Archive pour le Tag '2010'

Réforme des Retraites : le ministre du travail piégé par ses propres déclarations de 2010

Réforme des Retraites : le ministre du travail piégé par ses propres déclarations de 2010 !

Réforme des retraites : Dussopt piégé par un député PS qui a reposé la même question que lui en 2010

Le ministre du travail été piégé à l’Assemblée nationale par la lecture de ses propres déclarations incendiaires contre la réforme des retraites de 2010. À l’époque évidemment Olivier Dussopt se situait er du côté des radicaux du parti socialiste en particulier de Martine Aubry. C’est en 2017 sitôt son élection sur étiquette PS qu’il a changé complètement d’ écurie et de position.

le député socialiste Inaki Echaniz, député PS des Pyrénées-Atlantiques, a posé une question semble-t-il banale, mais en réalité piégeuse, au ministre du Travail. Depuis quelques jours, celui-ci doit porter et défendre la réforme des retraites au Parlement.

L’élu de la Nupes commence alors à interpeller le membre du gouvernement : «La concertation que vous avez promise apparaît pour ce qu’elle est, un simulacre destiné à faire croire que vous avez d’autres priorités que celles que vous souffle le Medef et un mépris pour les propositions faites par les autres partenaires sociaux, que vous recevez finalement sans les écouter ni les entendre.» Et d’ajouter en guise de conclusion : «Allez-vous réellement prendre en compte les propositions des différents partenaires sociaux ou allez-vous imposer une réforme déjà décidée par l’Élysée ?»

Une apostrophe qui n’évoque alors rien au ministre du Travail, répliquant au député socialiste comme si de rien n’était. Olivier Dussopt indique alors que le projet de loi des retraites «n’est pas le même qu’avant la concertation». «Est-ce que ces avancées ont permis de trouver un accord? La réponse est non. Ce n’est pas parce qu’il y a des convergences qu’il y a un accord global sur la réforme que nous proposons», pointe le ministre…qui ne s’attend pas à la réaction du parlementaire Nupes.

«Je vous remercie la main sur le cœur pour avoir répondu à la question que vous aviez vous-même posée le 4 mai 2010 à Éric Woerth, ministre en charge de la réforme des retraites de Nicolas Sarkozy», rétorque alors Inaki Echaniz, sous les applaudissements et les sourires de ses collègues de gauche.

Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, Olivier Dussopt n’était alors qu’un député socialiste de l’Ardèche qui combattait le report de l’âge légal de départ de 60 à 62 ans, sans la notoriété qu’il a en 2023. Treize ans plus tard, il porte le rehaussement du seuil légal de 62 à 64 ans. Ayant rejoint le gouvernement d’Édouard Philippe et donc Emmanuel Macron en novembre 2017, le ministre est régulièrement sous le feu des critiques des députés socialistes qui l’accusent de trahison.

Retraites : le ministre du travail piégé par ses propres déclarations de 2010 !

Retraites : le ministre du travail piégé par ses propres déclarations de 2010 !

Réforme des retraites : Dussopt piégé par un député PS qui a reposé la même question que lui en 2010

Le ministre du travail été piégé à l’Assemblée nationale par la lecture de ses propres déclarations incendiaires contre la réforme des retraites de 2010. À l’époque évidemment Olivier Dussopt se situait er du côté des radicaux du parti socialiste en particulier de Martine Aubry. C’est en 2017 sitôt son élection sur étiquette PS qu’il a changé complètement d’ écurie et de position.

le député socialiste Inaki Echaniz, député PS des Pyrénées-Atlantiques, a posé une question semble-t-il banale, mais en réalité piégeuse, au ministre du Travail. Depuis quelques jours, celui-ci doit porter et défendre la réforme des retraites au Parlement.

L’élu de la Nupes commence alors à interpeller le membre du gouvernement : «La concertation que vous avez promise apparaît pour ce qu’elle est, un simulacre destiné à faire croire que vous avez d’autres priorités que celles que vous souffle le Medef et un mépris pour les propositions faites par les autres partenaires sociaux, que vous recevez finalement sans les écouter ni les entendre.» Et d’ajouter en guise de conclusion : «Allez-vous réellement prendre en compte les propositions des différents partenaires sociaux ou allez-vous imposer une réforme déjà décidée par l’Élysée ?»

Une apostrophe qui n’évoque alors rien au ministre du Travail, répliquant au député socialiste comme si de rien n’était. Olivier Dussopt indique alors que le projet de loi des retraites «n’est pas le même qu’avant la concertation». «Est-ce que ces avancées ont permis de trouver un accord? La réponse est non. Ce n’est pas parce qu’il y a des convergences qu’il y a un accord global sur la réforme que nous proposons», pointe le ministre…qui ne s’attend pas à la réaction du parlementaire Nupes.

«Je vous remercie la main sur le cœur pour avoir répondu à la question que vous aviez vous-même posée le 4 mai 2010 à Éric Woerth, ministre en charge de la réforme des retraites de Nicolas Sarkozy», rétorque alors Inaki Echaniz, sous les applaudissements et les sourires de ses collègues de gauche.

Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, Olivier Dussopt n’était alors qu’un député socialiste de l’Ardèche qui combattait le report de l’âge légal de départ de 60 à 62 ans, sans la notoriété qu’il a en 2023. Treize ans plus tard, il porte le rehaussement du seuil légal de 62 à 64 ans. Ayant rejoint le gouvernement d’Édouard Philippe et donc Emmanuel Macron en novembre 2017, le ministre est régulièrement sous le feu des critiques des députés socialistes qui l’accusent de trahison.

Climat–Fin des glaciers d’ici 2010

Climat–Fin des glaciers d’ici 2010

Dans une étude qui doit faire l’objet d’une publication ce vendredi dans la revue scientifique Science, une équipe internationale, comprenant des chercheurs du CNRS et de l’université Toulouse III – Paul Sabatier, rapporte que les glaciers dans le monde font face à une disparition plus rapide qu’anticipée à horizon 2100.

Dans un communiqué, le CNRS explique que « selon leurs travaux, cette perte augmente de 14% à 23% par rapport aux précédentes projections, notamment celles ayant alimenté le dernier rapport du GIEC », le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat, mis en place par l’ONU.

Ces projections ont de quoi inquiéter: en limitant le réchauffement climatique à +1.5°C, les auteurs anticipent que 49% des glaciers existant en 2015 auront disparu en 2100, entraînant une élévation du niveau de la mer de 9 centimètres. Cela correspond à une masse de glace perdue de 26%.

L’étude montre que les glaciers reculent à un rythme accéléré depuis 2000, comme l’indiquait aussi l’Unesco dans un rapport publié en novembre. « Ils perdent actuellement 58 milliards de tonnes de glace chaque année, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’eau combinée de la France et de l’Espagne, et sont responsables de près de 5 % de l’élévation du niveau de la mer observée à l’échelle mondiale », alertait déjà l’Unesco.

L’étude montre également que certains glaciers sont voués à disparaître d’ici la fin du siècle. Il s’agit principalement des plus petits, alors que la majorité des glaciers de notre planète sont « inférieurs à 1 km² », selon le CNRS.

Les scientifiques estiment que même dans le scénario où le réchauffement de la planète est limité à +1.5°C en 2100, tous les petits glaciers disparaîtront. Cet objectif paraît déjà difficile à atteindre le rapport de compilation des travaux internationaux sur le climat United in Science 2022, publié par l’ONU en septembre, évaluait que les ambitions des engagements nationaux d’atténuation du réchauffement climatique pour 2030 devaient être sept fois supérieurs à leur niveau de novembre 2021 pour parvenir à contenir le réchauffement climatique à +1.5°C.

Environnement-Fin des glaciers d’ici 2010

Environnement-Fin des glaciers d’ici 2010

Dans une étude qui doit faire l’objet d’une publication ce vendredi dans la revue scientifique Science, une équipe internationale, comprenant des chercheurs du CNRS et de l’université Toulouse III – Paul Sabatier, rapporte que les glaciers dans le monde font face à une disparition plus rapide qu’anticipée à horizon 2100.

Dans un communiqué, le CNRS explique que « selon leurs travaux, cette perte augmente de 14% à 23% par rapport aux précédentes projections, notamment celles ayant alimenté le dernier rapport du GIEC », le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat, mis en place par l’ONU.

Ces projections ont de quoi inquiéter: en limitant le réchauffement climatique à +1.5°C, les auteurs anticipent que 49% des glaciers existant en 2015 auront disparu en 2100, entraînant une élévation du niveau de la mer de 9 centimètres. Cela correspond à une masse de glace perdue de 26%.

L’étude montre que les glaciers reculent à un rythme accéléré depuis 2000, comme l’indiquait aussi l’Unesco dans un rapport publié en novembre. « Ils perdent actuellement 58 milliards de tonnes de glace chaque année, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’eau combinée de la France et de l’Espagne, et sont responsables de près de 5 % de l’élévation du niveau de la mer observée à l’échelle mondiale », alertait déjà l’Unesco.

L’étude montre également que certains glaciers sont voués à disparaître d’ici la fin du siècle. Il s’agit principalement des plus petits, alors que la majorité des glaciers de notre planète sont « inférieurs à 1 km² », selon le CNRS.

