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Covid France 2 octobre 2022 : tendance toujours à la hausse avec 48261cas supplémentaires en 24 heures


Covid France 2 octobre 2022 : tendance toujours à la hausse avec 48261cas supplémentaires en 24 heures

on enregistre vendredi 30 septembre 2022 : 48261cas supplémentaires en 24 heures, 155.112 morts au total, +34 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.151 (+5) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 125.961 (+29 en 24h).
Le taux de reproductivité R est de 1,26 le taux d’incidence à 412,79 et la tension hospitalière à 16,0 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.
La France compte actuellement 14.554 (+295) personnes hospitalisées et 810 (+21) malades en réanimation.

Bilan des régions:
• Ile-de-France : 4.340 (+43) hospitalisées, 304 (+11) en réanimation et +2 décès en 24h
• Grand Est : 1.259 (+37) hospitalisés, 60 (-3) en réanimation et +7 décès en 24h
• Hauts de France : 1.173 (+31) hospitalisés, 73 (+4) en réanimation et 0 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 1.447 (+78) hospitalisés, 59 (+5) en réanimation et +3 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.153 (-4) hospitalisé, 51 (+5) en réanimation et +5 décès en 24h
• Bretagne: 446 (+25) hospitalisés, 18 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
• Normandie : 776 (+10) hospitalisés, 27 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.092 (+12) hospitalisés, 73 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
• Pays de la Loire : 240 (+3) hospitalisés, 13 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
• Occitanie: 971 (+6) hospitalisés, , 53 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 671 (+14) hospitalisés, 29 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 655 (+44) hospitalisés, 33 (-5) en réanimation et +2 décès en 24h

Covid France 2 sept 2022:18.646 supplémentaires en 24h.

Covid France 2 sept 2022:18.646 supplémentaires en 24h.

On enregistre ce jeudi 1 septembre 2022 :  18.646 supplémentaires en 24h., 154.134 morts au total, +41 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.110 (+3) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 125.024 (+38 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,90 le taux d’incidence à 178,62 et la tension hospitalière à 16,1 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 14.391 (-94) personnes hospitalisées et 814 (-24) malades en réanimation.

Bilan des régions:

  • Ile-de-France : 4.223 (-14) hospitalisées, 278 (-12) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Grand Est : 1.062 (+8) hospitalisés, 68 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.136 (-13) hospitalisés, 57 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.180 (-12) hospitalisés, 56 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.406 (-26) hospitalisé, 50 (-7) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Bretagne: 426 (-6) hospitalisés, 32 (+3) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Normandie : 810 (-26) hospitalisés, 33 (-3) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.116 (-6) hospitalisés, 68 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 245 (-19) hospitalisés, 23 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Occitanie: 1.124 (0) hospitalisés, , 60 (-2) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 634 (+1) hospitalisés, 28 (-2) en réanimation et -1 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 610 (+15) hospitalisés, 32 (0) en réanimation et +1 décès en 24h

Covid France 2 août 2022: +7.249 nouveaux cas confirmés en 24h.

Covid France 2 août 2022: +7.249 nouveaux cas confirmés en 24h.

On enregistre  lundi 1 août 2022 : Covid France 2 août 2022: +7.249 nouveaux cas confirmés en 24h.,  152.179 morts au total, +121 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.022 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 123.157 (+121 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,75 le taux d’incidence à 500,47 et la tension hospitalière à 23,8 %. Le taux de positivité est à 13,1 %.

La France compte actuellement 20.063 (-35) personnes hospitalisées et 1.205 (+10) malades en réanimation.

Bilan des régions

Ile-de-France : 5.341 (-71) hospitalisées, 363 (-1) en réanimation et +21 décès en 24h

Grand Est : 1.413 (-5) hospitalisés, 91 (+4) en réanimation et +13 décès en 24h

Hauts de France : 1.781 (-29) hospitalisés, 108 (+4) en réanimation et +7 décès en 24h

Auvergne Rhône Alpes : 1.991 (+2) hospitalisés, 96 (+1) en réanimation et +15 décès en 24h

Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.849 (+27) hospitalisé, 84 (-2) en réanimation et +19 décès en 24h

Bretagne: 727 (+6) hospitalisés, 34 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h

Normandie : 1.113 (-3) hospitalisés, 49 (+2) en réanimation et +6 décès en 24h

Nouvelle-Aquitaine : 1.453 (-24) hospitalisés, 87 (-5) en réanimation et +11 décès en 24h

