Archive pour le Tag '2014 !'

Page 7 sur 7

Fiscalité : augmentation en 2013 mais aussi 2014

Fiscalité : augmentation en 2013 et 2014

Contrairement à ce qu’affirme Moscovici, il y aura bien une augmentation de la fiscalité en 2014. Le poids des prélèvements obligatoires (PO) devrait augmenter cette année et en 2014 pour un montant de quatre milliards d’euros, a annoncé lundi le quotidien économique Les Echos.   »Le poids des prélèvements obligatoires continuera … d’augmenter légèrement l’an prochain, alors qu’il devait être stabilisé », affirme le journal qui ne précise pas ses sources.   »Le taux de PO atteindrait 46,3 % de PIB en 2013 (prévision inchangée), puis 46,5 % en 2014, contre 44,9 % fin 2012, un taux qui égalait jusque-là le record historique de 1999″, écrit Les Echos.  Cette nouvelle hausse des prélèvements de 0,2 point de PIB équivaut « à 4 milliards d’euros », ajoute le quotidien.  Elle « surviendra en dépit du crédit d’impôt compétitivité, qui représentera une baisse d’impôts de 10 milliards en 2014 (mais qui est financée en partie, à hauteur de 6 milliards, par des hausses de TVA), poursuit-il.   »Au final, les prochains textes budgétaires comprendront donc un solide volet de prélèvements fiscaux et sociaux, supérieur à 10 milliards d’euros », remarque-t-il.  Les Echos rappellent à cet égard que « le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, a déjà annoncé une donnée clef : le gouvernement entend réduire le déficit structurel (hors effets de la conjoncture) de 1 point de PIB l’année prochaine, soit un nouvel effort de quelque 20 milliards d’euros en perspective. »  Il s’agit d’ un « effort incontournable pour la France, qui veut ramener son déficit à 2,9 % de PIB en 2014, après 3,7 % cette année », note encore le quotidien économique. « Si le gouvernement s’est appuyé essentiellement sur des hausses de prélèvements en 2013, il a promis de concentrer le tir sur les dépenses en 2014 : les mesures de redressement porteront aux deux tiers environ sur des économies. »

Déficit- Cazeneuve « 3% » du PIB » en 2014 ou 2024 ?

Déficit- Cazeneuve « 3% » du PIB » en 2014 ou 2024 ?

C’était sûr le déficit devait être ramené à 3% en 2013, pas de chance on a plongé à 4.8% en 2012 ; alors on repousse en 2014 sans aucune garantie car il faudrait à la fois cumuler de fortes économies et des recettes d’une croissance improbable. Au moins ça ne mange pas de pain et ça rassure la commission européenne qui n’en connaît pas davantage sur le sujet que notre ministre. Le ministre du Budget Bernard Cazeneuve a estimé samedi que la France devait « se conformer » à une réduction de son déficit public à 3% du produit intérieur brut fin 2014, dans un entretien accordé au Monde, alors que Bruxelles réclame qu’il s’établisse « nettement en dessous ».   »L’objectif est de se conformer aux 3% », a répondu M. Cazeneuve à la question: « Faudra-t-il faire 3% de déficit en 2014 ou, comme l’a demandé (le commissaire européen aux Affaires économiques) Olli Rehn, +nettement+ moins ? ».   »Il faudra pour cela la plus grande rigueur », a ajouté le nouveau ministre délégué chargé du Budget.  Le gouvernement a déjà abandonné il y a un mois l’espoir de réduire les déficits de l’Etat, de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales à 3% du PIB dès cette année comme il s’y était engagé vis-à-vis de ses partenaires européens.  Il négocie actuellement un délai avec la Commission européenne. Bruxelles réclame en échange que le déficit public s’établisse « nettement en dessous de 3% » en 2014.   »Les discussions se passent bien », a affirmé le ministre. « Il y a un climat de confiance qui doit être entretenu. C’est pour cela que la France ne saurait déroger à ses objectifs de réduction des déficits », a-t-il ajouté.  Il a par ailleurs réaffirmé que la réduction des dépenses publiques représenterait « l’essentiel de l’effort en 2014″.  Les services publics « risquent d’être mis en cause si nous laissons filer dettes et déficits », a-t-il ajouté. Il a dit souhaiter « que l’ensemble des opérateurs de l’Etat et autres délégations interministérielles voient leur action précisément évaluée pour éviter doublons, frais de structures et dépenses inutiles ».  Interrogé sur l’annonce faite jeudi par le président François Hollande selon laquelle la taxe à 75% sur les revenus supérieurs à un million d’euros serait finalement payée par les entreprises, M. Cazeneuve a rejeté l’idée que cela puisse compromettre les relations avec les entrepreneurs.   »Cette décision ne concernera que les entreprises qui choisissent de distribuer des rémunérations très élevées, je dirais même indécentes, alors que l’ensemble des salariés font des sacrifices », a-t-il argué. « Le gouvernement doit réconcilier les Français avec les entreprises », a-t-il ajouté.

 

 

Hausse de la TVA en 2014 ?

Hausse de la TVA en 2014 ?

 

Christian Eckert, le rapporteur du budget à l’Assemblée a répondu aux questions de BFMBusiness.com. (BFMBusiness.com)

Vous avez proposé, avec d’autres députés socialistes, un changement des taux de TVA. Quel accueil ont-elles reçu de la part du gouvernement?

Elles n’ont pas reçu un accueil très enthousiaste, hormis sur un point déjà acquis, à savoir la baisse de la TVA sur le logement social et sur les travaux dans le logement social. Il ne faut pas oublier –et je pense notamment à Jean-Louis Borloo- que c’est le gouvernement précédent qui l’avait augmenté de 5 à 7% ! A l’époque, ça n’avait pas l’air de le choquer. Nous, nous allons le baisser et le ramener à 5%. Donc M. Borloo n’a pas de leçon à nous donner. Nous avons effectivement proposé une modulation des taux de TVA, que nous avons calibrée sans changer la recette globale. Le gouvernement n’a pas l’air d’être favorable au passage du taux intermédiaire de 10 à 9%. Pour le reste, nous proposons d’augmenter le taux normal de 20 à 20,5%. Ce qui reste un taux inférieur à celui pratiqué dans 17 des 27 pays européens. C’est une question qui sera peut-être posée un jour, en raison des équilibres budgétaires nécessaires. Elle sera peut-être même posée en fin d’année par certains. Nous ne sommes qu’au mois de mars. Il nous est impossible de donner les détails du budget 2014. Ma préférence va à une taxation de la partie versante, c’est-à-dire les entreprises qui versent des salaires supérieurs à un million d’euros. Le Conseil d’Etat a rendu son avis, le gouvernement est en train d’y réfléchir. Soit nous présentons une mesure dans la prochaine loi de finances initiale, vers la fin de l’année. Soit nous anticipons -pourquoi pas?- avec une mesure comme celle que je défends dans la loi sur la rémunération des dirigeants de grandes entreprises. Cela pourrait alors se produire au premier semestre de cette année. J’en ai parlé avec le nouveau ministre du Budget (Bernard Cazeneuve, Ndlr). Il y réfléchit.

Economies budget 2014 : 5 milliards en plus

Economies  budget 2014 : 5 milliards en plus

 

5 milliards d’efforts supplémentaires en 2014 réclamés aux ministères et aux administrations. C’est ce que demande Jean-Marc Ayrault dans la lettre de cadrage budgétaire qu’il a adressée ce vendredi 8 mars. Ce matin, François Hollande est allé dans le sens de son Premier ministre en affirmant que cette recherche de nouvelles économies étaient possibles.  Vu l’ampleur des efforts demandés, la forme compte énormément. Ainsi, la lettre de cadrage n’est pas envoyée par le ministre du Budget comme c’est la tradition, mais par Matignon directement. Les économies réclamées sont donc une demande express et formelle de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault. Ensuite, le chef du gouvernement s’y prend très tôt : le montant global des efforts est affiché six mois avant la présentation du projet de budget 2014 ! Maintenant, la balle est dans le camp des administrations et des cabinets ministériels qui vont devoir faire leur propre audit pour proposer des pistes de coupes budgétaires. Ceux-ci vont aller négocier avec les services de Jérôme Cahuzac. « Il y a  des dents qui grincent », nous dit-on à Bercy. Le risque est qu’au final chaque ministre défende son pré carré. Et qu’au total, on soit loin du compte global reclamé par Matignon. Mais la lettre signée Jean-Marc Ayrault est assez précise pour que chaque ministère puisse se faire une idée du niveau de la contribution attendue de lui.  Le grand bal des négociations va durer jusqu’au mois de juillet, quand les « lettres plafonds » seront envoyées à chaque ministère. Chacun saura alors quelle sera l’ampleur exact de ses coupes budgétaires.

Budget: 4 milliards d’économies pour 2014

Budget: 4 milliards d’économies pour 2014

Le ministère de l’Economie et des Finances aurait inscrit dans la lettre de cadrage qui sera adressée cette semaine aux ministères « un effort de quatre milliards d’euros économies », affirme Le Monde mardi, sans préciser s’il s’agit d’économies supplémentaires.   »L’effort d’économies en 2014 pourrait même être de l’ordre de 4 milliards d’euros », écrit le Monde qui y voit une manière de « rassurer la Commission européenne sur la détermination » de la France de ramener le déficit à 3% du produit intérieur brut fin 2014.  Quatre milliards d’euros représentent notamment le montant de crédits que le gouvernement a déjà prévu de redéployer en diminuant l’argent alloué à certaines missions pour financer la politique de l’emploi et celles liées à la lutte contre la pauvreté.  Le gouvernement doit trouver ce même montant pour financer le crédit d’impôt compétitivité (Cice) en 2014.  Le journal n’identifie pas sa source. Interrogé par l’AFP, Bercy s’est refusé à tout commentaire, mais la semaine dernière avait reconnu qu’il y aurait des efforts supplémentaires à faire en 2014.  A Matignon mardi, on a expliqué que « le Premier ministre réserve la primeur de ces lettres aux ministres » qui les recevront vendredi.  La lettre annuelle de cadrage adressée aux ministères lance la préparation du budget de l’année 2014. C’est la même pour tous les ministres qui y découvrent le montant de la dépense de l’Etat pour l’année à venir. Cette année, leur élaboration a été accélérée par rapport au calendrier traditionnel.  Le gouvernement a maintes fois répété ces dernières semaines que l’essentiel de l’effort porterait sur des économies de dépenses de l’Etat mais aussi de ses opérateurs, de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales.  Outre les quatre milliards prévus pour financer l’emploi et la lutte contre la pauvreté, et ceux nécessaires à financer le Cice, le gouvernement a promis 10 milliards d’euros d’économies par an.  Pour financer le Cice, le gouvernement va notamment durcir la règle d’évolution de la dépense de l’Etat, qui hors dette et pensions, diminuera l’an prochain, en valeur absolue, au lieu d’être seulement gelée.  Cette baisse pourrait, selon une source gouvernementale, avoisiner 1,5 milliard d’euros, ce qui comprend une diminution déjà annoncée de 750 millions de la dotation aux collectivités locales, et un effort identique des ministères eux-mêmes qui devra a priori être au moins du même montant.  Les 2,5 milliards d’euros restant viendront de la Sécurité sociale.

Nouvelles hausses d’impôts en 2014?

Nouvelles hausses d’impôts en 2014?

La croissance en berne, les rentrées fiscales baissent et il faut trouver de l’argent pour tenir les engagements pris auprès de Bruxelles : faire passer le déficit public de 3,7% du PIB cette année à 3% en 2014 quand la Commission le prévoit à 3,9%. « Si nous ne faisons rien de plus en matière de fiscalité, l’année prochaine, il y aurait 5 à 6 milliards d’euros d’impôts de moins », a déclaré Jérôme Cahuzac sur Europe 1, expliquant qu’ »en 2013, c’est pour près de 5 à 6 milliards d’euros d’impôts qui ont été levés et qui ne le seront pas en 2014 car ces impôts ne pouvaient l’être qu’une seule année ». Alors comment procéder? Le remède est un cocktail de baisse des dépenses de l’Etat et… d’augmentations des recettes. « Des économies dans la dépense publique sont inévitables, nous avons commencé à en faire, nous continuerons à en faire, non seulement au sein du budget de l’Etat mais au sein des opérateurs, au sein des différentes politiques publiques. (…) Tout ceci a commencé à être évalué et il faut dégager des économies à la suite de ces évaluations », a relevé le ministre. Et côté impôts? Jérôme Cahuzac a tout fait pour éviter le terme, estimant que les « prélèvements obligatoires sont déjà très élevés en France ». « Six milliards d’euros, nous les trouverons dans la poche des uns, des autres, de tout le monde! » a-t-il toutefois concédé, esquissant la future philosophie. Il devrait donc y avoir des hausses d’impôts en 2014, contrairement à ce que l’exécutif martelait il y a encore quelques semaines. Dans le train qui le menait lundi matin à Londres, le ministre de l’Economie Pierre Moscovici s’est borné à réaffirmer que « l’essentiel » de l’effort budgétaire devrait porter dorénavant « sur les économies de dépenses ». François Hollande, samedi, était un peu plus clair : « C’est d’abord par des économies et subsidiairement (nuance sémantique type ENA qui ne change rien !) par des prélèvements supplémentaires que nous devons atteindre nos objectifs », a souligné le chef de l’Etat.

Hollande : « subsidiairement » des impôts nouveaux en 2014

Hollande : « subsidiairement » des impôts nouveaux en 2014

 

L a France n’a même pas fini d’avaler la hausse des impôts de 2013 que déjà Hollande prévoit de nouvelles ponctions mais nuance « subsidiairement » ; une nuance dialectique qui ne change rien au faiat que les impôts en faiat augmenteront encore. Des économies dans « tous les budgets » en 2014. Insistant sur « l’effort considérable » réalisé pour ramener les déficits publics à 4,5% à la fin 2012 (« nos prédécesseurs avaient un niveau de déficit de 7% du PIB »), François Hollande a promis de le poursuivre pour atteindre « l’équilibre » des comptes en 2017: « La trajectoire est bien celle d’aboutir à un équilibre de nos finances publiques » à la fin du quinquennat. « Nous avons fait un efforts structurel considérable comme jamais aucun gouvernement n’en avait fait depuis au moins trente ans », a-t-il plaidé. Il a catégoriquement exclu d’« ajouter de l’austérité » cette année via de nouveaux prélèvements obligatoires: « Nous avons déjà beaucoup demandé aux contribuables et même aux administrations ».

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/

 

Fusion Fiat-Chrysler en 2014

Fusion Fiat-Chrysler en 2014

La fusion entre Fiat et Chrysler se confirme. L’annonce a été faite par Sergio Marchionne, le patron du groupe automobile italien. Le mariage devrait être célébré l’année prochaine. Après Renault-Nissan, PSA-Général Motors, cette fusion devrait donner naissance à un nouveau géant de l’industrie automobile. Quand Fiat devient actionnaire de Chrysler en 2009, le constructeur américain est alors en faillite. Depuis, c’est devenu la planche à billets de Fiat. Sans la contribution de Chryler, le groupe italien aurait été lourdement déficitaire en 2012.   Fiat détient 60% de Chrysler. Sergio Marchionne veut donc aller plus loin. Absorber la filiale américaine permettra de sécuriser l’avenir de Fiat, car contrairement à la marque italienne, Chrysler est présent sur les principaux marchés au monde. Mais avant que la fusion soit effective, l’Italien devra trouver un accord avec l’autre actionnaire de Chrysler, le puissant syndicat automobile américain. L’United Auto Workers (UAW) va vouloir monnayer très cher son désengagement. Autres points délicats à régler, le nom du futur groupe et la localisation de son siège social. Deux questions très sensibles en Italie où Fiat est un symbole de l’industrie nationale.

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Copé : des élections, oui mais pas avant 2014 !

 

Copé : des élections, oui mais pas avant 2014 !

Copé ne lâche rien surtout pas sa mainmise sur l’appareil de l’UMP. Donc pas d’élection avant 2014. Lundi, l’UMP entrera dans sa quatrième semaine de crise. François Fillon et Jean-François Copé doivent d’ailleurs se rencontrer une nouvelle fois pour tenter de trouver une solution au marasme dans lequel est plongé leur parti. En attendant, dans un entretien au Parisien, dimanche, le président proclamé a d’ores et déjà fermé la porte à un nouveau vote anticipé. C’est le dernier point d’achoppement entre les deux parties. Jean-François Copé a certes accepté l’idée d’un nouveau vote, réclamé par le camp Fillon, mais pas avant les municipales de 2014. Et il ne risque pas de changer d’avis : « nous ne pouvons pas nous permettre de repartir dans une campagne interne qui amènerait son nouveau lot de divisions alors que notre famille est déjà fragilisée. Il nous reste quinze mois avant les municipales. Une grande vague bleue est possible. L’urgence est donc au rassemblement et cela doit emporter sur tout le reste », fait-il valoir.

1...34567



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol