Archive pour le Tag '2014 !'

Page 3 sur 7

Investissements industriels : en baisse en 2014

Investissements industriels : en baisse en 2014

C’est la pire nouvelle économique : la baisse des prévisions des investissements. En clair c’est une hypothèque posée sur la croissance et l’emploi des années à venir. Sans développement et innovation de capacités de production, il n’y a guère à espérer que la croissance reprenne,  tout au plus on aura quelque chose comme 1% en 2015 et un tout petit peu plus en 2016. Or sur le terrain de l’emploi, il faut au moins une croissance de 1.5% pour stopper   l’hémorragie  du chômage. Du coup les rentrées fiscales ne seront pas non plus à la hauteur et les prévisions de déficit (3% du PIB prévus en 2015) complètement obsolètes. Les industriels français ont en effet  revu à la baisse leurs prévisions d’investissement pour l’année en cours, qu’ils voient désormais à peu près stables par rapport à 2013, affirme aujourd’hui l’Institut national de la statistique et des études économiques. Interrogés en juillet, les chefs d’entreprises ont revu de trois points à la baisse leur prévision pour 2014 par rapport à ce qu’ils envisageaient en avril, selon un communiqué publié par l’Insee.  Leurs investissements devraient ainsi progresser cette année d’un maigre 1% par rapport à 2013, année marquée par un recul conséquent de 5% (chiffre révisé en hausse) de leurs dépenses destinées à préparer l’avenir. Cette révision à la baisse est une mauvaise nouvelle pour le gouvernement qui espérait que les mesures du pacte de responsabilité allaient provoquer un déclic chez les industriels. En dépit d’une nette révision à la baisse, l’investissement devrait être dynamique cette année dans les industries agricoles et alimentaires (+6%). Il devrait également être robuste dans la fabrication d’équipements électriques et électroniques (+8%).

 

Vendanges 2014: du picrate en abondance, on va pouvoir picoler et retrouver le moral !

Vendanges 2014: du picrate en abondance, on va pouvoir picoler et retrouver le moral !

Au moins une bonne nouvelle, la vendange 2014 devrait être bonne et abondante. Enfin une courbe qui s’inverse. Et le royal  breuvage va peut-être permettre de sortir de la déprime ambiante. A défaut de résultats économiques, on pourra se refugier dans le divin liquide et oublier  la situation calamiteuse du pays. D’ailleurs pour remontre le moral des français, les députés toujours en veine de réglementation pourrait contraindre les foyers à picoler bien davantage. En moyenne seulement 12 % des français déclarent désormais consommer de l’alcool chaque jour. Une consommation en baisse depuis des années surtout celle de vin (au détriment de la bière notamment). Or la vin fait partie du patrimoine français et il convient d’encourager sa consommation. Avec une litre de picrate en moyenne par personne et par jour, on pourrait vraisemblablement inverser la courbe du moral des français, du coup redonner un cap, un projet, une euphorie pour ce pays le plus dépressif du monde. Sur le plan économique la substitution du vin à la bière permettrait de redresser la balance commerciale car la bière est surtout importée. Un bénéfice donc pour les grands équilibres financiers. Sans parler de la dimension sociétale nettement concernant ‘égalité homme femmes. Car les hommes sont 18% à consommer chaque jour de l’alcool contre 6% seulement pour les femmes (une injustice notoire!) ; l’égalité doit aussi concerner  l’absorbation de la vinasse ! De quoi faire aussi économiser des milliards à la sécu car le vin est un excellent substitut aux antidépresseurs. Le cru s’annonce donc  meilleur qu’en 2013. Ce vendredi 22 août, l’établissement public FranceAgrimer a indiqué tabler sur une récolte de 45,4 millions d’hectolitres pour la saison 2014 des vendanges, contre une estimation de 42,3 millions d’hectolitres l’an passé. « Après deux années de récoltes excessivement basses, on revient à quelque chose de plus normal (…). On part sous de bons auspices au démarrage de cette récolte », a déclaré Jérôme Despey, le président de la branche vins de FranceAgriMer, lors d’une conférence de presse à Montreuil.  La production est notamment attendue en hausse en Champagne.  Les vignes ont profité de meilleures conditions météo après deux années calamiteuses, ce qui est « important pour la filière car les stocks étaient très bas, avec des tensions sur l’approvisionnement dans toutes les régions », a souligné Jérôme Despey. « Cela va permettre de se repositionner en termes de compétitivité sur les marchés », estime-t-il. En outre, la qualité est au rendez-vous malgré les pluies de ces dernières semaines, selon lui. »A ce jour il n’y a pas d’inquiétudes dans les différents bassins de production sur l’état sanitaire, qui est bien maîtrisé par les vignerons », assure-t-il.  Mais la météo des prochaines semaines peut encore venir modifier ces prévisions. Les vendanges viennent juste de commencer dans le Languedoc-Roussillon (Chardonnay, Sauvignon, Muscat), en Corse et dans quelques parcelles en Provence. Elles s’étaleront jusqu’en octobre. La Champagne devrait voir sa production augmenter de 17% par rapport à la moyenne quinquennale, à 3,2 millions d’hectolitres, grâce à une météo favorable.  En Languedoc-Roussillon, elle devrait reculer de 8%, à cause d’un « printemps très chaud et sec suivi par des épisodes de grêle très importants dans l’Aude, l’ouest de l’Hérault et le Gard ». Dans le Bordelais, la récolte devrait revenir dans la moyenne quinquennale, à 5,5 millions, et rebondir de 40% par rapport à 2013, année désastreuse à cause de la grêle.  Ces prévisions, réalisées sur la base d’informations récoltées ces deux derniers jours auprès des professionnels, sont légèrement inférieures à celles publiées par le service statistique du ministère de l’Agriculture le 22 juillet (46,4 millions). La moyenne sur 2009-2013 est d’environ 45,6 millions d’hectolitres.

