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Social-Jusqu’à 200 000 emplois au moins menacés

Social-Jusqu’à 200 000 emplois au moins menacés

Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, demande dans une interview à « La tribune » un moratoire sur les licenciements pour « préserver l’outil industriel ».

Plusieurs grandes entreprises, comme Auchan, Michelin, annoncent des plans de licenciement, des fermetures de sites. Vous êtes inquiète  ?

SOPHIE BINET - La CGT alerte depuis des mois. Quand j’ai rencontré Michel Barnier, qui arrivait à Matignon, je lui ai présenté une liste de plus de 180 plans sociaux, que nous avons recensés. Aujourd’hui, cette liste frôle les 200. Et il y en aura d’autres. Dans l’automobile, chez les constructeurs, les équipementiers, mais aussi dans la chimie, etc.  : tous les secteurs sont impactés. Tous les jours, il y a de nouvelles annonces. Dans le secteur bancaire, le CCF vient, par exemple, d’annoncer près de 1 000 suppressions de postes. Ces dernières semaines, la catastrophe sociale s’accélère…

Le chômage va remonter  ?

C’est inévitable. On estime que plus de 150  000 emplois vont disparaître, probablement plus. Car il y a un effet domino sur toute la chaîne de sous-traitance. Les plans de licenciement des grands donneurs d’ordres entraînent toujours des suppressions de postes dans les petites entreprises. Nous sommes au début d’une violente saignée industrielle… Une saignée due chaque fois à la même stratégie de ces entreprises.

C’est‑à-dire  ?

La stratégie consistant à toujours augmenter les marges. Et donc les prix. Dans l’automobile, les constructeurs font le choix de sortir des véhicules électriques chers, à 40  000, 50  000, 60  000, 70  000 euros, alors qu’ils pourraient en faire de beaucoup moins chers, produits en France, plus petits, d’une autre génération, qui se vendraient mieux. Ce sont les mêmes qui refusent d’augmenter les salaires. Cela produit donc une chute de la demande. Le problème, c’est la boucle prix/profits  !

En parallèle, les entreprises affrontent une concurrence chinoise féroce, un contexte international difficile…

Certes, mais toutes font aussi le choix de distribuer toujours plus de profits aux actionnaires. On atteint des records de versement de dividendes. Chez Michelin, par exemple, le groupe fait entre 2 et 3 milliards d’euros de bénéfices chaque année et distribue 1 milliard en dividendes. Mais il ferme les sites pour financer le coût du capital. C’est inacceptable. Cette catastrophe sociale confirme le naufrage de la politique de l’offre d’Emmanuel Macron. Elle laisse les multinationales et les fonds d’investissement faire la pluie et le beau temps et coûte « un pognon de dingue », avec près de 200 milliards d’euros d’aides aux entreprises sans conditions, sans contreparties.

Michel Barnier dit qu’il va demander des comptes aux entreprises qui ont touché de l’argent public.

C’est avant le versement des aides qu’il faut en demander  ! En instaurant un avis conforme, pour qu’une entreprise ne puisse pas toucher d’aides si l’avis des représentants du personnel est défavorable. C’est de la prévention, qui permettrait de déclencher des signaux d’alarme. Chez Sanofi, par exemple, nous aurions pu dire  : «  Non, Sanofi n’a pas le crédit impôt recherche parce qu’il licencie des chercheurs depuis des années. » Il faut aussi que ces aides s’accompagnent d’une véritable transparence que les représentants du personnel n’ont pas aujourd’hui. À la CGT, nous demandons que ces aides soient conditionnées au maintien de l’emploi. Si une entreprise licencie, elle les rembourse. Ces aides aux entreprises, aujourd’hui, ce sont des chèques en blanc.

Visiblement, Marc Ferracci n’a pas compris son rôle : il n’est pas ministre des licenciements, mais de l’Industrie !

 

Pour vous, il est urgent de revoir le système.

Oui, parce que c’est un levier puissant d’intervention de l’État sur l’économie. S’il réoriente les aides publiques, les conditionne à certains critères, les centre sur les entreprises qui en ont vraiment besoin, il peut agir sur l’économie. Mais, aujourd’hui, il y en a tellement que le gouvernement n’est même plus capable de les évaluer, alors qu’elles représentent un tiers du budget de l’État. La solution pour soutenir notre industrie, ce ne sont pas des aides aux entreprises, captées par les plus grandes, c’est une vraie politique industrielle.

