarko le contraignent à réfléchit au calendrier. Il faudrait trouver une fenêtre où on parle moins des affaires.  En confirmant ses intentions au micro de RMC, Alain Juppé a fait un premier vrai pas dans la course à l’Élysée, ce mercredi 25 juin. Le maire de Bordeaux le sait, il n’a d’autre rival que Nicolas Sarkozy. Pour le moment, du moins. Longtemps superstar des sondages, l’ancien président de la République faiblit, diminué notamment par l’affaire Bygmalion. Un sondage BVA publié le 24 juin place Alain Juppé en tête auprès des Français (54%) et des sympathisants de droite (72%). Pendant ce temps, l’ex-chef de l’État se place 22 points derrière lui au classement général et à 11 points chez les sympathisants de droite. Une très mauvaise nouvelle pour celui qui espère revenir sans avoir à passer par les primaires de son parti.  Car le profil d’Alain Juppé, moins droitier et moins clivant, séduit à droite, évidemment, mais aussi à gauche et au centre. Les Français louent son expérience et sa compétence tout en le sentant capable de rassembler davantage que Nicolas Sarkozy, dont la base électorale semble de plus en plus se « réduire » à la droite, rendant une victoire en 2017 plus compliquée. S’il a gagné la présidentielle de 2007 par la droite, il se dit que Nicolas Sarkozy serait plus enclin à revenir par le centre. Or, cet électorat, qui tient farouchement à son indépendance vis-à-vis de l’UMP, lorgnerait plus sur le profil d’Alain Juppé par un souci de cohérence évident.  La droitisation de la campagne de 2012 n’a pas été du goût de tous du côté du centre-droit et de l’UMP et il est difficile d’imaginer l’ancien chef de l’État revenir avec une idéologie différente de celle qui a toujours été la sienne. Alain Juppé a l’avantage d’incarner une droite plus modérée. Si tous les sondages ont leur limite, une enquête BVA pour Le Parisien publiée en janvier venait ajouter à cette impression de personnalité apte à séduire au-delà des frontières de son parti. Les sympathisants de gauche étaient 73% à penser qu’il aurait été meilleur président de la République que Nicolas Sarkozy. L’ensemble des Français approuvaient également cette position à 50%. Au final, 60% des sondés considéraient qu’il aurait été un meilleur chef de l’État que François Hollande. Les sympathisants de gauche étaient même 20% à le penser. Un score peu élevé dans l’absolu mais sa course à l’Élysée serait grandement facilitée si deux socialistes sur dix se détournaient du Président à son profit.  Reste à convertir les « si » en bulletins dans les urnes et à ne pas enterrer ses adversaires trop vite. Histoire de ne pas entrer au panthéon de ces favoris qui n’ont jamais vu la ligne d’arrivée.

 

1...2728293031



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol