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Présidentielle 2017 : Aurélie Filippetti « veut des primaires », il n’ y aura que ça !

Présidentielle 2017 : Aurélie Filippetti « veut  des primaires », il n y aura que ça !

 

 

Aurélie  Filippetti, une des rares responsables socialistes qui ait un peu de culture (elle est agrégée de lettres) veut des primaires en 2017 ; de ce point de vue elle sera  servie car entre Hollande, Valls, Hamon ou encore Sapin, c’est le concours des bonnets d’âne sur le plan culturel. Certains objecteront avec raison que ce n’est pas la spécificité des socialistes que cela vaut pour la droite et l’extrême droite. Sans doute pas un motif suffisant pour que le système oligarchique ne fasse émerger que des primates y compris à la présidence de la république. Sarkozy, Hollande, Valls et même Marine Lepen, de purs produits du système d’une nullité  culturelle affligeante et qui plus est bien loin des réalités économiques et sociales. Un double handicap en quelque  sorte.   Selon l’ancienne ministre, Aurélie Phipetti, le Parti socialiste ne pourra renouer avec le succès qu’en étant « novateur » et en proposant « un projet pour le pays ». Un projet qui passerait d’abord par le choix d’un candidat pour la prochaine présidentielle. « Je suis favorable à des primaires », rappelle la députée, qui ne semble pas voir François Hollande en candidat idéal à sa succession. Tu m’étonnes !

Elections-Doubs: représentatives de 2017

Elections-Doubs:  représentatives de 2017

 

Cette élection risque de constituer un avant goût de 2017 avec un FN qui pourrait bien arriver en tête grâce notamment à la très forte abstention (nettement des électeurs de gauche) et une UMP gagnante au second tour. Il ne faut guère compter sur l’esprit du 11 janvier pour modifier la donne. Certes la popularité de Hollnde et des ministres du PS  est remontée après l’union nationale pour autant les Français n’ont pas modifié leurs intentions de vote ni sur le plan local, ni sur le pan national;  Pour le PS, il s’agit de défendre un siège capital à l’Assemblée nationale. Les socialistes ont en effet perdu leur majorité absolue, avec le départ du député Jean-Pierre Maggi, qui a rejoint le groupe des radicaux, début 2015. Avec 288 députés (la majorité absolue est fixée à 289 sièges), le PS sait désormais que chaque voix compte. Le premier ministre Manuel Valls s’est déplacé lui-même pour soutenir le candidat socialiste dans le Doubs.  Le PS veut également croire en ses chances d’inverser la tendance dans les législatives partielles, qui tournent mal depuis 2012. Alors que le chef de l’Etat et le premier ministre bénéficient d’un regain de popularité depuis leur gestion des attaques terroristes, la gauche espère que son électorat se mobilisera davantage que lors des municipales et des européennes. A l’inverse, l’UMP espère qu’il n’y aura pas d’effet post 11 janvier sur l’électorat et qu’elle pourra récupérer cette circonscription qu’elle avait tenue entre 2002 et 2007. Le FN, qui devrait arriver en première position au premier tour, semble mal engagé pour gagner au deuxième tour, quel que soit l’adversaire. Marine Le Pen, veut tout de même croire aux chances du parti d’extrême droite d’obtenir un troisième député à l’Assemblée nationale.

 

Présidentielles 2017 : » je suis disponible » (Mélenchon)

 

Présidentielles 2017 : » je suis disponible » (Mélenchon)

Ce qui se passe en Espagne avec Podemos et ses marches auxquelles inspire Mélenchon présent  samedi à Madrid. S’adressant aux socialistes dissidents, aux écolos et à ses partenaires du Front de gauche, il leur demande de « se rassembler » – « une exigence morale » – afin de travailler à un « programme partagé », pour préparer une « candidature commune » en 2017. Une échéance pour laquelle il se déclare « disponible ». (Interview JDD)

Vous avez applaudi à la victoire de Syriza en espérant dans toute l’Europe un effet domino. Mais la Grèce a un taux de chômage de 25% et la France de 10%!
Ce qui est commun à toute l’Europe, ce sont les politiques d’austérité qui détruisent nos sociétés. Et elles aggravent le problème de la dette en prétendant le résoudre. François Hollande nous a enfermé dans cette impasse.

En France, de quoi rêvez-vous? D’un rassemblement, d’une alliance?
Le Front de gauche a atteint sa limite : il faut voir bien plus grand. Quand nous, les Verts, les socialistes dissidents, Nouvelle Donne, ne votons pas le budget et ne participons pas à la majorité gouvernementale, nous avons le devoir de proposer autre chose aux Français. Nous rassembler est une exigence morale. Les couteaux sans lame ne servent à rien! Ne perdons pas de temps. Car il faut mettre le peuple en appétit! Il a montré de quoi il est capable seul avec la manif Charlie! Alors le temps des simples cartels de partis est fini. Je souhaite une alliance citoyenne où le peuple commande. Aujourd’hui, le peuple est grand, mais la politique est petite! Avec la Grèce commence un nouveau cycle. Et la France aussi doit passer de la résistance au libéralisme à la libération.

Vous dites que, pour 2017, vous ne voulez pas être un « obstacle » au rassemblement de cette gauche alternative…
Ma situation est simple : je suis disponible. De bon cœur, j’irai au poste de combat que l’on m’assignera. Je ne suis pas un simple protestataire. Si nous devions gouverner, je saurais le faire. Je veux notre victoire. Je crois qu’il faut travailler à une candidature commune. Pour cela, il faut un programme partagé. Nous avons commencé avec les Chantiers de l’espoir. Avec Cécile Duflot, Pierre Laurent, Clémentine Autain et bien d’autres, nous venons de signer un texte pour un programme partagé en affirmant vouloir gouverner ensemble. Mais l’essentiel pour moi est que cette élection-là serve à changer la règle du jeu politique. Si à la prochaine présidentielle est resservi le potage habituel, les Français se détourneront de l’assiette. La meilleure candidature en 2017 c’est la VIe République, celle où les citoyens refondent leur pays en définissant une nouvelle Constitution! L’idée peut rassembler de tous côtés. Sinon, le désastre est certain.

 

La France ne tiendra pas les 3% de déficit en 2017

La France ne tiendra pas les 3% de déficit en 2017

 

 

L’OCDE estime qu’il est vain pour la France de promettre un déficit à 3% du PIB en 2017. Un objectif pourtant affiché par la France auprès de Bruxelles. En cause  surtout une croissance trop molle qui devrait notamment être inférieure à 1% en 2015 (en dessous des prévisions françaises). Pas d’amélioration donc à tendre avant 2016 où la France pourrait être tirée par l’environnement mondial sous réserve évidemment que la reprise ait bien lieu au plan international,  ce qui reste à démontrer.   L’OCDE estime que la croissance du PIB français devrait être de 0,4% en 2014, et de 0,8% en 2015, alors que Bercy table sur +1% pour l’an prochain. L’organisation s’attend à une « légère hausse » en 2016 avec une croissance de 1,5%. Elle  estime que l’économie française devrait alors profiter d’un environnement global amélioré, d’un taux de change plus favorable, de la baisse des coûts de l’énergie et d’une baisse significative de la fiscalité. L’OCDE estime toutefois que le déficit budgétaire sera au-dessus des « prévisions ambitieuses ». Elle  estime que l’objectif des 3% ne pourra pas être atteint avant 2017, ce que prévoit le gouvernement. Mais ce rythme de résorption du déficit parait justifié,  compte tenu de la faiblesse de la croissance.

 

Hollande en mode 2017

Hollande en mode 2017

 

Une année catastrophique pur Hollande et 2015 ne sera guère plus réjouissant. D’abord sur le plan économique ensuite sur le pan politique avec les élections départementales et régionales .Du coup Hollande a décidé d’enjamber le calendrier et d se relancer dans la course à2017.  Un résident maintenant  plus écolo, plus à gauche sur les valeurs, plus combattif aussi. C’est en tout cas la feuille de route de la communication de l’Elysée. Mais la presse elle-même semble douter de l’efficacité de la mutation de Hollande. En l’absence d’annonces attendues, les éditorialistes redoutaient ce lundi que l’offensive médiatique de François Hollande ne se résume à des paroles « creuses » avec pour tout « horizon » la présidentielle de 2017 et ironisaient sur sa « soudaine conversion à l’écologie » torpillée par la « Grande prêtresse Verte » Cécile Duflot.   »À l’Élysée, des ‘communicants’ à l’imagination débordante tentent depuis un mois de nous convaincre de la réalité d’un phénomène qui – avouons-le – échappait et échappe toujours au plus grand nombre. Il y aurait un nouveau François Hollande, débarrassé de ses perpétuelles hésitations, qui aborderait 2015 dominateur et sûr de lui », attaque Paul-Henri du Limbert dans le Figaro.« Le président de la République est à la manœuvre, nous dit-on, plus que jamais combatif », renchérit Florence Couret (La Croix). Face à ses « ‘éléments de langage’ de l’Elysée », étant donné l’état du pays, « le langage de vérité est un devoir », assène-t-elle. « À mi-mandat ou pas, une élection ne doit pas être un horizon. »  Lors de la matinale spéciale de France Inter ce lundi, Rémi Godeau (L’Opinion) s’attend pour sa part à « une litanie de bonnes résolutions (c’est de saison), de formules abstraites, de précisions technocratiques, de paroles aussi virtuoses que creuses » « Bref », raille-t-il, « de la ‘bonne politique’ avant 2017 comme si la lutte totale contre le chômage, la croissance molle et le déficit pouvait rester encore et toujours pendant une, deux ou trois années supplémentaires, un vœu pieu ». « Ceux qui pensent que François Hollande serait homme à renoncer face à l’adversité, à l’impopularité persistante, aux déboires privés ou politiques, à la pluie et à l’air du temps, tous ceux-là en seront pour leurs frais », note Bruno Dive (Sud-Ouest). Car « en attaquant avec une vigueur renouvelée ce Nouvel An, c’est moins à 2015 que pense le président sortant qu’à 2017″.  D’où l’indignation de Patrick Apel-Muller dans l’Humanité, qui s’écrie « résistons à la distraction ! » car « la rentrée du président de la République est placée sous le signe d’une soudaine conversion à l’écologie ». Mais « en quelques phrases, la grande prêtresse Verte », Cécile Duflot, a de toute façon « torpillé les deux grands chantiers de 2015 : la loi Macron et la conférence climat », relève Paul-Henri du Limbert (Le Figaro). Si bien que la « reconquête » version Hollande est « mal partie ». »Elle est forte Cécile Duflot », juge Christine Clerc (Le Télégramme). « Si Hollande veut passer pour un écologiste, lors de sa grande conférence sur le climat à la fin de l’année, il a besoin des Verts… aussi pour garder sa majorité. Car, derrière Duflot, se profilent son alliée Martine Aubry et la gauche du PS. »

Législative partielle de l’Aube : comme en 2017 ?

Législative partielle de l’Aube : comme en 2017 ?

 

Finalement l’élection législative partielle risque de ressembler à 2017 avec d’abord une très forte abstention (surtout de électeurs de gauche), ensuite avec une défaite cuisante du PS (autour de 15%), la montée du FN au premier tour qui lui permet de se qualifier pour le second et la victoire finale de l’UMP a autour de 65%.  La victoire était attendue. Elle est large : Gérard Menuel devient député de la 3ème circonscription de l’Aube à la place de François Baroin, passé au Sénat. Et le siège reste dans le panier de l’UMP. Son score, 63,85%, lui offre une confortable avance sur son concurrent, le FN Bruno Subtil avec 36,15ù. L’abstention a été de 72,85%, en légère baisse par rapport à dimanche dernier (75,37%). « Cette victoire claire et large souligne le travail de terrain accompli par notre candidat, l’engagement de François Baroin, le rejet de la majorité présidentielle et l’espoir que notre famille politique a la responsabilité d’incarner« ,  a déclaré le président de l’UMP, Nicolas Sarkozy, dans un communiqué. Le premier tour de scrutin avait été marqué par la déroute du candidat socialiste, qui a rassemblé moins de 15% des suffrages. Gérard Menuel était arrivé en tête avec 40,76%, devant le prétendant FN (27,64%), qui avait augmenté de près de dix points le score de son parti dans cette circonscription lors du premier tour des législatives en juin 2012. Il a reçu pour le second tour le soutien du Modem et de l’UDI, tandis que le candidat socialiste Olivier Girardin a appelé à faire barrage au Front national.

 

Retour Sarkozy 2017 : ‘ « revanchard ? non ! » (Xavier Bertrand)

Retour Sarkozy 2017 : ‘  « revanchard ? non ! » (Xavier Bertrand)

 

Interview sur RTL xavier bertrand a sans doute voulu répondre au sondage qui faiat apparaître que73 % des Français estiment que Sarkozy est revanchard.  (Un sondage qui montre auusi que 66% des Français ne souhaitent pas le retour de Sarkozy). « Nicolas Sarkozy veut-il une revanche avec les Français ? Je suis sûr que non ». Ancien ministre du nouveau président de l’UMP, Xavier Bertrand ne doute pas des intentions de Nicolas Sarkozy. « Qu’il ait envie d’un match retour (contre François Hollande, ndlr), c’est humain mais (…) La revanche, elle  n’est pas bonne », estime-t-il. Selon lui, « les Français ne veulent plus de ceux qui pensent plus à eux qu’à leur pays (…) Les Français leur tourneront le dos ». Xavier Bertrand reproche par ailleurs aux socialistes de réclamer de Nicolas Sarkozy l’abandon de ses avantages d’ancien président de la République. « Ils ne s’indignent pas à propos des 36.000 euros de retraite de François Hollande (un chiffre que l’Élysée conteste, ndlr) ni du fait qu’il cotise à la Cour des comptes », reproche-t-il.

 

Sondage Sarkozy 2017 : 66% des Français contre

Sondage Sarkozy 2017 : 66% des Français contre

 

Ce devait être un triomphe et c’est largement raté. Pire 66% des Français ne souhaitent pas ce retour qui a leurs yeux est essentiellement motivé par un esprit revanchard de l’ l’intéressé. Lancien président  ne parvient pas à effacer son bilan, ni à gommer sa personnalité autant de Français considèrent qu’il n’est pas sympathique. Le  retour de l’ex-chef de l’Etat dans la vie politique semble mal  donc accueilli : 66% des Français interrogés ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se présentent à l’élection présidentielle de 2017.  Un retour raté ? Deux tiers des Français (66%) et 39% des sympathisants de droite ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se présente à l’élection présidentielle de 2017, selon un sondage Odoxa pour le journal « Le Parisien » diffusé ce week-end. La campagne pour la présidence de l’UMP a semble-t-il dégradé l’image de l’ex-chef de l’Etat. Ceux qui souhaitent au contraire que le nouveau président de l’UMP se présente sont 33% et 60% du côté des sympathisants de droite. Ils sont 64% à estimer qu’il n’est « pas sympathique. » Autre impression qui ressort de ce sondage, 61% des Français estiment que le retour de Nicolas Sarkozy sera une « mauvaise chose » pour la vie politique, une proportion en hausse de 7 points par rapport à un sondage équivalent fin septembre, et 58% ont une mauvaise opinion de l’ancien président. Enfin, 73% (+6) des personnes interrogées estiment que Nicolas Sarkozy revient en politique « parce qu’il est animé par un désir de revanche« , contre 26% (-7) « parce qu’il a un vrai projet pour la France« . Même chez les sympathisants de droite, cette idée de revanche est légèrement majoritaire (51%).