Pays de la Loire : 465 (+15) hospitalisés, 38 (+4) en réanimation et +5 décès en 24h

Occitanie: 1.556 (+2) hospitalisés, , 114 (-4) en réanimation et +8 décès en 24h

Centre-Val de Loire : 902 (-5) hospitalisés, 43 (+1) en réanimation et +7 décès en 24h

Bourgogne-Franche-Comté : 880 (+16) hospitalisés, 55 (+4) en réanimation et +5 décès en 24h

Livret A : un taux « incitatif » de 2 % face à une inflation de 10 % !

 

Livret  A : un taux « incitatif » de 2 % face à une inflation de 10 % !

Conséquence sans doute de vacances de nombreux journalistes, la Tribune publie un article qui s’inspire essentiellement des informations de la caisse de dépôt qui dépend de l’Etat ( observatoire de la BPCE). Un article un peu surréaliste quant au relèvement du taux d’épargne du livret A. Un taux relevé à 2 % quand l’inflation réelle va atteindre 10 % ! (extrait)

 

Selon les prévisions de BPCE, le taux d’épargne devrait donc rester à un niveau élevé en 2022, à 16%, certes loin derrière le pic du confinement de 2020 (27%) mais toujours supérieur à celui d’avant crise sanitaire (15%). Toutefois, le recul du pouvoir d’achat conduit à recul des flux de placements financiers (différence entre versements et remboursements, hors capitalisation des intérêts et valorisation boursière), estimés à 89 milliards d’euros en 2022 et 66,7 milliards en 2023 (contre 111 milliards en 2021). Ces montants fléchissent mais demeurent à des niveaux élevés, supérieurs à la moyenne de 44 milliards sur longue période (1993-2011).

La collecte de l’épargne est toujours tirée par les dépôts à vue et les livrets, surtout le Livret d’épargne populaire (LEP). L’assurance-vie se porte bien également, soutenue à la fois par la croissance rapide des plans d’épargne retraite (PER) et les unités de compte (UC) qui se substituent progressivement à la détention de titres via un compte-titres.

Mais le doublement, à partir du 1er août, du taux du Livret A à 2%, et surtout celui du Livret d’épargne populaire (LEP) à 4,6% ( Très peu utilisé du fait des moyens des intéressés ), un niveau proche de l’inflation, pourrait changer la donne et enclencher des arbitrages plus massifs des dépôts à vue vers les livrets. La première hausse n’a pas eu vraiment d’impact sur les arbitrages, même si elle a donné un coup de fouet à la collecte sur le Livret A en février et mars. Pour le reste, pas de changement majeur dans le comportement d’épargne des Français.

D’une façon assez constante, le taux incitatif, à partir duquel les Français se déclarent intéressés pour réorienter leur épargne, est en effet compris entre 2 et 3%.( La vérité c’est que tout dépend du niveau de l’inflation et des peurs vis-à-vis de la croissance NDLR) Or, selon l’Observatoire, un tiers des Français déclare avoir des sommes inutilisées sur des dépôts à vue, un pourcentage qui grimpe à 49% pour les clients dits « patrimoniaux ».

Le mouvement de remontée des taux ne fait que commencer. « Il se poursuivra en toute probabilité l’année prochaine », a prévenu François Villeroy de Galhau, gouverneur de la France, lors de la présentation, mardi dernier, du rapport annuel de l’épargne réglementée. Le taux du Livret A est revu tous les six mois, selon une formule qui repose sur la moyenne de l’inflation des six derniers mois et le taux interbancaire. Mais c’est Bercy qui décide en dernier ressort de l’appliquer strictement, ou de se donner une marge de manœuvre, à la hausse comme à la baisse. Cette décision reste donc avant tout politique.

La prochaine hausse est donc prévue le 1er février 2023. De combien ? Le gouverneur s’est bien gardé du moindre pronostic. Ce qui est certain est que la BCE va relever plusieurs fois ses taux directeurs d’ici là. Le scénario d’un livret A à 3% en 2023 n’est donc pas exclu si l’inflation devait se maintenir à un niveau élevé.

 

Taux du livret : « relèvement » à 2% !

Taux du livret : « relèvement » à  2% !