Les scientifiques estiment que même dans le scénario où le réchauffement de la planète est limité à +1.5°C en 2100, tous les petits glaciers disparaîtront. Cet objectif paraît déjà difficile à atteindre le rapport de compilation des travaux internationaux sur le climat United in Science 2022, publié par l’ONU en septembre, évaluait que les ambitions des engagements nationaux d’atténuation du réchauffement climatique pour 2030 devaient être sept fois supérieurs à leur niveau de novembre 2021 pour parvenir à contenir le réchauffement climatique à +1.5°C.

Fin des glaciers d’ici 2010

Fin des glaciers d’ici 2010

Dans une étude qui doit faire l’objet d’une publication ce vendredi dans la revue scientifique Science, une équipe internationale, comprenant des chercheurs du CNRS et de l’université Toulouse III – Paul Sabatier, rapporte que les glaciers dans le monde font face à une disparition plus rapide qu’anticipée à horizon 2100.

Dans un communiqué, le CNRS explique que « selon leurs travaux, cette perte augmente de 14% à 23% par rapport aux précédentes projections, notamment celles ayant alimenté le dernier rapport du GIEC », le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat, mis en place par l’ONU.

Ces projections ont de quoi inquiéter: en limitant le réchauffement climatique à +1.5°C, les auteurs anticipent que 49% des glaciers existant en 2015 auront disparu en 2100, entraînant une élévation du niveau de la mer de 9 centimètres. Cela correspond à une masse de glace perdue de 26%.

L’étude montre que les glaciers reculent à un rythme accéléré depuis 2000, comme l’indiquait aussi l’Unesco dans un rapport publié en novembre. « Ils perdent actuellement 58 milliards de tonnes de glace chaque année, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’eau combinée de la France et de l’Espagne, et sont responsables de près de 5 % de l’élévation du niveau de la mer observée à l’échelle mondiale », alertait déjà l’Unesco.

L’étude montre également que certains glaciers sont voués à disparaître d’ici la fin du siècle. Il s’agit principalement des plus petits, alors que la majorité des glaciers de notre planète sont « inférieurs à 1 km² », selon le CNRS.

Les scientifiques estiment que même dans le scénario où le réchauffement de la planète est limité à +1.5°C en 2100, tous les petits glaciers disparaîtront. Cet objectif paraît déjà difficile à atteindre le rapport de compilation des travaux internationaux sur le climat United in Science 2022, publié par l’ONU en septembre, évaluait que les ambitions des engagements nationaux d’atténuation du réchauffement climatique pour 2030 devaient être sept fois supérieurs à leur niveau de novembre 2021 pour parvenir à contenir le réchauffement climatique à +1.5°C.

Prix du pétrole : au plus bas depuis 2010

Prix du pétrole : au plus bas  depuis 2010

La baisse des cours découle directement de la situation mondiale notamment des mauvais résultats économiques de la Chine et de l’Europe. La demande diminuant, les prix régressent d’autant que la production de pétrole, elle, ne diminue pas.il n’ya actuellement aucune raison pour que ces cours remontent car la crise mondiale est peut -être encore plus profonde qu’on ne le dit. Les cours du Brent de mer du Nord se maintiennent vendredi sous le seuil de 90 dollars le baril, après avoir touché leur plus bas niveau depuis 2010, tandis que l’Arabie saoudite a annoncé avoir augmenté sa production en septembre, relançant les spéculations sur une guerre des prix de l’OPEP. La forte hausse de la production de pétrole en Amérique du Nord et une croissance économique mondiale morose pourraient inciter les pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) à réduire leur production lors de leur réunion prévue le 27 novembre, dans le but de juguler la chute de 25% des prix de l’or noir depuis juin. Mais l’annonce par l’Arabie saoudite d’une hausse de 100.000 barils par jour de sa production en septembre soulève des interrogations sur la volonté du premier exportateur mondial d’agir unilatéralement. « C’est la panique. La panique et la capitulation. Nous sommes en terrain inconnu », estime Carsten Fritsch, analyste matières premières chez Commerzbank. « La déroute va continuer jusqu’à ce que l’OPEP dise: ‘ça suffit’. » Le baril de Brent livraison novembre cédait encore 78 cents à 89,27 dollars à 12h15 GMT. Le contrat est auparavant tombé à 88,11 dollars, son plus bas niveau depuis décembre 2010. Le brut léger américain chutait de 1,11 dollar à 84,67 dollars le baril. Le West Texas Intermediate ou WTI, a touché un plus bas du jour à 83,59 dollars, son plus bas niveau depuis juillet 2012. Dans son rapport mensuel, l’OPEP a également fait état d’une hausse de la production de l’Irak et la Libye, malgré les violences secouant ces deux pays membres de l’organisation. Au total, la production de l’OPEP a augmenté de 400.000 bpj en septembre, à 30,47 millions bpj.




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