Marc Ferracci, le ministre de l’Industrie, promet de veiller au meilleur accompagnement social des salariés licenciés.

Le ministre installe l’idée qu’il n’y a plus lieu de se battre : « prenez le chèque et taisez-vous ». Visiblement, il n’a pas compris son rôle  : il n’est pas ministre des licenciements, mais de l’industrie  ! Les travailleurs ne se battent pas pour avoir des indemnités et partir, ils se battent pour défendre leur emploi. Ils sont tellement en colère  ! Il n’y a pas pire violence sociale que le chômage. Imaginez quand vous travaillez dans une usine depuis vingt, trente, quarante ans et qu’en dix minutes, comme à Michelin, vous apprenez sa fermeture  ! C’est pourquoi, à la CGT, nous demandons un moratoire sur les licenciements, pour éviter ces drames et préserver notre outil industriel, nos qualifications. L’Allemagne l’a fait pendant la crise de 2008-2009, nous l’avons fait pendant le Covid… Il faut geler ces licenciements, exiger une pause et permettre aux salariés, aux pouvoirs publics, aux collectivités locales, aux directions de trouver des alternatives, des repreneurs, de reconvertir les activités, etc. D’ailleurs, dans de nombreux cas, la CGT a des projets de reconversion des sites, comme à Chapelle Darblay et Gardanne, par exemple, mais nous ne sommes pas entendus.

 

En ce moment, dans le cadre de la réforme de l’assurance chômage, vous négociez avec le patronat et les autres syndicats sur l’emploi des seniors. Ils seront les premiers impactés par ces licenciements  ?

C’est évident, ce sont toujours les premiers dans les plans de suppression d’emplois. Je crains des mesures de régression pour ces salariés seniors. La CGT se bat pour qu’il n’y ait pas de recul de droits des privés d’emploi au moment où les licenciements se multiplient. Le problème, c’est que le gouvernement, dans cette négociation, veut encore nous imposer des économies. Alors qu’au vu de la situation il faudrait au contraire renforcer les protections, mettre en place une sécurité sociale professionnelle environnementale, des dispositifs mutualisés au niveau des branches pour les transitions collectives, etc.

En même temps, on le voit à l’occasion de la discussion budgétaire, l’État n’a pas d’argent.

La dette a été créée par cette politique de l’offre au service des plus riches et des plus grandes entreprises, pas question que l’on demande encore au monde du travail de payer la facture  ! Le budget d’austérité proposé par le gouvernement va d’ailleurs avoir un effet récessif violent et aggraver la casse sociale. Quand il impose 5 milliards d’économies aux collectivités territoriales, ce sont des investissements en moins, par exemple pour rénover des collèges ou des lycées… Ce sont des coupes dans les dépenses sociales. On voit déjà, faute d’argent, des licenciements dans des structures d’action sociale, des associations. C’est lunaire.

Foot Le Havre-PSG : 200 000 téléspectateurs illégaux !

Foot Le  Havre-PSG : 200 000 téléspectateurs illégaux ! 

 

Mécontentes du tarif, jugé trop cher (29,99€ par mois avec engagement d’un an ou 39,99€ mensuels sans engagement) de l’abonnement fixé par DAZN pour regarder les matchs du championnat de France de football, pas moins de 200.000 personnes ont pu suivre la rencontre Le Havre-PSG, sans débourser le moindre centime d’euro, affirme L’Équipe.

 

En toute illégalité. Depuis hier après-midi, #BoycottDAZN puis #DAZN sont les tendances les plus suivies sur X (ex-Twitter). Parmi ces fraudeurs, des observateurs qui s’étaient toujours refusés à franchir le pas et qui l’ont fait pour la première fois vendredi soir. Le tarif prohibitif de DAZN a été la goutte de trop.

 Entre 2 et 2,5 millions de Français consommeraient illégalement des contenus par le biais de l’IPTV (“Internet Protocol Television”). Un chiffre deux fois plus élevé que les 1,5 million d’abonnés que vise Shay Segev, le DG de DAZN.

Manif 13 octobre :entre 100 et 200 000 participants

Manif 13 octobre :entre 100 et 200 000 participants

La manifestation du 13 octobre n’a pas connu de participation massive puisqu’on compte seulement entre 100 000 et 200 000 participants selon les décomptes des syndicats et de la police.
En cause, le fait que cette journée n’appelait pas de façon impérative à des arrêts de travail sauf dans les transports et la santé.

Surtout l’agenda médiatique a laissé peu de place à la mobilisation sociale. Depuis une semaine toute l’actualité est centrée sur la guerre entre le Hamas et Israël.

Enfin ce vendredi s’est déroulé ce terrible assassinat d’un professeur à Arras dont le compte rendu a meublé la totalité des informations des médias.

A Paris la manifestation s’est élancée peu après 14h depuis la place d’Italie, dans le 13e arrondissement de Paris. En tête de cortège se trouvaient la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet mais aussi son homologue de la CFDT Marylise Léon. Sur la bannière qu’elles portaient, l’on pouvait lire : «Pour l’augmentation des salaires, pour l’égalité femmes-hommes, contre l’austérité, mobilisés en France et en Europe».

L’un des enseignements que l’on peut tirer de cette moindre participation c’est que la vie sociale et politique est souvent régulée par la thématique médiatique du moment. Un événement chasse l’autre et l’écrase. Le pouvoir et l’opinion sont de plus en plus sensibles à cette conjoncture médiatique, c’est-à-dire aux événements du moment, ce qui pour partie explique les incohérences des politiques de long terme.

Covid: les chiffres explosent avec 200.000 cas positifs en 24 heures

Covid: les chiffres explosent avec 200.000 cas positifs en 24 heures

il y a déjà un moment que les chiffres progressent de manière exponentielle en quelques jours;  on a ainsi constaté un doublement des cas de contamination quotidien sont passés de 60 000 en moyenne quotidienne sur une semaine à 120 000. Et pour toute réponse la première ministre a proposé de rétablir un pass aux frontières.  Autant dire pas grand-chose alors que la situation aurait dû provoquer une mobilisation du gouvernement pour remettre en place des mesures d’hygiène et de vaccination.

Pour le ministre de la Santé François Braun. La septième vague épidémique « augmente ces derniers jours » et « nous enregistrons de l’ordre de 120.000 cas (par jour) en moyenne cette dernière semaine, avec un nombre de cas qui devrait légèrement dépasser les 200.000 ce soir », a déclaré le ministre en ouverture d’une discussion sur le projet de loi « de veille et de sécurité sanitaire ».

Face à un virus qui « circule plus et plus vite, nous devons protéger la population et veiller au retentissement de cette reprise sur le système de santé », a plaidé le ministre devant la commission des Lois, au lendemain de sa nomination dans le gouvernement Borne II.

Mais ar peur sans doute de l’opinion publique notamment des vacanciers, le gouvernement s’est limité à des recommandations là où  des contraintes aurait dû être imposées notamment dans les lieux publics. Pire, le bavard ministre de la communication Olivier vétéran se réjouit même de la levée de toutes les contraintes dans le prochain projet de loi seulement rétablir le pas aux frontières.

« …. tous les autres dispositifs de lutte contre l’épidémie (…) ne font plus partie de ce projet de loi », a-t-il confirmé. ! Ainsi, le texte ne prévoit pas de prolonger au-delà du 31 juillet la possibilité de rétablir l’état d’urgence sanitaire, ni un pass sanitaire ou vaccinal pour restreindre l’accès à certains lieux ou rassemblements.

SUPPRIMER LES TAXES SUR LES SUCCESSIONS JUSQU’À 200 000 EUROS ( Valérie Pécresse)

SUPPRIMER LES TAXES SUR LES SUCCESSIONS JUSQU’À 200 000 EUROS ( Valérie Pécresse)

.Le programme de la candidate prévoit que chaque enfant puisse hériter de 200.000 euros de manière défiscalisée, contre 100.000 euros aujourd’hui. L’abattement serait aussi porté à 100.000 euros pour une transmission indirecte, par exemple dans le cas où « une personne hériterait de son oncle ou de sa soeur ».  »Je supprime ainsi  les droits de succession pour 95 % des Français », assure Valérie Pécresse.

 100.000 euros pour une transmission indirecte, par exemple dans le cas où « une personne hériterait de son oncle ou de sa soeur ».