 

 

Ce devait être un triomphe et c’est largement raté. Pire 66% des Français ne souhaitent pas ce retour qui a leurs yeux est essentiellement motivé par un esprit revanchard de l’ l’intéressé. Lancien président  ne parvient pas à effacer son bilan, ni à gommer sa personnalité autant de Français considèrent qu’il n’est pas sympathique. Le  retour de l’ex-chef de l’Etat dans la vie politique semble mal  donc accueilli : 66% des Français interrogés ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se présentent à l’élection présidentielle de 2017.  Un retour raté ? Deux tiers des Français (66%) et 39% des sympathisants de droite ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se présente à l’élection présidentielle de 2017, selon un sondage Odoxa pour le journal « Le Parisien » diffusé ce week-end. La campagne pour la présidence de l’UMP a semble-t-il dégradé l’image de l’ex-chef de l’Etat. Ceux qui souhaitent au contraire que le nouveau président de l’UMP se présente sont 33% et 60% du côté des sympathisants de droite. Ils sont 64% à estimer qu’il n’est « pas sympathique. » Autre impression qui ressort de ce sondage, 61% des Français estiment que le retour de Nicolas Sarkozy sera une « mauvaise chose » pour la vie politique, une proportion en hausse de 7 points par rapport à un sondage équivalent fin septembre, et 58% ont une mauvaise opinion de l’ancien président. Enfin, 73% (+6) des personnes interrogées estiment que Nicolas Sarkozy revient en politique « parce qu’il est animé par un désir de revanche« , contre 26% (-7) « parce qu’il a un vrai projet pour la France« . Même chez les sympathisants de droite, cette idée de revanche est légèrement majoritaire (51%).

 

Manuel Valls à Premier Ministre jusqu’en 2017

Manuel Valls à Premier Ministre jusqu’en 2017

 

Valls a tenu dimanche à réaffirmer sa solidarité totale avec Hollande, pour cela il affirme vouloir l’accompagner comme Premier Ministre jusqu’en 2017. En fait une solidarité habile car Valls sait bien que la gauche n’a aucune chance en 2017 mais par contre qu’en 2022, lui, Valls pourrait être  élu compte tenu de l’usure du pouvoir de la droite pendant la période 2017-2022. Les reformes a effectuer pendant cette période seront en effet difficiles à  faire passer et elles laisseront des traces électorales. Manuel Valls a donc déclaré dimanche 7 décembre sur France 2 être à Matignon « pour assumer les responsabilités » de Premier ministre « jusqu’à la fin du quinquennat » de François Hollande en 2017. « Je veux exercer pleinement cette responsabilité qui est de servir mon pays et j’irai jusqu’au bout tant que j’ai la confiance du président de la République, le soutien de la majorité, la capacité de changer le pays », a affirmé le chef du gouvernement, interrogé à propos des rumeurs évoquant l’hypothèse de son départ de Matignon dans les prochaines semaines. « C’est ce que nous avons convenu avec le président de la République, et je ne suis pas un déserteur, a-t-il ajouté. Je partirai pour préparer je ne sais quelle étape, je ne sais quel destin ? Non ».  Par ailleurs, interrogé par France 2 sur ses relations avec François Hollande, il a répondu: « Nous discutons beaucoup et la base c’est la confiance », « il ne peut pas en être autrement, d’abord par loyauté: c’est ainsi que j’envisage ma fonction ». « Il y a suffisamment de problèmes dans notre pays pour que je n’en rajoute pas », a poursuivi le chef de gouvernement. « Ensemble nous voulons la réussite du pays, nous nous parlons tous les jours, nous nous voyons régulièrement, nous gouvernons ensemble ce pays ». Le président fixe la ligne et lui, exécute, a demandé le journaliste de France 2. « Je n’aime pas ce genre de phrase parce qu’elle ne correspond pas à la réalité », a répondu Manuel Valls. « Et donc c’est ensemble que nous décidons de l’essentiel ».