La générosité du gouvernement est sans limite. Sans parler de celle du gouverneur de la Banque de France au service des lobbys pour ne pas augmenter les salaires et l’épargne.Ainsi la Banque de France a servi la soupe au gouvernement en proposant une limitation du relèvement des taux du livret a à 2 %. Une proposition retenue immédiatement par le gouvernement

Or on sait que l’inflation sur un an a  progressé officiellement d’environ 6 %. Résultat une perte de pouvoir d’achat de 4 %.De quoi réjouir le système bancaire et le gouvernement qui évidemment utilisent  cette épargne mal rémunérée. D’un certain point de vue les ménages sont doublement punis. D’une part parce que les revenus salariaux ne suivent pas l’inflation ensuite parce que l’éventuelle épargne est aussi pénalisée comme les salaires.

Le taux du livret A va doubler au 1er août prochain, pour passer de 1% à 2%, son plus haut niveau depuis dix ans. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau. « C’est possible », a-t-il ainsi soufflé  au micro de France Info, sachant que la décision finale revient à Bercy. Et Bercy n’a pas attendu pour sauter sur l’occasion et retenir la proposition de la servile Banque de France qui elle-même a obéi au monde bancaire

Taux du livret : 2% ? c’est trop !

Taux du livret :  2% ? c’est trop !

La générosité du gouvernement est sans limite. Sans parler de celle du gouverneur de la Banque de France au service des lobbys pour ne pas augmenter les salaires et l’épargne.

Ainsi la Banque de France envisage-t-elle une hausse de 2 % pour le taux du livret A alors que dans le même temps on sait que l’inflation sur un an a  progressé officiellement d’environ 6 %. Résultat une perte de pouvoir d’achat de 4 %.De quoi réjouir le système bancaire et le gouvernement qui évidemment utilisent  cette épargne mal rémunérée. D’un certain point de vue les ménages sont doublement punis. D’une part parce que les revenus salariaux ne suivent pas l’inflation ensuite parce que l’éventuelle épargne est aussi pénalisée comme les salaires.

Le taux du livret A va doubler au 1er août prochain, pour passer de 1% à 2%, son plus haut niveau depuis dix ans. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau. « C’est possible », a-t-il ainsi soufflé ce matin au micro de France Info, sachant que la décision finale revient à Bercy.

En faite la proposition de la banque de France vise surtout à influencer le gouvernement pour limiter la décision de relèvement du taux du livret A comme le demande le monde bancaire.

Par contre ,le taux du Livret d’épargne populaire (LEP), réservé aux ménages modestes  pourrait ainsi passer de 2,2% à 4,5%,. Le seul problème c’est que cette épargne est insignifiante car les intéressés n’ont pas les moyens de mettre de l’argent de côté !

Covid 2 juillet 2022: Forte hausse en France

Covid 2 juillet 2022: Forte hausse en France

 

  • En France, on enregistre ce vendredi 1 juillet 2022,  +125.066 ces dernières 24h, +52 morts en 24h soit 149.585 au total. Le nombre total de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.904 (+1) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 120.681 (+51 en 24h). 53.562.287 personnes sont totalement vaccinées contre la covid-19 en France.
  • L’Espagne recense aux dernières remontées, 12.734.038 (0) cas au total. Le pays dénombre, le jeudi 30 juin 2022, 107.906 morts au total soit 0 depuis le dernier bilan. 95.071.546 doses de vaccin ont été administrées.
  • Le Portugal enregistre +25 morts en 24h ce mercredi 29 juin 2022 portant le total à 24.149 morts depuis le début de la pandémie et +10.657 nouveaux cas en 24h soit un total de 5.171.236 cas confirmés. 24.616.852 doses de vaccin ont été administrées.
  • Au Royaume-Uni, on compte +14.586 nouveaux cas en 24h, soit 22.720.797 cas au total depuis le début de l’épidémie. Le pays enregistre, ce mercredi 29 juin 2022, +12 morts en 24h soit 180.330 morts au total. 103.703.976 doses de vaccin ont été administrées.
  • En Italie, on note +86.900 nouveaux cas ces dernières 24h. On compte +72 décès en 24h ce vendredi 1 juillet 2022. Le nombre de décès est désormais de 168.425 au total depuis le début de l’épidémie. Le nombre total de cas recensés est de 18.610.011. 138.272.875 doses de vaccin ont été administrées.

Adaptation au climat :Un cout de 2,3 milliards d’euros par an

Adaptation au climat :Un cout de 2,3 milliards d’euros par an 

 

Le retard de la France en matière d’adaptation au changement climatique est à nouveau pointé par l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE). Dans un rapport publié jeudi 23 juin, cette ONG de référence estime qu’il faudrait investir au minimum 2,3 milliards d’euros par an pour lancer l’adaptation du pays aux inondations, aux canicules, ou aux incendies.

I4CE s’est donné pour objectif de chiffrer les coûts de l’adaptation au changement climatique. Dans cette première publication, l’institut a dressé une liste de 18 décisions budgétaires qui peuvent être  »prises dès à présent » pour anticiper les effets négatifs du changement climatique et prévenir ou minimiser les dommages que ces effets peuvent causer. Par exemple, « augmenter et maintenir dans la durée les moyens dont disposent les agences de l’eau pour leur action en faveur du grand cycle de l’eau et de la biodiversité », pour un montant de 300 millions par an ; « pérenniser une enveloppe annuelle de soutien à l’extension des bonnes pratiques d’adaptation en ville », pour 500 millions d’euros ; « prendre en charge le surcoût pour renforcer les exigences en matière de constructions durables et adaptés aux chaleurs futures dans la construction des bâtiments d’enseignement et de recherche », pour 500 millions.

Selon I4CE, la politique d’adaptation en France est encore trop timide. « On ne part pas de rien. Des actions sont engagées, mais qui restent largement insuffisantes face à l’ampleur des enjeux.

 

 

 

Prix du gazole : au-dessus de 2 euros

Prix du gazole : au-dessus de 2 euros

 

 

Le litre de gazole a atteint 2,0694 euros le litre en moyenne la semaine du 6 au 10 juin selon les chiffres arrêtés vendredi, soit un bond de plus de 10 centimes par rapport à la semaine précédente.

Le litre de gazole, qui atteignait 1,9615 euro en moyenne début juin, et augmentait depuis deux semaines, a atteint la semaine dernière 2,0694 euros le litre en moyenne, selon les chiffres arrêtés vendredi et publiés lundi par le ministère de la Transition écologique. Soit un bond de plus de 10 centimes par rapport à la semaine précédente. Le gazole était déjà passé au-dessus de ce seuil symbolique mi-mars et fin mars, avant de redescendre entre temps.

Côté essence, le prix du super SP95-E10, qui a atteint le prix record de 2,1012 euros le litre en moyenne la semaine du 30 mai au 3 juin, reste stable, en léger repli à 2,0960 euros. Le SP98 a déjà dépassé depuis un mois les 2 euros. Il atteignait la semaine dernière 2,1989 euros en moyenne en France.

 

inflation France encore en hausse à 5,2%

 inflation  France encore en hausse  à 5,2% 

 

 

Contrairement à ce qu’ont affirmé le gouvernement et nombre d’experts,  l’inflation continue de s’accélérer en France. Elle devait pourtant être de faible niveau et très temporaire. En réalité comme dans l’ensemble du monde,  elle se révèle très forte et de nature structurelle. Le ministre Bruno Lemaire reconnaît même qu’il ne faut pas s’attendre à la moindre inversion avant 2024.

L’inflation a connu une nouvelle accélération en France au mois de mai, à 5,2% sur un an, dépassant la barre des 5% pour la première fois depuis septembre 1985, selon une première estimation dévoilée mardi par l’Insee. La hausse des prix sur un an s’était établie à 4,8% en avril, déjà au plus haut en près de 37 ans.

En mai, les prix sont en hausse sur tous les postes de consommation recensés par l’Institut national de la statistique, avec notamment une nouvelle poussée dans l’énergie. «Après leur repli le mois précédent, les prix de l’énergie se redresseraient en lien avec le rebond des prix des produits pétroliers», détaille l’Insee, alors que la guerre en Ukraine a fait flamber les cours des matières premières. Ils accélèrent ainsi de 28% sur un an, après une hausse de 26,5% en avril.

Les prix de l’alimentation progressent quant à eux de 4,2% (3,8% le mois dernier) et ceux des services de 3,2% (3% en avril). Base de comparaison entre pays européens, l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) augmenterait de 5,8% en mai, après 5,4% en avril, précise l’Insee. La comparaison entre la France et ses voisins européens reste cependant plutôt  » flatteuse », l’inflation allemande ayant enregistré un nouveau record lundi (+7,9% sur un an en mai).

 

L’inflation encore en hausse à 5,2% sur un an en mai

L’inflation encore en hausse  à 5,2% sur un an en mai

 

 

Contrairement à ce qu’ont affirmé le gouvernement et nombre d’experts l’inflation continue de s’accélérer en France. Elle devait pourtant être de faible niveau et très temporaire. En réalité comme dans l’ensemble du monde,  elle se révèle très forte et de nature structurelle. Le ministrs Bruno Lemaire reconnaît même qu’il ne faut pas s’attendre à la moindre inversion avant 2024.

L’inflation a connu une nouvelle accélération en France au mois de mai, à 5,2% sur un an, dépassant la barre des 5% pour la première fois depuis septembre 1985, selon une première estimation dévoilée mardi par l’Insee. La hausse des prix sur un an s’était établie à 4,8% en avril, déjà au plus haut en près de 37 ans.

En mai, les prix sont en hausse sur tous les postes de consommation recensés par l’Institut national de la statistique, avec notamment une nouvelle poussée dans l’énergie. «Après leur repli le mois précédent, les prix de l’énergie se redresseraient en lien avec le rebond des prix des produits pétroliers», détaille l’Insee, alors que la guerre en Ukraine a fait flamber les cours des matières premières. Ils accélèrent ainsi de 28% sur un an, après une hausse de 26,5% en avril.

Les prix de l’alimentation progressent quant à eux de 4,2% (3,8% le mois dernier) et ceux des services de 3,2% (3% en avril). Base de comparaison entre pays européens, l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) augmenterait de 5,8% en mai, après 5,4% en avril, précise l’Insee. La comparaison entre la France et ses voisins européens reste cependant plutôt  » flatteuse », l’inflation allemande ayant enregistré un nouveau record lundi (+7,9% sur un an en mai).

 

Covid France 2 mai 2022 :+36.726 nouveaux cas en 24h.

Covid France 2 mai 2022 :+36.726 nouveaux cas en 24h.

On enregistre ce dimanche 1 mai 2022 : +36.726 nouveaux cas en 24h,145.962 morts au total, +32 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.769 (+10) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 117.193 (+22 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,74 le taux d’incidence à 631,24 et la tension hospitalière à 30,8 %. Le taux de positivité est à 21,8 %.

La France compte actuellement 23.327 (+25) personnes hospitalisées et 1.557 (-5) malades en réanimation.

Selon les données de Santé Publique France, Découvrez le bilan des différentes régions françaises et leur évolution :

  • Ile-de-France : 4.949 (+17) hospitalisées, 397 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Grand Est : 2.017 (+6) hospitalisés, 130 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Hauts de France : 2.162 (-7) hospitalisés, 163 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 2.504 (+3) hospitalisés, 146 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.104 (-3) hospitalisé, 129 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Bretagne: 947 (-4) hospitalisés, 55 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Normandie : 1.790 (+1) hospitalisés, 72 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.576 (-2) hospitalisés, 106 (+3) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 795 (+5) hospitalisés, 62 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Occitanie: 1.858 (0) hospitalisés, , 135 (-6) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 969 (+1) hospitalisés, 59 (-2) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 1.057 (+4) hospitalisés, 70 (-1) en réanimation et 0 décès en 24h

PS, 2% ou les funérailles du parti socialiste

PS, 2% ou les funérailles du parti socialiste

L’élection présidentielle de 2022 pourrait bien représenter une sorte de funérailles pour le parti socialiste qui va connaître sans doute le sort de son ancêtre la SFIO et disparaître du paysage politique.

Il est clair qu’avec un score autour de 2 %, le parti socialiste ne peut rester en l’état de mort clinique. D’ores et déjà,  on s’agite dans la coulisse et par exemple François Hollande qui a largement contribué à discréditer le parti qui l’a a conduit à l’Élysée s’imagine à nouveau en successeur de Mitterrand pour ramasser ce qui reste et recréer une dynamique à gauche.

Le problème c’est que ce sont les mêmes qui ont coulé le parti socialiste depuis 40 ans qui revendiquent une légitimité pour le redresser.

La dégringolade a commencé depuis longtemps. Depuis exactement l’époque de Mitterrand auquel on reconnaît quelques qualités mais qui évidemment n’a jamais été socialiste et deux ans après son élection a  tourné le dos complètement à ses orientations.

Le parti socialiste n’a jamais réussi à tuer les vipère installées en son sein c’est-à-dire celles représentées par les technocrates, les bobos et les arrivistes. Convaincus  de représenter la classe ouvrière et les couches moyennes, les dirigeants du parti socialiste ont toujours manifesté le plus grand mépris pour ces catégories sociales. Des catégories sociales complètement absentes des instances dirigeantes et encore davantage évidemment du gouvernement.

En outre avec en plus des contradictions internes d’autres bobos marxistes et même communistes aussi coupés des réalités sociales que les autres mais qui prêchaient la révolution ! Une posture surréaliste qui a largement participé à coulé l’inefficace Hollande.

*Au cours d’un dîner « secret » mercredi soir entre Anne Hidalgo, Martine Aubry, François Hollande et d’autres figures du Parti socialiste aurait abordé la recomposition de la gauche et du PS, sans convier son premier secrétaire, Olivier Faure. Révélé par Le Monde, ce dîner ne semble être que le dernier épisode d’une crise au sein des cadres du parti.

Le feuilleton de la mésentente socialiste continue donc  : mercredi soir, Anne Hidalgo dînait à la questure du Sénat, un dîner officieux organisé par Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Palais du Luxembourg, en compagnie plusieurs figures socialistes : la maire de Lille Martine Aubry, la maire de Nantes Johanna Rolland, directrice de la campagne d’Anne Hidalgo, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, et aussi François Hollande. Selon Le Monde, l’ex-Premier ministre Bernard Cazeneuve était aussi convié, mais n’était pas disponible.

Un dîner de travail, oui, mais pas vraiment destiné à organiser les dernières minutes de la campagne présidentielle , à seulement quelques jours du premier tour. L’ordre du jour aurait plutôt été centré sur l’avenir du Parti socialiste, et de la gauche, après une campagne présidentielle qui semble avoir scellé le destin du PS tel qu’il fonctionne actuellement. Selon Le Monde , les participants à ce dîner veulent envisager une large recomposition dans un « nouveau mouvement social-démocrate qui dépasserait le PS », et qui pourrait jusqu’à aller chercher des écologistes, communistes et des radicaux de gauche. Bref la vision mitterrandienne dans une troisième version qui connaîtra le même sort que les deux précédentes si elles sont conduites par ceux qui ont déjà détournél’objet du parti socialiste soit par leur collusion avec les pouvoirs financiers, soit au contraire par l’irresponsabilité de leur posture pseudo révolutionnaire de bobo.

 

Augmentation Smic: entre 2,4 et 2,6%

 

Augmentation Smic: entre 2,4 et 2,6%

 

Alors que l’inflation constatée vendredi atteint autour de 7,5 % dans l’union européenne 5% dans l’Hexagone, la France devrait procéder un léger rajustement du SMIC au 1er mai. Un ajustement très partiel qui en fait se traduit par atteinte pouvoir d’achat. Actuellement de 1 269 euros net par mois, le salaire minimum devrait donc se situer dans une fourchette entre 1 299 et 1 304 euros.

En janvier, le Smic avait augmenté de 0,9% après une hausse exceptionnelle de 2,2% en octobre, déjà due à l’inflation. Actuellement de 1 269 euros net par mois, le smic devrait donc se situer dans une fourchette entre 1 299 et 1 304 euros au 1er mai. Soit une augmentation de 30 à 35 euros.

Notons que la plupart des experts sont d’accord avec cette limitation d’augmentation des salaires de base pour ne pas alimenter encore l’inflation et la course prix salaires. Le problème c’est que cette amputation du pouvoir d’achat va se traduire par un ajustement de la consommation et par conséquence de la croissance économique.

Or cette croissance économique pourrait être rapidement affectée si l’on observe le comportement actuel déménage et surtout un moral qui tend à se dégrader nettement.

Covid France 2 mars 2022 : baisse des hospitalisations

Covid France 2 mars 2022 : baisse des hospitalisations

Lundi 1er mars 2022 : Baisse avec 24.437 personnes  hospitalisées ce mardi contre 25.079 la veille. 1330 patients ont été admis lors des dernières 24 heures. 2408 personnes étaient également admises dans les services de soins critiques ce mardi, contre 2456 lundi. 200 morts sont également à déplorer dans les hôpitaux français. 79.794 nouveaux cas ont été détectés.

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