Archive pour le Tag '20.000'

Covid France : encore plus de 20 000 contaminés

Covid  France : encore plus de 20 000 contaminés

La situation s’aggrave encore en France, où 50 personnes sont mortes du Covid-19 ces dernières 24 heures, selon le bilan du jour de Santé publique France. 7663 malades sont actuellement hospitalisés, dont 525 depuis la veille. Ils étaient 7535 mardi. 1300 patients sont soignés dans les services de soins critiques, dont 107 admis ce mercredi. Ils étaient 1277 mardi. 20.294 nouveaux cas ont été détectés, un nombre inédit depuis le mois d’août.

Depuis deux semaines, le nombre de contaminations progresse très rapidement, de l’ordre de 40 à 50% par semaine. Le taux d’incidence, qui mesure le nombre de cas de coronavirus par 100.000 habitants, est désormais supérieur à 100 sur l’ensemble du territoire. «Il est notamment particulièrement élevé en Corse, en Provence Alpes Côte d’Azur et en région Pays de la Loire», a alerté Gabriel Attal.

 

Covid France : encore environ 20 000 cas en 24 heures

Covid France : encore environ 20 000 cas en 24 heures

26 malades du Covid ces dernières 24 heures, selon le dernier bilan de Santé Publique France. 6802 personnes sont toujours hospitalisées, dont 330 arrivées en un jour. 872 patients sont actuellement traités en soins critiques, 69 d’entre eux l’étant depuis la veille. 19.561 nouveaux cas ont été détectés.

Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 39.474.866 personnes ont reçu au moins une injection (soit 58,5% de la population totale) et 32.790.372 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 48,6% de la population totale)

Covid France : hausse, encore près de 20 000 contaminés

Covid France : encore près de 20 000 contaminés

 

.21.000 Français ont été contaminés par le virus ces dernières 24 heures, selon le ministre de la Santé Olivier Véran. 22 morts sont à déplorer ce mercredi 21 juillet, selon les données de Santé Publique France, et 6869 malades sont actuellement hospitalisés, dont 281 arrivés depuis la veille. Au total, 859 personnes sont en soins critiques – 64 d’entre elles sont arrivées dans ces services en 24 heures.

Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 38.586.991 personnes ont reçu au moins une injection (soit 57,2% de la population totale) et 31.805.058 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 47,2% de la population totale).

Covid France : près de 20 000 contaminations en 24 heures

Covid France : près de 20 000 contaminations en 24 heures

Le nombre de cas de contaminations au Covid-19 sur les dernières 24 heures a grimpé à 18.181, contre moins de 7000 une semaine auparavant, s’est alarmé mardi Olivier Véran, selon qui cette hausse, due au variant Delta, est inédite. «Je viens d’avoir les chiffres de contaminations des dernières 24 heures dans notre pays (…) Nous étions hier à 18.000 contaminations sur 24 heures seulement», a assuré le ministre lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale.

Concernant la campagne vaccinale en France, 38.184.499 personnes ont reçu au moins une injection (soit 56,6% de la population totale) et 31.310.025 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 46,4% de la population totale). Au 19 juillet 2021, 69% de la population majeure avait reçu au moins une injection et 58% de la population majeure avait un schéma vaccinal complet.

Coronavirus France : tassement, 20.000 nouveaux cas

 Coronavirus France : tassement, 20.000 nouveaux cas

19.814 nouveaux cas de contamination par le coronavirus en 24 heures et 281 décès supplémentaires dans les hôpitaux en raison du COVID-19, montrent les chiffres publiés vendredi par Santé Publique France (SPF).

Le bilan de l’épidémie dans le pays atteint désormais 67.431 morts, soit 590 de plus que la veille en incluant les données des Ehpad dont les statistiques ne sont actualisées que deux fois par semaine.

Le nombre de patients hospitalisés pour COVID-19 a baissé de 111 à 24.377 mais les services de réanimation traitent 33 personnes de plus pour des formes graves de la maladie, pour un total de 2.606, selon le bilan fourni par SPF.

Coronavirus France : hausse contaminations, plus de 20.000 cas en 24 heures

Coronavirus France : hausse contaminations, plus de 20.000 cas en 24 heures

20.489 nouvelles contaminations par le coronavirus annoncées mardi et 867 décès supplémentaires, dont 345 en 24 heures dans les hôpitaux et 522 dans les Ehpad, montrent les chiffres publiés mardi par les autorités sanitaires.

Le bilan de l’épidémie dans le pays s’établit désormais à 66.282 morts. Les données des Ehpad ne sont actualisées que deux fois par semaine.

Le nombre de patients hospitalisés en raison du COVID-19 a baissé de 91 à 24.904. La tendance est la même dans les services de réanimation avec 41 patients en moins à 2.625.

Coronavirus France : hausse avec 20.000 cas en 24 heures

Coronavirus France : hausse avec 20.000 cas en 24 heures

19.348 nouvelles contaminations dues au coronavirus en 24 heures vendredi, soit près de 600 de moins que la veille (19.927).

Cependant cent trente-trois décès supplémentaires ont par ailleurs été recensés, ce qui porte le bilan français à 64.765 morts pour 2.639.773 cas depuis le début de l’épidémie.

Selon les chiffres provisoires publiés par le service Géodes de Santé publique France, 24.263 patients atteints du COVID-19 sont actuellement hospitalisés et 2.609 se trouvent en réanimation, ce qui fait respectivement 177 de moins et 41 de plus que jeudi. Parmi eux, 677 ont été admis au cours des 24 dernières heures et 99 ont été placés en soins intensifs.

Coronavirus France : hausse avec 20.000 cas en 24 heures

Coronavirus France : hausse avec 20.000 cas en 24 heures

19.348 nouvelles contaminations dues au coronavirus en 24 heures vendredi, soit près de 600 de moins que la veille (19.927).

Cependant cent trente-trois décès supplémentaires ont par ailleurs été recensés, ce qui porte le bilan français à 64.765 morts pour 2.639.773 cas depuis le début de l’épidémie.

Selon les chiffres provisoires publiés par le service Géodes de Santé publique France, 24.263 patients atteints du COVID-19 sont actuellement hospitalisés et 2.609 se trouvent en réanimation, ce qui fait respectivement 177 de moins et 41 de plus que jeudi. Parmi eux, 677 ont été admis au cours des 24 dernières heures et 99 ont été placés en soins intensifs.

Coronavirus Brésil : 20.000 nouveaux cas

Coronavirus Brésil : 20.000 nouveaux cas

Le ministère brésilien de la Santé a signalé lundi 20.548 nouveaux cas de COVID-19 et 431 décès supplémentaires, ce qui porte le bilan national à 191.570 morts pour plus de 7,5 millions de contaminations. Notons cependant que le Brésil compte plus de 200 millions d’habitants. Mais reste à savoir si les chiffres évoqués sont fiables .

Coronavirus Espagne : alerte, 20.000 nouveaux cas

Coronavirus Espagne : alerte, 20.000 nouveaux cas

 

L’Espagne est devenue mercredi le premier pays d’Europe occidentale à dépasser le million d’infections au COVID-19, un chiffre qui a doublé en six semaines seulement, malgré l’introduction de mesures de plus en plus strictes afin de contrôler la deuxième vague de l’épidémie.

 

Le nombre de cas confirmés de coronavirus en Espagne s’élève vendredi à 1.046.132, soit 19.851 nouvelles infections par rapport à jeudi, selon les dernières données officielles du ministère de la Santé.

 

Le nombre de décès incombant au virus dans le pays au cours des sept derniers jours s’élève à 655, contre 570 jeudi, pour un total de 34.752 depuis l’apparition du virus.