 

Sondage 2017 : Hollande réélu mais…. s’il y a baisse du chômage

Sondage 2017 : Hollande réélu mais…. s’il y a baisse du chômage

 

 

Apriori Hollande n’a aujourd’hui aucune chance pour 2017 mais en cas de baisse très importante du chômage sa candidature pourrait être recredibilisée d’après un sondage IFOP pour le JDD. Un scénario cependant assez hypothétique quand on sait que la croissance de 1% en 2015 ne pourra pas créer d’emploi et que celle de 2016 sera de 1.5%. Il faut que le PIB soit au moins de 1.5% pour obtenir à nouveau un solde positif d’emplois pour  commencer à inverser la tendance  Interrogés par l’IFOP pour le JDD afin de savoir ce qui pourrait les amener à réviser à la hausse d’ici 2017 leur jugement sur François Hollande, les Français ont choisi de mentionner en premier le scénario d’une « baisse significative du chômage » : c’est le cas de 91% des sympathisants du PS mais aussi de 55% de ceux de l’UMP et de 49% de ceux du Front national.  François Hollande –que ses proches décrivent, à son retour de Moscou où il vient de rencontrer Vladimir Poutine, comme plus que jamais déterminé et persuadé que la présidentielle 2017 n’est pas jouée- est convaincu lui-même que la situation du chômage en France sera le facteur décisif. Il en est si convaincu d’ailleurs qu’il a récemment laissé entendre que la seule chose qui pourrait le décourager d’être candidat à un nouveau mandat en 2017, ce serait que le chômage, aujourd’hui massif, ne recule pas d’ici là. Mais le chef de l’État -qui a toujours cru à sa bonne étoile- n’est plus pessimiste : au fond de lui, il est décidé à briguer un second quinquennat (surtout si Nicolas Sarkozy se retrouve sur sa route) puisque, dit-on dans son entourage, plusieurs clignotants économiques passent actuellement au vert. Et peuvent lui laisser croire que la conjoncture globale, dans les mois qui viennent, va se retourner en sa faveur. « Il s’en sort, dit de François Hollande le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis. Petit à petit, les réformes passent. Il a beaucoup semé, on a beaucoup glosé sur la récolte mais elle viendra à point nommé ».

2017 : Hollande pas candidat ? (Cambadélis)

. 2017 : Hollande pas candidat  ? (Cambadélis)

 

Ce n’est pas la première fois que Cambadélis évoque hypothèse d’une absence de Hollande pour l’élection de 2017 ; récemment encore il avait déclaré que pour Hollande il faudrait d’abord terminer son mandat actuel. Invité d’i-Télé, Cambadélis a cité comme candidats possibles dans une telle hypothèse le Premier ministre Manuel Valls, la maire de Lille Martine Aubry ou l’ex-ministre de l’Economie Arnaud Montebourg. Le chef de l’Etat avait réaffirmé il y a un mois, lors d’une émission de télévision, qu’il n’aurait pas de raison de briguer un second mandat s’il échouait à faire baisser le chômage d’ici la fin de son quinquennat. Depuis, plusieurs membres du gouvernement ont plaidé en faveur d’une primaire à gauche à laquelle il serait inédit qu’un président sortant se confronte, et François Hollande semble s’être fait à l’idée. Un congrès du PS doit se tenir en juin 2015 et la question d’une primaire pourrait y être tranchée avant même que François Hollande se détermine, puisqu’il lui restera deux ans pour voir la courbe du chômage s’infléchir. Appelé à commenter la réorganisation en cours à l’UMP, Jean-Christophe Cambadélis a évoqué des candidats « possibles » du PS, ouvrant une nouvelle fois la voie aux spéculations sur l’identité du représentant socialiste en 2017 même s’il a suggéré que le chef de l’Etat serait décideur. « Je pense que le paysage est plus éclairci à gauche même si le candidat possible, François Hollande, Manuel Valls ou d’autres, sont très bas », a dit le patron du PS. Invité à préciser sa pensée sur le candidat potentiel, il a ajouté : « Si François Hollande n’y allait pas, Manuel Valls, Martine Aubry, que sais-je encore, Arnaud Montebourg, etc.