 

Croissance pays du G7 : 1.5% au plus en 2014

Croissance pays du G7 : 1.5% au plus en 2014

 

L’Europe  et surtout Hollande comptait une  la reprise mondiale –qui ne vient pas. Du coup, la reprise a calé au deuxième trimestre au sein  de la zone euro, et l’inflation est tombé à 0,4% en rythme annuel au mois de juillet, accentuant les craintes de déflation. La croissance du secteur privé a faibli de manière plus marquée que prévu en août sur fond de baisse des prix, selon les données provisoires de l’enquête Markit auprès des directeurs d’achat publiée jeudi. « Les risques entourant les perspectives économiques de la zone euro demeurent orientés à la baisse », avait d’ailleurs prévenu le mois dernier le président de la BCE Mario Draghi. Pour Jacob Funk Kirkegaard, chercheur au Petersen Institute of International Economics, le principal problème auquel les banques centrales sont confrontées est que les fondements de la croissance économique mondiale ne sont pas alignés et que les différentes économies ne sont pas en synergie. « Il n’y a aucun pays (actuellement) pour compenser l’affaiblissement », estime-t-il. « Quant à l’éventualité du consommateur américain venant à la rescousse de la demande globale, n’y comptez pas ! » Un diagnostic conforté par les derniers chiffres de l’emploi aux Etats-Unis, qui ont reflété des créations de postes soutenues mais sans hausse des salaires dans le secteur privé et sans amélioration du chômage de longue durée. L’évolution du marché du travail jointe à une croissance économique à un rythme encore modeste ont conduit la présidente de la Réserve fédérale Janet Yellen à tempérer les anticipations d’une hausse des taux directeurs au moins jusqu’à ce que les chiffres sur les créations d’emploi et les salaires montrent que les conséquences de la crise financière sont « complètement effacées ».  La Réserve fédérale a toutefois souligné la rapidité de l’amélioration du marché du travail américain lors de sa dernière réunion de politique monétaire dont le compte rendu a été publié mercredi. La Grande-Bretagne, dont l’économie affiche la croissance la plus forte parmi le groupe des sept principales économies mondiales (G7) est dans une situation comparable. Deux des neuf membres du comité de politique monétaire de la Banque d’Angleterre ont voté en faveur d’un relèvement immédiat des taux lors de la réunion du début du mois, une première depuis trois ans, selon le compte rendu publié également mercredi.  Les indicateurs communiqués depuis cette réunion ont toutefois fait état d’un recul du salaire moyen pour la première fois en cinq ans, d’une chute de l’inflation et d’un ralentissement des créations d’emploi.  Les ventes au détail ont aussi progressé à un rythme moins élevé que prévu en juillet, selon des chiffres officiels publiés jeudi. La Banque d’Angleterre, a dit son gouverneur Mark Carney, attendra que la croissance des salaires soit durable avant de relever les taux, même si cela ne signifie pas nécessairement que celle-ci doive être plus rapide que l’inflation. Mario Draghi et Janet Yellen seront au nombre des banquiers centraux qui se réunissent vendredi à Jackson Hole, dans l’Etat américain du Wyoming, pour le traditionnel symposium annuel à l’invitation de la Fed régionale de Kansas City. Ils risquent d’être à la peine pour faire la part entre ce qui relève de difficultés durables de l’économie mondiale et de ratés passagers. L’économie japonaise s’est ainsi contractée de 6,8% en rythme annualisé au deuxième trimestre, sa contraction la plus forte depuis le séisme et le tsunami de mars 2011, mais le gouvernement espère que celle-ci est principalement imputable à la hausse de la TVA intervenue le 1er avril qui a pesé sur la consommation des ménages De même, le recul des salaires en Grande-Bretagne peut en partie s’expliquer par leur forte hausse un an auparavant après la baisse du taux d’imposition pour les revenus les plus élevés, un effet de base qui a vocation à s’estomper. Il n’en reste pas moins que l’économie du G7 croissent à un rythme bien inférieur à la tendance. Elles ont enregistré une croissance d’un peu plus de 2% l’an en moyenne entre 1981 et 2013 alors que la prévision pour cette année est de moins de 1,5%, avant même la prise en compte des conséquences des tensions géopolitiques.