Coronavirus France : nouveau record, plus de 20.000 cas détectés en 24 heures

Coronavirus France : nouveau record, plus de 20.000 cas détectés en 24 heures

 

 

20.339 personnes ont été testées positives au cours des dernières 24 heures. C’est un record depuis que le dépistage est massif en France. Le taux de positivité des tests s’élève désormais à 10,4%. L’agence rapporte aussi que 62 personnes sont décédées à l’hôpital depuis hier, ce qui porte le bilan total à 32.630 morts.

Selon les chiffres officiels, 4837 personnes ont été admises à l’hôpital au cours des sept derniers jours, dont 921 en services de réanimation.

124 clusters ont été recensés depuis hier selon Santé Publique France. Au total, 1362 clusters sont en cours d’investigation dans le pays, dont 267 en Ehpad.

Coronavirus France : 20.000 morts

Coronavirus France : 20.000 morts

 

20.000 morts liées au nouveau coronavirus, a annoncé lundi le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon.

Selon ce dernier, 12.513 personnes sont décédées dans des établissements hospitaliers et 7.752 autres ont péri dans des établissements sociaux et médicaux-sociaux, soit 20.265 morts.

Ce total représente 547 décès de plus par rapport au bilan transmis dimanche.

La tendance reste baissière pour le nombre de patients actuellement hospitalisés, qui s’élève à 30.584 contre 30.610 la veille.

Un reflux s’observe, et ce pour le douzième jour consécutif, dans les services de réanimation où l’on compte 5.683 cas graves contre 5.744 dimanche, ce qui représente 61 personnes de moins.

Coronavirus Espagne: léger tassement mais 20.000 morts en tout

Coronavirus Espagne:  léger tassement mais 20.000 morts en tout

En 24 heures, le nombre de décès a augmenté de 565 pour atteindre 20.043, soit moins que vendredi, qui avait vu le total s’accroître de 585. Le nombre de personnes contaminées a augmenté de plus de 3.500 pour s’établir à 191.726, le deuxième total le plus élevé au monde derrière les Etats-Unis.

En termes de décès, ce sont également les Etats-Unis qui subissent le plus lourd bilan, avec à ce stade plus de 37.000 morts, suivis de l’Italie (23.227). Derrière l’Espagne, il y a la France (18.681) et la Grande-Bretagne (15.464).

le  Parlement va vraisemblablement se prononcer mercredi sur un prolongement du confinement, qui courrait alors jusqu’en mai.

Richard Ferrand, 20 000 euros par mois, mis en examen, militant LREM contre les inégalités !

Richard  Ferrand, 20 000 euros par mois,  mis en examen, militant LREM contre les inégalités !

 

Selon le président de l’assemblée Richard Ferrand  (rémunéré 20 000 euros par mois), la grève qui s’annonce sera donc « une mobilisation pour conserver des inégalités ». Il ajoute que la réforme est indispensable à « la préservation de notre modèle social » et qu’il faudra « travailler plus ». En tout cas Ferrand, lui a déjà travaillé pour enrichir son entourage ( il est mis en examen mais la justice ne semble pas pressée de gérer ce dossier)

 

Rappel de l’affaire:  Richard Ferrand a largement utilisé son double statut de dirigeant des Mutuelles de Bretagne et d’élu pour directement et indirectement se remplir les poches. L’affaire la plus scandaleuse  concerne un contrat de location d’un local par les Mutuelles de Bretagne à la compagne de Ferrand alors  que cette dernière ne possédait pas encore ce local. Grâce à de généreuses conditions de location de ce local, la compagne de Ferrand a pu réaliser un petit profit de l’ordre de 800 000 €. Le détail de ces opérations est rappelé ci-après à partir d’une information tirée de Wikipédia. Toute la famille Ferrand a bénéficié des largesses mutuelles de Bretagne : son ancienne femme, ensuite sa compagne et lui-même. La justice de Brest avait enterré l’affaire considérant qu’il s’agissait d’une affaire privée et que les délais d’instruction étaient dépassés. Comme le dossier a été dépaysé à Lille, les nouveaux juges ont porté un autre regard sur ses affaires en mettant en examen Richard Ferrand. Ces nouveaux juges connaissent évidemment le contexte politique particulièrement délicat qui entoure cette affaire et s’ils ont mis en examen Richard Ferrand c’est qu’il dispose d’éléments nouveaux. Tout cela révèle que les bonnes vieilles pratiques provinciales de la IVe République ne sont pas mortes avec des relations plus ou moins sulfureuses  entre les élus politiques,  le monde économique et la justice.  Bref,  le nouveau monde promis par Macron et bien mort-né surtout si on n’y ajoute les autres affaires concernant par exemple le MoDem et Bayrou, Benalla, de Rugy, le secrétaire de l’Élysée, Macron lui-même avec les conditions de financement de sa campagne. On pourrait ajouter les lenteurs de la justice concernant aussi bien les affaires de Sarkozy que celle de Tapie vis-à-vis desquelles le pouvoir semble manifester une grande bienveillance. Bref, il n’y a pas de Nouveau Monde dans la république en marche mais plutôt la résurgence de pratiques caractérisées par la confusion des intérêts entre le monde politique, le monde économique et l’État.