Valérie Pécresse veut également augmenter le plafond des donations du vivant des donateurs défiscalisées. Chaque parent pourrait ainsi donner 100.000 euros tous les six ans et non plus tous les quinze ans. La mesure concernerait également « chacun des petits-enfants pour permettre le saut générationnel », et serait encore de 50.000 euros pour les neveux et les fratries.

La candidate propose dans le même entretien, afin de faciliter l’accès à la propriété, de « généraliser le prêt à taux zéro pour les primo-accédants sur tout le territoire français et pas seulement dans les zones tendues ». Elle détaille enfin des mesures de son programme visant à augmenter le montant des allocations familiales. Pour financer ces mesures, Valérie Pécresse promet « toute une série de mesures d’économies », citant la retraite repoussée à 65 ans, l’assurance-chômage, ou le RSA réformé « pour sortir de la politique d’assistanat ». Elle évoque aussi la réforme de l’Etat, « avec une décentralisation des compétences pour éviter les nombreux doublons administratifs et une simplification radicale des normes ».

Croissance Chine : tassement

Croissance Chine : tassement

 

la Chine a enregistré une croissance de 4 % en rythme annuel au quatrième trimestre (+1,6 % par rapport au trimestre précédent), son rythme le plus faible depuis longtemps

. La baisse de la croissance pourrait se poursuivre en 2022 pour les raisons suivantes : contraction de la demande, choc d’offre, affaiblissement des attentes .

La Chine avait été l’une des rares économies à afficher une croissance positive en 2020 (+2,2 %), au moment où le Covid-19 terrassait le reste du monde. L’activité a rebondi de 8,1 % l’an dernier, mais cette moyenne masque un ralentissement continu tout au long de l’année, particulièrement marqué à partir de l’été.

Si les exportations chinoises ont encore atteint des records, la situation économique intérieure s’est crispée au fil des derniers mois. La politique du « zéro Covid » impose l’instauration de confinements ponctuels, de villes et d’usines, comme à Xi’an ou Tianjin actuellement, pesant sur l’activité..

Du côté de la demande, la consommation privée est toujours à la peine. Le secteur des services (loisirs, tourisme, hôtellerie-restauration, transports…) n’a toujours pas retrouvé son niveau pré-pandémie. Les ventes de détail, principal indicateur de la consommation, ont ainsi signé en décembre leur plus mauvaise performance (+1,7 %) depuis septembre 20220. Les difficultés de l’immobilier pèsent sur la demande de biens de consommation mais aussi sur le marché du travail.

Covid France 2 janvier 2022 : encore plus de 200 000 contaminés

Covid France 2 janvier 2022 : encore plus de 200 000 contaminés

 

Toujours un niveau de crise exceptionnelle en France avec pour le 1er janvier  219.126 nouveaux cas officiels de Covid-19 en 24 heures. Le nombre d’hospitalisations liées au Covid-19 a également progressé ces dernières 24 heures, avec 18.811 patients au total selon les chiffres publiés samedi par Santé publique France. Parmi eux, 3560 patients sont en soins intensifs. En 24 heures, 111 personnes ont succombé au virus, portant le bilan total à 123.851 décès depuis le début de l’épidémie.

Covid France: Raz-de-marée en cours avec plus de 200 000 cas

 

 

Covid France: Raz-de-marée en cours avec plus de 200 000 cas

Officiellement la France a enregistré plus de 200 000 contaminés en 24 heures ; un véritable raz-de-marée qui témoigne qu’on est en train de perdre le contrôle de la pandémie cela d’autant plus que ce chiffre de contaminés est très approximatif. Sur la tendance on pourrait atteindre 500 000 contaminés en peu de jours.

« 208.000 Français ont été testés positifs ces dernières 24 heures« , « des chiffres qui donnent le vertige« , a alerté le ministre de la Santé dès mercredi après-midi. 208.099 nouveaux cas de Covid-19 ont été détectés ces dernières 24 heures en France, a confirmé Santé publique France dans la soirée. Auditionné devant la Commission des lois de l’Assemblée nationale, Olivier Véran s’est alarmé de la dégradation sanitaire, insistant sur le fait que tout le pays est touché : « Il y en a partout, dans tous les territoires, tous les milieux« , a-t-il précisé.

Les indicateurs de l’épidémie ne cessent de se dégrader depuis plusieurs semaines, en partie à cause du variant Delta « qui n’a pas dit son dernier mot » et d’un autre variant, Omicron, plus contagieux. Sa diffusion rapide sur tout le territoire ne peut pas être qualifiée de vague mais de « raz-de-marée » selon Olivier Véran.

Selon les calculs du ministre de la Santé, « chaque seconde dans notre pays, plus de deux Français sont diagnostiqués positifs au Covid-19« . Cela représente, au total, « probablement plus d’un million de Français positifs actuellement au coronavirus » et « 10% de la population française cas contact« . Aucune classe d’âge n’est épargnée par cette cinquième vague, même si le variant Omicron « est plus répandu chez les moins de 60 ans« .

Pour l’heure, le variant Omicron n’a pas de forte incidence à l’hôpital, mais l’exécutif scrute la situation sanitaire chez nos voisins, comme en Espagne, en Italie et au Royaume-Uni. « Il y aurait une baisse de 50 à 70% des hospitalisations avec le variant Omicron, les hospitalisations seraient plus courtes » et les besoins en oxygène moins importants, admet Olivier Véran. Il faut aussi prendre en compte la contagiosité du variant. Mathématiquement, « si vous avez un variant qui est trois fois moins dangereux, mais que vous avez six ou sept fois plus de cas, l’impact sanitaire se fait de toute façon ressentir« .

Covid- Scénario noir santé- 200 000 cas dès janvier et la paralysie économique ?

Covid- Scénario noir santé-  200 000 cas dès janvier et la paralysie économique ?

On pourrait enregistrer des statistiques de contaminés de l’ordre de 200 000 par jour, a estimé vendredi sur CNews l’infectiologue Benjamin Davido. Un chiffre tellement impressionnant qu’on pourrait perdre le contrôle total de la pandémie avec en plus.  Ce risque d’absentéisme et de paralysie économique a déjà été évoqué par le conseil scientifique. Un pronostic qui n’a d’ailleurs guère été apprécié par le gouvernement qui reproche au président du conseil scientifique d’être trop bavard et sans doute trop pertinent.le risque d’une paralysie de la vie économique et sociale du fait en particulier de l’absentéisme.Pourtant la réalité des chiffres est, À Noël on a déjà franchi le record absolu de 100 000 contaminés, ainsi qui pourrait doubler début 2022 sans nouvelles mesures restrictives.

« Il va falloir qu’on réfléchisse à un plan de secours » pour l’hôpital, a  souligné Benjamin Davido.

« Si vous mettez en éviction (tous les cas positifs et les cas contacts) dans le système scolaire, la police, l’hôpital, (la société) va être à l’arrêt », a prévenu vendredi Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon sur BFMTV.

Le plus grand danger risque d’être économique avec une paralysie en tout cas un grand ralentissement des activités y comprises essentielles.  La liste est longue des secteurs risquant de subir les absences au travail liées aux « centaines de milliers » de cas par jour redoutés en début d’année, selon Olivier Guérin, membre du Conseil scientifique français, citant « la distribution alimentaire, la sécurité, l’énergie, les transports, les communications, et la santé ».

Le président de l’institution, Jean-François Delfraissy, a de son côté soulevé la « désorganisation possible d’un certain nombre de services essentiels ». Encore minoritaire dans l’Hexagone, le variant Omicron n’a pas causé d’isolements forcés massifs en raison de cas positifs ou de cas contacts. Mais quelques signaux d’alerte s’affichent et les projecteurs sont braqués sur la sixième vague en janvier.

Covid: 200 000 cas dès janvier et la paralysie économique ?

Covid: 200 000 cas dès janvier et la paralysie économique ?

On pourrait enregistrer des statistiques de contaminer de l’ordre de 200 000 par jour, a estimé vendredi sur CNews l’infectiologue Benjamin Davido.Un chiffre tellement impressionnant qu’on pourrait perdre le contrôle total de la pandémie avec en plus Ce risque d’absentéisme et de paralysie économique a déjà été évoqué par le conseil scientifique. Un pronostic qui n’a d’ailleurs guère été apprécié par le gouvernement qui reproche au président du conseil scientifique d’être trop bavard et sans doute trop pertinent.le risque d’une paralysie de la vie économique et sociale du fait en particulier de l’absentéisme.