 

Immobilier: recul de 4% des prix en 2014

Immobilier: recul de 4% des prix en 2014

 

En France les prix de l’immobilier devraient baisser de 4% cette année estime Standard and Poor’s. Dans une étude européenne publiée lundi 28 juillet, l’agence de notation souligne le caractère « résistant » du marché immobilier français, où les prix ne baissent que très modérément — de 1,3% à fin mars, sur douze mois glissants –, en dépit de la faiblesse de l’économie et de la croissance du chômage, et ce en raison d’un « déficit structurel de biens disponibles ». Le marché immobilier français s’avère « chroniquement » incapable de répondre aux besoins liés à une « démographie dynamique », de l’ordre de 400.000 logements par an selon l’Insee, alors que les constructions de logements neufs sont tombées aux alentours de 330.000 l’an dernier, leur plus bas niveau depuis l’année 2000, commente SP. Un autre facteur de soutien des prix est lié aux conditions de crédit particulièrement favorables avec un taux d’intérêt des crédits immobiliers tombés à 2,85% en juin, soit un plus bas historique, note SP. Ces taux très bas soutiennent la demande, « principalement celle des acheteurs les plus solvables ». La demande devrait continuer à soutenir le marché immobilier, puisque seuls 57% des ménages étaient propriétaires de leur logement en France en 2011 contre une moyenne de 67% en Europe. Mais si les taux de crédit immobiliers devaient remonter rapidement en raison « d’un choc externe », dit SP, qui juge cette éventualité « peu probable mais pas impossible »,