Le résumé de l’affaire dans Wikipédia :

 

 

En mai 2017, Le Canard enchaînéLe Monde et Mediapart révèlent que les Mutuelles de Bretagne (MDB) ont été subventionnées à hauteur de 55 000 euros par de l’argent public99 lorsque Richard Ferrand les dirigeait dans les années 2010. Selon eux, son ex-femme Françoise Coustal, artiste plasticienne, a facturé aux Mutuelles de Bretagne des travaux d’aménagement d’un Ehpad, situé à Guilers, qui a bénéficié d’une subvention de 1,66 million d’euros100 du Conseil départemental du Finistère, dont Richard Ferrand était alors vice-président. Les Mutuelles de Bretagne ont ensuite fait effectuer d’autres travaux, pour 184 000 euros, dans un local appartenant à l’avocate Sandrine Doucen, sa compagne et mère de sa fille101, qui a par ailleurs facturé régulièrement aux Mutuelles de Bretagne des services de conseil juridique. Plus anecdotiquement, selon ces mêmes médias, Richard Ferrand a, une fois élu député en juin 2012, conservé un poste de chargé de mission des Mutuelles de Bretagne, rémunéré 1 250 euros102 par mois ou 1 547 euros par mois, selon les sources, et embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, compagnon de son ex-adjointe puis son fils101. Ces révélations ont déclenché une polémique nationale, le Front national demandant sa démission du gouvernement, LR la saisie du Parquet national financier, et le 1er secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis à l’exécutif de s’exprimer103. Le 1er juin 2017, Éric Mathais, procureur de la République de Brest, ouvre une enquête préliminaire, confiée à la police judiciaire de Rennes104.

Richard Ferrand affirmera qu’il n’était « jamais intervenu pour qu’elle obtienne un quelconque contrat » et que « la première fois que les Mutuelles ont fait appel à ses prestations, c’était en 2002, donc 8 ans après notre divorce »105.

Appel d’offres attribué par les Mutuelles de Bretagne à sa compagne[modifier | modifier le code]

Le 23 décembre 2010106, Richard Ferrand signe un compromis de vente avec une clause suspensive en cas de non-location ultérieure par les Mutuelles de Bretagne107, pour un local de 379 m2108, 2 rue George-Sand à Brest109.

Le 25 janvier 2011, le conseil d’administration des Mutuelles de Bretagne choisit à l’unanimité la proposition de la Saca, une SCI qui « n’a pas encore d’existence légale » et « n’est même pas encore propriétaire des surfaces qu’elle propose » comme le rappelle Le Canard enchaîné110. Sur le procès-verbal de la réunion du conseil d’administration à aucun moment n’est mentionné le nom de Sandrine Doucen110.

Sandrine Doucen crée le 28 mars 2011 la Saca, une SCI, dont elle détient 99 % des parts111.

Le 1er juillet 2011110, la SCI la Saca achète 402 000 € frais de notaire inclus108, grâce à un crédit remboursable sur quinze ans du Crédit agricole qui finance intégralement l’achat, sans aucun apport, ayant selon Le Canard enchaîné un « traitement réservé aux acquéreurs qui disposent d’un locataire dont les revenus sont garantis ». Revenus garantis par les 42 000 € de loyers annuels versés par les Mutuelles de Bretagne, dont Richard Ferrand est le directeur général.

Les Mutuelles de Bretagne effectuent peu après, sans contrepartie, pour 184 000 euros de travaux dans le local acheté par Sandrine Doucen. Quelques années plus tard, la SCI de Sandrine Doucen est valorisée, lors d’une transaction, à 3 000 fois le montant du capital initial de 100 € soit 300 000 €112. Selon Le Canard enchaîné, l’avocate Sandrine Doucen a par ailleurs facturé des conseils juridiques aux Mutuelles de Bretagne en matière de gestion des ressources humaines.

Selon la défense de Richard Ferrand, l’opération n’a « rien d’illégal »113,114 : la démarche « respectait la procédure »[réf. nécessaire] et l’entreprise de sa compagne offrait « le meilleur prix » parmi les réponses à l’appel d’offres.

Richard Ferrand, 20 000 euros par mois, mis en examen, contre les inégalités !

Richard  Ferrand, 20 000 euros par mois,  mis en examen, contre les inégalités !

 

Selon le président de l’assemblée Richard Ferrand  (rémunéré 20 000 euros par mois), la grève qui s’annonce sera donc « une mobilisation pour conserver des inégalités ». Il ajoute que la réforme est indispensable à « la préservation de notre modèle social » et qu’il faudra « travailler plus ». En tout cas Ferrand, lui a déjà travaillé pour enrichir son entourage ( il est mis en examen mais la justice ne semble pas pressée de gérer ce dossier)

 

Rappel de l’affaire:  Richard Ferrand a largement utilisé son double statut de dirigeant des Mutuelles de Bretagne et d’élu pour directement et indirectement se remplir les poches. L’affaire la plus scandaleuse  concerne un contrat de location d’un local par les Mutuelles de Bretagne à la compagne de Ferrand alors  que cette dernière ne possédait pas encore ce local. Grâce à de généreuses conditions de location de ce local, la compagne de Ferrand a pu réaliser un petit profit de l’ordre de 800 000 €. Le détail de ces opérations est rappelé ci-après à partir d’une information tirée de Wikipédia. Toute la famille Ferrand a bénéficié des largesses mutuelles de Bretagne : son ancienne femme, ensuite sa compagne et lui-même. La justice de Brest avait enterré l’affaire considérant qu’il s’agissait d’une affaire privée et que les délais d’instruction étaient dépassés. Comme le dossier a été dépaysé à Lille, les nouveaux juges ont porté un autre regard sur ses affaires en mettant en examen Richard Ferrand. Ces nouveaux juges connaissent évidemment le contexte politique particulièrement délicat qui entoure cette affaire et s’ils ont mis en examen Richard Ferrand c’est qu’il dispose d’éléments nouveaux. Tout cela révèle que les bonnes vieilles pratiques provinciales de la IVe République ne sont pas mortes avec des relations plus ou moins sulfureuses  entre les élus politiques,  le monde économique et la justice.  Bref,  le nouveau monde promis par Macron et bien mort-né surtout si on n’y ajoute les autres affaires concernant par exemple le MoDem et Bayrou, Benalla, de Rugy, le secrétaire de l’Élysée, Macron lui-même avec les conditions de financement de sa campagne. On pourrait ajouter les lenteurs de la justice concernant aussi bien les affaires de Sarkozy que celle de Tapie vis-à-vis desquelles le pouvoir semble manifester une grande bienveillance. Bref, il n’y a pas de Nouveau Monde dans la république en marche mais plutôt la résurgence de pratiques caractérisées par la confusion des intérêts entre le monde politique, le monde économique et l’État.

