Archive pour le Tag '2 milliards'

AXA: Un résultat financier de 7,2 milliards

AXA:  Un résultat financier de 7,2 milliards

Comme bon nombre d’autres assureurs, on affiche des résultats très financiers dans le secteur en cause parfois un accroissement de l’activité mais aussi des profits réalisés grâce à l’inflation. Il suffit pour cela de voir l’évolution des tarifs. Les assureurs justifient la dérive des tarifs par l’augmentation des risques dont certains sont réels mais nos bien virtuels.

Résultats par exemple un début de 1024 c’est le coup de bambou chez la plupart des assureurs. On profite ainsi de l’inflation générale pour rajouter des hausses de tarifs non justifiés. Ainsi l’inflation aura constitué pour les assureurs et d’une manière générale pour les grandes sociétés une sorte de mécanisme anti redistributif car dans le même temps le pouvoir d’achat des ménages diminue : le principe des vases communicants.

L’assureur a en effet  fait état, ce mercredi, de résultats solides, avec un résultat net de 7,2 milliards d’euros en 2023 pour 103 milliards d’euros de primes, et d’un nouveau plan stratégique à trois ans, fondé sur la croissance organique et l’amélioration de l’efficacité opérationnelle. Le taux de distribution aux actionnaires est porté à 75%.

AXA veut séduire ses actionnaires et devenir la valeur de rendement incontournable d’un portefeuille lambda, comme c’est souvent le cas d’ailleurs des grands groupes d’assurance mondiaux. Le moment est porteur, la hausse des taux améliore les résultats financiers et la solvabilité des assureurs.

Dans son nouveau plan stratégique 2024-2026, l’assureur prévoit ainsi un taux de distribution de 75% de ses résultats aux actionnaires, dont 60% sous la forme de dividendes. C’est mieux que les années précédentes.

 

2 milliards de salaires impayés en 2013

2 milliards de salaires impayés en 2013

Les entreprises françaises sont restées fragiles en 2013. Les AGS, le régime de garantie des salaires, utilisé en cas de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire d’une entreprise, a fonctionné à plein régime l’année dernière. Le montant des avances a progressé de 5,4% par rapport à 2012 pour atteindre un record de plus de 2 milliards d’euros. Une première depuis la création de l’organisme en 1974. Le précédent record datait de 2009, en plein cœur de la crise, avec 80 millions d’euros versés. Le nombre de salariés bénéficiaires des AGS a également progressé de 3% par rapport à 2012. Il a atteint 286.000 personnes. Certains secteurs sont largement plus touchés que d’autres. Dans l’hébergement ou la restauration, le nombre d’intervention de l’AGS a progressé de 10,6%.  Néanmoins, petite lueur d’espoir, au quatrième trimestre, les statistiques remontent légèrement. Le nombre de dossiers ouverts par l’AGS en cas de liquidation ou de redressement judiciaire augmentait de 3,7% à fin décembre 2013, soit une progression moins importante que celle constatée à fin septembre (5,6%). Compte tenu des incertitudes sur la situation économique, le taux de cotisation (des entreprises) a cependant été maintenu à 0,30% par le Conseil d’administration de l’AGS.

 

Ponts de mai: coût de 2 milliards d’euros

Ponts  de mai: coût de 2 milliards d’euros

L’année 2013 comporte en effet 251 jours ouvrés, soit deux jours de moins que 2012, comme l’explique une enquête de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) publiée l’été dernier. Cette situation, qui ne s’était pas présentée depuis 2006, coûterait pas moins de 0,1 point en moins au PIB français, avance l’étude. La répartition des jours fériés est capricieuse, et cette année, seul le 14 juillet se trouve être un dimanche. Les autres jours fériés, dont quatre pour le seul mois de mai, impactent négativement la croissance du PIB du pays. Cette différence de jours ouvrés entraînerait donc une diminution de 0,1 point du produit intérieur brut, soit environ 2 milliards d’euros. Mais cette facétie de calendrier affecte différemment les secteurs de l’économie. En effet, ceux à l’activité continue, notamment l’industrie, voient d’un mauvais oeil ce mois de mai propice à la pose de congés ou de jours de RTT. Avec les 1er et 8 mai, le jeudi de l’Ascencion (9 mai) et le lundi de Pentecôte (20 mai), les entreprises ont fort à faire pour adapter leur planning afin d’assurer bon fonctionnement de leurs activités et de limiter les pertes de chiffres d’affaire. A l’inverse, le secteur du tourisme profite de la situation et voit ses réservations donc ses résultats augmenter lors de cette période. Paradoxalement, la crise économique actuelle a un effet bénéfique et atténue le manque à gagner provoqué par ces jours fériés. Comme l’explique Eric Heyer, économiste à l’OFCE cité par Challenges, « avoir plus de jours fériés quand on est en haut de cycle, c’est ennuyeux car les usines tournent à plein régime et les entreprises ne peuvent pas répondre à toute la demande ». Or plutôt que des entreprises qui tournent à plein régime, c’est une production en berne qui est touchée par la perte de jours ouvrés, dont l’impact négatif est moins important.  Pour autant, il faut noter l’importance du jour de la semaine sur lequel tombe les jours fériés. Par exemple, les prévisions de l’INSEE pour l’année 2014 présentent seulement un impact négatif de 0,01 point pour le PIB, soit dix fois moins que l’année en cours, alors que les deux années présentent le même nombre de jours ouvrés. Ainsi, même si en 2014 aucun jour férié ne tombe un dimanche, on comptera un mardi et deux jeudis ouvrés de moins mais trois mercredis supplémentaires, toujours selon l’étude. Or l’effet d’un mercredi ouvré est supérieur à celui d’un mardi ou d’un jeudi rappelle l’INSEE, la perte de croissance sera donc inférieure à celle attendue pour 2013.

Budget: 2 milliards de plus pour le chômage ou l’emploi ?

Budget: 2 milliards de plus pour le chômage ou l’emploi ?

2 milliards en plus : à priori, c’est bien mais pour le chômage ou l’emploi ? Cahuzac, qui a augmenté la réserve budgétaire,  ne répond pas vraiment à la question ; s’agit-il de dépenses en plus pour le chômage comme c’est probable ou d’aide à la création d’emplois durables. C’est toute l’ambigüité de la politique du gouvernement qui confond chômage et emploi. La preuve quand on claironne qu’on veut faire baisser la courbe du chômage alors qu’il conviendrait de dire qu’il faut faire progresser la courbes des emplois. Un seul exemple, nombre d’allocataires du RSA ne figurent pas sur les listes de chômeurs mais pourtant demeurent sans emploi. Emploi ou chômage,  une nuance de taille. «Il y a de cela quelques jours, le président de la République et le premier ministre ont décidé de majorer cette réserve de précaution de 2 milliards de plus, a détaillé Jérôme Cahuzac lors du «Grand Rendez-Vous Europe 1/Le Parisien/i-Télé». Nous pensons, notamment pour la politique de l’emploi, qu’il va nous falloir davantage de crédits.»  Ces 2 milliards d’euros ne viendront pas creuser le déficit, ils seront prélevés sur les budgets des autres ministères. Pour cela, il existe, a expliqué le ministre, «une taxation interministérielle, c’est-à-dire qu’on demande à chaque ministre, en proportion du budget qui lui a été alloué, de céder une partie des crédits votés précisément pour financer ce que nous estimons désormais être prioritaire». Vu le mauvais temps économique prévu pour 2013, nul doute que l’exécutif devra puiser dans cette réserve pour améliorer ses chances de stabiliser les destructions d’emplois. «Toutes nos forces seront tendues vers un seul but: inverser la courbe du chômage d’ici à un an. Nous devrons y parvenir coûte que coûte», avait ainsi déclaré François Hollande lors de ses vœux aux Français le 31 décembre dernier. Pour l’instant, l’Insee prévoit une saignée de 75.000 emplois durant la seule première moitié de l’année et table à cet horizon sur un taux de chômage de 10,9%, contre 10% actuellement.  La manne de 2 milliards d’euros permettrait de renforcer le plan gouvernemental en trois volets contre le chômage. Outre la réforme sur la sécurisation de l’emploi, actuellement négociée par les partenaires sociaux et dont les effets se feront plutôt sentir à long terme, l’exécutif a lancé les contrats de génération qui ne tourneront pas à plein dès cette année. À court terme, il compte donc surtout sur les emplois d’avenir. Ce dispositif, qui vise à créer 150.000 postes sur deux ans en faveur des jeunes sans formation, coûte 1,5 milliard d’euros. Les fonds débloqués par le ministre du Budget permettraient donc, par exemple, de plus que doubler la taille de ce programme.

 

« Petit » dépassement de 2 milliards pour la centrale de Flamanville

« Petit » dépassement de 2 milliards pour la centrale de Flamanville

 

A l’origine le coût de l’EPR avait été chiffré à 3.3 milliards, puis à 6 , il passe maintenant à 8.5 ; Un petit dépassement. EDF a annoncé lundi avoir relevé de 2 milliards d’euros son estimation du coût de la construction du réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche), portée à 8,5 milliards d’euros inflation comprise, en partie à cause des problèmes et retards subis par le chantier.  Le coût du premier EPR à être érigé sur le sol français n’en finit pas de s’envoler. Le budget, initialement fixé à 3,3 milliards d’euros, vient de passer officiellement à 8,5 milliards d’euros. EDF vient d’annoncer un surcoût de 2 milliards par rapport à la dernière évaluation, fixée à 6 milliards d’euros en juillet 2011. L’électricien ajoute de surcroît 500 millions d’euros, liés selon lui au coût de l’inflation. Le géant français de l’électricité a en revanche maintenu le calendrier de mise en service de ce réacteur de 3e génération, tablant toujours sur un démarrage de la production en 2016, soit quatre ans après la date initialement prévue.  Le groupe a expliqué dans un communiqué avoir pris en compte dans cette révision à la hausse l’évolution du design de la chaudière (ou cœur du réacteur), des études d’ingénierie supplémentaire, l’intégration de nouvelles exigences réglementaires, ainsi que des enseignements postérieurs à la catastrophe nucléaire de Fukushima intervenue l’an dernier au Japon. De plus, il a tendu compte d’ »aléas industriels », comme le remplacement des « consoles » (énormes pièces métalliques entourant le bâtiment réacteur, que le groupe a dû remplacer après la détection de défauts) et ses conséquences sur le planning des travaux, qui a dû être réaménagé, ainsi que de « l’impact financier de l’allongement des délais de construction ».

Drogue : 2 milliards par an

Drogue : 2 milliards par an

 

Un rapport de plus de deux milliards d’euros par an aux trafiquants, écrit lundi Le Figaro, qui cite « un rapport confidentiel » de la police judiciaire. Selon ce rapport du Service de renseignement d’analyse sur la criminalité organisée (Sirasco), le « chiffre d’affaires » du trafic est « de plus d’un milliard d’euros pour environ 250 tonnes de résine de cannabis consommées annuellement ». « L’ensemble des autres drogues rapportent également un milliard d’euros », ajoute le rapport cité par Le Figaro. « L’activisme et les capacités d’adaptation des organisations criminelles issues des cités sensibles, responsables des importations massives de cannabis marocain, et le déploiement continu des flux de stupéfiants demeurent la principale source d’irrigation de l’économie souterraine en France », écrit le rapport du Sirasco.

 




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