Ukraine: récession de 6,5% en 2014

Ukraine: récession   de 6,5% en 2014

vendredi 18 juillet, le Fonds Monétaire International (FMI) a abaissé sa prévision de croissance. « Les perspectives économiques se sont considérablement détériorées et selon les estimations, le PIB va chuter de 6,5% cette année, contre 5% » pronostiqués auparavant, a indiqué le FMI dans un communiqué, en soulignant que le « conflit ajoute » aux difficultés économiques du pays Cette révision est notamment due aux problèmes de collecte des impôts dans les régions de l’Est industriel en proie depuis plus de trois mois à un conflit armé entre forces ukrainiennes et séparatistes prorusses, et à l’augmentation des dépenses militaires.  Une mission du FMI qui a visité Kiev entre le 24 juin et le 17 juillet a par ailleurs jugé, selon ce communiqué, que les conditions étaient réunies pour l’octroi à l’Ukraine d’une nouvelle tranche de 1,4 milliard de dollars. Fin avril, l’institution a donné son feu vert à une aide de 17 milliards de dollars à l’Ukraine et a prévenu que ce plan devrait être « remanié » si Kiev perdait le contrôle de l’est du pays, poumon industriel de l’ex-république soviétique.

 

Ukraine: récession de 6,5% en 2014

Ukraine: récession de  6,5% en 2014

Ce vendredi 18 juillet, le Fonds Monétaire International (FMI) a abaissé sa prévision de croissance. « Les perspectives économiques se sont considérablement détériorées et selon les estimations, le PIB va chuter de 6,5% cette année, contre 5% » pronostiqués auparavant, a indiqué le FMI dans un communiqué, en soulignant que le « conflit ajoute » aux difficultés économiques du pays Cette révision est notamment due aux problèmes de collecte des impôts dans les régions de l’Est industriel en proie depuis plus de trois mois à un conflit armé entre forces ukrainiennes et séparatistes prorusses, et à l’augmentation des dépenses militaires.  Une mission du FMI qui a visité Kiev entre le 24 juin et le 17 juillet a par ailleurs jugé, selon ce communiqué, que les conditions étaient réunies pour l’octroi à l’Ukraine d’une nouvelle tranche de 1,4 milliard de dollars. Fin avril, l’institution a donné son feu vert à une aide de 17 milliards de dollars à l’Ukraine et a prévenu que ce plan devrait être « remanié » si Kiev perdait le contrôle de l’est du pays, poumon industriel de l’ex-république soviétique.

 

Mondial foot 2014 : « Les Allemands plus forts »( Da Fonseca)

Mondial foot  2014 : « Les Allemands plus forts »( Da Fonseca)

 

Il a sans doute raiosn Da Fonseca, les allemands sont théoriquement plus forts que les argentins et sur toutes les lignes. Sur un match évidemment tout peut basculer surtout si l’arbitrage y contribue comme c’est le cas depuis le début du Mondial. Un arbitrage complètement dépassé (y compris sur les hors jeux)  par la vitesse actuelle du football et qui aurait besoin de manière urgente de la vidéo. Tout va trop vite pour des arbitres au profil d’amateur face à des pros surentrainés et parfois truqueurs. Le plus Français des Argentins, Omar Da Fonseca, l’ancien attaquant du PSG et de Monaco dans les années 80, évoque le match de l’Argentine pour la finale de la Coupe du monde 2014 face à l’Allemagne. Le consultant de Bein Sports Omar Da Fonseca était l’invité de RTL ce dimanche 13 juillet, jour de la finale de la Coupe du monde 2014. L’ancien joueur du PSG a livré son pronostic sur le match Allemagne-Argentine. « La chance existe toujours, parce que c’est 90 minutes au départ. Il y a une dimension, un enjeu et tellement d’autres éléments, en dehors des caractéristiques des forces d’une équipe. Mais c’est vrai sur le papier, dans la logique, le rationnel, les Allemands sont plus forts, mieux organisés, meilleurs. Tout indique que l’Allemagne doit gagner. Encore une fois, on est devant l’élément d’une opportunité que l’Argentine fasse l’exploit, car c’est au Brésil et parce que Messi pourra encore une fois remplir un rôle admirable et important« .  Pour Omar Da Fonseca, « La Pulga » est « un joueur qui déroge à toute techniques et stratégies. C’est un joueur de grandes actions et pas du tout de grands matchs. Il ne va pas bonifier le collectif d’une équipe. Il a besoin de se faire oublier, de faire des accélérations« .