 

2017, 2017 : l’overdose !

2017, 2017 : l’overdose !

 

Alors que le pays est dans une situation de quasi faillite économique avec une croissance proche de zéro, un chômage qui bat des records chaque mois, des déficits publics abyssaux, les grands médias se consacrent essentiellement depuis des mois à 2017. A gauche pour savoir si Hollande va se représenter, si les primaires auront lieu à droite,  pour savoir si ce sera Sarkozy ou Juppé, au centre s’il y aura ou non un candidat. Bref pendant 3 ans l’actualité risque d’être destinée à épiloguer de manière assez surréaliste sur cette échéance encore lointaine. Alors qu’il y a urgence à redresser le pays. Que sans doute des élections ne changeraient pas grand chose, en tout cas ce que pensent une majorité Français  dans les sondages. On en a oublié cette semaine de donner la place qu’elle méritait à la conjoncture mondiale très déprimée en particulier en Europe mais pas seulement. Il faut dire que tant que les bourses se portent bien, l’  économie réelle a peu d’importance. En fait pour la France la croissance est à peu près à zéro et comme l’ont démontré les derniers chiffres de pôle emploi le chômage atteint de nouveaux records. Le pays ne pourra pas tenir dans ces conditions jusqu’en 2017. D’autant que la société est de plus éclatée, sans repère et  complément  déprimée. L’heure est moins aux échéances électorales de 2017 qu’à un sursaut républicain pour sauver une économie en pleine décomposition. C’est sans doute davantage d’union que de clivages par ailleurs assez artificiels dont a besoins le pays ; pas sûr même qu’une union soit suffisante compte tenu de la médiocrité du personnel politique. Il faudrait peut être passer pendant un temps  par un gouvernement d’experts uniquement centré sur la croissance et le chômage car il n’est pas certain que la France puisse  se payer le luxe d’une fantaisie électorale  de son cortège de balivernes et de promesses  illusoires.

Sondage 2017 : Juppé toujours en tête devant Sarkozy

Sondage 2017 : Juppé toujours en tête devant Sarkozy

 

 

Une élection  finalement assez décevante de Sarkozy à l’UMP où il a gagné facilement mais en perdant 20% des voix en dix ans pose des interrogations, interrogations qui se confirment  dans un sondage comparant Sarkozy et Juppé. Au niveau national,  40% des sondés estiment qu’Alain Juppé dispose le plus de la «capacité à remporter l’élection présidentielle de 2017» contre 25% pour Nicolas Sarkozy. 35% estiment qu’aucun des deux n’a la capacité. Ils sont majoritaires à trouver Alain Juppé plus sérieux (53%) que Nicolas Sarkozy (16%), plus capables de rassembler les électeurs de droite et du centre (47% contre 21%), de représenter l’UMP pour l’élection présidentielle de 2017 (43% contre 27%), par contre chez les sympathisants de droite 43% des sympathisants de droite pensent que le nouveau patron de l’UMP est plus à même de gagner en 2017 qu’Alain Juppé.  On savait déjà – via plusieurs enquêtes d’opinion – que le maire de Bordeaux était le candidat de droite préféré des Français, Nicolas Sarkozy demeurant le favori de la droite. Selon le sondage du JDD, le constat reste le même lorsque l’on demande aux sondés non plus quel candidat ils souhaitent voire représenter la droite, mais quel candidat semble à leurs yeux le mieux placé pour remporter la course à l’Elysée. La bataille pour la primaire n’est pas gagnée pour Sarkozy et tout dépendra de ses modalités ; d’où justement cette volonté de Sarkozy de reprendre la direction de l’UMP pour « maitriser » l’organisation de cette primaire.