Le résumé de l’affaire dans Wikipédia :

 

 

En mai 2017, Le Canard enchaînéLe Monde et Mediapart révèlent que les Mutuelles de Bretagne (MDB) ont été subventionnées à hauteur de 55 000 euros par de l’argent public99 lorsque Richard Ferrand les dirigeait dans les années 2010. Selon eux, son ex-femme Françoise Coustal, artiste plasticienne, a facturé aux Mutuelles de Bretagne des travaux d’aménagement d’un Ehpad, situé à Guilers, qui a bénéficié d’une subvention de 1,66 million d’euros100 du Conseil départemental du Finistère, dont Richard Ferrand était alors vice-président. Les Mutuelles de Bretagne ont ensuite fait effectuer d’autres travaux, pour 184 000 euros, dans un local appartenant à l’avocate Sandrine Doucen, sa compagne et mère de sa fille101, qui a par ailleurs facturé régulièrement aux Mutuelles de Bretagne des services de conseil juridique. Plus anecdotiquement, selon ces mêmes médias, Richard Ferrand a, une fois élu député en juin 2012, conservé un poste de chargé de mission des Mutuelles de Bretagne, rémunéré 1 250 euros102 par mois ou 1 547 euros par mois, selon les sources, et embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, compagnon de son ex-adjointe puis son fils101. Ces révélations ont déclenché une polémique nationale, le Front national demandant sa démission du gouvernement, LR la saisie du Parquet national financier, et le 1er secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis à l’exécutif de s’exprimer103. Le 1er juin 2017, Éric Mathais, procureur de la République de Brest, ouvre une enquête préliminaire, confiée à la police judiciaire de Rennes104.

Richard Ferrand affirmera qu’il n’était « jamais intervenu pour qu’elle obtienne un quelconque contrat » et que « la première fois que les Mutuelles ont fait appel à ses prestations, c’était en 2002, donc 8 ans après notre divorce »105.

Appel d’offres attribué par les Mutuelles de Bretagne à sa compagne[modifier | modifier le code]

Le 23 décembre 2010106, Richard Ferrand signe un compromis de vente avec une clause suspensive en cas de non-location ultérieure par les Mutuelles de Bretagne107, pour un local de 379 m2108, 2 rue George-Sand à Brest109.

Le 25 janvier 2011, le conseil d’administration des Mutuelles de Bretagne choisit à l’unanimité la proposition de la Saca, une SCI qui « n’a pas encore d’existence légale » et « n’est même pas encore propriétaire des surfaces qu’elle propose » comme le rappelle Le Canard enchaîné110. Sur le procès-verbal de la réunion du conseil d’administration à aucun moment n’est mentionné le nom de Sandrine Doucen110.

Sandrine Doucen crée le 28 mars 2011 la Saca, une SCI, dont elle détient 99 % des parts111.

Le 1er juillet 2011110, la SCI la Saca achète 402 000 € frais de notaire inclus108, grâce à un crédit remboursable sur quinze ans du Crédit agricole qui finance intégralement l’achat, sans aucun apport, ayant selon Le Canard enchaîné un « traitement réservé aux acquéreurs qui disposent d’un locataire dont les revenus sont garantis ». Revenus garantis par les 42 000 € de loyers annuels versés par les Mutuelles de Bretagne, dont Richard Ferrand est le directeur général.

Les Mutuelles de Bretagne effectuent peu après, sans contrepartie, pour 184 000 euros de travaux dans le local acheté par Sandrine Doucen. Quelques années plus tard, la SCI de Sandrine Doucen est valorisée, lors d’une transaction, à 3 000 fois le montant du capital initial de 100 € soit 300 000 €112. Selon Le Canard enchaîné, l’avocate Sandrine Doucen a par ailleurs facturé des conseils juridiques aux Mutuelles de Bretagne en matière de gestion des ressources humaines.

Selon la défense de Richard Ferrand, l’opération n’a « rien d’illégal »113,114 : la démarche « respectait la procédure »[réf. nécessaire] et l’entreprise de sa compagne offrait « le meilleur prix » parmi les réponses à l’appel d’offres.

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