 

Mondial foot 2014 : seconde humiliation confirmée pour le Brésil

Mondial foot  2014 : seconde humiliation confirmée pour le Brésil

 

Comme nous l’indiquions vendredi, il fallait s’attendre à une deuxième humiliation du Brésil, c’est fait cette fois de la part de la Hollande vainqueur  trois à zéro ; pas de miracle donc pour cette équipe du Brésil sans âme et sans véritable leader (depuis la blessure de Neymar). Le Brésil qui n’a pas réussi un seul bon match dans ce mondial alors qu’il était donné favori. Toujours la même fébrilité en défense, un manque d’opportunisme en attaque et un milieu assez mollasson. Par parenthèse, il y a  lieu de s’ inquiéter pour la future défense du PSG puisque le Brésil alignait trois joueurs de la future défense parisienne. Il faut s’étonner en particulier de la méforme de Thiago Silva lui qui avait pourtant été si brillant pendant une grande partie de la saison  au PSG.  Finalemenet  - Les Pays-Bas ont battu très facilement le Brésil (3-0), samedi 12 juillet, dans la petite finale du Mondial 2014 et bouclent le tournoi à la troisième place. Le cauchemar aura duré longtemps. Quatre jour après son humiliation face à l’Allemagne en demi-finales (7-1), le Brésil n’a pas su se relever. La « Seleção » s’est inclinée lourdement face aux Pays-Bas lors de la petite finale (3-0), samedi 12 juillet à Brasilia, à la veille de la grande, Allemagne-Argentine (21 heures à Rio) Les « Auriverdes » ne terminent donc même pas sur le podium de « leur » Mondial et laisse cet honneur aux Néerlandais, qui prennent pour la première fois de leur histoire la troisième place de la compétition.  Dès le début, la rencontre s’est emballée. Le Brésil, dépassé dès la première occasion néerlandaise, a réalisé une entame catastrophique en concédant un penalty. Lancé côté droit, Robben a pris de vitesse Thiago Silva qui l’a accroché à la limite de la surface. Le défenseur du PSG, qui aurait dû écoper d’un carton rouge, est seulement averti et van Persie s’est chargé de transformer le penalty (3e). Les Brésiliens ont tenté de réagir dans la foulée mais les Bataves ont enfoncé le clou un peu plus de dix minutes plus tard. Sur un centre de Wijnaldum, David Luiz a remis le ballon de la tête plein axe sur Blind qui, après un double contrôle, a enchaîné en demi-volée (16e). Incapables de construire des actions tranchantes, les Brésiliens, parfois dangereux, s’en sont remis aux coups de pied arrêtés et au jeu long sans trouver véritablement la faille. Le score s’alourdit en fin de match Le jeu s’est considérablement durci au retour des vestiaires, avec des défenses plus rugueuses qui ont multiplié les fautes. Les coéquipiers de Julio César ont été beaucoup plus entreprenants en se créant quelques situations, mais ils ont butté sur une défense néerlandaise bien en place. En fin de rencontre, Wijnaldum a enfoncé définitivement la « Seleção », après un centre de Janmaat (90e+1). Les Pays-Bas terminent donc à la troisième place de la Coupe du monde 2014. De son côté, le Brésil n’avait jamais enchaîné deux défaites sur son sol dans son histoire. La déception sera difficile à oublier.

 

Bac 2014 :  » pas bradé à 88% », (Hamon)

Bac 2014 :  » pas bradé à 88% », (Hamon)

 

 

Chaque année ou presque, surtout quand les gouvernements sont en recherche de popularité, le Bac bat des records de réussite. Cette année près de 88%. Certains se sont encore étonnés de ce nouveau record (d’autant que les enquêtes internationales montrent une nette dégradation générale de l’enseignement en France). Benoît Hamon est revenu sur les résultats du bac vendredi 11 juillet. Le ministre de l’Éducation s’est félicité des bons résultats et a rejeté les critiques, qui affirment que le diplôme aurait été donné. « Le niveau s’améliore », s’est félicité Benoît Hamon vendredi au sujet des taux de réussite au baccalauréat. « Personne ne le donne », s’est défendu le ministre de l’Éducation, assurant qu’il « n’y a pas d’objectif de faire un point de plus [de réussite] chaque année. » Pour Benoît Hamon, « on ne peut pas dire que le bac a été bradé». Le ministre en a profité pour rappeler son combat contre les inégalités sociales. « Les déterminismes sociaux pèsent beaucoup sur votre destin scolaire », a-t-il estimé. Or selon lui, « il existe des phénomènes d’autocensure », notamment chez « les jeunes issus des milieux défavorisés », alors que  »personne n’a le monopole de l’ambition ». Conséquence : le gouvernement va  »réformer les programmes, revoir les modes d’évaluation et d’orientation », a annoncé Benoît Hamon.