 

2017 : pour virer Hollande primaire à gauche pour 75% des Français

2017 : pour virer Hollande primaire à gauche pour  75% des Français

 

Comment virer Hollande François Hollande qui ne fédère que 24% des Français sur son éventuelle candidature en 2017. Pour les trois quarts des interrogés, la gauche devrait organiser des primaires pour choisir son candidat à l’élection présidentielle, selon un sondage Odoxa pour L’Expressla presse régionale et France Inter rendu public mardi 25 novembre. Priés de dire s’ils pensent que la gauche devrait organiser des primaires pour choisir son candidat à la prochaine présidentielle ou s’ils estiment que la gauche n’a pas à organiser de primaires, car en tant que président de la République sortant, François Hollande devrait être le candidat naturel de la gauche, 75% ont choisi la première option. Un peu moins d’un quart, 24%, se sont prononcés contre un primaire de la gauche. 1% ne s’est pas prononcé. Chez les sympathisants de gauche, 73% se sont déclarés pour une primaire à gauche, 26% contre. La proportion en faveur de cette primaire est plus importante, à 75%, parmi les sympathisants de droite, contre 24%.

 

Sondage 2017 : Hollande soutenu par 13% des Français !

Sondage 2017 : Hollande soutenu par 13% des français !

 

Seulement 13 % des Français souhaitent que l’actuel chef de l’État se représente à la présidentielle, et 27 % des sympathisants de gauche, dont 26 % de ceux qui ont voté pour lui au premier tour de la présidentielle en 2012 selon un sondage Opinion Way pour le Figaro . Les chiffres sont plus faibles encore pour François Hollande lorsqu’il s’agit du potentiel de vote à l’occasion de ces primaires. Dans l’hypothèse d’une primaire contre Martine Aubry, Arnaud Montebourg et l’écologiste Cécile Duflot, François Hollande (14 %) arrive 18 points derrière l’actuelle maire PS de Lille (32 %) mais devant l’ancien ministre de l’Économie (12 %), qui lui-même distance l’ancienne ministre du Logement (5 %). Seule configuration favorable au chef de l’État: celle où il se retrouverait seul face à Montebourg. Dans ce cas, Hollande l’emporterait à 24 % mais seulement avec deux points d’avance… Une quasi-égalité. À l’inverse, François Hollande serait nettement distancé si Manuel Valls devait entrer dans le jeu. Hollande, un seul point devant Montebourg, n’obtiendrait que 10 % derrière Valls à 31 % et Aubry à 28 %. Sur l’ensemble des Français, l’ordre d’arrivée reste le même avec le premier ministre en tête et les écologistes loin derrière. Chez les seuls sympathisants socialistes, Manuel Valls l’emporterait devant Martine Aubry avec 6 points d’avance. Frédéric Micheau, directeur des études chez OpinionWay, note dans ce sondage «un net rejet d’une nouvelle candidature du chef de l’État, et un principe très soutenu de la primaire». Quant aux écologistes, son avis est quelque peu lapidaire: «Pour l’instant, la candidature de Cécile Duflot ne recueille qu’un faible écho, proche des résultats d’Eva Joly en 2012.» Selon lui, «sa stratégie de sortie du gouvernement, d’opposition au sein de la majorité, y compris dans une forme de théâtralité, comme lors de l’épisode de la minute de silence à l’Assemblée en mémoire du jeune militant écologiste Rémi Fraisse, ne paye absolument pas».

 

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