« Il va falloir qu’on réfléchisse à un plan de secours » pour l’hôpital, a  souligné Benjamin Davido.

« Si vous mettez en éviction (tous les cas positifs et les cas contacts) dans le système scolaire, la police, l’hôpital, (la société) va être à l’arrêt », a prévenu vendredi Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon sur BFMTV.

Le plus grand danger risque d’être économique avec une paralysie en tout cas un grand ralentissement des activités y comprises essentielles.  La liste est longue des secteurs risquant de subir les absences au travail liées aux « centaines de milliers » de cas par jour redoutés en début d’année, selon Olivier Guérin, membre du Conseil scientifique français, citant « la distribution alimentaire, la sécurité, l’énergie, les transports, les communications, et la santé ».

Le président de l’institution, Jean-François Delfraissy, a de son côté soulevé la « désorganisation possible d’un certain nombre de services essentiels ». Encore minoritaire dans l’Hexagone, le variant Omicron n’a pas causé d’isolements forcés massifs en raison de cas positifs ou de cas contacts. Mais quelques signaux d’alerte s’affichent et les projecteurs sont braqués sur la sixième vague en janvier.

Covid 19 France : 200 000 cas au premier de l’an ? quelle stratégie ?

Covid 19 France : 200 000 cas au premier de l’an  ? quelle stratégie ?

Sur la tendance, on  pourrait bien atteindre les 200 000 cas dans les premiers jours de janvier 2022. Hier , le Royaume-Uni déjà dépassé les 100 000 cas tandis que la France atteignait 94 000 cas le 24 décembre. Le problème principal concerne évidemment le risque de blocage total des hôpitaux du fait  de l’augmentation du nombre de malades en soins intensifs. Un autre risque menace aussi la France et d’autres pays à savoir l’incapacité devant le nombre à pouvoir dénombrer le cas exact de contaminés Déjà avec près de 100 000 cas les laboratoires sont largement débordés. Avec le double de cas ils seraient incapables d’assurer dans les mêmes délais les résultats des analyses.Par ailleurs on constate déjà un manque chronique d’autotest dans les pharmacies

De toute évidence, la stratégie de lutte contre le virus uniquement centré sur le vaccin montre ses limites mêmes si la vaccination obligatoire est incontournable. Il faudra ajouter d’autres mesures restrictives et limiter la mobilité et l’accès à certaines activités.

Justement ce que se refuse à faire les pouvoirs publics qui ne veulent surtout pas contrarier une population déjà parfois rétive aux mesures plus sévères.

Mais des formes de reconfinement seront incontournables, elles s’imposent d’ailleurs un peu partout progressivement dans le monde.

Covid France : 200 000 cas au premier de l’an ? quelle stratégie

Covid France : 200 000 cas au premier de l’an  ? quelle stratégie

Sur la tendance, on  pourrait bien atteindre les 200 000 cas dans les premiers jours de janvier 2022. Hier , le Royaume-Uni déjà dépassé les 100 000 cas tandis que la France atteignait 92 000 cas. Le problème principal concerne évidemment le risque de blocage total des hôpitaux du fait  de l’augmentation du nombre de malades en soins intensifs. Un autre risque menace aussi la France et d’autres pays à savoir l’incapacité devant le nombre à pouvoir dénombrer le cas exact de contaminés Déjà avec près de 100 000 cas les laboratoires sont largement débordés. Avec le double de cas ils seraient incapables d’assurer dans les mêmes délais les résultats des analyses.Par ailleurs on constate déjà un manque chronique d’autotest dans les pharmacies

De toute évidence, la stratégie de lutte contre le virus uniquement centré sur le vaccin montre ses limites mêmes si la vaccination obligatoire est incontournable. Il faudra ajouter d’autres mesures restrictives et limiter la mobilité et l’accès à certaines activités.

Justement ce que se refuse à faire les pouvoirs publics qui ne veulent surtout pas contrarier une population déjà parfois rétive aux mesures plus sévères.

Mais des formes de reconfinement seront incontournables, elles s’imposent d’ailleurs un peu partout progressivement dans le monde.

COVID : près de 200 000 FAUX PASS SANITAIRES !

 COVID : près de 200 000 FAUX PASS SANITAIRES !

 

Une nouvelle estimation fait état de 182 000 faux pass sanitaires d’après des informations du ministère de l’intérieur. Une évaluation de toute façon forcément approximative. Pour preuve, il y a une semaine on estimait ce nombre à seulement 100 000. Ce qui est évidemment de toute manière était déjà considérable.

Les détenteurs de ces faux pass constituent en fête des criminels potentiels puisqu’ils sont susceptibles de transmettre la mort via le virus Covid. On peut s’étonner qu’on ne soit pas capable de les identifier de manière individuelle car chaque individu adulte possède une carte de la sécurité sociale. Des cartes qui pourrait tout simplement être  invalider en cas d’absence de vaccination.

Il ne s’agit certainement pas d’une question technique et moins de liberté individuelle mais d’une question de santé publique qui exige clairvoyance, courage et détermination de la part de pouvoirs publics qui pour l’instant tergiversent et prennent des mesures avec toujours des semaines et des mois de retard.

Covid Royaume-Uni : Un risque de contamination de 200 000 par jour

Covid Royaume-Uni : Un risque de contamination de 200 000 par jour

Le premier ministre a attiré l’attention de son pays sur l’explosion des contaminations en particulier du haut niveau du virus omicron. Ce nouveau variant circulerait aujourd’hui au rythme de 200 000 contaminations par jour. Une vague qui ne sera pas non plus sans conséquence sur la France qui en général subit après le Royaume-Uni et l’Allemagne les mêmes phénomènes d’amplification de la pandémie. Cela fait deux semaines qu’il circule en Grande-Bretagne, et le variant Omicron représente déjà 40 % des contaminations au Covid. D’ici la fin de la semaine, il sera majoritaire. Un premier décès lié à ce variant a été confirmé par le Premier ministre britannique, Boris Johnson, qui appelle tous les adultes à effectuer leur rappel. Il veut que l’on vaccine un million de personnes par jour.

Deux heures d’attente lundi 13 décembre devant ce centre de vaccination près de Big Ben, à Londres (Royaume-Uni). Les Britanniques se précipitent vers la troisième dose. Elle est désormais ouverte à toutes les personnes de plus de 18 ans, mesure décrétée dans l’urgence par le Premier ministre, Boris Johnson, face à ce qu’il décrit comme un raz-de-marée de variant Omicron. Objectif du gouvernement : un million d’injections par jour d’ici la fin de l’année, avec le renfort de l’armée.

200 000 contaminations par jour

Le Royaume-Uni emploie les grands moyens car de nouvelles études, bien que partielles, inquiètent. Deux doses n’empêcheraient plus suffisamment les formes symptomatiques face au variant Omicron. Les Britanniques doivent également composer avec le télétravail, redevenu la norme. Et un test quotidien pendant sept jours pour les personnes cas contact, même double-vacciné, est obligatoire, mesure inédite dans le pays. Selon une estimation citée par le ministre britannique de la Santé, le variant Omicron circulerait actuellement au rythme alarmant de 200 000 contaminations par jour dans le pays. Un chiffre qui dépasserait tous les records jamais enregistrés au Royaume-Uni depuis le début de la pandémie.

Covid Afrique : Plus de 200.000 morts en Afrique ?

Covid  Afrique : Plus de 200.000 morts en Afrique ?

D’après les chiffres officiels l’Afrique aurait enregistré jusque-là plus de 200 000 mœurs liées à la crise sanitaire. Des chiffres cependant à prendre avec des pincettes car il est probable que les victimes sont beaucoup plus nombreuses. Il est notamment sans doute difficile de faire la distinction entre les morts  Covid  et les morts du palu. Cependant l’l'Afrique aurait pu mieux résister que d’autres  continents du fait de la jeunesse de sa population. Au total, 200.254 personnes seraient mortes du Covid-19 sur le continent depuis la découverte du virus en décembre 2019 en Chine. Après un été particulièrement meurtrier, avec 27.000 décès dus au Covid-19 en juillet et 26.000 en août, la pandémie marque le pas sur le continent depuis quelques semaines, avec actuellement 617 nouveaux décès par jour contre jusqu’à 990 fin juillet, le record enregistré sur le continent.

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