 

Mondial foot 2014 : Suarez ne jouera pas avec une muselière

Mondial foot  2014 : Suarez ne jouera pas avec une muselière

 

 

Pour écourter la durée de la sanction, certains avaient imaginé imposer une muselière à Suarez pour l’empêcher de morde les joueurs. Mais La Fifa a rejeté les appels de la Fédération uruguayenne de football et de Luis Suarez, qui contestaient les sanctions infligées pour avoir à nouveau  mordu un joueur lors de la Coupe du monde au Brésil. La peine infligée au joueur uruguayen Luis Suarez pour avoir mordu un joueur lors de la Coupe du monde 2014 ne sera pas allégée. Il devra bien respecter ses neuf matches de suspension en sélection et quatre mois d’interdiction de toute activité liée au football. Les appels de la Fédération uruguayenne de football et de Luis Suarez lui-même ont été rejetés, a annoncé la Fifa ce jeudi 10 juillet.  La Fifa a précisé que la Fédération uruguayenne et le joueur pouvaient tout de même tenter un recours devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) à Lausanne. Luis Suarez ne peut donc pas s’entraîner avec son club, Liverpool, pendant cette période. Il peut seulement être transféré dans un autre club et passer une visite médicale préalable à ce mouvement. Des discussions seraient d’ailleurs engagées entre Liverpool et Barcelone à ce sujet, ont indiqué certains médias début juillet. L’incident avait eu lieu le 24 juin à Natal. Les images télé avaient montré Suarez venir dans le dos du défenseur Giorgio Chiellini et le mordre à une épaule. Le joueur avait nié dans un premier temps, y compris devant la Fifa au moment de présenter sa défense. Puis l’Uruguayen, une fois lourdement sanctionné, avait fini par reconnaître sur sa page Facebook :  »Il est certain que mon confrère Giorgio Chiellini a subi dans son duel avec moi les effets physiques d’une morsure ». L’affaire avait suscité de nombreuses réactions indignées dans le monde mais Suarez avait bénéficié de nombreux soutiens dans son pays, dont celui du président de la République José Mujica. Le chef de l’Etat avait notamment taxé la Fifa de « bande de vieux fils de putes ». José Mujica, qui avait dit auparavant n’avoir vu Suarez « mordre personne », a aussi qualifié de « fasciste » la sanction infligée au joueur. Giorgio Chiellini avait réagi aux excuses de l’attaquant de Liverpool en assurant que l’affaire faisait partie du passé. « Tout est oublié. J’espère que la Fifa réduira ta suspension », avait écrit l’Italien, qui avait déjà jugé « excessive » la punition de Suarez.

Croissance Italie : nulle en 2014

Croissance Italie : nulle en 2014

Pratiquement pas de reprise en 2014  a annoncé lundi l’Institut national de la statistique. « La reprise économique sera probablement plus échelonnée que prévu au début de l’année » a dit l’Istat dans son rapport mensuel, ajoutant que le PIB annuel de la troisième économie de la zone euro devrait être « faiblement positif. » Selon ses prévisions publiées la semaine dernière, la principale organisation patronale italienne, la Confindustria, anticipe une croissance de seulement 0,2% cette année après des contractions de 1,9% en 2013 et 2,4% en 2012. Ces chiffres sont largement inférieurs à l’objectif officiel, de +0,8%, sur lequel le gouvernement de Matteo Renzi a bâti son budget, avant la contraction surprise du PIB au début de l’année. Selon l’Istat, la production industrielle devrait être étale au deuxième trimestre et la croissance PIB, qui avait reculé de 0,1% au premier trimestre, se situer entre -0,1% et +0,3%. L’institut a également mis en garde contre le risque de déflation résultant de la faible dynamique des prix. Selon les chiffres publiés lundi, les prix à la consommation, basés sur l’indice italien des prix à la consommation harmonisés de l’Union européenne, ont progressé à un rythme annualisé de 0,2% en juin, son taux le plus bas depuis près de cinq ans. « Aucun signal clair n’a encore émergé sur le fait que le risque de déflation s’éloigne », a dit l’Istat, ajoutant qu’il anticipait une inflation stable cet été avant une « hausse modérée au cours du reste de l’année. »

 

Croissance: la panne aussi en 2014

 

Croissance:  la panne aussi en 2014

 

Il n’y aura pas de reprise en 2014 et le chômage va dépasser 10%. , l’Insee toujours un peu optimiste prévoit 0.5% ; En faiat on aura du mal à atteindre 0.5%. Après 0% au premier trimestre, l’Insee estime que le PIB va progresser de 0,3% au deuxième, au troisième, et au quatrième trimestre de cette année. Au final, la croissance devrait ainsi s’élever à 0,7% sur l’ensemble de l’année 2014, contre 0,4% en 2013. L’Insee explique que certains aléas qui ont plombé l’économie au début de l’année, tels que les dépenses d’énergie en berne due à l’hiver doux, ou encore les contrecoups d’achats anticipés de véhicules fin 2013, vont disparaître. Mais cela ne sera pas suffisant pour dynamiser l’économie française. L’Insee estime aussi que l’emploi total va progresser de 54.000 postes en 2014, soit grosso modo le même chiffre qu’en 2013 (55.000). Mais ces créations d’emplois ne seront pas suffisantes pour absorber la hausse de la population active. En conséquence, le taux de chômage va progresser pour atteindre 10,2% au deuxième trimestre, pour se stabiliser ensuite sur les deux trimestres suivants. Pour la seule France métropolitaine, le taux de chômage progressera de 0,1%, à 9,8%.  Selon l’Insee, les dépenses de consommation des ménages vont en revanche progresser, cette année de 0,3% en 2014 comme en 2013.  Le pouvoir d’achat des Français devrait se redresser de 0,7%  grâce au moindre dynamisme des impôts et cotisations. Enfin, le taux d’épargne des Français, à plus de 16% au premier trimestre, devrait baisser pour atteindre 15,4%, en moyenne sur 2014.  Après une baisse au premier trimestre, l’investissement des sociétés devrait progresser à un rythme moyen de 0,2% sur les trois derniers trimestres de 2014. Sur l’ensemble de l’année, « les dépenses d’investissement des entreprises rebondiraient modérément de 0,7% », en conclut l’Insee. On peut y voir les premiers effets de la politique pro-compétitivité impulsée par François Hollande et mise en œuvre par Manuel Valls.  Il n’empêche, le climat des affaires s’est dégradé en juin selon l’indicateur publié le  25 juin par l’Insee. Il est ressorti à 92 contre 94 en mai et se maintient en deçà de sa moyenne de long terme, 100.  L’Insee estime que la hausse des prix en France va rester très contenue, avec une hausse de 0,7% d’ici à la fin de l’année 2014.

Croissance trop faible en 2014 et 2015 pour faire reculer le chômage

Croissance trop faible en 2014 et 2015 pour faire reculer le chômage

 

 

Inutile de tourner autour du pot, il n’y aura pas d’amélioration du chômage avant 2016 au moins. En cause :  une croissance trop faible et surtout un manque généralisé de confiance tant de la part des entreprises que des ménages. L’Insee a annoncé mardi prévoir une hausse du taux de chômage au deuxième trimestre, à 10,2% de la population active (9,8% en France métropolitaine), un niveau auquel il se maintiendrait sur le reste de l’année. L’Unedic avait quant à elle relevé le mois dernier sa prévision du nombre de demandeurs d’emploi cette année et prévoit encore une hausse l’an prochain. Selon le gestionnaire de l’assurance chômage, le nombre de chômeurs en catégorie A augmentera de 103.000 en 2014 et de 60.100 en 2015. Pour l’Insee, la croissance de l’économie française sur les trois derniers trimestres de l’année, que l’institut attend à 0,3%, sera trop faible pour faire reculer le chômage. Des économistes estiment qu’il faudrait au moins 0,4% pendant plusieurs trimestres pour voir une amélioration et ils soulignent qu’il y a toujours un décalage de deux à trois trimestres entre la reprise de l’économie et celle de l’emploi. Le patronat et certains économistes soulignent en outre que les entreprises n’ont pas adapté leurs effectifs au recul de l’activité qu’elles ont enregistré ces dernières années, ce qui freinera le rebond espéré quand la croissance reviendra.

Mondial foot 2014 : L’Uruguay « mordante » élimine l’Italie

Mondial foot 2014 : L’Uruguay « mordante »  élimine l’Italie

 

Une équipe très mordante l’Uruguay avec Suarez qui une nouvelle fois a réellement mordu un adversaire. La Fifa a ouvert des procédures disciplinaires contre l’attaquant de l’Uruguay, Luis Suarez, qui a mordu le défenseur italien Giorgio Chiellini, a indiqué dans la nuit de ce mardi à mercredi l’instance du foot mondial. Selon les textes en vigueur dans le règlement Fifa, le joueur de Liverpool, récidiviste en la matière, risque une lourde sanction qui pourrait le priver de la suite du Mondial 2014 au Brésil avec l’Uruguay, qualifié ce mardi pour les 8e de finale. Alors que la Celeste était techniquement éliminée à ce moment du match (0-0), Luis Suarez a une nouvelle fois été l’auteur d’un très vilain geste.  Luis Suarez est malheureusement coutumier du fait. Suspendu douze matches en début de saison, le meilleur buteur de Premier League avait très clairement mordu le bras du défenseur de Chelsea Branislav Ivanovic. Dommage Suez est l’un des meilleurs jouer du monde  mais sans dote aussi l’un des plus détestables .

Croissance 2014 : inférieure aux prévisions

Croissance 2014 : inférieure aux prévisions

 

L France n’ atteindra pas ses objectifs, la croissance restera molle 0.7% au lieu de 1% ; du coup la prévision de déficit est auusi remise en cause et le chômage va continuer d’augmenter. En effet  a croissance de l’économie française ne devrait pas dépasser 0,7% cette année, selon les dernières prévisions de l’Insee publiées mardi, qui mettent à mal les objectifs du gouvernement d’une croissance du PIB de 1%, d’inversion de la courbe du chômage et de réduction du déficit public. La hausse du produit intérieur brut de la France serait de 0,3% au deuxième trimestre (prévision inchangée) comme aux troisième et au quatrième, après une stagnation au premier. « La croissance trimestrielle serait ainsi la même en France et en moyenne dans la zone euro », écrit l’Insee dans sa note de conjoncture trimestrielle. « Les moteurs en seraient en revanche légèrement différents: davantage de consommation en France, un investissement plus dynamique dans le reste de la zone euro. » Ce niveau d’activité serait insuffisant pour faire baisser le chômage, dont le taux augmenterait à 10,2% au deuxième trimestre et se maintiendrait à ce niveau sur le reste de l’année (après 10,1% au premier) et 9,8% en métropole. Le ministère des Finances a répondu qu’il maintenait sa prévision d’une croissance de 1% de l’économie cette année, estimant que la réaction des entreprises au versement du crédit d’impôt compétitivité emploi et à la baisse des cotisations prévue dans le pacte de responsabilité aura un effet positif sur l’activité supérieur à celui prévu par l’Insee. Au deuxième trimestre, la production manufacturière serait légèrement plus dynamique que prévu auparavant, avec une progression de 0,4% (+0,3% prévu en mars), estime l’Insee. La consommation des ménages augmenterait de 0,5% (0,6% prévu en mars), tandis que l’investissement reculerait de 0,1% (-0,3% prévu en mars). La contribution du commerce extérieur serait quant à elle légèrement positive alors qu’elle était attendue nulle auparavant.

12345...7



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol